LA BOITE A MUSIQUE – Une infirmière en Beauce 01

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA BOITE A MUSIQUE – Une infirmière en Beauce 01 Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2016 dans la catégorie Pour la première fois
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LA BOITE A MUSIQUE – Une infirmière en Beauce 01
LA BOITE A MUSIQUE – Une infirmière en Beauce 01

Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur de HDS) racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu le texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.


Valérie va avoir cinquante ans dans trois jours. Le moral n’est pas au beau fixe, elle déprime. Elle consulte de plus en plus souvent les petits carnets qui se trouvent enfouis dans sa boite à musique. Elle l’avait eue comme cadeau, pour ses sept ans, lors de sa première communion : une boite à musique que l’on remontait à la main et dans le fond de laquelle se trouvait un compartiment secret, où les jeunes filles pouvaient enfermer les billets de leur amoureux ou pour certaines, les écrits de leur jardin secret.

C’est là qu’elle avait consigné ses rêves de jeune fille et plus tard de femme mariée, bien à l’abri de tous les regards des parents et des étrangers ; même sa grande sœur Ghislaine de quatre ans son aînée n’en a jamais eu connaissance. Elle a bien conscience qu’elle n’est pas très hardie, trop timide pour s’imposer en société. Sa naissance en 1966 dans une famille pauvre et très peu instruite l’a toujours perturbée et lui a fait se sentir inférieure vis à vis des personnes supérieures à elle.

Les parents de Valérie ont malheureusement disparu il y a quelques années. C’étaient de modestes paysans qui demeuraient à Sacé, une petite commune de la Mayenne près de Laval. Ils exploitaient une petite ferme, une ancienne closerie de quelques hectares sur un coteau bordant la rivière Mayenne. Des terres pauvres, sur lesquelles poussaient plus facilement du sarrasin : le blé noir ou la céréale du pauvre que du bon froment ou du maïs. Comme beaucoup de filles de la campagne, lors d’une fête au village voisin de Martigné sur Mayenne, dans le foyer paroissial où ses parents l’avaient autorisé à aller avec des jeunes de son village, elle avait rencontré un séducteur beaucoup plus âgé qu’elle.

Serge, un homme qui avait plus de trente ans à cette époque, Bien habillé et détonnant sur les ploucs des environs. Parlant bien, il n’avait eu aucun mal à séduire l’oie blanche qui le regardait avec des grands yeux naïfs. Après quelques danses, accompagnées de trois ou quatre verres de punch, la très jeune fille sans expérience, juste quelques baisers échangés avec des amoureux éphémères se retrouva en fâcheuse posture, un peu ivre lorsque le séducteur l’entraina dans une grange quelque peu éloignée du foyer.

L’homme expérimenté l’avait d’abord bécotée et abreuvée de mots d’amour. Elle s’était retrouvée avec ses seins débordant de son corsage et les attouchements et les baisers sur ses mamelons et ses jeunes tétins l’avaient affolée. Bien que se défendant mollement devant les mains baladeuses qui se glissaient sous sa jupe, caressant ses jambes et ses cuisses, elle n’avait pu empêcher Serge d’atteindre sa culotte blanche en coton. Elle resserra fortement les cuisses sur la main qui avait emprisonné sa motte au travers du tissu. L’homme l’affola alors par ses baisers et bientôt ses doigts fureteurs se glissèrent sous l’élastique, se faufilant sur les poils de la toison et les chairs déjà moites de la vulve. Valérie ne s’était jamais touchée, la religion chrétienne qu’elle avait reçue en faisait un péché auquel elle n’avait pas succombé. Les doigts qui caressaient habilement les chairs vaginales et frôlaient le clitoris avec la plus grande habileté, ne tardèrent pas à provoquer l’émoi de la jeune provinciale. La mouille qui bientôt se retrouva sous les doigts de Serge, lui firent comprendre que la donzelle était cuite à point, surtout que des gémissements de plaisir accompagnaient à présent le trémoussement de ses cuisses qu’elle ouvrait largement.

La jeune fille se rendait à peine compte que sa virginité ne tenait plus qu’à un fil. Lorsque le séducteur écarta sa culotte et engagea son vit entre les chairs encore vierges. Elle eu à peine un geste de rejet lorsque la verge, perforant l’hymen, plongea jusqu’au fond du vagin la faisant femme définitivement. La brève douleur ne l’affecta pas, mais son dépucelage la fit éclater en sanglots.

Tout à coup, la honte déborda en elle, comment avait t’elle pu se faire circonvenir et céder sa virginité au premier beau parleur qui l’avait séduite en quelques heures. Valérie était bouleversée par cet acte qu’elle ne pouvait avouer à ses parents. Serge l’entoura de ses promesses, lui disant qu’il l’aimait et qu’ils se mettraient ensemble lorsqu’elle aurait terminé ses études. Il demeurait à Rennes et voyageait beaucoup pour son travail. Il lui promit qu’il viendrait la voir le plus souvent possible à Laval où elle était au lycée. La jeune fille se laissa convaincre et les amoureux se retrouvaient souvent au chef-lieu du département, profitant des bords de la rivière pour faire l’amour dans les périodes de beau temps. En hiver et lorsqu’il pleuvait, c’est le plus souvent dans la voiture de Serge que les amants faisaient l’amour.

Malgré tout, Valérie poursuivit ses études et elle passa son bac à Laval. Puis, elle rejoignit le Centre Hospitalier Universitaire de Rennes, où elle entra à l’école des infirmiers en bloc opératoire. Elle s’installa avec Serge, contre la volonté de ses parents inquiets pour leur fille qui fréquentait cet homme, proche de la quarantaine. Serge était souvent absent, car il était représentant de commerce et parcourait une partie de la France continuellement.

Valérie songe que durant les dix années où ils ont été ensemble elle a été sa chose, il était très directif, disons même dominateur et elle était si jeune. Elle l’aimait si fort qu’elle acceptait tout ce qu’il voulait. Tout de suite, il l’a initiée à la fellation, en voulant toujours plus et même l’obligeant à prendre son sperme dans la bouche. Il l’a attachée, lui a bandée les yeux, l’a bâillonnée pour qu’elle ne puisse crier. Il l’a fait crier de plaisir dans toutes les positions imaginables, l’amenant jusqu’à des orgasmes d’une violence incroyable. Il l’a prise en photo, dénudée, dans des positions très osées. Il l’a sodomisée malgré ses dénégations, mais seulement deux fois, car elle avait trop mal. Puis, sans avoir le choix, il l’a entrainée dans des camps et des plages naturistes de la Méditerranée au Sud-Est de la France. Pour l’exciter, elle a même fini par accepter de bronzer cuisses ouvertes afin que les mâles de la plage puissent se délecter de la vision de son minou exhibé.

Malgré la honte qui était la sienne, elle ne pouvait empêcher son corps de réagir, des hommes voyaient son intimité et elle mouillait !

Elle se détestait, tout en ayant hâte que Serge satisfait l’entraîne vers la pinède pour la coïter devant les voyeurs qui traînaient toujours à cet endroit.

Mais il voulait encore plus, après l’avoir dépouillé de ses appointements de l’hôpital, il lui proposa de faire l’amour avec un autre devant lui qui regarderait. Elle a compris que cela ne s’arrêterait jamais. C’est ce qui a décidé Valérie à le quitter, allant se réfugier chez sa sœur Ghislaine à Vitré. Cela lui faisait un peu plus de 40 km chaque jour pour aller travailler, mais elle se trouvait ainsi à l’abri des agissements de Serge qui, abandonna de la poursuivre lorsqu’elle a signalé le harcèlement dont elle était l’objet auprès de la Police. Elle s’est jurée que plus jamais elle n’aimerait un homme de cette façon et qu’elle accepterait de se plier à ses exigences innommables.

Durant plusieurs mois elle s’est sentie très mal, traumatisée par presque dix ans de domination de cet homme manipulateur et quelque peu diabolique. Heureusement Ghislaine l’entourait de son amour, ainsi que son mari Luc et ses deux enfants. Un samedi soir, sa sœur invita un de ses collègues, conseiller financier à la banque privée Saint-Gilles à Rennes, où elle travaillait. Ce dénommé Hervé avait un an de moins que Valérie. Originaire de Toulouse et très réservé aussi, il avait fait des études supérieures à Montpellier. Il l’a impressionnée par sa gentillesse dès ce premier soir, et lorsqu’il l’a invitée à dîner la semaine suivante, Valérie a accepté. Quelques jours après ils se sont embrassés et ils ont fait l’amour sagement ; ils se sont mis en ménage deux mois après. L’année suivante en 1993, ils se sont mariés.

Hervé, bien qu’ayant fait des études supérieures et s’exprimant facilement, n’a pas eu beaucoup d’expériences sexuelles. Trop timide pour aborder les femmes. Deux filles rencontrées à l’université lors de ses études qui n’avaient elles non plus pas ou peu d’expérience. Il n’a pu prendre d’ascendant sur sa jeune épousée, qui elle de son côté, après sa relation avec Serge était complètement traumatisée sur le plan sexuel, devenue limite frigide. Alors que Serge avait obtenu qu’elle se promène nue sur les plages, elle était devenue plus que pudique, ne se déshabillant pas devant son mari et acceptant le minimum avec lui, alors que Serge avait abusé largement de son corps durant dix ans. Avec Hervé, elle ne veut même pas qu’il voit son minou et lorsque rarement, elle accepte qu’il lui fasse un cunnilingus, elle ne veut jamais qu’il aille jusqu’au bout, de peur de se lâcher et qu’il la voit jouir. Elle n’a accepté qu’il la prenne en levrette que trois ou quatre fois en vingt-cinq ans. Sans cela c’est en missionnaire, ou bien elle le chevauche, ce qu’elle préfère. Par contre elle lui fait facilement des fellations, mais sans jamais le regarder. Il est vrai que Serge disait qu’elle était une experte, tellement il l’avait dressée à cette caresse buccale.

Le couple a trois enfants, couvés par leur mère qui est très maternelle et plutôt douce à vivre. Leur fille aînée, Louise vient d’avoir vingt et un ans, elle est en troisième année de commerce international et se trouve à Denver aux USA en stage pour encore huit mois. Quentin le garçon a dix-huit ans et vient de terminer sa première année de faculté de droit à Montpellier où a étudié son père. Leur dernière fille Pauline, seize ans, est en terminale au Lycée Marceau de Chartres, pas très loin du bureau de son père.

Il y a dix ans, le couple a quitté Rennes pour Chartres où Hervé a été nommé à la même banque, mais comme directeur. La banque privée Saint-Gilles se trouve dans le centre historique de Chartres, place Drouaise, près d’un hôtel Ibis (Chartres centre Cathédrale) et du musée de l’École de Chartres et d’Eure et Loir.

Valérie, elle, a retrouvé facilement du travail en milieu hospitalier à l’Hôpital Louis Pasteur à Le Coudray qui fait partie de l’arrondissement de Chartres, dans le canton de Chartres-Sud-Est. Le couple a acheté dans cette localité une maison récente et confortable dans un lotissement avec un grand jardin, situé rue des Gaudinières, en bordure de l’Eure, où se trouvent une forêt et un grand plan d’eau. Le tour du lac est aménagé pour le jogging. Pour aller travailler Hervé utilise une Twingo un peu ancienne pour les deux kilomètres et demi qui le séparent de son bureau, quant à Valérie, le Centre Hospitalier se trouve environ à huit cents mères du domicile familial et elle utilise le Grand Scénic acheté récemment.

Avec Hervé, il y a des hauts et des bas. Introverti comme son épouse, il voit tout en noir, même si c’est assez souvent avec de l’humour. Il n’est jamais satisfait, lui faisant souvent des reproches pour des broutilles. Il fait la tête assez facilement, surtout si elle ne cède pas lorsqu’il veut faire l’amour vite fait le matin. Il est vrai que depuis six ans, Valérie est de moins en moins réceptive aux rapports sexuels, très traumatisée par un événement remontant justement à cette année 2010.


Pourtant, songe-t-il, sa femme possède des formes encore bien agréables. Elle a des cheveux épais et longs, naturellement blond foncé, tirés en arrière avec un chignon pour le travail, libres et ondulés à la maison. Son sourire est plaisant, avec des yeux marron clair, des fossettes, peu maquillée, rarement du rouge à lèvres. Elle n’a pas les ongles vernis à cause de son métier d’infirmière. À présent, ses seins avec des petites aréoles aux tétons rose clair tombent un peu. Son ventre et ses fesses sont fermes, ses cuisses et ses jambes sont fines. Le petit vagin a des lèvres fermées, le clitoris est encapuchonné, et le pubis est recouvert d’une toison épaisse châtain foncée, bien qu’elle ait promis de faire une épilation intégrale qu’elle reporte d’année en année. Très pudique, elle ne veut pas qu’Hervé contemple ses parties intimes, le rendant chaque jour un peu plus insatisfait de sa vie sexuelle, alors qu’il aime toujours sa Valérie…


À suivre…

Les avis des lecteurs

Récit charmant, d'une facture familiale, avec un mot très vieille France que j'aime bien : le vit !

Histoire Erotique
trop Vieuloup

votre carrière vous l'avez pratiqué dans l'écriture mais pas dans la bonne rubrique ...

plaisir de vous lire ... comme d'hab très bon niveau

B.

Histoire Erotique
Où l'on mesure (une nouvelle fois) les méfaits de la religion sur une jeune et sans doute jolie personne. Serge a peut-être été trop directif et autoritaire (même si j'aurais aimé être à sa place) - après tout, la véritable soumission, c'est lorsque la personne est elle-même demandeuse, sinon dépendante de son état. Valérie avait et a sans doute tous les atouts pour être une soumise, de surcroît bien cochonne. Merci encore à Vieulou pour une nouvelle saga et son style rédactionnel, accrocheur dès les premières lignes.

Toujours égale à lui même...

Excellent début, je pense que le proverbe "méfiez vous de l'eau qui couve"correspond à ce premier récit. J'attends la suite avec impatience!!!



Texte coquin : LA BOITE A MUSIQUE – Une infirmière en Beauce 01
Histoire sexe : Une rose rouge
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