La bombe du nouvel an

- Par l'auteur HDS Labruyère -
Récit érotique écrit par Labruyère [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La bombe du nouvel an Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La bombe du nouvel an
Dance - party - blowjob - anal

Ce nouvel an, comme chaque année, nous nous retrouvons entre amis de longue date afin de fêter l’évènement. Nous sommes le même petit groupe de fidèles auxquels s’ajoutent parfois des connaissances des uns et des autres. 
Il est 20 heures et les convives commencent à arriver au compte-gouttes. 
L’ambiance est feutrée, les hommes sont élégants et les femmes sensuelles. Les chemises et les chaussures en cuirs cirés répondent aux décolletés et aux jupes courtes. Chacun s’intéresse poliment à l’autre, assis dans les fauteuils, ou debout, près du buffet. 
Moi, je parle à mon vieil ami et à sa compagne en buvant du champagne. Notre discussion est assez animée, nous rions bien et nous buvons vite. 
Comme souvent en soirée, je suis l’un des premiers à m’enivrer, et comme souvent, je suis épris d’une forme de solidarité qui me pousse à aider les autres à me rejoindre sur cette voie escarpée qu’on appelle la biture. 
Épaulé par mon fidèle camarade, je décide donc d’organiser un jeu d’alcool. 
Nous y avons certes joué un grand nombre de fois, mais lancés au bon moment, ils restent toujours un moyen d’entamer la soirée.
Tous acceptent de participer et nous nous retrouvons autour de la table basse du salon, nos verres pleins, prêts à laisser derrière nous notre apparente bienséance. 
Je dispose face cachée des cartes sur la table de façon à former une pyramide et distribue trois cartes à chacun. Il s’agit de donner à boire aux autres lorsque l’on trouve un équivalent de la valeur de nos cartes sur la table. Ce qui est intéressant, c’est que l’on peut mentir et faire croire que nous disposons de la bonne carte, quand en réalité il n’en est rien. Ainsi, le joueur visé peut ou gober le mensonge ou le confondre, se risquant en cas d’échec à boire davantage, évidemment. 
Le jeu commence et je suis déjà exalté. J’anime, je provoque et l’assemblée commence à se laisser convaincre par les bienfaits d’un tel passe-temps. 
Les uns lancent « tu bois » et les autres doutent, boivent ou ripostent en lançant férocement « menteur ! ». 
Les verres et les tours s’enchaînent et une fille commence à retenir mon attention. Elle m’attaque coup sur coup, je suis le destinataire de quasiment tous ses assauts. C’est la première fois que je la rencontre. Je l’avais trouvée belle lorsque nous nous étions salués en début de soirée, mais là, je commençais à la trouver séduisante. Elle a un regard de braise, des yeux de chattes en amande, un minois de poupée, et un décolleté qui m’échauffe à chaque fois qu’elle se penche sur la table pour déposer une carte.
Je bois beaucoup, elle aussi, et considérant à sa juste valeur l’expression « qui aime bien, châtie bien », je suis à présent convaincu que je lui plais. 
Le jeu se termine, on augmente le son de la musique, et je me retrouve au bar devant les innombrables bouteilles d’alcool à parler à cette inconnue. 
Passées les premières banalités à évoquer nos métiers respectifs et les grandes lignes de nos états civils, nous évoquons rapidement les déboires de nos vies amoureuses.
Je lui explique que je suis célibataire depuis plus d’un an et que jusqu’ici, je n’ai eu que de brèves histoires, plus insatisfaisantes les unes des autres. 
Elle aussi est célibataire, mais semble profiter davantage de sa liberté. Elle me raconte qu’elle a couché avec une fille et qu’elle a adoré, et qu’elle a des partenaires réguliers avec qui elle vit des expériences « assez intenses », dit-elle. 
Sa sexualité dévoilée à demi-mot, je commence à sentir une forme d’excitation voyeuriste monter en moi. Je veux en savoir plus, je veux connaître des détails, je veux qu’elle s’expose et qu’elle me raconte ce qu’elle fait et ce qu’on lui fait. 
Visiblement aussi excitée à l’idée de s’exhiber, elle commence à répondre à mes questions. 
« Qu’est-ce que tu entends par partenaires réguliers ? » 
« Disons que j’aime changer d’hommes, mais ils ne sont pas forcément tous à la hauteur, alors j’ai sélectionné les meilleurs avec qui je couche le plus souvent. » 
« En quoi sont-ils meilleurs que les autres ? »
« Ils n’ont pas froid aux yeux. Ça reste entre nous, mais j’aime quand c’est un peu brutal, quand il y a de la domination ».
J’ai soudain de brèves images d’elle dans cette posture qui m’apparaissent.
« Et tu trouves de bons partenaires avec qui tu peux en profiter ? »
« J’ai trouvé de bons coups, oui, mais ce n’est jamais aussi satisfaisant que quand ils sont plusieurs… ».
Mon cœur s’emballe, je n’entends plus la musique, je ne vois plus les autres, je la vois, elle, devant moi, habillée et complètement nue à la fois. Je n’arrive quasiment plus à parler, elle sait l’effet que ça me fait. Elle sourit en me fixant et boit une gorgée de son verre encore à moitié plein. 
À ce moment, un ami me tape sur l’épaule et me sort de cette délicieuse emprise où je me serai bien laissé enfermé pour toujours. 
« Ça va ? Vous venez danser un peu ? ! » 
Nous nous joignons à la poignée d’invités qui a commencé à se déhancher sur les dernières musiques tendances. Je suis à côté de mes amis, mais je ne pense qu’à elle et je ne vois qu’elle. Elle bouge bien. Son corps souple ondule au grès des différents rythmes et je commence à découvrir ses formes. Elle est assez petite, mince avec une taille marquée et des fesses rebondies. Cette fille c’est un concentré de sensualité et d’érotisme. 
Nous ne nous étions plus regardés le temps d’une musique pour donner le change aux autres, afin qu’ils ne pensent pas qu’on les ait oubliés totalement. Des apparences ! Mon esprit est collé à ses reins, il épouse chacun des mouvements de son corps qui y laisse une marque indélébile.
La prochaine musique a un style latino, c’est l’occasion pour moi de me rapprocher d’elle. En temps normal, j’aurais hésité, mais la passion et l’alcool aidant, j’arrive très vite à sa hauteur. Son corps ondoie dans la lumière multicolore des projecteurs. Doucement mais surement, elle se rapproche à son tour de moi. Je pose mes mains sur sa taille et la magie opère.
Elle se colle à moi et bouge plus follement encore. Je sens son entrejambe sur ma cuisse qui s’appuie nettement et fait des vas et viens. Une chaleur m’envahit et de nouveau, plus rien d’autre qu’elle n’a d’importance. Je sens l’excitation qui monte de mon bas ventre et qui arrive en bourdonnant à mes oreilles. 
Elle se tourne maintenant et me présente ses fesses et ses cheveux qui sentent les fruits sucrés et le musc blanc. L’envoutement a un corps et une odeur. 
Je sens mon membre durcir. Tout en se déhanchant, elle se colle à moi et mon sexe se loge entre ses fesses et le bas de son dos.
Je sais qu’elle le sent, et cela semble l’exciter encore plus. Elle devient plus pressante, et ses mouvements sont plus appuyés. Elle se cambre pendant que je glisse mes mains autour de sa taille. Je sens le relief de sa lingerie au bout de mes doigts et la chaleur de son cul sur mon membre.
Elle se frotte encore et encore jusqu’à ce que nous arrivions à la fin de la musique. 
Elle fait volte-face avec la grâce d’une danseuse de salsa, s’arrête devant moi, pose sa main sur mon torse, rapproche sa bouche de mon oreille et me dit : « Dans dix minutes, je serai dans la chambre du fond au premier étage ». 
Transit d’excitation, j’acquiesce de la tête en plantant mon regard plein de désir dans le sien.
Elle s’éloigne à pas de velours en direction de la cuisine. 
Je me serre un verre et accoudé au bar, je fais mine de regarder ceux qui dansent. En réalité, je ne vois que des formes sans vie qui bougent. J’ai la tête dans cette chambre depuis un moment déjà. 
Je fais mine d’aller fumer afin de prendre l’air et retrouver mes esprits. Je suis agité, impatient, je fais des allers-retours sur la terrasse, mais j’ai été sage, dix minutes se sont écoulées.
J’entre dans la maison et je monte les escaliers. Personne ne semble m’avoir vu. Je parcours le couloir jusqu’à arriver devant la porte de la chambre. J’entends mon cœur battre dans mes tempes. J’ouvre doucement la porte et je découvre sous une lumière tamisée ma nymphe en lingerie fine sur le lit qui m’attend. Elle est sur le ventre, son bras soutient délicatement sa tête et elle croise ses jambes. 
Son tanga blanc et les jeux d’ombres font ressortir le galbe de ses fesses. C’est une vision absolue. Toujours avec son regard de braise et son sourire coquin, elle me fait signe d’approcher. 
Je veux me mettre sur le lit avec elle, mais elle m’arrête doucement en posant sa main sur ma cuisse. Elle me regarde chaudement et me dit : « Tu es ponctuelle. Tu es sage, c’est bien. »
Sa phrase à peine finie, elle se positionne à quatre pattes et commence à déboucler lentement ma ceinture. 
« Tu aimes ce que tu vois ? »
« Oui », répondis-je simplement, étranglé par le désir. 
« C’est bien. Décidément, tu réponds correctement à mes questions et à mes attentes. Il y a une dernière question que je me pose à présent… » 
Sans ajouter un mot, elle déboutonne adroitement mon pantalon, ouvre la fermeture éclair et plonge sa main dans mon caleçon. Je ressens soudain un déluge de sensations.
« Oh très bien… ! » dit-elle.
Elle sort mon sexe et tout en me branlant doucement ajoute : « Parfait… ». 
Elle commence à embrasser doucement mon gland et à s’en délecter avec des petits coups de langue. 
J’éprouve une sensation de chaleur. Elle vient de prendre complètement en bouche mon membre et le suce délicatement. Pendant ses allers et venus, elle me fixe comme une chienne en manque. 
Sa technique est très aboutie, elle a de l’expérience, et l’excitation augmente encore jusqu’à avoir envie de lui faire mal. 
Je lui prends les fesses à pleine main pendant qu’elle me suce et palpe avec avidité leur arrondi.
Mes doigts glissent entre ses jambes, puis sous sa culotte et rencontrent sa chatte trempée. 
Elle est prête. Je la prend par le bras, la remonte jusqu’au coussin du lit et tout en m’installant à côté d’elle, je retire son tanga. 
« Mon élève aurait-il envie de baiser la maîtresse ? »
« Oui, madame », lui répondis-je. 
En cuillère, je la tiens par la hanche d’une main et de l’autre, j’oriente mon sexe pour le faire rentrer dans sa chatte. 
Sa cyprine facilite la pénétration, mais elle reste assez serrée. Je pousse doucement, elle gémit. Je parviens à me frayer un chemin jusqu’à toucher le fond. Sa chatte est incroyablement bonne. Elle crie. 
Doucement d’abord, puis de plus en plus rapidement, je fais des vas et viens. L’excitation l’a fait se cambrer. Je prends ses fesses à pleines mains, je la baise. 
Je sens que je pourrai venir en elle, mais je veux que ce moment dure toute la vie, alors je ralentis le rythme un instant. 
« On dirait que tu es prêt pour la prochaine étape. » dit-elle haletante. 
Je ne comprends pas vraiment de quoi elle veut parler. Notre rapport me semble déjà suffisamment abouti.
Elle sort mon sexe luisant de sa chatte, et d’une main adroite le dirige sur son anus. 
Cette fille n’a pas de limite, pensais-je en moi. Je ne croyais pas que mon désir pouvait être encore plus ardent. 
Je pousse dans un premier temps, mais sans succès. Elle crache dans sa main, je me retire un peu et elle se doigte l’anus après se l’être humidifié. Elle reprend rapidement mon membre et le repositionne. Cette fois, c’est elle qui pousse en arrière par petite impulsion.
C’est très serré, mais le bout de mon gland semble passé. Nous répétons l’action et je m’enfonce toujours plus à chaque fois. Lorsque la première partie de mon sexe est entrée, je glisse plus facilement jusqu’à la pénétrer totalement. Gémissant un peu plus à chaque pression, elle se saisit soudain du coussin et hurle dedans quand la pénétration s’accélère. 
Je commence d’amples allers-retours dans son cul, je suis dans un état d’excitation second. J’ai l’impression de la posséder complètement. 
À présent, elle se touche pendant que je coulisse en elle et rapidement, elle jouit dans un tremblement convulsif de tout son corps. Cramponné au coussin, elle hurle de plaisir. 
J’accélère à mesure que son orgasme la submerge. J’ai envie de lui remplir le cul. 
Peu après que son corps se soit relâché, je retire presque entièrement mon sexe, ne laissant plus que mon gland en elle, et brûlé par l’excitation, je finis par jouir juste à l’entrée de son anus. 
J’ai la sensation de me vider entièrement, et vu la quantité de sperme qui coule à présent de son entrejambe, je crois que ce n’était pas complètement faux. 
La tempête est passée à présent. Je n’entends plus que nos souffles précipités, et mon cœur qui bat dans mes tempes. 
Elle se met sur le dos, glisse sa main sous mon visage et, avec son regard si intense, dont elle seule semble avoir le secret, elle me dit : « On dirait qu’il t’as plu le cul de la maîtresse… »
Je souris et finis par l’embrasser entre deux respirations puissantes. 


La suite des nouvelles sont disponibles sur Kindle dans le recueil « Ça va vous arriver »!! Au menu, Culottes mouillées et caleçons déformés.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle écriture et texte très excitant...
Merci Labruyère...

Cyrille



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