La bonne copine.

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : La bonne copine. Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La bonne copine.
Je suis tranquillement en train de déjeuner dans mon bureau, comme je le fais souvent le midi, quand j’entends qu’on frappe à la porte. Dans un autre temps je n’aurais pas répondu pas, mais depuis quelques temps, Claire me rendait des petites visites. Malgré, qu’elle m’est prévenue que lorsque ses enfants étaient en vacance scolaire, elle préférait rester avec elles. Ce qui est le cas en ce moment.
Mais pourquoi pas, une petite entrave à la règne. Juste le temps pour se faire lécher la chatte. Une caresse qu’elle raffole, et dont son mari n’est pas capable de lui fournir. A cette pensée je me décide d’aller ouvrir et là, en faisant pivoter la porte sur ses gonds, je tombe nez à nez avec Valérie. La bonne copine de Claire. Sans que je l’invite à entrée la voilà qu’elle force le passage et s’engouffre dans mon bureau.
-J’ai à te parler. Me lance-t-elle sèchement.
-Et cela ne peut pas attendre un autre moment ? Fais je en fermant la porte.
-Il faut battre le fer comme il est chaud ! Est sa réponse.
Elle n’est pas du genre amical, Valérie. Enfin avec ma personne. Je fais les quelques pas pour m’approcher d’elle et lâche :
-Je te sers quelque chose ?
-Non merci, répond-t-elle, d’un ton austère.
-Je t’écoute alors.
-Tu vois encore Claire ?
Malgré tout, j’ai un faible pour sa bouche, son maquillage une vraie bouche en cœur qui donne un air juvénile à son visage austère. Comme je me mets à m’imagine qu’elle renferme plus bas une chatte juteuse, bien parfumée, et d’un trou du cul bien moite. Je me vois bien faire des saletés avec elle.
-Oui ça m’arrive… je lâche.
-Et bien il faut arrêter les conneries.
-C’est à elle qui faut lui dire, cela. ce n’est elle qui vient me voir !
-Et bien ne lui répond pas. Elle est marié et mère, si tu ne le sais pas.
-Je suis parfaitement au courant de tout cela, Valérie.
-Alors pourquoi persisté à la voir.
-Je ne la force nullement. Elle vint de son propre gré, chercher ce qu’elle n’a pas chez elle.
-C’est ça ! Je vais te croire !
-Ce que tu crois ou pas je m’en contre fou si tu veux le savoir. Et si elle vient me voir c’est qu’elle en a un grand besoin.
-Ah oui, et de quel besoin a-t-elle, la pauvre choute ?
-Ce n’est pas ma faute si son mari ne lui offre pas de jouissance.
-Comment ça ?
-Tu veux vraiment tout savoir !
-Je t’écoute.
-Comme tu veux. Comme tu sais elle n’a jusqu’alors jamais trompé son mari alors, que lui, il ne répondait qu’imparfaitement à sa soif sexuelle. Pourtant elle s’est souvent pourtant pliée aux fantaisies de monsieur, sans résultat.
La Valérie reste la bouche ouverte, sous le choc de ma franchise.
-Et c’est pour cela qu’elle me rend des visites. Pour le plaisir de jouir. Une fois son orgasme consumée elle repart comme elle est venue.
-Rien de plus ?
-Je te sens bien curieuse, là ! Seulement pour une copine. J’ai l’impression d’avoir le mari en face de moi, curieux de savoir ma relation avec sa femme !
D’un coup, je ne sais pourquoi, l’envie d’être sale me submerge, au point de lui sortir :
-Et bien si tu veux le savoir, il lui arrive qu’elle me branle jusqu’à la jouissance.
C’est bien sûr un gros mensonge, mais ça elle ne peut pas de savoir.
-Non… ! Fit-elle choquée, par ce qu’elle vient d’apprendre. Je ne l’aurais cru capable de chose pareille !
-Comme quoi on ne connait toujours pas bien ses amies. Et j’avoue, de toi à moi, qu’elle est du genre douée.
-J’ai vraiment du mal à croire ça d’elle. Elle cache bien son jeu !
-Et pourtant c’est bien la réalité. Cela fait longtemps qu’elle et toi êtes copine.
-Pas mal d’années, oui… pourquoi cette question ?
-Vous n’avez jamais poussé votre amitié plus loin ?
-C’est-à-dire ? J’ai du mal à te suivre là ?
-C’est pourtant simple, as-tu eus des relations sexuelles avec ta copine.
-Mais ça ne va pas… s’offusque-t-elle, comment peut-on pensé à une chose pareille.
-Ça se fait !
-Oui peut-être, mais…mais pas nous…
Très vite ma vue se brouille et mon esprit vagabonde dans des souvenirs érotiques de jadis.
-Puisque que nous sommes dans les confidences sache que moi lorsque j’étais ado, j’avais un bon copain Manu. Pas avare à feuilleté des livres de cul. Heureusement pour moi mon frère en posséder une bonne collection. Et un jour, je lui aie proposé un livre contre un slip portée de sa mère...
-Un slip de sa mère, me coupe-t-elle, pourquoi faire ?
-Attends la suite. Dans un premier temps il a tiqué. Mais comme je ne lui emmené plus de livre il s’est senti obligé de s’exécuter. Je t’avoue que sa mère était bandante. Une belle portugaise aux cheveux ondulés et au corps de rêve. Souvent son image m’a servi d’héroïne à mes caresses solitaires. Si tu vois la chose ?
-Pas du tout…
-Ça ne t’arrive jamais de te caresser en pensant à un copain de tes parents, à un collègue, aux pères de tes connaissances… voir de moi !
- Jamais, me fit-elle sèchement. Je ne suis pas de ce genre là, ajoute-t-elle. Et alors le slip tu la eus ? Changeant de sujet.
Pauvre fille ! Pensais-je.
-Et bien je suis arrivé à mes fins, et ce slip je l’es eu en main. Je l’es même humer devant mon copain. Une multitude d’odeur toutes aussi alléchante les unes des autres. Résultat avec tout ça, je bande, oui je bande très dur.
-Passe-moi les détails, veux tu ? Lâche Valérie.
-Je veux seulement que tu imagines le tableau.
-Oui, et bien sache que je m’en passe !
-Tu veux entendre la suite ?
-Au point où j’en suis, poursuis.
-Tu vois que ça t’intéresse mes histoires.
-J’ai du temps à perdre !
-Et bien pour te la faire court, on s’est retrouvé les jours suivants avec chacun dans la bouche la queue de l’autre.
-Mais c’est répugnant !
-Peut-être dans la théorie, pas dans la pratique ! Je suis du genre très curieux si tu veux savoir !
- Et c’est tout ? Me fit-elle.
-Pas du tout, mais je ne sais pas si je dois, la suite est plutôt hard !
-Je suis prête à tout entendre !
-Et au fil des séances, voilà que le coquin m’ordonne de lui doigté l’oignon.
-L’oignon ?
-Le trou du cul si tu préfères. Je mouille l’index de ma salive et exécute le souhait de mon pote. Et tout en lui branlant le cul, je lui taille une pipe. Très vite il pousse un cri et m’arrose le palais de longues giclées laiteuses. A chaque spasme, la queue de trémousse. Là je me redresse, et poussé d’une drôle de folie je lui enfonce ma queue dans le cul.
-Putain quel porc tu es ! Réagit Valérie…
-Plus tu es cochon, plus, tes partenaires adorent ! Tu comprends pourquoi ta copine vient me voir. Elle aime, elle aussi les cochons.
-Je vois ça…
-Elle ne te la pas dit ?
-Ce n’est pas une chose qui ce dit, ça.
-Même à sa meilleure copine, comme tu crois l’être ! Alors, si je comprends bien, ton amie te cache qu’elle aime quand je lui bouffe le cul…
-Arrête… je ne veux plus rien entendre, de tes cochonneries.
-Pourquoi ? Tu n’es pas venu pour cela ? Sale ou pas sale, c’est loin d’être la question que je me pose qu’on je suis en face de ma partenaire. Seul lui offrir une source de plaisir m’intéresse. J’aime les entendre prendre leur pied grâce à moi. Rien ne m’arrête, même pas d’entendre sortir de leurs bouches qu’elle ont peur de ne pas sentir bon, ou, que c’est sale, ou alors, à cause de mes sécrétions, je suis toute contractée, ou bien, j’ai honte de cette partie de mes organes génitaux et je ne veux la montrer à personne. Ce souci de propreté, cette crainte des odeurs sont que des éléments d’un problème beaucoup plus général. Et chez moi, plus c’est sale plus j’aime. Tiens d’ailleurs je ne serais pas contre de tenir en main la culotte que tu portes, là, tout de suite.
-Tu peux toujours rêver, pervers ! Me lâche-t-elle.
Je persiste, juste pour la faire sortir de ses retranchements. Je vais jusqu’au chantage.
-Aller Valérie, tu me donne ta culotte et j’envois promener ta copine.
-J’ai dis non !
-Réfléchis bien. Fais au moins ça pour ta copine. C’est bien le but de ta présence parmi moi, non ?
Elle met un certain temps de réflexion avant de lâcher :
-Où je peux aller pour j’enlevais ?
-Pourquoi pas ici ? Tu n’aies pas bien là ?
-Devant un pervers, pas question…
-Tu l’auras voulu ! Je te préviens que je vais exceptionnellement au courant de l’après-midi téléphoner à ta copine pour lui donner un rendez-vous.
-Tu ne vas pas faire ça ?
-Je vais me gêner !
Là j’aperçois Valérie enfuir ses mains sous sa longue jupe. Tirant jusqu’à ses chevilles collant et slip. Elle déchausse son pied droit. Se débarrasse du collant qui gaine son pied. Se rechausse l’instant d’après, et effectue la même opération avec son pied gauche. Je profite de sa déficience pour lui arracher de sa main collant et slip. Mettant le slip de côté pour m’intéresse au collant. Je colle le nylon encore tiède à mon nez, là-même où le pied a macéré jusqu’à présent. Le parfum est des plus alléchant. Comme je les aime. D’ailleurs je ne me prive pas de le lui faire savoir.
-Tu es vraiment détraqué, mon pauvre… me répond-t-elle. Bon dépêche-toi de faire ce que tu dois faire, et rend-moi mes sous-vêtements.
-Mais tu n’as rien compris. Ils sont à présents à moi, tu me les a donné.
-Je ne t’es rien donné du tout. C’était juste pour…enfin… et merde je fais comment, moi ?
-C’est-à-dire ?
-Et bien, hurle-t-elle pour sortir d’ici, merde.
-Tu veux dire cul nu ?
-Oui si tu veux…bien oui…
-Si tu ne le dis à personne, personne ne s’en rendra compte, surtout sous ta grande jupe.
Je m’amuse de sa honte. Prise de colère, la voilà qu’elle se lève et se dirige en direction de la porte d’entrée. Mais elle reste immobile devant cette dernière. Il m’est alors impossible de résister à la pulsion. Surtout que je remarque qu’elle ne fait pas vraiment d’efforts pour se dérober. Je quitte ma place et va jusqu’à elle. Je prends même l’initiative de palper son bas-ventre à travers la jupe.
-Mais !
-Tu peux peut-être m’expliquer pourquoi ta culotte est toute mouillée.
Valérie tremble de tous ses membres.
-C’est peut-être notre discussion ? Où alors le fait d’être avec moi ? Elle reste figée alors que je commence à la trousser.
-Tu ne réponds pas ?
Avec un rire de triomphe, je glisse ma main entre ses cuisses alors que Valérie balbutie.
- Je t’en prie !
-Aller, laisse-toi faire ! Tu vas voir, tu ne va le regretter crois-moi !
Je parle d’une voix douce, rassurante. Mes doigts jouent avec sa toison. Très abondante ! Valérie, la respiration saccadée, écarte les cuisses. Je comprends là, que j’ai gagné. Surtout qu’elle se laisse aller contre ma main. Je l’attrape par la main. Elle proteste d’une voix faible. Mais je l’attire jusqu’au divan.
Très vite nos lèvres se joignent et notre baiser se prolonge jusqu’à ce que, le souffle coupé, nous pouvons faire autrement que de nous séparé. Je m’installe devant ses jambes. Elle comprend tout de suite où je veux arriver. Elle s’oppose d’une voix faible, qu’elle n’est pas pour, mais à genoux devant elle, je lui soulève les jambes pour les placer sur mes épaules.
Je me redresse et voilà que la copine se retrouve pliée en deux sur le canapé. Elle crie quand je mordille la chair tendre de l’intérieur de ses cuisses.
-Je ne sais pas si c’est bien…Me lâche-t-elle.
-Tu préfères peut-être que je le fasse avec ta copine ?
-Non… Pas question !
-Alors, tu sais ce qui te reste à faire !
Pour toute réponse, je colle ma bouche comme une ventouse sur son sexe, au niveau de son bouton. Valérie crie et bat des jambes. Les talons frappent mon dos. Je l’immobilise en lui prenant les chevilles. En un tour de man, je la dépouille de ses escarpins, et fait roulé sa jupe jusqu’à la taille. Valérie est quasiment nue, sous la ceinture.
Je mordille la fente juteuse. Et tout de suite la plainte stridente de Valérie résonne dans toute la pièce. D’un coup de reins brutal, elle se dégage, mais je m’agrippe à ses genoux et la tire à moi. Nous nous retrouvons allongés tête-bêche sur le divan. Plus avertie, je réussis à prendre le dessus. La vulve bée comme une plaie au milieu des poils que la mouille a collés en petites mèches hirsutes. Le clitoris gonflé darde et chaque secousse expulse un jet de mouille du vagin largement ouvert.
La promiscuité et l’odeur de ce sexe achèvent de me faire perdre la tête. Je donne un coup de langue sur le bouton dressé avant de le pincer entre mes lèvres et de l’étirer. Sous moi, Valérie crie et faillit me désarçonner en gigotant. Je l’agrippe fermement aux hanches pour la maintenir sur les coussins. Et je me mets à fourrager de nouveau dans sa toison, écartant, lissant, puis fouillant, m’introduisant entre ses lèvres, débusquant son clitoris que je caresse furtivement. Valérie gémit :
-J’ai peur.
Je la rassure, reprenant mon exploration avec deux doigts, maintenant. Un sur son clitoris et l’autre l’insinuant en elle. Ressortant, pour mieux y revenir de plus en plus profondément et de manière plus appuyée, tant et si bien qu’elle finit par souffler :
-Qu’est-ce que tu fais ? Feignant de s’offusquer mais appréciant manifestement le contact de mes doigts.
Mes caresses se font de plus en plus précises. Entrant et sortant mon index de son sexe, maintenant totalement offert. Et roulant son clitoris avec une douceur qui lui provoque des gémissements. Ma langue vient remplacer le doigt ce qui provoque quasi instantanément une fulgurante jouissance accompagnée de petits cris qu’elle tentait jusqu’à présent de maîtriser.
-Tu peux me bouffer la queue si cela te dit…
D’une voix étouffée, Valérie proteste qu’elle ne fait jamais ça, mais ondulant comme une chatte, je frotte mon sexe bandée sous mon pantalon sur elle.
-Fais-moi une pipe !
Je sens qu’elle fait descendre ma braguette et sort ma queue pas sans mal de son nid, tant elle bande bien. Je sens une langue sur le gland. Valérie n’a certes aucune expérience, mais sa fougue compense son manque d’habilité.
Elle trouve vite ce que j’aime. Nous nous suçons agrippés l’un à l’autre. La jouissance nous fait pousser des gémissements.
Haletants, nous nous redressons et on se contemple. Je retrouve le premier mon souffle et j’éclate de rire :
-Tu étais chaude comme une braise ! J’ai du mal à croire que tu n’vais pas envie !
Valérie baisse le nez d’un air penaud.
-Je t’en prie, ne le dis à personne… c’était un moment de pure folie.
Je la fais taire d’un baiser sur la bouche.
-Ce sera un secret entre nous… !
Gênée elle se rajuste avec des gestes lents. Jugeant sa culotte trop humide, elle ne la remet pas. Elle se recoiffe, rechausse ses escarpins, et disparait de ma vue, avalée par la rue.
Le lendemain j’entends toquer à la porte. J’ouvre la porte et là surprise, Valérie.
-Je te l’avais dis…

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