LA BONNE DU CURE (3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LA BONNE DU CURE (3)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Lorsque nous reprenons le car, je vois Berthe, la responsable, celle qui m’a repéré hier au soir dans ma vitrine, me regarde avec insistance. Je passe sans lui porter la moindre attention. J’ai remis mes vêtements habituels afin d’éviter la provocation.
Lorsque je passe à côté d’Alain, je le titille gentiment.
• Vous avez passé une bonne soirée.
Adeline, la maman de Léa, regarde son homme avec les yeux remplis d’amour.
• Votre homme a l’air d’être à la hauteur, j’ai l’impression qu’il vous a bien comblée cette nuit à la façon dont vous le regardez.
Sa seule réponse est un sourire vers moi et une main qu’elle promène sur sa poitrine.
Léa a encore frappé même si elle est déjà au fond du car, il y a quelques jours mon rôle de bonne de notre curé m’aurait interdit de proférer de tels mots envers l’une de nos paroissiennes.
Comment ai-je eu l’impudeur de parler de chose si intime à sa maman !
Je m’installe près de mon amie et nous partons vers Rouen.
Pour être le plat pays, c’est bien le plat pays.
Nous passons à Gand à cent mètres du bordel où Léa m’a fait perdre mon pucelage et surtout ma candeur.
Le midi, nous mangeons avec le groupe. Berthe me regarde, semble vouloir me parler et au dernier moment se détourne.
Il est dommage que cette femme moins vieille que son tailleur noir semble le monter se soit retranchée dans une solitude presque mystique à la suite de la mort de son mari.
Repas terminé, je retrouve l’arrière du bus.
Aussitôt installé, je tiens à avoir une réponse que je me pose depuis hier.
• Léa, comment as-tu connu tous ces endroits.
• Je suis contente que tu le demandes, je vais t’expliquer.
Au moment de l’adolescence, j’ai eu une période de rébellion avec mes parents. Tout était motif à conflit.
En juin un groupe de zonard est passé dans le village. Ils se sont arrêtés sur la place du village. Il y avait quatre garçons et deux filles.
Je traversais la place et j’allais à la pharmacie.
• Eh ! La pucelle vient nous voir, tu vas nous renseigner.
• Je me suis arrêté et j’ai écouté ce qu’ils voulaient.
• La route pour Rennes ?
• Vous prenez à droite après l’église.
• Tu viens avec nous.
Celui qui venait de parler était un garçon assez grand avec une barbe taillée en pointe et qui était habillé avec un pantalon trop grand et un marcel bleu.
En une minute, j’avais pris ma décision.
• D’accord, attendez-moi !
Je suis rapidement retourné chez moi et j’ai préparé mon sac à dos. Mes parents me faisaient pratiquer la marche. J’étais donc équipé surtout les chaussures.
Une lettre sur la table de la cuisine m’a suffi pour changer de vie.
J’ai rejoint le groupe qui était prêt à reprendre sa route.
Nous avons marché toute la journée. Le soir, une grange nous a protégés pour la nuit.
J’avais mon tapis de sol et le duvet que j’avais mis sous moi. Il faisait assez chaud.
Serge, le gars qui m’avait interpellé s’est installé près de moi. J’avais encore ma virginité, j’avais simplement l’habitude de me masturber.
Rapidement, il m’a mis sa main dans le pantalon et m’a mis deux doigts dans la chatte.
Il a dû sentir l’étroitesse de l’endroit et qu’aucun homme ne m’avait sauté, car il est devenu plus prévenant.
• Tu es pucelle.
• Oui !
• Tu veux que je t’enlève ton hymen.
• Viens !
Il est venu à mes pieds, a enlevé mes chaussures puis mon pantalon.
Il m’a arraché ma petite culotte et c’est couché sur moi.
Grâce à la lune, je voyais les deux autres filles avec les trois autres garçons.
Pour la première fois, je voyais une femme sucer un homme.
Mieux même, la deuxième était couchée sur un autre et le dernier s’occupait de son fondement.
Ils la prenaient à deux et les cris qu’elle poussait disaient le plaisir qu’elle prenait.
• Elle se faisait prendre par deux hommes.
• Oui, depuis je l’ai fait souvent et j’adore sentir deux bites labourer mes entrailles. Je te trouverais rapidement deux hommes, je te le promets !
J’aurais mieux fait de la fermer, elle va de nouveau maltraiter mon corps. Mais…
Pendant ce temps, Serge, arrive à son but, je sens, son sexe qui cherche ma fente et sans aucune précaution, il m’a défoncé la chatte. Le plus drôle c’est qu’alors que ce sexe me labourait, jamais je n’en avais vu.
Dans la nuit les trois autres garçons ont profité de ma naïveté et sont venus m’honorer chacun leur tour.
Certes, comparé à toi je suis loin de ton record pour une première fois, j’ai eu quatre bites dans ma vulve, alors que toi tu en as eu assouvi treize.
• Treize, ce chiffre va me porter chance.
Nous sommes montés jusqu’à Amsterdam. Nous prenions le train sans billet et deux fois sur trois, nous nous faisions jeter. Ils nous mettaient des amendes tout impayées, car les adresses que nous donnions étaient fausses.
Lorsque nous sommes arrivés, Serge connaissait un squat où nous pouvions loger et trouver où nous laver bien que la douche était froide.
Nous mettions tous en commun, les lits et le couvert.
Beaucoup étaient là pour la fumette.
J’ai essayé une seule fois, pendant deux jours, je me suis senti mourir, j’ai été vacciné.
C’est certainement ce qui m’a sauvé, car les deux autres filles accros aux drogues douces au départ ont sombré dans des produits durs qui les ont détruites. À la fin, je les voyais se piquer.
Lorsque je suis parti, elles vendaient leur corps pour quelques euros et acheter leurs doses.
Dans notre squat, nous baisions aussi bien avec des garçons et aussi des filles.
J’étais devenue experte en léchage de chatte.
La chance que j’aie eue lorsque j’ai quitté le groupe est d’être venue traîner vers les vitrines.
Je passais systématiquement devant l’une des filles qui m’avaient tapé dans l’œil.
C’était une belle-fille noire avec des yeux en amande émeraude. Je flachais sur eux chaque fois que nos regards se croisaient.
Elle m’a repérée aussi, le deuxième soir, elle a ouvert sa vitre et m’a fait signe d’entrer. Elle avait fini son service et après avoir récupéré ses gains, elle m’a entraîné chez elle.
Elle louait un studio dans une maison typique d’Amsterdam, peut large et très haute.
• Sais-tu pourquoi ces maisons sont construites comme cela ?
• Je donne ma langue à ta chatte !
• Pour payer moins d’impôts !
Plus la surface au sol est importante et plus les propriétaires payaient. Ils ont contourné le problème avec ce type de construction.
• Et qu’as-tu fait chez elle ?
• Pour commencer, j’ai appris qu’elle s’appelait Diarra et qu’elle venait du Sénégal.
Elle m’a douché et mis mes affaires à la poubelle, surtout à cause de l’odeur.
Après, elle m’a coiffé. C’était son métier de formation. Ma coupe actuelle est sa création. Nous nous sommes aimés comme des folles. Chaque fois qu’entre mes lèvres ses lèvres intimes s’ouvraient, son miel intérieur venait se distiller sur mes papilles.
Je peux t’assurer que je jamais ma bouche a sucé de chatte que dans nos moments d’intimité.
Justine passe ta main sur ma chatte à cette évocation, mon vagin dégouline.
Nous avons vécu deux mois idylliques, le soir, elle partait travailler dans sa vitrine. Lorsqu’elle m’a dit que ses réserves financières s’épuisaient, j’ai trouvé naturel un soir de venir gagner notre pitance. Elle avait prévu que j’accepterais me sachant très libre de mon corps le jour où elle m’a acheté la tenue que tu avais lors de ton dépucelage.
Je t’ai choisi cette tenue pour attirer la chance le soir où nous sommes allées toutes les deux, nous prostituer pour ta première fois.
• As pas eut peur de commencer dans cette vitrine.
• Je pense comme toi, franchir le pas avec une personne que l’on apprécie, est plus facile !
• Pas d’accord Léa, pas une personne que l’on apprécie, mais une personne que l’on aime.
Faisant attention qu’aucune des vieilles et ses parents ne nous remarques, elle me prend la bouche et rapidement me donne un baiser langoureux.
• J’ai travaillé plusieurs mois, j’ai amassé énormément d’argent. Un jour j’ai trouvé la chambre vide, plus aucune de ses affaires dans l’armoire. Elle est partie avec un Sénégalais qui l’avait remarqué. Elle a juste prévenu le patron à notre travail qu’ils retournaient dans son pays.
Depuis plus aucune nouvelle.
• Tu as continué dans la vitrine.
• Non, le bail du logement était à son nom et le propriétaire m’a viré.
• Qu’as-tu fait ?
• Une fille était venue manger chez nous un midi. Elle a parlé d’un bordel à Gand en Belgique tenu par un dénommé Tonio.
D’après ce qu’elle disait son club avait tellement bonne réputation qu’il était difficile de pouvoir y travailler. J’ai fait mon sac et j’ai pris un train pour cette ville que j’avais traversée en montant.
• Il t’a embauché.
• Je suis née sous une bonne étoile, lorsque je suis entré, Tonio était absent.
Il était parti deux jours pour ses affaires.
La femme qui gère le club en son absence avait un problème ce soir-là, une fille avait appelé, car elle était malade.
Lorsque je lui ai dit que je venais de travailler plusieurs mois dans les vitrines d’Amsterdam et que j’étais loin d’être une débutante, elle a décidé de me garder en attendant le patron.
Pendant ces deux jours, j’ai fait péter les compteurs, jamais aucune fille n’avait fait autant de passes.
À croire que les clients se donnaient le mot qu’une petite Française blonde travaillait dans le club.
Lorsque Tonio est arrivé, après avoir regardé mes performances, et après m’avoir testé comme il l’a fait pour toi, j’étais accepté définitivement.
J’ai tapiné six mois dans son club.
J’avais renoué des contacts téléphoniques avec mes parents. À la mort de ma grand-mère, il y a 8 mois, j’ai quitté Gand malgré les suppliques de Tonio pour revenir à Vannes.
J’avais assez d’argent et peu de frais, lorsque j’ai retrouvé ma chambre de jeunes filles.
Pour mes parents, j’avais travaillé à Gand dans une boutique de chaussures.
Il y a deux mois, ils ont voulu que je vienne faire ce voyage jusqu’à Amsterdam. Il m’était difficile de refuser sans éveiller des soupçons.
J’ai bien fait d’accepter, je t’ai rencontré. Dans quelques jours, je te proposerais, une chose qu’il te sera impossible de refuser.
Que va-t-il m’arriver ?
• Léa, tu es bien gentille, je t’aime.
Que vas-tu faire de moi, lorsque nous sommes parties de Vannes, j’étais la bonne de notre curé et que j’habitais au presbytère ?
Le soir à Rouen, nous n’avons pris aucun risque et nous avons passé une soirée tranquille avec Berthe et ses amis.
La conversation était passionnante, elles refaisaient tout le voyage. Elles s’émerveillaient des beautés des champs de tulipes et surtout elles avaient été impressionnées par les moulins anciens et les champs éoliens que l’on a vus tout le long du trajet.
J’avais envie d’ajouter « nous avons aimé les putes qui travaillent dans les vitrines que nous sommes venues mater ou peut-être enviez, nous qui avons perdu l’habitude de nous faire baiser par le sexe des hommes. »
Pendant tout le temps du repas, j’ai senti Berthe mal à l’aise lorsqu’elle me regardait.
Vus de prêt, à bien la regarder, un peu arrangé, le chignon retiré, lunettes enlevées ou moins conventionnelles, elle pourrait reprendre dut servir sur un sexe de garçon au lieu de se dessécher comme un pruneau en pleurant celui qu’elle a beaucoup aimé et qui là quitter.
Le lendemain, nous sommes revenues dans le village, où de nombreuses personnes nous attendaient.
Je laisse Léa partir avec ses parents. Il est prévu de nous voir dès le lendemain, elle sait que j’attends des explications sur ce qu’elle a dit dans le car et pour prendre des décisions sur le paquet d’euros que nous ramenons.
Lorsque nous reprenons le car, je vois Berthe, la responsable, celle qui m’a repéré hier au soir dans ma vitrine, me regarde avec insistance. Je passe sans lui porter la moindre attention. J’ai remis mes vêtements habituels afin d’éviter la provocation.
Lorsque je passe à côté d’Alain, je le titille gentiment.
• Vous avez passé une bonne soirée.
Adeline, la maman de Léa, regarde son homme avec les yeux remplis d’amour.
• Votre homme a l’air d’être à la hauteur, j’ai l’impression qu’il vous a bien comblée cette nuit à la façon dont vous le regardez.
Sa seule réponse est un sourire vers moi et une main qu’elle promène sur sa poitrine.
Léa a encore frappé même si elle est déjà au fond du car, il y a quelques jours mon rôle de bonne de notre curé m’aurait interdit de proférer de tels mots envers l’une de nos paroissiennes.
Comment ai-je eu l’impudeur de parler de chose si intime à sa maman !
Je m’installe près de mon amie et nous partons vers Rouen.
Pour être le plat pays, c’est bien le plat pays.
Nous passons à Gand à cent mètres du bordel où Léa m’a fait perdre mon pucelage et surtout ma candeur.
Le midi, nous mangeons avec le groupe. Berthe me regarde, semble vouloir me parler et au dernier moment se détourne.
Il est dommage que cette femme moins vieille que son tailleur noir semble le monter se soit retranchée dans une solitude presque mystique à la suite de la mort de son mari.
Repas terminé, je retrouve l’arrière du bus.
Aussitôt installé, je tiens à avoir une réponse que je me pose depuis hier.
• Léa, comment as-tu connu tous ces endroits.
• Je suis contente que tu le demandes, je vais t’expliquer.
Au moment de l’adolescence, j’ai eu une période de rébellion avec mes parents. Tout était motif à conflit.
En juin un groupe de zonard est passé dans le village. Ils se sont arrêtés sur la place du village. Il y avait quatre garçons et deux filles.
Je traversais la place et j’allais à la pharmacie.
• Eh ! La pucelle vient nous voir, tu vas nous renseigner.
• Je me suis arrêté et j’ai écouté ce qu’ils voulaient.
• La route pour Rennes ?
• Vous prenez à droite après l’église.
• Tu viens avec nous.
Celui qui venait de parler était un garçon assez grand avec une barbe taillée en pointe et qui était habillé avec un pantalon trop grand et un marcel bleu.
En une minute, j’avais pris ma décision.
• D’accord, attendez-moi !
Je suis rapidement retourné chez moi et j’ai préparé mon sac à dos. Mes parents me faisaient pratiquer la marche. J’étais donc équipé surtout les chaussures.
Une lettre sur la table de la cuisine m’a suffi pour changer de vie.
J’ai rejoint le groupe qui était prêt à reprendre sa route.
Nous avons marché toute la journée. Le soir, une grange nous a protégés pour la nuit.
J’avais mon tapis de sol et le duvet que j’avais mis sous moi. Il faisait assez chaud.
Serge, le gars qui m’avait interpellé s’est installé près de moi. J’avais encore ma virginité, j’avais simplement l’habitude de me masturber.
Rapidement, il m’a mis sa main dans le pantalon et m’a mis deux doigts dans la chatte.
Il a dû sentir l’étroitesse de l’endroit et qu’aucun homme ne m’avait sauté, car il est devenu plus prévenant.
• Tu es pucelle.
• Oui !
• Tu veux que je t’enlève ton hymen.
• Viens !
Il est venu à mes pieds, a enlevé mes chaussures puis mon pantalon.
Il m’a arraché ma petite culotte et c’est couché sur moi.
Grâce à la lune, je voyais les deux autres filles avec les trois autres garçons.
Pour la première fois, je voyais une femme sucer un homme.
Mieux même, la deuxième était couchée sur un autre et le dernier s’occupait de son fondement.
Ils la prenaient à deux et les cris qu’elle poussait disaient le plaisir qu’elle prenait.
• Elle se faisait prendre par deux hommes.
• Oui, depuis je l’ai fait souvent et j’adore sentir deux bites labourer mes entrailles. Je te trouverais rapidement deux hommes, je te le promets !
J’aurais mieux fait de la fermer, elle va de nouveau maltraiter mon corps. Mais…
Pendant ce temps, Serge, arrive à son but, je sens, son sexe qui cherche ma fente et sans aucune précaution, il m’a défoncé la chatte. Le plus drôle c’est qu’alors que ce sexe me labourait, jamais je n’en avais vu.
Dans la nuit les trois autres garçons ont profité de ma naïveté et sont venus m’honorer chacun leur tour.
Certes, comparé à toi je suis loin de ton record pour une première fois, j’ai eu quatre bites dans ma vulve, alors que toi tu en as eu assouvi treize.
• Treize, ce chiffre va me porter chance.
Nous sommes montés jusqu’à Amsterdam. Nous prenions le train sans billet et deux fois sur trois, nous nous faisions jeter. Ils nous mettaient des amendes tout impayées, car les adresses que nous donnions étaient fausses.
Lorsque nous sommes arrivés, Serge connaissait un squat où nous pouvions loger et trouver où nous laver bien que la douche était froide.
Nous mettions tous en commun, les lits et le couvert.
Beaucoup étaient là pour la fumette.
J’ai essayé une seule fois, pendant deux jours, je me suis senti mourir, j’ai été vacciné.
C’est certainement ce qui m’a sauvé, car les deux autres filles accros aux drogues douces au départ ont sombré dans des produits durs qui les ont détruites. À la fin, je les voyais se piquer.
Lorsque je suis parti, elles vendaient leur corps pour quelques euros et acheter leurs doses.
Dans notre squat, nous baisions aussi bien avec des garçons et aussi des filles.
J’étais devenue experte en léchage de chatte.
La chance que j’aie eue lorsque j’ai quitté le groupe est d’être venue traîner vers les vitrines.
Je passais systématiquement devant l’une des filles qui m’avaient tapé dans l’œil.
C’était une belle-fille noire avec des yeux en amande émeraude. Je flachais sur eux chaque fois que nos regards se croisaient.
Elle m’a repérée aussi, le deuxième soir, elle a ouvert sa vitre et m’a fait signe d’entrer. Elle avait fini son service et après avoir récupéré ses gains, elle m’a entraîné chez elle.
Elle louait un studio dans une maison typique d’Amsterdam, peut large et très haute.
• Sais-tu pourquoi ces maisons sont construites comme cela ?
• Je donne ma langue à ta chatte !
• Pour payer moins d’impôts !
Plus la surface au sol est importante et plus les propriétaires payaient. Ils ont contourné le problème avec ce type de construction.
• Et qu’as-tu fait chez elle ?
• Pour commencer, j’ai appris qu’elle s’appelait Diarra et qu’elle venait du Sénégal.
Elle m’a douché et mis mes affaires à la poubelle, surtout à cause de l’odeur.
Après, elle m’a coiffé. C’était son métier de formation. Ma coupe actuelle est sa création. Nous nous sommes aimés comme des folles. Chaque fois qu’entre mes lèvres ses lèvres intimes s’ouvraient, son miel intérieur venait se distiller sur mes papilles.
Je peux t’assurer que je jamais ma bouche a sucé de chatte que dans nos moments d’intimité.
Justine passe ta main sur ma chatte à cette évocation, mon vagin dégouline.
Nous avons vécu deux mois idylliques, le soir, elle partait travailler dans sa vitrine. Lorsqu’elle m’a dit que ses réserves financières s’épuisaient, j’ai trouvé naturel un soir de venir gagner notre pitance. Elle avait prévu que j’accepterais me sachant très libre de mon corps le jour où elle m’a acheté la tenue que tu avais lors de ton dépucelage.
Je t’ai choisi cette tenue pour attirer la chance le soir où nous sommes allées toutes les deux, nous prostituer pour ta première fois.
• As pas eut peur de commencer dans cette vitrine.
• Je pense comme toi, franchir le pas avec une personne que l’on apprécie, est plus facile !
• Pas d’accord Léa, pas une personne que l’on apprécie, mais une personne que l’on aime.
Faisant attention qu’aucune des vieilles et ses parents ne nous remarques, elle me prend la bouche et rapidement me donne un baiser langoureux.
• J’ai travaillé plusieurs mois, j’ai amassé énormément d’argent. Un jour j’ai trouvé la chambre vide, plus aucune de ses affaires dans l’armoire. Elle est partie avec un Sénégalais qui l’avait remarqué. Elle a juste prévenu le patron à notre travail qu’ils retournaient dans son pays.
Depuis plus aucune nouvelle.
• Tu as continué dans la vitrine.
• Non, le bail du logement était à son nom et le propriétaire m’a viré.
• Qu’as-tu fait ?
• Une fille était venue manger chez nous un midi. Elle a parlé d’un bordel à Gand en Belgique tenu par un dénommé Tonio.
D’après ce qu’elle disait son club avait tellement bonne réputation qu’il était difficile de pouvoir y travailler. J’ai fait mon sac et j’ai pris un train pour cette ville que j’avais traversée en montant.
• Il t’a embauché.
• Je suis née sous une bonne étoile, lorsque je suis entré, Tonio était absent.
Il était parti deux jours pour ses affaires.
La femme qui gère le club en son absence avait un problème ce soir-là, une fille avait appelé, car elle était malade.
Lorsque je lui ai dit que je venais de travailler plusieurs mois dans les vitrines d’Amsterdam et que j’étais loin d’être une débutante, elle a décidé de me garder en attendant le patron.
Pendant ces deux jours, j’ai fait péter les compteurs, jamais aucune fille n’avait fait autant de passes.
À croire que les clients se donnaient le mot qu’une petite Française blonde travaillait dans le club.
Lorsque Tonio est arrivé, après avoir regardé mes performances, et après m’avoir testé comme il l’a fait pour toi, j’étais accepté définitivement.
J’ai tapiné six mois dans son club.
J’avais renoué des contacts téléphoniques avec mes parents. À la mort de ma grand-mère, il y a 8 mois, j’ai quitté Gand malgré les suppliques de Tonio pour revenir à Vannes.
J’avais assez d’argent et peu de frais, lorsque j’ai retrouvé ma chambre de jeunes filles.
Pour mes parents, j’avais travaillé à Gand dans une boutique de chaussures.
Il y a deux mois, ils ont voulu que je vienne faire ce voyage jusqu’à Amsterdam. Il m’était difficile de refuser sans éveiller des soupçons.
J’ai bien fait d’accepter, je t’ai rencontré. Dans quelques jours, je te proposerais, une chose qu’il te sera impossible de refuser.
Que va-t-il m’arriver ?
• Léa, tu es bien gentille, je t’aime.
Que vas-tu faire de moi, lorsque nous sommes parties de Vannes, j’étais la bonne de notre curé et que j’habitais au presbytère ?
Le soir à Rouen, nous n’avons pris aucun risque et nous avons passé une soirée tranquille avec Berthe et ses amis.
La conversation était passionnante, elles refaisaient tout le voyage. Elles s’émerveillaient des beautés des champs de tulipes et surtout elles avaient été impressionnées par les moulins anciens et les champs éoliens que l’on a vus tout le long du trajet.
J’avais envie d’ajouter « nous avons aimé les putes qui travaillent dans les vitrines que nous sommes venues mater ou peut-être enviez, nous qui avons perdu l’habitude de nous faire baiser par le sexe des hommes. »
Pendant tout le temps du repas, j’ai senti Berthe mal à l’aise lorsqu’elle me regardait.
Vus de prêt, à bien la regarder, un peu arrangé, le chignon retiré, lunettes enlevées ou moins conventionnelles, elle pourrait reprendre dut servir sur un sexe de garçon au lieu de se dessécher comme un pruneau en pleurant celui qu’elle a beaucoup aimé et qui là quitter.
Le lendemain, nous sommes revenues dans le village, où de nombreuses personnes nous attendaient.
Je laisse Léa partir avec ses parents. Il est prévu de nous voir dès le lendemain, elle sait que j’attends des explications sur ce qu’elle a dit dans le car et pour prendre des décisions sur le paquet d’euros que nous ramenons.
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