La bonne étoile_2
Récit érotique écrit par Briard [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La bonne étoile_2
Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes, des lieux et des phénomènes existants ne peut être que fortuite…
Partie 2Une semaine après avoir passé la nuit dans les bras de William, Dorine reçu un appel de Jérémy.
« Allo, c’est moi. »« Salut Jérèm, ça va ? Comment se passent les cours ? »« Très bien, le cursus est passionnant et j’apprends beaucoup. »« Tu t’es fait de nouvelles connaissances ? »« C’est marrant que tu me demandes ça, devine qui est dans mon lycée ? »« Je ne sais pas, un de tes anciens potes ? »« Tu n’y es pas du tout. Déborah ! »« Elle ? »« Oui, elle. Figure-toi qu’elle suit le cursus bac pro commercialisation et service en restauration. »« Non, pas possible ! »« Si, elle veut reprendre l’affaire de ses parents, un bar-restaurant et a besoin de son bac pro pour ça. »« Bon, OK, mais ce n’est pas parce qu’elle fréquente ton lycée que vous devez être potes, non ? »« Bah, tu sais, on se parle, c’est tout. On est les seuls à se connaître ici. »« Mais tu la haïssais ! »« Oui, je sais, mais on n’est pas plus que ça. Bon, et toi ? Tu as trouvé à te loger ? »« Oui, c’est réglé. »« Ce n’est pas trop loin de ton lycée ? »« Non, c’est à deux pas. »« Mais comment tu as fait ? Tu m’avais dit qu’il n’y avait rien intra-muros et que tu devrais aller en banlieue. »« Ben, figure-toi que j’ai découvert que William était dans mon lycée. On s’est vus et il m’a proposé une coloc dans l’appart de ses parents ? »« Quoi ? William ? Le William qui t’avait affublée de cet horrible surnom ? »« Oui, je sais, mais il semble avoir changé et un peu muri. »« Bon, et qu’est-ce qu’il vient faire à Paris dans ton lycée ? »« Eh bien comme Déborah, un bac pro commercialisation et service en restauration. Il veut, lui aussi, reprendre le bar-resto de ses parents. »« Eh bien, nous voilà bien lotis tous les deux. Tu sais, je repense souvent à la surboum et à notre promenade après. Je me suis conduit comme un véritable crétin. »« Comment ça comme un crétin ? »« Écoute Dorine, je ne te l’ai pas dit, mais j’ai aussi été pris à Guillaume Tirel. C’était mon second choix. Ne sachant pas ce que tu choisirais comme lycée, j’avais mis celui de La Rochelle en premier. Je peux encore venir à Paris. On pourrait reprendre où on en est resté après la surboum. Je ne serai plus le pauvre gars timide et incertain. »« Mais… »« Cette fois, je ne te laisserai pas rentrer chez toi sans t’embrasser. »« Mais Jérème. »« Cette fois je ferai de toi ma petite amie et je me conduirai en homme. »« Mais, pourquoi… »« Pourquoi, quoi ? »« Pourquoi me dis-tu tout ça, maintenant ? »« Dorine, je te dis ça maintenant parce que j’ai conscience que nous sommes faits l’un pour l’autre. »« Mais… »« J’ai repensé des milliards de fois à nos promenades en rentrant du lycée, et surtout à cette soirée. »« Mais Jérème. »« Je me suis comporté comme un crétin, comme quelqu’un qui ne sait pas ce qu’il veut. »« … »« C’est toi que je veux Dorine. C’est toi que j’ai toujours voulue ma Dorinette. Je sais que tu le sais. Je veux être avec toi, je veux faire de toi une femme, je veux que tu sois ma femme. Je veux qu’on soit toujours ensemble. Je ne peux plus me passer de toi, je… »« Jérémy ? »« Oui ? »« Je suis avec William. »« Heu…Quoi ? « « Je suis avec William. »« Tu veux dire que…Tu…Tu as couché avec lui ? »« …Oui. »Il y eut un long silence. Dorine était mal à l’aise et attendait qu’il parle le premier, mais rien ne venait. Il lui semblait pourtant l’entendre respirer à l’autre bout du fil. Ce silence était pesant, trop pesant pour elle.
« Jérèmy…Tu es toujours là ? »« Hum… »« Jérémy, on est toujours ami ? »Ce silence était insupportable pour elle. Il fallait qu’il lui parle, qu’il lui dise quelque chose.
« Tu es mon ami, hein Jérémy ? »« … Je te souhaite d’être heureuse. »Il avait raccroché. Elle resta de longues minutes à regarder bêtement son téléphone, comme s’il allait sonner de nouveau. Mais rien ne vint et cela l’angoissa. Elle composa frénétiquement le numéro de Jérémy et tomba sur sa boîte vocale. Elle recommença plusieurs fois et tomba à chaque fois sur la messagerie. Au bout de dix appels, elle posa son mobile sur la table basse et s’assit sur le canapé. Elle sentit ses yeux s’embrumer et une première larme couler sur sa joue. Elle resta là, pleurant en silence.
C’est recroquevillé sur elle-même que William la trouva en rentrant.
« Dorinette, tu es encore couchée ? »Il s’approcha du divan et posa sa main sur son épaule. Il se pencha pour l’embrasser, mais elle détourna son visage.
« Eh bien, eh bien ! Là, là, tout doux. Il n’y a pas d’orage ce soir ma belle, mais si tu veux, on peut recommencer la scène de l’autre soir. »Elle senti une chaleur ardente lui monter au visage.
« Oh toi, y a que le cul qui t’intéresse. Tu me vois en train de pleurer et la seule chose qui te vient à l’esprit, c’est de me sauter ! »Il se releva.
« Oh, du calme ma belle, c’est juste parce que ta position m’y a fait penser. Mais ça va, passe tes nerfs sur quelqu’un d’autre. »« Laisse-moi. J’ai besoin d’être seule. »
Cela faisait plusieurs jours que Jérémy n’allait pas bien. Déborah s’en était rendue compte assez vite car le jeune homme, d’ordinaire souriant et enjoué, avait triste mine et ne parlait que le minimum.
Décidée à percer l’abcès, elle profita d’une pause pour l’approcher.
« Ça va Jérème ? »« Pas des masses. J’ai besoin d’être seul. »« Je vois bien que t’es pas dans ton assiette. Tu as reçu de mauvaises nouvelles, »« On peut dire ça comme ça, oui. »« Écoute, je vais aller faire quelques courses et, si ça te dit, je t’invite à grignoter et on en parle. »« Je n’ai pas envie d’en parler, laisse-moi. »« Oh, je veux être sympa moi, c’est tout. Écoute, si c’est pour ton logement, on peut s’arranger. J’allais te le proposer. J’ai une chambre libre, je peux te loger. Tu me donneras un loyer, modéré et ça nous ira, je l’espère, à tous les deux. »« Tu ferais ça ? »« Bien sûr, je suis ta pote Jérème, il ne faut pas que tu en doutes. »Il installa ses affaires l’après-midi même et investi l’appartement. Celui-ci était très coquet. Les parents de la jeune fille l’avaient acheté à l’époque où l’immobilier sur La Rochelle était encore abordable. Aujourd’hui, il valait une petite fortune.
Les relations entre les deux étudiants s’améliorèrent formidablement et une certaine complicité naquit entre eux deux. Jérémy se dit qu’au fond, il avait peut-être jugé un peu prématurément Déborah et qu’elle n’était pas aussi égocentrique qu’il l’avait pensé. Elle sortait avec son copain William depuis pas mal de temps et leur couple semblait tenir la route. Elle était donc loin des clichés de garce qu’il s’était figuré.
Elle était pourtant une enfant gâtée. Des parents patrons. Le père dirigeant d’un bar-restaurant réputé et la mère, patronne d’une entreprise de négoce du vin, tous les deux installés sur Bordeaux. Elle avait passé son enfance dans une demeure bourgeoise de Pessac, bien à l’abri du besoin. Née tardivement dans l’histoire du couple de ses parents qui l’avait eue à la quarantaine commencée, elle s’apprêtait à prendre la relève de son père qui, fatigué, n’attendait qu’une chose, c’est qu’elle fût diplômée pour lui confier les rênes de l’établissement.
Superbe jeune fille, blonde comme les blés, tenant sa mine et son teint clair de sa mère, suédoise d’origine, elle avait un regard qui vous hypnotisait dès le premier coup d’œil avec des yeux noisette cerclés d’un trait d’or fin du plus bel effet. Deux légères fossettes entouraient une bouche mince aux lèvres fines et ourlées et un menton en olive accentuait des joues creusées et un visage au plus beau minois qui soit. Elle avait une poitrine avenante et de longues et minces jambes surmontées d’un fessier joliment arrondi. Elle était une beauté fatale et, pour le malheur de la plupart des garçons, le savait.
Elle avait un don inné pour capter l’attention en secouant légèrement la tête et en balançant sa chevelure, la faisant tournoyer et passer devant ses yeux. Elle savait ce qu’elle voulait : réussir. Réussir à tout prix. Le fond de commerce de son père était pour elle le point de départ de son ascension vers les sommets. Elle ne voulait pas la gloire, non, elle voulait devenir quelqu’un. Quelqu’un de respecté, voire de craint.
Sa relation avec William lui convenait parfaitement. Il était brut de décoffrage, un peu rustre et assez peu cultivé, mais cela faisait son affaire. Elle aimait la force, la puissance, la rugosité chez un homme. Avec Willy, elle était servie. Elle aimait que son compagnon soit séduisant, même irrésistible, que les femmes le lui envient. Elle adorait, par-dessus tout, avoir le sentiment qu’elle tenait les rênes et être le centre des regards et des convoitises.
Au lycée, elle était la reine et elle comptait bien le devenir à La Rochelle.
Après avoir fait les courses, elle appela William en Face Time.
« Coucou mon chéri. »« Heu, Deb ? ça va ? »« Oh, toi, tu as une drôle de tête. Y a quelque chose qui ne va pas. »« Heu, non, ça va. »« Tu as l’air fatigué. »« Je… Je ne sais pas…J’ai eu une dure journée. »Tout à coup une Dorine enroulée dans une serviette de bain apparut dans le champ de vision de Déborah. Visiblement, elle sortait de la salle de bain et venait d’entrer dans la chambre de William.
« Willy ? Que fait-elle dans ta chambre et à poil en plus ? »« Ah oui, j’ai oublié de te le dire. Dorine est ma coloc. »« Et elle se ballade à poil dans l’appart et elle va comme ça dans ta chambre ? Tu me prends pour une conne ? »« Non, elle a dû avoir besoin de quelque chose »« Cette salope se promène à poil chez toi et tu vas me faire croire que vous n’êtes que coloc ? »« Mais laisse-moi t’expliquer Deb. »« Y a rien à expliquer. T’es qu’un sale connard. Je ne veux plus rien avoir à faire avec toi. Toi et ta salope, vous pouvez aller vous faire foutre. »Elle mit fin à la visio et referma son PC. Elle se leva d’un bond et fila jusqu’à la chambre de Jérémy. Elle entra telle une furie.
« Tu savais que Dorine et Willy couchaient ensemble ? »Il leva des yeux tristes vers elle et haussa lentement les épaules.
« Oui, je le savais. »« Mais tu aurais pu me le dire, j’aurais eu l’air moins conne. »« Ce n’était pas à moi de t’informer. Je n’avais pas à foutre le bordel dans votre couple. »« Ça ne te gêne pas toi ? »« Tu sais, j’ai toujours trouvé que c’était un connard et n’ai jamais compris ce que tu fichais avec un pauvre type comme lui. »« Ce mec est une merde. Trois ans qu’on sort ensemble. On avait des projets tous les deux, des projets pour un avenir en commun. Il a tout foutu par terre pour un coup de bite. »« C’est un con, je te l’ai dit. »« Je sais que tu en pinçais pour elle. Il a été attiré par son joli cul, mais je suis certaine qu’il va la larguer dès qu’ils auront leur diplôme. Ce mec ne pense qu’au cul. Moi ça me convenait, parce que je savais que je le tenais par les couilles. C’est un lâche qui a besoin d’être pris en main, c’est tout. Ta copine, elle te reviendra tôt ou tard, ne t’en fais pas. »« Je ne veux plus rien avoir à faire avec elle. Je me suis ridiculisé en lui disant que j’avais des sentiments pour elle et, en guise de réponse, elle m’a jeté à la figure qu’elle avait couché avec lui.
« Ce mec est un porc. A peine j’ai le dos tourné qu’il se tape la première qu’il a sous la main. »Elle s’assit près de lui et passa son bras autour de ses épaules.
« Écoute, on va pas se laisser détruire le moral par ces deux merdes. On va se manger un bon repas et on va se bourrer la gueule, histoire de se persuader qu’on vaut mieux que ces raclures. »Elle se leva et lui prit la main. Ils s’installèrent dans le coin repas du salon. Elle déballa les plats qu’elle avait acheté avant de rentrer en les lui énumérant.
« Alors, là on a de la tête de veau sauce gribiche avec sa mousseline de patates douces. Là, un salmis de pintade aux haricots plats. Là on a un curé nantais et, enfin, on a deux crèmes brulées que j’ai mises au frigo en arrivant. Elle réchauffa rapidement les deux plats principaux et les installa sur un réchauffe plat. Pendant ce temps, il déboucha une des quatre bouteilles de vin qu’elle avait ramenées. Un Moulin à vent, Château des Jacques, grand cru de beaujolais. Il servit deux verres après avoir dressé la table.
Elle vint s’installer en face de lui, prit son verre et le leva.
« A la fidélité. Que ce soit en amitié comme en amour. »Il choqua son verre contre le sien.
« A la fidélité. »Ils mangèrent de bon appétit et burent assez rapidement la première bouteille avec le salmis.
Quand elle servit la tête de veau, il déboucha un Puligny-Montrachet Les Charmes, Domaine Chavy Blanc qu’il servit avec délicatesse.
« Tu m’as gâté Deb, je me régale. »« Rien n’est trop beau pour mon poteau ! »Ils trinquèrent et avalèrent leur assiette avec gourmandise tout en dégustant le nectar viticole.
Quand Deb se leva pour aller chercher le fromage, elle marcha d’une allure pas tout à fait sure. Il ouvrit un pommard Domaine Billard-Gonnet et le servit dans les deux verres.
« On va vraiment être bourrés à ce rythme-là. »Elle ouvrit le Curé Nantais et en coupa deux moitiés.
Elle l’observa pendant qu’il mangeait son fromage.
« Tu t’es drôlement musclé ces derniers temps. Je me souviens, au collège, t’étais plutôt un gringalet. Tu as fait quoi ? De la muscu comme l’autre connard ? »« Non, je fais de la natation. »« Wah ! Le résultat est spectaculaire. T’es un vrai athlète maintenant. »Elle se leva et vint vers lui.
« Vas-y, fais-moi voir tes abdos ? »« Ben, pourquoi ? »« J’ai toujours aimé les tablettes de chocolat. Ce con était bien foutu, je ne peux pas le nier, même si c’est un parfait connard. Alors, tu me fais voir ? »« Il fit mine de soulever son tee-shirt. »« Non, debout. »« Bon, OK. »Il se leva et releva le vêtement.
« Wah ! Qu’est-ce que t’es bien foutu. »Elle avait le regard brillant et ne détachait pas ses yeux de la sangle abdominale du jeune homme. Elle avança une main.
« Je peux toucher ? »Elle n’attendit pas la réponse et posa sa main sur la peau. Elle fit des cercles pour bien sentir la fermeté musculaire des abdos.
« Qu’est-ce qu’ils sont durs, c’est pas croyable. »Elle semblait fascinée par sa musculature et attirée comme un aimant. Elle remonta ses mains et les plaça sur sa nuque.
« Dis-donc mon charmant coloc, tu sais que tu es en train de m’attirer dans ta toile toi ? »Elle se serra contre lui et sentit immédiatement son désir contre son pubis. Elle donna un léger coup de ventre.
« Mais qu’est-ce que je sens-là ? »« Arrête, on a trop bu. »« Pas assez pour t’empêcher d’être en pleine forme à ce que je vois. »Elle se haussa sur la pointe des pieds et déposa un léger baiser sur ses lèvres.
« Je sens que tu en as autant envie que moi. »« Elle frotta son nez contre le sien tout en inclinant son visage ce qui fit se frotter leurs lèvres.
« Tu sais que tu as tout ce qu’il faut pour que je l’efface de ma mémoire. Et moi, j’espère que j’ai de quoi te la faire oublier définitivement. »Elle ouvrit la bouche et promena sa langue sur ses lèvres puis poussa pour les séparer. Sa langue vint à la rencontre de la sienne et ils s’embrassèrent furieusement.
Elle se colla contre lui et enroula ses jambes autour de ses hanches.
« Tu vas bien me baiser mon bel étalon. »Il la porta jusqu’à son lit et la coucha sous lui. Tout en l’embrassant, il retira son tee-shirt puis, dans la foulée, son pantalon et son slip.
Elle glissa une main entre eux et saisit son sexe dressé.
« Salut toi, tu es parfait pour ma petite chatte. Je sens que vous allez bien vous entendre tous les deux. »Elle se glissa sous lui et le prit dans sa bouche, l’aspirant jusqu’au fond de sa gorge.
« Ah ! Doucement, tu vas me dévorer. »Elle imposa un rythme lent pour mieux le faire aller profondément. Il grimaça et se concentra pour ne pas se laisser aller à la caresse tout en appréciant le savoir-faire de la jeune fille.
Il la saisit par les aisselles et la remonta à son niveau. Il se pencha et goba un sein, s’amusant à en agacer la pointe avec la langue. Il caressa l’autre et se mit à pincer le bout entre deux doigts.
Elle empauma sa verge et la branla frénétiquement. Elle écarta les cuisses et le guida jusqu’à sa vulve.
« Prends-moi, fort. »Il s’enfonça avec délice en elle et resta planté au fond de son puits d’amour.
« Vas-y, vas-y fort. »Il entama ses aller-retours avec force et profondeur la faisant immédiatement gémir.
Elle émettait un petit cri à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle.
« Ah…Ah…Ah. »Elle le saisit aux hanches et accompagna ses coups de boutoirs comme pour mieux l’enfoncer en elle.
Il donnait de puissants coups de bassin et ahanait bruyamment. Elle l’encouragea en donnant de la voix.
« Oui, plus fort, tu vas loin, c’est bon. »Il accéléra et elle se mit à crier de façon continue.
« Ah, c’est bon, je jouis. »Il plaça ses mains sous ses fesses et donna les derniers coups presque avec rage. Elle éclata en jouissant dans une longue plainte.
« Ouiiiiiiii. »Il s’affaissa de tout son poids sur elle, suant à grosses gouttes, repu.
Elle lui caressa le front.
« Tu es mon étalon, tu m’as fait prendre un pied comme jamais. »
Partie 2Une semaine après avoir passé la nuit dans les bras de William, Dorine reçu un appel de Jérémy.
« Allo, c’est moi. »« Salut Jérèm, ça va ? Comment se passent les cours ? »« Très bien, le cursus est passionnant et j’apprends beaucoup. »« Tu t’es fait de nouvelles connaissances ? »« C’est marrant que tu me demandes ça, devine qui est dans mon lycée ? »« Je ne sais pas, un de tes anciens potes ? »« Tu n’y es pas du tout. Déborah ! »« Elle ? »« Oui, elle. Figure-toi qu’elle suit le cursus bac pro commercialisation et service en restauration. »« Non, pas possible ! »« Si, elle veut reprendre l’affaire de ses parents, un bar-restaurant et a besoin de son bac pro pour ça. »« Bon, OK, mais ce n’est pas parce qu’elle fréquente ton lycée que vous devez être potes, non ? »« Bah, tu sais, on se parle, c’est tout. On est les seuls à se connaître ici. »« Mais tu la haïssais ! »« Oui, je sais, mais on n’est pas plus que ça. Bon, et toi ? Tu as trouvé à te loger ? »« Oui, c’est réglé. »« Ce n’est pas trop loin de ton lycée ? »« Non, c’est à deux pas. »« Mais comment tu as fait ? Tu m’avais dit qu’il n’y avait rien intra-muros et que tu devrais aller en banlieue. »« Ben, figure-toi que j’ai découvert que William était dans mon lycée. On s’est vus et il m’a proposé une coloc dans l’appart de ses parents ? »« Quoi ? William ? Le William qui t’avait affublée de cet horrible surnom ? »« Oui, je sais, mais il semble avoir changé et un peu muri. »« Bon, et qu’est-ce qu’il vient faire à Paris dans ton lycée ? »« Eh bien comme Déborah, un bac pro commercialisation et service en restauration. Il veut, lui aussi, reprendre le bar-resto de ses parents. »« Eh bien, nous voilà bien lotis tous les deux. Tu sais, je repense souvent à la surboum et à notre promenade après. Je me suis conduit comme un véritable crétin. »« Comment ça comme un crétin ? »« Écoute Dorine, je ne te l’ai pas dit, mais j’ai aussi été pris à Guillaume Tirel. C’était mon second choix. Ne sachant pas ce que tu choisirais comme lycée, j’avais mis celui de La Rochelle en premier. Je peux encore venir à Paris. On pourrait reprendre où on en est resté après la surboum. Je ne serai plus le pauvre gars timide et incertain. »« Mais… »« Cette fois, je ne te laisserai pas rentrer chez toi sans t’embrasser. »« Mais Jérème. »« Cette fois je ferai de toi ma petite amie et je me conduirai en homme. »« Mais, pourquoi… »« Pourquoi, quoi ? »« Pourquoi me dis-tu tout ça, maintenant ? »« Dorine, je te dis ça maintenant parce que j’ai conscience que nous sommes faits l’un pour l’autre. »« Mais… »« J’ai repensé des milliards de fois à nos promenades en rentrant du lycée, et surtout à cette soirée. »« Mais Jérème. »« Je me suis comporté comme un crétin, comme quelqu’un qui ne sait pas ce qu’il veut. »« … »« C’est toi que je veux Dorine. C’est toi que j’ai toujours voulue ma Dorinette. Je sais que tu le sais. Je veux être avec toi, je veux faire de toi une femme, je veux que tu sois ma femme. Je veux qu’on soit toujours ensemble. Je ne peux plus me passer de toi, je… »« Jérémy ? »« Oui ? »« Je suis avec William. »« Heu…Quoi ? « « Je suis avec William. »« Tu veux dire que…Tu…Tu as couché avec lui ? »« …Oui. »Il y eut un long silence. Dorine était mal à l’aise et attendait qu’il parle le premier, mais rien ne venait. Il lui semblait pourtant l’entendre respirer à l’autre bout du fil. Ce silence était pesant, trop pesant pour elle.
« Jérèmy…Tu es toujours là ? »« Hum… »« Jérémy, on est toujours ami ? »Ce silence était insupportable pour elle. Il fallait qu’il lui parle, qu’il lui dise quelque chose.
« Tu es mon ami, hein Jérémy ? »« … Je te souhaite d’être heureuse. »Il avait raccroché. Elle resta de longues minutes à regarder bêtement son téléphone, comme s’il allait sonner de nouveau. Mais rien ne vint et cela l’angoissa. Elle composa frénétiquement le numéro de Jérémy et tomba sur sa boîte vocale. Elle recommença plusieurs fois et tomba à chaque fois sur la messagerie. Au bout de dix appels, elle posa son mobile sur la table basse et s’assit sur le canapé. Elle sentit ses yeux s’embrumer et une première larme couler sur sa joue. Elle resta là, pleurant en silence.
C’est recroquevillé sur elle-même que William la trouva en rentrant.
« Dorinette, tu es encore couchée ? »Il s’approcha du divan et posa sa main sur son épaule. Il se pencha pour l’embrasser, mais elle détourna son visage.
« Eh bien, eh bien ! Là, là, tout doux. Il n’y a pas d’orage ce soir ma belle, mais si tu veux, on peut recommencer la scène de l’autre soir. »Elle senti une chaleur ardente lui monter au visage.
« Oh toi, y a que le cul qui t’intéresse. Tu me vois en train de pleurer et la seule chose qui te vient à l’esprit, c’est de me sauter ! »Il se releva.
« Oh, du calme ma belle, c’est juste parce que ta position m’y a fait penser. Mais ça va, passe tes nerfs sur quelqu’un d’autre. »« Laisse-moi. J’ai besoin d’être seule. »
Cela faisait plusieurs jours que Jérémy n’allait pas bien. Déborah s’en était rendue compte assez vite car le jeune homme, d’ordinaire souriant et enjoué, avait triste mine et ne parlait que le minimum.
Décidée à percer l’abcès, elle profita d’une pause pour l’approcher.
« Ça va Jérème ? »« Pas des masses. J’ai besoin d’être seul. »« Je vois bien que t’es pas dans ton assiette. Tu as reçu de mauvaises nouvelles, »« On peut dire ça comme ça, oui. »« Écoute, je vais aller faire quelques courses et, si ça te dit, je t’invite à grignoter et on en parle. »« Je n’ai pas envie d’en parler, laisse-moi. »« Oh, je veux être sympa moi, c’est tout. Écoute, si c’est pour ton logement, on peut s’arranger. J’allais te le proposer. J’ai une chambre libre, je peux te loger. Tu me donneras un loyer, modéré et ça nous ira, je l’espère, à tous les deux. »« Tu ferais ça ? »« Bien sûr, je suis ta pote Jérème, il ne faut pas que tu en doutes. »Il installa ses affaires l’après-midi même et investi l’appartement. Celui-ci était très coquet. Les parents de la jeune fille l’avaient acheté à l’époque où l’immobilier sur La Rochelle était encore abordable. Aujourd’hui, il valait une petite fortune.
Les relations entre les deux étudiants s’améliorèrent formidablement et une certaine complicité naquit entre eux deux. Jérémy se dit qu’au fond, il avait peut-être jugé un peu prématurément Déborah et qu’elle n’était pas aussi égocentrique qu’il l’avait pensé. Elle sortait avec son copain William depuis pas mal de temps et leur couple semblait tenir la route. Elle était donc loin des clichés de garce qu’il s’était figuré.
Elle était pourtant une enfant gâtée. Des parents patrons. Le père dirigeant d’un bar-restaurant réputé et la mère, patronne d’une entreprise de négoce du vin, tous les deux installés sur Bordeaux. Elle avait passé son enfance dans une demeure bourgeoise de Pessac, bien à l’abri du besoin. Née tardivement dans l’histoire du couple de ses parents qui l’avait eue à la quarantaine commencée, elle s’apprêtait à prendre la relève de son père qui, fatigué, n’attendait qu’une chose, c’est qu’elle fût diplômée pour lui confier les rênes de l’établissement.
Superbe jeune fille, blonde comme les blés, tenant sa mine et son teint clair de sa mère, suédoise d’origine, elle avait un regard qui vous hypnotisait dès le premier coup d’œil avec des yeux noisette cerclés d’un trait d’or fin du plus bel effet. Deux légères fossettes entouraient une bouche mince aux lèvres fines et ourlées et un menton en olive accentuait des joues creusées et un visage au plus beau minois qui soit. Elle avait une poitrine avenante et de longues et minces jambes surmontées d’un fessier joliment arrondi. Elle était une beauté fatale et, pour le malheur de la plupart des garçons, le savait.
Elle avait un don inné pour capter l’attention en secouant légèrement la tête et en balançant sa chevelure, la faisant tournoyer et passer devant ses yeux. Elle savait ce qu’elle voulait : réussir. Réussir à tout prix. Le fond de commerce de son père était pour elle le point de départ de son ascension vers les sommets. Elle ne voulait pas la gloire, non, elle voulait devenir quelqu’un. Quelqu’un de respecté, voire de craint.
Sa relation avec William lui convenait parfaitement. Il était brut de décoffrage, un peu rustre et assez peu cultivé, mais cela faisait son affaire. Elle aimait la force, la puissance, la rugosité chez un homme. Avec Willy, elle était servie. Elle aimait que son compagnon soit séduisant, même irrésistible, que les femmes le lui envient. Elle adorait, par-dessus tout, avoir le sentiment qu’elle tenait les rênes et être le centre des regards et des convoitises.
Au lycée, elle était la reine et elle comptait bien le devenir à La Rochelle.
Après avoir fait les courses, elle appela William en Face Time.
« Coucou mon chéri. »« Heu, Deb ? ça va ? »« Oh, toi, tu as une drôle de tête. Y a quelque chose qui ne va pas. »« Heu, non, ça va. »« Tu as l’air fatigué. »« Je… Je ne sais pas…J’ai eu une dure journée. »Tout à coup une Dorine enroulée dans une serviette de bain apparut dans le champ de vision de Déborah. Visiblement, elle sortait de la salle de bain et venait d’entrer dans la chambre de William.
« Willy ? Que fait-elle dans ta chambre et à poil en plus ? »« Ah oui, j’ai oublié de te le dire. Dorine est ma coloc. »« Et elle se ballade à poil dans l’appart et elle va comme ça dans ta chambre ? Tu me prends pour une conne ? »« Non, elle a dû avoir besoin de quelque chose »« Cette salope se promène à poil chez toi et tu vas me faire croire que vous n’êtes que coloc ? »« Mais laisse-moi t’expliquer Deb. »« Y a rien à expliquer. T’es qu’un sale connard. Je ne veux plus rien avoir à faire avec toi. Toi et ta salope, vous pouvez aller vous faire foutre. »Elle mit fin à la visio et referma son PC. Elle se leva d’un bond et fila jusqu’à la chambre de Jérémy. Elle entra telle une furie.
« Tu savais que Dorine et Willy couchaient ensemble ? »Il leva des yeux tristes vers elle et haussa lentement les épaules.
« Oui, je le savais. »« Mais tu aurais pu me le dire, j’aurais eu l’air moins conne. »« Ce n’était pas à moi de t’informer. Je n’avais pas à foutre le bordel dans votre couple. »« Ça ne te gêne pas toi ? »« Tu sais, j’ai toujours trouvé que c’était un connard et n’ai jamais compris ce que tu fichais avec un pauvre type comme lui. »« Ce mec est une merde. Trois ans qu’on sort ensemble. On avait des projets tous les deux, des projets pour un avenir en commun. Il a tout foutu par terre pour un coup de bite. »« C’est un con, je te l’ai dit. »« Je sais que tu en pinçais pour elle. Il a été attiré par son joli cul, mais je suis certaine qu’il va la larguer dès qu’ils auront leur diplôme. Ce mec ne pense qu’au cul. Moi ça me convenait, parce que je savais que je le tenais par les couilles. C’est un lâche qui a besoin d’être pris en main, c’est tout. Ta copine, elle te reviendra tôt ou tard, ne t’en fais pas. »« Je ne veux plus rien avoir à faire avec elle. Je me suis ridiculisé en lui disant que j’avais des sentiments pour elle et, en guise de réponse, elle m’a jeté à la figure qu’elle avait couché avec lui.
« Ce mec est un porc. A peine j’ai le dos tourné qu’il se tape la première qu’il a sous la main. »Elle s’assit près de lui et passa son bras autour de ses épaules.
« Écoute, on va pas se laisser détruire le moral par ces deux merdes. On va se manger un bon repas et on va se bourrer la gueule, histoire de se persuader qu’on vaut mieux que ces raclures. »Elle se leva et lui prit la main. Ils s’installèrent dans le coin repas du salon. Elle déballa les plats qu’elle avait acheté avant de rentrer en les lui énumérant.
« Alors, là on a de la tête de veau sauce gribiche avec sa mousseline de patates douces. Là, un salmis de pintade aux haricots plats. Là on a un curé nantais et, enfin, on a deux crèmes brulées que j’ai mises au frigo en arrivant. Elle réchauffa rapidement les deux plats principaux et les installa sur un réchauffe plat. Pendant ce temps, il déboucha une des quatre bouteilles de vin qu’elle avait ramenées. Un Moulin à vent, Château des Jacques, grand cru de beaujolais. Il servit deux verres après avoir dressé la table.
Elle vint s’installer en face de lui, prit son verre et le leva.
« A la fidélité. Que ce soit en amitié comme en amour. »Il choqua son verre contre le sien.
« A la fidélité. »Ils mangèrent de bon appétit et burent assez rapidement la première bouteille avec le salmis.
Quand elle servit la tête de veau, il déboucha un Puligny-Montrachet Les Charmes, Domaine Chavy Blanc qu’il servit avec délicatesse.
« Tu m’as gâté Deb, je me régale. »« Rien n’est trop beau pour mon poteau ! »Ils trinquèrent et avalèrent leur assiette avec gourmandise tout en dégustant le nectar viticole.
Quand Deb se leva pour aller chercher le fromage, elle marcha d’une allure pas tout à fait sure. Il ouvrit un pommard Domaine Billard-Gonnet et le servit dans les deux verres.
« On va vraiment être bourrés à ce rythme-là. »Elle ouvrit le Curé Nantais et en coupa deux moitiés.
Elle l’observa pendant qu’il mangeait son fromage.
« Tu t’es drôlement musclé ces derniers temps. Je me souviens, au collège, t’étais plutôt un gringalet. Tu as fait quoi ? De la muscu comme l’autre connard ? »« Non, je fais de la natation. »« Wah ! Le résultat est spectaculaire. T’es un vrai athlète maintenant. »Elle se leva et vint vers lui.
« Vas-y, fais-moi voir tes abdos ? »« Ben, pourquoi ? »« J’ai toujours aimé les tablettes de chocolat. Ce con était bien foutu, je ne peux pas le nier, même si c’est un parfait connard. Alors, tu me fais voir ? »« Il fit mine de soulever son tee-shirt. »« Non, debout. »« Bon, OK. »Il se leva et releva le vêtement.
« Wah ! Qu’est-ce que t’es bien foutu. »Elle avait le regard brillant et ne détachait pas ses yeux de la sangle abdominale du jeune homme. Elle avança une main.
« Je peux toucher ? »Elle n’attendit pas la réponse et posa sa main sur la peau. Elle fit des cercles pour bien sentir la fermeté musculaire des abdos.
« Qu’est-ce qu’ils sont durs, c’est pas croyable. »Elle semblait fascinée par sa musculature et attirée comme un aimant. Elle remonta ses mains et les plaça sur sa nuque.
« Dis-donc mon charmant coloc, tu sais que tu es en train de m’attirer dans ta toile toi ? »Elle se serra contre lui et sentit immédiatement son désir contre son pubis. Elle donna un léger coup de ventre.
« Mais qu’est-ce que je sens-là ? »« Arrête, on a trop bu. »« Pas assez pour t’empêcher d’être en pleine forme à ce que je vois. »Elle se haussa sur la pointe des pieds et déposa un léger baiser sur ses lèvres.
« Je sens que tu en as autant envie que moi. »« Elle frotta son nez contre le sien tout en inclinant son visage ce qui fit se frotter leurs lèvres.
« Tu sais que tu as tout ce qu’il faut pour que je l’efface de ma mémoire. Et moi, j’espère que j’ai de quoi te la faire oublier définitivement. »Elle ouvrit la bouche et promena sa langue sur ses lèvres puis poussa pour les séparer. Sa langue vint à la rencontre de la sienne et ils s’embrassèrent furieusement.
Elle se colla contre lui et enroula ses jambes autour de ses hanches.
« Tu vas bien me baiser mon bel étalon. »Il la porta jusqu’à son lit et la coucha sous lui. Tout en l’embrassant, il retira son tee-shirt puis, dans la foulée, son pantalon et son slip.
Elle glissa une main entre eux et saisit son sexe dressé.
« Salut toi, tu es parfait pour ma petite chatte. Je sens que vous allez bien vous entendre tous les deux. »Elle se glissa sous lui et le prit dans sa bouche, l’aspirant jusqu’au fond de sa gorge.
« Ah ! Doucement, tu vas me dévorer. »Elle imposa un rythme lent pour mieux le faire aller profondément. Il grimaça et se concentra pour ne pas se laisser aller à la caresse tout en appréciant le savoir-faire de la jeune fille.
Il la saisit par les aisselles et la remonta à son niveau. Il se pencha et goba un sein, s’amusant à en agacer la pointe avec la langue. Il caressa l’autre et se mit à pincer le bout entre deux doigts.
Elle empauma sa verge et la branla frénétiquement. Elle écarta les cuisses et le guida jusqu’à sa vulve.
« Prends-moi, fort. »Il s’enfonça avec délice en elle et resta planté au fond de son puits d’amour.
« Vas-y, vas-y fort. »Il entama ses aller-retours avec force et profondeur la faisant immédiatement gémir.
Elle émettait un petit cri à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle.
« Ah…Ah…Ah. »Elle le saisit aux hanches et accompagna ses coups de boutoirs comme pour mieux l’enfoncer en elle.
Il donnait de puissants coups de bassin et ahanait bruyamment. Elle l’encouragea en donnant de la voix.
« Oui, plus fort, tu vas loin, c’est bon. »Il accéléra et elle se mit à crier de façon continue.
« Ah, c’est bon, je jouis. »Il plaça ses mains sous ses fesses et donna les derniers coups presque avec rage. Elle éclata en jouissant dans une longue plainte.
« Ouiiiiiiii. »Il s’affaissa de tout son poids sur elle, suant à grosses gouttes, repu.
Elle lui caressa le front.
« Tu es mon étalon, tu m’as fait prendre un pied comme jamais. »
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