La bonne Josette...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La bonne Josette...
- Un peu de crémant Josette ?
Elle secoua la tête. Cachant son trouble.
- Je pense avoir déjà bien bu. Il faut que je rentre ! Me fit-elle.
- Allons, Josette, encore un dernier verre.
Elle se plia de bonne grâce et tendit son verre pour que je l’emplisse. Nous trinquâmes.
- J’aime tout ce soir ! Me lançait-elle.
- À oui ! Vraiment tout ?
- Tout t’dit !
Nous rîmes tout les trois, avec Bruno mon collègue et vidâmes nos verres.
Au fil de la conversation, les joues de Josette se coloraient de plus en plus. Dès lors Bruno ne lui laissait pas son verre désemplir. Et le crémant la rendait de plus en plus euphorique.
- Il est bon ? lui lançais-je.
- Oui, comme j’l’aime. Très pétillant… laissait-elle tomber.
Elle se souleva de sa chaise pour se saisir de la bouteille, d’un geste rendu gauche par l’ivresse. Quand elle se rassit, j’en avais profité pour glisser ma main sur sa chaise. Cela la fit rire.
- Alain… tu es un petit cochon… - Tu n’aimes pas les cochons ? Répondais-je sans pour autant retiré ma main au chaud sous son postérieur.
- Oh ! Tout tourne autour de moi. Répliquait-elle.
Grâce à mes doigts fureteurs, j’avais pu franchir l’obstacle culotte. Je me mis à fouiller son pubis, que je sentis très fournie. Tout ce que j’aimais. Tout ce qui me faisait perdre les pétales. Alors à l’aveuglette je dénichais la fente. Moite ! Je n’eux d’ailleurs aucun mal à y faire disparaître mon index. L’introduction la surpris, au point que ses yeux s’arrondirent. Elle garda le silence, seulement trahit par son souffle rapide. Je profitais de sa détresse pour échanger un regard complice avec mon collègue.
- Alors Josette ? Que penses-tu du cochon en question ?
Elle gloussa sans répondre. Je profitais lâchement de sa soumission pour la trousser, retroussant sa jupe sur ses reins, révélant ainsi son postérieur charnu. Aux fesses laiteuses, avec ça, une raie profonde d’où s’échappait des crins souples. Sans aucune gêne je me mis à malaxer ses fesses, lui tenant des propos à faire rougir une pute. Ce qui ne l’empêchait pas de rire aux éclats.
Je la fis mettre en position afin de m’accroupir derrière elle. Dans cette position, jambes tendues, reins creusés, sa croupe paraissait encore plus volumineuse. Avec mes deux mains, j’écartais les deux joues jumelles, entrouvrant le sillon tapissé de poils frisottés qui couvraient l’anus.
Sa seule défense fut de rire, tellement l’alcool avait le dessus sur elle.
- J’aime les cochons… oh oui que j’aime les cochons… - Ça tombe bien… je suis né cochon… Je me penchais pour m’enivrer de l’odeur forte qui s’en dégageait. Un parfum de fauve. Je m’en approchais encore, jusqu’à enfouir mon nez dans la raie velue, et avec le bout de ma langue, agaçait les lèvres du. Elle était aux anges et le fit savoir. Alors je me mis à lui lécher sa foufoune et plus haut son anus au gout amer.
Quand je la retournais plusieurs minutes plus tard, ce fut pour la pousser à s’allonger docilement sur le dos, à même sur la table. Là elle nous exhibait son épais tapis de poils recouvrant la vulve et cela malgré mon léchage. Débordant sur la naissance des cuisses. S’étirant haut sur le bas-ventre. Je devinais le gros bouton qui luisait de salive. D’un rouge vif. J’approchais ma main et pris le clitoris entre deux doigts, et me mis à le malaxer.
- Je suis sûr que tu aimes ça ? Tu te le fais quand tu ais seule ?
- Bien sûr ! Mais je préfère que ce soit une autre main qui me le fasse… oui !
Elle répétait sottement la phrase une seconde fois.
- Mais moi je préfère que tu nous montres comment tu le fais quand tu es seule.
Elle glissa pour cela la main sur sa motte et fourragea dans ses poils.
- Oui, vas-y cochonne ! Donnes-toi du plaisir… Nous la regardâmes se masturber. Elle respirait fort, les yeux révulsés. Comme si nous n’étions pas là.
- Putain la salope ! Je n’en peux plus, il faut que je la saute… Fit Bruno.
Le visage congestionné, l’œil fixe, il mit sa queue à l’air, et l’appuya contre les nymphes rougies. Au milieu de ses brumes alcooliques, Josette réagit, en redressant la tête, les yeux s’arrondirent d’étonnement.
- C’est… c’est pas que tu vas… - Oui je vais te baiser, et tu vas aimer cela… D’un coup de reins le gland et la moitié de sa verge disparurent d’un trait, comme avaler par sa chatte. De son côté, Josette les yeux mi-clos, subissait passivement l’assaut du collègue. Bruno était si excité qu’il ne mit pas longtemps pour cracher son foutre. Ceci fait, il se retira, mais ce n’était du goût de la baiser, et le fit savoir.
- Déjà !!!!! Et bien tu ais un rapide toi !
Je repoussais Bruno pour prendre sa place. D’un coup de reins je m’enfonçais dans ses entrailles. Après plusieurs minutes de va-et-vient intense, j’arrivais à la mener jusqu‘à la jouissance. Ce qui était loin d’être mon cas. Pas même un prélude d‘orgasme. Alors je me suis acharné dans son vagin. Scrutant son visage, attentif à ses sensations. À certains moments, après un branlage plus vive, son ventre tressaillait et des spasmes parcouraient ses cuisses. Sa respiration devenait sifflante à l’approche de la jouissance. J’en ai profité pour lui palper sa poitrine à travers son vêtement.
- Doucement garnement ! Tu vas me déchirer mon chemisier, il est en soie tu sais !
Je pris cela pour une invite pour le lui retiré. Avec des gestes lents, je caressais, excitais, ses deux seins, du bout des doigts, puis je les soupesais dans la paume de ma main. Je les malaxais longuement. Ça avait l’air de lui plaire, puisqu’elle respirait de plus en plus vite. Les tétons durcissaient sous ma caresse. Je me suis fait un plaisir de les téter.
- Humm ! Je reconnais que c’est bon ! S’exclama-t-elle.
Je m’autorisais tout ! Surtout que la Josette avait envie de sexe. Tout en suçant son sein, je posais ma main sur ses fesses. À cet instant je sentis des picotements agréables avant coureur d’une jouissance proche. Je fis le nécessaire pour m’empêcher de foutre, jusqu‘à sortir de son antre pourtant très accueillant. J’en profitais pour taquiner son anus.
- Oh ! Que j’aime ça, c’est bon ! Lâchait-elle.
Encourager je lui enfonçais mon doigt plus profondément, tandis qu’elle gémissait sous l’introduction.
- Oui ! Oui ! Plus loin, continue ! Enfonce oui ! Enfonce encore !
Je pris l’initiative de la branler avec le même doigt. Puis avec deux, tant le trou s’évasé. Elle fut très vite regagner d’un nouvel orgasme. Dans son plaisir, elle s‘était raidie, tendant les jambes, remuant des hanches. Quelle sensation magnifique pour moi !
- Ça fait bien longtemps que je n’ai pas joui autant que ça avec des hommes. Laissait-elle tomber. Qu’est-ce qui te ferait plaisir, dis-moi ? Ajoutait-elle, je te dois bien ça, tu veux que je te suce.
- Non !
- Cela ne me dérange pas ! Vas-y mon chéri, je suis prête à tout ce soir !
- J’aimerai bien te la mettre dans le cul.
- Là tu vois tu deviens exigeant. C’est qu’elle est grosse ta chose.
- Pas plus épaisse que les deux doigts.
- Montre-moi la un peu mieux !
- Mais... Elle est toute dure ! Fit-elle en la saisissant.
- Je te promets de ne pas te faire mal.
- Bon ! Je compte sur toi pour cela !
Je pris ma verge et la fis monter et descendre le long de sa raie plusieurs fois, puis je lui caressais la raie du cul avec mon gland, écartant une fesse avec l’autre main. Tout de suite après, je plaçais mon gland contre son anus. C’est alors que sa fleur se déplia et s’ouvrit au milieu de ses poils. Il béait ! Je me demandais si elle n’allait pas chier devant moi tant elle poussait.
Je donnais un coup de rein assez fort pour que mon gland disparu dans son cul. Je regardais, pas avec un grand frisson, ma bite s’enfoncer lentement dans son anus. Sa rondelle se dilatait formant une bague autour de ma verge. Je poussais encore pour m’enfoncer plus profondément en elle, jusqu’aux couilles.
- Aiiiiie ! Va doucement mon chéri.
- Excuse-moi, c’est que j’en avais tellement envie.
-Oui ! Mais quand même !
Je la pris par les hanches et je commençais à aller et venir. Elle venait de tant à autre d’elle-même sur un sexe. Elle semblait dans un état second, elle transpirait, tremblait, ne se contrôlait plus. Elle ne se souciait plus de rien. Nous étions tous deux, des bêtes avides de plaisirs, s’amenant mutuellement à la jouissance, devant les yeux témoins de Bruno, spectateur privilégié.
De la bouche de Josette sortait un grondement sourd presque effrayant. Je donnais des coups de reins de plus en plus puissants, à en perdre le souffle. Le regard de Juliette était étrangement trouble et elle haletait fortement. Avec un râle haché je me laissais emporter par une jouissance fulgurante. Mon pénis envoya ses longues giclées de jouissance. Pendant un long moment, je restais immobile, alanguie par la puissance de l’orgasme.
Nous avions quitté Josette le lendemain matin, après l’avoir pris debout. Chacun sa queue dans un orifice ; et cela pour son plus grand plaisir…
Elle secoua la tête. Cachant son trouble.
- Je pense avoir déjà bien bu. Il faut que je rentre ! Me fit-elle.
- Allons, Josette, encore un dernier verre.
Elle se plia de bonne grâce et tendit son verre pour que je l’emplisse. Nous trinquâmes.
- J’aime tout ce soir ! Me lançait-elle.
- À oui ! Vraiment tout ?
- Tout t’dit !
Nous rîmes tout les trois, avec Bruno mon collègue et vidâmes nos verres.
Au fil de la conversation, les joues de Josette se coloraient de plus en plus. Dès lors Bruno ne lui laissait pas son verre désemplir. Et le crémant la rendait de plus en plus euphorique.
- Il est bon ? lui lançais-je.
- Oui, comme j’l’aime. Très pétillant… laissait-elle tomber.
Elle se souleva de sa chaise pour se saisir de la bouteille, d’un geste rendu gauche par l’ivresse. Quand elle se rassit, j’en avais profité pour glisser ma main sur sa chaise. Cela la fit rire.
- Alain… tu es un petit cochon… - Tu n’aimes pas les cochons ? Répondais-je sans pour autant retiré ma main au chaud sous son postérieur.
- Oh ! Tout tourne autour de moi. Répliquait-elle.
Grâce à mes doigts fureteurs, j’avais pu franchir l’obstacle culotte. Je me mis à fouiller son pubis, que je sentis très fournie. Tout ce que j’aimais. Tout ce qui me faisait perdre les pétales. Alors à l’aveuglette je dénichais la fente. Moite ! Je n’eux d’ailleurs aucun mal à y faire disparaître mon index. L’introduction la surpris, au point que ses yeux s’arrondirent. Elle garda le silence, seulement trahit par son souffle rapide. Je profitais de sa détresse pour échanger un regard complice avec mon collègue.
- Alors Josette ? Que penses-tu du cochon en question ?
Elle gloussa sans répondre. Je profitais lâchement de sa soumission pour la trousser, retroussant sa jupe sur ses reins, révélant ainsi son postérieur charnu. Aux fesses laiteuses, avec ça, une raie profonde d’où s’échappait des crins souples. Sans aucune gêne je me mis à malaxer ses fesses, lui tenant des propos à faire rougir une pute. Ce qui ne l’empêchait pas de rire aux éclats.
Je la fis mettre en position afin de m’accroupir derrière elle. Dans cette position, jambes tendues, reins creusés, sa croupe paraissait encore plus volumineuse. Avec mes deux mains, j’écartais les deux joues jumelles, entrouvrant le sillon tapissé de poils frisottés qui couvraient l’anus.
Sa seule défense fut de rire, tellement l’alcool avait le dessus sur elle.
- J’aime les cochons… oh oui que j’aime les cochons… - Ça tombe bien… je suis né cochon… Je me penchais pour m’enivrer de l’odeur forte qui s’en dégageait. Un parfum de fauve. Je m’en approchais encore, jusqu’à enfouir mon nez dans la raie velue, et avec le bout de ma langue, agaçait les lèvres du. Elle était aux anges et le fit savoir. Alors je me mis à lui lécher sa foufoune et plus haut son anus au gout amer.
Quand je la retournais plusieurs minutes plus tard, ce fut pour la pousser à s’allonger docilement sur le dos, à même sur la table. Là elle nous exhibait son épais tapis de poils recouvrant la vulve et cela malgré mon léchage. Débordant sur la naissance des cuisses. S’étirant haut sur le bas-ventre. Je devinais le gros bouton qui luisait de salive. D’un rouge vif. J’approchais ma main et pris le clitoris entre deux doigts, et me mis à le malaxer.
- Je suis sûr que tu aimes ça ? Tu te le fais quand tu ais seule ?
- Bien sûr ! Mais je préfère que ce soit une autre main qui me le fasse… oui !
Elle répétait sottement la phrase une seconde fois.
- Mais moi je préfère que tu nous montres comment tu le fais quand tu es seule.
Elle glissa pour cela la main sur sa motte et fourragea dans ses poils.
- Oui, vas-y cochonne ! Donnes-toi du plaisir… Nous la regardâmes se masturber. Elle respirait fort, les yeux révulsés. Comme si nous n’étions pas là.
- Putain la salope ! Je n’en peux plus, il faut que je la saute… Fit Bruno.
Le visage congestionné, l’œil fixe, il mit sa queue à l’air, et l’appuya contre les nymphes rougies. Au milieu de ses brumes alcooliques, Josette réagit, en redressant la tête, les yeux s’arrondirent d’étonnement.
- C’est… c’est pas que tu vas… - Oui je vais te baiser, et tu vas aimer cela… D’un coup de reins le gland et la moitié de sa verge disparurent d’un trait, comme avaler par sa chatte. De son côté, Josette les yeux mi-clos, subissait passivement l’assaut du collègue. Bruno était si excité qu’il ne mit pas longtemps pour cracher son foutre. Ceci fait, il se retira, mais ce n’était du goût de la baiser, et le fit savoir.
- Déjà !!!!! Et bien tu ais un rapide toi !
Je repoussais Bruno pour prendre sa place. D’un coup de reins je m’enfonçais dans ses entrailles. Après plusieurs minutes de va-et-vient intense, j’arrivais à la mener jusqu‘à la jouissance. Ce qui était loin d’être mon cas. Pas même un prélude d‘orgasme. Alors je me suis acharné dans son vagin. Scrutant son visage, attentif à ses sensations. À certains moments, après un branlage plus vive, son ventre tressaillait et des spasmes parcouraient ses cuisses. Sa respiration devenait sifflante à l’approche de la jouissance. J’en ai profité pour lui palper sa poitrine à travers son vêtement.
- Doucement garnement ! Tu vas me déchirer mon chemisier, il est en soie tu sais !
Je pris cela pour une invite pour le lui retiré. Avec des gestes lents, je caressais, excitais, ses deux seins, du bout des doigts, puis je les soupesais dans la paume de ma main. Je les malaxais longuement. Ça avait l’air de lui plaire, puisqu’elle respirait de plus en plus vite. Les tétons durcissaient sous ma caresse. Je me suis fait un plaisir de les téter.
- Humm ! Je reconnais que c’est bon ! S’exclama-t-elle.
Je m’autorisais tout ! Surtout que la Josette avait envie de sexe. Tout en suçant son sein, je posais ma main sur ses fesses. À cet instant je sentis des picotements agréables avant coureur d’une jouissance proche. Je fis le nécessaire pour m’empêcher de foutre, jusqu‘à sortir de son antre pourtant très accueillant. J’en profitais pour taquiner son anus.
- Oh ! Que j’aime ça, c’est bon ! Lâchait-elle.
Encourager je lui enfonçais mon doigt plus profondément, tandis qu’elle gémissait sous l’introduction.
- Oui ! Oui ! Plus loin, continue ! Enfonce oui ! Enfonce encore !
Je pris l’initiative de la branler avec le même doigt. Puis avec deux, tant le trou s’évasé. Elle fut très vite regagner d’un nouvel orgasme. Dans son plaisir, elle s‘était raidie, tendant les jambes, remuant des hanches. Quelle sensation magnifique pour moi !
- Ça fait bien longtemps que je n’ai pas joui autant que ça avec des hommes. Laissait-elle tomber. Qu’est-ce qui te ferait plaisir, dis-moi ? Ajoutait-elle, je te dois bien ça, tu veux que je te suce.
- Non !
- Cela ne me dérange pas ! Vas-y mon chéri, je suis prête à tout ce soir !
- J’aimerai bien te la mettre dans le cul.
- Là tu vois tu deviens exigeant. C’est qu’elle est grosse ta chose.
- Pas plus épaisse que les deux doigts.
- Montre-moi la un peu mieux !
- Mais... Elle est toute dure ! Fit-elle en la saisissant.
- Je te promets de ne pas te faire mal.
- Bon ! Je compte sur toi pour cela !
Je pris ma verge et la fis monter et descendre le long de sa raie plusieurs fois, puis je lui caressais la raie du cul avec mon gland, écartant une fesse avec l’autre main. Tout de suite après, je plaçais mon gland contre son anus. C’est alors que sa fleur se déplia et s’ouvrit au milieu de ses poils. Il béait ! Je me demandais si elle n’allait pas chier devant moi tant elle poussait.
Je donnais un coup de rein assez fort pour que mon gland disparu dans son cul. Je regardais, pas avec un grand frisson, ma bite s’enfoncer lentement dans son anus. Sa rondelle se dilatait formant une bague autour de ma verge. Je poussais encore pour m’enfoncer plus profondément en elle, jusqu’aux couilles.
- Aiiiiie ! Va doucement mon chéri.
- Excuse-moi, c’est que j’en avais tellement envie.
-Oui ! Mais quand même !
Je la pris par les hanches et je commençais à aller et venir. Elle venait de tant à autre d’elle-même sur un sexe. Elle semblait dans un état second, elle transpirait, tremblait, ne se contrôlait plus. Elle ne se souciait plus de rien. Nous étions tous deux, des bêtes avides de plaisirs, s’amenant mutuellement à la jouissance, devant les yeux témoins de Bruno, spectateur privilégié.
De la bouche de Josette sortait un grondement sourd presque effrayant. Je donnais des coups de reins de plus en plus puissants, à en perdre le souffle. Le regard de Juliette était étrangement trouble et elle haletait fortement. Avec un râle haché je me laissais emporter par une jouissance fulgurante. Mon pénis envoya ses longues giclées de jouissance. Pendant un long moment, je restais immobile, alanguie par la puissance de l’orgasme.
Nous avions quitté Josette le lendemain matin, après l’avoir pris debout. Chacun sa queue dans un orifice ; et cela pour son plus grand plaisir…
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