la bonne soirée entre ami...
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 126 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Renifleur ont reçu un total de 760 442 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 427 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
la bonne soirée entre ami...
Alors que je passe devant la salle de bains voilà que j’y trouve Anthony en train d’humer une culotte. Je m’approche alors, il ne m’a pas entendu arriver et il est tout surpris de me voir immobile devant lui.
-Oh ! Fait-il, je m’excuse… me lâche-t-il.
-Tu t’excuses de quoi ? Tu ne me voles pas à ce que je sache….
-Mais… mais tu m’as surpris en train de renifler la culotte de ta… enfin ta femme.
-Premièrement, ce n’est pas une culotte de ma femme mais celle de ma fille.
-Oh pardon ! Qu’est-ce que tu vas penser de moi…
-À vrai dire, pas grand-chose à cet instant…
-Je te jure que je croyais qu’elle appartenait à ta femme…
-Où est la différence ? Mais je te crois, Anthony. Tu aimerais peut-être en avoir une de ma femme à te mettre sous les narines ?
-Arrête de te moquer de moi !
-Mais enfin, c’est du sérieux ce que je te propose.
-Mais une fois, je ne dirais pas non…
-Bien, alors suis-moi, allons prendre un verre pour commencer. Je te promets qu’avant ce soir, tu l’auras ton trophée à te mettre sous les narines !
Je profite de croiser ma femme pour lui soumettre mon affreux contrat.
-Je veux qu’à partir de cet instant, qu’à chaque fois que tu iras pisser, voire plus, que tu ne t’essuies plus.
-Qu’est-ce qu’il te prend ? Tu as bu ?
-Pas du tout. J’ai une très grande envie ce soir, une fois seul avec toi, de humer la culotte d’une grosse cochonne. Tu vois ce que je veux te faire comprendre ?
-J’ai ma petite idée… oui ! Tu ne veux pas que je me branle aussi à travers ma culotte.
-C’est si gentiment dit que je me vois mal, refusé.
-Tu es vraiment le plus grand cochon que j’ai connu.
-Et bien tu m’en vois ravie, là, ma chérie !
Bien plus tard, alors que le désert vient d’être servi, et comme tout le monde avait bien bu, je propose à Anthony de coucher avec son épouse à la maison.
-Mais je ne voudrais pas vous déranger, fait Nathalie, la femme d’Anthony.
-Si on vous le propose, c’est que cela nous fait plaisir. Fais-je.
J’attends de me retrouver seul avec ma femme pour me renseigner auprès de cette dernière si elle a respecté notre pacte.
- Qu’est-ce que tu crois, j’adore faire plaisir à mon homme, moi !
-Donne-moi là…
-Là… tout de suite ?
-Si je te la demande…
Elle retrousse alors l’ourlet de sa jupe et lâche un :
-Sers-toi !
Je m’agenouille et la fais glisser le long de ses jambes gainées de résille noire. Je profite de l’instant pour coller mon nez dans les poils de sa toison.
-Eh bien ma cochonne, tu sens fort…
-C’est bien ce que tu désirais de moi, non ?
-Là, j’avoue, tu t’es surpassé !
Culotte en boule dans la paume de ma main droite, je rejoins Anthony sur le divan. Et discrètement, je lui transmets la lingerie moite. Le premier mot qui sort de sa bouche est un :
-Merci !
-Je suis sûr que tu as une envie folle d’aller aux toilettes ?
-Maintenant que tu me le dis !
Sans perdre plus de temps, il lève son cul du divan et disparaît dans le couloir.
-Où va-t-il ? S’inquiète sa femme.
-Une envie pressante !
-C’est bien lui ça, réplique-t-elle.
À son retour, je profite que ma femme soit en pleine discussion avec la sienne pour la sonder.
-Tu m’as vraiment gâté, là ! Me murmure-t-il à l’oreille.
-Tu ne peux pas savoir comme je suis content de t’avoir rendu ce service.
-Tu as aimé son odeur.
-Oh putain que oui, j’ai aimé.
-C’est une grosse salope ma femme.
-Je n’irais pas jusqu’à là…
-Mais tu peux. Je te le permets même. Et dis-moi, maintenant que nous sommes dans la confidence. Ta Nathalie, elle aime le cul.
-En ce moment, tu sais, ce n’est pas terrible, terrible !
-Il serait bon que nous prenions l’air, tu n’es pas d’accord ?
-Je pense que tu as raison.
Une fois à l’abri d’oreille indiscrète, je lui lâche :
-C’est-à-dire ?
-Il paraît que je suis du genre très distant avec elle. Et bien sûr, elle me le reproche.
-Tu déconnes ?
-Pas du tout.
-La dernière fois, ça remonte à combien ?
-Je ne sais pas…
-Plusieurs jours ?
-Je dirais plutôt plusieurs semaines, oui…
-Non !
-Comme je te le dis.
-Qu’est-ce qui t’arrive ?
-Je ne sais pas… je n’ai plus envie d’elle. Ça s’est déjà produit chez toi ce genre de problème ?
-Parfaitement, comme chez tout le monde.
-Et alors ?
-Alors j’ai prêté ma femme.
-Tu déconnes ?
-Pas le moins du monde. Je n’ai jamais été aussi sérieux qu’à l’instant où je te parle.
-J’ai du mal à te croire.
-Et bien, tu le crois si tu veux.
-Et de la prêter cela à résoudre ton malaise ?
-Parfaitement, rien que de savoir qu’elle a pris du plaisir avec un autre homme, cela m’a donné comme une envie folle de m’occuper d’elle après. Tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais pensé ou imaginé ce genre de scénario.
-À vrai dire oui… mais seulement dans mes caresses solitaires, et pas qu’une fois !
-Tu vois ?
-Mais du fantasme à la réalité, il y a un monde. Et je ne sais pas si je vais pouvoir supporter cela !
-Crois-moi, mon pote, cela va booster ton couple !
-Mais il faut encore trouver le partenaire.
-Cela ne doit pas être difficile avec le physique de ta femme…
-Ça, c’est facile à dire. Mais vois-tu, je me vois mal faire du porte-à-porte pour savoir qui voudrait baiser ma femme. Elle te plaît, ma femme à toi?
-Comme la mienne te plaît !
-Ça ne va pas ! Où vas-tu chercher cela !
-Tu veux que je te rappelle la séance dans les toilettes ?
-Bon, je l’avoue…
-Pour répondre à ta question, Nathalie ne me laisse pas insensible, si c’est ce que tu veux entendre. Mais au lit, elle donne quoi ta Nathalie ?
-Heu…là ! Je ne sais pas si je dois… Tu vas loin là !
-Tu veux que je t’aide, oui ou non ?
-Là, tu vois… je ne sais plus…
-Juste après une simple question indiscrète, voilà que Monsieur est prêt à tout laisser tomber.
-Elle suce bien, si c’est ce que tu voulais savoir.
-Sache que cela me contre-fout, que ta femme suce oui ou non ! Ce qui m’intéresse, c’est son sexe.
-Qu’est-ce que tu veux savoir ?
-Elle s’épile ?
-Non, brut de pomme.
-Voilà ce que je veux entendre sortir de ta bouche. Tu sais comme quoi je suis friand de bonne odeur que seule une grosse pilosité peut donner.
-Je n’étais pas au courant de cela.
-Tu y es maintenant. Aller rentrant, les femmes vont s'inquiéter !
-Et pour notre petite affaire ?
-Je vais y réfléchir.
Après une coupe de champagne, voilà que Nathalie tombe de sommeil et propose à Anthony d’aller se coucher.
-Ta proposition, Alain, me lance Anthony, tient toujours ?
-Plus que jamais.
-Bon, alors je vais accepter ton idée de dormir chez toi.
-Voilà une résolution sage. Bon, tu montes les escaliers et ta chambre se trouve à la deuxième porte à droite en longeant le couloir.
Mais alors qu’il s’apprête à poser son pied droit sur la première marche, je lui soumets une petite idée à son oreille. Comme l’instant suivant, j’impose à ma femme que je reprendrais bien une mousse au chocolat. Mais d’une façon très coquine. Elle décrypte tout de suite mon message. Après s’être séparée de sa robe, la voilà qu’elle lance sa jambe gainée de résille par-dessus ma tête, pour prendre place devant moi. Dans la lancée, elle se renverse le dos sur le plateau de la table, m’offrant son ventre et son sexe.
Je fixe la fente rose sombre entourée d’une forte toison bouclée où se détachent les lèvres brunes de la chatte encore close. Puis-je contemple le corps étalé sur la table. Elle émet un ronronnement de gorge.
Je saisis le saladier de mousse qu’elle a posé sur la table. J’y plonge les doigts de chaque main, et j’enduis la chatte. Je les fais pénétrer dans la fente, m’y reprends à plusieurs reprises pour garnir copieusement l’intérieur. Grâce au reflet que m’offre le miroir au-dessus du bahut, je constate qu’Anthony est au rendez-vous.
Sur la table, ma femme gémit en sentant s’introduire en elle mes doigts. Je saisis la dernière bouteille de champagne consommée. L’approche de la vulve cherche l’ouverture du vagin en écartant les nymphes. J’y passe le goulot qui s’enfonce presque en entier. Elle se cabre, soulève le bassin, va au-devant de la pénétration.
Avec précaution, je fais aller et venir le goulot dans le sexe rempli de crème chocolat. J’ai un œuf dur hors de sa coquille, délaissé dans l’assiette, qui me fait de l’œil. Cela me donne une idée. Alors je m’en saisis, et après avoir écarté les lèvres de la chatte, je le fais pénétrer l’œuf d’un diamètre d’un beau gland dans la chair rose, où je le fais disparaître.
Alors jouant comme elle sait parfaitement le faire avec ses muscles vaginaux, ma femme fait bouger la sphère blanche dans son con. Après m’être assuré qu’Anthony était toujours là, je cherche de la langue le bouton tout écarlate pour le régaler de mes caresses buccales. Elle gémit, faisant rouler les hanches.
Je titille le bourgeon. Ma femme a le sexe en feu. Cintrée sur la table, elle serre les cuisses en étau autour de ma tête alors que je continue mon butinage, lèvres et nez enfouis dans la chair odorante. Ébranlée de spasmes, elle retombe en soupirant de plaisir, cuisses ouvertes. J’absorbe ses dernières coulées de liquide sexuel mêlées de chocolat.
Je la laisse affalée, sur la table, gémissant de plaisir, m’avançant jusqu’à Anthony. Que j'entraîne jusqu’à le conduire devant ma femme. Dans l’état où elle se trouve, elle ne pose plus de question.
-Je te veux être gentil avec lui !
-Si c’est ta décision…
A suivre…enfin si vous le désirez ?
-Oh ! Fait-il, je m’excuse… me lâche-t-il.
-Tu t’excuses de quoi ? Tu ne me voles pas à ce que je sache….
-Mais… mais tu m’as surpris en train de renifler la culotte de ta… enfin ta femme.
-Premièrement, ce n’est pas une culotte de ma femme mais celle de ma fille.
-Oh pardon ! Qu’est-ce que tu vas penser de moi…
-À vrai dire, pas grand-chose à cet instant…
-Je te jure que je croyais qu’elle appartenait à ta femme…
-Où est la différence ? Mais je te crois, Anthony. Tu aimerais peut-être en avoir une de ma femme à te mettre sous les narines ?
-Arrête de te moquer de moi !
-Mais enfin, c’est du sérieux ce que je te propose.
-Mais une fois, je ne dirais pas non…
-Bien, alors suis-moi, allons prendre un verre pour commencer. Je te promets qu’avant ce soir, tu l’auras ton trophée à te mettre sous les narines !
Je profite de croiser ma femme pour lui soumettre mon affreux contrat.
-Je veux qu’à partir de cet instant, qu’à chaque fois que tu iras pisser, voire plus, que tu ne t’essuies plus.
-Qu’est-ce qu’il te prend ? Tu as bu ?
-Pas du tout. J’ai une très grande envie ce soir, une fois seul avec toi, de humer la culotte d’une grosse cochonne. Tu vois ce que je veux te faire comprendre ?
-J’ai ma petite idée… oui ! Tu ne veux pas que je me branle aussi à travers ma culotte.
-C’est si gentiment dit que je me vois mal, refusé.
-Tu es vraiment le plus grand cochon que j’ai connu.
-Et bien tu m’en vois ravie, là, ma chérie !
Bien plus tard, alors que le désert vient d’être servi, et comme tout le monde avait bien bu, je propose à Anthony de coucher avec son épouse à la maison.
-Mais je ne voudrais pas vous déranger, fait Nathalie, la femme d’Anthony.
-Si on vous le propose, c’est que cela nous fait plaisir. Fais-je.
J’attends de me retrouver seul avec ma femme pour me renseigner auprès de cette dernière si elle a respecté notre pacte.
- Qu’est-ce que tu crois, j’adore faire plaisir à mon homme, moi !
-Donne-moi là…
-Là… tout de suite ?
-Si je te la demande…
Elle retrousse alors l’ourlet de sa jupe et lâche un :
-Sers-toi !
Je m’agenouille et la fais glisser le long de ses jambes gainées de résille noire. Je profite de l’instant pour coller mon nez dans les poils de sa toison.
-Eh bien ma cochonne, tu sens fort…
-C’est bien ce que tu désirais de moi, non ?
-Là, j’avoue, tu t’es surpassé !
Culotte en boule dans la paume de ma main droite, je rejoins Anthony sur le divan. Et discrètement, je lui transmets la lingerie moite. Le premier mot qui sort de sa bouche est un :
-Merci !
-Je suis sûr que tu as une envie folle d’aller aux toilettes ?
-Maintenant que tu me le dis !
Sans perdre plus de temps, il lève son cul du divan et disparaît dans le couloir.
-Où va-t-il ? S’inquiète sa femme.
-Une envie pressante !
-C’est bien lui ça, réplique-t-elle.
À son retour, je profite que ma femme soit en pleine discussion avec la sienne pour la sonder.
-Tu m’as vraiment gâté, là ! Me murmure-t-il à l’oreille.
-Tu ne peux pas savoir comme je suis content de t’avoir rendu ce service.
-Tu as aimé son odeur.
-Oh putain que oui, j’ai aimé.
-C’est une grosse salope ma femme.
-Je n’irais pas jusqu’à là…
-Mais tu peux. Je te le permets même. Et dis-moi, maintenant que nous sommes dans la confidence. Ta Nathalie, elle aime le cul.
-En ce moment, tu sais, ce n’est pas terrible, terrible !
-Il serait bon que nous prenions l’air, tu n’es pas d’accord ?
-Je pense que tu as raison.
Une fois à l’abri d’oreille indiscrète, je lui lâche :
-C’est-à-dire ?
-Il paraît que je suis du genre très distant avec elle. Et bien sûr, elle me le reproche.
-Tu déconnes ?
-Pas du tout.
-La dernière fois, ça remonte à combien ?
-Je ne sais pas…
-Plusieurs jours ?
-Je dirais plutôt plusieurs semaines, oui…
-Non !
-Comme je te le dis.
-Qu’est-ce qui t’arrive ?
-Je ne sais pas… je n’ai plus envie d’elle. Ça s’est déjà produit chez toi ce genre de problème ?
-Parfaitement, comme chez tout le monde.
-Et alors ?
-Alors j’ai prêté ma femme.
-Tu déconnes ?
-Pas le moins du monde. Je n’ai jamais été aussi sérieux qu’à l’instant où je te parle.
-J’ai du mal à te croire.
-Et bien, tu le crois si tu veux.
-Et de la prêter cela à résoudre ton malaise ?
-Parfaitement, rien que de savoir qu’elle a pris du plaisir avec un autre homme, cela m’a donné comme une envie folle de m’occuper d’elle après. Tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais pensé ou imaginé ce genre de scénario.
-À vrai dire oui… mais seulement dans mes caresses solitaires, et pas qu’une fois !
-Tu vois ?
-Mais du fantasme à la réalité, il y a un monde. Et je ne sais pas si je vais pouvoir supporter cela !
-Crois-moi, mon pote, cela va booster ton couple !
-Mais il faut encore trouver le partenaire.
-Cela ne doit pas être difficile avec le physique de ta femme…
-Ça, c’est facile à dire. Mais vois-tu, je me vois mal faire du porte-à-porte pour savoir qui voudrait baiser ma femme. Elle te plaît, ma femme à toi?
-Comme la mienne te plaît !
-Ça ne va pas ! Où vas-tu chercher cela !
-Tu veux que je te rappelle la séance dans les toilettes ?
-Bon, je l’avoue…
-Pour répondre à ta question, Nathalie ne me laisse pas insensible, si c’est ce que tu veux entendre. Mais au lit, elle donne quoi ta Nathalie ?
-Heu…là ! Je ne sais pas si je dois… Tu vas loin là !
-Tu veux que je t’aide, oui ou non ?
-Là, tu vois… je ne sais plus…
-Juste après une simple question indiscrète, voilà que Monsieur est prêt à tout laisser tomber.
-Elle suce bien, si c’est ce que tu voulais savoir.
-Sache que cela me contre-fout, que ta femme suce oui ou non ! Ce qui m’intéresse, c’est son sexe.
-Qu’est-ce que tu veux savoir ?
-Elle s’épile ?
-Non, brut de pomme.
-Voilà ce que je veux entendre sortir de ta bouche. Tu sais comme quoi je suis friand de bonne odeur que seule une grosse pilosité peut donner.
-Je n’étais pas au courant de cela.
-Tu y es maintenant. Aller rentrant, les femmes vont s'inquiéter !
-Et pour notre petite affaire ?
-Je vais y réfléchir.
Après une coupe de champagne, voilà que Nathalie tombe de sommeil et propose à Anthony d’aller se coucher.
-Ta proposition, Alain, me lance Anthony, tient toujours ?
-Plus que jamais.
-Bon, alors je vais accepter ton idée de dormir chez toi.
-Voilà une résolution sage. Bon, tu montes les escaliers et ta chambre se trouve à la deuxième porte à droite en longeant le couloir.
Mais alors qu’il s’apprête à poser son pied droit sur la première marche, je lui soumets une petite idée à son oreille. Comme l’instant suivant, j’impose à ma femme que je reprendrais bien une mousse au chocolat. Mais d’une façon très coquine. Elle décrypte tout de suite mon message. Après s’être séparée de sa robe, la voilà qu’elle lance sa jambe gainée de résille par-dessus ma tête, pour prendre place devant moi. Dans la lancée, elle se renverse le dos sur le plateau de la table, m’offrant son ventre et son sexe.
Je fixe la fente rose sombre entourée d’une forte toison bouclée où se détachent les lèvres brunes de la chatte encore close. Puis-je contemple le corps étalé sur la table. Elle émet un ronronnement de gorge.
Je saisis le saladier de mousse qu’elle a posé sur la table. J’y plonge les doigts de chaque main, et j’enduis la chatte. Je les fais pénétrer dans la fente, m’y reprends à plusieurs reprises pour garnir copieusement l’intérieur. Grâce au reflet que m’offre le miroir au-dessus du bahut, je constate qu’Anthony est au rendez-vous.
Sur la table, ma femme gémit en sentant s’introduire en elle mes doigts. Je saisis la dernière bouteille de champagne consommée. L’approche de la vulve cherche l’ouverture du vagin en écartant les nymphes. J’y passe le goulot qui s’enfonce presque en entier. Elle se cabre, soulève le bassin, va au-devant de la pénétration.
Avec précaution, je fais aller et venir le goulot dans le sexe rempli de crème chocolat. J’ai un œuf dur hors de sa coquille, délaissé dans l’assiette, qui me fait de l’œil. Cela me donne une idée. Alors je m’en saisis, et après avoir écarté les lèvres de la chatte, je le fais pénétrer l’œuf d’un diamètre d’un beau gland dans la chair rose, où je le fais disparaître.
Alors jouant comme elle sait parfaitement le faire avec ses muscles vaginaux, ma femme fait bouger la sphère blanche dans son con. Après m’être assuré qu’Anthony était toujours là, je cherche de la langue le bouton tout écarlate pour le régaler de mes caresses buccales. Elle gémit, faisant rouler les hanches.
Je titille le bourgeon. Ma femme a le sexe en feu. Cintrée sur la table, elle serre les cuisses en étau autour de ma tête alors que je continue mon butinage, lèvres et nez enfouis dans la chair odorante. Ébranlée de spasmes, elle retombe en soupirant de plaisir, cuisses ouvertes. J’absorbe ses dernières coulées de liquide sexuel mêlées de chocolat.
Je la laisse affalée, sur la table, gémissant de plaisir, m’avançant jusqu’à Anthony. Que j'entraîne jusqu’à le conduire devant ma femme. Dans l’état où elle se trouve, elle ne pose plus de question.
-Je te veux être gentil avec lui !
-Si c’est ta décision…
A suivre…enfin si vous le désirez ?
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Renifleur
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bizarre mais on attend le prochain chapitre