La bourgoise apprivoisée
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La bourgoise apprivoisée
Cette aventure a commencé le jour du mariage de notre fils avec Marie-Ange, Mignonnette, mais qui a grand besoin d’être ‘décoincée’, pour cela je fais confiance a benoit ! Elle est issue d’une famille de nobles déchus, ils vont tous les dimanches a la messe, c’est vous dire ! Nous nous étions vus quelques fois pour négocier l’union, marier leur fille bien aimée au fils d’un ouvrier leur restait en travers de la gorge
- Votre fils a dévirginisé notre fille, aucun garçon de souche noble ne voudra d’elle à présent ! il doit réparer en la mariant !
C’est ainsi que Marie- Annick, est devenue ma commère, Commère ? Pas celle qui passe son temps à cancaner sur les voisins, bien que maintenant elle sache très bien se servir de sa langue, mais pas pour les mêmes raisons … je suis donc son compère, quelles drôles d’appellations tout de même ! Depuis, dans l’intimité nous nous appelons autrement …mais pas de précipitation …..
Le père lui, est insignifiant, hautain, presque désagréable, le soir des noces j’étais par obligation placé à coté de Marie-Annick, engoncée dans sa robe longue et moulante, c’est là que j’ai apprécié ses formes, pas mal roulée la donzelle, bien maquillée et coiffée, belle quoi ! évidement j’étais obligé de l’inviter à danser , ma main avait du mal a rester fixée a sa taille pour deux raisons , j’avais du mal a la maintenir sur le tissu soyeux et glissant et aussi parce que son cul rebondit m’attirait , a plusieurs reprises elle a ramené mon poignet a une hauteur décente, puis peu a peu c’est elle qui se tournait de façon a ce que personne ne s’aperçoive que ma main pelotait son cul par-dessus la robe, je m’amusais a suivre les coutures de son slip, ça la faisait frémir, son regard évitait le mien lorsqu’elle se frottait en douce sur mon érection, a table nos cuisses ne se sont plus décollées , je suis sûr qu’elle aurait bien voulu ‘s’encanailler’ mais comment conclure ? Impossible, je devais faire une croix sur mes basses intentions
Les enfants résidaient chez les parents de la fille, tout allait bien, jusqu’au jour ou Marie-Annick m’appelle complètement affolée
- Georges, rien ne va plus entre nos enfants, c’est très grave, venez vite afin que nous en discutions
Je quitte mon travail séance tenante, sans prendre la peine de me changer, j’accours en combinaison de travail sous laquelle je ne porte rien … Marie- Annick m’ouvre, pimpante mais l’air soucieuse
- Que sa passe-t-il donc Marie-Annick ?
- Hé bien voilà, cela fait plusieurs fois que j’entends des bruits et des éclats de voix le soir dans leur chambre, hier soir c’était atroce, ils se battaient
- Racontez-moi ?
- Je me suis levée pour aller prendre un verre d’eau quand j’ai entendus des bruits venant de leur chambre, plutôt des claquements, qui résonnaient comme des gifles, et a chaque ‘clac’ ma fille hurlait comme une folle, votre fils l’insultait, il disait : ‘tient, prend ça salope ! ‘, je n’ai pas osé entrer
- Vous êtes sûre que c’était des coups ?
- Ce matin Marie-Ange avait les yeux cernés, le regard dans le vague, je lui ai demandé si tout allait bien, elle m’a répondu en levant les yeux au ciel, l’air radieuse : ‘Je vie un conte de fée avec benoit maman ….’ Mais je suis certaine qu’elle me cache quelque chose
- Vous savez ce qu’elle vous cache ?
- Quoi donc Georges ?
- Qu’elle se fait baiser en levrette, les coups que vous entendez c’est les deux corps qui s’entrechoquent
- Arrêtez ! c’est horrible ce que vous dites, en levrette ? c’est quoi cet animal ?
- Ce n’est pas un animal, c’est une position, imaginez vous a genoux la tête dans l’oreiller et votre homme qui vous bourre par derrière
- Jean Charles me faire ça ? c’est idiot voyons, me montrer ainsi à mon mari ? vous n’y pensez pas ! ce serait trop humiliant ! il ne me prend qu’a demi déshabillée et sagement allongée, c’est la seule position décente pour procréer, et ceci une fois par mois, car je sais qu’un homme a besoin de cela par hygiène
- Pourquoi croyez-vous qu’elle crie ? c’est parce qu’elle jouit pardi !
- JOUIR ?
- Ôtez-moi un doute … votre mari est normalement constitué ? parlez-moi de son membre
- Quelle question indiscrète ! soit, sa verge est longue comme mon majeur et grosse comme votre pouce à peu prés
- D’accord ….. donc, vous ne pouvez pas savoir ce que ressent votre fille avec mon fils, je me souviens la dernière fois que j’ai vu Benoit nu, avant qu’il ne devienne ado et pudique, sa bite était déjà plus importante que celle de Jean-Charles !
- Je n’en crois pas un mot ! un homme doté d’une si grosse, ‘bite’, comme vous dites ? quel mot vulgaire ! c’est impossible !
- Donnez moi votre main, n’ayez pas peur ‘ça’ ne mord pas
Après un instant de résistance elle me laisse manœuvrer sa main, je l’enfile dans la fermeture éclair que j’ai ouvert un peu, le dos de sa main effleure ma queue et mes couilles
- Qu’est-que c’est ? Une malformation ? Vous avez une hernie Georges ?
- L’hernie que vous effleurez, c’est mes couilles, saisissez donc ma queue, elle va grossir entre vos doigts a tel point que vous n’en ferez pas le tour
- Vous employez de ces mots … hoooo mais c’est vrai ? ça grandit et ça bouge dans ma main ! c’est un serpent !
- Arrêtez avec vos mots de snobinarde, dites que j’ai une grosse queue, un point c’est tout, lâchez vous que diable !
- Vous …vous avez une belle bite… ça fourmille dans mon ventre …je crois que je fais pipi dans ma culotte
- C’est votre chatte qui réclame son dût, elle mouille, je vais sortir ma queue, vous allez la caresser avant de la sucer
- Vous voulez me dévergonder ?
- Certainement, dans peu de temps vous allez jurer comme un charretier et employer de mots que vous ne connaissez pas encore, regardez moi ce morceau ? qu’en dites-vous ?
- C’eeessssst …..une belle verge …
- C’est un braquemard, un défonce-cul, une biroute, une pine ! qui va vous ramoner la cramouille, le garage a bite !
- ASSEZ ! ma culotte est trempée !
- Ôtez là, montrez moi votre bijou
- Nous nous connaissons à peine …
- Si j’avais voulus je vous aurais baisée le jour du mariage des enfants, je me trompe ?
- Vous m’aviez mis les sens à l’envers, je le reconnais, d’ailleurs, chose que je ne fais jamais, je me suis touchée dans les WC, ça coulait entre mes doigts, comme maintenant, ma culotte est bonne a jeter !
- Donnez là moi que je respire votre odeur, bon, tu la caresse ou pas ma queue ?
- C’est un monstre … chez Jean-Charles le bout est tout pointu...
- Comme une bite de chien ! fait un bisou à la mienne
- Le votre est bien dodu, ça coule par la fente du bout …
- Lèche…. Biiiieeeeeennnnn, ouvre la mâchoire …HAAAAAAAAAA ….. quelle vorace ! fait bien rouler mes roubignoles avec ton autre main, ne bouge plus, c’est moi qui vais te baiser la bouche, et surtout ne t’avise pas de recracher quand je vais décharger
- MMMUUUUMMM ….
- Tais-toi et ne recrache rien
Marie-Annick tousse, crache, elle manque de vomir, mais elle a dut avaler la moitié de ma décharge
- Georges ! vous avez faillit m’étouffer avec votre sauce abondante, j’en ai plein le menton
- Passe ta langue dessus ! dessape toi et vient t’assoir à cheval sur mes genoux
- Sur une chaise ? je vais tomber voyons !
- Pas une fois que je t’aurais harponnée avec mon zob !
- Vous voulez que je m’assoie nue sur votre … queue ?
- Si tu t’assois sur ma bite tu vas me la casser en deux, enfile toi par la moule
- Je n’ai jamais baisé sur une chaise, ça doit être rigolo !
- Ecarte toi la cramouille avec tes doigts et cherche mon membre, une fois calée en face laisse toi descendre lentement
- Vous allez m’ouvrir en deux …. Hoouuuuuuuaaaaaaaaa !!!!!! c’est gros ! …. C’est boooooonnnnnnnnnnnnnn !!!!!!!!!
- Saute sur ma queue, je te tiens par les nichons
- Hoooooo je rêve ! je me fais baiser sur une chaise comme une catin….. Georges ! ça fait tout drôle dans ma chatte, ça va éclater ….mais…… Je JOOOOUUUUUUUUIIIIIIIIIS !!!!!!!
- Tu jouis et tu pisse partout salope !
- ENCORE !!!!! ENCORE !!!! baise-moi, défonce ma chatte, remplie-moi de ton sperme
- Tu va être servie ….. hoooouuuuuuaaaaaaaaaaaa !!!!
- OOOUUUUUUIIIIIII encore !!!encore ! j’en veux encore !
- Encore dans la chatte ?
- Prend mon trou du cul !!!!
- Tu n’a jamais fait ça hein ?
- NOOOOONNNNNN !!!
- Alors lève toi et agenouille toi dans la chaise je vais te faire ta fête
- Quel dommage de m’ôter cette belle pine de la moule
- Ha ! à la bonne heure ! tu commence à avoir le vocabulaire qui convient !
- Fait de moi une putain, TA ! putain
- Je vais faire ce que mon fils va faire de ta fille, une belle salope qu’il prêtera a ses potes !
- Tu veux me faire saillir par tes amis ? Hoooo Ouuuuuiiiii !!!!!
- Ne bouge plus et écarte les cuisses que je vois bien ton anus…. Huuuummmm, il palpite d’envie ! ne le resserre pas …..tient toi à la chaise …..
- Ça va faire mal ?
- A peine … je vais y aller d’un coup …. HAAAANNNNNNN !!!!
- AAAIIIIIIIIEEEEEEE !!!!
- Et voilà ! je n’ai qu’à pousser un peu pour te la mettre entièrement, a toi de jouer, sodomise toi toute seule, comme une grande !
- C’est marrant, je fais coulisser mon cul sur ton gros membre ! on peut jouir par là aussi ?
- Si tu y mets du tient, surement
- Alors je vais avoir un autre orgasme ?
- Je vais stimuler ton clitoris en même temps, c’est radical
- Jean-Charles ne le touche jamais, il dit que ça ne sert à rien ce truc
- Jean-Charles est un con !
- Con et cocu !
- Votre fils a dévirginisé notre fille, aucun garçon de souche noble ne voudra d’elle à présent ! il doit réparer en la mariant !
C’est ainsi que Marie- Annick, est devenue ma commère, Commère ? Pas celle qui passe son temps à cancaner sur les voisins, bien que maintenant elle sache très bien se servir de sa langue, mais pas pour les mêmes raisons … je suis donc son compère, quelles drôles d’appellations tout de même ! Depuis, dans l’intimité nous nous appelons autrement …mais pas de précipitation …..
Le père lui, est insignifiant, hautain, presque désagréable, le soir des noces j’étais par obligation placé à coté de Marie-Annick, engoncée dans sa robe longue et moulante, c’est là que j’ai apprécié ses formes, pas mal roulée la donzelle, bien maquillée et coiffée, belle quoi ! évidement j’étais obligé de l’inviter à danser , ma main avait du mal a rester fixée a sa taille pour deux raisons , j’avais du mal a la maintenir sur le tissu soyeux et glissant et aussi parce que son cul rebondit m’attirait , a plusieurs reprises elle a ramené mon poignet a une hauteur décente, puis peu a peu c’est elle qui se tournait de façon a ce que personne ne s’aperçoive que ma main pelotait son cul par-dessus la robe, je m’amusais a suivre les coutures de son slip, ça la faisait frémir, son regard évitait le mien lorsqu’elle se frottait en douce sur mon érection, a table nos cuisses ne se sont plus décollées , je suis sûr qu’elle aurait bien voulu ‘s’encanailler’ mais comment conclure ? Impossible, je devais faire une croix sur mes basses intentions
Les enfants résidaient chez les parents de la fille, tout allait bien, jusqu’au jour ou Marie-Annick m’appelle complètement affolée
- Georges, rien ne va plus entre nos enfants, c’est très grave, venez vite afin que nous en discutions
Je quitte mon travail séance tenante, sans prendre la peine de me changer, j’accours en combinaison de travail sous laquelle je ne porte rien … Marie- Annick m’ouvre, pimpante mais l’air soucieuse
- Que sa passe-t-il donc Marie-Annick ?
- Hé bien voilà, cela fait plusieurs fois que j’entends des bruits et des éclats de voix le soir dans leur chambre, hier soir c’était atroce, ils se battaient
- Racontez-moi ?
- Je me suis levée pour aller prendre un verre d’eau quand j’ai entendus des bruits venant de leur chambre, plutôt des claquements, qui résonnaient comme des gifles, et a chaque ‘clac’ ma fille hurlait comme une folle, votre fils l’insultait, il disait : ‘tient, prend ça salope ! ‘, je n’ai pas osé entrer
- Vous êtes sûre que c’était des coups ?
- Ce matin Marie-Ange avait les yeux cernés, le regard dans le vague, je lui ai demandé si tout allait bien, elle m’a répondu en levant les yeux au ciel, l’air radieuse : ‘Je vie un conte de fée avec benoit maman ….’ Mais je suis certaine qu’elle me cache quelque chose
- Vous savez ce qu’elle vous cache ?
- Quoi donc Georges ?
- Qu’elle se fait baiser en levrette, les coups que vous entendez c’est les deux corps qui s’entrechoquent
- Arrêtez ! c’est horrible ce que vous dites, en levrette ? c’est quoi cet animal ?
- Ce n’est pas un animal, c’est une position, imaginez vous a genoux la tête dans l’oreiller et votre homme qui vous bourre par derrière
- Jean Charles me faire ça ? c’est idiot voyons, me montrer ainsi à mon mari ? vous n’y pensez pas ! ce serait trop humiliant ! il ne me prend qu’a demi déshabillée et sagement allongée, c’est la seule position décente pour procréer, et ceci une fois par mois, car je sais qu’un homme a besoin de cela par hygiène
- Pourquoi croyez-vous qu’elle crie ? c’est parce qu’elle jouit pardi !
- JOUIR ?
- Ôtez-moi un doute … votre mari est normalement constitué ? parlez-moi de son membre
- Quelle question indiscrète ! soit, sa verge est longue comme mon majeur et grosse comme votre pouce à peu prés
- D’accord ….. donc, vous ne pouvez pas savoir ce que ressent votre fille avec mon fils, je me souviens la dernière fois que j’ai vu Benoit nu, avant qu’il ne devienne ado et pudique, sa bite était déjà plus importante que celle de Jean-Charles !
- Je n’en crois pas un mot ! un homme doté d’une si grosse, ‘bite’, comme vous dites ? quel mot vulgaire ! c’est impossible !
- Donnez moi votre main, n’ayez pas peur ‘ça’ ne mord pas
Après un instant de résistance elle me laisse manœuvrer sa main, je l’enfile dans la fermeture éclair que j’ai ouvert un peu, le dos de sa main effleure ma queue et mes couilles
- Qu’est-que c’est ? Une malformation ? Vous avez une hernie Georges ?
- L’hernie que vous effleurez, c’est mes couilles, saisissez donc ma queue, elle va grossir entre vos doigts a tel point que vous n’en ferez pas le tour
- Vous employez de ces mots … hoooo mais c’est vrai ? ça grandit et ça bouge dans ma main ! c’est un serpent !
- Arrêtez avec vos mots de snobinarde, dites que j’ai une grosse queue, un point c’est tout, lâchez vous que diable !
- Vous …vous avez une belle bite… ça fourmille dans mon ventre …je crois que je fais pipi dans ma culotte
- C’est votre chatte qui réclame son dût, elle mouille, je vais sortir ma queue, vous allez la caresser avant de la sucer
- Vous voulez me dévergonder ?
- Certainement, dans peu de temps vous allez jurer comme un charretier et employer de mots que vous ne connaissez pas encore, regardez moi ce morceau ? qu’en dites-vous ?
- C’eeessssst …..une belle verge …
- C’est un braquemard, un défonce-cul, une biroute, une pine ! qui va vous ramoner la cramouille, le garage a bite !
- ASSEZ ! ma culotte est trempée !
- Ôtez là, montrez moi votre bijou
- Nous nous connaissons à peine …
- Si j’avais voulus je vous aurais baisée le jour du mariage des enfants, je me trompe ?
- Vous m’aviez mis les sens à l’envers, je le reconnais, d’ailleurs, chose que je ne fais jamais, je me suis touchée dans les WC, ça coulait entre mes doigts, comme maintenant, ma culotte est bonne a jeter !
- Donnez là moi que je respire votre odeur, bon, tu la caresse ou pas ma queue ?
- C’est un monstre … chez Jean-Charles le bout est tout pointu...
- Comme une bite de chien ! fait un bisou à la mienne
- Le votre est bien dodu, ça coule par la fente du bout …
- Lèche…. Biiiieeeeeennnnn, ouvre la mâchoire …HAAAAAAAAAA ….. quelle vorace ! fait bien rouler mes roubignoles avec ton autre main, ne bouge plus, c’est moi qui vais te baiser la bouche, et surtout ne t’avise pas de recracher quand je vais décharger
- MMMUUUUMMM ….
- Tais-toi et ne recrache rien
Marie-Annick tousse, crache, elle manque de vomir, mais elle a dut avaler la moitié de ma décharge
- Georges ! vous avez faillit m’étouffer avec votre sauce abondante, j’en ai plein le menton
- Passe ta langue dessus ! dessape toi et vient t’assoir à cheval sur mes genoux
- Sur une chaise ? je vais tomber voyons !
- Pas une fois que je t’aurais harponnée avec mon zob !
- Vous voulez que je m’assoie nue sur votre … queue ?
- Si tu t’assois sur ma bite tu vas me la casser en deux, enfile toi par la moule
- Je n’ai jamais baisé sur une chaise, ça doit être rigolo !
- Ecarte toi la cramouille avec tes doigts et cherche mon membre, une fois calée en face laisse toi descendre lentement
- Vous allez m’ouvrir en deux …. Hoouuuuuuuaaaaaaaaa !!!!!! c’est gros ! …. C’est boooooonnnnnnnnnnnnnn !!!!!!!!!
- Saute sur ma queue, je te tiens par les nichons
- Hoooooo je rêve ! je me fais baiser sur une chaise comme une catin….. Georges ! ça fait tout drôle dans ma chatte, ça va éclater ….mais…… Je JOOOOUUUUUUUUIIIIIIIIIS !!!!!!!
- Tu jouis et tu pisse partout salope !
- ENCORE !!!!! ENCORE !!!! baise-moi, défonce ma chatte, remplie-moi de ton sperme
- Tu va être servie ….. hoooouuuuuuaaaaaaaaaaaa !!!!
- OOOUUUUUUIIIIIII encore !!!encore ! j’en veux encore !
- Encore dans la chatte ?
- Prend mon trou du cul !!!!
- Tu n’a jamais fait ça hein ?
- NOOOOONNNNNN !!!
- Alors lève toi et agenouille toi dans la chaise je vais te faire ta fête
- Quel dommage de m’ôter cette belle pine de la moule
- Ha ! à la bonne heure ! tu commence à avoir le vocabulaire qui convient !
- Fait de moi une putain, TA ! putain
- Je vais faire ce que mon fils va faire de ta fille, une belle salope qu’il prêtera a ses potes !
- Tu veux me faire saillir par tes amis ? Hoooo Ouuuuuiiiii !!!!!
- Ne bouge plus et écarte les cuisses que je vois bien ton anus…. Huuuummmm, il palpite d’envie ! ne le resserre pas …..tient toi à la chaise …..
- Ça va faire mal ?
- A peine … je vais y aller d’un coup …. HAAAANNNNNNN !!!!
- AAAIIIIIIIIEEEEEEE !!!!
- Et voilà ! je n’ai qu’à pousser un peu pour te la mettre entièrement, a toi de jouer, sodomise toi toute seule, comme une grande !
- C’est marrant, je fais coulisser mon cul sur ton gros membre ! on peut jouir par là aussi ?
- Si tu y mets du tient, surement
- Alors je vais avoir un autre orgasme ?
- Je vais stimuler ton clitoris en même temps, c’est radical
- Jean-Charles ne le touche jamais, il dit que ça ne sert à rien ce truc
- Jean-Charles est un con !
- Con et cocu !
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