La bulle familiale. (1)
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La bulle familiale. (1)
La troisième année d'université de Kal a été interrompue par un nouveau confinement... le quatrième ou peut-être même le cinquième, il avait perdu le compte vu la gestion bordélique du gouvernement !
Il venait de survivre à son premier semestre, confiné sur le campus pour la période de Noël. Alors que le pays sombrait dans la folie... ses parents lui avait proposé de revenir chez eux, mais cela ne le tentait pas... pas du tout !
Mais cela ressemblait trop à un grand pas en arrière et il n'avait aucune envie de se retrouver enfermé avec eux une fois de plus... mais l’université l'avait foutu dehors ! Il se retrouvait à Londres, sans un sou en poche... dans une ville qui avait sombré dans la folie... une authentique galère !
Londres, la ville était en temps normal une très belle ville... mais l'épidémie en avait fait un désert de poussière qui sent l'adrénaline. Mais sa tante Anna habite ici et avait accepté de l'héberger. Anna était la jeune sœur de sa mère et avait seulement une dizaine d'années en plus que lui.
Chez Anna, elle stressait un peu. Kal et elle ne s'étaient pas vu depuis cinq ans, et ils avaient toujours eu des rapports étranges quand ils étaient ensemble. Moins que frère et sœur, mais bien plus que tante et neveu... bref, des rapports bizarres. Du coup, ils ne se connaissaient pas vraiment, car ils ne se voyaient que lors des grandes fêtes de famille, ou lors des mariages et des enterrements... et quand ils se parlaient, c'était cinq minutes.
Mais ils ont eu des expériences insolites dans le passé. À commencé lorsqu'il avait environ huit ans… ce petit salaud était venu dans sa chambre, chez ses parents, alors qu'elle changeait de fringues. Il était entré et sans un bruit la surpris nue. Elle se retourna et ce fut l'expérience la plus marquante de son enfance, gravée dans sa mémoire ces images ont inspiré nombreux de ses fantasmes. Alors qu'elle semblait si pure, cette fois-là elle lui a fait peur. La honte et la frayeur s'étaient enraciné en lui.
Mais ce n'est pas tout, ! Quelques années plus tard, il avait quinze ans et elle vingt-cinq. Durant une réunion de famille, elle s'est retrouvée derrière lui, et croyant qu'il était son copain, elle lui avait mise les mains aux fesses et avait eu des paroles très directes.
Je ne peux plus attendre la fin de cette foutue fête. Je veux te sortir de ces fringues et palper ton merveilleux petit cul.
Il fut surpris et ne sut pas quoi faire... alors il était resté figé pendant qu'elle lui massait le cul.
Putain, je suis excitée... tirons-nous de la, que j'aille te sucer ta belle queue, ta grosse bite...
Et c'est vrai , elle était raide et ses pensées étaient obscènes.
Tourne-toi, bébé, je mouille rien que d'y penser...
Et elle eut un énorme surprise...
Anna !... Je...
Hein ? Kal ? Mon Dieu... J'ai cru... enfin, pas toi !
Elle était dévastée, mais il n'y avait eu aucun témoin et c'est depuis ce moment que leurs relations sont devenues bizarres. Enfin, plus que bizarres, surréalistes !
Mais revenons au présent, avec Kal qui est devant la porte de sa tante Anna.
Tous les deux sont stressés et se concentre pour ne pas une nouvelle fois se retrouver dans une situation qui les mettraient mal à l'aise.
Bonjour, Anna !
Salut, mon neveu ! Contente de te voir ta gueule !
Merde, que venait-elle de dire... « ta gueule »... Mais à par cela, il était bien plus sexy que dans ses souvenirs.
Pardon Kal, entre ! Pose ton barda... tu es chez toit, ici !
C'est trop sympa, merci tante.
C'est génial que tu sois là, ça va me changer du quotidien.
Elle portait un pull tout simple et semblait n’avoir aucunement conscience de son incroyable pouvoir de séduction ! Dans sa tête se bousculait une multitude de réflexions. Tel que « Elle a de si gros seins ?... du rembourrage ? Oh non... c'est du vrai de vrai, du naturel... »Il se tenait là, tout raide alors que c'était un super-beau mec. Un apollon qui ne se rend même pas compte de combien il est beau. Elle aussi avait des idées plein la tête, « C'est devenu un homme et un beau morceau... Attends. Il regarde mon sweat... ou mes nichons ? On va vérifier ça tout de suite. »Tu regardes mon sweat ? Il craint, je sais... ce n'est pas mon style habituel... hein ?
Hein ? Heu... non... heu... c'est juste que... heu... la couleur, tu vois ?
Ha oui... !
C'est bien ces nichons qu'il regarde, il essaye pourtant de na pas la mater, mais son parfum le grise... amande douce et cerise chaude... et elle est trop sexy quand elle soulève son sweat. Il ne veut pas fixer ses seins, mais s'il regarde plus bas, il devine sa chatte.
J'ai mis ce que j'ai trouvé, parce que d'habitude je vis à poil... juste des chaussettes, ha, ha, ha !
Elle ne sait pas pourquoi, mais à chaque fois qu'elle ouvre la bouche, c'est pour se mettre dans des situations pas possibles.
Heu... ha, oui, ha, ha…,Bon, viens, suis-moi... mon pauvre petit neveu... viré de l'université... avec tout ce bordel dehors...
C'est super-géant comme endroit !
Bienvenu dans ma bulle !
Incroyable cet appartement... un duplex ?...
Tu aimes ?
Maman m'a dit que tu avais acheté un entrepôt, mais...
Ouais, c'était ça... il y a trois ans de travail pour obtenir ce que tu vois là !
C'est une blague, tu as fait cela toi-même ?
Eh bien, au début, j'ai eu un peu d'aide, comme il y avait des traverses métalliques, on a posé la mezzanine et, oui le plâtre, la plomberie, l'électricité, etc.
Wahou...
Ce n'est pas fini... la cage d'escalier reste à terminer depuis un an... mais j'en ai marre de ses foutues soudures !
Attends... tu as soudé tout ça ?
Oui, merci YouTube et tes tutos...
Les yeux fixés sur elle, Kal ne savait plus quoi dire.
Quoi ?
Pour être honnête... tu m'as toujours…Oui ?
... intimidé, Tante Anna !
Quoi ? Kal... et ne m'appelle pas tante Anna, je n'ai pas cent ans, merde.
Désolé... désolé !
... alors je t'intimide ?
C'est juste que tu es tellement cool, tu sais... hors-normes, en fait !
Ha... je vais prendre cela comme un compliment... Allez, on monte à l'étage !
Merci de m’accueillir chez toi !
Arrête de toujours me remercier. Regarde, c'est juste un lit de camp sur un palier. Il n'y a même pas de porte... on bricolera quelque chose demain matin.
Ne t'inquiète pas, c'est parfait, fantastique ! C'est trop coll chez toi, Anna !
Ravie que ça te plaise !
J'espère ne pas déranger quand ton copain reviendra ?
On s'est séparé... je fais un break pour le moment...
Désolé... je ne savais pas...
Ce n'est rien, je n'ai rien dit, j'avais du mal à assumer, tu vois ! Mais en ce moment, ça va... tout va bien !
Tu es toute seule pour le moment...
Ouais... c'est ça... toute seule !
Et là, Anna fondit en larme, l'émotion était trop forte et elle ne parvenait plus à cacher son mal être.
Anna, ça va aller.
Je ne supporte plus la solitude... c'est pour cela que je suis contente que tu sois là... Mais d'habitude je ne pleure pas...
Vas-y, pleure ! Ça fait du bien, tu seras soulagée.
D'un geste réconfortant, Kal la serra dans ses bras. Mais la prenant ainsi contre lui, il sentit son parfum de femme, sentit sa poitrine s'écraser contre la sienne. Elle était ferme et souple en même temps. Il ferma les yeux, ému par ses larmes, cette situation le touchait au plus haut point.
Bou-hou. Je suis désolée pour toi, tu essayes de reprendre l'université et tout part en sucette. Tu te retrouves à la rue et tu n'as plus que ta vieille tante foldingue pour t'héberger pendant cette période de confinement. Décidément tu n'as pas de chance. Bou-hou...
Mais non, tu dois supporter cette séparation durant cette période de confinement... et tu te retrouves seule dans cet énorme appartement... comment surmonter cela sans aide... Anna ?
Tu es un amour... je me sens déjà mieux... ta présence me fait du bien.
Anna reprit le dessus et installa son neveu. Sur le palier, elle avait ouvert un lit de camps, sa chambre et la salle de bain étaient les deux pièces de cet étage. Mais toutes les parois étaient toute en verre dépoli et la porte de la salle de bain fermait mal. Jusqu'ici cela ne posait aucun problème vu qu'elle était seule.
Je suis désolé de t’accueillir ainsi, je n'ai pas de chambre d'ami.
Anna, attends, c'est l'appartement le plus fabuleux que j'ai vu de ma vie. Le lit de camp est parfait... et tu es la personne la plus admirable que je connaisse. Donc, même si je ne pouvais rester qu'une nuit, ce serait fantastique, je te le jure !
C'est vrai ?
Ouais... retourner chez mes parents... tu n'as pas idée de ce que...
Mais tu peux rester aussi longtemps que tu veux. Tu es une bénédiction, tu sais.
Merci, Anna !
Pardon.
Pourquoi ? Tu es fantastique et ici, c'est génial.
Parce que... je suis tellement contente que tu sois là... Je n'avais touché personne depuis au moins six mois... et même avant le confinement, tu vois… ?
Je suis désolé pour toi.
Je vais à nouveau pleurer...
Fais pas ça... ou moi aussi...
Ils tombèrent à nouveau dans les bras l'un de l'autre.
Plus tard dans la soirée alors qu'Anna travaillait à son bureau dans sa chambre.
Anna, Je vais me coucher...
Dors bien, chéri... J'envoie un dernier mail et j'arrête, ça ne sera plus très long.
Prends ton temps, tu es chez toi ! Je dois de toute façon encore passer à la salle de bain.
Et comme toutes les parois de l'étage étaient en verre dépoli, cela n'empêchait pas Anna de voir assez bien ce qui se passait dans la salle de bain depuis sa chambre. En effet, outre un défaut dans cette section de vitrage, il faisait plus sombre dans la chambre.
Si bien que quand Kal se déshabilla, se croyant à l’abri des regards de sa tante, elle le voyait.
Humm... Voilà son sexe, ouais… ! Ce verre défectueux à quand même certains avantages.
Pendant ce temps dans la tête de Kal le doute naissait quand même.
Est-ce qu'elle me voit ? Moi je ne vois rien de ce côté-ci... c'est excitant ce suspense...
Ouais... agite-moi ça un peu tout ça. Hmmm... Allez, tourne-toi encore un peu plus mon chéri...
Et elle l'observa jusqu'à ce qu'il aille se coucher.
Dix minutes plus tard, c'est elle qui se déshabillait dans la salle de bain avant d'aller se coucher. Et cette fois ce n'est pas du verre défectueux, mais une porte qui ferme mal qui permit à Kal de se rincer l’œil. Faisant semblant de dormir, il ne perdait pourtant rien de ce qui se passait.
Elle va enlever son soutif ? Elle le garde quand même pas pour la nuit...Hooo oui... elle l’enlevé.
Elle n'avait jamais enlevé son soutif aussi lentement... elle se doutait... ou plutôt espérait que son neveu la regardait. Elle ne pouvait se retourner pour vérifier, mais elle sentait en elle qu'il l'observait.
Elle prenait son temps, caressant doucement la courbe de ses seins comme si elle voulait s'exciter en enlevant son soutien. Elle aimait son corps et en prenait soin, il était encore ferme et joli. Kal allait-il pouvoir résister à un tel spectacle ? Mais elle finit par enfiler un string et un top pour la nuit.
Quand elle est sortie, Kal garda une main sur son sexe, essayant de cacher l'érection qu'il avait.
Bien, j'ai fini... et toi aussi ? J’éteins la lumière ?
Heu... oui... oui.
Elle avait les tétons qui pointaient à travers son top, c'en était trop il sentit de l'humidité transpercer son caleçon.
Bonne nuit, mon chéri !
Bonne nuit !
Mais il ne pouvait détourner son regard des fesses de sa tante et elle le sentait.
Dans sa chambre, elle ôta son top, s’approcha de son lit les jambes tremblantes d'excitation.
Avec un œil sur la porte, au cas où Kal se pointerait, elle écarta les cuisses et y glissa la main droite ou il faut. Son majeur parcouru la fente centrale de sa vulve et l'écarta avant de s'enfoncer dedans, cela tout en se caressant le clitoris et essayant de ne pas faire de bruit.
Mais Kal ne dormait toujours pas et il remarqua rapidement les faibles gémissements. Et dans sa tête, il n'osait pas y croire.
Non, elle se... ? Non, sûrement pas... elle ne ferait pas ça alors que je suis à quelques pas de sa chambre ?
Anna, de son côté agitait ses doigts dans sa chatte trempée, gagnant en vitesse et caressant les points sensibles. Sa raison se liquéfiait alors qu'elle sentait l'orgasme envahir son corps. Elle ne parvenait plus à étouffer ses gémissements et ce même avec la main sur sa bouche. Alors elle se laissa aller, plongeant les mains entre ses cuisses et repoussant son string, elle écarta ses lèvres faisant naître un plaisir incontrôlable. Gémissante et agitées elle sentit l'orgasme lui traverser le corps. Elle plongea trois doigts aussi loin qu'elle put à la recherche de son point G et en même temps elle continuait d'exciter son clitoris de sa main droite. Essayant toujours de limiter ses gémissements, elle sentit ses jambes commencer à s'agiter, à trembler sous les draps.
Les gémissements, le fait de savoir que sa tante se donnait du plaisir à cet instant précis, c'en était trop pour Kal ! Sa queue se redressa à nouveau ! Il bandait comme un fou et se mit à se branler à en arracher sa bite.
Chez Anna l'orgasme s'intensifiait de plus en plus et déchirait son corps par vagues successives. Elle basculait dans une extase ou rien ne pouvait plus l'atteindre. Ni honte, ni timidité, ni la présence de qui que ce soit.
Kal éjacula une seconde fois, les gémissements étaient comme une musique à ses oreilles. Son foutre jaillit de sa queue en quantités incroyable... Il repoussa le duvet pour limiter les dégâts, mais en pure perte.
Anna gémissait maintenant bien trop fort et cela malgré qu'elle ait à nouveau mise sa main sur sa bouche. L'orgasme enflait toujours et il envahit son être tout entier, évacuant toute raison et toute pudeur sous ses vagues de plaisirs qui la traversaient et s'échappaient de ses lèvres. Maintenant des flots de mouille jaillissaient de son vagin et inondaient le lit entre ses cuisses. Elle essayait encore de limiter son orgasme et de reprendre un minimum le contrôle de son corps déchaîné. Mais cet orgasme ne voulait prendre fin... et ses yeux se révulsèrent, la faisant basculer dans une autre dimension. Elle du se mordre les doigts rien que pour ne pas crier et cette douleur suffit à peine. Une main en bouche et l'autre immobile plongée dans sa chatte, elle arriva à sortir très progressivement de cette extase incroyable. Son corps s'alanguit et retomba dans les draps. Les vagues de plaisir refluaient et elle retrouva une respiration plus calme... ses yeux se remettaient en place en même temps que son cerveau entama son long et patient reboot.
Pourquoi une tel orgasme ? Était-ce à cause de Kal... du tabou qu'il représentait... ou parce qu'il était un si beau garçon, ou à cause de ces phéromones ? Elle n'en savait rien. Elle savait seulement que c'était le meilleur orgasme qu'elle ait jamais eu de sa vie. Elle aimait ce moment, après une bonne masturbation, quand le cerveau se remet en route... mais que le plaisir est toujours là et que ses doigts bougent encore juste pour vérifier que ce n'est pas un rêve. Oui, elle aimait ces moments chauds, poisseux de fluides. Quand ses sens dérivent, rassurés par la présence de quelques doigts égarés entre ses cuisses, parcourant lentement ses chairs fatiguées, mais encore sensibles.
Kal, bouche ouverte cherchait de l'air et les jambes tremblantes, il finit de se vider les couilles. Il était épuisé... le duvet était ruiné, imprégné de foutre. Tant pis, il sécherait. Il n'entendait plus aucun bruit venant de la chambre d'Anna. Il essaya alors de réfléchir ce qui venait de se passer.
Il laissa passer quelques minutes... Peut-être avait-il imaginé ces bruits et qu'en réalité, c'était juste sa tante grommelant devant son téléphone... ou lisant un roman ? Il devait savoir, alors que la lumière, il se leva et alla voir doucement. Avançant à pas de loup, prenant une bonne minute pour chaque pas, il se rapprocha lentement de la porte de sa chambre. Et enfin il la vit. Il entendait sa respiration profonde. Elle dormait paisiblement, nue et les jambes écartées. Il la regarda un long moment, observant ses seins se soulever et retomber en suivant son souffle. Une de ses jambes était même posée par-dessus les draps et ses doigts semblaient maculés de fluides, comme si elle s'était endormie après s'être masturbée. Tout cela confirmait ce qu'il avait entendu et dépassait tout ce dont il avait pu rêver. Elle s'était doigtée et après avoir joui elle s'était endormie. Tout cela sachant qu'il était juste à côté... quelle femme incroyable !
Malgré ses activités de la soirée, sa queue redevint dure et il se branla à nouveau tout en regardant Anna. Il se sentait fort et puissant... excité par sa tante nue, il sentit le sperme affluer une nouvelle fois depuis ses couilles. Il s'avança et doucement entra dans la chambre pour admirer l'incroyable nudité, les courbes et la chatte luisante. Il n'avait jamais vu ça avant, jamais à ce point, elle était trop belle. Il se branla aussi fort qu'il put, propulsant des jets de spermes et surpris par la puissance de ceux-ci il les vit atteindre le lit et s’écraser sur ses seins. Il continuait de gicler, les yeux à demi fermé. Des traces de sperme recouvraient maintenant tout le joli corps, maculant son pubis et le mal étant fait, il plongea le regard entre ses cuisses grandes ouvertes, cherchant à pénétrer sa chatte du regard.
Elle s'était endormie et rêvait que Kal était là et qu'il la recouvrait de son sperme... Elle le sentait chaud sur elle...
Kal reprit ses esprits et regagna tout aussi prudemment son lit. Qu'est-ce qu'il lui avait prit ? Ce n'était pas comme s'il pouvait essuyer après. Il avait eu de la chance qu'elle ne se soit pas réveillée, mais putain quel gâchis ! Il était dingue.
La nuit, Anna se leva pour aller à la toilette, mais elle ne remarqua rien, si ce n'est qu'elle avait une substance séchée sur elle. Peut-être sa mouille, mais ce n'était pas comme d'habitude. Puis elle se lava vite fait et retourna se coucher sans plus y penser.
Le lendemain matin, alors qu'il se réveillait, Kal entendit sa tante en vidéophone. Il ne comprenait pas, mais elle semblait heureuse et riait de bon cœur avec son interlocuteur.
Putain Anna, je remarque juste que tu as nettoyé la cuisine, hein ?
Oh ? Juste une subite envie de propreté...
Attend voir... gros rangement, pas de soutif... mon Dieu, un homme ?
Non, je...
il n'y a pas un homme chez toi ! Sacré dieu, raconte, vite...
... c'est... heu... de la famille... un neveu, c'est tout !
Sur cet entre fait, elle vit Kal descendre les escaliers... en slip.
Salut, Anna !
Hein ? Ha, salut Kal chéri... bien dormi ?
Très bien, merci ! Dis, je peux utiliser la douche du bas ?
Bien sûr... je… il y a des serviettesGénial... merci Anna !
Kal se dirigea dans la salle de douche juste à côté de la cuisine, mais tout en prenant attention de cacher les auréoles qui recouvraient son slip.
Kal chéri ?... Et qui est « Kal chéri » ?
Heu... je... c'est... Il...
« Je... c'est-il »... qu'est-ce qui t'arrive bordel ?
Putain, mon thé... merde !
Curieux Kal passa derrière sa tante pour voir à qui était cette jolie voix féminine qui se renseignait à son sujet.
Salut !
Wahou... salut…Chun, mon neveu, Kal !
Eh bien... dis donc...
Heu... je vous laisse.
Si tu as besoin de quelque chose, demande le moi, mon chou !
Bien sûr, merci !
Et nos deux amies continuèrent leur conversation alors que Kal allait prendre sa douche.
... et tu ne m'as rien dit ?
Dire quoi ? Il n'y a rien à dire, c'est la famille...
C'est ça, rien... « chéri », « mon chou »... et tu lui matais le cul... putain, ça se voyait d'ici !
Je... heu...
Anna ! Ton thé, tu en mets partout...
Ha merde...
À côté Kal entendait des brides de conversation et cela piqua sa curiosité. Il ouvrit un peu la porte et tendit l'oreille pour comprendre de quoi elles parlaient.
Calmos, Chun !
Me calmer... qui porte le plus petit haut de toute l'histoire, c'est moi peut-être ?
Je dors avec et c'est...
... ce n'est pas possible de passer un soutif dès le matin, hein ? Tu ne te prives pas de faire danser tes nichons sous son nez, je parie ?
Oh, la ferme, Chun... je suis grande ! Je m'habille comme...
Ah ouais ?... Et tu as quoi comme bas, dis-moi ?
Un... bas de survêt ?
« Un bas de survêt »... non, mais je rêve... qui, de toute l'histoire à jamais porté un « bas de survêt » ? Tu te fous de moi, Anna ?
Ok, ok ! Je porte une vieille culotte ! Tu es contente ?
Génial ! Par le ciel, vivement qu'un mec s'amène chez moi... Je suis en feu. J'ai déjà mouillé toute ma putain de culotte !
Chun, bordel, on est parent lui et moi...
Allez, on s'en fou de ces règles à la con. Tu dois te le faire, ce n'est pas possible autrement...
Tais-toi !
Admets-le ! Tu y as pensé...
Bien sûr... mais... la ferme !
Pitiééé, j'ai besoin de potins bien salaces et c'est la meilleure histoire dont je pouvais rêver, Anna chérie !
Tu es vraiment trop ..., tu sais ?
Je sais que je suis coincée à la maison et excitée comme une chienne en chaleur... Tu sais ce que ça fait d'être comme ça ?
He oui, je sais, Chun !
Tu as vidé tes piles toi aussi ?
Non ! Je sais recharger un vibro, moi ! Et toi, tu sais le faire ou il faut que je te montre ?
Sans rire... si j'étais toi, je me le foutrais entre les cuisses vite fait... Dis, tu me mettras la webcam, hein, chérie ?
Tu es une bonne amie, Chun, et ton conseil, c'est que je baise mon neveu pendant que tu mates à distance ? Tu es raide cinglée, tu sais ?
Qui parle de baiser ? Je n'ai rien dit de tel... à quoi tu penses exactement ? Sois franche...
Putain, tu es une vraie salope !
... Tu as des pensées dégoûtantes, Anna, honte sur toi.
Toi, mon amie, mais pourquoi ?
Cent balles que tu le branles avant que minuit ait sonné !
Aucune chance ! Considère que tu me dois déjà cet argent ! Au fait, tu les as, au moins ?
Heu... Alors disons vingt...
Tenu ! Vingt balles qu'il ne se passera rien... à plus tard, queutarde !
Éclate-toi. Fais rien que je n'aurais pas fait !
Changes tes piles et éclate-toi aussi, salope !
Promis.
En vérité, Chun avait mise ça dans la tête d'Anna. Maintenant elle n'arrêtait plus d'y penser, même si avant elle n'avait pas l'intention... et Kal qui se lavait, là, juste à côté. Elle tenta d'arrêter d'y penser, mais sa main se glissa dans son slip, son pouce chercha sa fente déjà moite... et tout ça avant même qu'elle réalise ce qu'elle faisait. Elle avait trop l'habitude de se branler dès qu'elle en avait l'envie. Mais elle devait se rappeler qu'elle n'était pas toute seule... mais putain ce qu'elle mouillait.
Dix minutes plus tard, Kal sorti de la salle de douche. Avec pour tout vêtement une serviette nouée autour de sa taille.
Hé !
Ok, la douche ?
Géniale, merci !
Alors... ton amie, Chun... je... heu...
Ouais, une ancienne d'université ! Tu veux une tasse de thé ou de café ?
Du thé, merci... Enfin... Chun parle assez fort et j'ai bien peur de vous avoir entendues... les murs sont minces, tu vois ?
Oh merde ! Désolée... on plaisantait... c'est idiot, vraiment, surtout moi et je...
... Mais non... heu... c'était amusant !
Bordel... que c'est gênant.
Ne t'en fais pas pour ça... Je ne dirai rien à personne et je me suis bien amusé... ça me rappelle d'autres trucs... heu... gênants, tu vois de quoi je parle !
De quoi ?
Tu te souviens, quand j'étais petit et que je t'ai vu nue ? Je ne l'avais pas fait exprès, mais je ne regrette rien...
... Mon pauvre chéri... Je t'ai traumatisé, c'est ça ? Désolée...
Non, non, mais ça m'a marqué... en bien !
Hé, hé... et bien tant mieux. Je dis... que si tu m'as vu nue, du coup tu me dois un retour.
Tu veux que je retire cette serviette ? Ha, ha, tu rêves ?
Ha, ha, ha, je le veux, oui...
Toujours aussi dingue, hein ? ... Et c'est toi qui as une dette. Tu m'as mâté les fesses, tu te rappelles ?
Quoi... moi ? Jamais ! Quand ?
Une fête de famille... tu as cru que j'étais ton copain de l'époque, John ou un truc comme ça !
Oh, James... Oh oui, j'avais totalement oublié cette histoire...
Tu portais une robe orange...
Mon Dieu, je t'avais pris pour James et je t'ai attrapé les fesses !
Pour ça, oui, tu ne t'es pas privée, hé, hé !
Bon dieu, d'y repenser maintenant... mon Dieu, que c'est gênant... Bon dieu, nooon !
Ça nous fait une belle série de trucs louches en commun, hein ?
... Plus une conf-call gênante, hein ?
... Pas gênante, plutôt excitante, je dirai... un truc de plus...
Je m’excuse, mon chéri... Tu veux me mâter les fesses, toi aussi ?
D'une geste, elle se retourna et d'une main fit un peu glisser sa culotte, dévoilant une fesse et sa raie.
Ha, ha, très gentil, mais non merci...
Vas-y, c'est que justice. Je t dois bien ça, ha, ha, ha !
Oh oui... superbe cul... tu es trop gentille... Mais, je suis plutôt « nichons » tu vois ?
Nichons, hein ? Alors sers-toi, mon beau... ça fait longtemps que l'on ne me les a pas secoués.
« Secoués » ? J'adore ce mot...
Ha, ha, vas-y, go !
Ha, ha, ha. Oui, je... heu...
Elle s'approcha de lui et prit une grande inspiration tout en lui tendant les seins. Il s’étaient si gros qu'il manqua de s'évanouir.
Non, sérieusement ? Tu es sûre que tu...
Je rigole ! Je rigole... Non, oui, oui, non !
Oui, moi aussi...
Heu... on fait quoi aujourd'hui ?
Je... J'ai un peu de boulot pour l'université. Tu vois... des bouquins et...
Sérieusement !
Ah, sérieusement ? Tu veux dire... ?
... Sérieusement, touche-moi ! J'ai envie, vraiment !
Heu...
On sera quitte... pour les fesses, tu vois ?
Ah oui ? Oui... heu... bien sûr...
Oui !
Heu... cool !
Je ne...
Vas-y, Kal, c'est ok !
Il finit par loser ses mains sur ses seins et à les masser au travers de son haut.
Kom op, raak me aan. (Vas-y, touche...)Heu... j'avais oublié que tu parlais flamand. Tu voyages toujours aussi souvent en Hollande ?
Non... Je ne bouge plus trop depuis quelques années... moins de déplacements... professionnels.
Bon dieu... waouh... et tu le parle bien, le... le flamand ?
Ils avaient tous les deux de plus en plus difficile à se concentrer Hum... pas trop mal, c'est facile... tu te souviens d'Oma, elle parlait bien !
Heu... je ne connais pas trop ce... heu... côté de la famille... tu sais...
Serre plus... !
Hhhffff...
Tu aimes ça, c'est sûr !
Hooo, putain que oui...
Parle-moi encore flamand...
Ok, ik hou ervan hoe je met mijn borsten speel. (J'aime quand tu me tâtes les seins.
Humm... c'est trop sexy, j'adore...
Tu devrais apprendre... Dan kunned we nederlands praten, terwijl jij in mijn borsten knijpt. ( Alors nous parlerons flamand pendant que tu me secouera le nichons.
Mmmmhhh.
Ik will je zo graag aanraven, Kal... Ik wi gewoon je pik in mijn mond voelen. ( Je veux te toucher plus que ça, Kal... Et je veux prendre ta queue entre mes lèvres.) ... tu ne me comprends pas, hein, Kal ?
Un petit peu... « Pik » c'est la bite, c'est ça ?
Hooo... merde...
Et « Mond » les lèvres, hein ?
Bordel...
... Alors, il faut que je fasse attention à mes paroles...
He, oui...
Juste une blague, hein ?
Hmm...
Tu serres un peu fort !
Désolé, tu veux que j'arrête. Si c'est...
Jamais de la vie ! Ça me convient parfaitement...
Bien.
à cet instant l'érection de kal dénoua la serviette qui tomba à ses pieds.
Bon dieu... waouw...
Je... je devrais me rhabiller, mais j'ai les mains prises, alors...
Tant mieux ! Dis, Kal, je peux jeter un œil ?
Heu... oui...
Bien... Ohhh... Haa... Tu m'as vue nue, alors maintenant, on est quittes, hein mon chéri ?
Ha ? D'accord... regarde bien...
Compte sur moi...
Si tu veux, tu peux passer tes mains en dessous de mon dessus... si tu veux...
... C'est trop fantastique... je... je...
... et moi, est-ce que je peux... ... te toucher ?
Touche tout ce que tu veux... je suis déjà étonné de respirer encore tellement c'est bon...
Ok, merci !
Ils se sont caressé en silence... elle glissa les mains le long de son torse, descendant doucement vers ce qu'elle désirait palper des deux mains et lui sentis ses doigts se refermer sur son sexe. Elle le tenait pendant qu'il lui malaxait les seins, les écrasant entre ses mains.
Elle serra tendrement sa bite et sentis quelque chose couler entre ses cuisses... Elle allait jouir. Elle mouillait et salivait abondamment.
B... belle queue...
Si je m'évanouis, tu ne t'inquiéteras pas ?
Tu dis ? ... J'ai les oreilles qui sifflent... ton pénis... Mijn god. Mijn mond... Water-tanden dit is geniaal... (Mon Dieu, mes lèvres, je bave, génial...)Elle le caressa d'abord du haut vers le bas, puis elle attrapa sa queue fermement à pleine main et se mit à tirer fort... mais elle bouge tellement doucement que cela ne put être considéré comme de la masturbation. Sa main est ferme et caressante, c'est la chose la plus sexy qu'il n'ai connue de toute sa vie. Il pouvait à peine respirer et resta figé, seul sa queue tremblait entre ses mains. Elle lui étira les couilles d'une main et la branla de l'autre... Elle sentait bien qu'il adora ça. En fait, elle ne voulait pas vraiment le branler, si elle le faisait, elle était certaine de le faire jouir et, dans ce cas elle devrait vingt balles à Chun et... Elle s'efforçait d'arrêter avant qu'il ne soit trop tard !
Stop ! Assez... pas aujourd'hui, non.
Oh, désolé, en effet, je ne... désolé.
Pas un mot à ta mère !
... ni à Chun non plus !
Chun me le ferai payer, c'est sûr !
Il le savait si elle n'avait pas parié avec Chun, elle aurait été plus loin ! Mais c'était fini et ils se regardèrent, ne sachant, ni l'un ni l'autre que faire.
Anna, alors... Heu... On fait quoi aujourd'hui ?
Je pensais faire un peu de pilate...
Pilate ?
Oui, ça ressemble au yoga, mais sans le côté spirituel... en plus physique !
Cool !
Et toi beau gosse, tu fais quoi ?
Footing, football... heu... rien de très compatible avec ce foutu confinement...
Ça oui... Allez on fait une séance de pilate tous les deux... allez dis oui !
Hm... Pourquoi ?
Ça va faire de toi un vrai surhomme, crois-moi !
Vraiment ? Avec la vision à rayon X et la force surhumaine ?
Allez, un bras de fer...
Quoi, tu y crois ? Mais tu n'as pas une chance ! Je suis plus fort que toi, désolé !
Viens prendre une bonne leçon de ta tatie Anna !
Elle le tira vers la table et décidée elle l'invita au bras de fer.
Dis-moi si je te fais mal, je ne voudrais pas...
Alors, tu pousses...,Bon dieu... ! Mais tu es en acier ?
Incline-toi devant moi !
Mon maître, je m'incline bien bas... enseigne-moi !
Bien, tu seras mon padawan et tu me serviras !
À vos ordres, maîtresse...
D'abord, on va manger un bout... et aussi va mettre un short.
Je n'ai que des pantalons, maîtresse...
Alors mets un boxer, ça ira !
Plus tard dans la matinée, en fin de séance de pilate.
Et on bloque et... on respire et...
Argghh... Je n'en peux plus... je ne peux plus bouger... Argghh...
On étire vers les haut les bras...
Kal n'en pouvait plus, il était maintenant couché sur le sol au pied de sa tante, qui à genoux continuait ses exercices.
Je suis mort...
Allez, c'est même pas du pilate, juste de l'échauffement...
Je meurs... je meurs... continue sans moi. Je vais mourir ici, sauve-toi.
Mais quand il leva les yeux, il était juste sous sa tante et dans ses mouvements, elle faisait remonter son haut, laissant apparaître le bas de ses seins.
Remue-toi fainéant ! C'est la fin… ? Tiens la pose...
Et c'est cette pose les bras en l'air qui lui permettait de mieux voir.
Dis-moi... tu tiens longtemps cette pose ?
Oui... à ton avis combien de temps ?
Longtemps...
Mais dis-moi, ça va, en bas ?
Elle avait remarqué le manège de son neveu et outre sa poitrine, elle avait aussi observé qu'il fixait son maillot ample, espérant sûrement apercevoir sa chatte.
Désolé, je... j'admirais la couleur de ton maillot...
Ah, vraiment...
Tu ne peux pas faire mieux ?
Non. Je suis claqué... c'est fou ce que c'est dur de se rouler sur un tapis !
Le pilate, c'est fait pour les grands, pas pour les petits coureurs à pied.
Hééé...
Anna venait de décoller sa culotte de sa chatte, et cela, juste devant son nez.
Cette foutue culotte... elle me frotte où ça ne devrait pas...
Ses yeux allaient sortir des orbites de Kal.
Il faudrait juste... un peu d'entraînementOui..heu...
... Et… bon... on va dire que ça suffit pour aujourd'hui, hein ?
Oh, merci maîtresseElle se releva et alla dans la salle de douche, tandis que Kal restait assis sur le sol au milieu du séjour.
Ah merde ! Ils ont coupé l'eau !
Quoi ?
... Des travaux dans la rue... Bordel de dieu, pas de douche pour un bon moment.
Ah, zut !
Ils se posèrent devant le TV en attendant que l'eau soit rétablie. Mais le soir, après une journée où il ne s'était absolument rien passé. Un regard... un regard changea tout.
Hé !
Hé !
Une super journée...
La meilleure de ma vie...
Ha, ha, ha...
Quand on y pense... quel coup de bol...
Ha, quoi donc ?
La pandémie mondiale !?
J'avais oublié ! Oui, c'est pour ça que je suis ici... génial !
Et ces niaiseries à la télé... pas possible !
C'est vraiment assommant !
Anna regardait Kal et sans s'en rendre compte elle glissait un doigt sous sa culotte et se caressait le clitoris.
Quoi ?
C'est bon que tu sois là, Kal. Tu n'as pas idée…Et toit Anna, tu n'as réellement touché personne depuis six mois... c'est vrai ça ?
Heu... oui...
Pareil pour moi... mes copines de fac ne sont pas spécialement câlines...
Et le manque, ça affecte pas mal, hein ?
Hooo, oui...
Si tu veux un câlin, je suis là ?
Hmm, ok !
Anna se leva et se dirigea vers son neveu étendu dans le divan.
Sauf que je sens la sueur, tu sais ?
Oh, moi aussi !
Il lui fit de la place et s'assit entre ses jambes son dos posé sur son torse.
Quand il y aura de l'eau ? On pourra aller se doucher ensemble...
Heu... oui...
Attends, je veux dire... si tu veux... et si l'eau revient... enfin si tu... Quoi, oui ? Je veux dire... tu veux bien… ?
Je veux dire, pas ensemble... Tous les deux, séparément, mais ensemble... sous la douche... Je... à des moments différents on pourra profiter ensemble d'une douche tous les deux ? Oh, mon Dieu... merde... je devrais me taire !
Ha, ha, ha ! J'adore comment tu parles, Anna !
Kal venait de l'inviter à prendre une douche ensemble un peu par erreur... et elle avait, dans un premier temps dit oui... c'était sorti comme ça... naturellement. Il était certain qu'ils allaient bientôt baiser, peut-être pas aujourd’hui, mais bientôt, c'était certain.
Il profita de la situation pour l'entourer de son bras, bien au-dessus des seins, faisant très attention à ne pas la brusquer, à ne pas être trop présomptueux . Juste au niveau des clavicules pour lui plaquer le dos contre sa poitrine. Il l'enlaça et elle réprima un fou rire. Il aurait voulu que cela ne s'arrête jamais. Puis il lui prit la taille et l'attira lentement contre son ventre. Elle gémit un peu, mais se laissa aller entre ses bras. Chaude et salées leurs peaux se touchaient de plus en plus... Quand il la touchait, avant, c'était ferme et tonique, là, c'était chaud, doux et vibrant. Infiniment plus tendre, plus féminin. Le côté de son pouce lui frôlait la peau de ses seins et il attendait qu'elle lui dise d'arrêter, de ne pas la toucher à cet endroit-là.
Hmmm..
Désolé si je... je peux ?
Humm... Tout va bien, continue !... S'il te plaît...
Maintenant sa queue était douloureuse et coincée entre leurs deux corps, alors il glissa une main dans son dos pour régler cela, son pénis était dur comme une barre de fer.
Hm...hmmDésolé, je...
Non, j'aime...
Il recommença à la caresser des deux mains se rapprochant toujours plus du bas de son haut. Il explorait toute la surface de son corps et à travers sa peau il sentait son cœur battre. Il prit enfin ses seins à pleines mains et le soupesa. Ils étaient si chauds, si parfaitement adapté à ses paumes que chaque caresse était un pas vers l'extase. Elle poussait de petits gémissements afin de l'encourager à continuer. Alors il les lui malaxa passant ses doigts tout autour et les serrant pour qu'elle finisse par s'abandonner à lui, ne sachant plus résister à ses caresses.
Il était attentif à ne pas lui faire mal, mais, par des gémissements, elle l'encouragea à être un peu plus pressant pour augmenter son plaisir. Elle sentait sa queue battre contre son dos se dressant comme une fusée prête au décollage. Elle sentait aussi son excitation dans sa respiration hachée. Son souffle était doux à ses oreilles, alors elle ferma les yeux et s'abandonna totalement à ce jeune homme si pur, à ce novice qui explorait un corps de femme pour la première fois. Le cœur battant et le pénis palpitant.
Il lui pressa ensuite les tétons ! Ils réagissaient et durcissaient sous ses doigts. Il ne s'attendait pas à une telle réaction, mais c'était fantastique tant pour lui que pour elle. Ils se dressaient comme des pics et il les faisait rouler entre ses pouces et ses index. Anna réagissait par de légers gémissements, manifestant ainsi son plaisir. En mêle temps, il bandait de plus en plus dur. Sa bite était comme de la pierre. C'était inconfortable, mais il s'en fichait. Il était prêt à endurer ça pendant des heures et des heures. Et c'est ce qui se passa. La nuit tombait à l'extérieur et les heures défilaient. Aucun d'eux ne voulaient arrêter. Il l'embrassa dans le cou, respirant son odeur. Il s'enivra de son parfum alors qu'elle se délectait de son contact après une si longue privation de caresses masculines. Et lui, qui n'avait jamais touché ainsi une femme avait une envie folle de lui dire « Je t'aime ». Mais il hésitait, repoussait ces paroles sans cesse... alors il essaya de lui communiquer cela par ses caresses, par la pression tendre et duce de ses seins.
Elle aime qu'il joue ainsi avec ses tétons, et cela, des heures durant !
Le temps passait sans qu'ils s'en aperçoivent. Il l'embrassait comme dans un rêve, ses seins étaient brûlants dans ses mains et cela compensait d'un coup toutes ces années où il se demandait à quoi toucher des seins ressemblait. Il avait l'impression de maintenant connaître son corps, de la comprendre, comme si elle lui parlait en silence. Leurs peaux se touchaient, se reconnaissaient, se confondaient... et tout cela ne pouvait avoir qu'un seul non : « la perfection » !
Elle commença à écarter les cuisses, elle gémissait et soufflait comme si elle essayait de garder le contrôle sans y parvenir. Cela faisait presque trois heures qu'elle pressait sa queue contre son ventre. Il était sûr qu'il avait les couilles pleines de sperme. Le corps d'Anna s'arqua de plaisir, ses tremblements extatiques, ses petits gémissements, tout cela était... comment dire... juste incroyable !
Elle brûlait littéralement, et même s'ils étaient encore habillés, elle était de plus en plus excitée. Il faut dire que leurs vêtements étaient légers pour les amants qu'ils devenaient. Elle désirait follement ce beau jeune homme, et elle lui écrasait la bite avec son dos, elle sentait sa queue vibrer dans contre elle. Aucun vibromasseur n'avait jamais vibré comme cela. Elle sentait son cœur battre et elle se laissait couler dans ses bras. Elle fantasmait sur la pénétration, elle voulait se retourner et la prendre dans sa bouche pour la sucer. Elle rêvait de la sentir la pénétrer, s'enfoncer dans sa chatte, elle désirait la chevaucher... jusqu'à l'épuisement. Il n'allait pas se passer longtemps avant qu'elle ne craque... ses baisers dans son cou, sa respiration dans ses oreilles et ses doigts sur ses seins... Elle ne pouvait pas empêcher ses hanches de s'agiter, ses cuisses de s'écarter. Elle résistait depuis des heures, mais ça devenait insupportable. Le plaisir l'envahit, le rêve était à sa portée, le rêve de recevoir en elle toute la longueur de sa grosse queue, de s'ouvrir en deux pour lui. Son corps menaçait de se désarticuler à chaque pincement de ses doigts, à chaque baiser, à chaque secousse de son pénis contre ses reins... Et cette odeur de sperme qui commençait… Oh mon Dieu, elle brûlait, elle se consumait de désir.
Elle avait tout oublié du film qu'ils regardaient et ses yeux révulsés la rendait aveugle. À ce stade d'excitation, ils pouvaient regarder le journal de vingt heures sans le savoir. Leurs odeurs corporelles saturées d'hormones poussaient son délire orgasmique vers d'irréels sommets. Jambes, cuisses, seins lèvres sexe... tout son corps en appelait à se faire baiser. Elle se taisait, mais ne pensait qu'à cela. Son corps savait ce qu'il voulait et elle, n'était plus qu'une passagère emportée par le désir de celui-ci, gémissante, suppliante, la vulve dégoulinante de mouille, incapable du moindre petit contrôle. Plus elle pensait à sa queue, plus elle brûlait en dedans, mais elle se rappelait soudain une chose : cela fait plusieurs heures qu'il bande. Non, ce n'était pas possible ! Elle ne pouvait pas lui infliger cela... pauvre garçon... ça pouvait même être dangereux pour son anatomie. Il fallait... elle devait faire quelque chose !
Assez... ça suffit !
Hein, ça va ?
Oui Kal, c'est juste que...
Il sentit qu'elle sortait sa bite de son boxer et elle se laissait glisser sur lui. La pointe de son gland était venue se nicher dans la vallée étroite entre ses seins... et c'est la meilleure chose qu'il n'avait sentie.
Tu vas voir si l'eau est revenue ?
Nghh ?... Ok ?
En un seul geste, elle l'enfila entre ses seins sous son haut. Elle savait ce qu'elle faisait. Sa queue était au bord de l'explosion depuis des heures et elle faisait ça ! Elle se collait contre lui, glissait de haut en bas... Elle l'astiquait avec ses deux seins, et son érection augmentait encore... et encore, jusqu'à... jusqu'à...
Je peux y aller... ou je reste là ?
Elle le pompait avec ses seins, faisant ressortir son gland par le haut de son top. Ses mouvements étaient francs et dynamiques et ses seins lui décalottaient le gland, lui massant toute la hampe. En haut, en Bas, en haut, en bas... jusqu'à ce que... ce qu'il...
Kal ? Haut... bas. L'eau tu vas vérifier ?
Je reste là ? J'y vais ? Vérifier l'eau ? Je reste ? Vérifier ? Rester ? Vérifier ? Rester ?
He, hé ! Goed zo, bravez jongen. Je bent al heel lang stijf gebleven, hé ? (Hé, hé ! Ça, c'est un bon garçon. Tu as bandé si longtemps, hein ?).
Il gicla entre ses seins, dans ce sillon extraordinaire, mouillant tout son top d'un flot de sperme, giclant encore et encore. Toutes ces heures où il s'était retenu l'avait menés à cet orgasme qui déchirait son corps tout entier, qui lui vidait les couilles sur elle... avec frénésie et abondance.
Elle le fixa du regard avec un grand sourire avant de se relever.
À moi la douche, hi, hi, hi !
Wahouw...
C'est bien ?
Ha, Anna, mieux qu'...
Désolée... est-ce que l'on est devenus dingues ?
C'est la faute au confinement...
Ha, oui, saleté de confinement de merde !
Ouais, putains de confinement... qui nous rend marteaux !
J'espère que l'eau est revenue...
Ils n'allaient pas se doucher ensemble, pas encore... une éjaculation accidentelle était une chose, mais totalement nu, couvert ce savon, sous la douche ? Ça serait impensable, ils étaient de la même famille... elle était sa tante... Mais il ne s’inquiétait pas... le jour se levait sur une seconde journée ensemble. Et, quoiqu'il se passait ou ne se passerait pas, il était amoureux.
À suivre...
Il venait de survivre à son premier semestre, confiné sur le campus pour la période de Noël. Alors que le pays sombrait dans la folie... ses parents lui avait proposé de revenir chez eux, mais cela ne le tentait pas... pas du tout !
Mais cela ressemblait trop à un grand pas en arrière et il n'avait aucune envie de se retrouver enfermé avec eux une fois de plus... mais l’université l'avait foutu dehors ! Il se retrouvait à Londres, sans un sou en poche... dans une ville qui avait sombré dans la folie... une authentique galère !
Londres, la ville était en temps normal une très belle ville... mais l'épidémie en avait fait un désert de poussière qui sent l'adrénaline. Mais sa tante Anna habite ici et avait accepté de l'héberger. Anna était la jeune sœur de sa mère et avait seulement une dizaine d'années en plus que lui.
Chez Anna, elle stressait un peu. Kal et elle ne s'étaient pas vu depuis cinq ans, et ils avaient toujours eu des rapports étranges quand ils étaient ensemble. Moins que frère et sœur, mais bien plus que tante et neveu... bref, des rapports bizarres. Du coup, ils ne se connaissaient pas vraiment, car ils ne se voyaient que lors des grandes fêtes de famille, ou lors des mariages et des enterrements... et quand ils se parlaient, c'était cinq minutes.
Mais ils ont eu des expériences insolites dans le passé. À commencé lorsqu'il avait environ huit ans… ce petit salaud était venu dans sa chambre, chez ses parents, alors qu'elle changeait de fringues. Il était entré et sans un bruit la surpris nue. Elle se retourna et ce fut l'expérience la plus marquante de son enfance, gravée dans sa mémoire ces images ont inspiré nombreux de ses fantasmes. Alors qu'elle semblait si pure, cette fois-là elle lui a fait peur. La honte et la frayeur s'étaient enraciné en lui.
Mais ce n'est pas tout, ! Quelques années plus tard, il avait quinze ans et elle vingt-cinq. Durant une réunion de famille, elle s'est retrouvée derrière lui, et croyant qu'il était son copain, elle lui avait mise les mains aux fesses et avait eu des paroles très directes.
Je ne peux plus attendre la fin de cette foutue fête. Je veux te sortir de ces fringues et palper ton merveilleux petit cul.
Il fut surpris et ne sut pas quoi faire... alors il était resté figé pendant qu'elle lui massait le cul.
Putain, je suis excitée... tirons-nous de la, que j'aille te sucer ta belle queue, ta grosse bite...
Et c'est vrai , elle était raide et ses pensées étaient obscènes.
Tourne-toi, bébé, je mouille rien que d'y penser...
Et elle eut un énorme surprise...
Anna !... Je...
Hein ? Kal ? Mon Dieu... J'ai cru... enfin, pas toi !
Elle était dévastée, mais il n'y avait eu aucun témoin et c'est depuis ce moment que leurs relations sont devenues bizarres. Enfin, plus que bizarres, surréalistes !
Mais revenons au présent, avec Kal qui est devant la porte de sa tante Anna.
Tous les deux sont stressés et se concentre pour ne pas une nouvelle fois se retrouver dans une situation qui les mettraient mal à l'aise.
Bonjour, Anna !
Salut, mon neveu ! Contente de te voir ta gueule !
Merde, que venait-elle de dire... « ta gueule »... Mais à par cela, il était bien plus sexy que dans ses souvenirs.
Pardon Kal, entre ! Pose ton barda... tu es chez toit, ici !
C'est trop sympa, merci tante.
C'est génial que tu sois là, ça va me changer du quotidien.
Elle portait un pull tout simple et semblait n’avoir aucunement conscience de son incroyable pouvoir de séduction ! Dans sa tête se bousculait une multitude de réflexions. Tel que « Elle a de si gros seins ?... du rembourrage ? Oh non... c'est du vrai de vrai, du naturel... »Il se tenait là, tout raide alors que c'était un super-beau mec. Un apollon qui ne se rend même pas compte de combien il est beau. Elle aussi avait des idées plein la tête, « C'est devenu un homme et un beau morceau... Attends. Il regarde mon sweat... ou mes nichons ? On va vérifier ça tout de suite. »Tu regardes mon sweat ? Il craint, je sais... ce n'est pas mon style habituel... hein ?
Hein ? Heu... non... heu... c'est juste que... heu... la couleur, tu vois ?
Ha oui... !
C'est bien ces nichons qu'il regarde, il essaye pourtant de na pas la mater, mais son parfum le grise... amande douce et cerise chaude... et elle est trop sexy quand elle soulève son sweat. Il ne veut pas fixer ses seins, mais s'il regarde plus bas, il devine sa chatte.
J'ai mis ce que j'ai trouvé, parce que d'habitude je vis à poil... juste des chaussettes, ha, ha, ha !
Elle ne sait pas pourquoi, mais à chaque fois qu'elle ouvre la bouche, c'est pour se mettre dans des situations pas possibles.
Heu... ha, oui, ha, ha…,Bon, viens, suis-moi... mon pauvre petit neveu... viré de l'université... avec tout ce bordel dehors...
C'est super-géant comme endroit !
Bienvenu dans ma bulle !
Incroyable cet appartement... un duplex ?...
Tu aimes ?
Maman m'a dit que tu avais acheté un entrepôt, mais...
Ouais, c'était ça... il y a trois ans de travail pour obtenir ce que tu vois là !
C'est une blague, tu as fait cela toi-même ?
Eh bien, au début, j'ai eu un peu d'aide, comme il y avait des traverses métalliques, on a posé la mezzanine et, oui le plâtre, la plomberie, l'électricité, etc.
Wahou...
Ce n'est pas fini... la cage d'escalier reste à terminer depuis un an... mais j'en ai marre de ses foutues soudures !
Attends... tu as soudé tout ça ?
Oui, merci YouTube et tes tutos...
Les yeux fixés sur elle, Kal ne savait plus quoi dire.
Quoi ?
Pour être honnête... tu m'as toujours…Oui ?
... intimidé, Tante Anna !
Quoi ? Kal... et ne m'appelle pas tante Anna, je n'ai pas cent ans, merde.
Désolé... désolé !
... alors je t'intimide ?
C'est juste que tu es tellement cool, tu sais... hors-normes, en fait !
Ha... je vais prendre cela comme un compliment... Allez, on monte à l'étage !
Merci de m’accueillir chez toi !
Arrête de toujours me remercier. Regarde, c'est juste un lit de camp sur un palier. Il n'y a même pas de porte... on bricolera quelque chose demain matin.
Ne t'inquiète pas, c'est parfait, fantastique ! C'est trop coll chez toi, Anna !
Ravie que ça te plaise !
J'espère ne pas déranger quand ton copain reviendra ?
On s'est séparé... je fais un break pour le moment...
Désolé... je ne savais pas...
Ce n'est rien, je n'ai rien dit, j'avais du mal à assumer, tu vois ! Mais en ce moment, ça va... tout va bien !
Tu es toute seule pour le moment...
Ouais... c'est ça... toute seule !
Et là, Anna fondit en larme, l'émotion était trop forte et elle ne parvenait plus à cacher son mal être.
Anna, ça va aller.
Je ne supporte plus la solitude... c'est pour cela que je suis contente que tu sois là... Mais d'habitude je ne pleure pas...
Vas-y, pleure ! Ça fait du bien, tu seras soulagée.
D'un geste réconfortant, Kal la serra dans ses bras. Mais la prenant ainsi contre lui, il sentit son parfum de femme, sentit sa poitrine s'écraser contre la sienne. Elle était ferme et souple en même temps. Il ferma les yeux, ému par ses larmes, cette situation le touchait au plus haut point.
Bou-hou. Je suis désolée pour toi, tu essayes de reprendre l'université et tout part en sucette. Tu te retrouves à la rue et tu n'as plus que ta vieille tante foldingue pour t'héberger pendant cette période de confinement. Décidément tu n'as pas de chance. Bou-hou...
Mais non, tu dois supporter cette séparation durant cette période de confinement... et tu te retrouves seule dans cet énorme appartement... comment surmonter cela sans aide... Anna ?
Tu es un amour... je me sens déjà mieux... ta présence me fait du bien.
Anna reprit le dessus et installa son neveu. Sur le palier, elle avait ouvert un lit de camps, sa chambre et la salle de bain étaient les deux pièces de cet étage. Mais toutes les parois étaient toute en verre dépoli et la porte de la salle de bain fermait mal. Jusqu'ici cela ne posait aucun problème vu qu'elle était seule.
Je suis désolé de t’accueillir ainsi, je n'ai pas de chambre d'ami.
Anna, attends, c'est l'appartement le plus fabuleux que j'ai vu de ma vie. Le lit de camp est parfait... et tu es la personne la plus admirable que je connaisse. Donc, même si je ne pouvais rester qu'une nuit, ce serait fantastique, je te le jure !
C'est vrai ?
Ouais... retourner chez mes parents... tu n'as pas idée de ce que...
Mais tu peux rester aussi longtemps que tu veux. Tu es une bénédiction, tu sais.
Merci, Anna !
Pardon.
Pourquoi ? Tu es fantastique et ici, c'est génial.
Parce que... je suis tellement contente que tu sois là... Je n'avais touché personne depuis au moins six mois... et même avant le confinement, tu vois… ?
Je suis désolé pour toi.
Je vais à nouveau pleurer...
Fais pas ça... ou moi aussi...
Ils tombèrent à nouveau dans les bras l'un de l'autre.
Plus tard dans la soirée alors qu'Anna travaillait à son bureau dans sa chambre.
Anna, Je vais me coucher...
Dors bien, chéri... J'envoie un dernier mail et j'arrête, ça ne sera plus très long.
Prends ton temps, tu es chez toi ! Je dois de toute façon encore passer à la salle de bain.
Et comme toutes les parois de l'étage étaient en verre dépoli, cela n'empêchait pas Anna de voir assez bien ce qui se passait dans la salle de bain depuis sa chambre. En effet, outre un défaut dans cette section de vitrage, il faisait plus sombre dans la chambre.
Si bien que quand Kal se déshabilla, se croyant à l’abri des regards de sa tante, elle le voyait.
Humm... Voilà son sexe, ouais… ! Ce verre défectueux à quand même certains avantages.
Pendant ce temps dans la tête de Kal le doute naissait quand même.
Est-ce qu'elle me voit ? Moi je ne vois rien de ce côté-ci... c'est excitant ce suspense...
Ouais... agite-moi ça un peu tout ça. Hmmm... Allez, tourne-toi encore un peu plus mon chéri...
Et elle l'observa jusqu'à ce qu'il aille se coucher.
Dix minutes plus tard, c'est elle qui se déshabillait dans la salle de bain avant d'aller se coucher. Et cette fois ce n'est pas du verre défectueux, mais une porte qui ferme mal qui permit à Kal de se rincer l’œil. Faisant semblant de dormir, il ne perdait pourtant rien de ce qui se passait.
Elle va enlever son soutif ? Elle le garde quand même pas pour la nuit...Hooo oui... elle l’enlevé.
Elle n'avait jamais enlevé son soutif aussi lentement... elle se doutait... ou plutôt espérait que son neveu la regardait. Elle ne pouvait se retourner pour vérifier, mais elle sentait en elle qu'il l'observait.
Elle prenait son temps, caressant doucement la courbe de ses seins comme si elle voulait s'exciter en enlevant son soutien. Elle aimait son corps et en prenait soin, il était encore ferme et joli. Kal allait-il pouvoir résister à un tel spectacle ? Mais elle finit par enfiler un string et un top pour la nuit.
Quand elle est sortie, Kal garda une main sur son sexe, essayant de cacher l'érection qu'il avait.
Bien, j'ai fini... et toi aussi ? J’éteins la lumière ?
Heu... oui... oui.
Elle avait les tétons qui pointaient à travers son top, c'en était trop il sentit de l'humidité transpercer son caleçon.
Bonne nuit, mon chéri !
Bonne nuit !
Mais il ne pouvait détourner son regard des fesses de sa tante et elle le sentait.
Dans sa chambre, elle ôta son top, s’approcha de son lit les jambes tremblantes d'excitation.
Avec un œil sur la porte, au cas où Kal se pointerait, elle écarta les cuisses et y glissa la main droite ou il faut. Son majeur parcouru la fente centrale de sa vulve et l'écarta avant de s'enfoncer dedans, cela tout en se caressant le clitoris et essayant de ne pas faire de bruit.
Mais Kal ne dormait toujours pas et il remarqua rapidement les faibles gémissements. Et dans sa tête, il n'osait pas y croire.
Non, elle se... ? Non, sûrement pas... elle ne ferait pas ça alors que je suis à quelques pas de sa chambre ?
Anna, de son côté agitait ses doigts dans sa chatte trempée, gagnant en vitesse et caressant les points sensibles. Sa raison se liquéfiait alors qu'elle sentait l'orgasme envahir son corps. Elle ne parvenait plus à étouffer ses gémissements et ce même avec la main sur sa bouche. Alors elle se laissa aller, plongeant les mains entre ses cuisses et repoussant son string, elle écarta ses lèvres faisant naître un plaisir incontrôlable. Gémissante et agitées elle sentit l'orgasme lui traverser le corps. Elle plongea trois doigts aussi loin qu'elle put à la recherche de son point G et en même temps elle continuait d'exciter son clitoris de sa main droite. Essayant toujours de limiter ses gémissements, elle sentit ses jambes commencer à s'agiter, à trembler sous les draps.
Les gémissements, le fait de savoir que sa tante se donnait du plaisir à cet instant précis, c'en était trop pour Kal ! Sa queue se redressa à nouveau ! Il bandait comme un fou et se mit à se branler à en arracher sa bite.
Chez Anna l'orgasme s'intensifiait de plus en plus et déchirait son corps par vagues successives. Elle basculait dans une extase ou rien ne pouvait plus l'atteindre. Ni honte, ni timidité, ni la présence de qui que ce soit.
Kal éjacula une seconde fois, les gémissements étaient comme une musique à ses oreilles. Son foutre jaillit de sa queue en quantités incroyable... Il repoussa le duvet pour limiter les dégâts, mais en pure perte.
Anna gémissait maintenant bien trop fort et cela malgré qu'elle ait à nouveau mise sa main sur sa bouche. L'orgasme enflait toujours et il envahit son être tout entier, évacuant toute raison et toute pudeur sous ses vagues de plaisirs qui la traversaient et s'échappaient de ses lèvres. Maintenant des flots de mouille jaillissaient de son vagin et inondaient le lit entre ses cuisses. Elle essayait encore de limiter son orgasme et de reprendre un minimum le contrôle de son corps déchaîné. Mais cet orgasme ne voulait prendre fin... et ses yeux se révulsèrent, la faisant basculer dans une autre dimension. Elle du se mordre les doigts rien que pour ne pas crier et cette douleur suffit à peine. Une main en bouche et l'autre immobile plongée dans sa chatte, elle arriva à sortir très progressivement de cette extase incroyable. Son corps s'alanguit et retomba dans les draps. Les vagues de plaisir refluaient et elle retrouva une respiration plus calme... ses yeux se remettaient en place en même temps que son cerveau entama son long et patient reboot.
Pourquoi une tel orgasme ? Était-ce à cause de Kal... du tabou qu'il représentait... ou parce qu'il était un si beau garçon, ou à cause de ces phéromones ? Elle n'en savait rien. Elle savait seulement que c'était le meilleur orgasme qu'elle ait jamais eu de sa vie. Elle aimait ce moment, après une bonne masturbation, quand le cerveau se remet en route... mais que le plaisir est toujours là et que ses doigts bougent encore juste pour vérifier que ce n'est pas un rêve. Oui, elle aimait ces moments chauds, poisseux de fluides. Quand ses sens dérivent, rassurés par la présence de quelques doigts égarés entre ses cuisses, parcourant lentement ses chairs fatiguées, mais encore sensibles.
Kal, bouche ouverte cherchait de l'air et les jambes tremblantes, il finit de se vider les couilles. Il était épuisé... le duvet était ruiné, imprégné de foutre. Tant pis, il sécherait. Il n'entendait plus aucun bruit venant de la chambre d'Anna. Il essaya alors de réfléchir ce qui venait de se passer.
Il laissa passer quelques minutes... Peut-être avait-il imaginé ces bruits et qu'en réalité, c'était juste sa tante grommelant devant son téléphone... ou lisant un roman ? Il devait savoir, alors que la lumière, il se leva et alla voir doucement. Avançant à pas de loup, prenant une bonne minute pour chaque pas, il se rapprocha lentement de la porte de sa chambre. Et enfin il la vit. Il entendait sa respiration profonde. Elle dormait paisiblement, nue et les jambes écartées. Il la regarda un long moment, observant ses seins se soulever et retomber en suivant son souffle. Une de ses jambes était même posée par-dessus les draps et ses doigts semblaient maculés de fluides, comme si elle s'était endormie après s'être masturbée. Tout cela confirmait ce qu'il avait entendu et dépassait tout ce dont il avait pu rêver. Elle s'était doigtée et après avoir joui elle s'était endormie. Tout cela sachant qu'il était juste à côté... quelle femme incroyable !
Malgré ses activités de la soirée, sa queue redevint dure et il se branla à nouveau tout en regardant Anna. Il se sentait fort et puissant... excité par sa tante nue, il sentit le sperme affluer une nouvelle fois depuis ses couilles. Il s'avança et doucement entra dans la chambre pour admirer l'incroyable nudité, les courbes et la chatte luisante. Il n'avait jamais vu ça avant, jamais à ce point, elle était trop belle. Il se branla aussi fort qu'il put, propulsant des jets de spermes et surpris par la puissance de ceux-ci il les vit atteindre le lit et s’écraser sur ses seins. Il continuait de gicler, les yeux à demi fermé. Des traces de sperme recouvraient maintenant tout le joli corps, maculant son pubis et le mal étant fait, il plongea le regard entre ses cuisses grandes ouvertes, cherchant à pénétrer sa chatte du regard.
Elle s'était endormie et rêvait que Kal était là et qu'il la recouvrait de son sperme... Elle le sentait chaud sur elle...
Kal reprit ses esprits et regagna tout aussi prudemment son lit. Qu'est-ce qu'il lui avait prit ? Ce n'était pas comme s'il pouvait essuyer après. Il avait eu de la chance qu'elle ne se soit pas réveillée, mais putain quel gâchis ! Il était dingue.
La nuit, Anna se leva pour aller à la toilette, mais elle ne remarqua rien, si ce n'est qu'elle avait une substance séchée sur elle. Peut-être sa mouille, mais ce n'était pas comme d'habitude. Puis elle se lava vite fait et retourna se coucher sans plus y penser.
Le lendemain matin, alors qu'il se réveillait, Kal entendit sa tante en vidéophone. Il ne comprenait pas, mais elle semblait heureuse et riait de bon cœur avec son interlocuteur.
Putain Anna, je remarque juste que tu as nettoyé la cuisine, hein ?
Oh ? Juste une subite envie de propreté...
Attend voir... gros rangement, pas de soutif... mon Dieu, un homme ?
Non, je...
il n'y a pas un homme chez toi ! Sacré dieu, raconte, vite...
... c'est... heu... de la famille... un neveu, c'est tout !
Sur cet entre fait, elle vit Kal descendre les escaliers... en slip.
Salut, Anna !
Hein ? Ha, salut Kal chéri... bien dormi ?
Très bien, merci ! Dis, je peux utiliser la douche du bas ?
Bien sûr... je… il y a des serviettesGénial... merci Anna !
Kal se dirigea dans la salle de douche juste à côté de la cuisine, mais tout en prenant attention de cacher les auréoles qui recouvraient son slip.
Kal chéri ?... Et qui est « Kal chéri » ?
Heu... je... c'est... Il...
« Je... c'est-il »... qu'est-ce qui t'arrive bordel ?
Putain, mon thé... merde !
Curieux Kal passa derrière sa tante pour voir à qui était cette jolie voix féminine qui se renseignait à son sujet.
Salut !
Wahou... salut…Chun, mon neveu, Kal !
Eh bien... dis donc...
Heu... je vous laisse.
Si tu as besoin de quelque chose, demande le moi, mon chou !
Bien sûr, merci !
Et nos deux amies continuèrent leur conversation alors que Kal allait prendre sa douche.
... et tu ne m'as rien dit ?
Dire quoi ? Il n'y a rien à dire, c'est la famille...
C'est ça, rien... « chéri », « mon chou »... et tu lui matais le cul... putain, ça se voyait d'ici !
Je... heu...
Anna ! Ton thé, tu en mets partout...
Ha merde...
À côté Kal entendait des brides de conversation et cela piqua sa curiosité. Il ouvrit un peu la porte et tendit l'oreille pour comprendre de quoi elles parlaient.
Calmos, Chun !
Me calmer... qui porte le plus petit haut de toute l'histoire, c'est moi peut-être ?
Je dors avec et c'est...
... ce n'est pas possible de passer un soutif dès le matin, hein ? Tu ne te prives pas de faire danser tes nichons sous son nez, je parie ?
Oh, la ferme, Chun... je suis grande ! Je m'habille comme...
Ah ouais ?... Et tu as quoi comme bas, dis-moi ?
Un... bas de survêt ?
« Un bas de survêt »... non, mais je rêve... qui, de toute l'histoire à jamais porté un « bas de survêt » ? Tu te fous de moi, Anna ?
Ok, ok ! Je porte une vieille culotte ! Tu es contente ?
Génial ! Par le ciel, vivement qu'un mec s'amène chez moi... Je suis en feu. J'ai déjà mouillé toute ma putain de culotte !
Chun, bordel, on est parent lui et moi...
Allez, on s'en fou de ces règles à la con. Tu dois te le faire, ce n'est pas possible autrement...
Tais-toi !
Admets-le ! Tu y as pensé...
Bien sûr... mais... la ferme !
Pitiééé, j'ai besoin de potins bien salaces et c'est la meilleure histoire dont je pouvais rêver, Anna chérie !
Tu es vraiment trop ..., tu sais ?
Je sais que je suis coincée à la maison et excitée comme une chienne en chaleur... Tu sais ce que ça fait d'être comme ça ?
He oui, je sais, Chun !
Tu as vidé tes piles toi aussi ?
Non ! Je sais recharger un vibro, moi ! Et toi, tu sais le faire ou il faut que je te montre ?
Sans rire... si j'étais toi, je me le foutrais entre les cuisses vite fait... Dis, tu me mettras la webcam, hein, chérie ?
Tu es une bonne amie, Chun, et ton conseil, c'est que je baise mon neveu pendant que tu mates à distance ? Tu es raide cinglée, tu sais ?
Qui parle de baiser ? Je n'ai rien dit de tel... à quoi tu penses exactement ? Sois franche...
Putain, tu es une vraie salope !
... Tu as des pensées dégoûtantes, Anna, honte sur toi.
Toi, mon amie, mais pourquoi ?
Cent balles que tu le branles avant que minuit ait sonné !
Aucune chance ! Considère que tu me dois déjà cet argent ! Au fait, tu les as, au moins ?
Heu... Alors disons vingt...
Tenu ! Vingt balles qu'il ne se passera rien... à plus tard, queutarde !
Éclate-toi. Fais rien que je n'aurais pas fait !
Changes tes piles et éclate-toi aussi, salope !
Promis.
En vérité, Chun avait mise ça dans la tête d'Anna. Maintenant elle n'arrêtait plus d'y penser, même si avant elle n'avait pas l'intention... et Kal qui se lavait, là, juste à côté. Elle tenta d'arrêter d'y penser, mais sa main se glissa dans son slip, son pouce chercha sa fente déjà moite... et tout ça avant même qu'elle réalise ce qu'elle faisait. Elle avait trop l'habitude de se branler dès qu'elle en avait l'envie. Mais elle devait se rappeler qu'elle n'était pas toute seule... mais putain ce qu'elle mouillait.
Dix minutes plus tard, Kal sorti de la salle de douche. Avec pour tout vêtement une serviette nouée autour de sa taille.
Hé !
Ok, la douche ?
Géniale, merci !
Alors... ton amie, Chun... je... heu...
Ouais, une ancienne d'université ! Tu veux une tasse de thé ou de café ?
Du thé, merci... Enfin... Chun parle assez fort et j'ai bien peur de vous avoir entendues... les murs sont minces, tu vois ?
Oh merde ! Désolée... on plaisantait... c'est idiot, vraiment, surtout moi et je...
... Mais non... heu... c'était amusant !
Bordel... que c'est gênant.
Ne t'en fais pas pour ça... Je ne dirai rien à personne et je me suis bien amusé... ça me rappelle d'autres trucs... heu... gênants, tu vois de quoi je parle !
De quoi ?
Tu te souviens, quand j'étais petit et que je t'ai vu nue ? Je ne l'avais pas fait exprès, mais je ne regrette rien...
... Mon pauvre chéri... Je t'ai traumatisé, c'est ça ? Désolée...
Non, non, mais ça m'a marqué... en bien !
Hé, hé... et bien tant mieux. Je dis... que si tu m'as vu nue, du coup tu me dois un retour.
Tu veux que je retire cette serviette ? Ha, ha, tu rêves ?
Ha, ha, ha, je le veux, oui...
Toujours aussi dingue, hein ? ... Et c'est toi qui as une dette. Tu m'as mâté les fesses, tu te rappelles ?
Quoi... moi ? Jamais ! Quand ?
Une fête de famille... tu as cru que j'étais ton copain de l'époque, John ou un truc comme ça !
Oh, James... Oh oui, j'avais totalement oublié cette histoire...
Tu portais une robe orange...
Mon Dieu, je t'avais pris pour James et je t'ai attrapé les fesses !
Pour ça, oui, tu ne t'es pas privée, hé, hé !
Bon dieu, d'y repenser maintenant... mon Dieu, que c'est gênant... Bon dieu, nooon !
Ça nous fait une belle série de trucs louches en commun, hein ?
... Plus une conf-call gênante, hein ?
... Pas gênante, plutôt excitante, je dirai... un truc de plus...
Je m’excuse, mon chéri... Tu veux me mâter les fesses, toi aussi ?
D'une geste, elle se retourna et d'une main fit un peu glisser sa culotte, dévoilant une fesse et sa raie.
Ha, ha, très gentil, mais non merci...
Vas-y, c'est que justice. Je t dois bien ça, ha, ha, ha !
Oh oui... superbe cul... tu es trop gentille... Mais, je suis plutôt « nichons » tu vois ?
Nichons, hein ? Alors sers-toi, mon beau... ça fait longtemps que l'on ne me les a pas secoués.
« Secoués » ? J'adore ce mot...
Ha, ha, vas-y, go !
Ha, ha, ha. Oui, je... heu...
Elle s'approcha de lui et prit une grande inspiration tout en lui tendant les seins. Il s’étaient si gros qu'il manqua de s'évanouir.
Non, sérieusement ? Tu es sûre que tu...
Je rigole ! Je rigole... Non, oui, oui, non !
Oui, moi aussi...
Heu... on fait quoi aujourd'hui ?
Je... J'ai un peu de boulot pour l'université. Tu vois... des bouquins et...
Sérieusement !
Ah, sérieusement ? Tu veux dire... ?
... Sérieusement, touche-moi ! J'ai envie, vraiment !
Heu...
On sera quitte... pour les fesses, tu vois ?
Ah oui ? Oui... heu... bien sûr...
Oui !
Heu... cool !
Je ne...
Vas-y, Kal, c'est ok !
Il finit par loser ses mains sur ses seins et à les masser au travers de son haut.
Kom op, raak me aan. (Vas-y, touche...)Heu... j'avais oublié que tu parlais flamand. Tu voyages toujours aussi souvent en Hollande ?
Non... Je ne bouge plus trop depuis quelques années... moins de déplacements... professionnels.
Bon dieu... waouh... et tu le parle bien, le... le flamand ?
Ils avaient tous les deux de plus en plus difficile à se concentrer Hum... pas trop mal, c'est facile... tu te souviens d'Oma, elle parlait bien !
Heu... je ne connais pas trop ce... heu... côté de la famille... tu sais...
Serre plus... !
Hhhffff...
Tu aimes ça, c'est sûr !
Hooo, putain que oui...
Parle-moi encore flamand...
Ok, ik hou ervan hoe je met mijn borsten speel. (J'aime quand tu me tâtes les seins.
Humm... c'est trop sexy, j'adore...
Tu devrais apprendre... Dan kunned we nederlands praten, terwijl jij in mijn borsten knijpt. ( Alors nous parlerons flamand pendant que tu me secouera le nichons.
Mmmmhhh.
Ik will je zo graag aanraven, Kal... Ik wi gewoon je pik in mijn mond voelen. ( Je veux te toucher plus que ça, Kal... Et je veux prendre ta queue entre mes lèvres.) ... tu ne me comprends pas, hein, Kal ?
Un petit peu... « Pik » c'est la bite, c'est ça ?
Hooo... merde...
Et « Mond » les lèvres, hein ?
Bordel...
... Alors, il faut que je fasse attention à mes paroles...
He, oui...
Juste une blague, hein ?
Hmm...
Tu serres un peu fort !
Désolé, tu veux que j'arrête. Si c'est...
Jamais de la vie ! Ça me convient parfaitement...
Bien.
à cet instant l'érection de kal dénoua la serviette qui tomba à ses pieds.
Bon dieu... waouw...
Je... je devrais me rhabiller, mais j'ai les mains prises, alors...
Tant mieux ! Dis, Kal, je peux jeter un œil ?
Heu... oui...
Bien... Ohhh... Haa... Tu m'as vue nue, alors maintenant, on est quittes, hein mon chéri ?
Ha ? D'accord... regarde bien...
Compte sur moi...
Si tu veux, tu peux passer tes mains en dessous de mon dessus... si tu veux...
... C'est trop fantastique... je... je...
... et moi, est-ce que je peux... ... te toucher ?
Touche tout ce que tu veux... je suis déjà étonné de respirer encore tellement c'est bon...
Ok, merci !
Ils se sont caressé en silence... elle glissa les mains le long de son torse, descendant doucement vers ce qu'elle désirait palper des deux mains et lui sentis ses doigts se refermer sur son sexe. Elle le tenait pendant qu'il lui malaxait les seins, les écrasant entre ses mains.
Elle serra tendrement sa bite et sentis quelque chose couler entre ses cuisses... Elle allait jouir. Elle mouillait et salivait abondamment.
B... belle queue...
Si je m'évanouis, tu ne t'inquiéteras pas ?
Tu dis ? ... J'ai les oreilles qui sifflent... ton pénis... Mijn god. Mijn mond... Water-tanden dit is geniaal... (Mon Dieu, mes lèvres, je bave, génial...)Elle le caressa d'abord du haut vers le bas, puis elle attrapa sa queue fermement à pleine main et se mit à tirer fort... mais elle bouge tellement doucement que cela ne put être considéré comme de la masturbation. Sa main est ferme et caressante, c'est la chose la plus sexy qu'il n'ai connue de toute sa vie. Il pouvait à peine respirer et resta figé, seul sa queue tremblait entre ses mains. Elle lui étira les couilles d'une main et la branla de l'autre... Elle sentait bien qu'il adora ça. En fait, elle ne voulait pas vraiment le branler, si elle le faisait, elle était certaine de le faire jouir et, dans ce cas elle devrait vingt balles à Chun et... Elle s'efforçait d'arrêter avant qu'il ne soit trop tard !
Stop ! Assez... pas aujourd'hui, non.
Oh, désolé, en effet, je ne... désolé.
Pas un mot à ta mère !
... ni à Chun non plus !
Chun me le ferai payer, c'est sûr !
Il le savait si elle n'avait pas parié avec Chun, elle aurait été plus loin ! Mais c'était fini et ils se regardèrent, ne sachant, ni l'un ni l'autre que faire.
Anna, alors... Heu... On fait quoi aujourd'hui ?
Je pensais faire un peu de pilate...
Pilate ?
Oui, ça ressemble au yoga, mais sans le côté spirituel... en plus physique !
Cool !
Et toi beau gosse, tu fais quoi ?
Footing, football... heu... rien de très compatible avec ce foutu confinement...
Ça oui... Allez on fait une séance de pilate tous les deux... allez dis oui !
Hm... Pourquoi ?
Ça va faire de toi un vrai surhomme, crois-moi !
Vraiment ? Avec la vision à rayon X et la force surhumaine ?
Allez, un bras de fer...
Quoi, tu y crois ? Mais tu n'as pas une chance ! Je suis plus fort que toi, désolé !
Viens prendre une bonne leçon de ta tatie Anna !
Elle le tira vers la table et décidée elle l'invita au bras de fer.
Dis-moi si je te fais mal, je ne voudrais pas...
Alors, tu pousses...,Bon dieu... ! Mais tu es en acier ?
Incline-toi devant moi !
Mon maître, je m'incline bien bas... enseigne-moi !
Bien, tu seras mon padawan et tu me serviras !
À vos ordres, maîtresse...
D'abord, on va manger un bout... et aussi va mettre un short.
Je n'ai que des pantalons, maîtresse...
Alors mets un boxer, ça ira !
Plus tard dans la matinée, en fin de séance de pilate.
Et on bloque et... on respire et...
Argghh... Je n'en peux plus... je ne peux plus bouger... Argghh...
On étire vers les haut les bras...
Kal n'en pouvait plus, il était maintenant couché sur le sol au pied de sa tante, qui à genoux continuait ses exercices.
Je suis mort...
Allez, c'est même pas du pilate, juste de l'échauffement...
Je meurs... je meurs... continue sans moi. Je vais mourir ici, sauve-toi.
Mais quand il leva les yeux, il était juste sous sa tante et dans ses mouvements, elle faisait remonter son haut, laissant apparaître le bas de ses seins.
Remue-toi fainéant ! C'est la fin… ? Tiens la pose...
Et c'est cette pose les bras en l'air qui lui permettait de mieux voir.
Dis-moi... tu tiens longtemps cette pose ?
Oui... à ton avis combien de temps ?
Longtemps...
Mais dis-moi, ça va, en bas ?
Elle avait remarqué le manège de son neveu et outre sa poitrine, elle avait aussi observé qu'il fixait son maillot ample, espérant sûrement apercevoir sa chatte.
Désolé, je... j'admirais la couleur de ton maillot...
Ah, vraiment...
Tu ne peux pas faire mieux ?
Non. Je suis claqué... c'est fou ce que c'est dur de se rouler sur un tapis !
Le pilate, c'est fait pour les grands, pas pour les petits coureurs à pied.
Hééé...
Anna venait de décoller sa culotte de sa chatte, et cela, juste devant son nez.
Cette foutue culotte... elle me frotte où ça ne devrait pas...
Ses yeux allaient sortir des orbites de Kal.
Il faudrait juste... un peu d'entraînementOui..heu...
... Et… bon... on va dire que ça suffit pour aujourd'hui, hein ?
Oh, merci maîtresseElle se releva et alla dans la salle de douche, tandis que Kal restait assis sur le sol au milieu du séjour.
Ah merde ! Ils ont coupé l'eau !
Quoi ?
... Des travaux dans la rue... Bordel de dieu, pas de douche pour un bon moment.
Ah, zut !
Ils se posèrent devant le TV en attendant que l'eau soit rétablie. Mais le soir, après une journée où il ne s'était absolument rien passé. Un regard... un regard changea tout.
Hé !
Hé !
Une super journée...
La meilleure de ma vie...
Ha, ha, ha...
Quand on y pense... quel coup de bol...
Ha, quoi donc ?
La pandémie mondiale !?
J'avais oublié ! Oui, c'est pour ça que je suis ici... génial !
Et ces niaiseries à la télé... pas possible !
C'est vraiment assommant !
Anna regardait Kal et sans s'en rendre compte elle glissait un doigt sous sa culotte et se caressait le clitoris.
Quoi ?
C'est bon que tu sois là, Kal. Tu n'as pas idée…Et toit Anna, tu n'as réellement touché personne depuis six mois... c'est vrai ça ?
Heu... oui...
Pareil pour moi... mes copines de fac ne sont pas spécialement câlines...
Et le manque, ça affecte pas mal, hein ?
Hooo, oui...
Si tu veux un câlin, je suis là ?
Hmm, ok !
Anna se leva et se dirigea vers son neveu étendu dans le divan.
Sauf que je sens la sueur, tu sais ?
Oh, moi aussi !
Il lui fit de la place et s'assit entre ses jambes son dos posé sur son torse.
Quand il y aura de l'eau ? On pourra aller se doucher ensemble...
Heu... oui...
Attends, je veux dire... si tu veux... et si l'eau revient... enfin si tu... Quoi, oui ? Je veux dire... tu veux bien… ?
Je veux dire, pas ensemble... Tous les deux, séparément, mais ensemble... sous la douche... Je... à des moments différents on pourra profiter ensemble d'une douche tous les deux ? Oh, mon Dieu... merde... je devrais me taire !
Ha, ha, ha ! J'adore comment tu parles, Anna !
Kal venait de l'inviter à prendre une douche ensemble un peu par erreur... et elle avait, dans un premier temps dit oui... c'était sorti comme ça... naturellement. Il était certain qu'ils allaient bientôt baiser, peut-être pas aujourd’hui, mais bientôt, c'était certain.
Il profita de la situation pour l'entourer de son bras, bien au-dessus des seins, faisant très attention à ne pas la brusquer, à ne pas être trop présomptueux . Juste au niveau des clavicules pour lui plaquer le dos contre sa poitrine. Il l'enlaça et elle réprima un fou rire. Il aurait voulu que cela ne s'arrête jamais. Puis il lui prit la taille et l'attira lentement contre son ventre. Elle gémit un peu, mais se laissa aller entre ses bras. Chaude et salées leurs peaux se touchaient de plus en plus... Quand il la touchait, avant, c'était ferme et tonique, là, c'était chaud, doux et vibrant. Infiniment plus tendre, plus féminin. Le côté de son pouce lui frôlait la peau de ses seins et il attendait qu'elle lui dise d'arrêter, de ne pas la toucher à cet endroit-là.
Hmmm..
Désolé si je... je peux ?
Humm... Tout va bien, continue !... S'il te plaît...
Maintenant sa queue était douloureuse et coincée entre leurs deux corps, alors il glissa une main dans son dos pour régler cela, son pénis était dur comme une barre de fer.
Hm...hmmDésolé, je...
Non, j'aime...
Il recommença à la caresser des deux mains se rapprochant toujours plus du bas de son haut. Il explorait toute la surface de son corps et à travers sa peau il sentait son cœur battre. Il prit enfin ses seins à pleines mains et le soupesa. Ils étaient si chauds, si parfaitement adapté à ses paumes que chaque caresse était un pas vers l'extase. Elle poussait de petits gémissements afin de l'encourager à continuer. Alors il les lui malaxa passant ses doigts tout autour et les serrant pour qu'elle finisse par s'abandonner à lui, ne sachant plus résister à ses caresses.
Il était attentif à ne pas lui faire mal, mais, par des gémissements, elle l'encouragea à être un peu plus pressant pour augmenter son plaisir. Elle sentait sa queue battre contre son dos se dressant comme une fusée prête au décollage. Elle sentait aussi son excitation dans sa respiration hachée. Son souffle était doux à ses oreilles, alors elle ferma les yeux et s'abandonna totalement à ce jeune homme si pur, à ce novice qui explorait un corps de femme pour la première fois. Le cœur battant et le pénis palpitant.
Il lui pressa ensuite les tétons ! Ils réagissaient et durcissaient sous ses doigts. Il ne s'attendait pas à une telle réaction, mais c'était fantastique tant pour lui que pour elle. Ils se dressaient comme des pics et il les faisait rouler entre ses pouces et ses index. Anna réagissait par de légers gémissements, manifestant ainsi son plaisir. En mêle temps, il bandait de plus en plus dur. Sa bite était comme de la pierre. C'était inconfortable, mais il s'en fichait. Il était prêt à endurer ça pendant des heures et des heures. Et c'est ce qui se passa. La nuit tombait à l'extérieur et les heures défilaient. Aucun d'eux ne voulaient arrêter. Il l'embrassa dans le cou, respirant son odeur. Il s'enivra de son parfum alors qu'elle se délectait de son contact après une si longue privation de caresses masculines. Et lui, qui n'avait jamais touché ainsi une femme avait une envie folle de lui dire « Je t'aime ». Mais il hésitait, repoussait ces paroles sans cesse... alors il essaya de lui communiquer cela par ses caresses, par la pression tendre et duce de ses seins.
Elle aime qu'il joue ainsi avec ses tétons, et cela, des heures durant !
Le temps passait sans qu'ils s'en aperçoivent. Il l'embrassait comme dans un rêve, ses seins étaient brûlants dans ses mains et cela compensait d'un coup toutes ces années où il se demandait à quoi toucher des seins ressemblait. Il avait l'impression de maintenant connaître son corps, de la comprendre, comme si elle lui parlait en silence. Leurs peaux se touchaient, se reconnaissaient, se confondaient... et tout cela ne pouvait avoir qu'un seul non : « la perfection » !
Elle commença à écarter les cuisses, elle gémissait et soufflait comme si elle essayait de garder le contrôle sans y parvenir. Cela faisait presque trois heures qu'elle pressait sa queue contre son ventre. Il était sûr qu'il avait les couilles pleines de sperme. Le corps d'Anna s'arqua de plaisir, ses tremblements extatiques, ses petits gémissements, tout cela était... comment dire... juste incroyable !
Elle brûlait littéralement, et même s'ils étaient encore habillés, elle était de plus en plus excitée. Il faut dire que leurs vêtements étaient légers pour les amants qu'ils devenaient. Elle désirait follement ce beau jeune homme, et elle lui écrasait la bite avec son dos, elle sentait sa queue vibrer dans contre elle. Aucun vibromasseur n'avait jamais vibré comme cela. Elle sentait son cœur battre et elle se laissait couler dans ses bras. Elle fantasmait sur la pénétration, elle voulait se retourner et la prendre dans sa bouche pour la sucer. Elle rêvait de la sentir la pénétrer, s'enfoncer dans sa chatte, elle désirait la chevaucher... jusqu'à l'épuisement. Il n'allait pas se passer longtemps avant qu'elle ne craque... ses baisers dans son cou, sa respiration dans ses oreilles et ses doigts sur ses seins... Elle ne pouvait pas empêcher ses hanches de s'agiter, ses cuisses de s'écarter. Elle résistait depuis des heures, mais ça devenait insupportable. Le plaisir l'envahit, le rêve était à sa portée, le rêve de recevoir en elle toute la longueur de sa grosse queue, de s'ouvrir en deux pour lui. Son corps menaçait de se désarticuler à chaque pincement de ses doigts, à chaque baiser, à chaque secousse de son pénis contre ses reins... Et cette odeur de sperme qui commençait… Oh mon Dieu, elle brûlait, elle se consumait de désir.
Elle avait tout oublié du film qu'ils regardaient et ses yeux révulsés la rendait aveugle. À ce stade d'excitation, ils pouvaient regarder le journal de vingt heures sans le savoir. Leurs odeurs corporelles saturées d'hormones poussaient son délire orgasmique vers d'irréels sommets. Jambes, cuisses, seins lèvres sexe... tout son corps en appelait à se faire baiser. Elle se taisait, mais ne pensait qu'à cela. Son corps savait ce qu'il voulait et elle, n'était plus qu'une passagère emportée par le désir de celui-ci, gémissante, suppliante, la vulve dégoulinante de mouille, incapable du moindre petit contrôle. Plus elle pensait à sa queue, plus elle brûlait en dedans, mais elle se rappelait soudain une chose : cela fait plusieurs heures qu'il bande. Non, ce n'était pas possible ! Elle ne pouvait pas lui infliger cela... pauvre garçon... ça pouvait même être dangereux pour son anatomie. Il fallait... elle devait faire quelque chose !
Assez... ça suffit !
Hein, ça va ?
Oui Kal, c'est juste que...
Il sentit qu'elle sortait sa bite de son boxer et elle se laissait glisser sur lui. La pointe de son gland était venue se nicher dans la vallée étroite entre ses seins... et c'est la meilleure chose qu'il n'avait sentie.
Tu vas voir si l'eau est revenue ?
Nghh ?... Ok ?
En un seul geste, elle l'enfila entre ses seins sous son haut. Elle savait ce qu'elle faisait. Sa queue était au bord de l'explosion depuis des heures et elle faisait ça ! Elle se collait contre lui, glissait de haut en bas... Elle l'astiquait avec ses deux seins, et son érection augmentait encore... et encore, jusqu'à... jusqu'à...
Je peux y aller... ou je reste là ?
Elle le pompait avec ses seins, faisant ressortir son gland par le haut de son top. Ses mouvements étaient francs et dynamiques et ses seins lui décalottaient le gland, lui massant toute la hampe. En haut, en Bas, en haut, en bas... jusqu'à ce que... ce qu'il...
Kal ? Haut... bas. L'eau tu vas vérifier ?
Je reste là ? J'y vais ? Vérifier l'eau ? Je reste ? Vérifier ? Rester ? Vérifier ? Rester ?
He, hé ! Goed zo, bravez jongen. Je bent al heel lang stijf gebleven, hé ? (Hé, hé ! Ça, c'est un bon garçon. Tu as bandé si longtemps, hein ?).
Il gicla entre ses seins, dans ce sillon extraordinaire, mouillant tout son top d'un flot de sperme, giclant encore et encore. Toutes ces heures où il s'était retenu l'avait menés à cet orgasme qui déchirait son corps tout entier, qui lui vidait les couilles sur elle... avec frénésie et abondance.
Elle le fixa du regard avec un grand sourire avant de se relever.
À moi la douche, hi, hi, hi !
Wahouw...
C'est bien ?
Ha, Anna, mieux qu'...
Désolée... est-ce que l'on est devenus dingues ?
C'est la faute au confinement...
Ha, oui, saleté de confinement de merde !
Ouais, putains de confinement... qui nous rend marteaux !
J'espère que l'eau est revenue...
Ils n'allaient pas se doucher ensemble, pas encore... une éjaculation accidentelle était une chose, mais totalement nu, couvert ce savon, sous la douche ? Ça serait impensable, ils étaient de la même famille... elle était sa tante... Mais il ne s’inquiétait pas... le jour se levait sur une seconde journée ensemble. Et, quoiqu'il se passait ou ne se passerait pas, il était amoureux.
À suivre...
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