La Cabane de Tonton Damien – Ep. 02 – Les Galipettes de Tonton et Tatie

- Par l'auteur HDS Chirlasuelta -
Auteur femme.
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Récit libertin : La Cabane de Tonton Damien – Ep. 02 – Les Galipettes de Tonton et Tatie Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Cabane de Tonton Damien – Ep. 02 – Les Galipettes de Tonton et Tatie
Après ce que Lorry m’avait raconté, j’ai eu du mal à faire semblant de rien. Elle n’arrêtait de me dire qu’elle était très reconnaissante à ce Henry, que probablement sans lui on ne se serait jamais connues… Et quand j’osais appeler ces types malades ou pervers, elle me disait de ne pas les appeler ainsi. Et, lui faisant noter la façon dont ce vieux la traita, soit de marie-couche-toi-la’ ou d’un conduit à déboucher, elle me dit que ce n’était pas vrai, que Henry avait été gentil. Je me suis rendue compte, a ce moment la’, que ma Lorry avait de sérieux problèmes...

Incrédule, je lui ai demandé: « Un type gentil est celui qui assouvit son désir de dépucelage avec une fille qui a quarante ans moins que lui, en la traitant de salope, sur un pick-up?! » Elle m’a répondu, un peu irritée : « Je lui suis reconnaissante ! J’ai pus m’épanouir, et prendre tous les plaisirs de la vie. » Et Antoine n’était pas son seul petit-copain, mais un des nombreux qu’elle avait. La nympho, je me suis dite ! Et de plus, même assez stupide, si elle ne comprenait pas qu’elle se fit usée : de quoi faire pâlir les féministes, comme moi ! Déjà je fus choqué par ses sex-toys dans sa chambre qui semblait celle d’une ado, et maintenant ça ?

J’avais vraiment du grand mal à comprendre. Et surtout je ne savais pas si elle continuait à se faire traiter comme l’avait traité Henry. Je ne pouvais pas comprendre, moi qui étais pour les droits de la femme, contre l’image d’une femme objet qui n’a que trois trou, deux nichons et deux fesses. D’accord, si elle aimait les vieux, ce n’est pas un problème, on baise avec qui on veut. J’étais partante pour le sexe libre, j’étais bis entre autre, mais Lorry ne semblait pas comprendre que, ce Henry, l’usa comme un trou quelconque ! Elle tint, cependant, à me raconter tout le reste, et surtout le motif pour le quel elle croyait aimer les vieux. Elle m’harcela, jusqu'à ce que je ne cède, et je l’écoute.

… Depuis son dépucelage elle ne se fit plus prendre, de personne. Mais elle suçait ses camarades, qui le lui avaient demandé explicitement quand elle commença à taper dans l’œil. Ce n’était pas parce que la première fois fut traumatisante, elle me dit, mais parce que ce fut quelque peu décevant. Elle préférait donner et prendre du plaisir avec la bouche, et comme quoi elle avait apprit à faire de bonnes fellations, on la remerciait par de bons cunnis.

Puis, l’été d’après, a quelques semaines de ses dix-huit ans, ses parents l’envoyèrent chez Tatie Lucie. Ce fut elle qui vint la prendre à l’arrêt du bus, et elle resta frapper par le changement de sa nièce qui arborait une robe moulante, décolletée, et courte a la limite des fesses. Cette Tatie Lucie, avait quarante-six ans à l’époque, encore jeune et plaisante, aux cheveux courts. Et elle était célibataire depuis une dizaine d’années. Le pourquoi ? D’après les voix du village, elle était lesbienne et avait eu pas mal de petites rencontres entre « gouines ». Mais elle n’était plus célibataire, apparemment. Quand Lorry arriva à la maison, Tatie Lucie lui avoua une surprise : un fiancé tout frais, de cinq ans son ainé, pêcheur, maitre d’un gros danois du nom de Gaston. Et quand Tatie Lucie ouvrit la porte, Lorry connu celui qui serait devenu Tonton Damien. Son Tonton Damien ! …

Voila’ un autre pervers, j’ai sifflé ; et elle me fit : « Un jour, tu verras, tu ne les appelleras plus ainsi ! Et puis, ce ne sont pas des pervers… Si tu déhanche devant un type en mini-jupe, et il te siffle derrière, ce n’est pas forcement un pervers !» Assises toutes deux dans un café, sa main se balada sur son entrejambe, en public ! Je lui ai demandé d’arrêter, mais elle ria en me disant d’être plus cool. Elle me dit que rien n’avait été fait contre sa volonté, jamais… Au contraire, c’était toujours elle qui cherchait, et puis, elle aurait été majeure dans moins de deux semaines.

… Ce Damien, avait cinquante-et-un ans, bel homme, très haut, aux cheveux sel et poivre, un corps assez athlétique, un beau sourire et il n’avait pas que ça ! Lorry me dit qu’elle avait mouillé quand il la regarda, la dévorant des yeux. Elle n’avait jamais ressenti ceci pour un homme. Il la salua, en la serrant dans les bras, et elle mouilla toujours plus quand, en la serrant, elle sentit un énorme truc tout dur venir se coller à son ventre, pendant que ses mains effleurèrent un peu trop ses fesses, et non pas par hasard.

Durant tout le soir, Lorry dut voir Tatie Lucie se faire cajoler par son petit-copain, désirant être à sa place. D’après ce qu’elle se rappelait, et elle se rappelait bien, il n’arrêtait pas d’égarer sa main sur les cuisses de sa Tatie qui portait un short. Et elle imaginait, d’après le visage de sa tante, qu’il ne se retenait pas de lui mettre la main au con aussi, même si elle se trouvait devant eux.

Quand Tatie Lucie emmena les plats, Lorry demanda à Damien de lui verser un peu d’eau. Et à ce qui parait, en lui clignant de l’œil, il lui dit de l’appeler Tonton, et de ne pas avoir honte de lui. Quand il dit ceci, elle rougit et elle ne put retenir sa main qui s’insinua vers sa petite culotte humide, car il avait égaré explicitement ses yeux, sur les seins de Lorry.

Se sentant vraiment mal a l’aise, ayant l’entrejambe inondé, elle augura vite bonne nuit à ses tontons, pour courir dan sa chambre. Retroussant la robe, elle se regarda surprise. Elle avait l’intérieur des cuisses couvert de cyprine, tandis que ses slips en étaient carrément trempés. Elle n’avait jamais eu tellement envie comme en ce moment, me dit-elle, et elle osa se toucher plus profondément! …

Bien assise sur le fauteuil style baroque de ce café un peu retro, sa main se fourra entre ses cuisses. J’ai dû lui dire : « Tu vas te faire pincer, comme ça ! » Elle secoua la tête et j’ai sentis assez clairement le bruit de l’élastique de ses culottes claquer contre sa peau, les écartant surement. « Arrête ! » J’ai dit, quand j’ai comprit qu’elle avait mit ses doigts dedans. En riant, elle me dit d’essayer à mon tour. J’ai refusée… La main sur mes yeux, ayant honte pour elle, j’entendais le clapotis de ses doigts qui entraient et sortaient de son abricot. Se touchant, en public, elle continua son histoire.

… Se mettant à poil, assise sur le lit, elle écarta les jambes en mettant entre elles un miroir, pour voir, me dit-elle. Elle regarda longtemps sa minette dans ce miroir, y jouant, ouvrant ses lèvres vaginales pour voir ses intérieurs roses, chatouillant le clitoris, frôlant son petit trou. Et c’est vers ce trou qu’elle pointa l’index. Elle me jura encore une fois que jamais, depuis Henry, elle n’avait essayé à se mettre un doigt dedans, ni même par curiosité.

A ce qu’elle dit, elle trouva des difficultés pour se faire brèche dans son vagin, mais elle sentit un plaisir intense l’ébranler quand elle réussit à mettre tout le doigt dedans. Lentement elle commença à se pénétrer de ce doigt, incapable d’en ajouter un deuxième. Elle se regarda dans le miroir, surprise de voir ses chaires qui suçaient son index. Puis, après quelques aller-retour « j’ai commencé à trembler comme une feuille et j’ai dut me mordre la langue pour ne pas crier par le plaisir ! ». ….

Honteuse, je regardais autour de nous, pour m’assurer que personne ne s’était rendu compte d’elle, des mouvements de son bras, et de sa main entre ses jambes. Trop tard, un type tout seul à une table, devant un pc, la matait. Il la regardait, un sourire taquin aux lèvres. Je l’ai dit à Lorry. Elle a haussé les épaules, continuant son vas-et-viens discret, insouciante, sans honte aucune.

… Tonton Damien, d’après Lorry, était un homme très amusant et elle en était vraiment très, mais très, attirée. Et elle était persuadée qu’il en était de même pour elle, car souvent il le trouvait entrain de lui contempler les fesses ou alors les seins, sans rien faire ou dire. Pas comme les vieux qui lui sifflait derrière et bandait en collant leurs pubis a son cul. …

Si elle était complètement folle de ces frotteurs la’, moi, ça me révolter l’estomac. Je ne supportais pas, je n’y arrivais pas! Les frotteurs c’était ma panique. J’évitais le bus et le métro justement pour ne pas devoir me confronter a eux. Quand je le lui fis part, elle me dit que quand elle arriva chez Tatie, elle ressentait la même chose que moi a l’égard de ces attouchements, étant contrariée. Mais puis, elle changea d’idée.

… Au bout d’une semaine, me dit-elle, tard la nuit, elle entendit des bruits. Son lit était collé au mur mitoyen entre sa chambre et celle de sa tante. Ces bruits étaient des clapotis, des coups réguliers et assez forts, des bruits accompagnés par des gémissements. Surprise, elle approcha l’oreille du mur et elle put entendre assez nettement ce qui s’y passait. Des « oh », des « ah », des « oui », avec des « plus vite », des « c’est bon ».

Elle eu une terrible envie de voir ce qu’ils faisaient. Sortant en pointe de pied de sa chambre, elle s’approcha de la porte de sa tante, cherchant à regarder par la serrure. Mais c’était trop sombre. Il n’y avait qu’un seul endroit d’où elle pouvait bien voir, selon elle. Elle sortit dans le jardin, fit le tour de la maison pour rejoindre la fenêtre grande ouverte, de la chambre de sa Tante, avec les rideaux écartés. Et d’un coin, elle regarda.

Sa tante, mise en levrette, se faisait bien limer par son nouveau compagnon en « baisant férocement comme des animaux ! ». En regardant la scène, elle se porta une main sur la bouche car elle tomba des nuages, tellement elle fut surprise par l’énorme jouet que Tonton cachait dans ses pantalons. Il avait une bite de cheval, selon ses mots à elle. Et ce pénis obscène, disparaissait entre les fesses de sa tante qui haletait à yeux clos. Et rien qu’a la vue de cette pine, elle me dit qu’elle eu presque un manquement tandis que « j’avais l’abricot en folie ». Ne pouvant pas faire a moins de cette petite scène, elle senti une envie irrésistible la prendre. Elle fit descendre le short du pyjama et, les fesses a l’air dans le jardin, elle écarta les cuisses le juste qu’il fallait pour se toucher en regardant discrètement sa tante se faire niquer ainsi.

Damien donna des coups de reins encore plus forts, tenant Lucie des flancs, ses grosses couilles rondes qui battaient contre le pubis de Tatie Lucie. Et en les regardant, Lorry se touchait, sentant grandir en elle un forte envie de bite comme elle n’en avait jamais eu. Regardant le visage de sa tante, elle était persuadée qu’elle ressentait un plaisir énorme, et elle voulait le ressentir à son tour. Elle voulait une bite, et rien d’autre que la bite de Tonton Damien ! Elle joui en les regardant, me dit-elle. Elle joui, sans réussir à se retenir, au même temps que sa Tante. …

Voir baiser ma Tante avec son copain, j’aurais eu honte et je serais partie! Comme à l’ instant où elle me parlait. Je la connaissais et je savais quand elle allait jouir. Lorry avait les pommettes rouges, elle y était presque, elle allait jouir, ainsi, en plein public et sous les yeux de ce mec. Au moins, il ne devait pas avoir plus de trente ans. Lorry prit ma main sur la table, la serrant, et elle joui ! S’efforçant pour retenir ses gémissements. J’avais si honte… moi, a sa place elle.

… Elle avait joui fort, tout comme sa tante, la cyprine qui n’arrêtait de couler de sa minette, sous des frissons de plaisir. Elle allait partir pour rejoindre sa chambre, par peur qu’on ne puisse la surprendre, mais puis ses yeux furent attirés par la queue de Tonton Damien, qui se retira de la chatte de sa tante, encore bien bandante et fumante.

— Ça te dit de me sucer ? Il demanda en l’embrassant sur le dos. Pour que je vienne dans ta bouche !

Sa tante se tourna et se mit à genoux. Elle prit l’énorme bite dans sa bouche, léchant chaque repli de la pine de son compagnon. Elle prit a lui sucer le gland, s’aidant de la main pour le branler, pour le faire jouir. Damien creusa les reins, le visage contre le plafond, pour crisper ensuite les mains sur la tête de Tati Lucie, ainsi qu’elle ne bouge pas, et il vienne aisément sur sa langue. Quand il retira sa pine, Tante Lucie prit un mouchoir et y cracha la foutre.

— Un jour tu me feras le plaisir de l’avaler, chérie ? Il demanda en s’asseyant sur le lit.
— Pour ton anniversaire je vais avaler chaque goutte, elle répondit.

Laissant ses Tonton dans leur chambre, Lorry retourna dans la sienne, en faisant le moins de bruits possible. …

Lorraine se tut aussitôt, quand le mec qui l’avait bien maté tout le temps qu’elle se donna du plaisir, nous salua en se présentant. Lorry lui sourit, moi j’aurais voulu me cacher sous la table. Il glissa un petit papier sur la table, tout en lui chuchotant quelque chose à l’oreille. Elle ria, avant que le type ne parte. « Qu’est-ce qu’il t’a dit ? » J’ai demandé. Et elle : « Que si j’avais besoin, il s’offrait pour m’aider ! » Je devais avoir une figure d’hébète, a mis surprise et a mis écœurée par le fait qu’elle était flattée de ceci. En riant, elle me chuchota : « De tant à autre je me tape des jeunes de mon âge aussi ! » Et en comprenant ce que j’allais dire, elle ajouta : « Je ne me tape pas n’importe qui ! Et puis, même si tu en a horreur, moi je suis heureuse qu’on me dise ceci. Ça veut dire que je leur plais. » Je n’ai rien dit. J’ai préféré me taire, au lieu de répondre, et entrer en une conversation stérile.

… Ce fut comme ça, me dit-elle, c’était les vieux aux cheveux blancs qui la faisaient mouiller. Et dès le jour après, elle m’avoua qu’elle ne se vexait plus si les vieux la touchaient. Et la preuve, arriva juste le lendemain. Après avoir longuement fait un pompier a un des bacheliers (sans ressentir la moindre envie de se faire prendre), durant un spectacle sur la plage, au milieu de la foule, un type sur la quarantaine lui colla la main au cul. Il lui pelota les fesses, un instant, attendant sa réaction. Comme quoi elle ne dit rien, il lui posa le sexe bien bandant sur les fesses, et elle se rendit compte qu’elle mouilla aussitôt qu’elle ressentit cette pine se frotter un peu à elle! Et elle se frotta, bien, entre ses deux fesses, jusqu'à jouir. ...

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