La cabine d'essayage
Récit érotique écrit par Douceurdivine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La cabine d'essayage
<p>Je prenais plaisir à être en compagnie de Nono, d’Alex et de Michel. Ce samedi après-midi, passé chez moi (voir mes deux autres récits) avait été mémorables. Nous avions faits l’amour tous les quatre. Baiser pourrait-on dire si je ne trouvais pas le terme trop vulgaire mais il faut appeler un chat un chat. Les mauvaises langues ajouteront ce qu’elles pensent.
Bref, nous étions maintenant en juillet et c’était l’heure des soldes. Je suis très fringues, dessous sexy, robes, mini jupes et autres tenues. C’est de là qu’est né un fantasme (hé oui, un autre !) : faire des choses avec un homme, pourvu qu’il soit beau, dans une cabine d’essayage.
J’ai demandé à Arno s’il était d’accord :
- Tu sais que c’est les soldes ?
- Oui.
- Tu ne voudrais pas m’accompagner ?
- T’accompagner ?
- Oui. Je ne me vois pas essayer toute seule les cabines d’essayage. Lui répondis-je.
- Ah, je vois. Mademoiselle a encore des envies coquines.
Arno réfléchit un instant :
- J’ai mieux à te proposer, si tu n’as pas peur bien sûr de te faire bander les yeux.
Je l’écoutais attentivement, cherchant bien ce qu’il pouvait manigancer.
-Je t’accompagne à une seule condition. Que je soit moi le maître du jeu. Me disait-il.
J’ai dit Ok car l’idée me plaisait bien.
Nous nous sommes de nouveau donnés rendez-vous un samedi, le matin ce coup-ci. La veille au soir, en pensant au lendemain, je n’étais pas spécialement excitée. Tout se décupla le lendemain matin dès le réveil, puis dans le métro jusqu’au lieu choisi. C’était dans le centre de Lyon, dans le quartier piéton. J’ai retrouvé Nono à l’heure voulue devant la boutique choisie. Ses propos de l’avant-veille me laissaient supposer qu’il ne serait pas seul mais non il était bien seul. Dommage car je commençais à m’amuser. Je n’en avais pas moins envie d’aller essayer au plus vite une cabine d’essayage comme jamais je ne l’avais fait auparavant. C’est Nono qui eût choisi la boutique que je ne connaissais pas. A défaut d’une boutique pour femmes, c’était une boutique de fringues pour homme.
J’entre avec lui. Résultats : c’est lui qui essaye les vêtements. Je crois rêver ! Monsieur se prête au jeu, prend un pantalon, entre dans la cabine et essaie.
Soudain, il m’interpelle :
- Steph, viens voir.
Je regardais discrètement si dans la boutique quelqu’un pouvait me voir. J’entre dans la cabine où il se trouve. Nono avait déjà le sexe tout dur en dehors du pantalon qu’il essayait.
- Tu ne peux pas faire quelque chose, dit –il, j’ai du mal à la rentrer.
- Oh si !
Je me suis accroupie devant lui et ai tout de suite pris son sexe en bouche. J’adore quand il est comme ça, qu’il me commande un peu et me donne des ordres.
Son sexe était aussi beau que la première fois que je l’ai vu. Il était dur et épais, pas trop long mais humm, combien succulent. Je m’appliquais à le lécher de haut en bas, caressant ses couilles au passage puis à donner quelques coups de langue sur le gland. Nono aimait ça et je le voyais bien. Soudain, je l’ai branlé pour qu’il jouisse. J’ai dégrafé mon chemisier pour me caresser les seins. Sa queue était si raide que je voulais encore l’avaler, la prendre dans ma bouche pour qu’il jouisse ce qu’il fit sans plus attendre.
J’ai reçu ses giclées de sperme chaud dans la bouche. J’ai avalé pour ne pas en mettre partout. J’ai regardé Nono dans les yeux avant de me relever :
-Attends, dit-il, ce n’est pas fini.
Il sortit un bandeau noir de sa poche.
- Tu m’as promis de suivre mes ordres, tu te souviens ?
- Oui.
Je cherchais où il voulait en venir.
-Hé bien, un homme va entrer dans la cabine. Il va prendre ma place. Seulement, tu ne le verras pas car tu vas garder ce bandeau sur les yeux.
J’étais stupéfaite, mais me prêtais au jeu. Arno me déposa le bandeau sur les yeux qu’il attacha derrière ma tête.
-Surtout tu ne bouges pas. Tu te laisses guider. Et, c’est peut-être moi qui serai là. ajouta-t-il.
Je sentis Nono quitter la cabine d’essayage. Moi qui étais venue essayer des fringues essayais des hommes. Je n’ai eu que peu de temps à attendre que sitôt une queue se présenta devant moi. Nono me dit tout bas que c’est Alex.
Je commençais alors à sucer Alex qui ne disait rien. Sa queue était chaude. Elle s’est raidie sous mes coups de langue. Je n’ai pas mis longtemps à la faire bander. Soudain, je sentis des mains caresser mes cheveux. Ce ne pouvait être que les mains d’Alex. Je ne les imaginais pas si grosse. J’ai senti, en les frôlant qu’elle était velue sur le dessus. Etrange, je ne me souvenais pas qu’Alex ait des grosses mains comme cela. Sans me poser davantage de questions, je me suis concentrée sur ma fellation car, il est vrai, j’adore sucer. Le type que j’avais devant moi n’était pas Alex, j’en avais la certitude. Qu’importe, j’étais prise dans la tourmente d’un sexe en érection. Le gars se branla devant moi pour se finir. Je ne pouvais pas ôter mon bandeau (c’était la règle du jeu) mais devinais qu’il s’activait devant moi. Ses mouvements se sont accélérés. Il a gémit. J’ai senti ses giclées de sperme couler sur mes seins. Heureusement que j’avais dégrafé mon chemisier.
Le type s’en est allé. Nono est venu me chercher.
Quand nous sommes sortis de la boutique, il m’a confié qu’il avait demandé à un type au hasard dans la boutique s’il voulait se faire sucer gratis.
C’était la première fois que je suçais un homme dont je ne voyais pas le visage. Le connaissais-je ? Etait-ce un homme que j’avais déjà rencontré ? Etait-ce un voisin ? Lyon est une grande ville, mais tout de même.
Avec cette histoire, j'étais devenue une fille déraisonnable.
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Bref, nous étions maintenant en juillet et c’était l’heure des soldes. Je suis très fringues, dessous sexy, robes, mini jupes et autres tenues. C’est de là qu’est né un fantasme (hé oui, un autre !) : faire des choses avec un homme, pourvu qu’il soit beau, dans une cabine d’essayage.
J’ai demandé à Arno s’il était d’accord :
- Tu sais que c’est les soldes ?
- Oui.
- Tu ne voudrais pas m’accompagner ?
- T’accompagner ?
- Oui. Je ne me vois pas essayer toute seule les cabines d’essayage. Lui répondis-je.
- Ah, je vois. Mademoiselle a encore des envies coquines.
Arno réfléchit un instant :
- J’ai mieux à te proposer, si tu n’as pas peur bien sûr de te faire bander les yeux.
Je l’écoutais attentivement, cherchant bien ce qu’il pouvait manigancer.
-Je t’accompagne à une seule condition. Que je soit moi le maître du jeu. Me disait-il.
J’ai dit Ok car l’idée me plaisait bien.
Nous nous sommes de nouveau donnés rendez-vous un samedi, le matin ce coup-ci. La veille au soir, en pensant au lendemain, je n’étais pas spécialement excitée. Tout se décupla le lendemain matin dès le réveil, puis dans le métro jusqu’au lieu choisi. C’était dans le centre de Lyon, dans le quartier piéton. J’ai retrouvé Nono à l’heure voulue devant la boutique choisie. Ses propos de l’avant-veille me laissaient supposer qu’il ne serait pas seul mais non il était bien seul. Dommage car je commençais à m’amuser. Je n’en avais pas moins envie d’aller essayer au plus vite une cabine d’essayage comme jamais je ne l’avais fait auparavant. C’est Nono qui eût choisi la boutique que je ne connaissais pas. A défaut d’une boutique pour femmes, c’était une boutique de fringues pour homme.
J’entre avec lui. Résultats : c’est lui qui essaye les vêtements. Je crois rêver ! Monsieur se prête au jeu, prend un pantalon, entre dans la cabine et essaie.
Soudain, il m’interpelle :
- Steph, viens voir.
Je regardais discrètement si dans la boutique quelqu’un pouvait me voir. J’entre dans la cabine où il se trouve. Nono avait déjà le sexe tout dur en dehors du pantalon qu’il essayait.
- Tu ne peux pas faire quelque chose, dit –il, j’ai du mal à la rentrer.
- Oh si !
Je me suis accroupie devant lui et ai tout de suite pris son sexe en bouche. J’adore quand il est comme ça, qu’il me commande un peu et me donne des ordres.
Son sexe était aussi beau que la première fois que je l’ai vu. Il était dur et épais, pas trop long mais humm, combien succulent. Je m’appliquais à le lécher de haut en bas, caressant ses couilles au passage puis à donner quelques coups de langue sur le gland. Nono aimait ça et je le voyais bien. Soudain, je l’ai branlé pour qu’il jouisse. J’ai dégrafé mon chemisier pour me caresser les seins. Sa queue était si raide que je voulais encore l’avaler, la prendre dans ma bouche pour qu’il jouisse ce qu’il fit sans plus attendre.
J’ai reçu ses giclées de sperme chaud dans la bouche. J’ai avalé pour ne pas en mettre partout. J’ai regardé Nono dans les yeux avant de me relever :
-Attends, dit-il, ce n’est pas fini.
Il sortit un bandeau noir de sa poche.
- Tu m’as promis de suivre mes ordres, tu te souviens ?
- Oui.
Je cherchais où il voulait en venir.
-Hé bien, un homme va entrer dans la cabine. Il va prendre ma place. Seulement, tu ne le verras pas car tu vas garder ce bandeau sur les yeux.
J’étais stupéfaite, mais me prêtais au jeu. Arno me déposa le bandeau sur les yeux qu’il attacha derrière ma tête.
-Surtout tu ne bouges pas. Tu te laisses guider. Et, c’est peut-être moi qui serai là. ajouta-t-il.
Je sentis Nono quitter la cabine d’essayage. Moi qui étais venue essayer des fringues essayais des hommes. Je n’ai eu que peu de temps à attendre que sitôt une queue se présenta devant moi. Nono me dit tout bas que c’est Alex.
Je commençais alors à sucer Alex qui ne disait rien. Sa queue était chaude. Elle s’est raidie sous mes coups de langue. Je n’ai pas mis longtemps à la faire bander. Soudain, je sentis des mains caresser mes cheveux. Ce ne pouvait être que les mains d’Alex. Je ne les imaginais pas si grosse. J’ai senti, en les frôlant qu’elle était velue sur le dessus. Etrange, je ne me souvenais pas qu’Alex ait des grosses mains comme cela. Sans me poser davantage de questions, je me suis concentrée sur ma fellation car, il est vrai, j’adore sucer. Le type que j’avais devant moi n’était pas Alex, j’en avais la certitude. Qu’importe, j’étais prise dans la tourmente d’un sexe en érection. Le gars se branla devant moi pour se finir. Je ne pouvais pas ôter mon bandeau (c’était la règle du jeu) mais devinais qu’il s’activait devant moi. Ses mouvements se sont accélérés. Il a gémit. J’ai senti ses giclées de sperme couler sur mes seins. Heureusement que j’avais dégrafé mon chemisier.
Le type s’en est allé. Nono est venu me chercher.
Quand nous sommes sortis de la boutique, il m’a confié qu’il avait demandé à un type au hasard dans la boutique s’il voulait se faire sucer gratis.
C’était la première fois que je suçais un homme dont je ne voyais pas le visage. Le connaissais-je ? Etait-ce un homme que j’avais déjà rencontré ? Etait-ce un voisin ? Lyon est une grande ville, mais tout de même.
Avec cette histoire, j'étais devenue une fille déraisonnable.
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