La caméra espion 11
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La caméra espion 11
Mon verre est vide. Elle se lève et va chercher la bouteille de vieux cognac et nous sert tous les deux. Ses yeux brillent et je ne sais pas si c’est l’alcool ou le souvenir de cette soirée qui en est la cause.
Quand elle se rassoit à mes côtés, j’ai sorti ma bite qui est toute dressée. Elle sourit en la voyant. Elle pose nos deux verres et lentement elle se libère de sa robe, de ses sous-vêtements et vient me rejoindre. Son corps chaud comme de la braise contre le mien est d’une douceur exquise.
Un verre dans une main, je me branle de l’autre.
- Branle-toi aussi lui dis-je.
Elle est surprise. Je sais qu’elle est excitée par le souvenir de cette nuit et même de me raconter. Je sais aussi qu’elle éprouve toujours de la honte d’être regardée quand elle se masturbe, car ce doit rester un acte solitaire. Cette solitude offre la liberté d’imaginer l’expression de fantasmes les plus fous. Pour la femme comme pour l ‘homme. Elle finit d’un coup sec son verre de cognac, pour se donner du courage, s’assoit confortablement à mes côtés sur le divan. Elle s’étend, une main caresse un sein, l’autre se glisse entre ses cuisses, un doigt replié titille son bouton d’amour. Je la regarde, impudique, elle a fermé les yeux, son bassin ondule au rythme des mouvements de ses doigts.
- Continue à me raconter maintenant. Je veux te voir jouir, baisée en pensée par ces salauds.
Quelques secondes après elle repend son récit.
« Les deux types ont commencé par me scruter avec un sourire qui en disait long sur leurs intentions. Le premier à parler s’est adressé à Philippe sur un ton narquois.
- Tu crois qu’elle va accepter de nous faire un strip-tease ? J’ai envie de la voir se foutre à poil lentement avec des gestes de pute.
- Vous n’avez qu’à lui demander vous-même répondit Philippe. Elle est entièrement à disposition de vos fantasmes.
Je voyais bien que Philippe cherchait à m’humilie, cela faisait partie de son jeu pour se venger de nous. Il parlait d’un ton sadique, méprisant. Le type s’est alors tourné vers moi et m’a ordonné de me déshabiller. Je dois t’avouer à nouveau que la situation m’excitait de plus en plus. Etre le jouet de ces hommes, soumise, docile, me réduisait à un simple objet sexuel. Cette humiliation au lieu de provoquer une révolte, me poussait à jouer le jeu. Je réalisais à cet instant que plus on m’humiliait, plus je jouissais.
J’ai alors commencé par enlever ma veste. Doucement, en dégageant un à un mes bras. J’ai tourné sur moi-même pour fait valoir la bête. Philippe était assis sur le lit, les deux autres sur des chaises. C’est alors que j’ai constaté qu’un des deux gars avait son portable à la main et qu’il filmait mon effeuillage. Je n’ai rien dit, me foutant de ce que cela pouvait entraîner par la suite. J’ai ensuite enlevé ma jupe. Je trouvais que nue à partir de la taille devait être très excitant pour eux. Et je me suis mise à danser sur une musique imaginée. J’aimais être là, je savais qu’ils allaient me baiser et cela m’encourageait. Un des deux types avait ouvert sa braguette et exhibait une bite d’une belle taille. Il bandait droit. Je n’arrivais pas à détacher mes yeux de cette queue qui se dressait grâce à moi. Pour moi ! Je me suis faite encore plus salope. Malgré moi, je souriais, j’aimais cette situation ! Tout en gardant mes chaussures, j’ai fait lentement passer mon teeshirt au dessus de la tête et j’ai poursuivi ma danse entièrement nue. Le type qui filmait a aussi sorti sa bite avant de me dire :
- Approche salope, vient me sucer. »
Elle marque une pause dans son récit et dans sa masturbation, mais je vois que son excitation a cru d’un degré. Elle halète et les mots ont du mal a sortir de sa bouche. Puis, lentement elle semble reprendre ses esprits. Se rend-elle compte qu’elle dépasse à nouveau mon niveau d’encaissement ? Ou tout simplement veut-elle goûter ce moment et repousser le moment de jouir ? Elle demeure comme absente, les yeux fermés, Après une profonde inspiration, elle poursuit son récit et les mouvements de sa main ne laissent aucun doute qu’elle a repris sa masturbation. De mon côté, j’ai presque arrêté de me caresser car je ne veux pas jouir tout de suite.
« Sans attendre je me suis mise à genoux devant lui. Je lui ai saisi son sexe dans une main, de l’autre, j’ai délicatement tiré sur le prépuce pour décalotter le gland. Quant il est apparu, j’ai commencé par lui donner de petits coups de langue. Très vite, il s’est échappé du méat le liquide séminal. Il sentait fort avec un goût plutôt salé. Le gland découvert, j’ai vu que ce type n’était pas un adepte des soins intimes. Un peu écœurée, je l’ai quand même gobé entièrement. J’ai creusé mes joues pour bien pomper le liquide qui sortait déjà abondant de ce gland. J’étais là, à vouloir le traire pour récolter sa liqueur.
C’est alors que le second s’est manifesté. J’ai vu qu’il passait son téléphone à Philippe qui tout de suite comprit qu’il devait continuer le film. D’abord il s’est penché vers moi pour me peloter les seins. Puis il m’a prise aux cheveux pour m’arracher de la bite de son copain et m’inviter à le sucer à son tour. Sa queue était plus petite, pas plus propre, mais il avait des couilles énormes. Je les ai prises en main pour les faire ballotter. Cela a dû lui plaire car aussitôt je l’ai entendu gémir de plaisir. A son tour je le pompais littéralement pour faire jaillir sa semence. Mais je ne voulait pas les faire jouir trop vite : je les voulais en moi tous les deux. Je voulais qu’ils me prennent, me fassent jouir, j’en devenais fiévreuse. J’entendais Philippe qui ricanait derrière moi. Il était le mac, le propriétaire et moi en cet instant je ne voulais rien d’autre que lui appartenir ».
Elle se tourne vers moi pour me sonder. Elle voit bien que je suis cassé et que ces derniers mots ne peuvent que m’achever. Je suis au bord, en même temps, de l’éjaculation. Je ne peux réprimer ce sentiment qui m’excite de la savoir abandonnée aux plaisirs de ces salauds. Elle sait depuis longtemps que nous sommes complices dans cette débauche. De sa jouissance, je tire la mienne, égoïstement ou à l’unisson. Alors lentement elle vient se poser à mes pieds et d’un geste rapide, elle s’empare de ma queue et l’embouche au plus profond de sa gorge. Il lui suffit de me pomper quelques secondes pour que j‘explose littéralement déversant dans sa bouche une quantité extraordinaire de foutre. En bonne fermière, elle avale tout jusqu’à la dernière goutte. Je vois bien qu’elle n’a pas joui, qu’elle s’est sacrifiée pour moi. Ou pour elle ?
Une fois mes esprits retrouvés, je l’interroge.
- Alors, tu as eu ce que tu voulais ? Ils t’ont baisée tous les deux ? En même temps ?
- Oui, en même temps.
- Enculée ?
- Oui.
- Ils ont joui en toi ? Ils t’ont marquée de leur semence pour signer ta soumission ?
- … - Dis-moi. Ton silence est révélateur. Ils t’ont peut-être engrossée ?
- Non, mes règles sont venues.
- Mais tu as pris le risque, non ? Et j’imagine que Philippe a dû les encourager à te remplir le vagin plutôt que des préservatifs. Non ?
Elle met un certain temps à me répondre. Visiblement elle s’est ressaisie, son excitation est retombée.
- Philippe les excitait.
- Il filmait toujours ?
- Je crois oui.
- Tu as joui au moins ? Plus qu’avec moi ?
C’était là la question cruciale. Jusqu’où allait aller sa franchise ? Son honnêteté à respecter de ne rien me cacher.
- Ce n’est pas pareil. Là c’était le sexe pour le sexe. Je n’ai aucun sentiment pour eux.
- Même pour Philippe ?
- Mais bien sûr et tu le sais bien. Je jouis toujours très fort avec toi, car se mêlent sexe et sentiments. Je t’aime et cela participe à ma jouissance. Avec eux c’est ma soumission qui me rend folle. Je ne peux résister et aussitôt j’ai envie d’être baisée. C’est plus fort que moi. Mais je te promets d’essayer désormais de résister. Aide-moi.
- Je ne sais pas. Je ne sais plus. Cette promesse tu me l’as déjà faite et tu l’as trahie. Après cette soirée, tu l’as revu ?
- Non, je te le jure.
Je dois reconnaître que j’y ai cru sur le moment.
- Nous irons dîner chez Annie et Jacques. Je veux que tu l’allumes devant moi. Qu’il comprenne que je ne suis pas dupe de ton manège. Nous devons lui faire sentir que nous le dragons tous les deux. Je jouerai le rôle du cocu soumis et toi de l’épouse dominatrice. Je veux qu’il en vienne à utiliser son pouvoir sur toi pour imaginer m’humilier et assouvir sa vengeance d’avoir été ridiculisé au moment de l’épisode avec Jacques, quand j’ai filmé vos débauches lubriques. Fait moi confiance nous tirerons tous les deux du plaisir.
Mais cette fois sous mon emprise. Et cela, je me gardais bien de le lui dire !
(à suivre, toujours si vous le voulez)
Quand elle se rassoit à mes côtés, j’ai sorti ma bite qui est toute dressée. Elle sourit en la voyant. Elle pose nos deux verres et lentement elle se libère de sa robe, de ses sous-vêtements et vient me rejoindre. Son corps chaud comme de la braise contre le mien est d’une douceur exquise.
Un verre dans une main, je me branle de l’autre.
- Branle-toi aussi lui dis-je.
Elle est surprise. Je sais qu’elle est excitée par le souvenir de cette nuit et même de me raconter. Je sais aussi qu’elle éprouve toujours de la honte d’être regardée quand elle se masturbe, car ce doit rester un acte solitaire. Cette solitude offre la liberté d’imaginer l’expression de fantasmes les plus fous. Pour la femme comme pour l ‘homme. Elle finit d’un coup sec son verre de cognac, pour se donner du courage, s’assoit confortablement à mes côtés sur le divan. Elle s’étend, une main caresse un sein, l’autre se glisse entre ses cuisses, un doigt replié titille son bouton d’amour. Je la regarde, impudique, elle a fermé les yeux, son bassin ondule au rythme des mouvements de ses doigts.
- Continue à me raconter maintenant. Je veux te voir jouir, baisée en pensée par ces salauds.
Quelques secondes après elle repend son récit.
« Les deux types ont commencé par me scruter avec un sourire qui en disait long sur leurs intentions. Le premier à parler s’est adressé à Philippe sur un ton narquois.
- Tu crois qu’elle va accepter de nous faire un strip-tease ? J’ai envie de la voir se foutre à poil lentement avec des gestes de pute.
- Vous n’avez qu’à lui demander vous-même répondit Philippe. Elle est entièrement à disposition de vos fantasmes.
Je voyais bien que Philippe cherchait à m’humilie, cela faisait partie de son jeu pour se venger de nous. Il parlait d’un ton sadique, méprisant. Le type s’est alors tourné vers moi et m’a ordonné de me déshabiller. Je dois t’avouer à nouveau que la situation m’excitait de plus en plus. Etre le jouet de ces hommes, soumise, docile, me réduisait à un simple objet sexuel. Cette humiliation au lieu de provoquer une révolte, me poussait à jouer le jeu. Je réalisais à cet instant que plus on m’humiliait, plus je jouissais.
J’ai alors commencé par enlever ma veste. Doucement, en dégageant un à un mes bras. J’ai tourné sur moi-même pour fait valoir la bête. Philippe était assis sur le lit, les deux autres sur des chaises. C’est alors que j’ai constaté qu’un des deux gars avait son portable à la main et qu’il filmait mon effeuillage. Je n’ai rien dit, me foutant de ce que cela pouvait entraîner par la suite. J’ai ensuite enlevé ma jupe. Je trouvais que nue à partir de la taille devait être très excitant pour eux. Et je me suis mise à danser sur une musique imaginée. J’aimais être là, je savais qu’ils allaient me baiser et cela m’encourageait. Un des deux types avait ouvert sa braguette et exhibait une bite d’une belle taille. Il bandait droit. Je n’arrivais pas à détacher mes yeux de cette queue qui se dressait grâce à moi. Pour moi ! Je me suis faite encore plus salope. Malgré moi, je souriais, j’aimais cette situation ! Tout en gardant mes chaussures, j’ai fait lentement passer mon teeshirt au dessus de la tête et j’ai poursuivi ma danse entièrement nue. Le type qui filmait a aussi sorti sa bite avant de me dire :
- Approche salope, vient me sucer. »
Elle marque une pause dans son récit et dans sa masturbation, mais je vois que son excitation a cru d’un degré. Elle halète et les mots ont du mal a sortir de sa bouche. Puis, lentement elle semble reprendre ses esprits. Se rend-elle compte qu’elle dépasse à nouveau mon niveau d’encaissement ? Ou tout simplement veut-elle goûter ce moment et repousser le moment de jouir ? Elle demeure comme absente, les yeux fermés, Après une profonde inspiration, elle poursuit son récit et les mouvements de sa main ne laissent aucun doute qu’elle a repris sa masturbation. De mon côté, j’ai presque arrêté de me caresser car je ne veux pas jouir tout de suite.
« Sans attendre je me suis mise à genoux devant lui. Je lui ai saisi son sexe dans une main, de l’autre, j’ai délicatement tiré sur le prépuce pour décalotter le gland. Quant il est apparu, j’ai commencé par lui donner de petits coups de langue. Très vite, il s’est échappé du méat le liquide séminal. Il sentait fort avec un goût plutôt salé. Le gland découvert, j’ai vu que ce type n’était pas un adepte des soins intimes. Un peu écœurée, je l’ai quand même gobé entièrement. J’ai creusé mes joues pour bien pomper le liquide qui sortait déjà abondant de ce gland. J’étais là, à vouloir le traire pour récolter sa liqueur.
C’est alors que le second s’est manifesté. J’ai vu qu’il passait son téléphone à Philippe qui tout de suite comprit qu’il devait continuer le film. D’abord il s’est penché vers moi pour me peloter les seins. Puis il m’a prise aux cheveux pour m’arracher de la bite de son copain et m’inviter à le sucer à son tour. Sa queue était plus petite, pas plus propre, mais il avait des couilles énormes. Je les ai prises en main pour les faire ballotter. Cela a dû lui plaire car aussitôt je l’ai entendu gémir de plaisir. A son tour je le pompais littéralement pour faire jaillir sa semence. Mais je ne voulait pas les faire jouir trop vite : je les voulais en moi tous les deux. Je voulais qu’ils me prennent, me fassent jouir, j’en devenais fiévreuse. J’entendais Philippe qui ricanait derrière moi. Il était le mac, le propriétaire et moi en cet instant je ne voulais rien d’autre que lui appartenir ».
Elle se tourne vers moi pour me sonder. Elle voit bien que je suis cassé et que ces derniers mots ne peuvent que m’achever. Je suis au bord, en même temps, de l’éjaculation. Je ne peux réprimer ce sentiment qui m’excite de la savoir abandonnée aux plaisirs de ces salauds. Elle sait depuis longtemps que nous sommes complices dans cette débauche. De sa jouissance, je tire la mienne, égoïstement ou à l’unisson. Alors lentement elle vient se poser à mes pieds et d’un geste rapide, elle s’empare de ma queue et l’embouche au plus profond de sa gorge. Il lui suffit de me pomper quelques secondes pour que j‘explose littéralement déversant dans sa bouche une quantité extraordinaire de foutre. En bonne fermière, elle avale tout jusqu’à la dernière goutte. Je vois bien qu’elle n’a pas joui, qu’elle s’est sacrifiée pour moi. Ou pour elle ?
Une fois mes esprits retrouvés, je l’interroge.
- Alors, tu as eu ce que tu voulais ? Ils t’ont baisée tous les deux ? En même temps ?
- Oui, en même temps.
- Enculée ?
- Oui.
- Ils ont joui en toi ? Ils t’ont marquée de leur semence pour signer ta soumission ?
- … - Dis-moi. Ton silence est révélateur. Ils t’ont peut-être engrossée ?
- Non, mes règles sont venues.
- Mais tu as pris le risque, non ? Et j’imagine que Philippe a dû les encourager à te remplir le vagin plutôt que des préservatifs. Non ?
Elle met un certain temps à me répondre. Visiblement elle s’est ressaisie, son excitation est retombée.
- Philippe les excitait.
- Il filmait toujours ?
- Je crois oui.
- Tu as joui au moins ? Plus qu’avec moi ?
C’était là la question cruciale. Jusqu’où allait aller sa franchise ? Son honnêteté à respecter de ne rien me cacher.
- Ce n’est pas pareil. Là c’était le sexe pour le sexe. Je n’ai aucun sentiment pour eux.
- Même pour Philippe ?
- Mais bien sûr et tu le sais bien. Je jouis toujours très fort avec toi, car se mêlent sexe et sentiments. Je t’aime et cela participe à ma jouissance. Avec eux c’est ma soumission qui me rend folle. Je ne peux résister et aussitôt j’ai envie d’être baisée. C’est plus fort que moi. Mais je te promets d’essayer désormais de résister. Aide-moi.
- Je ne sais pas. Je ne sais plus. Cette promesse tu me l’as déjà faite et tu l’as trahie. Après cette soirée, tu l’as revu ?
- Non, je te le jure.
Je dois reconnaître que j’y ai cru sur le moment.
- Nous irons dîner chez Annie et Jacques. Je veux que tu l’allumes devant moi. Qu’il comprenne que je ne suis pas dupe de ton manège. Nous devons lui faire sentir que nous le dragons tous les deux. Je jouerai le rôle du cocu soumis et toi de l’épouse dominatrice. Je veux qu’il en vienne à utiliser son pouvoir sur toi pour imaginer m’humilier et assouvir sa vengeance d’avoir été ridiculisé au moment de l’épisode avec Jacques, quand j’ai filmé vos débauches lubriques. Fait moi confiance nous tirerons tous les deux du plaisir.
Mais cette fois sous mon emprise. Et cela, je me gardais bien de le lui dire !
(à suivre, toujours si vous le voulez)
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vivement la suite! Steph et JP
Le propre d'un bon récit est qu'on voudrait tout le temps avoir des suites. C'est le cas ici. Bravo et merci
Je pense qu'elle est irrécupérable. Soumise elle l'est et le restera. La question est qui sera son maître. J'espère qu'il fera le nécessaire pour se venger de Philippe qui le méprise et qui fait tout pour en dominant sa femme . Il faut qu'il remette des petites caméras à nouveau partout à leur insu . Il saura alors les aboutissants de leur rencontres et aura un coup d'avance par rapport à Philippe. On espérant une suite plus rapide...
ben oui je veux bien suivre cette histoire
merci arsenne
merci arsenne