La chambre d'hôte...particuliere - histoire érotique

Il y a deux ans nous avons racheté une vieille ferme qui n’était plus en activité depuis longtemps. Mais les travaux se sont avérés plus cher que prévu et nous avons eu l’idée d’ouvrir une chambre d’hôte. Une ancienne bergerie, petit bâtiment à l’écart, s’imposa comme évident. Mais il fallait un plus par rapport à ce qui existe pour être rentable. Etant naturiste on s’est aperçu que c’était encore rare de trouver une chambre d’hôte ou l’on n’est pas obligé de s’habiller. Je suis masseur-kinésithérapeute : des cours de massage seraient une bonne idée non ? Mon épouse a accepté l’idée, c’est vrai qu’avoir des gens nu chez soi n’est pas aussi évident que d’être nu en vacance.
On s’est mis au travail, en bas j’ai installé un jacuzzi et un sauna que nous avions déjà et, dans un local attenant, une salle de massage avec une cheminée pour l’ambiance…et sa chaleur. Au dessus, dans les combles, ou était la réserve de foin, nous avons aménagé une chambre. J’en avais une idée bien précise: il fallait que, loin des enfants et du tumulte de la ville, elle incite à l’amour, après tout c’est une composante naturelle des vacances non? Pour cela j’avais des astuces plein la tête. Le lit d’abord devait être grand pour pouvoir s’y ébattre en tout sens, la tête de lit doit inspirer le confort, mais aussi avoir des poignées pour se tenir ou y fixer des menottes par exemple, le pied de lit doit avoir les mêmes attaches mais être bien rembourré lorsqu’un corps y est couché en travers. Le sommier? Juste à la bonne hauteur bien sur ! Ensuite une douche bien visible du lit…ça fait partie des préliminaires… , et suffisamment large pour s’y retrouver ! Surprise en ouvrant la grande penderie : elle est pleine de toute sorte de vêtements sexy : de la nuisette outrageusement transparente à la tenue de pompier en passant par le kimono de geisha très largement fendu sur le côté. Bien sur strings et balconnets pigeonnants sont aussi à disposition. Chacune de ces pièces est emballée sous cellophane et peut être acheté par les hôtes. Dans un grand tiroir divers modèles de sex-toy et autres accessoires pareillement emballés attendent d’être testés. Mais ce qui sort de l’ordinaire c’est que j’ai disposé dans la pièce plusieures mini-caméras HD…sous des angles stratégiques. Si le couple le désire il peut les enclencher et se voir sur les écrans. Sur demande j‘en fait le montage et leur offre le dvd.
Nous avions décidés de pratiquer un tarif inversement proportionnel à l’âge ainsi le prix ne serrait pas un frein pour un jeune couple tandis qu’un couple ayant plus de moyens nous permettrait de faire un bénéfice.
Pour nous lancer je ne voulais pas de grosse publicité avec photo sur internet, ni une annonce avec des tas d’autre location de vacance: on aurait été noyé dans le lot, j’ai donc opté pour une petite annonce dans la rubrique…massage naturiste !
Deux jours plus tard j’avais déjà 3 demandes de renseignements dont une avec photo naturiste. Nous avons décidé que cette initiative leur valait de devenir nos premiers clients, d’autant qu’ils étaient super craquant : lui était un clone de Christopher Atkins dans le lagon bleu, elle m’a tout de suite fait penser à Yoko Tsuno l’héroïne de bande dessinée. Nous leur avons tout fait visiter…et expliquer. Leurs yeux brillaient.
Je leur ai proposé, comme ils étaient nos premiers clients, de leur offrir la location si ils nous donnaient leur avis, amélioration et surtout défauts à la fin du séjour.
-Bon très bien que comptez vous faire à présent? Souhaitez-vous visiter la région, vous reposer un peu ou profiter des installations? -Non, nous habitons à 20km ; on va peut être se doucher, puis un sauna c’est une bonne idée.

Ils n’ont pas craint qu’on les entende faire l’amour sous la douche…j’espère qu’ils ont pensé à allumer les caméras…
20 min. plus tard ils sont redescendus, à poil. Elle m’a subjugué : une silhouette toute fine, des seins parfaits, sous un petit épi soyeux, une fente qui s’écarte un peu sur le haut, dévoilant un clito brillant et encore gonflé me semble-t-il.
En me déshabillant à mon tour j’avais peur de les choquer car je tenais une gaule pas possible…qui a bien vite contaminé Christopher. Mon épouse a vu s’ériger une queue longue et épaisse sur un paquet bien plein. Nous sommes tout les 4 rentrés dans le jacuzzi. Très vite, et sans pudeur, il s’est mis à caresser Yoko mais je subodore que son autre main cherchait à toucher de ma femme. L’ambiance était tellement érotique que ça semblait presque naturel. Christopher a attiré sa compagne vers lui, l’obligeant à le chevaucher –vous souhaitez qu’on vous laisse? ai-je suggéré. –Non, Christopher adore qu’on le regarde mais je comprends que si on vous gêne… -Non non pas du tout, c’est nouveau pour nous, mais excitant ! Ca te gêne mon poussin ? Elle ne m’a pas répondu mais est venue se blottir contre moi. Nous admirions le léger mouvement des seins de Yoko pendant qu’elle s’activait sous l’eau sur la colonne de chair. Ma coquine m’a saisi la queue...qui était bien sur au garde à vous ! Christopher s’est mis debout pour se faire sucer et j’en ai fait de même. D’habitude il me faut 2-3 min. mais là nous avons éjaculé de concert presque immédiatement.
A un moment lui a voulu faire un sauna tandis que Yoko préférait un hammam moins chaud. Je l’ai guidée dans le bain de vapeur, nous nous sommes assis côte à côte et nous avons discuté de façon très décontractée. -Vous savez, mes parents m’ont élevé à l’ancienne et au japon dire non était jugé très offensant. Christopher a su très vite en tirer parti à son avantage, il y a des choses que je n’aurais jamais faites sans lui. –Comme quoi par exemple ? – Je ne sais pas...le naturisme par exemple, ensuite il a voulu que je m’épile alors que je me sentais déjà peu fournie. Vous vous êtes habituée ? –Pas vraiment mais lorsque nous faisons l’amour j’apprécie beaucoup le contact direct de sa peau. Et maintenant dans le regard des autres je sens toujours l’attrait du fruit exotique, mais aussi de l’admiration pour la femme. –Ca c’est indéniable, vous êtes superbe…et j’ai hâte de vous masser car on dit que les asiatique ont une peau très soyeuse dis-je en posant ma main sur son …
épaule, non mais vous croyez quoi, j’ai aussi été bien élevé. -C’est exact… et c’est doux comme ça partout ? dis-je en descendant lentement sur son dos. Je l’ai imperceptiblement senti frissonner quand j’ai atteint le haut des fesses. Rejet ou frisson ? Ma main a alors glissé vers son ventre plat. Elle s’est appuyée sur le dossier rendant la caresse plus facile, j’ai contourné les seins plusieurs fois mais sans les toucher, ils ont commencé à pointer. Le non passage à l’acte peut augmenter le désir ! Ensuite je m’enhardis sur ses cuisses mais elle ne les a pas écartée et je n’ai pas insisté. Elle a constaté mon érection. Je l’ai senti hésiter de longues minutes, elle m’a regardé dans les yeux. J’ai délicatement saisi sa main délicate et l’ai posé sur ma hampe. Ses doigts fins n’en faisaient pas le tour mais ils s’y sont posés efficacement. Ses premiers allers - retours très lents sont montés crescendo. Je commençais à soulever mon bassin à la rencontre de ses doigts. C’est à ce moment que j’aurais voulu qu’elle me prenne en bouche mais je n’avais qu’à me contenter de ses doigts habiles. Très très habiles ! Non seulement elle augmentait le rythme mais en même temps elle me la serrait de plus en plus fort jusqu'à l’apothéose. Tout cela s’était passé dans un silence absolu.
–N’en parlez pas à Christopher s’il vous plait. Je lui ai pris la main pour la remercier et lui enlever avec la langue le sperme qui avait coulé entre ses doigts. Elle a rigolé un petit instant, puis s’est crispée. –Ca va? –C’est bizarre mais je le ressent jusqu’entre les jambes. J’ai descendu la main et cette fois elle s’est laissée faire. Mon majeur a glissé entre ses lèvres intimes, ça à fait un petit bruit mouillé…ma phalange s’est repliée…est remontée entre ses petites lèvres. Le clito était déjà sorti du capuchon, humide mais surtout incroyablement doux ! Mon poignet se courbe d’avantage poussant deux doigts dans son intimité. Là ils se sont séparés, chacun cherchant le point le plus sensible se rejoignant parfois pour plus d’efficacité. J’ai eu soin de la stimuler tout en douceur…et ça a marché, elle s’est agrippée à mon bras tandis qu’elle jouissait.
Nous sommes sortis nous rafraichir dans le jacuzzi ou les autres nous ont rejoint quelques instants plus tard.
Ensuite nous avons soupés et nous nous sommes séparés pour la nuit.
Mon poussin m’a avoué que dans le sauna elle s’était couchée sur la banquette supérieure tandis qu’il s’est assis sur la couchette du bas, face à elle, rapidement elle a surpris ses regards lorgnant son entrejambe. Elle a fait semblant de ne s’apercevoir de rien, mais entre ses yeux mi-clos elle a admiré le cobra se redresser, prêt à fondre sur (en) elle. Il a posé délicatement sa main sur la jambe de mon épouse. Elle a ouvert les yeux mais ne l’a pas repoussé. Il souriait comme un gamin pris sur le fait mais s’est très vite enhardit. Il lui a d’autorité écarté les cuisses et a commencé à se branler doucement, puis il s’est avancé jusqu’à lui toucher la vulve. Mon épouse, toujours couchée, l’a laissé faire ; le rythme s’accélérait. Au bout d’un moment, elle a laissé pendre sa main et a empoigné sa batte. Mon poussin a un coup de poignet hyper jouissif et l’aurait sans problème amené à l’orgasme. Mais elle voulait gouter ce jeune serpentard. Elle a donc posé ses lèvres sur le bout du gland, en les désserrant à peine elle a forcé, avec une lenteur toute calculée, la hampe à rentrer sur toute sa longueur. Je sais que ce fourreau ultra serré m’a déjà fait éjaculé plus d’une fois avant d’atteindre la glotte…il n’a pas tenu plus de 15 sec. un liquide chaud, abondant et très doux a giclé au fond de sa gorge. A cet âge les batteries se rechargent vite et 5min plus tard il a voulu la prendre, mais la chaleur et l’absence de préservatif on fait renoncer ma moitié !
Nous avons discuté tout haut de ce qu’ils faisaient sans aucun doute en ce moment. Nous avons énoncé une surenchère d’idées, toutes plus pornographique les unes que les autres. Nous étions super-excités, nous avons fait l’amour passionnément. Mais vers minuit, elle en voulait encore et m’a demandé de lui attacher les mains et de la sodomiser…en douceur…ce qu’elle ne m’avait accordé que quatre fois depuis notre mariage. J’ai donc saisi la corde rouge que nous utilisons de temps à autre car elle apprécie assez le bondage soft. Allais-je l’écarteler sur le lit, disponible comme une esclave, ou lui lier les poignets à l’intérieur des chevilles ce qui l’oblige à garder les cuisses grandes ouvertes, ou encore…mais finalement je l’ai simplement mise à genou la face tournée légèrement sur le côté les mains attachées dans le dos, ainsi elle pourrait toujours tenter de s’échapper, ne dit on pas que‘’ le désir s’accroit quand les fesses reculent ‘’ Je règle le miroir triptyque ikea qui nous sert de tête de lit. Je souhaite en effet voir son visage en même temps que son dos et ses mains qui essayent de se dégager du gros noeud rouge. Je me recule un peu, son cul est là au milieu de son écrin de chair. Plus bas l’entrée du vagin baille, l’excitation sans doute. Les doigts qui se crispent, les fesses bien écartées, le trou plissé légèrement entrouvert : tout incite au viol ! Je pourrais la prendre comme ça, brutalement, à sec.


Voir dans le miroir son visage marquer la stupeur puis se déformer sous la douleur, ses doigts se tordre entre les liens tandis que mes couilles s’écrasent contre sa vulve, son dos se couvrir instantanément de sueur, son corps se déformer en tout sens pour échapper à l’agression violente… mais c’est ma compagne depuis si longtemps, je tiens à la respecter. J’ai allongé la main vers la table de nuit et pris du gel que j’ai soigneusement étalé sur sa rondelle, puis doucement je l’ai poussé dans l’étroit conduit avec le bout du doigt. Son cul s’est ouvert beaucoup plus facilement que la dernière fois, j’ai rapidement pu y introduire un deuxième doigt, de légers va et vient ont fini de la détendre. -Je me sent prête si tu veux on peut y aller…mon harpon frétille d’impatience. Sans même le prendre en main je le positionne contre l’entrée, encore un peu de gel. Alors parfaitement synchrones nous poussons doucement l’un vers l’autre. La sensation est inédite. L’anneau se resserre fort juste sous le gland, elle a besoin d’une petite pause, puis elle pousse à nouveau sa strangulation vers la racine de mon sexe. La sensation est trop forte : j’éjacule au moment ou mon pubis touche ses globes. A mon grand soulagement l’érection se maintient, c’est que je suis vachement excité. Nouvelle petite pause et elle m’autorise à la pistonner, pas des longs mouvements comme dans une chatte, mais on s’aperçoit assez vite que de tout petits va et viens très profond sont plus agréable, et contre toute attente elle a jouis au bout de deux minutes à peine. Oh joie !

Le lendemain matin ils sont descendus déjeuner vers 10h. Yoko a choisi dans la garde-robe un ensemble de squaw indienne. Ca lui va parfaitement. La vareuse au profond décolleté la moule bien, la jupe volontairement un peu trop courte puisque les franges couvraient à peine le bas des fesses c’est diablement sexy. Christopher n’a qu’un short informe mais très fin qui ne cachait rien de ses émotions surtout lorsqu’il a embrassé mon poussin. -Dit donc t’est déjà en forme, lui a t-elle lancé, tu n’as pas injecté ton trop plein matinal dans ta petite indienne ? –Si mais comme tu dis c’était juste le trop-plein. Ah ah ah, bon vu l’heure je vous propose un premier massage ce matin et l’autre cet après-midi. Pendant que mon épouse part faire les courses, nous allons dans la salle de massage. –Qui servira de cobaye ? –Moi dit il en se couchant à plat ventre sur la table.
Yoko est douée pour le massage avec un sens inné de la direction et de la pression à donner suivant la région. Arrivé aux fesses je la vois cependant hésiter un peu. Je me place derrière elle pour guider ses mains. Elle comprend très vite la façon de pétrir cette chair ferme, ça la fait rire d’écarter ces globes et de dévoiler ainsi le cul de son homme. Je lui montre comment masser le sillon fessier avec les pouces, à déplisser la rosette. Je lui explique comment atteindre et masser la prostate mais pas la pratique quand même. Ensuite on saisi une jambe chacun, on remonte ensemble sur les cuisses jusqu’au sillon sous-fessier, on glisse nos doigts entre les cuisses jusqu’a effleurer les couilles, je lui explique la frustration des hommes lorsque la main tourne 10cm trop court alors que 2mm suffisent à rester décent. Il est visiblement excité, ses fesses montent à la rencontre de nos doigts. -Tourne toi sur le dos. L’érection est majestueuse ! Je lui met un bandeau sur les yeux : il n’y a pas mieux que de supprimer un sens pour en exacerber les autres. Je lui montre comment masser le thorax, le ventre jusqu’au pubis mais sans toucher la verge ; puis les pieds, les jambes et l’avant des cuisses qu’il écarte de lui même. Alors mes mains glissent de la cuisse sur les bourses les prenants dans la paume de la main puis remontent toute la longueur de la colonne turgessante pour finir avec la pulpe de l’index sur le meat du gland. J’ai recommencé une douzaine de fois de bas en haut, mes doigts s’adaptant en douceur au relief. Yoko me regarde fascinée. Il va jouir ! Il est temps de changer de tactique. Mes doigts glissent sous les couilles et se referment sur la base de la verge emprisonnant le scrotum. J’ai pris la main de Yoko, la guidant sur le périnée, lui faisant découvrir la partie interne de la verge sous la peau, si érogène lorsqu’elle est massée fermement entre deux doigts. Ensuite je pose sa main sur les couilles, lui explique comment les prendre et les faire rouler délicatement, comment les serrer ni trop ni trop peu ; avec les mains froides c’est d’ailleurs encore plus jouissif ! Un puissant jet de foutre jaillis et retombe sur nos doigts entremêlés, quatre autres répliques suivront. Nous rions tous ! Nous nous séparons: direction la douche et rendez-vous dans une heure pour le diner.

- Tu as déjà visionné les cameras ?
- Non j’attendais votre accord.
- Tu peux nous faire un dvd ?
- Ecoute il y a plusieurs cameras, ça demande un montage, je pensais attendre la fin de votre séjour et vous l’envoyer la semaine prochaine.
- C’est qu’il y a un moment que j’aimerais revoir. Pas de problème on va regarder ça. - Tu sais à peu près l’heure que tu veux voir ?
- Juste maintenant, il y à une ½ heure quoi.
La séquence commence sous la douche ou elle lui demande si le massage lui a plus, il l’embrasse, cherche sa langue. Plus petite, elle se cambre, ses seins pointent vers son torse viril. Il l’attire contre lui et lui parle mais le bruit de l’eau couvre leurs paroles. Il la caresse un peu mais ne bande pas, il est sec ! Ils se couchent sur le lit, elle pose sa tête contre son épaule et se blottit contre lui. Il s’endort rapidement. Elle le regarde longuement, tandis que sa main glisse sur ses seins tout durs puis descend sur son petit épi. Je change de camera. Elle ouvre une cuisse, et se presse la vulve avec la paume de la main. Les doigts s’écartent : tandis qu’index et annulaire suivent le pli de l’aine, le majeur s’invite entre les grandes lèvres. Des va et viens assez soutenus gonflent les chairs. Le clitoris commence à sortir de son fourreau. Elle vient le saluer de la pulpe de l’index qui se frotte de plus en plus vite à son capuchon. Le clito gonffle, devient brillant. Les yeux se ferment, la bouche s’entrouvre. Les seins se soulèvent en saccade. Puis d’un coup elle se cambre violement, le bassin se soulève du lit, jambes écartées, c’est purement pornographique ! Un cri contenu : elle vient de jouir ! Mais cette agitation a réveillé le dormeur. D’un seul geste il la soulève et la plante sur son pieu face camera. S’appuyant sur les mains, elle se démène alors à une vitesse incroyable et soudain, semblant venir de nulle part un liquide jaillis et inonde les draps!
- Là me crie-t-il. Elle retombe lourdement, la chatte poisseuse, béante… totalement impudique...
- C’est quoi ce liquide d’après toi?
- Tu as une femme fontaine !
- Ah ???
- Quand une femme est particulièrement excitée, il arrive qu’elle éjacule elle aussi… tu as de la chance c’est pas très courant.
- Bon

Finalement il renonce à apprendre à masser sa copine préférant refaire un sauna. D’un côté je trouvais ça très égoïste mais d’un autre côté je ne voulais pas léser Yoko. Nous sommes donc rentés dans la salle de massage tandis que ma petite femme décide d’accompagner notre hôte.
Elle s’est allongée sur la table. Elle est toute à moi et j’ai envie de la gâter. Je commence mon massage ultra lentement, qu’elle prenne confiance en mes mains. Je suis à nouveau surpris par la douceur de sa peau, mes mouvements glissent facilement sur son corps… mes yeux aussi d’ailleurs. Le massage a commencé tout en sensualité, puis petit à petit j’ai réussi à érotiser tout son corps: sur une bonne heure et demi de massage je dirais qu’elle a été en état pré-orgasmique pendant au moins une heure, avec 4 vrais orgasmes à la clef mais pourtant sans pénétration. Le prochain chapitre, si vous le voulez vraiment, recommencera à « elle s’est allongée sur la table » avec tout les détails phantasmés que vous aurez imaginés d’ici là !