La chambre de la luxure - histoire érotique

Pendant des années, j'ai parcouru la Thaïlande, pour visiter les écoles dont je parrainais certains enfants. Dans l'une d'entre elles, j'ai vécu une belle histoire de cul.
C'est un petit village typique, à la frontière Laotienne, au bord du Mékong. Une école majestueuse pour les enfants d'une multitude de villages isolés. Il n'y a aucun hôtel, ni autre lieu de villégiature. Dans la grande ville de la région, j'ai rencontré une enseignante qui logeait dans l'école. Elle me proposa de me prêter sa chambre. Elle dormirait dans le dortoir des filles.
Dans sa chambre, un lit à deux places et une douche. C'était les vacances scolaires. La plupart des enfants étaient absents. Certains d'entre eux habitaient tellement loin qu'ils restaient à l'école. D'où, la présence de ma correspondante en ces lieux. Nous passions nos journées à faire connaissance avec les autres enseignants.
Il y avait une autre femme qui occupait un poste particulier. Elle enseignait tout ce qui est du domaine du social. Depuis la langue jusqu'à la cuisine ou l'habillement. J'ai appris avec elle, plus de mots Thaïs qu'avec une une autre. Par contre, impossible de communiquer avec elle, elle ne parlait ni Français, ni Anglais. C'était une des principales amies de ma correspondante.
La locataire des lieux m'avait confiée sa clef. Pensant être en sécurité, parce que enfermé de l'intérieur, un matin,je suis allé prendre une douche. Avec le bruit de l'eau, je n'ai pas entendu la porte s'ouvrir. Je savourais la fraîcheur de l'eau froide. Dehors,Il faisait 40 °.
Soudain, la porte de la douche s'ouvrit et je me retrouvais nez à nez avec la meilleure amie de mon enseignante. C'était, je l'ai su plus tard, la seule douche de l'établissement. Tout le personnel féminin avait la clef de la chambre. La femme, croyant être seule, s'était déshabillée entièrement. Décontenancé, j'essayais de me cacher.
Elle, nullement gênée, s'avança et prit une éponge. Elle la passa dans mon dos et sur mes fesses. Au passage, elle glissa ses doigts dans ma raie. Elle remonta vers mon cou, et sa main saisit mon sexe. Je bandais ferme ! Elle me retourna et se mit à genoux. Elle soupesa mes couilles et releva ma pine vers sa bouche. Ses lèvres se refermèrent sur le sommet de mon gland et sa langue lécha la petite fente, m'arrachant un trésaillement. La langue perfide, s'attarda dans le sillon entre les bords du gland et la tige tendue. Elle commença alors à glisser le long de mon sexe, plongeant celui-ci dans sa gorge, plus profond à chaque descente. J'ai joui dans sa bouche avec force, quand elle a enfoncé un doigt dans mon cul. Elle s'est relevée, s'est plaquée contre le mur et m'a attiré vers elle. Elle a pris ma queue et l'a attirée vers sa chatte ruisselante. Ses mains pétrissaient mes fesses et imprimaient la vitesse de mes coups de reins. Je venais à peine de jouir dans sa bouche et je pensais qu'il me faudrait un petit moment pour récidiver dans sa chatte. Elle l'avait compris. Elle me prit par la main et m'entraîna vers le lit. Elle me coucha sur le dos. Je bandais encore. Elle grimpa et s'agenouilla à califourchon au-dessus de moi. Elle écarta ses fesses avec ses mains et sa chatte engloutit ma queue. Elle fit quelques va-et-vient, histoire de lubrifier l'engin, se releva, écarta de nouveau ses fesses et finalement, s'empala sur ma bite.
Les femmes Thaïlandaises sont plutôt petites et très minces. Son cul était tellement étroit que ma queue a eu du mal à y pénétrer. Quand elle l'eut englouti jusqu'à la garde, elle s'activa. Ses fesses s'écrasaient sur mes cuisses. Elle serrait les siennes tellement fort qu'on aurait dit qu'elle voulait m'arracher la bite pour la garder dans son cul. Après une bonne demi-heure de mouvements acharnés, elle m'a arraché une nouvelle giclée de sperme. Elle s'est relevée et a dit quelque chose dans sa langue.
La porte s'est ouverte et deux de ses consoeurs sont entrées. Elles se sont mises nues et se sont approchées. Mon dieu, qu'elles étaient belles. Elles se sont agenouillées, et ma cavalière a quitté sa monture. Les jolies demoiselles, se sont jetées sur moi et, avec leur langue, elle m'ont nettoyé de toutes les humeurs produites par la sodomie de leur copine. D'ordinaire si pudiques, certaines de ces jolies poupées passaient derrière ma tête, et, les jambes écartées, elles offraient leurs petits boutons à ma langue, pendant que les culs ou les chattes de leur copines dansaient sur ma queue.
Ma queue a visité toutes les chattes et tout les culs des enseignantes de cette école du bout du monde. A croire que j'étais le seul homme dans le coin. Je n'étais pas loin de la vérité, ma correspondante m'a dit qu'ils n'avaient pas vu d'occidental depuis des années. Certaines des enseignantes, n'en n'avaient même jamais vu, hormis à la télé. Elles se sont bien rattrapées.
Je suis resté une semaine dans ce coin oublié du monde. Je n'ai jamais plus pris une douche seul. Dans les films porno, on vante les qualités des asiatiques pour le sexe. Je peux vous dire que ce n'est pas une légende.