La chienne de Monsieur (8): entre douleur et plaisir
Récit érotique écrit par JF [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 13 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.4
- • L'ensemble des récits érotiques de JF ont reçu un total de 212 638 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 8 898 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La chienne de Monsieur (8): entre douleur et plaisir
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Bonjour à tous, il y a longtemps que je n’ai rien écrit, mais puisque l’envie me tenaillait de plus en plus, voici la suite de mes aventures de soumis(e). Lors de la dernière histoire, ma première double pénétration m’avait fait perdre connaissance sous les assauts de mon Maître et de Monsieur Robert, terrassée par un plaisir par trop intense…
---
Lorsque je reprends conscience en sursaut, j’ignore combien de temps s’est écoulé depuis l’incroyable jouissance qui m’a terrassée. Mais ce que je constate me fait paniquer ! Un miroir posé devant moi me montre à quatre pattes sur le petit lit de la chambre d’ami qui se trouve au sous-sol de la maison de mon maître. Ma bouche est distendue par une boule rose montée sur un bâillon de cuir serré sur ma nuque; de la salive recouvre mon menton et coule sur le matelas. Depuis combien de temps suis-je ici ? Mes chevilles sont reliées aux coins arrières du lit par des cordes tendues que je sens brûler ma peau plus que je ne les vois. Quant à mes bras, ils sont solidement ligotés dans mon dos. Je sens que mon visage est couvert d’une croûte à la fois collante et sèche. L’odeur me confirme qu’il s’agit de sperme séché. Sans doute Monsieur et Monsieur Robert ont-ils profité de ma perte de connaissance pour arroser copieusement mon visage. Personnellement, j'aurais plutôt appelé une ambulance, mais bon, il semble que nous n’ayons pas tous les mêmes priorités.
Une chose est sûre, je vais me rappeler de cette soirée ! Et mon cul aussi, à ce qu’il semble, puisque je le sens encore complètement ouvert et douloureux. Si mes bras pouvaient bouger, je pourrais sans doute y enfoncer trois doigts sans rencontrer la moindre résistance ! Je me demande si mes deux Maîtres ont continué à me pilonner comme une poupée de chiffon après que je me sois évanouie ? J’imagine que oui, sans pouvoir déterminer si cela devrait être pour moi une source de fierté ou bien si c’est profondément malsain.
J’essaie ensuite de remuer sur le matelas, mais je réalise vite que je ne pourrais aller bien loin : ma laisse est attachée à la tête de lit, ce qui fait qu’il m’est impossible de relever mon tronc au-delà de l’horizontale. Décidément, la position la plus confortable demeure d’écarter les jambes et d’appuyer ma tête et mes épaules dans le matelas, même si cela fait ressortir mes fesses et ouvrir mon anneau, comme dans l’attente d’une saillie qui ne vient pas.
J’ai peur… Bien que ça me rassure tout de même légèrement de savoir que je suis toujours chez mon maître, la confiance que j’ai en lui vient d’être quelque peu entamée. D’ordinaire, même s’il ne demande pas permission, il prend soin de m’avertir lorsque nous nous livrons à des expériences un peu plus débridées que la moyenne…
Je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est, la chambre d’ami ne possédant aucune fenêtre. Seule la lumière crue et froide de l’ampoule fluorescente au plafond éclaire la pièce d’une blancheur immaculée, presque surréelle. Heureusement, depuis la semaine dernière, l’école est terminée pour l’été. Je ne manquerai donc pas de cours ou d’examens. Et je n’ai pas d’emploi, donc personne ne remarquera mon absence avant plusieurs jours. Tout cela me fait réaliser à quel point je suis vulnérable, seule ici.
Même si ― mon visage et mon cul ravagés en témoignent ― mes deux maîtres ont bien joui, ce n’est pas mon cas. J’ai beau m’être évanouie sous leurs assauts conjugués, une furieuse envie de cracher du sperme me démange le bas-ventre et me fait bander. Comment me satisfaire si je ne peux accéder à mon sexe ou à mon cul avec mes doigts ? Avec peine, je m’efforce de frotter mes cuisses contre mon sexe mince. Étonnamment, le plaisir ne tarde pas à monter en moi et je me tortille de plus en plus; les ressorts du matelas grincent de plus en plus fort. C’est au moment où je sens la jouissance finale approcher que la porte de la chambre s’ouvre derrière moi. Aussitôt Monsieur Robert me hurle d’arrêter tout de suite, s'approche en vitesse et me gifle si fort que j’en retombe sur le lit.
- T'as pas compris ce qu'on t'a dit, salope ? hurle-t-il. Si tu jouis, c'est parce qu'on te le permet, pas parce que t'en as envie !
Incapable de répondre, je ne peux que gémir dans mon bâillon et me tortiller sur le matelas jusqu’à ce que Monsieur Robert me relève par les cheveux et me fiche une série de gifles sur chaque joue en continuant de me crier des insultes. Il s’arrête une fois, deux secondes, pour me cracher au visage. Je pleure autant à cause de la douleur des coups que de l'humiliation que je subis. Il finit par se calmer et s'accroupit près de moi. Je relève la tête vers lui, lentement de crainte de recevoir de nouveaux coups, et ce n'est qu'à ce moment que je constate qu'il tient une petite caméra vidéo à la main.
- Regardez comme elle belle cette petite conne avec sa face et ses cheveux plein de foutre. Et elle pleure, en plus, comme c'est triste, dit-il avec un grand sourire en approchant la caméra de mon visage pour faire un gros plan du sperme mélangé à mes larmes. On va la préparer pour la suite...
Il me fait ensuite tourner sur le ventre et commence, d'une main, à dénouer les lacets de mon bustier. Après me l'avoir retiré, ne me laissant que mes bas résille déchirés aux genoux, il braque à nouveau la caméra vers moi et commence à pincer violemment mes tétons. Il les étire dans tous les sens, les fait rouler entre ses doigts, ce qui me fait inévitablement pousser des semblants de cris à travers la boule rose de mon bâillon. Lorsqu'il est satisfait, Monsieur Robert fouille dans sa poche de pantalon et en ressort deux petites pinces métalliques reliées par une chaînette munie d’un poids en son centre. Sans hésiter, il les pose sur mes tétons devenus hypersensibles. La douleur est immédiatement intense; cependant, après quelques secondes, même si une part de moi me hurle d'essayer par tous les moyens de retirer ces pinces diaboliques qui à l’aide la gravité semblent vouloir m’arracher les seins, une autre me confie, légèrement honteuse, que c'est pourtant très agréable tout ça... Monsieur Robert sort également un élastique et attache un peu n'importe comment mes petites couilles avec mon sexe redevenu mou. C'est un peu douloureux, mais supportable.
- Regarde la caméra ! Tu peux te débattre tant que tu veux, ça ne changera rien. Regarde TOUJOURS la caméra. C’est pour mes archives personnelles. Sauf si tu ne fais pas ce que je dis… C'est bien, je vois à tes yeux que tu commences à aimer ça... Excellent.
Voyant que je me calme un peu, Monsieur Robert enlève d'un mouvement son pantalon de coton. Sa queue à moitié dure pend entre ses cuisses. Il crache alors dans sa main libre et entreprend de se masturber lentement. Sa queue gonfle peu à peu, se dresse vers le plafond jusqu'à prendre la forme recourbée que je lui connais, avec son gros gland si particulier. Monsieur Robert filme en alternance son sexe de plus en plus bandé et moi qui suis de plus en plus excitée, les yeux rivés sur l'objectif. Je ne pleure plus désormais. Des élancements de douleur et de plaisir parcourent mes seins comprimés et étirés par les pinces. Quant à ma petite queue, elle voudrait bien durcir, mais l'élastique que m'a posé Monsieur Robert l'en empêche : mon gland est gonflé, certes, mais ma hampe ne peut s'allonger sans douleur à cause de l'élastique qui tend mon prépuce au maximum. Je comprends où Monsieur Robert veut en venir. Quelle torture sournoise ! Le moindre plaisir que je ressens se transforme aussitôt en douleur ! Et cette queue sous mes yeux qui continue toujours de grossir...
- Quelle salope toi, vraiment, on dirait que tu as encore envie de te faire défoncer, hein, c'est ça ? Tu en veux encore du foutre, hein ? Vraiment, des putes comme toi, ça ne court pas les rues, alors quand on en tient une, il ne faut pas la lâcher !
Il s'approche ensuite de moi et commence à frotter sa queue contre mon visage. Avec son gland, il récupère la salive qui coule en permanence de mes lèvres à cause du bâillon et l'étend sur mes joues pour que son sexe circoncis y glisse sans difficulté. Il ne se gêne pas non plus pour me cracher à nouveau au visage, pour me fouetter avec son membre raide, m'enfoncer son gros gland dans les yeux en riant puis en me criant de regarder la caméra. J'ignore combien de temps il s'amuse ainsi à se servir de moi comme d'un punching bag à bite, mais je sais en revanche que la douleur de mes couilles et de mon sexe durci coincé dans l'élastique est horrible. Je sais très bien que peu importe ce que Monsieur Robert voudra faire de moi, j’y consentirai dans l’espoir de mettre fin à cette souffrance. D’ailleurs, une autre de mes libertés vient de m’être retirée : Monsieur Robert a posé un bandeau opaque sur mes yeux, ce qui me fait angoisser encore davantage. Mon vrai maître m’a déjà fait cela plusieurs fois afin d’augmenter mon excitation et son emprise sur moi, mais je n’ai pas vraiment confiance en Monsieur Robert qui me semble bien moins attentionné.
Celui-ci profite maintenant de ma position indécente pour palper mon cul afin de « bien montrer à la caméra la dégelée » que j'ai subie hier. Puisque je sens ses deux mains sur ma peau, j’imagine qu’il a dû déposer la caméra sur un trépied quelque part de manière à pouvoir filmer tout la scène y compris sans doute mon visage grâce au reflet que renvoie le miroir. Je ne dois pas être belle à voir avec ma croûte sur la peau, mes cheveux collés sur mon visage, mes lèvres enflées par le bâillon, les cernes qui dépassent sans doute de mon bandeau… Monsieur Robert écarte mes fesses en complimentant ma « belle chatte toute ouverte », comme il dit, les tapote successivement du plat de la main comme pour me féliciter. Ou plutôt pour se féliciter, lui, d’avoir trouvé une si bonne chienne.
- Compte, m’ordonne-t-il en commençant à frapper pour de vrai. Dix de chaque côté pour avoir essayé de jouir sans ma permission.
Les premières claques me surprennent et sont presque agréables. À partir de la troisième ou de la quatrième, toutefois, chacune m’arrache un cri de douleur que je m’efforce de transformer en chiffre. Le résultat doit être indéchiffrable, surtout avec mon bâillon, mais Monsieur Robert ne paraît pas s’en formaliser, trop occupé qu’il est à faire rougir mon cul hypersensible. À chaque coup, je suis immanquablement propulsée vers l’avant mais les liens autour de mes chevilles ont tôt fait de me ramener dans ma position initiale; comme le poids suspendu à mes tétons en feu, j’oscille ainsi comme un pendule pendant plusieurs minutes, au grand bonheur de Monsieur Robert dont les coups ne faiblissent en rien, au contraire. Cette fessée en bonne et due forme, combinée à la compression de mon sexe et à mes tétons douloureux finissent par me faire gémir de plaisir sans retenue. Je ne commande plus rien. Tout à fait malgré moi, je suis une boule d’excitation sans aucun contrôle sur la situation, je n’en peux plus de savoir la belle bite de Monsieur Robert à quelques centimètres de moi sans que je puisse y avoir droit. Lorsqu’il juge mon cul assez rougi, il crache sur mon anneau et y enfonce d’un coup trois de ses doigts qui remplissent enfin en partie ce vide qui devenait insoutenable. Voyant que je suis encore bien ouverte, Monsieur Robert fait coulisser rapidement et brutalement ses doigts en moi pendant que son autre main continue de me fesser sans se lasser le moins du monde, comme si tout cela n’était que naturel. Après avoir entré un quatrième doigt et n’avoir toujours pas rencontré de résistance notable, il décide ensuite d’y aller le tout pour le tout. Muni cette fois de gel, il en verse généreusement sur mes fesses, m’en badigeonne l’intérieur et vient me murmurer une phrase qui me fait me tortiller du cul de peur, mais peut-être aussi de plaisir, je n’en sais plus rien :
- T’as déjà pris une grosse main comme la mienne dans ta petite chatte ?
Devant mon déni vigoureux, il ajoute un grognement de satisfaction et reprend sa position derrière moi, où mon cul rouge tendu vers lui doit lui sembler une cible fort invitante. Bien vite, il reprend sans douceur son va-et-vient à quatre doigts et ajoute son pouce progressivement, écartant douloureusement mais aussi – il faut l’admettre – délicieusement mes chairs. Mon cul enserre ses cinq doigts qui coulissent en moi avec plus de facilité que ce que j’aurais cru. Il faut dire qu’avec hier et la double pénétration qui m’a terrassée, je suis somme toute bien préparée à cette intrusion pourtant hors du commun. Sans doute lui aussi étonné par l’aisance avec laquelle il navigue dans mon cul, Monsieur Robert n’en montre rien et, ses doigts en pinceau, il tourne en moi comme s’il me forait, ce qui n’est pas exactement loin de la réalité. Enfin, après une poussée supplémentaire de sa part, je sens que sa main complète entre en moi et que mon anneau se referme sur le poignet de mon fisteur. Le souffle me coupe et ma vue se brouille à nouveau, mais je résiste et parviens à éviter l’évanouissement. Heureusement que, pendant ce temps, Monsieur Robert a cessé de me ramoner et se contente de faire bouger ses doigts à l’intérieur de mon conduit dilaté pour évaluer l’espace disponible.
- Je comprends qu’on ait pu entrer à deux ici hier soir, tu as vraiment un garage à bites à la place du cul !
Mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine. Je n’ose faire un mouvement de crainte de sentir davantage de douleur. Car oui, même si le plaisir est immense, j’ai tout de même l’impression d’avoir une borne fontaine dans les fesses tellement je suis pleine, dilatée au maximum. Or, la borne fontaine en question n’en a pas fini avec moi et commence à s’enfoncer un peu plus loin, puis à vouloir lentement ressortir. Je laisse échapper un râle aigu quand la partie la plus large de la main distend à nouveau mon anneau quelques instants avant de replonger en moi. Durant plusieurs minutes, il va et vient ainsi entre mes fesses avec un malin plaisir pendant que de mon côté je prends un plaisir carrément dément, qui ne laisse plus aucune place à la douleur. Nul doute que j’aurais éjaculé depuis longtemps si mon sexe n’était entortillé, mais en attendant de pouvoir me libérer, je gémis continuellement et bave comme une chienne affamée, toutes mes entraves ne faisant que décupler mon plaisir.
Finalement, Monsieur Robert paraît se lasser de me fendre en deux et retire lentement sa main dans un bruit obscène. Il prend ensuite soin d’écarter mes fesses en décrivant à la caméra mon trou qui doit davantage ressembler à un cratère qu’à un anus. Dès qu’il cesse de me toucher, je m’effondre sur le matelas, haletante, en espérant confusément que tout cela vienne de prendre fin, même si je sais bien que mon maître du jour n’a pas encore joui et que cette séance n’est donc pas terminée, que mon rôle n’est pas rempli. Monsieur Robert ne manque d’ailleurs pas de me le faire remarquer en recommençant à me fesser pour que je me redresse, le cul en l’air. Je quitte donc ma position allongée de toute façon inconfortable et reprend ma pose de saillie. Aussitôt quelque chose s’enfonce en moi mais je ne peux absolument pas déterminer s’il s’agit d’un simple doigt ou de la queue dure de mon maître tellement je suis ouverte. Une paire de couilles qui s’écrase à plusieurs reprises contre mes fesses me confirme toutefois qu’il s’agit bien d’un sexe, surtout que son propriétaire se met à jurer comme un charretier, lui non plus ne sentant sans doute pas grand-chose. Maudissant de m’avoir « trop élargi la chatte », il se retire de moi, ce qui me chatouille quelque peu.
- Bon, me dit-il en tirant sur la chaînette des pinces à seins, je vais t'enlever ton bâillon. Si tu te mets à crier, je te frapperai tellement fort que tu ne pourras même plus parler après, c'est compris ?
J’acquiesce encore une fois (comme si je pouvais dire non !) et Monsieur Robert vient détacher le le bâillon de cuir sur ma nuque. Enfin, ma bouche est libérée. Encore douloureuse, mais libérée. Je m'efforce d'être la plus disciplinée possible, de ne pas bouger, de ne pas émettre le moindre son, mais je sens qu’une queue très tentante se dandine devant moi. Monsieur Robert coupe toutefois court à mon envie en me giflant légèrement deux ou trois fois sur chaque joue puis en enfonçant quelques doigts dans ma bouche, s'amusant à les planter le plus profondément possible pour que je m'étouffe et à faire ensuite de rapides aller-retour.
Monsieur Robert me tire ensuite par les cheveux pour que je me redresse un peu. Je sors la langue et halète d’une excitation que seule la pensée une queue bien dure et d’une dose de sperme pourrait combler. Sans que j’aie le moindre contrôle sur mes désirs, me voici redevenue non seulement esclave de mon maître, mais surtout une chienne entièrement dédiée au sexe. Il me semble à ce moment qu'il s'agit là de ma seule fonction, ce pourquoi j’ai été conçue.
- Ouvre la bouche, salope, regarde la caméra. Dis-moi à quel point tu veux ma bite.
- S’il vous plaît, Maître, j’ai vraiment besoin d’une queue ! lui dis-je en me tournant dans la direction d’où provient la voix et en me frottant la tête comme une chatte contre ses cuisses. Vous me rendez complètement folle et votre bite est si bonne avec ce gland énorme que j’ai tant envie de sucer, cette belle verge toute veinée et courbée pour mieux s’enfoncer en moi… Je vous en supplie, Monsieur Robert, il n’y a rien au monde que je veuille plus que…
- Pas assez convaincant, mais je te laisse quand même lécher mes couilles, dit-il en entourant celles-ci de son pouce et de son index pour les rendre plus accessibles à ma bouche.
- Merci, Monsieur Robert.
Mais il n’a apparemment pas encore fini de me faire languir. Je m’approche à la recherche du service trois pièces de mon maître, mais c’est d’abord mon nez qui entre en contact avec son gland; aussitôt ma langue sort pour s’enrouler autour de ses grosses couilles quand soudain ma laisse se tend : Monsieur Robert se tient à l’exacte limite de mon rayon d'action. J’ai beau me tortiller dans tous les sens pour essayer de me rendre à lui, rien n’y fait. Je ne peux que me lamenter, langue et corps tendus vers l’objet de ma convoitise. J’arrive à peine à respirer tellement le collier me serre la gorge, mais cela ne m’empêche pas de continuer d’essayer vigoureusement et pathétiquement de combler les quelques millimètres qui me séparent de ce sexe que je me dois de satisfaire
- Oh, mais regardez-la, la pauvre petite ! C’est qu’elle les veut mes couilles, hein ! C’est ça que tu veux, salope, des grosses couilles poilues ? me demande-t-il en les frottant sur l’arête de mon nez.
Enfin, Monsieur Robert cesse de rire et les dirige vers ma bouche. Aussitôt je gobe bestialement ses grosses noix en grognant de plaisir, les engluant de ma salive. Je passe ainsi plusieurs minutes à m’en occuper goulûment jusqu’à ce que Monsieur Robert finisse par les remplacer par son gros gland gonflé comme un fruit mûr. Cependant, chaque fois que je tente d'emboucher sa queue au-delà du gland, Monsieur Robert me retire son sexe des lèvres et le fait rebondir sur mon visage en signe de dérision. Il joue encore avec moi, c'est agaçant, mais, sans mes mains, je ne peux qu'essayer sans trop de succès de happer ce beau membre veiné qui virevolte devant moi sans même que je le vois. De gravement excitée, je deviens vite énervée, frustrée puis folle de désir, tremblant, suppliant, gémissant pour cette queue qui m'est sans cesse refusée. Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter une aussi terrible punition ? Mes seins sont douloureux de plaisir, mon cul palpite en essayant en vain de se refermer sur du vide, mes fesses brûlent encore des dernières claques qu'elles ont reçues, ma petite queue est cruellement comprimée et hypersensible, je suis au bord de l'hystérie ! Il me faut cette bite à tout prix ! Lorsque enfin il juge que j'ai assez souffert de jouissance ou joui de souffrance, Monsieur Robert m’enlève mon bandeau, puis m'ordonne de faire mon plus beau regard de soumise à la caméra et de venir le sucer lentement, sans quitter l'objectif des yeux. Enfin ! Quelques secondes encore et j’aurais essayé de briser le lit en hurlant comme une dingue ou bien peut-être que je me serais simplement évanouie à nouveau, terrassée par le surplus de sensations contradictoires, je ne sais pas...
Heureusement, j'arrive à contenir la vague de désir sauvage qui monte en moi et cajole sa bite avec passion à l'aide de mes lèvres que je rends bien humides pour mieux coulisser sur le sexe circoncis, de ma langue agile de jeune esclave dévouée et, à l'occasion de plongées occasionnelles, de ma gorge chaude et profonde. Lors de ces plongées, il en profite pour donner une pichenette sur le poids torturant mes tétons afin de m’arracher une motivation supplémentaire Surtout, il insiste pour filmer en gros plan mon visage déformé par l'effort et mes lèvres refermées sur la base de sa queue, en ne manquant pas de tourner l’écran de la caméra vers moi pour que je me vois ainsi avilie et dévouée, pute, bref. Ça me rend tellement fière de l'entendre soupirer de plaisir que je mets tout mon cœur à l'ouvrage, faisant courir ma langue autour de son gland avant de me planter le pieu le plus profondément possible puis de contracter et relâcher successivement ma gorge pour bien le malaxer. Après quelques minutes de ce traitement en douceur mais apparemment fort agréable, Monsieur Robert décide de passer en deuxième vitesse : il agrippe mes cheveux de sa main libre en me soulevant légèrement du matelas puis, sans autre son qu'un grave « han ! », prend fermement possession de ma gueule. Il ne résiste pas longtemps à l'envie de m'insulter, question de bien montrer à la caméra que je suis qu'une « sale chienne en manque » et une « accro à la bite », « prête à tout pour avoir sa dose de foutre », entre autres. Il me défonce ainsi violemment pendant plusieurs minutes, semblant se satisfaire des litres de salive qu'il voit couler de mes lèvres.
- T'as envie de te faire gaver, hein ? Dis-le, salope ! Tu veux que j’arrose ta face de baveuse ?
Difficile de répondre avec cette queue qui continue d'aller et venir profondément entre mes lèvres, sans jamais sortir complètement de ma bouche. Je m'efforce tout de même de faire entendre des borborygmes d'approbation, ce qui semble satisfaire Monsieur Robert.
Il me retire ensuite sa queue et se vide copieusement sur mon visage, faisant sans doute exprès de viser mes yeux pour que sa semence s'accumule sur mes paupières qui se mettent à brûler.
Monsieur Robert zoome ensuite sur mon visage pendant que je tète goulûment les derniers filaments de sperme qui pendent au bout de son gland. Il me laisse faire pendant quelques minutes en me caressant la tête, le temps que son érection se résorbe et que sa verge soit toute propre, contrairement à mon visage maintenant recouvert de plusieurs couches de jus de mâle...
Enfin, il éteint la caméra.
- Si ça ne tenait que de moi, je te laisserais moisir dans l'inconnu, mais ton Maître t'a écrit une lettre pour t'expliquer quelques détails. La voici, tu la liras quand je partirai. Maintenant, je vais te détacher, tu prendras une douche et tu monteras me rejoindre au salon. Je veux que tu me montres ta petite queue dure, comme ça je saurai que tu ne t’es pas branlée. Avec ta virilité de fiotte, tu ne pourrais certainement pas continuer à bander après avoir joui.
Après m'avoir retiré sans ménagement les pinces à seins, délié les bras et détaché du lit, Monsieur Robert enfile son pantalon et sort de la chambre en claquant la porte. Enfin, je peux bouger librement. Mon premier réflexe est d'ouvrir la lettre que m'a laissée mon Maître.
Bonjour ma jolie,
J'espère que tu t'es remise de ce qu'on t'a mis l'autre soir, car tu devras être en forme pour la semaine qui t'attend. Évidemment, tu as dû constater à ton réveil que j'étais absent. En fait, je suis en voyage d'affaires pour quelques jours à Montréal. J'avais l'intention de t'emmener avec moi, mais le fait que tu aies perdu connaissance a rendu la chose impossible puisque je suis parti tôt ce matin. Je veux tout de même que tu viennes me rejoindre ici, c'est pourquoi je t'ai réservé une place dans le train de 15h. Si tu es gentille avec lui, Robert ira te conduire à la gare. Apporte des vêtements pour quatre jours et n'oublie pas tes jouets ni tes jolies tenues. Et je t’interdis de te branler et encore plus de jouir d’ici à ce que je te le permette. Je te veux la plus excitée, la plus affamée de foutre possible. La plus chienne. Tu m’obéiras, tu me supplieras, tu seras littéralement obsédée par ma queue et prête à tout. Je t'attendrai à la sortie du train. À ce soir.
Monsieur
P.S. Porte seulement ton mini plug et entraîne-toi durant le trajet. Fais travailler les muscles de ta chatte question que je sente quelque chose quand je te ferai crier. Je sais que Robert avait l’intention de te faire rencontrer ses grosses mains…
Encore une fois, mon refus ne semble pas envisageable. De toute façon, je ne vois pas pour quelle raison je refuserais. Même si j’ai subi la pire défonce de ma vie la veille et un écartement de classe olympique ce matin, j’ai toujours terriblement envie de cajoler la belle queue de mon Maître. Et puis, même si je ne ressentais pas ce besoin sexuel, je sais que je n’aurais pas d’autre choix que d’obéir à Monsieur. C’est devenu chez moi une seconde nature. J’ai besoin de lui, voilà la vérité. Et cela me plaît.
Bonjour à tous, il y a longtemps que je n’ai rien écrit, mais puisque l’envie me tenaillait de plus en plus, voici la suite de mes aventures de soumis(e). Lors de la dernière histoire, ma première double pénétration m’avait fait perdre connaissance sous les assauts de mon Maître et de Monsieur Robert, terrassée par un plaisir par trop intense…
---
Lorsque je reprends conscience en sursaut, j’ignore combien de temps s’est écoulé depuis l’incroyable jouissance qui m’a terrassée. Mais ce que je constate me fait paniquer ! Un miroir posé devant moi me montre à quatre pattes sur le petit lit de la chambre d’ami qui se trouve au sous-sol de la maison de mon maître. Ma bouche est distendue par une boule rose montée sur un bâillon de cuir serré sur ma nuque; de la salive recouvre mon menton et coule sur le matelas. Depuis combien de temps suis-je ici ? Mes chevilles sont reliées aux coins arrières du lit par des cordes tendues que je sens brûler ma peau plus que je ne les vois. Quant à mes bras, ils sont solidement ligotés dans mon dos. Je sens que mon visage est couvert d’une croûte à la fois collante et sèche. L’odeur me confirme qu’il s’agit de sperme séché. Sans doute Monsieur et Monsieur Robert ont-ils profité de ma perte de connaissance pour arroser copieusement mon visage. Personnellement, j'aurais plutôt appelé une ambulance, mais bon, il semble que nous n’ayons pas tous les mêmes priorités.
Une chose est sûre, je vais me rappeler de cette soirée ! Et mon cul aussi, à ce qu’il semble, puisque je le sens encore complètement ouvert et douloureux. Si mes bras pouvaient bouger, je pourrais sans doute y enfoncer trois doigts sans rencontrer la moindre résistance ! Je me demande si mes deux Maîtres ont continué à me pilonner comme une poupée de chiffon après que je me sois évanouie ? J’imagine que oui, sans pouvoir déterminer si cela devrait être pour moi une source de fierté ou bien si c’est profondément malsain.
J’essaie ensuite de remuer sur le matelas, mais je réalise vite que je ne pourrais aller bien loin : ma laisse est attachée à la tête de lit, ce qui fait qu’il m’est impossible de relever mon tronc au-delà de l’horizontale. Décidément, la position la plus confortable demeure d’écarter les jambes et d’appuyer ma tête et mes épaules dans le matelas, même si cela fait ressortir mes fesses et ouvrir mon anneau, comme dans l’attente d’une saillie qui ne vient pas.
J’ai peur… Bien que ça me rassure tout de même légèrement de savoir que je suis toujours chez mon maître, la confiance que j’ai en lui vient d’être quelque peu entamée. D’ordinaire, même s’il ne demande pas permission, il prend soin de m’avertir lorsque nous nous livrons à des expériences un peu plus débridées que la moyenne…
Je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est, la chambre d’ami ne possédant aucune fenêtre. Seule la lumière crue et froide de l’ampoule fluorescente au plafond éclaire la pièce d’une blancheur immaculée, presque surréelle. Heureusement, depuis la semaine dernière, l’école est terminée pour l’été. Je ne manquerai donc pas de cours ou d’examens. Et je n’ai pas d’emploi, donc personne ne remarquera mon absence avant plusieurs jours. Tout cela me fait réaliser à quel point je suis vulnérable, seule ici.
Même si ― mon visage et mon cul ravagés en témoignent ― mes deux maîtres ont bien joui, ce n’est pas mon cas. J’ai beau m’être évanouie sous leurs assauts conjugués, une furieuse envie de cracher du sperme me démange le bas-ventre et me fait bander. Comment me satisfaire si je ne peux accéder à mon sexe ou à mon cul avec mes doigts ? Avec peine, je m’efforce de frotter mes cuisses contre mon sexe mince. Étonnamment, le plaisir ne tarde pas à monter en moi et je me tortille de plus en plus; les ressorts du matelas grincent de plus en plus fort. C’est au moment où je sens la jouissance finale approcher que la porte de la chambre s’ouvre derrière moi. Aussitôt Monsieur Robert me hurle d’arrêter tout de suite, s'approche en vitesse et me gifle si fort que j’en retombe sur le lit.
- T'as pas compris ce qu'on t'a dit, salope ? hurle-t-il. Si tu jouis, c'est parce qu'on te le permet, pas parce que t'en as envie !
Incapable de répondre, je ne peux que gémir dans mon bâillon et me tortiller sur le matelas jusqu’à ce que Monsieur Robert me relève par les cheveux et me fiche une série de gifles sur chaque joue en continuant de me crier des insultes. Il s’arrête une fois, deux secondes, pour me cracher au visage. Je pleure autant à cause de la douleur des coups que de l'humiliation que je subis. Il finit par se calmer et s'accroupit près de moi. Je relève la tête vers lui, lentement de crainte de recevoir de nouveaux coups, et ce n'est qu'à ce moment que je constate qu'il tient une petite caméra vidéo à la main.
- Regardez comme elle belle cette petite conne avec sa face et ses cheveux plein de foutre. Et elle pleure, en plus, comme c'est triste, dit-il avec un grand sourire en approchant la caméra de mon visage pour faire un gros plan du sperme mélangé à mes larmes. On va la préparer pour la suite...
Il me fait ensuite tourner sur le ventre et commence, d'une main, à dénouer les lacets de mon bustier. Après me l'avoir retiré, ne me laissant que mes bas résille déchirés aux genoux, il braque à nouveau la caméra vers moi et commence à pincer violemment mes tétons. Il les étire dans tous les sens, les fait rouler entre ses doigts, ce qui me fait inévitablement pousser des semblants de cris à travers la boule rose de mon bâillon. Lorsqu'il est satisfait, Monsieur Robert fouille dans sa poche de pantalon et en ressort deux petites pinces métalliques reliées par une chaînette munie d’un poids en son centre. Sans hésiter, il les pose sur mes tétons devenus hypersensibles. La douleur est immédiatement intense; cependant, après quelques secondes, même si une part de moi me hurle d'essayer par tous les moyens de retirer ces pinces diaboliques qui à l’aide la gravité semblent vouloir m’arracher les seins, une autre me confie, légèrement honteuse, que c'est pourtant très agréable tout ça... Monsieur Robert sort également un élastique et attache un peu n'importe comment mes petites couilles avec mon sexe redevenu mou. C'est un peu douloureux, mais supportable.
- Regarde la caméra ! Tu peux te débattre tant que tu veux, ça ne changera rien. Regarde TOUJOURS la caméra. C’est pour mes archives personnelles. Sauf si tu ne fais pas ce que je dis… C'est bien, je vois à tes yeux que tu commences à aimer ça... Excellent.
Voyant que je me calme un peu, Monsieur Robert enlève d'un mouvement son pantalon de coton. Sa queue à moitié dure pend entre ses cuisses. Il crache alors dans sa main libre et entreprend de se masturber lentement. Sa queue gonfle peu à peu, se dresse vers le plafond jusqu'à prendre la forme recourbée que je lui connais, avec son gros gland si particulier. Monsieur Robert filme en alternance son sexe de plus en plus bandé et moi qui suis de plus en plus excitée, les yeux rivés sur l'objectif. Je ne pleure plus désormais. Des élancements de douleur et de plaisir parcourent mes seins comprimés et étirés par les pinces. Quant à ma petite queue, elle voudrait bien durcir, mais l'élastique que m'a posé Monsieur Robert l'en empêche : mon gland est gonflé, certes, mais ma hampe ne peut s'allonger sans douleur à cause de l'élastique qui tend mon prépuce au maximum. Je comprends où Monsieur Robert veut en venir. Quelle torture sournoise ! Le moindre plaisir que je ressens se transforme aussitôt en douleur ! Et cette queue sous mes yeux qui continue toujours de grossir...
- Quelle salope toi, vraiment, on dirait que tu as encore envie de te faire défoncer, hein, c'est ça ? Tu en veux encore du foutre, hein ? Vraiment, des putes comme toi, ça ne court pas les rues, alors quand on en tient une, il ne faut pas la lâcher !
Il s'approche ensuite de moi et commence à frotter sa queue contre mon visage. Avec son gland, il récupère la salive qui coule en permanence de mes lèvres à cause du bâillon et l'étend sur mes joues pour que son sexe circoncis y glisse sans difficulté. Il ne se gêne pas non plus pour me cracher à nouveau au visage, pour me fouetter avec son membre raide, m'enfoncer son gros gland dans les yeux en riant puis en me criant de regarder la caméra. J'ignore combien de temps il s'amuse ainsi à se servir de moi comme d'un punching bag à bite, mais je sais en revanche que la douleur de mes couilles et de mon sexe durci coincé dans l'élastique est horrible. Je sais très bien que peu importe ce que Monsieur Robert voudra faire de moi, j’y consentirai dans l’espoir de mettre fin à cette souffrance. D’ailleurs, une autre de mes libertés vient de m’être retirée : Monsieur Robert a posé un bandeau opaque sur mes yeux, ce qui me fait angoisser encore davantage. Mon vrai maître m’a déjà fait cela plusieurs fois afin d’augmenter mon excitation et son emprise sur moi, mais je n’ai pas vraiment confiance en Monsieur Robert qui me semble bien moins attentionné.
Celui-ci profite maintenant de ma position indécente pour palper mon cul afin de « bien montrer à la caméra la dégelée » que j'ai subie hier. Puisque je sens ses deux mains sur ma peau, j’imagine qu’il a dû déposer la caméra sur un trépied quelque part de manière à pouvoir filmer tout la scène y compris sans doute mon visage grâce au reflet que renvoie le miroir. Je ne dois pas être belle à voir avec ma croûte sur la peau, mes cheveux collés sur mon visage, mes lèvres enflées par le bâillon, les cernes qui dépassent sans doute de mon bandeau… Monsieur Robert écarte mes fesses en complimentant ma « belle chatte toute ouverte », comme il dit, les tapote successivement du plat de la main comme pour me féliciter. Ou plutôt pour se féliciter, lui, d’avoir trouvé une si bonne chienne.
- Compte, m’ordonne-t-il en commençant à frapper pour de vrai. Dix de chaque côté pour avoir essayé de jouir sans ma permission.
Les premières claques me surprennent et sont presque agréables. À partir de la troisième ou de la quatrième, toutefois, chacune m’arrache un cri de douleur que je m’efforce de transformer en chiffre. Le résultat doit être indéchiffrable, surtout avec mon bâillon, mais Monsieur Robert ne paraît pas s’en formaliser, trop occupé qu’il est à faire rougir mon cul hypersensible. À chaque coup, je suis immanquablement propulsée vers l’avant mais les liens autour de mes chevilles ont tôt fait de me ramener dans ma position initiale; comme le poids suspendu à mes tétons en feu, j’oscille ainsi comme un pendule pendant plusieurs minutes, au grand bonheur de Monsieur Robert dont les coups ne faiblissent en rien, au contraire. Cette fessée en bonne et due forme, combinée à la compression de mon sexe et à mes tétons douloureux finissent par me faire gémir de plaisir sans retenue. Je ne commande plus rien. Tout à fait malgré moi, je suis une boule d’excitation sans aucun contrôle sur la situation, je n’en peux plus de savoir la belle bite de Monsieur Robert à quelques centimètres de moi sans que je puisse y avoir droit. Lorsqu’il juge mon cul assez rougi, il crache sur mon anneau et y enfonce d’un coup trois de ses doigts qui remplissent enfin en partie ce vide qui devenait insoutenable. Voyant que je suis encore bien ouverte, Monsieur Robert fait coulisser rapidement et brutalement ses doigts en moi pendant que son autre main continue de me fesser sans se lasser le moins du monde, comme si tout cela n’était que naturel. Après avoir entré un quatrième doigt et n’avoir toujours pas rencontré de résistance notable, il décide ensuite d’y aller le tout pour le tout. Muni cette fois de gel, il en verse généreusement sur mes fesses, m’en badigeonne l’intérieur et vient me murmurer une phrase qui me fait me tortiller du cul de peur, mais peut-être aussi de plaisir, je n’en sais plus rien :
- T’as déjà pris une grosse main comme la mienne dans ta petite chatte ?
Devant mon déni vigoureux, il ajoute un grognement de satisfaction et reprend sa position derrière moi, où mon cul rouge tendu vers lui doit lui sembler une cible fort invitante. Bien vite, il reprend sans douceur son va-et-vient à quatre doigts et ajoute son pouce progressivement, écartant douloureusement mais aussi – il faut l’admettre – délicieusement mes chairs. Mon cul enserre ses cinq doigts qui coulissent en moi avec plus de facilité que ce que j’aurais cru. Il faut dire qu’avec hier et la double pénétration qui m’a terrassée, je suis somme toute bien préparée à cette intrusion pourtant hors du commun. Sans doute lui aussi étonné par l’aisance avec laquelle il navigue dans mon cul, Monsieur Robert n’en montre rien et, ses doigts en pinceau, il tourne en moi comme s’il me forait, ce qui n’est pas exactement loin de la réalité. Enfin, après une poussée supplémentaire de sa part, je sens que sa main complète entre en moi et que mon anneau se referme sur le poignet de mon fisteur. Le souffle me coupe et ma vue se brouille à nouveau, mais je résiste et parviens à éviter l’évanouissement. Heureusement que, pendant ce temps, Monsieur Robert a cessé de me ramoner et se contente de faire bouger ses doigts à l’intérieur de mon conduit dilaté pour évaluer l’espace disponible.
- Je comprends qu’on ait pu entrer à deux ici hier soir, tu as vraiment un garage à bites à la place du cul !
Mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine. Je n’ose faire un mouvement de crainte de sentir davantage de douleur. Car oui, même si le plaisir est immense, j’ai tout de même l’impression d’avoir une borne fontaine dans les fesses tellement je suis pleine, dilatée au maximum. Or, la borne fontaine en question n’en a pas fini avec moi et commence à s’enfoncer un peu plus loin, puis à vouloir lentement ressortir. Je laisse échapper un râle aigu quand la partie la plus large de la main distend à nouveau mon anneau quelques instants avant de replonger en moi. Durant plusieurs minutes, il va et vient ainsi entre mes fesses avec un malin plaisir pendant que de mon côté je prends un plaisir carrément dément, qui ne laisse plus aucune place à la douleur. Nul doute que j’aurais éjaculé depuis longtemps si mon sexe n’était entortillé, mais en attendant de pouvoir me libérer, je gémis continuellement et bave comme une chienne affamée, toutes mes entraves ne faisant que décupler mon plaisir.
Finalement, Monsieur Robert paraît se lasser de me fendre en deux et retire lentement sa main dans un bruit obscène. Il prend ensuite soin d’écarter mes fesses en décrivant à la caméra mon trou qui doit davantage ressembler à un cratère qu’à un anus. Dès qu’il cesse de me toucher, je m’effondre sur le matelas, haletante, en espérant confusément que tout cela vienne de prendre fin, même si je sais bien que mon maître du jour n’a pas encore joui et que cette séance n’est donc pas terminée, que mon rôle n’est pas rempli. Monsieur Robert ne manque d’ailleurs pas de me le faire remarquer en recommençant à me fesser pour que je me redresse, le cul en l’air. Je quitte donc ma position allongée de toute façon inconfortable et reprend ma pose de saillie. Aussitôt quelque chose s’enfonce en moi mais je ne peux absolument pas déterminer s’il s’agit d’un simple doigt ou de la queue dure de mon maître tellement je suis ouverte. Une paire de couilles qui s’écrase à plusieurs reprises contre mes fesses me confirme toutefois qu’il s’agit bien d’un sexe, surtout que son propriétaire se met à jurer comme un charretier, lui non plus ne sentant sans doute pas grand-chose. Maudissant de m’avoir « trop élargi la chatte », il se retire de moi, ce qui me chatouille quelque peu.
- Bon, me dit-il en tirant sur la chaînette des pinces à seins, je vais t'enlever ton bâillon. Si tu te mets à crier, je te frapperai tellement fort que tu ne pourras même plus parler après, c'est compris ?
J’acquiesce encore une fois (comme si je pouvais dire non !) et Monsieur Robert vient détacher le le bâillon de cuir sur ma nuque. Enfin, ma bouche est libérée. Encore douloureuse, mais libérée. Je m'efforce d'être la plus disciplinée possible, de ne pas bouger, de ne pas émettre le moindre son, mais je sens qu’une queue très tentante se dandine devant moi. Monsieur Robert coupe toutefois court à mon envie en me giflant légèrement deux ou trois fois sur chaque joue puis en enfonçant quelques doigts dans ma bouche, s'amusant à les planter le plus profondément possible pour que je m'étouffe et à faire ensuite de rapides aller-retour.
Monsieur Robert me tire ensuite par les cheveux pour que je me redresse un peu. Je sors la langue et halète d’une excitation que seule la pensée une queue bien dure et d’une dose de sperme pourrait combler. Sans que j’aie le moindre contrôle sur mes désirs, me voici redevenue non seulement esclave de mon maître, mais surtout une chienne entièrement dédiée au sexe. Il me semble à ce moment qu'il s'agit là de ma seule fonction, ce pourquoi j’ai été conçue.
- Ouvre la bouche, salope, regarde la caméra. Dis-moi à quel point tu veux ma bite.
- S’il vous plaît, Maître, j’ai vraiment besoin d’une queue ! lui dis-je en me tournant dans la direction d’où provient la voix et en me frottant la tête comme une chatte contre ses cuisses. Vous me rendez complètement folle et votre bite est si bonne avec ce gland énorme que j’ai tant envie de sucer, cette belle verge toute veinée et courbée pour mieux s’enfoncer en moi… Je vous en supplie, Monsieur Robert, il n’y a rien au monde que je veuille plus que…
- Pas assez convaincant, mais je te laisse quand même lécher mes couilles, dit-il en entourant celles-ci de son pouce et de son index pour les rendre plus accessibles à ma bouche.
- Merci, Monsieur Robert.
Mais il n’a apparemment pas encore fini de me faire languir. Je m’approche à la recherche du service trois pièces de mon maître, mais c’est d’abord mon nez qui entre en contact avec son gland; aussitôt ma langue sort pour s’enrouler autour de ses grosses couilles quand soudain ma laisse se tend : Monsieur Robert se tient à l’exacte limite de mon rayon d'action. J’ai beau me tortiller dans tous les sens pour essayer de me rendre à lui, rien n’y fait. Je ne peux que me lamenter, langue et corps tendus vers l’objet de ma convoitise. J’arrive à peine à respirer tellement le collier me serre la gorge, mais cela ne m’empêche pas de continuer d’essayer vigoureusement et pathétiquement de combler les quelques millimètres qui me séparent de ce sexe que je me dois de satisfaire
- Oh, mais regardez-la, la pauvre petite ! C’est qu’elle les veut mes couilles, hein ! C’est ça que tu veux, salope, des grosses couilles poilues ? me demande-t-il en les frottant sur l’arête de mon nez.
Enfin, Monsieur Robert cesse de rire et les dirige vers ma bouche. Aussitôt je gobe bestialement ses grosses noix en grognant de plaisir, les engluant de ma salive. Je passe ainsi plusieurs minutes à m’en occuper goulûment jusqu’à ce que Monsieur Robert finisse par les remplacer par son gros gland gonflé comme un fruit mûr. Cependant, chaque fois que je tente d'emboucher sa queue au-delà du gland, Monsieur Robert me retire son sexe des lèvres et le fait rebondir sur mon visage en signe de dérision. Il joue encore avec moi, c'est agaçant, mais, sans mes mains, je ne peux qu'essayer sans trop de succès de happer ce beau membre veiné qui virevolte devant moi sans même que je le vois. De gravement excitée, je deviens vite énervée, frustrée puis folle de désir, tremblant, suppliant, gémissant pour cette queue qui m'est sans cesse refusée. Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter une aussi terrible punition ? Mes seins sont douloureux de plaisir, mon cul palpite en essayant en vain de se refermer sur du vide, mes fesses brûlent encore des dernières claques qu'elles ont reçues, ma petite queue est cruellement comprimée et hypersensible, je suis au bord de l'hystérie ! Il me faut cette bite à tout prix ! Lorsque enfin il juge que j'ai assez souffert de jouissance ou joui de souffrance, Monsieur Robert m’enlève mon bandeau, puis m'ordonne de faire mon plus beau regard de soumise à la caméra et de venir le sucer lentement, sans quitter l'objectif des yeux. Enfin ! Quelques secondes encore et j’aurais essayé de briser le lit en hurlant comme une dingue ou bien peut-être que je me serais simplement évanouie à nouveau, terrassée par le surplus de sensations contradictoires, je ne sais pas...
Heureusement, j'arrive à contenir la vague de désir sauvage qui monte en moi et cajole sa bite avec passion à l'aide de mes lèvres que je rends bien humides pour mieux coulisser sur le sexe circoncis, de ma langue agile de jeune esclave dévouée et, à l'occasion de plongées occasionnelles, de ma gorge chaude et profonde. Lors de ces plongées, il en profite pour donner une pichenette sur le poids torturant mes tétons afin de m’arracher une motivation supplémentaire Surtout, il insiste pour filmer en gros plan mon visage déformé par l'effort et mes lèvres refermées sur la base de sa queue, en ne manquant pas de tourner l’écran de la caméra vers moi pour que je me vois ainsi avilie et dévouée, pute, bref. Ça me rend tellement fière de l'entendre soupirer de plaisir que je mets tout mon cœur à l'ouvrage, faisant courir ma langue autour de son gland avant de me planter le pieu le plus profondément possible puis de contracter et relâcher successivement ma gorge pour bien le malaxer. Après quelques minutes de ce traitement en douceur mais apparemment fort agréable, Monsieur Robert décide de passer en deuxième vitesse : il agrippe mes cheveux de sa main libre en me soulevant légèrement du matelas puis, sans autre son qu'un grave « han ! », prend fermement possession de ma gueule. Il ne résiste pas longtemps à l'envie de m'insulter, question de bien montrer à la caméra que je suis qu'une « sale chienne en manque » et une « accro à la bite », « prête à tout pour avoir sa dose de foutre », entre autres. Il me défonce ainsi violemment pendant plusieurs minutes, semblant se satisfaire des litres de salive qu'il voit couler de mes lèvres.
- T'as envie de te faire gaver, hein ? Dis-le, salope ! Tu veux que j’arrose ta face de baveuse ?
Difficile de répondre avec cette queue qui continue d'aller et venir profondément entre mes lèvres, sans jamais sortir complètement de ma bouche. Je m'efforce tout de même de faire entendre des borborygmes d'approbation, ce qui semble satisfaire Monsieur Robert.
Il me retire ensuite sa queue et se vide copieusement sur mon visage, faisant sans doute exprès de viser mes yeux pour que sa semence s'accumule sur mes paupières qui se mettent à brûler.
Monsieur Robert zoome ensuite sur mon visage pendant que je tète goulûment les derniers filaments de sperme qui pendent au bout de son gland. Il me laisse faire pendant quelques minutes en me caressant la tête, le temps que son érection se résorbe et que sa verge soit toute propre, contrairement à mon visage maintenant recouvert de plusieurs couches de jus de mâle...
Enfin, il éteint la caméra.
- Si ça ne tenait que de moi, je te laisserais moisir dans l'inconnu, mais ton Maître t'a écrit une lettre pour t'expliquer quelques détails. La voici, tu la liras quand je partirai. Maintenant, je vais te détacher, tu prendras une douche et tu monteras me rejoindre au salon. Je veux que tu me montres ta petite queue dure, comme ça je saurai que tu ne t’es pas branlée. Avec ta virilité de fiotte, tu ne pourrais certainement pas continuer à bander après avoir joui.
Après m'avoir retiré sans ménagement les pinces à seins, délié les bras et détaché du lit, Monsieur Robert enfile son pantalon et sort de la chambre en claquant la porte. Enfin, je peux bouger librement. Mon premier réflexe est d'ouvrir la lettre que m'a laissée mon Maître.
Bonjour ma jolie,
J'espère que tu t'es remise de ce qu'on t'a mis l'autre soir, car tu devras être en forme pour la semaine qui t'attend. Évidemment, tu as dû constater à ton réveil que j'étais absent. En fait, je suis en voyage d'affaires pour quelques jours à Montréal. J'avais l'intention de t'emmener avec moi, mais le fait que tu aies perdu connaissance a rendu la chose impossible puisque je suis parti tôt ce matin. Je veux tout de même que tu viennes me rejoindre ici, c'est pourquoi je t'ai réservé une place dans le train de 15h. Si tu es gentille avec lui, Robert ira te conduire à la gare. Apporte des vêtements pour quatre jours et n'oublie pas tes jouets ni tes jolies tenues. Et je t’interdis de te branler et encore plus de jouir d’ici à ce que je te le permette. Je te veux la plus excitée, la plus affamée de foutre possible. La plus chienne. Tu m’obéiras, tu me supplieras, tu seras littéralement obsédée par ma queue et prête à tout. Je t'attendrai à la sortie du train. À ce soir.
Monsieur
P.S. Porte seulement ton mini plug et entraîne-toi durant le trajet. Fais travailler les muscles de ta chatte question que je sente quelque chose quand je te ferai crier. Je sais que Robert avait l’intention de te faire rencontrer ses grosses mains…
Encore une fois, mon refus ne semble pas envisageable. De toute façon, je ne vois pas pour quelle raison je refuserais. Même si j’ai subi la pire défonce de ma vie la veille et un écartement de classe olympique ce matin, j’ai toujours terriblement envie de cajoler la belle queue de mon Maître. Et puis, même si je ne ressentais pas ce besoin sexuel, je sais que je n’aurais pas d’autre choix que d’obéir à Monsieur. C’est devenu chez moi une seconde nature. J’ai besoin de lui, voilà la vérité. Et cela me plaît.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par JF
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
slt belle aventure j aurais bien aimer être a t as place en salope je kif aussi être soumis a + bisous