La clairière de la débauche 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La clairière de la débauche 2
Le lendemain, la journée est aussi chaude. Amélie, curieuse, retourne au même endroit que la veille. Elle retrouve allongée sur l'herbe Jeannette, jambes largement ouvertes. Son mari fait trompette dans la rivière, il s'ébat et joue comme un enfant avec d'autres personnes. Amélie reprend sa place pas loin de Jeannette, elle se met en maillot. Et attend, elle aimerait revoir ce qu'elle a vu la veille. Les minutes passent, elle s'impatiente.
Elle décide de partir, mais l'homme qui avait jailli de dernière les fourrés, refait son apparition. Il s'approche de Jeannette, le bougre à la queue à la main et la redonne à sucer à La femme. Sans chercher à comprendre, elle saisit la queue et la suce comme une affamée. Le mec à chaque succion sur son gland gémit. Jeannette lève les yeux vers lui et en recrachant le gland lui :
-Décharge-moi dans la bouche mon salaud !
Elle reprend l'engin en bouche et s'active comme une forcenée. L'homme pousse un long râle et envoie la récompense à la suceuse bénévole. Amélie comprend que la femme vient à cet endroit pour assouvir ses délires sexuels. L'homme ne repart pas, il lui arrache la culotte et prend place entre les cuisses de jeannette qui dit :
-Oui, baise-moi, fort, baise-moi !
Le type enfonce dans le ventre de la demandeuse sa queue gluante. Il démonte Jeannette comme un soudard. Ses coups de reins sont terribles, l'homme se révèle une vraie brute. Tout en pilonnant rageusement la chatte de Jeannette, il lui étire les mamelons, les écrase. Jeannette souffle comme un dragon, mais, ne repousse pas son baiseur, au contraire, elle s'accroche à lui en agitant son bassin en gueulant :
-Oui, oui, fais-moi mal, vas-y, vas-y !
Amélie a les yeux écarquillés, trop occupée de regarder le couple en pleine action, elle n'a pas vu arriver Olga et Marc. Qui, souriants, prennent place à côté d'elle. Ils se saluent, Olga, en maillot de bain, dit en riant :
-Alors la petite dame revient aux sources de l'excitation, je suis sûre qu'elle mouille !
Et sans gêne plaque sa main sur le bas ventre d'Amélie. Qui ne réagit même pas tellement elle est surprise. En effet, sa culotte est humide. Amélie rougit comme une pivoine, Olga laisse sa main sur le bas-ventre d'Amélie. Marc dit en regardant Jeannette :
-Oh la vache qu'est-ce qu'elle prend, elle vient chaque jour prendre sa giclée la salope, et toi, tu viens souvent te rincer l'œil !
Amélie en béguant, surtout très gênée répond :
-Non, c'est la deuxième fois que je viens ici !
Marc réplique :
-Nous c'est pratiquement tous les jours. Ici, tu vois des trucs exceptionnels, quelques fois, on participe, comme Olga hier avec Jeannette !
Olga au travers du maillot caresse la fente qui s'humidifie de plus en plus. Elle regarde Amélie et lui dit :
-Tu aimes ce que je te fais !
Amélie en soupirant répond :
-Ce n'est pas désagréable !
Olga ajoute :
- Je n'en doute pas une seconde, excitée comme tu l'es, tu aimerais sucer la bite de mon mari !
Avant qu'elle réponde, Marc baisse brusquement son short, sa queue déjà raide, se dresse d'un coup sur son bas-ventre, et oscille comme un métronome. Amélie reste sans voix, ses yeux ne quittent pas la verge de bonne taille, que Marc agite fièrement. Pendant ce temps, Olga continue avec douceur de caresser la fente aux lèvres extrêmement gonflées. Elle appuie doucement, le fin tissu s'insère dans le sillon, l'effet est immédiat, les lèvres gonflées, déforment le tissu. Olga appuie sur la boule de chair qui harangue les grandes lèvres.
Amélie pousse de nombreux soupirs, ses yeux s'embuent. Marc approche
son engin décalotté de la bouche d'Amélie, elle pince ses lèvres en serrant aussi les dents. Olga, lui dit avec une voix mielleuse :
-Suce-la m'a chéri, c'est si bon, ne te prive pas de ce plaisir, d'ailleurs, tu en as envie !
Timidement, Amélie prend en main la verge fortement veinée, l'observe un moment. Olga insiste :
-Suce ma chérie, suce-la, elle est si bonne !
Après un long moment d'hésitation, elle ouvre la bouche, sort doucement sa langue et la pose sur le gland.
Timidement, elle la passe lentement sur le chapeau marbré, et sans décoller la langue du gland, elle en fait le tour en la frottant bien sûr le frein.
Marc serre les dents, Amélie lape les perles de rosées qui s'échappent du méat qui ne cesse de suinter. Enfin Amélie gobe le gland, elle se met à le sucer et le téter en prenant de plus en plus d'assurance. Les succions puissantes qu'elle applique sur la boule de chair, font geindre Marc. Pendant qu'elle suce, Olga continue de jouer avec sa vulve. Amélie laisse échapper son jus, son maillot est trempé.
Plus Olga lui caresse la chatte, plus Amélie s'acharne sur la queue de Marc. Soudain en poussant un gémissement rauque. Marc ne peut retenir sa décharge. Amélie manque d'étouffer tellement c'est violent et abondant. Elle repousse brusquement Marc. Ses yeux sont remplis de larmes, elle se pince les lèvres, d'où un filet de sperme s'échappe à la commissure. Olga demande comme une prière :
-Avale, ma chérie, avale !
Amélie garde un moment en bouche la semence. Olga insiste tellement qu'elle finit par avaler. La crème onctueuse qui descend lentement dans sa gorge, à un goût suave. D'habitude, Amélie n'avalait jamais le sperme. Mais pour une fois, elle l'a fait. Elle s'essuie les lèvres d'un revers de la main, en regardant Olga qui lui dit en souriant :
-Maintenant, c'est à ton tour de prendre du plaisir ma chérie !
Mais des cris les attirent, Jeannette et prise en sandwich par deux hommes. Elle s'agite sur les bites comme une diablesse, pendant que son mari encourage les deux amants :
-Oui, bourrez-la bien à fond, toi éclate lui la chatte plus fort, tu la chatouilles là. Toi, éclate-lui le cul, enfonce ta bite jusqu'aux couilles, je veux l'entendre hurler !
Les bites s'activent avec acharnement dans les orifices de Jeannette qui ne cesse de geindre. La coquine jouit plusieurs fois, mais elle en redemande en agitant comme une forcenée son bassin. Le trio regarde Jeannette qui subit avec bonheur les assauts féroces des deux types. Amélie et Olga se regardent, leurs yeux brillent. Olga demande :
-Retirons nos maillots ma chérie, J'ai trop envie de toi !
Amélie vient de faire un effort pour faire la fellation. Mais elle ne veut pas se donner en spectacle, elle refuse la proposition d'Olga. Effectivement, un attroupement, c'est formé autour de jeannette. Olga se pince les lèvres et dit :
-Mais ici, c'est comme cela que ça se passe ma chérie !
Amélie secoue la tête pour dire non. Olga insiste, mais la réponse est la même. Marc comprend Amélie, et dit :
-Allons chez-nous, ce n'est pas loin, là au moins, nous serons cachés !
Amélie hésite, mais Olga est si persuasive qu'elle finit par accepter. Amélie récupère ses vêtements et suis Olga et son mari. Le trajet est court, le couple habite dans une petite maison presque isolée. Une fois à l'intérieur, pendant que Marc sert une boisson, Olga fait visiter les lieux. La maison n'est pas grande, la visite est rapide. Une fois au salon, les trois discutent comme de vieux amis en trinquant. Elle apprend qu'Olga et Marc, souvent, participent à des orgies, rien ne leur fait peur. Leurs jeux vont jusqu'à l'extrême du raisonnable, elle donne quelques détails.
Amélie, émoustillée, veut en savoir plus sur les pratiques sexuelles du couple. Olga, en souriant, la prend par la main et lui dit :
-Je vais te montrer notre donjon, ma chérie, notre salle de jeu !
Elle l'emmène dans une pièce qu'Olga ne lui a pas fait visiter. Ce qu'elle voit la laisse sans voix. Tout est fait pour les plaisirs sexuels les plus hardes. Des godes de tous diamètres et de longueurs plus que redoutables, sont alignés sur une étagère. Des pinces à clito et mamelons trainent sur une petite table, parmi des boules de geisha, et d'œufs vibrants.
Une croix de saint-André et dressée au centre de la pièce. Non loin, un cheval d'arçon muni de godes monstrueux interchangeables, télé commandés. Un banc matelassé sans dossiers et doté à chaque pied de menottes. Au plafond, une poulie permet de suspendre les acteurs masochistes, pour des sévices consentis. Enfin, au mur, une panoplie d'objets frappants, fouet, martinet, badine en bambou, lanière de cuir, la totale.
Amélie ne sait où regarder, Olga lui présente un gode comparable à une vraie bite, mais en beaucoup plus gros. Amélie la triture longuement pour en connaitre la texture. Les yeux d'Amélie brillent, elle déglutit bruyamment, en poussant de nombreux soupirs. Olga l'enlace et lui murmure à l'oreille :
-Tu veux en essayer quelques-uns ma chérie, c'est très jouissif, tu sais, tu ne seras pas déçue, Jeannette, à chaque fois qu'elle vient, elle ne sait plus repartir !
Amélie sursaute :
-Ah Jeannette vient ici, avec son mari !
Marc répond :
-Oh, il n'y a pas qu'eux, même des notables viennent jouer ici !
Amélie repose le gode effrayant, et répond :
-Je ne suis pas sûre de pouvoir supporter de tels engins, faites-moi une démonstration, pour que je me fasse une idée !
Elle décide de partir, mais l'homme qui avait jailli de dernière les fourrés, refait son apparition. Il s'approche de Jeannette, le bougre à la queue à la main et la redonne à sucer à La femme. Sans chercher à comprendre, elle saisit la queue et la suce comme une affamée. Le mec à chaque succion sur son gland gémit. Jeannette lève les yeux vers lui et en recrachant le gland lui :
-Décharge-moi dans la bouche mon salaud !
Elle reprend l'engin en bouche et s'active comme une forcenée. L'homme pousse un long râle et envoie la récompense à la suceuse bénévole. Amélie comprend que la femme vient à cet endroit pour assouvir ses délires sexuels. L'homme ne repart pas, il lui arrache la culotte et prend place entre les cuisses de jeannette qui dit :
-Oui, baise-moi, fort, baise-moi !
Le type enfonce dans le ventre de la demandeuse sa queue gluante. Il démonte Jeannette comme un soudard. Ses coups de reins sont terribles, l'homme se révèle une vraie brute. Tout en pilonnant rageusement la chatte de Jeannette, il lui étire les mamelons, les écrase. Jeannette souffle comme un dragon, mais, ne repousse pas son baiseur, au contraire, elle s'accroche à lui en agitant son bassin en gueulant :
-Oui, oui, fais-moi mal, vas-y, vas-y !
Amélie a les yeux écarquillés, trop occupée de regarder le couple en pleine action, elle n'a pas vu arriver Olga et Marc. Qui, souriants, prennent place à côté d'elle. Ils se saluent, Olga, en maillot de bain, dit en riant :
-Alors la petite dame revient aux sources de l'excitation, je suis sûre qu'elle mouille !
Et sans gêne plaque sa main sur le bas ventre d'Amélie. Qui ne réagit même pas tellement elle est surprise. En effet, sa culotte est humide. Amélie rougit comme une pivoine, Olga laisse sa main sur le bas-ventre d'Amélie. Marc dit en regardant Jeannette :
-Oh la vache qu'est-ce qu'elle prend, elle vient chaque jour prendre sa giclée la salope, et toi, tu viens souvent te rincer l'œil !
Amélie en béguant, surtout très gênée répond :
-Non, c'est la deuxième fois que je viens ici !
Marc réplique :
-Nous c'est pratiquement tous les jours. Ici, tu vois des trucs exceptionnels, quelques fois, on participe, comme Olga hier avec Jeannette !
Olga au travers du maillot caresse la fente qui s'humidifie de plus en plus. Elle regarde Amélie et lui dit :
-Tu aimes ce que je te fais !
Amélie en soupirant répond :
-Ce n'est pas désagréable !
Olga ajoute :
- Je n'en doute pas une seconde, excitée comme tu l'es, tu aimerais sucer la bite de mon mari !
Avant qu'elle réponde, Marc baisse brusquement son short, sa queue déjà raide, se dresse d'un coup sur son bas-ventre, et oscille comme un métronome. Amélie reste sans voix, ses yeux ne quittent pas la verge de bonne taille, que Marc agite fièrement. Pendant ce temps, Olga continue avec douceur de caresser la fente aux lèvres extrêmement gonflées. Elle appuie doucement, le fin tissu s'insère dans le sillon, l'effet est immédiat, les lèvres gonflées, déforment le tissu. Olga appuie sur la boule de chair qui harangue les grandes lèvres.
Amélie pousse de nombreux soupirs, ses yeux s'embuent. Marc approche
son engin décalotté de la bouche d'Amélie, elle pince ses lèvres en serrant aussi les dents. Olga, lui dit avec une voix mielleuse :
-Suce-la m'a chéri, c'est si bon, ne te prive pas de ce plaisir, d'ailleurs, tu en as envie !
Timidement, Amélie prend en main la verge fortement veinée, l'observe un moment. Olga insiste :
-Suce ma chérie, suce-la, elle est si bonne !
Après un long moment d'hésitation, elle ouvre la bouche, sort doucement sa langue et la pose sur le gland.
Timidement, elle la passe lentement sur le chapeau marbré, et sans décoller la langue du gland, elle en fait le tour en la frottant bien sûr le frein.
Marc serre les dents, Amélie lape les perles de rosées qui s'échappent du méat qui ne cesse de suinter. Enfin Amélie gobe le gland, elle se met à le sucer et le téter en prenant de plus en plus d'assurance. Les succions puissantes qu'elle applique sur la boule de chair, font geindre Marc. Pendant qu'elle suce, Olga continue de jouer avec sa vulve. Amélie laisse échapper son jus, son maillot est trempé.
Plus Olga lui caresse la chatte, plus Amélie s'acharne sur la queue de Marc. Soudain en poussant un gémissement rauque. Marc ne peut retenir sa décharge. Amélie manque d'étouffer tellement c'est violent et abondant. Elle repousse brusquement Marc. Ses yeux sont remplis de larmes, elle se pince les lèvres, d'où un filet de sperme s'échappe à la commissure. Olga demande comme une prière :
-Avale, ma chérie, avale !
Amélie garde un moment en bouche la semence. Olga insiste tellement qu'elle finit par avaler. La crème onctueuse qui descend lentement dans sa gorge, à un goût suave. D'habitude, Amélie n'avalait jamais le sperme. Mais pour une fois, elle l'a fait. Elle s'essuie les lèvres d'un revers de la main, en regardant Olga qui lui dit en souriant :
-Maintenant, c'est à ton tour de prendre du plaisir ma chérie !
Mais des cris les attirent, Jeannette et prise en sandwich par deux hommes. Elle s'agite sur les bites comme une diablesse, pendant que son mari encourage les deux amants :
-Oui, bourrez-la bien à fond, toi éclate lui la chatte plus fort, tu la chatouilles là. Toi, éclate-lui le cul, enfonce ta bite jusqu'aux couilles, je veux l'entendre hurler !
Les bites s'activent avec acharnement dans les orifices de Jeannette qui ne cesse de geindre. La coquine jouit plusieurs fois, mais elle en redemande en agitant comme une forcenée son bassin. Le trio regarde Jeannette qui subit avec bonheur les assauts féroces des deux types. Amélie et Olga se regardent, leurs yeux brillent. Olga demande :
-Retirons nos maillots ma chérie, J'ai trop envie de toi !
Amélie vient de faire un effort pour faire la fellation. Mais elle ne veut pas se donner en spectacle, elle refuse la proposition d'Olga. Effectivement, un attroupement, c'est formé autour de jeannette. Olga se pince les lèvres et dit :
-Mais ici, c'est comme cela que ça se passe ma chérie !
Amélie secoue la tête pour dire non. Olga insiste, mais la réponse est la même. Marc comprend Amélie, et dit :
-Allons chez-nous, ce n'est pas loin, là au moins, nous serons cachés !
Amélie hésite, mais Olga est si persuasive qu'elle finit par accepter. Amélie récupère ses vêtements et suis Olga et son mari. Le trajet est court, le couple habite dans une petite maison presque isolée. Une fois à l'intérieur, pendant que Marc sert une boisson, Olga fait visiter les lieux. La maison n'est pas grande, la visite est rapide. Une fois au salon, les trois discutent comme de vieux amis en trinquant. Elle apprend qu'Olga et Marc, souvent, participent à des orgies, rien ne leur fait peur. Leurs jeux vont jusqu'à l'extrême du raisonnable, elle donne quelques détails.
Amélie, émoustillée, veut en savoir plus sur les pratiques sexuelles du couple. Olga, en souriant, la prend par la main et lui dit :
-Je vais te montrer notre donjon, ma chérie, notre salle de jeu !
Elle l'emmène dans une pièce qu'Olga ne lui a pas fait visiter. Ce qu'elle voit la laisse sans voix. Tout est fait pour les plaisirs sexuels les plus hardes. Des godes de tous diamètres et de longueurs plus que redoutables, sont alignés sur une étagère. Des pinces à clito et mamelons trainent sur une petite table, parmi des boules de geisha, et d'œufs vibrants.
Une croix de saint-André et dressée au centre de la pièce. Non loin, un cheval d'arçon muni de godes monstrueux interchangeables, télé commandés. Un banc matelassé sans dossiers et doté à chaque pied de menottes. Au plafond, une poulie permet de suspendre les acteurs masochistes, pour des sévices consentis. Enfin, au mur, une panoplie d'objets frappants, fouet, martinet, badine en bambou, lanière de cuir, la totale.
Amélie ne sait où regarder, Olga lui présente un gode comparable à une vraie bite, mais en beaucoup plus gros. Amélie la triture longuement pour en connaitre la texture. Les yeux d'Amélie brillent, elle déglutit bruyamment, en poussant de nombreux soupirs. Olga l'enlace et lui murmure à l'oreille :
-Tu veux en essayer quelques-uns ma chérie, c'est très jouissif, tu sais, tu ne seras pas déçue, Jeannette, à chaque fois qu'elle vient, elle ne sait plus repartir !
Amélie sursaute :
-Ah Jeannette vient ici, avec son mari !
Marc répond :
-Oh, il n'y a pas qu'eux, même des notables viennent jouer ici !
Amélie repose le gode effrayant, et répond :
-Je ne suis pas sûre de pouvoir supporter de tels engins, faites-moi une démonstration, pour que je me fasse une idée !
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci à vous, lecteurs et lectrices, pour vos commentaires encourageants.
Amélie fait de rapides progrès, grâce à Olga; mon homonyme!
Je dois témoigner, C'est la première fois que je viens sur ce site. Je viens de lire plusieurs récits de cette auteure, ils m'ont fait vibrer comme jamais, j'en attends d'autres avec impatience, merci à elle.
Gisèle de Belgique
Gisèle de Belgique
J'en ai mal le poignet encore, encore Linsee
Super très excitant bravo.
Et moi, veuf depuis longtemps, malgré mon âge comme DAB je me masturbe
Marcel
Marcel
Génial, nous adorons ce récit. Excitation extrême, obligation de faire l'amour, merci Linsee
Francie et Luc
Francie et Luc
Voilà, j'ai encore mouillé ma culotte
Élise
Élise
Je suis certaine, que les deux femmes vont bien se faire démonter
Marie
Marie
Ouah terrible.
Roger de l'Oise
Roger de l'Oise