La clef USB (10)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La clef USB (10)
C’est elle qui a eu l’idée. Qui le lui a proposé.
-Tu sais, pour la vidéo de l’autre jour avec Damien.
-Oui. Eh bien ?
-Ce qu’on pourrait, c’est la regarder chacun de notre côté. Toi ici, dans le séjour. Et moi, dans la chambre, à côté. Et ça, tout en se parlant au téléphone.
-Et pourquoi pas ? Ça aurait aussi son charme. Beaucoup de charme.
Aussitôt dit, aussitôt fait.
On s’est séparés.
-T’es prêt ?
-Oui. Toi aussi ?
Et elle a été à l’écran.
-Comment tu te défrusques ! T’y mets une conviction ! Ça pressait, hein !
C’était pas de coucher avec Damien qui pressait, non. C’était qu’Antoine la regarde coucher avec Damien. Et qu’il la filme en train de le faire. Nuance. Mais elle n’a rien dit.
-Et comment tu te jettes sur sa queue ! Une vraie meurt-de-faim.
Cette voix qu’il avait ! Chaude. Envoûtante.
-Ah, tu la savoures, hein ! Faut reconnaître aussi qu’elle est pas mal du tout. Normal que t’apprécies.
De tout près on la voyait. Avec sa langue dessus. Avec ses lèvres qui l’emprisonnaient.
-Non, mais regardez-moi cette suceuse !
C’était excitant de l’entendre. C’était excitant de se voir faire. Très.
-Ah, ça y est ! Tu te l’enfiles.
Oh, oui ! Qu’ils soient cochons, ses mots. Le plus cochon possible.
-Tu adores, hein ? Avoue !
Oh, oui, elle adorait, oui.
En attendant, quel spectacle tu lui offrais, juchée sur Damien, avec tes fesses qui s’ouvraient et se refermaient en cadence. Il a le nez sur tout ça. Sur ta chatte. Sur la queue que tu y as engloutie. Sur son petit trou froncé. De tout près. D’on ne peut plus près.
Tu es obscène, Christina. Femelle lubrique. Dévergondée.
Oui, mais comment c’est bon !
Il a respiré plus vite. Plus profond. Il se branlait. Elle en était sûre : il se branlait.
-Tu te le fais ?
-Je me le fais.
Dans un souffle.
Elle aussi. Elle aussi envie. Elle s’est effleurée. Du bout des doigts. Et elle l’a imaginé. Sa main bien refermée sur lui. Sans la quitter un seul instant des yeux. Son va-et-vient. Son bout tout gonflé. Découvert. Recouvert. Découvert. Lentement d’abord. Et puis…Il a voulu savoir.
-Toi aussi ?
-Moi aussi, oui.
Elle aussi. Son bouton. Pressé. Tourbillonné. Délicieusement torturé.
Sur l’écran, son cou. Ses cheveux. Son visage. Et ses seins. Ses seins qui ballottaient furieusement tandis qu’elle s’emballait, qu’elle s’envolait vers son plaisir. Ses seins sur lesquels la caméra s’est obstinément attardée. Avec complaisance. Avant de venir se poser sur ses yeux. Bon. Trop bon. Ses yeux. Ses doigts en elle. Ses yeux.
-Oh, Antoine !
Et elle a joui. En se regardant jouir.
En même temps que lui qu’elle a doucement entendu geindre dans le séjour.
Quand elle l’a rejoint, il était toujours sur le canapé. Tout nu.
Il lui a souri.
-C’était bon, hein ?
-Oh, oui, alors !
Elle est venue s’asseoir à ses côtés.
-Et si on recommençait ?
-Hein ? Là ? Tout de suite ? Maintenant ?
-Maintenant, oui ! Et je te filmerais pendant que tu te le ferais.
-Ben oui, mais…-Mais quoi ? Me dis pas qu’à ton âge, t’es pas capable de remettre aussi sec le couvert ?
-Non, c’est pas ça. C’est que…-Il te faudra plus de temps pour arriver à tes fins. Tant mieux ! Ça m’arrange. Plus ce sera long et mieux ce sera.
Elle a remis la vidéo au début. Et la caméra en marche.
-Allez ! Action !
Une caméra qu’elle lui a longuement fait courir dessus. Ses yeux. Ses lèvres. Son torse. Son ventre. Sa queue. Encore toute plissée. Toute rabougrie. Elle ne s’y est pas attardée. Ses cuisses. Ses mollets. Ses chevilles. Elle est remontée. Sur l’écran, elle s’est mise à chevaucher Damien. Il l’a fixée. Et c’est monté. Ça a pris son essor. Ça a grimpé. Grimpé encore. Il a refermé la main dessus. Et il s’est branlé. Lentement. Vite. De plus en plus vite. Ça a tressauté. Ça a giclé. C’est retombé.
* * *
Elle s’est encore relevée. Au cœur de la nuit. Pour le regarder avoir son plaisir en la regardant. Se répandre. C’est pour toi, Christina ! Pour toi ! Non, mais tu te rends compte ? Pour toi !
Au petit matin aussi.
Tu es folle ! Complètement folle.
Oh, mais encore une fois ! Juste une fois !
Quand il a appelé, à neuf heures, elle était toujours penchée dessus.
-Qu’est-ce tu fais de beau ?
-Rien ! Rien de spécial.
-Ah, ben ça tombe bien alors ! Parce que j’ai quelque chose à te proposer.
-C’est quoi ?
-Un petit jeu. On va à l’hôtel. Un hôtel que je connais. En face d’un grand immeuble. On y prend deux chambres. Dans l’une, t’assures le spectacle. Et moi, dans l’autre, je regarde comment ça réagit aux fenêtres de l’autre côté. Et ensuite, je te fais mon rapport. Circonstancié.
-Exactement comme ça se passait avec Melissa, quand on était jeunes, alors !
-Voilà, oui. Ça te tente pas ?
-Oh, si ! Si ! Bien sûr que si ! D’autant que ce serait avec toi. Mais… il est où cet hôtel ?
-Loin. T’inquiète pas ! Plus de cent kilomètres. Alors les probabilités pour qu’on tombe sur quelqu’un qu’on connaît, elles sont pratiquement nulles.
-Et tu voudrais y aller quand ?
-Je sais pas. Le plus tôt possible. Maintenant, si ça te convient.
-C’est pas que ça me convient pas, c’est que c’est pas forcément une bonne idée. Parce qu’on y sera vers quelle heure ?
-Midi. Peut-être un peu plus.
-Oui, mais à midi, les gens sont au boulot. Ou bien ils mangent. Ils savent, en plus, qu’à cette heure-là, il y a pas grand-chose à mater. C’est le soir, quand on se couche, ou le matin, quand on se lève, que ça vaut le coup. Le reste du temps, en général, il y a pas mèche.
-On sent la spécialiste. Et donc, tu proposes quoi ?
-Qu’on attende le week-end prochain.
-Le week-end ? Hein ? Mais Kevin ?
-Oh, Kevin ! Il a pris des responsabilités, comme il dit, dans l’équipe de rugby locale. Il jure plus que par ça. Et, dimanche prochain, ils vont jouer je sais plus trop où. Loin en tout cas. Un match soi-disant capital. Ils arriveront la veille. Et dormiront sur place. Histoire que les joueurs soient bien reposés. Et en pleine forme. Du coup je suis complètement libre de mes mouvements.
-Marché conclu alors ?
-Marché conclu.
-Ça va être long jusqu’à dimanche.
-On trouvera bien à s’occuper.
-Oh, toi, t’aurais une idée derrière la tête !
-Peut-être…-Et on peut savoir ?
Elle s’est lancée. Au point où ils en étaient maintenant.
-J’ai beaucoup aimé la vidéo que j’ai faite de toi hier.
-Et tu voudrais en refaire une.
-Voilà, oui ! Sauf que, cette fois, c’est moi qui te le donnerais ton plaisir. Avec mes doigts.
-J’ai rien contre. Rien du tout.
-Oui, oh, ben ça ! Évidemment !
-La seule chose, c’est que, vu qu’on sera tous les deux bien occupés, il y aura personne pour tenir la caméra du coup. Elle sera fixe. Et ça, c’est pas le top.
-Je sais, oui. On en a assez parlé.
-On pourrait peut-être demander à Damien. Après tout, ce serait jamais qu’un prêté pour un rendu.
-Damien ! N’y pense même pas ! Il me ferait une de ces vies. Qu’il le savait qu’on fricotait tous les deux derrière son dos. Pas étonnant que j’aie plus envie de lui. Et depuis combien de temps ça durait, notre petite comédie, hein ? Depuis combien de temps ?
-Ta copine Melissa ?
-Oui, oh, alors là, elle, elle se ferait sûrement pas prier. Au contraire. Elle serait ravie de se rincer l’œil. Suffit que je l’appelle.
-Eh, ben, allez !
-Je le ferai ce soir. Quand elle sera rentrée du boulot.
-Vous vous entendez comme larronnes en foire, hein, toutes les deux !
‒Ah, ça ! On n’a pas de secrets l’une pour l’autre. On n’en a jamais eu.
-Ce qui veut dire que tu lui as parlé de moi.
-Oh, pas seulement ! De toi, oui ! Mais aussi de Kevin. De Damien. Et de plein d’autres choses. Il y a pas que les mecs, hein, dans la vie.
-Et elle en pense quoi ?
-De toi ? Qu’est-ce tu veux qu’elle en pense ? Elle t’a jamais vu. Par contre, ce qu’elle croit, c’est qu’inconsciemment j’ai fait exprès de te donner la mauvaise clef USB. Parce que je crevais d’ennui dans ma vie. Et qu’il fallait absolument qu’il s’y passe quelque chose. N’importe quoi, mais quelque chose.
-Tu sais, pour la vidéo de l’autre jour avec Damien.
-Oui. Eh bien ?
-Ce qu’on pourrait, c’est la regarder chacun de notre côté. Toi ici, dans le séjour. Et moi, dans la chambre, à côté. Et ça, tout en se parlant au téléphone.
-Et pourquoi pas ? Ça aurait aussi son charme. Beaucoup de charme.
Aussitôt dit, aussitôt fait.
On s’est séparés.
-T’es prêt ?
-Oui. Toi aussi ?
Et elle a été à l’écran.
-Comment tu te défrusques ! T’y mets une conviction ! Ça pressait, hein !
C’était pas de coucher avec Damien qui pressait, non. C’était qu’Antoine la regarde coucher avec Damien. Et qu’il la filme en train de le faire. Nuance. Mais elle n’a rien dit.
-Et comment tu te jettes sur sa queue ! Une vraie meurt-de-faim.
Cette voix qu’il avait ! Chaude. Envoûtante.
-Ah, tu la savoures, hein ! Faut reconnaître aussi qu’elle est pas mal du tout. Normal que t’apprécies.
De tout près on la voyait. Avec sa langue dessus. Avec ses lèvres qui l’emprisonnaient.
-Non, mais regardez-moi cette suceuse !
C’était excitant de l’entendre. C’était excitant de se voir faire. Très.
-Ah, ça y est ! Tu te l’enfiles.
Oh, oui ! Qu’ils soient cochons, ses mots. Le plus cochon possible.
-Tu adores, hein ? Avoue !
Oh, oui, elle adorait, oui.
En attendant, quel spectacle tu lui offrais, juchée sur Damien, avec tes fesses qui s’ouvraient et se refermaient en cadence. Il a le nez sur tout ça. Sur ta chatte. Sur la queue que tu y as engloutie. Sur son petit trou froncé. De tout près. D’on ne peut plus près.
Tu es obscène, Christina. Femelle lubrique. Dévergondée.
Oui, mais comment c’est bon !
Il a respiré plus vite. Plus profond. Il se branlait. Elle en était sûre : il se branlait.
-Tu te le fais ?
-Je me le fais.
Dans un souffle.
Elle aussi. Elle aussi envie. Elle s’est effleurée. Du bout des doigts. Et elle l’a imaginé. Sa main bien refermée sur lui. Sans la quitter un seul instant des yeux. Son va-et-vient. Son bout tout gonflé. Découvert. Recouvert. Découvert. Lentement d’abord. Et puis…Il a voulu savoir.
-Toi aussi ?
-Moi aussi, oui.
Elle aussi. Son bouton. Pressé. Tourbillonné. Délicieusement torturé.
Sur l’écran, son cou. Ses cheveux. Son visage. Et ses seins. Ses seins qui ballottaient furieusement tandis qu’elle s’emballait, qu’elle s’envolait vers son plaisir. Ses seins sur lesquels la caméra s’est obstinément attardée. Avec complaisance. Avant de venir se poser sur ses yeux. Bon. Trop bon. Ses yeux. Ses doigts en elle. Ses yeux.
-Oh, Antoine !
Et elle a joui. En se regardant jouir.
En même temps que lui qu’elle a doucement entendu geindre dans le séjour.
Quand elle l’a rejoint, il était toujours sur le canapé. Tout nu.
Il lui a souri.
-C’était bon, hein ?
-Oh, oui, alors !
Elle est venue s’asseoir à ses côtés.
-Et si on recommençait ?
-Hein ? Là ? Tout de suite ? Maintenant ?
-Maintenant, oui ! Et je te filmerais pendant que tu te le ferais.
-Ben oui, mais…-Mais quoi ? Me dis pas qu’à ton âge, t’es pas capable de remettre aussi sec le couvert ?
-Non, c’est pas ça. C’est que…-Il te faudra plus de temps pour arriver à tes fins. Tant mieux ! Ça m’arrange. Plus ce sera long et mieux ce sera.
Elle a remis la vidéo au début. Et la caméra en marche.
-Allez ! Action !
Une caméra qu’elle lui a longuement fait courir dessus. Ses yeux. Ses lèvres. Son torse. Son ventre. Sa queue. Encore toute plissée. Toute rabougrie. Elle ne s’y est pas attardée. Ses cuisses. Ses mollets. Ses chevilles. Elle est remontée. Sur l’écran, elle s’est mise à chevaucher Damien. Il l’a fixée. Et c’est monté. Ça a pris son essor. Ça a grimpé. Grimpé encore. Il a refermé la main dessus. Et il s’est branlé. Lentement. Vite. De plus en plus vite. Ça a tressauté. Ça a giclé. C’est retombé.
* * *
Elle s’est encore relevée. Au cœur de la nuit. Pour le regarder avoir son plaisir en la regardant. Se répandre. C’est pour toi, Christina ! Pour toi ! Non, mais tu te rends compte ? Pour toi !
Au petit matin aussi.
Tu es folle ! Complètement folle.
Oh, mais encore une fois ! Juste une fois !
Quand il a appelé, à neuf heures, elle était toujours penchée dessus.
-Qu’est-ce tu fais de beau ?
-Rien ! Rien de spécial.
-Ah, ben ça tombe bien alors ! Parce que j’ai quelque chose à te proposer.
-C’est quoi ?
-Un petit jeu. On va à l’hôtel. Un hôtel que je connais. En face d’un grand immeuble. On y prend deux chambres. Dans l’une, t’assures le spectacle. Et moi, dans l’autre, je regarde comment ça réagit aux fenêtres de l’autre côté. Et ensuite, je te fais mon rapport. Circonstancié.
-Exactement comme ça se passait avec Melissa, quand on était jeunes, alors !
-Voilà, oui. Ça te tente pas ?
-Oh, si ! Si ! Bien sûr que si ! D’autant que ce serait avec toi. Mais… il est où cet hôtel ?
-Loin. T’inquiète pas ! Plus de cent kilomètres. Alors les probabilités pour qu’on tombe sur quelqu’un qu’on connaît, elles sont pratiquement nulles.
-Et tu voudrais y aller quand ?
-Je sais pas. Le plus tôt possible. Maintenant, si ça te convient.
-C’est pas que ça me convient pas, c’est que c’est pas forcément une bonne idée. Parce qu’on y sera vers quelle heure ?
-Midi. Peut-être un peu plus.
-Oui, mais à midi, les gens sont au boulot. Ou bien ils mangent. Ils savent, en plus, qu’à cette heure-là, il y a pas grand-chose à mater. C’est le soir, quand on se couche, ou le matin, quand on se lève, que ça vaut le coup. Le reste du temps, en général, il y a pas mèche.
-On sent la spécialiste. Et donc, tu proposes quoi ?
-Qu’on attende le week-end prochain.
-Le week-end ? Hein ? Mais Kevin ?
-Oh, Kevin ! Il a pris des responsabilités, comme il dit, dans l’équipe de rugby locale. Il jure plus que par ça. Et, dimanche prochain, ils vont jouer je sais plus trop où. Loin en tout cas. Un match soi-disant capital. Ils arriveront la veille. Et dormiront sur place. Histoire que les joueurs soient bien reposés. Et en pleine forme. Du coup je suis complètement libre de mes mouvements.
-Marché conclu alors ?
-Marché conclu.
-Ça va être long jusqu’à dimanche.
-On trouvera bien à s’occuper.
-Oh, toi, t’aurais une idée derrière la tête !
-Peut-être…-Et on peut savoir ?
Elle s’est lancée. Au point où ils en étaient maintenant.
-J’ai beaucoup aimé la vidéo que j’ai faite de toi hier.
-Et tu voudrais en refaire une.
-Voilà, oui ! Sauf que, cette fois, c’est moi qui te le donnerais ton plaisir. Avec mes doigts.
-J’ai rien contre. Rien du tout.
-Oui, oh, ben ça ! Évidemment !
-La seule chose, c’est que, vu qu’on sera tous les deux bien occupés, il y aura personne pour tenir la caméra du coup. Elle sera fixe. Et ça, c’est pas le top.
-Je sais, oui. On en a assez parlé.
-On pourrait peut-être demander à Damien. Après tout, ce serait jamais qu’un prêté pour un rendu.
-Damien ! N’y pense même pas ! Il me ferait une de ces vies. Qu’il le savait qu’on fricotait tous les deux derrière son dos. Pas étonnant que j’aie plus envie de lui. Et depuis combien de temps ça durait, notre petite comédie, hein ? Depuis combien de temps ?
-Ta copine Melissa ?
-Oui, oh, alors là, elle, elle se ferait sûrement pas prier. Au contraire. Elle serait ravie de se rincer l’œil. Suffit que je l’appelle.
-Eh, ben, allez !
-Je le ferai ce soir. Quand elle sera rentrée du boulot.
-Vous vous entendez comme larronnes en foire, hein, toutes les deux !
‒Ah, ça ! On n’a pas de secrets l’une pour l’autre. On n’en a jamais eu.
-Ce qui veut dire que tu lui as parlé de moi.
-Oh, pas seulement ! De toi, oui ! Mais aussi de Kevin. De Damien. Et de plein d’autres choses. Il y a pas que les mecs, hein, dans la vie.
-Et elle en pense quoi ?
-De toi ? Qu’est-ce tu veux qu’elle en pense ? Elle t’a jamais vu. Par contre, ce qu’elle croit, c’est qu’inconsciemment j’ai fait exprès de te donner la mauvaise clef USB. Parce que je crevais d’ennui dans ma vie. Et qu’il fallait absolument qu’il s’y passe quelque chose. N’importe quoi, mais quelque chose.
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