La clef USB (13)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La clef USB (13)
Melissa a tout juste laissé le temps à Antoine d’arriver.
- Bon, allez, on attaque ?
- Faut que je fasse quoi ?
- Ben, que tu te désapes, tiens ! Comment tu veux que j’y arrive sinon ?
Il a jeté un coup d’œil un peu inquiet sur tout le matériel qu’elle avait déposé sur la crédence à l’entrée du séjour.
- Ça en fait du bazar !
- T’inquiète ! T’inquiète ! Ça va bien se passer. Je maîtrise.
Elle l’a regardé se déshabiller.
- Là ! Et maintenant, tu t’allonges.
Sur la grande table. Qu’il a escaladée. Sur laquelle il s’est installé, mains sous la tête.
- Alors première opération, on met tout ça à nu. On rase. Tu veux t’en occuper, Christina ?
- Non ! Vas-y, toi ! T’as plus l’habitude que moi.
- Ah, ça, c’est sûr ! C’est mon vingt-troisième, lui, là.
- Vingt-trois ! Tu chômes pas, dis donc !
- Ben oui, mais qu’est-ce tu veux ! Je commence à avoir ma petite notoriété. Chez les nanas aussi maintenant. T’en as tout un tas qui veulent que je la leur moule, la queue de leur mec. Pour quand il est absent. Ou qu’il est pas en forme. Ou qu’il vient trop vite. Il peut y en avoir plein des raisons. Sans compter celles qui veulent que je la leur duplique en pagaille et qui la distribuent généreusement autour d’elles. Pour se vanter. Ou pour dépanner des copines en état de manque. Dans tous les cas de figure, ça fait des heureuses.
- Toi, entre autres !
- Ah, pour ça, oui ! Je suis idéalement placée, attends ! Puisque c’est moi qu’opère. Qui ai tout un cheptel de mâles à ma disposition du coup. Et j’en profiterais pas ? Faudrait vraiment que je sois la dernière des connes. Non. Le plus dur souvent, tu sais ce que c’est ? Ben, c’est de me décider. Quand t’as l’embarras du choix comme ça ! J’hésite… J’hésite… Et, au bout du compte, c’est presque toujours, sauf exception rarissime, aux cinq ou six mêmes que je reviens. J’ai mes petites habitudes, qu’est-ce tu veux ! Mes préférées. Soit parce que la façon dont elles sont conformées me convient tout particulièrement soit parce que le type qu’il y avait au bout de la queue, quand j’en ai pris l’empreinte, était tout particulièrement séduisant. Dans tous les cas, c’est devant toutes les autres qu’elle entre en action. J’adore les avoir là, les autres, à regarder. Et à regretter de n’être pas à la place de l’heureuse élue. Bon, mais on parle, on parle… Et, pendant ce temps-là, ça n’avance pas. Allez, au boulot !
Elle s’est emparée des ciseaux. A approché la main de la queue d’Antoine. Qui a fait un de ces bonds.
Elle s’est esclaffée.
- Eh ben, dis donc ! Il t’en faut pas beaucoup. Qu’est-ce ce sera tout à l’heure !
Elle a enlevé le plus gros aux ciseaux. Et puis elle l’a enduit de crème dépilatoire. Elle a soulevé. Déplacé. Repoussé sur le côté. Et rasé. D’une main experte. Sûre d’elle.
La queue d’Antoine restait obstinément dressée. Elle s’est mise à palpiter doucement.
- Tu gicles pas, toi, hein ! Qu’elle reste bien gorgée pour le moulage. Qu’elle puisse donner sa pleine mesure ! N’oublie pas que c’est pour l’éternité que t’es en train de poser.
Un dernier petit coup d’œil.
- Bon, ben ça m’a l’air pas mal. Il y a plus qu’à…Il l’a regardée, l’air un peu inquiet, remplir le tube.
- Panique pas ! C’est un silicone spécialement étudié pour ce genre d’opérations.
Le mettre en place.
- Là ! Et maintenant il y a plus qu’à attendre que ça prenne. Et après, une fois qu’on aura la matrice… T’en voudras combien ?
- Hein ? Je sais pas, je…- Déjà, il y en a une pour moi. Tout travail mérite salaire. Non ?
- Si !
- Une pour Christina, ça s’impose !
Ça s’imposait, oui.
- Et une pour toi, évidemment ! Ce serait un comble. Et donc, on en est à trois. Mais s’il t’en faut d’autres, hésite pas, hein ! Ce sera de bon cœur.
Il a fait signe que non. Non, ce n’était pas nécessaire.
- Et tu vas en faire quoi de la tienne, si c’est pas indiscret ?
- Mais rien ! Rien du tout !
- Tu vas te contenter de la faire trôner à la place d’honneur, sur ta télé, dans ton salon ?
Il a ri.
- Quand même pas, non !
- Sinon, je peux te donner des idées, si tu veux.
Il a froncé les sourcils.
- Des idées ?
- Ben oui ! Oui. On n’est jamais mieux servi que par soi-même…Il n’a pas répondu.
* * *
- Coucou ! C’est moi.
Melissa.
- Je te pose ça où ?
- C’est quoi ?
- Ben, la queue d’Antoine, tiens ! Qu’est-ce tu veux que ce soit d’autre ?
- Mais… il y en a trois !
- Oh, ben, oui ! Oui. Une pour lui. Vaut mieux que ce soit toi qui la lui donnes. Et deux pour toi. Comme ça, quand tu t’en sentiras, tu pourras doubler la mise. Une devant et une derrière. En même temps. Je suis pas une bonne copine ? Cela étant, t’es pas obligée de lui dire, hein ! C’est toi qui vois. Par contre, tu sais ce que je me demande ? C’est ce qu’il va faire avec la sienne.
- Il y a pas douze mille utilisations possibles non plus…- Il y en a surtout une. Pratiquement qu’une. Encore faudrait-il qu’elle le tente. J’ai pas vraiment éveillé d’écho, hier soir, quand j’ai fait allusion à ça.
- Et une allusion appuyée.
- Tâte le terrain. Et essaie de pousser à la roue. Tu sais que c’est un truc, ça, moi, qui me met dans tous mes états. Et si tu y arrives, filme-le ! Filme-le ! Je t’en aurai une reconnaissance éternelle. Et même, ce qui serait encore mieux, c’est que ce soit moi qui filme. Que toi, tu la lui enfiles dedans et que moi, pendant ce temps-là, je m’occupe de la caméra.
- Tu mets la barre sacrément haut.
- Toujours ! Vous allez encore avoir besoin de mes services n’importe comment. Parce que, si j’ai bien compris, ce sont toutes les vidéos que tu as faites avec Damien qu’il va vouloir que tu refasses avec lui.
- Probable, oui !
- Une façon de l’effacer, Damien. De le gommer.
- J’avais pas pensé à ça, mais oui, il y a de ça, sûrement !
- À moins que…- Que quoi ?
- Que ce soit une façon, au contraire, de le partager avec toi.
- Mais tu sais que c’est pas idiot ce que tu dis là ?
- Ben, tiens ! Il y en a là-dedans, qu’est-ce tu crois ?
- Pas idiot du tout !
- Ce qu’il y a de sûr, en tout cas, c’est que, de quelque façon qu’on retourne la question, Damien est au cœur de ce que vous vivez, Antoine et toi. Là-dessus il y a pas photo. Parce que non seulement vous allez refaire, sous prétexte de les améliorer, sous l’œil on ne peut plus attentif d’Antoine, toutes les vidéos dont vous êtes, Damien et toi, les héros, mais, en plus, tout ce que t’as fait avec lui, il veut le refaire systématiquement avec toi. Se l’approprier. Copie conforme. Ça dit bien ce que ça veut dire, tout ça, non ?
- Vu sous cet angle…- Cela étant, à moi, tout ça me convient tout à fait. Parce que je compte bien utiliser mon statut de filmeuse officielle de vos ébats pour le convaincre, ton Antoine, d’ouvrir son petit cul. Quant à Damien, j’espère que tu auras à cœur de me ménager, d’une façon ou d’une autre, mes entrées auprès de lui. Que sa queue vienne enrichir ma collection. Je compte sur toi, hein !
Elle s’est dépêchée. Avant que Kevin rentre.
- Allô… Antoine ? C’est moi.
- Christina ! Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce qu’il se passe ? Rien de grave, j’espère !
- Non, non ! C’est juste que j’avais envie de te parler. De t’entendre.
- C’est gentil ! Et c’est la première fois.
- La première fois ?
- Que tu m’appelles. D’habitude, c’est toujours moi.
Elle a éludé.
- Tu fais quoi ?
- Là ? En ce moment ? Rien de spécial. Et toi ?
- Devine !
- Je sais pas, moi ! Comment tu veux que je sache ?
- Je te caresse. Je caresse ta queue. Le moulage de ta queue.
- Et tu ne vas pas t’en tenir là, j’imagine !
- C’est pas l’envie qui m’en manque, mais si ! Je vais attendre. Je vais t’attendre. Parce que je voudrais que tu sois là, avec moi, la première fois. Mais après, pour la suite, je réponds plus de rien.
- Bon, allez, on attaque ?
- Faut que je fasse quoi ?
- Ben, que tu te désapes, tiens ! Comment tu veux que j’y arrive sinon ?
Il a jeté un coup d’œil un peu inquiet sur tout le matériel qu’elle avait déposé sur la crédence à l’entrée du séjour.
- Ça en fait du bazar !
- T’inquiète ! T’inquiète ! Ça va bien se passer. Je maîtrise.
Elle l’a regardé se déshabiller.
- Là ! Et maintenant, tu t’allonges.
Sur la grande table. Qu’il a escaladée. Sur laquelle il s’est installé, mains sous la tête.
- Alors première opération, on met tout ça à nu. On rase. Tu veux t’en occuper, Christina ?
- Non ! Vas-y, toi ! T’as plus l’habitude que moi.
- Ah, ça, c’est sûr ! C’est mon vingt-troisième, lui, là.
- Vingt-trois ! Tu chômes pas, dis donc !
- Ben oui, mais qu’est-ce tu veux ! Je commence à avoir ma petite notoriété. Chez les nanas aussi maintenant. T’en as tout un tas qui veulent que je la leur moule, la queue de leur mec. Pour quand il est absent. Ou qu’il est pas en forme. Ou qu’il vient trop vite. Il peut y en avoir plein des raisons. Sans compter celles qui veulent que je la leur duplique en pagaille et qui la distribuent généreusement autour d’elles. Pour se vanter. Ou pour dépanner des copines en état de manque. Dans tous les cas de figure, ça fait des heureuses.
- Toi, entre autres !
- Ah, pour ça, oui ! Je suis idéalement placée, attends ! Puisque c’est moi qu’opère. Qui ai tout un cheptel de mâles à ma disposition du coup. Et j’en profiterais pas ? Faudrait vraiment que je sois la dernière des connes. Non. Le plus dur souvent, tu sais ce que c’est ? Ben, c’est de me décider. Quand t’as l’embarras du choix comme ça ! J’hésite… J’hésite… Et, au bout du compte, c’est presque toujours, sauf exception rarissime, aux cinq ou six mêmes que je reviens. J’ai mes petites habitudes, qu’est-ce tu veux ! Mes préférées. Soit parce que la façon dont elles sont conformées me convient tout particulièrement soit parce que le type qu’il y avait au bout de la queue, quand j’en ai pris l’empreinte, était tout particulièrement séduisant. Dans tous les cas, c’est devant toutes les autres qu’elle entre en action. J’adore les avoir là, les autres, à regarder. Et à regretter de n’être pas à la place de l’heureuse élue. Bon, mais on parle, on parle… Et, pendant ce temps-là, ça n’avance pas. Allez, au boulot !
Elle s’est emparée des ciseaux. A approché la main de la queue d’Antoine. Qui a fait un de ces bonds.
Elle s’est esclaffée.
- Eh ben, dis donc ! Il t’en faut pas beaucoup. Qu’est-ce ce sera tout à l’heure !
Elle a enlevé le plus gros aux ciseaux. Et puis elle l’a enduit de crème dépilatoire. Elle a soulevé. Déplacé. Repoussé sur le côté. Et rasé. D’une main experte. Sûre d’elle.
La queue d’Antoine restait obstinément dressée. Elle s’est mise à palpiter doucement.
- Tu gicles pas, toi, hein ! Qu’elle reste bien gorgée pour le moulage. Qu’elle puisse donner sa pleine mesure ! N’oublie pas que c’est pour l’éternité que t’es en train de poser.
Un dernier petit coup d’œil.
- Bon, ben ça m’a l’air pas mal. Il y a plus qu’à…Il l’a regardée, l’air un peu inquiet, remplir le tube.
- Panique pas ! C’est un silicone spécialement étudié pour ce genre d’opérations.
Le mettre en place.
- Là ! Et maintenant il y a plus qu’à attendre que ça prenne. Et après, une fois qu’on aura la matrice… T’en voudras combien ?
- Hein ? Je sais pas, je…- Déjà, il y en a une pour moi. Tout travail mérite salaire. Non ?
- Si !
- Une pour Christina, ça s’impose !
Ça s’imposait, oui.
- Et une pour toi, évidemment ! Ce serait un comble. Et donc, on en est à trois. Mais s’il t’en faut d’autres, hésite pas, hein ! Ce sera de bon cœur.
Il a fait signe que non. Non, ce n’était pas nécessaire.
- Et tu vas en faire quoi de la tienne, si c’est pas indiscret ?
- Mais rien ! Rien du tout !
- Tu vas te contenter de la faire trôner à la place d’honneur, sur ta télé, dans ton salon ?
Il a ri.
- Quand même pas, non !
- Sinon, je peux te donner des idées, si tu veux.
Il a froncé les sourcils.
- Des idées ?
- Ben oui ! Oui. On n’est jamais mieux servi que par soi-même…Il n’a pas répondu.
* * *
- Coucou ! C’est moi.
Melissa.
- Je te pose ça où ?
- C’est quoi ?
- Ben, la queue d’Antoine, tiens ! Qu’est-ce tu veux que ce soit d’autre ?
- Mais… il y en a trois !
- Oh, ben, oui ! Oui. Une pour lui. Vaut mieux que ce soit toi qui la lui donnes. Et deux pour toi. Comme ça, quand tu t’en sentiras, tu pourras doubler la mise. Une devant et une derrière. En même temps. Je suis pas une bonne copine ? Cela étant, t’es pas obligée de lui dire, hein ! C’est toi qui vois. Par contre, tu sais ce que je me demande ? C’est ce qu’il va faire avec la sienne.
- Il y a pas douze mille utilisations possibles non plus…- Il y en a surtout une. Pratiquement qu’une. Encore faudrait-il qu’elle le tente. J’ai pas vraiment éveillé d’écho, hier soir, quand j’ai fait allusion à ça.
- Et une allusion appuyée.
- Tâte le terrain. Et essaie de pousser à la roue. Tu sais que c’est un truc, ça, moi, qui me met dans tous mes états. Et si tu y arrives, filme-le ! Filme-le ! Je t’en aurai une reconnaissance éternelle. Et même, ce qui serait encore mieux, c’est que ce soit moi qui filme. Que toi, tu la lui enfiles dedans et que moi, pendant ce temps-là, je m’occupe de la caméra.
- Tu mets la barre sacrément haut.
- Toujours ! Vous allez encore avoir besoin de mes services n’importe comment. Parce que, si j’ai bien compris, ce sont toutes les vidéos que tu as faites avec Damien qu’il va vouloir que tu refasses avec lui.
- Probable, oui !
- Une façon de l’effacer, Damien. De le gommer.
- J’avais pas pensé à ça, mais oui, il y a de ça, sûrement !
- À moins que…- Que quoi ?
- Que ce soit une façon, au contraire, de le partager avec toi.
- Mais tu sais que c’est pas idiot ce que tu dis là ?
- Ben, tiens ! Il y en a là-dedans, qu’est-ce tu crois ?
- Pas idiot du tout !
- Ce qu’il y a de sûr, en tout cas, c’est que, de quelque façon qu’on retourne la question, Damien est au cœur de ce que vous vivez, Antoine et toi. Là-dessus il y a pas photo. Parce que non seulement vous allez refaire, sous prétexte de les améliorer, sous l’œil on ne peut plus attentif d’Antoine, toutes les vidéos dont vous êtes, Damien et toi, les héros, mais, en plus, tout ce que t’as fait avec lui, il veut le refaire systématiquement avec toi. Se l’approprier. Copie conforme. Ça dit bien ce que ça veut dire, tout ça, non ?
- Vu sous cet angle…- Cela étant, à moi, tout ça me convient tout à fait. Parce que je compte bien utiliser mon statut de filmeuse officielle de vos ébats pour le convaincre, ton Antoine, d’ouvrir son petit cul. Quant à Damien, j’espère que tu auras à cœur de me ménager, d’une façon ou d’une autre, mes entrées auprès de lui. Que sa queue vienne enrichir ma collection. Je compte sur toi, hein !
Elle s’est dépêchée. Avant que Kevin rentre.
- Allô… Antoine ? C’est moi.
- Christina ! Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce qu’il se passe ? Rien de grave, j’espère !
- Non, non ! C’est juste que j’avais envie de te parler. De t’entendre.
- C’est gentil ! Et c’est la première fois.
- La première fois ?
- Que tu m’appelles. D’habitude, c’est toujours moi.
Elle a éludé.
- Tu fais quoi ?
- Là ? En ce moment ? Rien de spécial. Et toi ?
- Devine !
- Je sais pas, moi ! Comment tu veux que je sache ?
- Je te caresse. Je caresse ta queue. Le moulage de ta queue.
- Et tu ne vas pas t’en tenir là, j’imagine !
- C’est pas l’envie qui m’en manque, mais si ! Je vais attendre. Je vais t’attendre. Parce que je voudrais que tu sois là, avec moi, la première fois. Mais après, pour la suite, je réponds plus de rien.
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