La clef USB (14)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La clef USB (14)
Elle en était sûre. C’était couru. Il a été là à la première heure.
Tout juste lui a-t-elle laissé le temps d’entrer. Et elle lui a tendu le moulage de sa queue.
- Tiens, ton exemplaire…Il l’a tourné un peu dans tous les sens.
- Faut reconnaître… C’est très ressemblant.
Elle a éclaté de rire.
- Ah, ben ça, forcément !
- Un sacré phénomène, ta copine, n’empêche !
- C’est rien de le dire.
Il l’a encore tourné et retourné. Et puis il l’a posé sur la table devant lui.
- Et toi ? le tien ? Il est où ?
- Dans ma chambre.
Elle est allée le chercher.
- T’as pas tenu le coup, je suis sûr. C’était trop tentant.
- Non. Non. T’as tout faux. C’est pas l’envie qui m’en manquait, mais je t’avais promis. Et moi, quand j’ai promis, je tiens.
- Bon, mais maintenant…Oh, oui, maintenant, oui ! Comment elle avait envie !
- Bon, mais d’abord on va te mettre en condition.
Il a allumé la télé. Fait défiler le menu de la clef.
- La six ? Je l’ai jamais vue, la six.
- Oui, oh, ben, celle-là, elle est pas triste.
- Alors celle-là ! Ça s’impose.
Et, à l’écran, elle a été à quatre pattes sur la moquette, nue, les fesses offertes. Suppliante. Exigeante. « Viens, Damien, oh, viens ! Baise-moi ! »- Eh, ben dis donc !
Sa croupe a ondulé. Voulu le mâle. Imploré le mâle. « S’il te plaît, Damien ! Oh, s’il te plaît ! » Il a ri. « Ah, t’en es, hein ! » Une petite claque sur chacune de ses deux fesses qui se sont tendues plus fort vers lui. Qui se sont offertes à lui. Il l’a encore fait attendre. Obligée à mendier la saillie. « Ta queue ! Mets-la-moi, Damien ! Mets-la-moi ! Je t’en supplie ! » Il l’a pénétrée d’un coup. Et elle l’a accueilli avec un grondement d’intense satisfaction. « Oh, oui ! »Et de se voir. De se revoir. De s’entendre. « Pilonne-moi, Damien ! Pilonne-la-moi bien, ma chatte ! » c’était… c’était… Devant Antoine en plus ! Antoine dont les yeux étaient rivés à l’écran. Rivés à elle. Au spectacle obscène et échevelé qu’elle lui offrait. Antoine ! Qui s’est penché sur elle. Qui a chuchoté.
- T’es trempée, je suis sûr.
Trempée ? Elle ruisselait, oui.
Qui s’est penché plus près.
- Déshabille-toi !
Oh, oui ! Oui !
Elle l’a fait. Elle s’est dépiautée. Tout arraché. Tout enlevé. Et elle est retombée sur le canapé. Ses mains sur elle. Ses doigts en elle.
- Oh, Antoine ! Antoine !
- Christina…Le moulage de sa queue. Dont elle s’en est avidement emparée. Qu’elle a fait courir, haletante, le long de sa chatte. Sur son bouton.
Oui, mais pas comme ça.
Et elle s’est laissée tomber sur le tapis. Agenouillée. Prosternée. Comme sur l’écran. À côté de l’écran.
Antoine a soufflé.
- Oh, oui, pointe-le bien l’air, ton cul ! Encore ! Encore ! Oui. Comme ça !
Elle l’a remué. Balancé. Fait tournoyer. Ondoyer. Pour lui. Elle a gémi.
- Oh, Antoine ! Antoine ! Antoine !
Et elle s’est pénétrée. Avec son moulage-queue. Bien profond. Trop bon. Elle s’est refermée dessus.
Elle a hurlé.
- Tu es à moi. À moi !
Et elle s’est élancée, à grands coups de bassin, de plus en plus vite, de plus en plus haletante, à la conquête de son plaisir.
- Oh, c’est bon ! C’est bon ! C’est trop bon ! J’en peux plus, moi ! J’en peux plus !
Elle a hurlé.
- La vraie ! Je veux la vraie. La vivante. La tienne.
Qui est presque aussitôt venue se poser contre ses fesses. Bien dure. Bien gonflée. Battante.
- Mets-la-moi, Antoine ! Derrière. Dans mon cul ! Je la veux, elle aussi. Comme l’autre. En même temps.
Et il a été en elle. Il s’est rejoint en elle. Il a palpité en elle. Il y a giclé. Il s’y est répandu.
Et son plaisir à elle a déferlé. À grands cris éperdus.
* * *
Elle s’est réveillée en sursaut.
- Quelle heure il est ?
- Quatre heures. T’as le temps.
Elle était nue. Sur le canapé. Dans les bras d’Antoine. Qui l’était aussi.
- J’ai dormi.
- J’ai vu ça, oui !
- C’est ta faute. Tu m’as crevée.
- Tu regrettes ?
- Oh, non ! Non !
Elle a cherché sa queue. Qui a aussitôt fait un bond.
Elle a ri.
- Trois fois. Trois fois elle a eu ce qu’elle voulait, elle. Une fois derrière. Et deux fois devant. Et il lui en faudrait encore. Il est vraiment insatiable, ce truc…- Et pas toi, peut-être ?
- Ça dépend. Ça dépend avec qui.
Elle a joué avec. L’a décapuchonnée. En a lissé le bout.
- Si je m’étais imaginé, à Noël, l’an dernier, quand ça a commencé tout ça, qu’on en arriverait là, tous les deux…- Eh bien ?
- Eh bien je me serais pas fait tous ces nœuds au cerveau. Je me serais pas posé toutes ces questions à n’en plus finir.
Elle lui a déposé un petit baiser dessus.
- Mais, d’un autre côté, si ça c’était pas passé comme ça, peut-être qu’on en serait jamais arrivés là justement.
Un autre.
- Bon, mais ça sert à rien de revenir là-dessus n’importe comment. L’important, c’est qu’on soit bien. Repus. Rassasiés. Et qu’on continue à profiter de nous. Le plus possible.
- Oui, oh, ben alors ça !
- Quoi, oui, oh, ben alors ça ?
- Ben j’ai eu ce je voulais. Alors maintenant au revoir, merci et bon vent.
Elle lui a empoigné la queue.
- Non, mais écoutez-le, l’autre ! Fais bien gaffe à ce que je t’arrache pas le morceau, moi ! Je suis capable, hein !
Elle lui a enveloppé les boules. Les lui a enserrées. Pressées.
- T’es pas en position de force, là ! Alors ? Qu’est-ce tu disais ?
- Que je crois bien que je vais aller draguer ta copine Melissa.
Elle a serré plus fort encore.
- Mais c’est qu’il en serait capable, ce salaud, en plus !
- Moi, tu sais, dès que je peux rendre service…Elle a lentement relâché son étreinte.
- Non, sérieux. C’est vrai ? T’as envie d’elle ?
Il lui a déposé un baiser dans les cheveux.
- Mais non, oh ! Je plaisantais.
- Ben ça se pourrait, hein ! Elle est pas mal fichue du tout, Melissa.
- S’il fallait coucher avec toutes les femmes qui sont bien foutues…- Tu me dois rien, hein, Antoine ! Rien du tout. Il y aurait rien de pire que si tu te sentais obligé à quoi que ce soit. Tu fais ce que tu veux. J’ai rien à demander. J’ai rien à exiger. On prend du bon temps ensemble et puis voilà… Qu’est-ce tu fais ?
- Je nous remets la vidéo.
- Tu prends des risques.
- Ça, je sais bien.
Et elle a de nouveau été à l’écran. Offerte.
Et Damien l’a de nouveau vigoureusement pilonnée.
Antoine a bandé contre elle. Pour elle.
Elle s’est laissée glisser à quatre pattes, là, sur le tapis.
Et elle l’a de nouveau voulu en elle.
Et elle a rugi son bonheur.
Tout juste lui a-t-elle laissé le temps d’entrer. Et elle lui a tendu le moulage de sa queue.
- Tiens, ton exemplaire…Il l’a tourné un peu dans tous les sens.
- Faut reconnaître… C’est très ressemblant.
Elle a éclaté de rire.
- Ah, ben ça, forcément !
- Un sacré phénomène, ta copine, n’empêche !
- C’est rien de le dire.
Il l’a encore tourné et retourné. Et puis il l’a posé sur la table devant lui.
- Et toi ? le tien ? Il est où ?
- Dans ma chambre.
Elle est allée le chercher.
- T’as pas tenu le coup, je suis sûr. C’était trop tentant.
- Non. Non. T’as tout faux. C’est pas l’envie qui m’en manquait, mais je t’avais promis. Et moi, quand j’ai promis, je tiens.
- Bon, mais maintenant…Oh, oui, maintenant, oui ! Comment elle avait envie !
- Bon, mais d’abord on va te mettre en condition.
Il a allumé la télé. Fait défiler le menu de la clef.
- La six ? Je l’ai jamais vue, la six.
- Oui, oh, ben, celle-là, elle est pas triste.
- Alors celle-là ! Ça s’impose.
Et, à l’écran, elle a été à quatre pattes sur la moquette, nue, les fesses offertes. Suppliante. Exigeante. « Viens, Damien, oh, viens ! Baise-moi ! »- Eh, ben dis donc !
Sa croupe a ondulé. Voulu le mâle. Imploré le mâle. « S’il te plaît, Damien ! Oh, s’il te plaît ! » Il a ri. « Ah, t’en es, hein ! » Une petite claque sur chacune de ses deux fesses qui se sont tendues plus fort vers lui. Qui se sont offertes à lui. Il l’a encore fait attendre. Obligée à mendier la saillie. « Ta queue ! Mets-la-moi, Damien ! Mets-la-moi ! Je t’en supplie ! » Il l’a pénétrée d’un coup. Et elle l’a accueilli avec un grondement d’intense satisfaction. « Oh, oui ! »Et de se voir. De se revoir. De s’entendre. « Pilonne-moi, Damien ! Pilonne-la-moi bien, ma chatte ! » c’était… c’était… Devant Antoine en plus ! Antoine dont les yeux étaient rivés à l’écran. Rivés à elle. Au spectacle obscène et échevelé qu’elle lui offrait. Antoine ! Qui s’est penché sur elle. Qui a chuchoté.
- T’es trempée, je suis sûr.
Trempée ? Elle ruisselait, oui.
Qui s’est penché plus près.
- Déshabille-toi !
Oh, oui ! Oui !
Elle l’a fait. Elle s’est dépiautée. Tout arraché. Tout enlevé. Et elle est retombée sur le canapé. Ses mains sur elle. Ses doigts en elle.
- Oh, Antoine ! Antoine !
- Christina…Le moulage de sa queue. Dont elle s’en est avidement emparée. Qu’elle a fait courir, haletante, le long de sa chatte. Sur son bouton.
Oui, mais pas comme ça.
Et elle s’est laissée tomber sur le tapis. Agenouillée. Prosternée. Comme sur l’écran. À côté de l’écran.
Antoine a soufflé.
- Oh, oui, pointe-le bien l’air, ton cul ! Encore ! Encore ! Oui. Comme ça !
Elle l’a remué. Balancé. Fait tournoyer. Ondoyer. Pour lui. Elle a gémi.
- Oh, Antoine ! Antoine ! Antoine !
Et elle s’est pénétrée. Avec son moulage-queue. Bien profond. Trop bon. Elle s’est refermée dessus.
Elle a hurlé.
- Tu es à moi. À moi !
Et elle s’est élancée, à grands coups de bassin, de plus en plus vite, de plus en plus haletante, à la conquête de son plaisir.
- Oh, c’est bon ! C’est bon ! C’est trop bon ! J’en peux plus, moi ! J’en peux plus !
Elle a hurlé.
- La vraie ! Je veux la vraie. La vivante. La tienne.
Qui est presque aussitôt venue se poser contre ses fesses. Bien dure. Bien gonflée. Battante.
- Mets-la-moi, Antoine ! Derrière. Dans mon cul ! Je la veux, elle aussi. Comme l’autre. En même temps.
Et il a été en elle. Il s’est rejoint en elle. Il a palpité en elle. Il y a giclé. Il s’y est répandu.
Et son plaisir à elle a déferlé. À grands cris éperdus.
* * *
Elle s’est réveillée en sursaut.
- Quelle heure il est ?
- Quatre heures. T’as le temps.
Elle était nue. Sur le canapé. Dans les bras d’Antoine. Qui l’était aussi.
- J’ai dormi.
- J’ai vu ça, oui !
- C’est ta faute. Tu m’as crevée.
- Tu regrettes ?
- Oh, non ! Non !
Elle a cherché sa queue. Qui a aussitôt fait un bond.
Elle a ri.
- Trois fois. Trois fois elle a eu ce qu’elle voulait, elle. Une fois derrière. Et deux fois devant. Et il lui en faudrait encore. Il est vraiment insatiable, ce truc…- Et pas toi, peut-être ?
- Ça dépend. Ça dépend avec qui.
Elle a joué avec. L’a décapuchonnée. En a lissé le bout.
- Si je m’étais imaginé, à Noël, l’an dernier, quand ça a commencé tout ça, qu’on en arriverait là, tous les deux…- Eh bien ?
- Eh bien je me serais pas fait tous ces nœuds au cerveau. Je me serais pas posé toutes ces questions à n’en plus finir.
Elle lui a déposé un petit baiser dessus.
- Mais, d’un autre côté, si ça c’était pas passé comme ça, peut-être qu’on en serait jamais arrivés là justement.
Un autre.
- Bon, mais ça sert à rien de revenir là-dessus n’importe comment. L’important, c’est qu’on soit bien. Repus. Rassasiés. Et qu’on continue à profiter de nous. Le plus possible.
- Oui, oh, ben alors ça !
- Quoi, oui, oh, ben alors ça ?
- Ben j’ai eu ce je voulais. Alors maintenant au revoir, merci et bon vent.
Elle lui a empoigné la queue.
- Non, mais écoutez-le, l’autre ! Fais bien gaffe à ce que je t’arrache pas le morceau, moi ! Je suis capable, hein !
Elle lui a enveloppé les boules. Les lui a enserrées. Pressées.
- T’es pas en position de force, là ! Alors ? Qu’est-ce tu disais ?
- Que je crois bien que je vais aller draguer ta copine Melissa.
Elle a serré plus fort encore.
- Mais c’est qu’il en serait capable, ce salaud, en plus !
- Moi, tu sais, dès que je peux rendre service…Elle a lentement relâché son étreinte.
- Non, sérieux. C’est vrai ? T’as envie d’elle ?
Il lui a déposé un baiser dans les cheveux.
- Mais non, oh ! Je plaisantais.
- Ben ça se pourrait, hein ! Elle est pas mal fichue du tout, Melissa.
- S’il fallait coucher avec toutes les femmes qui sont bien foutues…- Tu me dois rien, hein, Antoine ! Rien du tout. Il y aurait rien de pire que si tu te sentais obligé à quoi que ce soit. Tu fais ce que tu veux. J’ai rien à demander. J’ai rien à exiger. On prend du bon temps ensemble et puis voilà… Qu’est-ce tu fais ?
- Je nous remets la vidéo.
- Tu prends des risques.
- Ça, je sais bien.
Et elle a de nouveau été à l’écran. Offerte.
Et Damien l’a de nouveau vigoureusement pilonnée.
Antoine a bandé contre elle. Pour elle.
Elle s’est laissée glisser à quatre pattes, là, sur le tapis.
Et elle l’a de nouveau voulu en elle.
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