La clef USB (15)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La clef USB (15)
S’il y en avait une de vidéo que, selon Antoine, il fallait absolument refaire, c’était bien celle-là.
- Parce qu’une levrette comme ça ! Tu te rends compte avec une caméra mobile ? Mais ça va être prodigieux ! On va pouvoir profiter de tout à plein. De tout près. De ton regard. De la moindre de tes expressions. Du moindre des soubresauts de ton adorable petit cul. Ça va être génial. Je vais te nous sortir un de ces petits joyaux que tu m’en diras des nouvelles. Tu t’occupes d’appeler Damien ?
Elle l’a fait aussitôt qu’il a eu raccroché.
- C’est moi ! C’est Christina !
- Je sais, oui ! Je reconnais encore ta voix. T’as quelque chose à me demander, je suis sûr.
- C’est-à-dire…- Il y aurait une petite vidéo à refaire à la clef que ça m’étonnerait même pas.
- Voilà, oui !
- Avec ton Antoine dans le rôle du cameraman.
- C’est parce que…- Oh, mais te cherche pas d’excuses ! Te fatigue pas ! J’ai parfaitement compris que c’est votre truc à tous les deux, ça. Que ça vous excite que le diable…- C’est pas ça, Damien !
- Tu parles que c’est pas ça ! Tu parles ! Prends-moi bien pour un lapin de trois semaines. Oh, mais ça m’arrange, moi, hein ! Au moins comme ça je peux te sauter. Parce que j’aurais plus trop l’occasion sinon.
- Mais non, mais…- Oh, mais je te reproche rien, hein ! Rien du tout. T’en es amoureuse de ce type.
- Jamais de la vie, Damien, enfin !
- Bien sûr que si ! Tu l’as dans la peau. T’en passes pour tout ce qu’il veut. Bon, mais j’y trouve aussi mon compte. Et plus que mon compte. Parce que comment t’étais déchaînée l’autre jour ! Je t’avais jamais vue comme ça. Même à nos tout débuts à tous les deux. Alors si tu dois encore être dans cet état-là… Laquelle vous avez décidé de refaire alors finalement ?
- La six.
- La six ! Ben, va y avoir de l’ambiance. Mais tant mieux ! Tant mieux !
- Tu sais, Damien…- Quoi ?
- J’aime ça avoir du plaisir avec toi, faut pas croire…- À condition que ce soit devant Antoine. Et qu’il filme. J’ai bien compris.
- C’est pas si simple.
- Mais si, c’est simple ! C’est même très simple. Bon, mais c’est prévu pour quand ?
- Demain. Si ça te va. Si t’es disponible.
- À demain alors !
- À demain, oui.
- Coucou ! C’est moi !
Melissa.
- Je viens aux nouvelles.
- Quelles nouvelles ?
- Ben, pour Damien, tiens ! Le moulage de sa queue, tu sais bien. Me dis pas que t’as oublié.
- Non. Bien sûr que non.
- Et alors ? Ça se présente comment ? T’as un peu débroussaillé le terrain ?
- À vrai dire…- Tu t’en es pas occupée.
- Pas vraiment, j’avoue. J’avais d’autres trucs en tête et…- Ah, c’est sympa, ça ! Alors moi, je me décarcasse tant que je peux pour toi et toi, dès que je te demande quelque chose…- Non, mais je vais le faire. Je vais le faire.
- T’as plutôt intérêt. Quand ?
- Demain. On doit le voir demain avec Antoine.
- Oh, ça sent la vidéo, ça !
- Oui. Et c’est bizarre.
- Qu’est-ce qu’est bizarre ?
- Ce qu’est en train de se passer avec eux.
- Comment ça ?
- Je sais pas. C’est comme si c’était en train de repartir plein pot avec Damien dans un sens. Ça s’était complètement étiolé et puis, d’un coup, je me remets à avoir envie de lui comme avant. Peut-être même plus qu’avant même.
- L’effet Antoine…- Sûrement, oui. Je sais pas vraiment expliquer. C’est tout flou dans ma tête. C’est peut-être que, d’une certaine façon, je lui étais reconnaissante de la façon dont ça se passe avec Antoine. Parce que c’est à lui que je le dois tout ça finalement. Si on n’avait pas fait ces vidéos…- Et s’il n’avait pas accepté de les refaire…- D’une certaine façon, pour moi maintenant, c’est un peu comme s’ils étaient inextricablement liés tous les deux. Et c’est vraiment étrange comme sensation.
* * *
Ils l’ont regardée se dévêtir, tous les deux, côte à côte.
Et rien que ça, c’était… Non, mais c’était…Tu mouilles déjà, Christina ! Tu te rends compte ? Non, mais tu mouilles déjà ! Tu es folle !
Damien a attendu qu’elle ait terminé et, à son tour, il s’est déshabillé.
Il s’est approché, tout sourire, l’a fait pivoter tout doucement sur elle-même.
Et il y a eu sa queue toute dure contre ses fesses. Son souffle dans son cou.
- Prête ?
Il a passé une main entre ses cuisses.
- Oh, oui, prête, dis donc ! Et pas qu’un peu !
Il l’a poussée vers le lit. Au pied duquel elle s’est agenouillée, les coudes dans les couvertures, la croupe offerte.
Ils se sont chuchoté quelque chose tous les deux.
Et puis il y a eu Antoine, la caméra d’Antoine, tout près de son visage. Et la main de Damien à lisser sa chatte. Sa queue à palpiter contre ses fesses. Et encore son souffle tout tiède, précipité, contre son oreille. Elle a ondulé, s’est tendue vers lui.
- Damien… Son bout. À l’entrée. Juste à l’entrée.
- Oh, Damien !
Il l’a un peu pénétrée. Presque pas. S’est retiré. Éloigné.
Elle a supplié.
- Viens ! Oh, viens ! S’il te plaît ! S’il te plaît !
Il l’a fait. D’un coup. Elle l’a accueilli avec un râle de bonheur.
- Oh, oui ! Oui.
- Ah, t’aimes ça, la bite, hein !
Oh, oui, qu’elle aimait ! Comment elle aimait !
Il y a eu son va-et-vient en elle. Bon. Si bon.
Et à nouveau la caméra tout près de son visage. Et Antoine. Antoine…Damien a tressailli en elle. S’y est répandu.
Et c’est venu. Ça a surgi. Ça l’a traversée. Emportée.
- Oh, c’est trop bon ! C’est trop bon ! C’est trop bon !
Ça s’est éloigné. C’est retombé.
Elle a enfoui sa tête dans les couvertures. Antoine la lui a fait relever.
- Christina…Et il a continué à filmer.
Damien est resté en elle. Il s’y est recroquevillé. Un peu. Pas tellement.
Elle n’a pas bougé. Bien. Si bien.
Une main. Celle d’Antoine. Son pouce. Qui lui a doucement caressé la tempe. Le coin de l’œil. Les joues. Les lèvres.
Et encore envie. Tellement.
Alors sa main à elle. Sur lui. Sur son pantalon. Dans son pantalon. Impatiente. Exigeante.
- Antoine…Elle la lui a sortie.
- Antoine…Elle s’est penchée sur elle. Un petit coup de langue. Un autre. Elle l’a prise dans sa bouche.
En elle, en bas, Damien est redevenu tout dur.
Et ils ont joui. Tous les deux. Tous les trois.
Entre eux. Sur le lit.
Ses mains sur leurs queues. Une à droite et une à gauche. Leurs deux têtes, de chaque côté, sur son épaule.
Elle a soupiré.
- Je suis bien.
Antoine aussi était bien. Et Damien.
- Si on voulait…- Oui ?
- Des tas de choses on pourrait faire ensemble tous les trois.
- On peut.
- Ce que j’aimerais…- Oui ?
- C’est vous avoir tous les deux dedans. En même temps.
Leurs queues se sont aussitôt toutes les deux orgueilleusement dressées, de chaque côté, dans sa main.
- Et vous garder tous les deux. Pas avoir à choisir.
Leurs lèvres se sont rejointes sur les siennes.
Au téléphone, Melissa a hoché la tête.
- Carrément ! Eh ben dis donc ! Et Kevin dans tout ça ?
- Je vais le quitter, Kevin. Il y a longtemps que j’aurais dû le faire parce qu’il y a belle lurette qu’il y a plus rien entre nous. Ni de son côté ni du mien.
- C’est évident. Et moi ?
- Toi ? Oh, ben on va avoir besoin de toi maintenant. Ne serait-ce que pour filmer.
- Et pour les moulages. Oublie pas les moulages.
J’oublierai pas, non. Promis.
FIN
- Parce qu’une levrette comme ça ! Tu te rends compte avec une caméra mobile ? Mais ça va être prodigieux ! On va pouvoir profiter de tout à plein. De tout près. De ton regard. De la moindre de tes expressions. Du moindre des soubresauts de ton adorable petit cul. Ça va être génial. Je vais te nous sortir un de ces petits joyaux que tu m’en diras des nouvelles. Tu t’occupes d’appeler Damien ?
Elle l’a fait aussitôt qu’il a eu raccroché.
- C’est moi ! C’est Christina !
- Je sais, oui ! Je reconnais encore ta voix. T’as quelque chose à me demander, je suis sûr.
- C’est-à-dire…- Il y aurait une petite vidéo à refaire à la clef que ça m’étonnerait même pas.
- Voilà, oui !
- Avec ton Antoine dans le rôle du cameraman.
- C’est parce que…- Oh, mais te cherche pas d’excuses ! Te fatigue pas ! J’ai parfaitement compris que c’est votre truc à tous les deux, ça. Que ça vous excite que le diable…- C’est pas ça, Damien !
- Tu parles que c’est pas ça ! Tu parles ! Prends-moi bien pour un lapin de trois semaines. Oh, mais ça m’arrange, moi, hein ! Au moins comme ça je peux te sauter. Parce que j’aurais plus trop l’occasion sinon.
- Mais non, mais…- Oh, mais je te reproche rien, hein ! Rien du tout. T’en es amoureuse de ce type.
- Jamais de la vie, Damien, enfin !
- Bien sûr que si ! Tu l’as dans la peau. T’en passes pour tout ce qu’il veut. Bon, mais j’y trouve aussi mon compte. Et plus que mon compte. Parce que comment t’étais déchaînée l’autre jour ! Je t’avais jamais vue comme ça. Même à nos tout débuts à tous les deux. Alors si tu dois encore être dans cet état-là… Laquelle vous avez décidé de refaire alors finalement ?
- La six.
- La six ! Ben, va y avoir de l’ambiance. Mais tant mieux ! Tant mieux !
- Tu sais, Damien…- Quoi ?
- J’aime ça avoir du plaisir avec toi, faut pas croire…- À condition que ce soit devant Antoine. Et qu’il filme. J’ai bien compris.
- C’est pas si simple.
- Mais si, c’est simple ! C’est même très simple. Bon, mais c’est prévu pour quand ?
- Demain. Si ça te va. Si t’es disponible.
- À demain alors !
- À demain, oui.
- Coucou ! C’est moi !
Melissa.
- Je viens aux nouvelles.
- Quelles nouvelles ?
- Ben, pour Damien, tiens ! Le moulage de sa queue, tu sais bien. Me dis pas que t’as oublié.
- Non. Bien sûr que non.
- Et alors ? Ça se présente comment ? T’as un peu débroussaillé le terrain ?
- À vrai dire…- Tu t’en es pas occupée.
- Pas vraiment, j’avoue. J’avais d’autres trucs en tête et…- Ah, c’est sympa, ça ! Alors moi, je me décarcasse tant que je peux pour toi et toi, dès que je te demande quelque chose…- Non, mais je vais le faire. Je vais le faire.
- T’as plutôt intérêt. Quand ?
- Demain. On doit le voir demain avec Antoine.
- Oh, ça sent la vidéo, ça !
- Oui. Et c’est bizarre.
- Qu’est-ce qu’est bizarre ?
- Ce qu’est en train de se passer avec eux.
- Comment ça ?
- Je sais pas. C’est comme si c’était en train de repartir plein pot avec Damien dans un sens. Ça s’était complètement étiolé et puis, d’un coup, je me remets à avoir envie de lui comme avant. Peut-être même plus qu’avant même.
- L’effet Antoine…- Sûrement, oui. Je sais pas vraiment expliquer. C’est tout flou dans ma tête. C’est peut-être que, d’une certaine façon, je lui étais reconnaissante de la façon dont ça se passe avec Antoine. Parce que c’est à lui que je le dois tout ça finalement. Si on n’avait pas fait ces vidéos…- Et s’il n’avait pas accepté de les refaire…- D’une certaine façon, pour moi maintenant, c’est un peu comme s’ils étaient inextricablement liés tous les deux. Et c’est vraiment étrange comme sensation.
* * *
Ils l’ont regardée se dévêtir, tous les deux, côte à côte.
Et rien que ça, c’était… Non, mais c’était…Tu mouilles déjà, Christina ! Tu te rends compte ? Non, mais tu mouilles déjà ! Tu es folle !
Damien a attendu qu’elle ait terminé et, à son tour, il s’est déshabillé.
Il s’est approché, tout sourire, l’a fait pivoter tout doucement sur elle-même.
Et il y a eu sa queue toute dure contre ses fesses. Son souffle dans son cou.
- Prête ?
Il a passé une main entre ses cuisses.
- Oh, oui, prête, dis donc ! Et pas qu’un peu !
Il l’a poussée vers le lit. Au pied duquel elle s’est agenouillée, les coudes dans les couvertures, la croupe offerte.
Ils se sont chuchoté quelque chose tous les deux.
Et puis il y a eu Antoine, la caméra d’Antoine, tout près de son visage. Et la main de Damien à lisser sa chatte. Sa queue à palpiter contre ses fesses. Et encore son souffle tout tiède, précipité, contre son oreille. Elle a ondulé, s’est tendue vers lui.
- Damien… Son bout. À l’entrée. Juste à l’entrée.
- Oh, Damien !
Il l’a un peu pénétrée. Presque pas. S’est retiré. Éloigné.
Elle a supplié.
- Viens ! Oh, viens ! S’il te plaît ! S’il te plaît !
Il l’a fait. D’un coup. Elle l’a accueilli avec un râle de bonheur.
- Oh, oui ! Oui.
- Ah, t’aimes ça, la bite, hein !
Oh, oui, qu’elle aimait ! Comment elle aimait !
Il y a eu son va-et-vient en elle. Bon. Si bon.
Et à nouveau la caméra tout près de son visage. Et Antoine. Antoine…Damien a tressailli en elle. S’y est répandu.
Et c’est venu. Ça a surgi. Ça l’a traversée. Emportée.
- Oh, c’est trop bon ! C’est trop bon ! C’est trop bon !
Ça s’est éloigné. C’est retombé.
Elle a enfoui sa tête dans les couvertures. Antoine la lui a fait relever.
- Christina…Et il a continué à filmer.
Damien est resté en elle. Il s’y est recroquevillé. Un peu. Pas tellement.
Elle n’a pas bougé. Bien. Si bien.
Une main. Celle d’Antoine. Son pouce. Qui lui a doucement caressé la tempe. Le coin de l’œil. Les joues. Les lèvres.
Et encore envie. Tellement.
Alors sa main à elle. Sur lui. Sur son pantalon. Dans son pantalon. Impatiente. Exigeante.
- Antoine…Elle la lui a sortie.
- Antoine…Elle s’est penchée sur elle. Un petit coup de langue. Un autre. Elle l’a prise dans sa bouche.
En elle, en bas, Damien est redevenu tout dur.
Et ils ont joui. Tous les deux. Tous les trois.
Entre eux. Sur le lit.
Ses mains sur leurs queues. Une à droite et une à gauche. Leurs deux têtes, de chaque côté, sur son épaule.
Elle a soupiré.
- Je suis bien.
Antoine aussi était bien. Et Damien.
- Si on voulait…- Oui ?
- Des tas de choses on pourrait faire ensemble tous les trois.
- On peut.
- Ce que j’aimerais…- Oui ?
- C’est vous avoir tous les deux dedans. En même temps.
Leurs queues se sont aussitôt toutes les deux orgueilleusement dressées, de chaque côté, dans sa main.
- Et vous garder tous les deux. Pas avoir à choisir.
Leurs lèvres se sont rejointes sur les siennes.
Au téléphone, Melissa a hoché la tête.
- Carrément ! Eh ben dis donc ! Et Kevin dans tout ça ?
- Je vais le quitter, Kevin. Il y a longtemps que j’aurais dû le faire parce qu’il y a belle lurette qu’il y a plus rien entre nous. Ni de son côté ni du mien.
- C’est évident. Et moi ?
- Toi ? Oh, ben on va avoir besoin de toi maintenant. Ne serait-ce que pour filmer.
- Et pour les moulages. Oublie pas les moulages.
J’oublierai pas, non. Promis.
FIN
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