La clef USB (8)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La clef USB (8)
En toute fin d’après-midi, il l’a appelée.
Eh, mais c’est que c’était plus seulement tous les jours maintenant ! C’était deux fois par jour.
C’est bon signe, ça, ma petite Christina ! Très bon signe.
Oui, parce que… Sois honnête avec toi-même ! Plus ça va et plus ce que tu éprouves à son égard…
- Ça va, toi, depuis hier ?
- Oh, oui ! Bien. Très bien même.
Lui aussi. Il venait de regarder, l’une derrière l’autre, les deux vidéos qu’il avait d’elle sous la douche.
- Et elles n’ont rien à voir l’une avec l’autre. Strictement rien. Parce que celle que tu as faite, toi, elle est statique. Par la force des choses. T’étais toute seule. Alors t’as posé ta caméra à l’endroit qui t’a paru le plus approprié et tu l’as laissée tourner. Tu n’avais pas d’autre solution. Tandis que pour l’autre, j’ai pu zoomer, me déplacer, m’adapter au mieux au spectacle que tu étais si gentiment en train d’offrir. Et c’est quand même beaucoup plus parlant, avoue ! Beaucoup plus excitant. Même pour toi. Non ?
- Ah, ça !
Ça lui a échappé. Le cri du cœur.
Il a ri.
- Oui, hein ! D’ailleurs, je suis bien tranquille que, dès que j’ai été parti, tu n’as rien eu de plus pressé que de te la repasser encore et encore.
À son tour de rire. Un rire qui a sonné comme un aveu.
- Et tu ne t’es pas contentée de regarder, je suis sûr. Tu as tenu à participer. Et tu t’es énormément impliquée. Non ? Je me trompe ?
- Je prétendrais le contraire…
- Que je ne te croirais pas, ça, c’est sûr. Tu as joui ?
Elle l’a dit. Au point où ils en étaient maintenant…
- Deux fois. Presque trois.
- Et c’était bon ?
- Ah, oui, alors !
Comme tout était devenu simple avec lui ! Comme tout allait tout naturellement de soi.
Sa voix s’est faite toute tendre. Toute veloutée.
- Confidence pour confidence, j’ai passé toute mon après-midi à m’en repaître, moi aussi, goulûment. Et à repenser à la façon dont tu t’es si délicieusement et si savamment occupée de ma queue ce matin. Quelle bonne branleuse tu fais ! Ça t’a plu, toi ?
- Ça s’est pas vu peut-être ?
- Si ! Bien sûr que si ! Mais j’ai tellement envie de te l’entendre dire.
Elle a souri.
- Ça m’a plu, oui.
- Beaucoup ?
- Trop.
- On recommencera alors !
Il s’est éclairci la voix.
- Tu sais quoi ? Eh ben, c’est pas juste. Parce que moi, j’ai des vidéos de toi. Que je découvre peu à peu. En prenant tout mon temps. À petites gorgées gourmandes. Je peux disposer de toi. Comme je l’entends. Chaque fois que j’en ai envie. Mais la réciproque n’est pas vraie.
Il a marqué un court temps d’arrêt.
- Alors ce que je te propose, c’est que toi aussi tu me filmes. Comme ça te chante. Comme tu le sens. Je me prêterai à tous tes caprices.
Elle est entrée dans le jeu.
- Tous ? Vraiment tous ?
- Tous.
- Tu prends des risques.
- Même pas peur ! Avec toi, même pas peur !
- T’as peut-être tort. Sûrement même.
- Parce que tu feras quoi ?
Elle s’est perdue dans ses pensées. Ce qu’elle ferait ? D’abord elle la lui filmerait longuement, sa queue. Elle la regarderait vivre. Et puis, il faudrait qu’il se la branle. Comme un fou. En la regardant, elle, à l’écran. Une autre fois elle le branlerait aussi. Elle y mettrait tout son cœur. Elle avait encore d’autres idées. Plein. Par exemple…
Il attendait.
- Hein ? Tu feras quoi ?
- Tu verras bien.
La porte du garage.
- Kevin ! V’là Kevin ! À bientôt. Je raccroche.
* * *
- Allô…
C’était lui.
Lui. Antoine. Le lendemain.
- Je pars bosser. Faut bien que ça m’arrive quand même de temps en temps. Mais avant, je tenais à te faire un petit coucou.
- C’est gentil.
- Tu sais que j’ai passé la soirée et une bonne partie de la nuit avec toi ?
- Les vidéos ?
- Oui. Celle où, empalée sur la queue de Damien, tu chevauches à bride abattue vers ton plaisir, tes seins ballottant dans tous les sens. Je l’adore, celle-là, même si, toujours pour les mêmes raisons, elle est quand même sacrément frustrante. C’est vu de loin, tout ça. De beaucoup trop loin. Pas un zoom. Pas un gros plan. Ton petit minois, quand tu arrives au terme de ta cavalcade, on ne le voit jamais que de profil. Et c’est dommage ! Comment c’est dommage de pas avoir tes yeux.
Quand elle a eu raccroché, elle est allée aussitôt se préparer. Elle était décidée. Une jolie petite surprise, elle allait lui faire. À condition que Damien accepte d’entrer dans le jeu. Ce qui, si elle s’y prenait bien…
Il était encore en pyjama, Damien. Et il s’est fait ironique.
- Ah, tiens, t’as retrouvé mon adresse ?
- Te moque pas ! C’est vraiment pas facile pour moi en ce moment, tu sais ! J’ai des tas de soucis. Et puis, avec cette épée de Damoclès constamment suspendue au-dessus de ma tête. En plus !
- Oui, oh, s’il avait dû vendre la mèche, ton Antoine, il y a belle lurette qu’il l’aurait fait.
- D’abord, c’est pas mon Antoine ! Et puis ensuite…
- Non, mais attends ! Voilà un type, il lui tombe un joli petit cadeau du ciel. Un super petit bout de femme dont il peut profiter autant que ça lui chante. Comme ça lui chante. Quand ça lui chante. Pas besoin de t’en faire qu’il se la tripatouille, la nouille, à longueur de journée, en te contemplant en pleine action sous toutes les coutures. Alors qu’est-ce que tu voudrais que maintenant il aille créer tout un remue-ménage ? Ça l’avancerait à quoi ? Ça lui apporterait quoi ?
- On voit que tu le connais pas. C’est le genre de type à te mettre encore et encore la pression. À vouloir tirer tout le parti possible de la situation. Parce que, tiens, tu te souviens de ce qu’il m’avait demandé ? Qu’on lui fasse une petite vidéo de nos ébats, toi et moi, chaque fois qu’on se verrait.
- On l’a fait.
- Une fois. Une seule fois.
- Et pour cause : on s’est pas revus depuis des éternités. Tu me boudes.
- Mais non, Damien, non ! C’est pas ça !
- Ah, oui, ben, c’est quoi alors ?
- C’est que ça s’est trouvé comme ça. Comme je te disais tout à l’heure, j’ai eu plein de trucs à faire, ces derniers temps. Des imprévus. J’ai été complètement débordée.
- Mouais !
- Si, c’est vrai, hein !
- Moi, ce que je croirais plutôt, c’est que t’as plus vraiment envie. Du moins avec moi.
- N’importe quoi !
- Si t’avais vraiment envie, tu le trouverais, le temps. On le trouve toujours pour ça quand on veut. Bon, mais je t’ai interrompue. Tu disais quoi à propos de ces vidéos qu’il voulait qu’on fasse ?
- Il croit que je me fiche de lui. Qu’on continue à en tourner. Derrière son dos. Et j’ai beau lui jurer sur tous les tons que non, que jamais de la vie, il me croit pas. Il y a rien à faire. Et ce qu’il veut, du coup…
- C’est assister en personne à nos parties de jambes en l’air.
- Voilà, oui. Et nous filmer en prime.
- C’était prévisible, dans un sens. T’as accepté ?
- Ben non ! Pas encore. Fallait d’abord que je t’en parle.
- Et si je suis pas d’accord ?
- Il balance tout à Kevin. Tu vas pas dire non ?
- Je sais pas. Je suis pas bien chaud. Faut que je réfléchisse…
- Damien !
- Mais non, oh ! Fais pas cette tête-là ! Évidemment que je suis d’accord. Je vais pas te mettre la tête sous l’eau. Je suis d’autant plus d’accord que c’est tout bénéfice, ça, pour moi. L’occasion d’aller rendre visite à ton petit minou d’amour. Depuis le temps que tu m’en prives ! Bon, et elles sont prévues pour quand, ces petites festivités ?
- Je sais pas, mais sûrement qu’il voudra que ce soit bientôt.
- Probable, oui !
- Par contre, ce qu’il s’est mis en tête, c’est qu’on refasse la vidéo où c’est moi qui suis dessus. Apparemment qu’il l’adore, celle-là !
- C’est pas ce que je préfère, moi, comme position. Mais je suppose qu’après celle-là, il aura bien d’autres exigences. Qui me conviendront beaucoup mieux…
Eh, mais c’est que c’était plus seulement tous les jours maintenant ! C’était deux fois par jour.
C’est bon signe, ça, ma petite Christina ! Très bon signe.
Oui, parce que… Sois honnête avec toi-même ! Plus ça va et plus ce que tu éprouves à son égard…
- Ça va, toi, depuis hier ?
- Oh, oui ! Bien. Très bien même.
Lui aussi. Il venait de regarder, l’une derrière l’autre, les deux vidéos qu’il avait d’elle sous la douche.
- Et elles n’ont rien à voir l’une avec l’autre. Strictement rien. Parce que celle que tu as faite, toi, elle est statique. Par la force des choses. T’étais toute seule. Alors t’as posé ta caméra à l’endroit qui t’a paru le plus approprié et tu l’as laissée tourner. Tu n’avais pas d’autre solution. Tandis que pour l’autre, j’ai pu zoomer, me déplacer, m’adapter au mieux au spectacle que tu étais si gentiment en train d’offrir. Et c’est quand même beaucoup plus parlant, avoue ! Beaucoup plus excitant. Même pour toi. Non ?
- Ah, ça !
Ça lui a échappé. Le cri du cœur.
Il a ri.
- Oui, hein ! D’ailleurs, je suis bien tranquille que, dès que j’ai été parti, tu n’as rien eu de plus pressé que de te la repasser encore et encore.
À son tour de rire. Un rire qui a sonné comme un aveu.
- Et tu ne t’es pas contentée de regarder, je suis sûr. Tu as tenu à participer. Et tu t’es énormément impliquée. Non ? Je me trompe ?
- Je prétendrais le contraire…
- Que je ne te croirais pas, ça, c’est sûr. Tu as joui ?
Elle l’a dit. Au point où ils en étaient maintenant…
- Deux fois. Presque trois.
- Et c’était bon ?
- Ah, oui, alors !
Comme tout était devenu simple avec lui ! Comme tout allait tout naturellement de soi.
Sa voix s’est faite toute tendre. Toute veloutée.
- Confidence pour confidence, j’ai passé toute mon après-midi à m’en repaître, moi aussi, goulûment. Et à repenser à la façon dont tu t’es si délicieusement et si savamment occupée de ma queue ce matin. Quelle bonne branleuse tu fais ! Ça t’a plu, toi ?
- Ça s’est pas vu peut-être ?
- Si ! Bien sûr que si ! Mais j’ai tellement envie de te l’entendre dire.
Elle a souri.
- Ça m’a plu, oui.
- Beaucoup ?
- Trop.
- On recommencera alors !
Il s’est éclairci la voix.
- Tu sais quoi ? Eh ben, c’est pas juste. Parce que moi, j’ai des vidéos de toi. Que je découvre peu à peu. En prenant tout mon temps. À petites gorgées gourmandes. Je peux disposer de toi. Comme je l’entends. Chaque fois que j’en ai envie. Mais la réciproque n’est pas vraie.
Il a marqué un court temps d’arrêt.
- Alors ce que je te propose, c’est que toi aussi tu me filmes. Comme ça te chante. Comme tu le sens. Je me prêterai à tous tes caprices.
Elle est entrée dans le jeu.
- Tous ? Vraiment tous ?
- Tous.
- Tu prends des risques.
- Même pas peur ! Avec toi, même pas peur !
- T’as peut-être tort. Sûrement même.
- Parce que tu feras quoi ?
Elle s’est perdue dans ses pensées. Ce qu’elle ferait ? D’abord elle la lui filmerait longuement, sa queue. Elle la regarderait vivre. Et puis, il faudrait qu’il se la branle. Comme un fou. En la regardant, elle, à l’écran. Une autre fois elle le branlerait aussi. Elle y mettrait tout son cœur. Elle avait encore d’autres idées. Plein. Par exemple…
Il attendait.
- Hein ? Tu feras quoi ?
- Tu verras bien.
La porte du garage.
- Kevin ! V’là Kevin ! À bientôt. Je raccroche.
* * *
- Allô…
C’était lui.
Lui. Antoine. Le lendemain.
- Je pars bosser. Faut bien que ça m’arrive quand même de temps en temps. Mais avant, je tenais à te faire un petit coucou.
- C’est gentil.
- Tu sais que j’ai passé la soirée et une bonne partie de la nuit avec toi ?
- Les vidéos ?
- Oui. Celle où, empalée sur la queue de Damien, tu chevauches à bride abattue vers ton plaisir, tes seins ballottant dans tous les sens. Je l’adore, celle-là, même si, toujours pour les mêmes raisons, elle est quand même sacrément frustrante. C’est vu de loin, tout ça. De beaucoup trop loin. Pas un zoom. Pas un gros plan. Ton petit minois, quand tu arrives au terme de ta cavalcade, on ne le voit jamais que de profil. Et c’est dommage ! Comment c’est dommage de pas avoir tes yeux.
Quand elle a eu raccroché, elle est allée aussitôt se préparer. Elle était décidée. Une jolie petite surprise, elle allait lui faire. À condition que Damien accepte d’entrer dans le jeu. Ce qui, si elle s’y prenait bien…
Il était encore en pyjama, Damien. Et il s’est fait ironique.
- Ah, tiens, t’as retrouvé mon adresse ?
- Te moque pas ! C’est vraiment pas facile pour moi en ce moment, tu sais ! J’ai des tas de soucis. Et puis, avec cette épée de Damoclès constamment suspendue au-dessus de ma tête. En plus !
- Oui, oh, s’il avait dû vendre la mèche, ton Antoine, il y a belle lurette qu’il l’aurait fait.
- D’abord, c’est pas mon Antoine ! Et puis ensuite…
- Non, mais attends ! Voilà un type, il lui tombe un joli petit cadeau du ciel. Un super petit bout de femme dont il peut profiter autant que ça lui chante. Comme ça lui chante. Quand ça lui chante. Pas besoin de t’en faire qu’il se la tripatouille, la nouille, à longueur de journée, en te contemplant en pleine action sous toutes les coutures. Alors qu’est-ce que tu voudrais que maintenant il aille créer tout un remue-ménage ? Ça l’avancerait à quoi ? Ça lui apporterait quoi ?
- On voit que tu le connais pas. C’est le genre de type à te mettre encore et encore la pression. À vouloir tirer tout le parti possible de la situation. Parce que, tiens, tu te souviens de ce qu’il m’avait demandé ? Qu’on lui fasse une petite vidéo de nos ébats, toi et moi, chaque fois qu’on se verrait.
- On l’a fait.
- Une fois. Une seule fois.
- Et pour cause : on s’est pas revus depuis des éternités. Tu me boudes.
- Mais non, Damien, non ! C’est pas ça !
- Ah, oui, ben, c’est quoi alors ?
- C’est que ça s’est trouvé comme ça. Comme je te disais tout à l’heure, j’ai eu plein de trucs à faire, ces derniers temps. Des imprévus. J’ai été complètement débordée.
- Mouais !
- Si, c’est vrai, hein !
- Moi, ce que je croirais plutôt, c’est que t’as plus vraiment envie. Du moins avec moi.
- N’importe quoi !
- Si t’avais vraiment envie, tu le trouverais, le temps. On le trouve toujours pour ça quand on veut. Bon, mais je t’ai interrompue. Tu disais quoi à propos de ces vidéos qu’il voulait qu’on fasse ?
- Il croit que je me fiche de lui. Qu’on continue à en tourner. Derrière son dos. Et j’ai beau lui jurer sur tous les tons que non, que jamais de la vie, il me croit pas. Il y a rien à faire. Et ce qu’il veut, du coup…
- C’est assister en personne à nos parties de jambes en l’air.
- Voilà, oui. Et nous filmer en prime.
- C’était prévisible, dans un sens. T’as accepté ?
- Ben non ! Pas encore. Fallait d’abord que je t’en parle.
- Et si je suis pas d’accord ?
- Il balance tout à Kevin. Tu vas pas dire non ?
- Je sais pas. Je suis pas bien chaud. Faut que je réfléchisse…
- Damien !
- Mais non, oh ! Fais pas cette tête-là ! Évidemment que je suis d’accord. Je vais pas te mettre la tête sous l’eau. Je suis d’autant plus d’accord que c’est tout bénéfice, ça, pour moi. L’occasion d’aller rendre visite à ton petit minou d’amour. Depuis le temps que tu m’en prives ! Bon, et elles sont prévues pour quand, ces petites festivités ?
- Je sais pas, mais sûrement qu’il voudra que ce soit bientôt.
- Probable, oui !
- Par contre, ce qu’il s’est mis en tête, c’est qu’on refasse la vidéo où c’est moi qui suis dessus. Apparemment qu’il l’adore, celle-là !
- C’est pas ce que je préfère, moi, comme position. Mais je suppose qu’après celle-là, il aura bien d’autres exigences. Qui me conviendront beaucoup mieux…
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Exorium, j'attends la suite avec impatience!
@ Olga T, Micky et un lecteur . Oui, il y a incontestablement un petit quelque chose de
candauliste par anticipation dans la façon dont se comporte Antoine. En ce qui concerne
Kevin, l'accent n'est effectivement pas mis sur lui, mais sur Christina. On ne sait rien
de la façon dont il réagit par rapport à cette situation. Il y a, en gros, trois cas de
figure possibles: ou bien il ne se rend compte de rien (et, après tout, il y a des
milliers et des milliers de cocus qui ignoreront toujours qu'ils le sont) ou bien, pour
toutes sortes de raisons qu'il reste à déterminer, il en a pris son parti. Ou bien encore
il garde, sans en avoir l'air, un œil sur ce qui se passe, qu'il en éprouve ou non, une
certaine satisfaction. J'envisage de proposer ultérieurement la version de Kevin.
candauliste par anticipation dans la façon dont se comporte Antoine. En ce qui concerne
Kevin, l'accent n'est effectivement pas mis sur lui, mais sur Christina. On ne sait rien
de la façon dont il réagit par rapport à cette situation. Il y a, en gros, trois cas de
figure possibles: ou bien il ne se rend compte de rien (et, après tout, il y a des
milliers et des milliers de cocus qui ignoreront toujours qu'ils le sont) ou bien, pour
toutes sortes de raisons qu'il reste à déterminer, il en a pris son parti. Ou bien encore
il garde, sans en avoir l'air, un œil sur ce qui se passe, qu'il en éprouve ou non, une
certaine satisfaction. J'envisage de proposer ultérieurement la version de Kevin.
Un dialogue très très chaud...
On peut se demander si Damien et Antoine ne seraient pas complices. En tout cas, Antoine
est candauliste "par anticipation" Il n'a pas encore baisé Cristina, mais elle est déja à
lui et il a envie de la mater "en live" Excellent!
Celui dont on ne voit pas le rôle pour le moment est le mari cocu, Kevin
est candauliste "par anticipation" Il n'a pas encore baisé Cristina, mais elle est déja à
lui et il a envie de la mater "en live" Excellent!
Celui dont on ne voit pas le rôle pour le moment est le mari cocu, Kevin
Et le mari dans tout ça???
C est le gros con qui ne s'appercoit de rien?
C est le gros con qui ne s'appercoit de rien?