La coiffeuse, retour de flamme
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La coiffeuse, retour de flamme
Invité par une ami dans son village pour la fête, nous nous retrouvons en plus de son
épouse avec un copain de régiment : le temps passe vite quand nous évoquons les
anciens souvenirs, toujours les bons. Un peu avant le service militaire j'habitais une
petite ville où j'avais une âme de conquérant. Je ne cherchais qu'une seule chose,
baiser les filles. Je n'avais pas à me plaindre : j'arrivais souvent à mes fins,
souvent même avec des femmes mariées, bien avant qu'on ne parle de cougars. L'ardeur
n'attend pas le nombre des années. J'avais une régulière, Chloé que je ne sortais
quand cas de bide.Elle était jeune, presque trop. Mes copains me chinaient en me
disant que je l'avais prise au berceau. Le principal était que ma bite soit à l'abri
dans un ventre de fille. Elle débutait dans la coiffure comme apprentie.
A 16 ans, elle savait beaucoup de chose la première fois que nous nous sommes
retrouvés nus sur mon lit. Je n'étais pas son premier. Il ne lui manquait que la
sodomie qu'elle refusait toujours, d'après ce qu'elle m'en disait. Pourtant un jour,
comme pour lui faire une farce, je lui mettais ma pine sur l'anus. Je continuais
jusqu'à être totalement entre ses reins. Le plus fort est qu'elle ne se plaignait pas.
Elle n'a jouit qu'en même temps que moi quand je l'inondais de sperme.
Pour en revenir à la fête du village, nous sommes sortis avec le copain, sa femme et
l'ancien du régiment. Au milieu des baraques foraines, des manèges, avant la piste de
danse, il y avait beaucoup de monde, y compris beaucoup de la petite ville proche. Je
ne danse pratiquement jamais, je n'aime pas tellement me démener sur des musiques que
je n'apprécie pas du tout. Autour de la piste, pas mal de gens, des parents, des mères
à l’affût d'un faux pas de leur chérie.
Je remarque une silhouette qu'il me semble connaître. Moi qui ne suis pas du coin, je
me demande qui elle peut bien être. Curieux des filles bonnes à lever, je m'en
approche. C'est elle qui me regarde en souriant. Mais oui, c'est Chloé.
Nous nous embrassons sur le joues, pas ailleurs. Je l'invite à boire un café au
bistrot : bien sur il est plein de soulars ou d'assoiffés. Péniblement nous trouvons
une place entre un couple sur le point de faire l'amour au milieu des gens et d'un
couple de personnes âgées à la recherche de leur jeunesse.
Elle a un salon bien à elle où elle se débrouille plutôt bien.
Tu te souviens d'avant ?
Bien sur tu me baisais si bien.
Et toi tu étais déchaînées pendant tes jouissances. Tu es toujours ainsi.
En pire.
J'ai envie de recommencer une fois au moins.
Personne ne m'a enculé aussi bien que toi.
Où pouvons nous aller ?
Je connais un petit hôtel pas très loin.
Attends moi dehors, je vais dire au revoir à mes amis, nous prendront ma voiture.
Nous nous embrassons dès qu'elle monte. Son baiser se prolonge un bon moment.
J'ai envie de toi, de ta queue, de ta langue.
J'ai aussi envie de toi, de ton con, de ton cul, de ta langue sur ma queue.
Je me demande ce que peu être son « pire ». En attendant je pose ma main sur un
genoux. Ses jambes s'écartent de suite comme une invitation à poursuivre le chemin qui
mène à sa chatte. Je roule déjà depuis plus d'une demi heure quand enfin son hôtel
apparaît.
Nous sommes vite dans la chambre. Elle se jette à mon cou :
-Comme tu m'a manqué, que j'aimais ta queue dans mon con ou le cul. Enfin là où te me
la mettais. Baises moi.
Nous sommes très vite nus. Elle regarde ma queue, moi je la regarde simplement. Elle a
à peine grandie depuis ses 16 ans, ses seins sont à peine plus gros. Ce qui me choque
un peu est son pubis rasé. Nous nous embrassons encore longuement. Ma bite est contre
son ventre, elle sait fort bien s'en occuper comme avant. Elle ne me touche qu'avec
son ventre alors que je caresse les fesses toujours aussi musclées et dures.
Je me baisse pour être à sa hauteur, j'entre directement dans le con sans la prévenir,
comme je faisais parfois. J'entre un doigt dans l'anus, sans l'enfoncer beaucoup. Elle
en voudrait d'avantage. Je refuse de la faire pour l'instant.
Contrainte et forcée elle garde ma queue dans son vente en accompagnant mes
aller et venue. Elle sens son plaisir arriver :
- Je vais jouir.
Je me retire à ce moment là à son grand désespoir : elle se branle en désespoir de
cause. Je prends sa main pour qu'elle arrête.
Racontes moi ta vie avant.
Avant quoi ?
Te te la mettre comme il faut, racontes moi tout.
Oui.
« Voilà, quand tu es parti je n'avais plus d'amant. J'avais bien pris « l'habitude
avec toi de me branler souvent. Ce n'étais pas assez. J'ai « pu tirer un coup avec un
passant dans la ville. Puis j'en ai eu assez, je « suis venue ici, enfin là où je
suis, j'ai suivi les cours, j'ai mes diplômes « pour exercer la coiffure. J'ai pu
avoir un prêt assez facilement en « donnant mon corps à un responsable de la banque,
en plus il baisait « mal. Je sais c'est tricher, mais comment faire ? J'ai attendu
plusieurs « semaines avant de vivre de mon travail.
« Tu sais dans un salon de coiffure, les femmes parlent de « tout, surtout de sexe. Un
jour une cliente m'a demandé si j'aimais les « filles. J'en ai rougi en répondant bien
sur. Nous étions seules, elle en « a profité pour passer une main entre mes jambes.
Elle le faisait « parfaitement : j'en avait des frissons. Je ne te dis pas combien
j'avais « envie de jouir de sa main.
« Elle ne m'a pas branlé comme le ferait un homme. C'était « plus subtil, plus doux,
plus pénétrant. Elle m'a faite jouir comme « rarement. Elle m'a invité à venir le soir
chez elle. J'ai traîné pour y « aller. Finalement je ne regrette pas cette soirée qui
m'a convaincue « que les femmes savant mieux masturber que les hommes. J'ai goût sa
« langue dans ma bouche et sur mon con. Elle m'a faire jouir je ne sais « combien de
fois. C'est quand je commençais à être sur le ventre « qu'elle m'a demander de la
branler et la sucer aussi . J'ai rendu tout « ce qu'elle m'a donne, sans égaler son
aisance.
« Nous avons recommencé souvent, avec d'autres clientes « nouvelles aussi. Je suis
devenue la coiffeuse à la mode chez les « connaisseuse de cette merveille qu'est le
lesbianisme. J'ai acheté « des jouets pour que ces dames en profitent quand elles
viennent « chez moi, bloquées sous un casque. Je les vois se donner du plaisir « sans
que j'ai à participer. Pas toujours je baise avec certaines assez « souvent. C'est
toujours bon.
« Depuis je baise rarement avec des hommes. Avec toi c'est « différent, tu m'as fait
tellement de bien que mon ventre rêve souvent « à ta queue quand je me branle. »
Elle m'excite à mort avec ses histoires de bonnes femmes. Je sais que le femmes sont
souvent attirées par une autre femme sans pour cela passer à l'action.
Tu la veux au cul alors.
Non dans la bouche d'abord, j'ai presque oublié le goût de ton jus.
Moi aussi, j'ai oublié ton goût, faisions un 69.
Ma langue entre dans un endroit pas humide, inondé. Je me souvient maintenant de son
goût de femme en chaleur : plus puissant que les autres. Pendant que sa langue fait
descendre le prépuce, je décalotte son bouton. Je passe le bout de la langue en huit.
Je sens ses mouvements autour de ma bouche, comme elle passe ses lèvres le long de ma
colonne. Nous prenons un plaisir partagé. Mais elle accélère pour que je jouisse vite.
Tant pis pour elle, je jouis dans la bouche vorace qui sans déguster avale ma semence.
Je continue mon cunnilingus, j'arrive à la faire jouir facilement presque après moi.
Nous échangeons encore un baiser, elle avec mon goût sur sa langue et moi avec le
sien. Elle sait me fait rebander vite en mettant des doigts sur mon cul et mes
couilles.
Elle se met en levrette, c'était sa position favorite qui lui permettait de se faire
mettre dans le sexe ou le cul tout en se masturbant comme je lui apprenais de faire.
La plus part du temps c'est elle qui choisissait le trou. Elle fait pareil. Elle
dirige ma queue vers le bas, son con. J'entre dans son ventre en sentant toutes les
aspérités de son vagin. J'y suis bien. Je la lime sans cesse sans doute plus d'un
quart d'heure. Cloé reprends ses anciens réflexes en se branlant aussi. Elle jouit, je
le sens aux spasmes de son ventre. Elle reprend ma bite pour la mettre sur l'anus.
J'entre quand elle fait le mouvement avec ses fesses. Je suis vite au fond. Nous
restons immobiles un petit moment pour savourer elle ma queue et moi son cul.
Elle me fait m'asseoir sur le lit, ma bite toujours dans le cul. Elle me demande de
lui passer son sac : elle en sort un gode assez gros. Que va-t-elle en faire. Je me
pose des questions bêtes : elle l'enfourne dans le vagin. Je le sens moi aussi à
travers ses parois fines.Je sens également son besoin d'accélérer la cadence. Je lui
caresse les seins, elle garde son gode dans le con avec une main et caresse en plus le
clitoris.
Chloé a changé, c'est évident. C'est devenu un être captif de ses besoins sexuels. Si
j''habitais près d'elle, ce serait comme quand elle avait 16 ans. Quand je l'oubliais
pour d'autres plus matures, plus mesurées sans doute.
épouse avec un copain de régiment : le temps passe vite quand nous évoquons les
anciens souvenirs, toujours les bons. Un peu avant le service militaire j'habitais une
petite ville où j'avais une âme de conquérant. Je ne cherchais qu'une seule chose,
baiser les filles. Je n'avais pas à me plaindre : j'arrivais souvent à mes fins,
souvent même avec des femmes mariées, bien avant qu'on ne parle de cougars. L'ardeur
n'attend pas le nombre des années. J'avais une régulière, Chloé que je ne sortais
quand cas de bide.Elle était jeune, presque trop. Mes copains me chinaient en me
disant que je l'avais prise au berceau. Le principal était que ma bite soit à l'abri
dans un ventre de fille. Elle débutait dans la coiffure comme apprentie.
A 16 ans, elle savait beaucoup de chose la première fois que nous nous sommes
retrouvés nus sur mon lit. Je n'étais pas son premier. Il ne lui manquait que la
sodomie qu'elle refusait toujours, d'après ce qu'elle m'en disait. Pourtant un jour,
comme pour lui faire une farce, je lui mettais ma pine sur l'anus. Je continuais
jusqu'à être totalement entre ses reins. Le plus fort est qu'elle ne se plaignait pas.
Elle n'a jouit qu'en même temps que moi quand je l'inondais de sperme.
Pour en revenir à la fête du village, nous sommes sortis avec le copain, sa femme et
l'ancien du régiment. Au milieu des baraques foraines, des manèges, avant la piste de
danse, il y avait beaucoup de monde, y compris beaucoup de la petite ville proche. Je
ne danse pratiquement jamais, je n'aime pas tellement me démener sur des musiques que
je n'apprécie pas du tout. Autour de la piste, pas mal de gens, des parents, des mères
à l’affût d'un faux pas de leur chérie.
Je remarque une silhouette qu'il me semble connaître. Moi qui ne suis pas du coin, je
me demande qui elle peut bien être. Curieux des filles bonnes à lever, je m'en
approche. C'est elle qui me regarde en souriant. Mais oui, c'est Chloé.
Nous nous embrassons sur le joues, pas ailleurs. Je l'invite à boire un café au
bistrot : bien sur il est plein de soulars ou d'assoiffés. Péniblement nous trouvons
une place entre un couple sur le point de faire l'amour au milieu des gens et d'un
couple de personnes âgées à la recherche de leur jeunesse.
Elle a un salon bien à elle où elle se débrouille plutôt bien.
Tu te souviens d'avant ?
Bien sur tu me baisais si bien.
Et toi tu étais déchaînées pendant tes jouissances. Tu es toujours ainsi.
En pire.
J'ai envie de recommencer une fois au moins.
Personne ne m'a enculé aussi bien que toi.
Où pouvons nous aller ?
Je connais un petit hôtel pas très loin.
Attends moi dehors, je vais dire au revoir à mes amis, nous prendront ma voiture.
Nous nous embrassons dès qu'elle monte. Son baiser se prolonge un bon moment.
J'ai envie de toi, de ta queue, de ta langue.
J'ai aussi envie de toi, de ton con, de ton cul, de ta langue sur ma queue.
Je me demande ce que peu être son « pire ». En attendant je pose ma main sur un
genoux. Ses jambes s'écartent de suite comme une invitation à poursuivre le chemin qui
mène à sa chatte. Je roule déjà depuis plus d'une demi heure quand enfin son hôtel
apparaît.
Nous sommes vite dans la chambre. Elle se jette à mon cou :
-Comme tu m'a manqué, que j'aimais ta queue dans mon con ou le cul. Enfin là où te me
la mettais. Baises moi.
Nous sommes très vite nus. Elle regarde ma queue, moi je la regarde simplement. Elle a
à peine grandie depuis ses 16 ans, ses seins sont à peine plus gros. Ce qui me choque
un peu est son pubis rasé. Nous nous embrassons encore longuement. Ma bite est contre
son ventre, elle sait fort bien s'en occuper comme avant. Elle ne me touche qu'avec
son ventre alors que je caresse les fesses toujours aussi musclées et dures.
Je me baisse pour être à sa hauteur, j'entre directement dans le con sans la prévenir,
comme je faisais parfois. J'entre un doigt dans l'anus, sans l'enfoncer beaucoup. Elle
en voudrait d'avantage. Je refuse de la faire pour l'instant.
Contrainte et forcée elle garde ma queue dans son vente en accompagnant mes
aller et venue. Elle sens son plaisir arriver :
- Je vais jouir.
Je me retire à ce moment là à son grand désespoir : elle se branle en désespoir de
cause. Je prends sa main pour qu'elle arrête.
Racontes moi ta vie avant.
Avant quoi ?
Te te la mettre comme il faut, racontes moi tout.
Oui.
« Voilà, quand tu es parti je n'avais plus d'amant. J'avais bien pris « l'habitude
avec toi de me branler souvent. Ce n'étais pas assez. J'ai « pu tirer un coup avec un
passant dans la ville. Puis j'en ai eu assez, je « suis venue ici, enfin là où je
suis, j'ai suivi les cours, j'ai mes diplômes « pour exercer la coiffure. J'ai pu
avoir un prêt assez facilement en « donnant mon corps à un responsable de la banque,
en plus il baisait « mal. Je sais c'est tricher, mais comment faire ? J'ai attendu
plusieurs « semaines avant de vivre de mon travail.
« Tu sais dans un salon de coiffure, les femmes parlent de « tout, surtout de sexe. Un
jour une cliente m'a demandé si j'aimais les « filles. J'en ai rougi en répondant bien
sur. Nous étions seules, elle en « a profité pour passer une main entre mes jambes.
Elle le faisait « parfaitement : j'en avait des frissons. Je ne te dis pas combien
j'avais « envie de jouir de sa main.
« Elle ne m'a pas branlé comme le ferait un homme. C'était « plus subtil, plus doux,
plus pénétrant. Elle m'a faite jouir comme « rarement. Elle m'a invité à venir le soir
chez elle. J'ai traîné pour y « aller. Finalement je ne regrette pas cette soirée qui
m'a convaincue « que les femmes savant mieux masturber que les hommes. J'ai goût sa
« langue dans ma bouche et sur mon con. Elle m'a faire jouir je ne sais « combien de
fois. C'est quand je commençais à être sur le ventre « qu'elle m'a demander de la
branler et la sucer aussi . J'ai rendu tout « ce qu'elle m'a donne, sans égaler son
aisance.
« Nous avons recommencé souvent, avec d'autres clientes « nouvelles aussi. Je suis
devenue la coiffeuse à la mode chez les « connaisseuse de cette merveille qu'est le
lesbianisme. J'ai acheté « des jouets pour que ces dames en profitent quand elles
viennent « chez moi, bloquées sous un casque. Je les vois se donner du plaisir « sans
que j'ai à participer. Pas toujours je baise avec certaines assez « souvent. C'est
toujours bon.
« Depuis je baise rarement avec des hommes. Avec toi c'est « différent, tu m'as fait
tellement de bien que mon ventre rêve souvent « à ta queue quand je me branle. »
Elle m'excite à mort avec ses histoires de bonnes femmes. Je sais que le femmes sont
souvent attirées par une autre femme sans pour cela passer à l'action.
Tu la veux au cul alors.
Non dans la bouche d'abord, j'ai presque oublié le goût de ton jus.
Moi aussi, j'ai oublié ton goût, faisions un 69.
Ma langue entre dans un endroit pas humide, inondé. Je me souvient maintenant de son
goût de femme en chaleur : plus puissant que les autres. Pendant que sa langue fait
descendre le prépuce, je décalotte son bouton. Je passe le bout de la langue en huit.
Je sens ses mouvements autour de ma bouche, comme elle passe ses lèvres le long de ma
colonne. Nous prenons un plaisir partagé. Mais elle accélère pour que je jouisse vite.
Tant pis pour elle, je jouis dans la bouche vorace qui sans déguster avale ma semence.
Je continue mon cunnilingus, j'arrive à la faire jouir facilement presque après moi.
Nous échangeons encore un baiser, elle avec mon goût sur sa langue et moi avec le
sien. Elle sait me fait rebander vite en mettant des doigts sur mon cul et mes
couilles.
Elle se met en levrette, c'était sa position favorite qui lui permettait de se faire
mettre dans le sexe ou le cul tout en se masturbant comme je lui apprenais de faire.
La plus part du temps c'est elle qui choisissait le trou. Elle fait pareil. Elle
dirige ma queue vers le bas, son con. J'entre dans son ventre en sentant toutes les
aspérités de son vagin. J'y suis bien. Je la lime sans cesse sans doute plus d'un
quart d'heure. Cloé reprends ses anciens réflexes en se branlant aussi. Elle jouit, je
le sens aux spasmes de son ventre. Elle reprend ma bite pour la mettre sur l'anus.
J'entre quand elle fait le mouvement avec ses fesses. Je suis vite au fond. Nous
restons immobiles un petit moment pour savourer elle ma queue et moi son cul.
Elle me fait m'asseoir sur le lit, ma bite toujours dans le cul. Elle me demande de
lui passer son sac : elle en sort un gode assez gros. Que va-t-elle en faire. Je me
pose des questions bêtes : elle l'enfourne dans le vagin. Je le sens moi aussi à
travers ses parois fines.Je sens également son besoin d'accélérer la cadence. Je lui
caresse les seins, elle garde son gode dans le con avec une main et caresse en plus le
clitoris.
Chloé a changé, c'est évident. C'est devenu un être captif de ses besoins sexuels. Si
j''habitais près d'elle, ce serait comme quand elle avait 16 ans. Quand je l'oubliais
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai jouis en lisant ton histoire
Des fautes, des "<<" absolument partout, des passages incompréhensibles... Bref. Je peux
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