La collègue cocu - histoire érotique

Bonjour,
Ma femme me surprend de jour en jour.
Un soir, en rentrant du son boulot, elle est accompagnée de sa collègue Éva.
Je suis surpris et je me demande pourquoi sa collègue est pratiquement en pleure.
Elle me dit qu’elle a été obligée de quitter son copain car elle l’a surpris avec une autre femme dans le salon et il était en train de la besogner, ce qu’elle n’a pas supporté.
Valérie m’explique à voix haute les détails, que son copain n’a pas manqué de toupet car il lui a proposé de faire une partie à trois mais comme elle a refusé, il ne s’est pas arrêté de baiser sa maitresse sous ses yeux, toute médusée de voir la bite de son homme pénétrer la vulve d’une autre et qu’elle jouissait par des cris.
Il n’en faut pas plus pour me provoquer une excitation.
Valérie se dirige vers Éva et la prend dans ses bras pour lui dire qu’elle a bien fait de quitter ce goujat qui s’y est très mal pris.
Ma femme se dirige avec Éva sur le canapé puis s’assoie à côté d’elle pour lui expliquer qu’elle avait eu une vie sexuelle complètement loupée à cause de préjugés et auto-restriction de se limiter à du plaisir en seulement une position et que cela aille le plus vite possible.
Elle entame alors sur l’intervention la première fois de sa patronne et de son mari.
Éva est surprise et commence à lui poser des questions sur notre couple et pourquoi elle a changé brusquement de désirs.
Valérie lui explique alors les étapes qu’il nous a fallu pour nous débrider et comprendre que le plaisir de notre couple ne pouvait continuer d’exister que si nous faisions plaisir à l’autre et que nous partagions les mêmes plaisirs et toujours dans le respect de la limite de chacun.
Valérie, commençait à caresser les mains d’Eva, j’ai compris que Valérie avait un plan et qu’elle voulait tester sa collègue sous toutes les coutures et peut être lui donner aussi du plaisir.
Éva est jolie et bien galbée. Je sais que mon épouse aime les femmes avec quelques formes et plutôt timide comme elle.
Je me lève et je prétexte que je dois prendre ma douche pour les laisser seules.
Je prends ma douche et je m’aperçois que dans l’entrebâillement de la porte, Éva me regarde et derrière elle, Valérie a ses mains sur ses épaules.
Je me lave et passe de la mousse partout. J’entends Éva qui dit à Valérie que je suis rasé au niveau du sexe mais qu’elle remarque que mon sexe est plus gros que celui de son ex-copain, alors que je ne suis pas encore en érection.
Finalement elles disparaissent et je fini de ma laver tranquillement.
Je sors de la douche et je passe un short de courses à pied puis une veste de survêtement. Je me pouponne sans aucune arrière-pensée et je me dirige vers la cuisine pour préparer à manger.
Je ne vois pas les filles, alors je prépare la cuisson et je mets la table.
Je les appels pour les inviter à venir manger, mais aucune réponse, j’insiste pour qu’elles me rejoignent et Valérie me répond enfin qu’elles arrivent.
Et voilà qu’elles arrivent toutes les deux habillées, en chemise de nuit et peignoirs.
Je trouve qu’elles sont bien collées l’une contre l’autre pour être seulement collègue.
Nous prenons le diner et nous discutons de la vie de chacun puis Valérie explique à Éva qu’elle doit faire se quelle souhaite et surtout quand elle le veut.
Après le repas je vais à mon bureau pour traiter notre comptabilité, mes mails, consulter les sites et je ne m’occupe plus des filles.
Il est 23h30, je vais me coucher et j’entends des gémissements dans notre chambre d’amis. Je m’approche et je vois Valérie qui a la main sous la chemise de nuit de Éva qui gémie à chaque mouvement de la main de Valérie.
Elle me fait signe de partir.
Je les laisse à leurs plaisirs et je me couche malgré les gémissements en m’imaginant quelles me rejoindraient peut-être un peu plus tard.
Au bout d’un moment ce sont plus des gémissements que j’entendais mais Valérie qui criait de plaisir. Je me relève pour observer comment Éva s’y prend pour faire crier Valérie comme ça.
Je vois Éva qui est positionnée derrière Valérie qui est à quatre pattes et elle lui a introduit le manche de la brosse à WC dans le vagin. Pourtant le manche n’est pas d’un gros diamètre mais je pense que Éva le manipule avec habilité, d’une façon en faisant des cercles tout en le rentrant et le sortant.
Valérie me voit et me fait signe encore une fois de partir de la main.
Je retourne me coucher avec le sexe en érection mais rien pour moi ce soir.
Éva pousse des cris à son tour et je les entends toutes les deux s’arrêter, il est près de 2h00 de matin puis Valérie me rejoint dans le lit.
Elle me dit qu’Éva s’est donnée à fond et qu’elle est épuisée de fatigue mais de bonheur d’avoir découvert la relation lesbienne avec elle.
Valérie m’embrasse et m’avoue qu’elle est restée sur sa faim et qu’elle aimerait bien la baiser le week-end prochain.
Nous nous endormons mais je suis réveillé dans la nuit par des chuchotements.
Je passe ma main sur le lit pour toucher Valérie et elle n’est pas là.
Je me lève alors pour aller voir se qu’il se passe, et je vois de la lumière dans la chambre d’Éva qui me laisse penser que Valérie est avec elle.
J’arrive devant la porte et sans me cacher face à elles, je constate que Valérie est équipée du gode ceinture noire et qu’il est enduit de gel qui le rends luisant.
Valérie ne laisse pas le choix à Éva, et la pénètre directement d’un coup se qui la fait crier, puis Valérie lui attrape les cheveux pour donner des coups de reins puissants afin que le gode rentre jusqu’à la garde.
Valérie insulte Éva « T’aime ça ma bite, tu pensais dormir tranquille alors que tu ne m’as pas sodomisée ? je vais t’apprendre les bonnes manières et tu vas me rendre la punition, petite salope »
Valérie lui lime la vulve frénétiquement et Éva crie de jouissance, mais Valérie m’ordonne de rentrer et de lui mettre ma bite dans la bouche pour atténuer les cris.
Je n’en reviens pas, je bande comme un taureau, alors je me présente devant Éva et je relève un côté de mon short pour laisser sortie ma bite bien raide.
Éva a les yeux à moitiés ouverts et elle les écarquille complètement à la vue de mon sexe devant son visage. Elle ouvre la bouche instinctivement et je lui enfonce mon sexe en fond de gorge. Je suis encouragé par Valérie qui me dit de lui baiser la bouche et de décharger dans les amygdales.
Valérie me dit qu’Éva aime le sperme et qu’elle est une bonne chienne en chaleur.
« Vas-y mon chéri, n’hésite pas bourre lui bien la gueule et donne-lui du plaisir »
Moi « Arrête Valérie de m’exciter comme ça je vais décharger si ça continue »
« Ne fait pas chier décharge, magne toi salaud, surtout tiens lui la tête pour qu’elle avale tout. Elle a mis du parfum pour nous exciter, elle est venue pour apprendre et comment est le vrai plaisir »
L’excitation est trop grande et Éva bave beaucoup, ce qui m’excite trop.
Je n’en peux plus et je décharge une dose de sperme en lui bloquant la tête.
Valérie continue de la secouer avec son gode et arrête lorsque je me retire de la bouche d’ Éva.
Éva déclare à Valérie que mon sperme à très bon gout et qu’il n’est pas épais comme celui de son ex-copain.
Valérie lui rétorque qu’elle avait bien fait alors de venir chez nous.
Ma dulcinée retire son gode et me demande de la baiser devant Éva, ce que j’accepte bien volontiers malgré l’heure en pleine nuit.
J’impose à Valérie de le faire dans le salon sur la grande partie du canapé et je veux qu’elle mette le drap en vinyle noir sur toute la surface.
Pendant que je me dirige vers le salon pour préparer le canapé, Valérie murmure quelque chose à Éva.
Je vois Valérie qui me rejoint dans le salon et se couche sur le dos et sur la toile noir brillant. Elle écarte aussitôt les jambes et se masturbe aussitôt.
Je me mets à genoux et me penche aussitôt pour sucer son sexe après lui avoir retirer les doigts. Son sexe est dégoulinant de plaisirs.
Je ne vois pas Éva, mais après quelques minutes, je me décide à pénétrer Valérie car j’ai repris une bonne érection.
La pénétration est très facile et Valérie m’attrape par la nuque afin de m’embrasser à pleine bouche. Je suis partie pour la limer correctement et j’aimerai qu’elle grogne de plaisir pour qu’Éva entende depuis sa chambre.
D’un seul coup je sens deux mains qui me caresse le dos.
C’est Éva qui est derrière moi et elle se positionne entre mes cuisses pour me passer une main entre les fesses et descendre jusqu’aux couilles. Elle me les agrippe en accompagnant la pénétration de mon sexe dans Valérie. Elle place sa deuxième main à l’entrée de mon cul.
Valérie lui dit de me mettre un doigt dans le cul et de faire la même chose que ce qu’elle lui a fait avec la brosse à chiottes.
Elle exécute aussitôt la pénétration et je la sens tourner son petit doigt juste à l’entrée.
La sensation est très agréable sur l’excitation à l’entrée de l’anus.
Je ne peux pas voir ce qu’elle me fait mais seulement ressentir ses actions.
J’adore ça et j’accentue les vas et viens dans le sexe de Valérie, ce qui augmente la pénétration du doigt d’Éva dans ma rondelle.
La coquine a compris et force d’avantage pour introduire complètement son majeur et m’écarte l’anus à fond.
Je grogne de plaisirs à l’unisson de Valérie.
Valérie dit à Éva « Vas-y maintenant ! », et elle me saisie à nouveau la tête à deux mains pour m’embrasser.
Je sens qu’Éva retire son doigt et juste après je me rend compte qu’elle est entrain de m’introduire sans doute le gode de Valérie, qu’elle a dû se mettre avant de nous rejoindre dans le salon.
Elle m’introduit le gode maladroitement et je comprends qu’elle n’a jamais fait ça à un homme. Alors je prends l’initiative de forcer la pénétration en reculant.
Elle s’agrippe à mes hanches avec ces mains délicatement.
Valérie me lâche la bouche et ordonne à Éva de me pilonner car ses coups vont me faire rebondir pour qu’ont baise à trois.
Éva exécute et attrape les mains de Valérie pour avoir plus de force pour la pénétration dans mon cul.
Nous avons baisé pendant de longues minutes jusqu’au cris de Valérie et mon éjaculation.
Nous nous sommes désaccouplés et Valérie a proposé à Éva de venir lui lécher le sexe et de profiter du débordement de mon sperme qui coule sur le vinyle noir sous elle.
Éva se positionne et lèche correctement jusqu’à laisser propre la toile.
Nous nous sommes couchés mais Éva est resté à la maison pendant 8 jours qui n’ont pas été très sage.
Si cela vous dit, n’hésitez pas à me retourner un message sur mes histoires et continuer à vous faire le récit des jours suivants.
Amitiés