La communauté de Flor
Récit érotique écrit par Mynona [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2003 dans la catégorie Pour la première fois
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La communauté de Flor
Seize août, au cœur de l'été, je traversais l'Italie en voiture pour rejoindre mes
amis en Sicile avec lesquels nous devions passer quelques semaines de vacances en bord de mer.
Je roulais bon train depuis le matin six heures. Le soleil commençais à amorcer sa
descente derrière l'horizon, la fatigue et les douleurs musculaires commençaient,
quant à elles, à apparaître après seize heures de route. Il devenait nécessaire que je fasse une halte, quelque-part dans la campagne milanaise, pour quelques heures de repos.
Je roulais en quête d'un endroit tranquille, le soleil rougeoyant donnait une teinte
pastel au paysage et la chaleur accablante persistait. La nuit allait être chaude. Je
m'engageais sur un chemin de terre bordé d'arbres fruitiers. Je stoppais le moteur,
inclinais mon siège et commençais à m'assoupir. L'endroit était calme et semblait loin de toute habitation. Soudain, quelqu'un s'approchait sans bruit.
- "bonsoir voyageur"
Surpris, je bondit sur mon siège, mais ma crainte s'estompait immédiatement. Une jeune femme d'une trentaine d'années, d'une beauté éblouissante, entrepris d'engager la
conversation:
- "envisages-tu de passer la nuit ici, dans ta voiture? tu sembles fatigué par un long trajet. D'où viens-tu?... Où vas-tu?... "
J'expliquais à cette jeune elfe italienne, sortie de nulle part, les raisons de ma
présence ici et mon intention d'y passer la nuit. Elle avait une voix douce et parlait sur ce ton si particulier que possèdent ceux qui connaissent les lois complexes d'un accueil véritablement chaleureux.
- "viens donc passer la nuit dans notre communauté, tu pourras y recouvrer tes forces,
dormir confortablement et reprendre ta route demain. Suis-moi si tu le désires. Je me
nomme Flor."
J'acceptais cette invitation inopinée. Mon hôte Flor me montra le chemin. Je la
suivais au pas. Son allure et sa démarche semblaient être celles d'un dauphin dans
l'océan. Elle était vêtue d'une manière minimaliste. Un pagne multicolore enroulé
autour de ses hanches fines couvrait à peine ses fesses rebondies et laissait nues ses longues jambes galbées qui semblaient avoir été moulées des mains de Rodin en
personne. Deux fines plaques de cuir lui servaient de sandalettes, une pâquerette
accrochée à une chaînette d'argent ornait une cheville, lui conférant une touche de
magie. Un bout d'étoffe crochetée entourait à peine sa poitrine ferme et laissait nu
son ventre, son dos et ses épaules. Dans sa longue chevelure rousse, volumineuse et
bouclée, elle avait savamment placé un rameau de fleurs séchées aux couleurs vives.
Une multitude de bracelets confectionnés artisanalement entouraient ses bras et
produisait un léger cliquetis à chacun de ses pas. Ses grands yeux couleur noisette et son sourire angélique éclairaient son visage fin. Je devinais un tatouage qui
dépassait de son pagne et devait se prolonger sur sa fesse gauche. Cette elfe
italienne me conduisait vers un nouvel ailleurs, je me laissais guider, envoûté par sa beauté candide et son charme silencieux. Après quelques minutes de marche, nous sommes arrivés dans une prairie verdoyante entourée de grands arbres, sur laquelle étaient installés une batterie de tentes, de tipis indiens, de camionnettes multicolores. Des feux de camps étaient déjà allumés, ça et là. Des hommes et des femmes étaient assis là, allongés ici, d'autres jouaient de la guitare. Mon hôte, Flor, me fît entrer sous un tipi de grande taille où je pouvais poser mes affaires. Elle me présenta à un homme dont la beauté égalait celle de mon ôte. Elle semblait lui expliquer, dans une langue que je ne comprenais pas, les raisons de ma présence. L'homme s'adressait à moi:
- "tu es le bienvenu parmi nous, voyageur. Ta route a été longue aujourd'hui, ton
corps et ton visage affichent les stigmates de la fatigue accumulée. Après que tu te
sois restauré, les femmes vont s'occuper de ton corps, ainsi tu pourras dormir ici
cette nuit et repartir régénéré demain."
Les femmes vont s'occuper de ton corps!!, j'avais quelque peu de mal à juger du sens
précis de cette phrase. J'étais plutôt satisfait de cette proposition, bien qu'à juste dix neuf ans et très inexpérimenté en matière de femmes et de contact charnel de toute sorte, la crainte de l'inconnu commençait à doucement m'habiter. Après avoir dégusté quelques victuailles autour d'un feu de bois, Flor saisit ma main, m'amena quelques mètres plus loin, m'invitant à m'allonger sur une grande natte moelleuse posée à même le sol. Elle s'éloigna un instant et revint accompagnée de quatre femmes sensiblement du même âge qu'elle.
- "voici Margarita, voici Marina, voici Nali et voici Camelia. Quel est ton nom,
voyageur?"
- "Stephan."
- "détend-toi Stephan, tu es en parfaite sécurité ici. Nous allons nous occuper de ton corps, le régénérer, lui apporter l'énergie dont il a besoin pour que tu puisses
poursuivre ta route. "
Mes cinq sylphides italiennes s'agenouillèrent, formant un cercle autour de moi.
Margarita et Marina à ma droite, Nali et Camelia à ma gauche, Flor au dessus de ma
tête.
- "le seul effort que tu dois fournir est de penser à te détendre du mieux que tu le
peux" insista Flor.
- "c'est que je n'ai pas l'habitude d'être entouré de cinq belles femmes, je suis très troublé."
- "le plaisir que tu en retireras sera d'autant plus fort, laisse toi guider jeune
globe-trotter."
Margarita et Nali commencèrent par ôter mes souliers, puis entreprirent de déboutonner la braguette de mes pantalons et tirèrent vers le bas pour le retirer complètement.
Marina et Camelia remontèrent mon tee-shirt et l'ôtèrent également. Je me retrouvais
dans le plus simple appareil, seul mon slip cachait la plus intime partie de mon
corps. Des bâtons d'encens brûlaient et dégageaient un parfum relaxant. Margarita et
Nali massaient la plante de mes pieds douloureux en exerçant de légères pressions des
pouces, Nali et Camelia malaxaient les paumes de mes mains puis remontaient le long de mes bras. Des frissons circulaient sur toute la surface de mon corps que je
m'efforçais de contrôler. D'abord penser à me décrisper, ensuite, ne pas avoir une
érection qui me mettrait dans une situation gênante. Flor, postée au dessus de ma
tête, laissait courir une petite plume d'oie duveteuse sur mon visage, dans les
replis de mes oreilles. Je commençais à trouver ce traitement délicieux, je sentais
mon corps se relâcher sensiblement. Mes cinq hôtes chantonnaient un air joyeux du bout de leurs lèvres. Margarita et Nali malaxaient maintenant mes mollets et mes cuisses.
Je sentais leurs mains douces et agiles remonter progressivement vers l'intérieur de
mes cuisses. Il devenait difficile pour moi de contrôler l'activité réflexe de mon
sexe. Je décidais de ne plus y penser et de laisser faire les choses naturellement.
Mon pénis se mis a gonfler légèrement. Les doigts qui courraient sur mes jambes
arrivèrent tout en haut et butèrent sur les os de mon bassin, je les sentis glisser
dans l'espace restreint entre mes cuisses et mes bourses. Là, mon pénis se tendit
jusqu'à occuper une place imposante sous l'étoffe de mon slip. Je regardais tour à
tour les visages de mes hôtes pour essayer de juger de leurs réactions face à mon
érection intempestive. Marina et Camelia massaient maintenant mon torse et mon ventre.
Mon sexe tentait de s'échapper de son fourreau, le plaisir devenait très intense.
- "tu n'as pas à ressentir une quelconque gêne, jeune baroudeur, la nature t'as doté
d'une verge sensible et érectile, laisse faire notre bonne nature, contente toi de
cueillir les fruits du plaisir que ta verge te procure. Nous ne sommes nullement
troublées par ton érection, au contraire, elle prouve que tu apprécies notre
traitement, elle nous honore."
- "je suis aussi très honoré", dis-je bêtement pour avoir simplement quelque chose à
dire en retour.
La petite plume descendait vers mon torse, courrait autour de mes tétons inutiles mais sensibles, obligeant Flor à s'avancer au dessus de moi. Je voyais alors le sublime spectacle de ses seins galbés se balancer lentement au dessus de mon visage. Je sentis quatre mains plonger sous le tissus de mon slip, ma respiration s'accélérait subitement. Une main enveloppait mon gland, une autre ma verge, les deux autres roulaient délicatement sur toute la surface de mes couilles. Nali ôta entièrement mon slip, le faisant coulisser le long de mes cuisses détendues. J'étais nu comme au premier jour, une érection en prime.. La bouche de Nali absorba mon gland, je sentais sa langue s'agiter tout autour de mon gland turgescent. Flor remontait l'étoffe minuscule pour découvrir entièrement ses seins, elle entrepris de lents va-et-vient de gauche à droite, frottant les pointes érigées de ses mamelons bruns sur mon visage, et dit:
- "c'est la première fois, n'est-ce pas?"
- "oui"
- "c'est alors un beau présent que tu nous offre à ton tour, la beauté de la virginité
masculine."
Entre les deux seins qui caressaient mon visage, j'observais la bouche de Nali qui
accélérait sur toute la longueur de ma verge.
- "HHhhhhhhhh........"
Huit mains délicates continuaient de caresser ma peau dans ses moindres détails.
J'étirais ma langue pour goûter aux seins que Flor faisait rouler sur mon visage. Quel
plaisir, quel bonheur! Le contact de ma langue lui arracha un long soupir de plaisir.
Soudain, les cinq femmes stoppèrent ensemble et se redressèrent.
- "Veux-tu perdre ta virginité ce soir, te sens-tu prêt?"
- "oui, je suis prêt."
- "laquelle d'entre nous cinq veux-tu ?, choisi"
- "je veux bien que ce soit Camélia"
Camélia se leva, se positionnant debout à cheval au dessus de mon ventre. Elle ôta
son soutien gorge pour laisser surgir de gros et longs seins généreux. Elle défit
ensuite le noeud qui tenait son pagne, pour offrir à ma vue la beauté de son sexe
poilu et la courbe sublime de ses hanches potelées. Elle caressa un peu son corps,
puis plia doucement ses genoux pour amorcer une lente descente de son sexe vers le
mien. Soudain, le contact. Je sentis une chaleur humide envelopper mon gland, puis
glisser jusqu'au bas de ma queue. Assise sur moi, mon pénis entièrement absorbé, elle
resta immobile quelques secondes avant de remonter lentement. Elle accélérait ses va-et-vient le long de ma verge, elle commençait à émettre des murmures de plaisir. Moi aussi. Les quatre autres femmes posèrent à nouveau leurs mains sur moi, quand le
rythme de Camelia se fit plus rapide.
- "c'est délicieux, c'est délicieux...Ahhhmmmnnn...."
Flor avait repris sa place, se tenant debout, ses longues jambes entrouvertes au
dessus de ma tête. Elle était entièrement nue à présent. Je voyais les replis de sa
vulve, elle faisait danser langoureusement son bassin au rythme des murmures musicaux.
Elle amorça, elle aussi une lente descente circulaire, pliant ses genoux. Camélia
allait et venait sur mon sexe, les mains couraient sur mon corps et je voyais
s'approcher lentement de mon visage le sexe et les fesses rebondies de Flor. Je sentis les poils pubiens de Flor effleurer ma bouche. Instinctivement, je bougeais mes bras pour la première fois depuis que j'étais ainsi allongé, je saisi dans chacune de mes mains les jolies fesses fermes de Flor et plongeais ma langue entre ses lèvres vaginales. Je me mis à lécher, lécher, lécher encore. Ce goût nouveau m'enivrait.
Camélia s'était mise à lécher les seins de Flor, Flor laisser échapper de sa gorge des murmures de plaisir d'intensité croissante.
- "ta langue me conduit vers l'orgasme, jeune voyageur, Hhhmmmouuuiiii...., c'est si
bonnnnn....."
Ces quelques mots me conduisirent, moi aussi, à l'orgasme. J'étais sur le point
d'éjaculer. Camélia avait dû le ressentir et se retirait subitement. Elle agrippa ma
verge à pleine main et me branla énergiquement. Mon sperme gicla en un feu d'artifice.
J'étais défloré par Flor et ses amies. Je venais de passer une étape importante dans
mon existence. Les battements de mon coeur et le rythme de ma respiration revenaient
doucement à la normale. Marina avait saisi un linge propre et humide et nettoyait mon
corps. Nous nous relevions tous les six. Margarita m'enveloppa d'un grand pagne chaud.
Deux hommes se joignirent à nous, il apportaient du thé chaud. L'un d'eux m'adressa un sourire complice. Tard dans la nuit, je m'endormis près du feu. Je me réveillais au petit matin, je savais que j'allais éprouver beaucoup de difficulté pour quitter la communauté de mes hôtes et reprendre ma route. Ces êtres dotés d'une grande
spiritualité connaissent les règles complexes d'un accueil chaleureux.
Mynona.
amis en Sicile avec lesquels nous devions passer quelques semaines de vacances en bord de mer.
Je roulais bon train depuis le matin six heures. Le soleil commençais à amorcer sa
descente derrière l'horizon, la fatigue et les douleurs musculaires commençaient,
quant à elles, à apparaître après seize heures de route. Il devenait nécessaire que je fasse une halte, quelque-part dans la campagne milanaise, pour quelques heures de repos.
Je roulais en quête d'un endroit tranquille, le soleil rougeoyant donnait une teinte
pastel au paysage et la chaleur accablante persistait. La nuit allait être chaude. Je
m'engageais sur un chemin de terre bordé d'arbres fruitiers. Je stoppais le moteur,
inclinais mon siège et commençais à m'assoupir. L'endroit était calme et semblait loin de toute habitation. Soudain, quelqu'un s'approchait sans bruit.
- "bonsoir voyageur"
Surpris, je bondit sur mon siège, mais ma crainte s'estompait immédiatement. Une jeune femme d'une trentaine d'années, d'une beauté éblouissante, entrepris d'engager la
conversation:
- "envisages-tu de passer la nuit ici, dans ta voiture? tu sembles fatigué par un long trajet. D'où viens-tu?... Où vas-tu?... "
J'expliquais à cette jeune elfe italienne, sortie de nulle part, les raisons de ma
présence ici et mon intention d'y passer la nuit. Elle avait une voix douce et parlait sur ce ton si particulier que possèdent ceux qui connaissent les lois complexes d'un accueil véritablement chaleureux.
- "viens donc passer la nuit dans notre communauté, tu pourras y recouvrer tes forces,
dormir confortablement et reprendre ta route demain. Suis-moi si tu le désires. Je me
nomme Flor."
J'acceptais cette invitation inopinée. Mon hôte Flor me montra le chemin. Je la
suivais au pas. Son allure et sa démarche semblaient être celles d'un dauphin dans
l'océan. Elle était vêtue d'une manière minimaliste. Un pagne multicolore enroulé
autour de ses hanches fines couvrait à peine ses fesses rebondies et laissait nues ses longues jambes galbées qui semblaient avoir été moulées des mains de Rodin en
personne. Deux fines plaques de cuir lui servaient de sandalettes, une pâquerette
accrochée à une chaînette d'argent ornait une cheville, lui conférant une touche de
magie. Un bout d'étoffe crochetée entourait à peine sa poitrine ferme et laissait nu
son ventre, son dos et ses épaules. Dans sa longue chevelure rousse, volumineuse et
bouclée, elle avait savamment placé un rameau de fleurs séchées aux couleurs vives.
Une multitude de bracelets confectionnés artisanalement entouraient ses bras et
produisait un léger cliquetis à chacun de ses pas. Ses grands yeux couleur noisette et son sourire angélique éclairaient son visage fin. Je devinais un tatouage qui
dépassait de son pagne et devait se prolonger sur sa fesse gauche. Cette elfe
italienne me conduisait vers un nouvel ailleurs, je me laissais guider, envoûté par sa beauté candide et son charme silencieux. Après quelques minutes de marche, nous sommes arrivés dans une prairie verdoyante entourée de grands arbres, sur laquelle étaient installés une batterie de tentes, de tipis indiens, de camionnettes multicolores. Des feux de camps étaient déjà allumés, ça et là. Des hommes et des femmes étaient assis là, allongés ici, d'autres jouaient de la guitare. Mon hôte, Flor, me fît entrer sous un tipi de grande taille où je pouvais poser mes affaires. Elle me présenta à un homme dont la beauté égalait celle de mon ôte. Elle semblait lui expliquer, dans une langue que je ne comprenais pas, les raisons de ma présence. L'homme s'adressait à moi:
- "tu es le bienvenu parmi nous, voyageur. Ta route a été longue aujourd'hui, ton
corps et ton visage affichent les stigmates de la fatigue accumulée. Après que tu te
sois restauré, les femmes vont s'occuper de ton corps, ainsi tu pourras dormir ici
cette nuit et repartir régénéré demain."
Les femmes vont s'occuper de ton corps!!, j'avais quelque peu de mal à juger du sens
précis de cette phrase. J'étais plutôt satisfait de cette proposition, bien qu'à juste dix neuf ans et très inexpérimenté en matière de femmes et de contact charnel de toute sorte, la crainte de l'inconnu commençait à doucement m'habiter. Après avoir dégusté quelques victuailles autour d'un feu de bois, Flor saisit ma main, m'amena quelques mètres plus loin, m'invitant à m'allonger sur une grande natte moelleuse posée à même le sol. Elle s'éloigna un instant et revint accompagnée de quatre femmes sensiblement du même âge qu'elle.
- "voici Margarita, voici Marina, voici Nali et voici Camelia. Quel est ton nom,
voyageur?"
- "Stephan."
- "détend-toi Stephan, tu es en parfaite sécurité ici. Nous allons nous occuper de ton corps, le régénérer, lui apporter l'énergie dont il a besoin pour que tu puisses
poursuivre ta route. "
Mes cinq sylphides italiennes s'agenouillèrent, formant un cercle autour de moi.
Margarita et Marina à ma droite, Nali et Camelia à ma gauche, Flor au dessus de ma
tête.
- "le seul effort que tu dois fournir est de penser à te détendre du mieux que tu le
peux" insista Flor.
- "c'est que je n'ai pas l'habitude d'être entouré de cinq belles femmes, je suis très troublé."
- "le plaisir que tu en retireras sera d'autant plus fort, laisse toi guider jeune
globe-trotter."
Margarita et Nali commencèrent par ôter mes souliers, puis entreprirent de déboutonner la braguette de mes pantalons et tirèrent vers le bas pour le retirer complètement.
Marina et Camelia remontèrent mon tee-shirt et l'ôtèrent également. Je me retrouvais
dans le plus simple appareil, seul mon slip cachait la plus intime partie de mon
corps. Des bâtons d'encens brûlaient et dégageaient un parfum relaxant. Margarita et
Nali massaient la plante de mes pieds douloureux en exerçant de légères pressions des
pouces, Nali et Camelia malaxaient les paumes de mes mains puis remontaient le long de mes bras. Des frissons circulaient sur toute la surface de mon corps que je
m'efforçais de contrôler. D'abord penser à me décrisper, ensuite, ne pas avoir une
érection qui me mettrait dans une situation gênante. Flor, postée au dessus de ma
tête, laissait courir une petite plume d'oie duveteuse sur mon visage, dans les
replis de mes oreilles. Je commençais à trouver ce traitement délicieux, je sentais
mon corps se relâcher sensiblement. Mes cinq hôtes chantonnaient un air joyeux du bout de leurs lèvres. Margarita et Nali malaxaient maintenant mes mollets et mes cuisses.
Je sentais leurs mains douces et agiles remonter progressivement vers l'intérieur de
mes cuisses. Il devenait difficile pour moi de contrôler l'activité réflexe de mon
sexe. Je décidais de ne plus y penser et de laisser faire les choses naturellement.
Mon pénis se mis a gonfler légèrement. Les doigts qui courraient sur mes jambes
arrivèrent tout en haut et butèrent sur les os de mon bassin, je les sentis glisser
dans l'espace restreint entre mes cuisses et mes bourses. Là, mon pénis se tendit
jusqu'à occuper une place imposante sous l'étoffe de mon slip. Je regardais tour à
tour les visages de mes hôtes pour essayer de juger de leurs réactions face à mon
érection intempestive. Marina et Camelia massaient maintenant mon torse et mon ventre.
Mon sexe tentait de s'échapper de son fourreau, le plaisir devenait très intense.
- "tu n'as pas à ressentir une quelconque gêne, jeune baroudeur, la nature t'as doté
d'une verge sensible et érectile, laisse faire notre bonne nature, contente toi de
cueillir les fruits du plaisir que ta verge te procure. Nous ne sommes nullement
troublées par ton érection, au contraire, elle prouve que tu apprécies notre
traitement, elle nous honore."
- "je suis aussi très honoré", dis-je bêtement pour avoir simplement quelque chose à
dire en retour.
La petite plume descendait vers mon torse, courrait autour de mes tétons inutiles mais sensibles, obligeant Flor à s'avancer au dessus de moi. Je voyais alors le sublime spectacle de ses seins galbés se balancer lentement au dessus de mon visage. Je sentis quatre mains plonger sous le tissus de mon slip, ma respiration s'accélérait subitement. Une main enveloppait mon gland, une autre ma verge, les deux autres roulaient délicatement sur toute la surface de mes couilles. Nali ôta entièrement mon slip, le faisant coulisser le long de mes cuisses détendues. J'étais nu comme au premier jour, une érection en prime.. La bouche de Nali absorba mon gland, je sentais sa langue s'agiter tout autour de mon gland turgescent. Flor remontait l'étoffe minuscule pour découvrir entièrement ses seins, elle entrepris de lents va-et-vient de gauche à droite, frottant les pointes érigées de ses mamelons bruns sur mon visage, et dit:
- "c'est la première fois, n'est-ce pas?"
- "oui"
- "c'est alors un beau présent que tu nous offre à ton tour, la beauté de la virginité
masculine."
Entre les deux seins qui caressaient mon visage, j'observais la bouche de Nali qui
accélérait sur toute la longueur de ma verge.
- "HHhhhhhhhh........"
Huit mains délicates continuaient de caresser ma peau dans ses moindres détails.
J'étirais ma langue pour goûter aux seins que Flor faisait rouler sur mon visage. Quel
plaisir, quel bonheur! Le contact de ma langue lui arracha un long soupir de plaisir.
Soudain, les cinq femmes stoppèrent ensemble et se redressèrent.
- "Veux-tu perdre ta virginité ce soir, te sens-tu prêt?"
- "oui, je suis prêt."
- "laquelle d'entre nous cinq veux-tu ?, choisi"
- "je veux bien que ce soit Camélia"
Camélia se leva, se positionnant debout à cheval au dessus de mon ventre. Elle ôta
son soutien gorge pour laisser surgir de gros et longs seins généreux. Elle défit
ensuite le noeud qui tenait son pagne, pour offrir à ma vue la beauté de son sexe
poilu et la courbe sublime de ses hanches potelées. Elle caressa un peu son corps,
puis plia doucement ses genoux pour amorcer une lente descente de son sexe vers le
mien. Soudain, le contact. Je sentis une chaleur humide envelopper mon gland, puis
glisser jusqu'au bas de ma queue. Assise sur moi, mon pénis entièrement absorbé, elle
resta immobile quelques secondes avant de remonter lentement. Elle accélérait ses va-et-vient le long de ma verge, elle commençait à émettre des murmures de plaisir. Moi aussi. Les quatre autres femmes posèrent à nouveau leurs mains sur moi, quand le
rythme de Camelia se fit plus rapide.
- "c'est délicieux, c'est délicieux...Ahhhmmmnnn...."
Flor avait repris sa place, se tenant debout, ses longues jambes entrouvertes au
dessus de ma tête. Elle était entièrement nue à présent. Je voyais les replis de sa
vulve, elle faisait danser langoureusement son bassin au rythme des murmures musicaux.
Elle amorça, elle aussi une lente descente circulaire, pliant ses genoux. Camélia
allait et venait sur mon sexe, les mains couraient sur mon corps et je voyais
s'approcher lentement de mon visage le sexe et les fesses rebondies de Flor. Je sentis les poils pubiens de Flor effleurer ma bouche. Instinctivement, je bougeais mes bras pour la première fois depuis que j'étais ainsi allongé, je saisi dans chacune de mes mains les jolies fesses fermes de Flor et plongeais ma langue entre ses lèvres vaginales. Je me mis à lécher, lécher, lécher encore. Ce goût nouveau m'enivrait.
Camélia s'était mise à lécher les seins de Flor, Flor laisser échapper de sa gorge des murmures de plaisir d'intensité croissante.
- "ta langue me conduit vers l'orgasme, jeune voyageur, Hhhmmmouuuiiii...., c'est si
bonnnnn....."
Ces quelques mots me conduisirent, moi aussi, à l'orgasme. J'étais sur le point
d'éjaculer. Camélia avait dû le ressentir et se retirait subitement. Elle agrippa ma
verge à pleine main et me branla énergiquement. Mon sperme gicla en un feu d'artifice.
J'étais défloré par Flor et ses amies. Je venais de passer une étape importante dans
mon existence. Les battements de mon coeur et le rythme de ma respiration revenaient
doucement à la normale. Marina avait saisi un linge propre et humide et nettoyait mon
corps. Nous nous relevions tous les six. Margarita m'enveloppa d'un grand pagne chaud.
Deux hommes se joignirent à nous, il apportaient du thé chaud. L'un d'eux m'adressa un sourire complice. Tard dans la nuit, je m'endormis près du feu. Je me réveillais au petit matin, je savais que j'allais éprouver beaucoup de difficulté pour quitter la communauté de mes hôtes et reprendre ma route. Ces êtres dotés d'une grande
spiritualité connaissent les règles complexes d'un accueil chaleureux.
Mynona.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui les années 65/70! Faites l'amour pas la guerre. Très bon texte qui de plus est agréable à lire car bien aéré. Il me donne envie de lire les précédents.
Beaucoup d'hommes rêvent sans doute d'être dépucelé de la sorte, bien que personnellement j'ai connu très jeune la défloration commune avec une très jeune fille, de quatre ans ma cadette et que nous en gardons chacun un souvenir inoubliable.
Cette petite histoire romancée m'étonne par sa ressemblance avec ce que j'ai pu vivre réellement dans les années 70. L'imagination fait des miracle.