La comtesse
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La comtesse
Élodie, son mari et leur fils travaillent dans la même entreprise. Mais un jour, elle ferme ses portes. Les trois vivent difficilement du chômage, les charges sont telles qu'ils ne peuvent plus les assumer. Le travail, il n'y en pas dans la région. Élodie décide de prendre le taureau par les cornes. Elle prend rendez-vous avec la comtesse P qui habite un fastueux château.
La châtelaine au nom de Charlène a un certain âge, toujours tirée à quatre épingles, elle a vraiment de la classe. Élodie lui parle de sa situation catastrophique. Après avoir réfléchi longuement, la comtesse fait tourner sur elle-même Élodie, elle observe ses formes et dit :
- Vous êtes bien faite, je peux vous proposer comme travail, femme de compagnie, bien que j'en aie déjà une, mais c'est pour vous venir en aide, pour votre fils, je peux l'engager aux écuries avec mon lad, qui lui enseignera le métier si votre fils le veut bien-sûr. Pour votre mari, j'attends le retour de mon mari de PARIS, je suis sûr qu'avec les relations qu'il a, il peut faire quelque chose !
Après avoir parlé salaire, Élodie sort du château euphorique, elle est heureuse d'avoir trouvé du travail. Il rentre rapidement chez elle est rejoint son mari et son fils, à qui elle annonce la bonne nouvelle. Cela fait déjà quelques mois, qu'Élodie œuvre auprès de la Charlène, tout se passe à merveille, elle se plait dans son nouvel emploi. Un matin, la sonnette de la chambre la comtesse retentit. Élodie se précipite, frappe à la porte, la comtesse l'a pris d'entrer.
Élodie ouvre la porte et reste figée, la Charlène et sa première dame de compagnie sont nues sur le lit, se faisant de petites gâteries. La comtesse dit :
-Joignez-vous à nous, Marie fatigue vite en ce moment !
Élodie sursaute et répond :
-Mais madame la comtesse, ce n'est pas mon rôle, cela n'est pas mentionné dans nos accords, d'ailleurs, je ne suis pas lesbienne !
Un peu agacée, la comtesse réplique :
- Ne vous braquez pas, il y a un début pour tout, venez près de nous, cela ne vous oblige en rien, allez-venez !
Élodie se dit, qu'elle ne peut pas perdre son emploi, elle s'avance, s'assoit sur le bord du lit, la comtesse lui prend la main et la pose sur le corps de Marie. Timidement, elle lui caresse la peau douce, ses gestes sont maladroits. La châtelaine dirige peu à peu la main d'Élodie vers la chatte humide de la dame de compagnie. Au contact de poils humides, Élodie se cabre, la comtesse en souriant lui dit :
-Caresse-la, elle ne mord pas !
Le vouvoiement a disparu, il n'est pas de rigueur pendant les ébats. Les doigts malhabiles d'Élodie, s'enfoncent dans la toison soyeuse, trouvent les grandes lèvres, et les caressent. Les doigts d'Élodie deviennent plus habiles, ils triturent le clito avec plus efficacités. Marie geint de bonheur. Pendant ce temps, la main de la comtesse a glissé sous la jupe d'Élodie, et monte vers son entrejambe. Élodie automatiquement serre les cuisses, mais c'est sans connaitre l'opiniâtreté de la comtesse. Charlène arrive à ses fins, elle réussit à écarter la culotte d'Élodie et de lui caresse la vulve. Élodie souffle, elle n'ose rien refuser à sa bienfaitrice. Elle se prête même au jeu. Elle ouvre les cuisses, les mains Crochues, pleines d'atroce, s'enfoncent lentement dans sa chatte, Élodie délaisse Marie qui se sent frustrée. Elle appuie sur la sonnette, et là, c'est Edouard, le majordome qui fait son entrée, avec le fils de Charlène qui lui est juste un voyeur.
Très habitué à ce genre d'exercice, Edouard baisse son pantalon et offre aux lèvres de Marie sa queue pour la faire dresser. C'est avec ardeur que la femme s'active sur la queue qui rapidement obtient son volume le plus gros. Charlène le regarde et lui dit :
-Vas-y Edouard, besogne-là comme tu sais si bien le faire, après, tu viendras éteindre le feu qui brule en moi, comme d'habitude ! Edouard plante sa queue au plus profond du vagin de Marie et commence un violent va-et vient. Charlène prend la tête d'Élodie et avec douceur la plaque contre sa chatte dégoulinante en lui disant :
-Bouffe-moi bien la chatte la chérie, je sens qu'avec toi, je vais délirer !
C'est en retenant son souffle qu'Élodie dévore la chatte de Charlène, c'est la première fois de sa vie qu'elle broute une chatte. Cela ne semble pas lui déplaire, car maintenant elle y, met du cœur. Ses coups de langues sont dévastateurs. Charlène gémit comme une bête en rut, elle appuie sur la tête de la suceuse, et en poussant un grand gémissement lui remplit la bouche de sa cyprine. La jouissance de Charlène est impressionnante. Son corps tremble de tous ses membres. Élodie avale le jus suave en déglutissant bruyamment.
Edouard pilonne le ventre de Marie, il faut la faire jouir rapidement, car sa patronne aura besoin très vite de ses services. Charlène veut mettre dans l'ambiance sa nouvelle proie, elle lui arrache sa culotte et plaque sa bouche sur le fruit très mûr qui laisse échapper son jus. Élodie, gémi, râle de bonheur, pour sa première relation lesbienne, elle n'est pas prête à l'oublier. Jamais elle n'aurait imaginé se faire dévorer la chatte par une femme, et contre toute attente, elle y prend un sacré plaisir.
Elle s'agite sous les coups de langue habiles, en poussant des couinements de bête blessée. Elle ressent comme une brulure intense lui traverser le ventre, sa jouissance est monstrueuse. C'est la première fois qu'elle gicle. Charlène aspire tout ce qu'elle peut, elle se gave du précieux nectar. Edouard bascule sa patronne sur le dos et sans crier gare, lui plante sa bite au plus profond. Il la saisit par les hanches et la démonte comme un sauvage. Sa bite entre est ressort de plus en plus rapidement du ventre de sa maitresse qui lui crie :
-Oui, oui, Edouard, vas-y bien, à fond, oh putain comme c'est bon. Charlène jouit en grognant comme un fauve. Edouard lui remplit le ventre de sa crème onctueuse. Après la petite orgie, Charlène félicite Élodie et lui promet une prime pour service rendu. Elle lui dit aussi qu'elle doit s'attendre à être souvent sollicitée. Élodie comprend que la comtesse et une accro au sexe malgré son âge. Comme elle l'avait annoncé, Charlène fait fréquemment appelle à Élodie. Ce sont des délires de sexes pendant des heures. Souvent Grégoire, le fils pas fute, fute de Charlène, assiste aux ébats, elle le surnomme le benêt.
La châtelaine au nom de Charlène a un certain âge, toujours tirée à quatre épingles, elle a vraiment de la classe. Élodie lui parle de sa situation catastrophique. Après avoir réfléchi longuement, la comtesse fait tourner sur elle-même Élodie, elle observe ses formes et dit :
- Vous êtes bien faite, je peux vous proposer comme travail, femme de compagnie, bien que j'en aie déjà une, mais c'est pour vous venir en aide, pour votre fils, je peux l'engager aux écuries avec mon lad, qui lui enseignera le métier si votre fils le veut bien-sûr. Pour votre mari, j'attends le retour de mon mari de PARIS, je suis sûr qu'avec les relations qu'il a, il peut faire quelque chose !
Après avoir parlé salaire, Élodie sort du château euphorique, elle est heureuse d'avoir trouvé du travail. Il rentre rapidement chez elle est rejoint son mari et son fils, à qui elle annonce la bonne nouvelle. Cela fait déjà quelques mois, qu'Élodie œuvre auprès de la Charlène, tout se passe à merveille, elle se plait dans son nouvel emploi. Un matin, la sonnette de la chambre la comtesse retentit. Élodie se précipite, frappe à la porte, la comtesse l'a pris d'entrer.
Élodie ouvre la porte et reste figée, la Charlène et sa première dame de compagnie sont nues sur le lit, se faisant de petites gâteries. La comtesse dit :
-Joignez-vous à nous, Marie fatigue vite en ce moment !
Élodie sursaute et répond :
-Mais madame la comtesse, ce n'est pas mon rôle, cela n'est pas mentionné dans nos accords, d'ailleurs, je ne suis pas lesbienne !
Un peu agacée, la comtesse réplique :
- Ne vous braquez pas, il y a un début pour tout, venez près de nous, cela ne vous oblige en rien, allez-venez !
Élodie se dit, qu'elle ne peut pas perdre son emploi, elle s'avance, s'assoit sur le bord du lit, la comtesse lui prend la main et la pose sur le corps de Marie. Timidement, elle lui caresse la peau douce, ses gestes sont maladroits. La châtelaine dirige peu à peu la main d'Élodie vers la chatte humide de la dame de compagnie. Au contact de poils humides, Élodie se cabre, la comtesse en souriant lui dit :
-Caresse-la, elle ne mord pas !
Le vouvoiement a disparu, il n'est pas de rigueur pendant les ébats. Les doigts malhabiles d'Élodie, s'enfoncent dans la toison soyeuse, trouvent les grandes lèvres, et les caressent. Les doigts d'Élodie deviennent plus habiles, ils triturent le clito avec plus efficacités. Marie geint de bonheur. Pendant ce temps, la main de la comtesse a glissé sous la jupe d'Élodie, et monte vers son entrejambe. Élodie automatiquement serre les cuisses, mais c'est sans connaitre l'opiniâtreté de la comtesse. Charlène arrive à ses fins, elle réussit à écarter la culotte d'Élodie et de lui caresse la vulve. Élodie souffle, elle n'ose rien refuser à sa bienfaitrice. Elle se prête même au jeu. Elle ouvre les cuisses, les mains Crochues, pleines d'atroce, s'enfoncent lentement dans sa chatte, Élodie délaisse Marie qui se sent frustrée. Elle appuie sur la sonnette, et là, c'est Edouard, le majordome qui fait son entrée, avec le fils de Charlène qui lui est juste un voyeur.
Très habitué à ce genre d'exercice, Edouard baisse son pantalon et offre aux lèvres de Marie sa queue pour la faire dresser. C'est avec ardeur que la femme s'active sur la queue qui rapidement obtient son volume le plus gros. Charlène le regarde et lui dit :
-Vas-y Edouard, besogne-là comme tu sais si bien le faire, après, tu viendras éteindre le feu qui brule en moi, comme d'habitude ! Edouard plante sa queue au plus profond du vagin de Marie et commence un violent va-et vient. Charlène prend la tête d'Élodie et avec douceur la plaque contre sa chatte dégoulinante en lui disant :
-Bouffe-moi bien la chatte la chérie, je sens qu'avec toi, je vais délirer !
C'est en retenant son souffle qu'Élodie dévore la chatte de Charlène, c'est la première fois de sa vie qu'elle broute une chatte. Cela ne semble pas lui déplaire, car maintenant elle y, met du cœur. Ses coups de langues sont dévastateurs. Charlène gémit comme une bête en rut, elle appuie sur la tête de la suceuse, et en poussant un grand gémissement lui remplit la bouche de sa cyprine. La jouissance de Charlène est impressionnante. Son corps tremble de tous ses membres. Élodie avale le jus suave en déglutissant bruyamment.
Edouard pilonne le ventre de Marie, il faut la faire jouir rapidement, car sa patronne aura besoin très vite de ses services. Charlène veut mettre dans l'ambiance sa nouvelle proie, elle lui arrache sa culotte et plaque sa bouche sur le fruit très mûr qui laisse échapper son jus. Élodie, gémi, râle de bonheur, pour sa première relation lesbienne, elle n'est pas prête à l'oublier. Jamais elle n'aurait imaginé se faire dévorer la chatte par une femme, et contre toute attente, elle y prend un sacré plaisir.
Elle s'agite sous les coups de langue habiles, en poussant des couinements de bête blessée. Elle ressent comme une brulure intense lui traverser le ventre, sa jouissance est monstrueuse. C'est la première fois qu'elle gicle. Charlène aspire tout ce qu'elle peut, elle se gave du précieux nectar. Edouard bascule sa patronne sur le dos et sans crier gare, lui plante sa bite au plus profond. Il la saisit par les hanches et la démonte comme un sauvage. Sa bite entre est ressort de plus en plus rapidement du ventre de sa maitresse qui lui crie :
-Oui, oui, Edouard, vas-y bien, à fond, oh putain comme c'est bon. Charlène jouit en grognant comme un fauve. Edouard lui remplit le ventre de sa crème onctueuse. Après la petite orgie, Charlène félicite Élodie et lui promet une prime pour service rendu. Elle lui dit aussi qu'elle doit s'attendre à être souvent sollicitée. Élodie comprend que la comtesse et une accro au sexe malgré son âge. Comme elle l'avait annoncé, Charlène fait fréquemment appelle à Élodie. Ce sont des délires de sexes pendant des heures. Souvent Grégoire, le fils pas fute, fute de Charlène, assiste aux ébats, elle le surnomme le benêt.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je trouve ce texte juste approprié, comme un en-cas avant une nouvelle série...
J'ai hâte de lire le prochain texte...
Cyrille
J'ai hâte de lire le prochain texte...
Cyrille
Dommage, il n'y a pas de suite prévue à ce récit.
Pour ce qui est de l'orthographe, je vais faire de mon mieux.
Pour ce qui est de l'orthographe, je vais faire de mon mieux.
Vivement une suite car avec tout ce monde, il peut avoir beaucoup d'échanges...
Merci Linsee.
Lolo
Merci Linsee.
Lolo
Attention à l'orthographe et au style, plutôt faibles...
Tu vas t'améliorer en lisant régulièrement, et surtout en relisant calmement tes textes;
Tu vas t'améliorer en lisant régulièrement, et surtout en relisant calmement tes textes;