La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l'épisode N°1056) -
La Comtesse était vaincue… Je devins esclave. Les huit jours de punition étaient terminés. J’étais passée par la salle de bains où je fis la connaissance d’autres esclaves, des deux sexes et aussi jeunes que moi, qui, une fois ma surprise passée et après que certaines esclaves femelles m’ayant dit de ne rien dire, s’occupèrent de moi.
- On n’a pas le droit de parler me disaient-elles ! Sauf le minimum mais tu t’y feras.
Elles semblaient gentilles, douces et heureuses de leur sort. Elles me lavèrent complètement, me crémèrent, me maquillèrent, me parfumèrent… Mon corps fut enduit d’une crème parfumée.
- Tu as été bien marquée, dit à voix basse l’une d’entre elles. Les crèmes que je te passe atténueront rapidement les marques. Ne restera que la douleur… - Tu vas revoir le Maître, me dirent-elles puis elles disparurent.
- Maintenant viens avec nous, d’autres esclaves vont t’habiller !
Effectivement, après avoir suivi les deux esclaves, j’entrais dans une autre pièce, sorte de dressing, dans laquelle une autre esclave, plus âgée se tenait au milieu de cintres, de vêtements, de parures, de paires de chaussures en tous genres, etc… Après avoir pris mes mensurations (95/36/95), elle me passa une guêpière qu’elle laça sans ménagement. Ma taille déjà fine, s’affina encore plus, ce qui fit ressortir mon fessier, pourtant bien en vue habituellement. Mes seins reposaient sur un présentoir, tandis que par les attaches pendantes, elle accrochait la paire de bas qu’elle m’avait aidée à enfiler. Des chaussures à talons très hauts me furent tendues et après avoir revêtu la parure, elle me passa un collier fait d’or et de pierres précieuses sur lequel était gravées en lettres finement ciselées ‘’MDE’’ (pour Marquis d’Evans), lettres qui brillaient de mille éclats.
- Regarde-toi dans la glace, me dit l’habilleuse !
Avec les marques qui ornaient mon corps, la parure de bijoux, la tenue vestimentaire, j’avoue avoir eu un choc, mais ce choc me fit ressentir tout de suite la fameuse boule excitante en bas du ventre. Toutes mes intimités étaient accessibles. J’étais la fois, habillée et nue… J’étais devenue la chose du Maître… Et j’en savourai une excitation physique évidente… Je mouillais donc de me voir ainsi dans ce grand miroir digne des contes de fées. Monsieur le Marquis, averti, me fit venir dans son luxueux bureau. Droite devant Lui, jambes très écartées, mains le long du corps mais les paumes tournées vers Lui en signe d’offrande, très marquées sur tout le corps, j’entrais suivant Walter, le Majordome, tête droite mais yeux baissés.
- Ah ! Ma chienne préférée ! Sais-tu que par ton entêtement, j’ai du te placer au Cachot ! J’ose espérer que tu y as été… disons… bien traitée ! Cependant, par ta faute à me tenir tête à me désobéir, tu as manqué à la Cour et, plus grave encore, tu as manqué au Maître. Je considère donc que cette faute devra le temps venu, être sanctionnée.
- Oui Maître, dis-je en baissant les yeux.
- Lève tes yeux de salope, tu ne dois rien me cacher et les yeux grands ouverts, je peux ainsi lire la moindre de tes pensées. Ne l’oublie pas !
- Oui, Maître répondis-je, levant mes yeux.
- Je vais résumer la situation : Tu as vu quelques échantillons de ce que je te propose de vivre, et à chaque fois, je t’ai, par la suite, laissée réfléchir en te donnant un laps de temps et une proposition : « Revenez tel jour à telle heure, votre retour signifiant votre acceptation d’en connaître plus. Ai-je raison, selon toi ou pas ?
- Oui, Maître, vous avez raison, Maître.
- A chaque fois, tu es revenue en temps et heure. Réponds !
- Oui, Maître.
- Sauf la dernière fois où tu es arrivée quinze minutes en retard.
- Pardon Maître !
- Encore une faute qui sera corrigée, crois-moi. Tu dois demander pardon, pas l’affirmer comme tu viens de le faire… Ton retard est encore une faute qui sera à corriger. Ton « Pardon Maître » est ressenti par Moi comme un « ordre ». Ce n’est pas ainsi qu’une chienne présente ses excuses ou implore le pardon du Maître. Je vais donc devoir, là aussi, à la fois corriger cette erreur et à t’apprendre comment présenter tes phrases. Cela fait déjà deux erreurs de ta part.
- Oui, Maître.
- Néanmoins tu es venue, ce qui signifie, pour Moi ton acceptation définitive et irréversible de ton changement de vie.
- Oui, Maître, mais…- Mais quoi ?
- Mes amies (s), mes connaissances…- Tu les préviendras le temps venu comme tu l’as fait pour ton Agence.
- Ce que je veux entendre maintenant, c’est ton accord total pour te donner entièrement, définitivement à Moi, pour devenir Ma chienne, Ma chose, dont je pourrais Me servir à Ma guise. Je te promets de te dresser à une obéissance totale et aveugle, qui te rendra heureuse, oui heureuse, tu verras… Acceptes-tu de devenir définitivement Ma chose, Mon objet, dont Je peux me servir à Ma guise, comme bon Me semble, te donner, te vendre même… - Oui Maître, c’est ce que je veux moi aussi, être à Vous totalement, définitivement, être Votre chose, répondis-je sans aucune hésitation, vaincue et incroyablement emplie de bonheur de ressentir ce que j’étais devenue… - Parfait. Tu vois comme c’est plus facile quand tu t’acceptes comme tu es !
Puis Il s’approcha très près de moi, m’enlaça, ses lèvres sur les miennes, sa langue pénétrant ma bouche, la fouillant entièrement, tandis que ses doigts commençaient d’agacer mes tétons qui réagirent immédiatement. Sans délaisser ma bouche et mon téton gauche qu’il commençait à tordre, sa main descendit sur mes reins me faisant ressentir à nouveau les douleurs… Puis changeant de main mais sa bouche toujours dans la mienne, son autre main descendit lentement vers mon entre jambes, instinctivement j’écartais les cuisses et jambes, perdant le souffle ayant la bouche envahie, ses doigts commencèrent un ballet infernal dans mon antre, tandis que son pouce caressait divinement mon clitoris qui n’en demandait pas plus. Mon dieu, me disais-je quelle science est la sienne, il m’est impossible de résister à de tels massages intimes. En moins de temps qu’il ne le fallait, j’étais au bord du volcan, prête à laisser échapper un explosif orgasme…
- Jouit petite chienne, jouit ! dit-il avec tendresse, me mordillant les lobes d’oreilles.
Alors, j’explosais, je feulais, je soufflais, je râlais de plaisir, je me dandinais d’un pied sur l’autre, avec toujours ses doigts dans ma chatte, doigts qui me rendaient folle mais qui ne lâchaient pas… Il me travaillait tant qu’à nouveau (je suis ainsi) des envies plus explosives m’arrivèrent à nouveau… Le Maître, en fin observateur et connaisseur de la Femme s’en aperçut, et ses attouchements se firent plus forts à nouveau tout en contrôlant (je le sentais) la montée de mes désirs suivants. C’était merveilleux de se laisser aller totalement entre des mains aussi expertes… Après m’avoir fait jouir plusieurs fois d’affilée me laissant comblée, il me dit et à Walter aussi, qui avait assisté :
- Ce soir, Ma belle petite chienne, pour fêter ton entrée définitive à mon service, tu dormiras avec Moi. Savoure ce privilège… - Oh ! Merci Maître, dis-je encore toute essoufflée… - Ensuite, dans les jours prochains, je donnerai un grand banquet et tu seras présentée à mes Invités. Nous fêterons comme il se doit ton entrée dans Mon Cheptel. Tu renouvelleras devant eux, ton engagement à Me servir pour le reste de ta vie et tant que je te garderai à Mon service.
- Merci, Maître.
- Ne me remercie pas trop vite, car à partir de maintenant, ton éducation/dressage véritable va commencer, j’ai tant de choses à t’enseigner, petite chienne.
- Walter !
- Oui Monsieur le Marquis - Pare Ma chienne de son collier et fait la sortir pour la faire pisser !
- Bien sûr, Monsieur le Marquis- Merci Walter. (Puis se ravisant) - Changement de programme Walter, c’est ce soir, que j’emmènerai Ma chienne au restaurant, veuille à ce qu’elle soit prête pour 21h30 et prévient les Invités de ce changement.
- Bien Monsieur le Marquis.
Le Noble me congédia avec une négligence marquée, appelant à l’interphone, sa secrétaire particulière qui je le compris assez vite un peu plus tard, était également une esclave. Me voilà donc confiée aux bons soins d’Aphrodite MDE dont je fis la connaissance, et qui allait se charger de me préparer sur ordre du Majordome, à la soirée prévue par le Maître.
- Viens ici, Ma belle chienne !, appela le Noble à l’interphone- Oui Maître, tout de suite, répondit Aphrodite MDE que je ne connaissais pas encore.
J’étais dans le bureau du Majordome, qui en profita pour rectifier ma pose.
- Redresse-toi, la chienne!
- Oui Monsieur, veuillez me pardonner.
(Il me détaillait… Puis soudain) - Approche !
- Oui Monsieur - Accroupie (Il défit sa braguette st sortit son sexe déjà fort raide). - Suce, salope !
J’ouvris la bouche autant que je le pouvais mais Walter était superbement bien monté et c’est avec un peu de difficulté que j’arrivais à engober son gland. Une fois en bouche, je commençais de presser mes lèvres autour dudit gland, tout en passant ma langue à la fois sur lui et léchant en même temps, à la fois le frein et le contour du gland violacé. Parfois j’enfonçais ma bouche plus bas, puis remontais rapidement en « tétant » le méat urinaire. Mes mouvements réguliers de va-et-vient, de plus en plus profonds et forts, le faisait se gonfler encore plus en ma bouche, signe annonciateur d’une jouissance imminente. En effet, et bien que prévenue, plusieurs flots de jets de sperme fusèrent que je reçu en bouche, vue la surprise, du mal à avaler totalement, manquant de m’étouffer. Je le croyais assouvie mais :
- Continue salope ! cria-t-il !
Je reprenais mes mouvements buccaux, caressais ses testicules, tandis que je pompais à nouveau l’énorme tige qui reprenait une belle vigueur au bout d’une dizaine de minutes… Je m’activais alors tant que je pouvais quand à nouveau, il juta en moi, presque autant que la première fois, en des jets successifs, saccadés, et à chaque fois, importants… Je venais juste de terminer de le nettoyer qu’Aphrodite MDE arriva et le prévint qu’elle était prête et que l’interphone sonnait. En râlant, il alla répondre. C’était le Maître qui l’appelait immédiatement… Le Majordome me dit :
- File avec Aphrodite MDE, tu as de la chance car je t’aurai bien enculée maintenant…
Je suivais donc Aphrodite MDE sans un mot, dans les luxueux couloirs tous capitonnés, feutrés de moquettes épaisses, de tapis de valeur et de beaux velours aux tentures murales. Aphrodite MDE pouvait avoir entre 25 et 30 ans. Belle fille, racée, musclée mais sans trop, juste ce qu’il fallait, elle avait une poitrine agréable, généreuse mais bien faite et ferme. Ses yeux, couleur noisette allait très bien avec sa chevelure brune et ondulée, dégageant dans ses mouvements une nuque agréable. Elle était nue mais portait des talons hauts. A son cou, un collier, sans laisse. C’est ainsi que j’appris, à ce moment-là, qu’elle était aussi esclave. Nous arrivâmes dans un ensemble de pièces où régnait une ambiance de détente. Les odeurs de parfums, d’huiles essentielles me chatouillaient les narines, l’endroit semblait reposant. Suivant l’esclave Aphrodite MDE, j’entrais dans une première pièce. D’autres esclaves femelles semblaient travailler à des soins corporels, lavages, épilation, manucure … L’esclave Aphrodite MDE me dit dans une appréciable douceur de ton :
- Entre, esclave Isabelle, je vais te confier aux mains des esclaves Laïs MDE et Phryné MDE qui vont te laver.
- Merci, Aphrodite, répondis-je, et j’entrais. Elle me reprit immédiatement mais doucement : - Pas Aphrodite, mais esclave Aphrodite MDE, fait très attention, le Maître est pointilleux sur ce point.
- Merci, esclave Aphrodite MDE, j’y penserai.
La pièce abritait un grand spa bouillonnant où régnait une odeur suave de muguet. Les deux esclaves pressenties à mon lavage étaient jeunes et belles, esclave Laïs MDE devait avoir 25 ans tandis que esclave Phryné MDE ne devait pas en avoir plus. Toutes deux portaient collier et Phryné MDE était bien marquée au fouet sur les fesses et les reins. Tandis que j’approchais du spa, l’esclave Laïs MDE me dit doucement à l’oreille :
- Ici, nous n’avons pas le droit de te parler tout comme toi, tu ne peux le faire également. Aussi, si tu as quelques chose à dire, parle tout doucement veux, nous sommes surveillées, regarde l’esclave Phryné MDE, si tu désobéis… (les marques) esclave Phryné MDE et moi, nous ne pouvons que te dire quoi faire, rien de plus...
De la tête, je fis comprendre à l’esclave Laïs MDE que j’avais compris.
- Allez, entre dans le bain, fais attention, c’est chaud me dit-elle !
Je montais les quelques marches, puis tendis le bout des orteils, effleurant la mousse, c’était chaud en effet. Lentement j’entrais dans le bain, si suave, si odoriférant, qu’au bout de quelques instants, trouvant ma place au milieu d’une myriade de bulles, je m’allongeais dans un environnement si doux, si agréable, si merveilleux après ce que j’avais connu au Cachot… Pendant ce temps-là, les esclaves Phryné MDE et Laïs MDE s’activaient à préparer des crèmes, des serviettes, des gants, elles allaient et venaient, apportant des flacons de je ne sais pas quoi. Laïs MDE semblait diriger la pièce tandis que Phryné MDE exécutait ce que Laïs MDE lui demandait de faire. Pendant ce temps, je « trempais »… Au bout d’un temps que j’évaluais à 20 minutes, j’entendis Laïs MDE appeler au loin :
- esclave Keira MDE, viens immédiatement !
Moins d’une minute plus tard, ladite Keira MDE entra. La quarantaine à peine, bien faite, esclave aussi parce que portant collier et elle aussi était très marquée sur les seins et fesses…
- Va laver l’esclave Isabelle lui ordonna Laïs MDE - J’y vais tout de suite, répondit Keira MDE.
Celle-ci entra dans le bain, prit des mousses épaisses et commença de me laver partout et avec sérieux. Sachant que j’avais servie sexuellement, est-ce du à une sorte de conscience professionnelle ou une autre motivation mais arrivée entre mes cuisses, elle insista longuement sur ma chatte, mes lèvres vaginales, petites et grandes, mon clitoris qu’elle frottait avec ardeur… mon anus également pour revenir à mon sexe… Tout cela eut pour résultat de réveiller en moi des envies… Laïs MDE passant devant le spa et me voyant apprécier le massage sexuel de Keira MDE lâcha :
- Si tu as envie de jouir, fais-le sans problème, Keira MDE sait très bien faire, crois-moi… Nous avons eu pour consigne de t’autoriser à jouir lors de ton bain…
(A suivre …)
La Comtesse était vaincue… Je devins esclave. Les huit jours de punition étaient terminés. J’étais passée par la salle de bains où je fis la connaissance d’autres esclaves, des deux sexes et aussi jeunes que moi, qui, une fois ma surprise passée et après que certaines esclaves femelles m’ayant dit de ne rien dire, s’occupèrent de moi.
- On n’a pas le droit de parler me disaient-elles ! Sauf le minimum mais tu t’y feras.
Elles semblaient gentilles, douces et heureuses de leur sort. Elles me lavèrent complètement, me crémèrent, me maquillèrent, me parfumèrent… Mon corps fut enduit d’une crème parfumée.
- Tu as été bien marquée, dit à voix basse l’une d’entre elles. Les crèmes que je te passe atténueront rapidement les marques. Ne restera que la douleur… - Tu vas revoir le Maître, me dirent-elles puis elles disparurent.
- Maintenant viens avec nous, d’autres esclaves vont t’habiller !
Effectivement, après avoir suivi les deux esclaves, j’entrais dans une autre pièce, sorte de dressing, dans laquelle une autre esclave, plus âgée se tenait au milieu de cintres, de vêtements, de parures, de paires de chaussures en tous genres, etc… Après avoir pris mes mensurations (95/36/95), elle me passa une guêpière qu’elle laça sans ménagement. Ma taille déjà fine, s’affina encore plus, ce qui fit ressortir mon fessier, pourtant bien en vue habituellement. Mes seins reposaient sur un présentoir, tandis que par les attaches pendantes, elle accrochait la paire de bas qu’elle m’avait aidée à enfiler. Des chaussures à talons très hauts me furent tendues et après avoir revêtu la parure, elle me passa un collier fait d’or et de pierres précieuses sur lequel était gravées en lettres finement ciselées ‘’MDE’’ (pour Marquis d’Evans), lettres qui brillaient de mille éclats.
- Regarde-toi dans la glace, me dit l’habilleuse !
Avec les marques qui ornaient mon corps, la parure de bijoux, la tenue vestimentaire, j’avoue avoir eu un choc, mais ce choc me fit ressentir tout de suite la fameuse boule excitante en bas du ventre. Toutes mes intimités étaient accessibles. J’étais la fois, habillée et nue… J’étais devenue la chose du Maître… Et j’en savourai une excitation physique évidente… Je mouillais donc de me voir ainsi dans ce grand miroir digne des contes de fées. Monsieur le Marquis, averti, me fit venir dans son luxueux bureau. Droite devant Lui, jambes très écartées, mains le long du corps mais les paumes tournées vers Lui en signe d’offrande, très marquées sur tout le corps, j’entrais suivant Walter, le Majordome, tête droite mais yeux baissés.
- Ah ! Ma chienne préférée ! Sais-tu que par ton entêtement, j’ai du te placer au Cachot ! J’ose espérer que tu y as été… disons… bien traitée ! Cependant, par ta faute à me tenir tête à me désobéir, tu as manqué à la Cour et, plus grave encore, tu as manqué au Maître. Je considère donc que cette faute devra le temps venu, être sanctionnée.
- Oui Maître, dis-je en baissant les yeux.
- Lève tes yeux de salope, tu ne dois rien me cacher et les yeux grands ouverts, je peux ainsi lire la moindre de tes pensées. Ne l’oublie pas !
- Oui, Maître répondis-je, levant mes yeux.
- Je vais résumer la situation : Tu as vu quelques échantillons de ce que je te propose de vivre, et à chaque fois, je t’ai, par la suite, laissée réfléchir en te donnant un laps de temps et une proposition : « Revenez tel jour à telle heure, votre retour signifiant votre acceptation d’en connaître plus. Ai-je raison, selon toi ou pas ?
- Oui, Maître, vous avez raison, Maître.
- A chaque fois, tu es revenue en temps et heure. Réponds !
- Oui, Maître.
- Sauf la dernière fois où tu es arrivée quinze minutes en retard.
- Pardon Maître !
- Encore une faute qui sera corrigée, crois-moi. Tu dois demander pardon, pas l’affirmer comme tu viens de le faire… Ton retard est encore une faute qui sera à corriger. Ton « Pardon Maître » est ressenti par Moi comme un « ordre ». Ce n’est pas ainsi qu’une chienne présente ses excuses ou implore le pardon du Maître. Je vais donc devoir, là aussi, à la fois corriger cette erreur et à t’apprendre comment présenter tes phrases. Cela fait déjà deux erreurs de ta part.
- Oui, Maître.
- Néanmoins tu es venue, ce qui signifie, pour Moi ton acceptation définitive et irréversible de ton changement de vie.
- Oui, Maître, mais…- Mais quoi ?
- Mes amies (s), mes connaissances…- Tu les préviendras le temps venu comme tu l’as fait pour ton Agence.
- Ce que je veux entendre maintenant, c’est ton accord total pour te donner entièrement, définitivement à Moi, pour devenir Ma chienne, Ma chose, dont je pourrais Me servir à Ma guise. Je te promets de te dresser à une obéissance totale et aveugle, qui te rendra heureuse, oui heureuse, tu verras… Acceptes-tu de devenir définitivement Ma chose, Mon objet, dont Je peux me servir à Ma guise, comme bon Me semble, te donner, te vendre même… - Oui Maître, c’est ce que je veux moi aussi, être à Vous totalement, définitivement, être Votre chose, répondis-je sans aucune hésitation, vaincue et incroyablement emplie de bonheur de ressentir ce que j’étais devenue… - Parfait. Tu vois comme c’est plus facile quand tu t’acceptes comme tu es !
Puis Il s’approcha très près de moi, m’enlaça, ses lèvres sur les miennes, sa langue pénétrant ma bouche, la fouillant entièrement, tandis que ses doigts commençaient d’agacer mes tétons qui réagirent immédiatement. Sans délaisser ma bouche et mon téton gauche qu’il commençait à tordre, sa main descendit sur mes reins me faisant ressentir à nouveau les douleurs… Puis changeant de main mais sa bouche toujours dans la mienne, son autre main descendit lentement vers mon entre jambes, instinctivement j’écartais les cuisses et jambes, perdant le souffle ayant la bouche envahie, ses doigts commencèrent un ballet infernal dans mon antre, tandis que son pouce caressait divinement mon clitoris qui n’en demandait pas plus. Mon dieu, me disais-je quelle science est la sienne, il m’est impossible de résister à de tels massages intimes. En moins de temps qu’il ne le fallait, j’étais au bord du volcan, prête à laisser échapper un explosif orgasme…
- Jouit petite chienne, jouit ! dit-il avec tendresse, me mordillant les lobes d’oreilles.
Alors, j’explosais, je feulais, je soufflais, je râlais de plaisir, je me dandinais d’un pied sur l’autre, avec toujours ses doigts dans ma chatte, doigts qui me rendaient folle mais qui ne lâchaient pas… Il me travaillait tant qu’à nouveau (je suis ainsi) des envies plus explosives m’arrivèrent à nouveau… Le Maître, en fin observateur et connaisseur de la Femme s’en aperçut, et ses attouchements se firent plus forts à nouveau tout en contrôlant (je le sentais) la montée de mes désirs suivants. C’était merveilleux de se laisser aller totalement entre des mains aussi expertes… Après m’avoir fait jouir plusieurs fois d’affilée me laissant comblée, il me dit et à Walter aussi, qui avait assisté :
- Ce soir, Ma belle petite chienne, pour fêter ton entrée définitive à mon service, tu dormiras avec Moi. Savoure ce privilège… - Oh ! Merci Maître, dis-je encore toute essoufflée… - Ensuite, dans les jours prochains, je donnerai un grand banquet et tu seras présentée à mes Invités. Nous fêterons comme il se doit ton entrée dans Mon Cheptel. Tu renouvelleras devant eux, ton engagement à Me servir pour le reste de ta vie et tant que je te garderai à Mon service.
- Merci, Maître.
- Ne me remercie pas trop vite, car à partir de maintenant, ton éducation/dressage véritable va commencer, j’ai tant de choses à t’enseigner, petite chienne.
- Walter !
- Oui Monsieur le Marquis - Pare Ma chienne de son collier et fait la sortir pour la faire pisser !
- Bien sûr, Monsieur le Marquis- Merci Walter. (Puis se ravisant) - Changement de programme Walter, c’est ce soir, que j’emmènerai Ma chienne au restaurant, veuille à ce qu’elle soit prête pour 21h30 et prévient les Invités de ce changement.
- Bien Monsieur le Marquis.
Le Noble me congédia avec une négligence marquée, appelant à l’interphone, sa secrétaire particulière qui je le compris assez vite un peu plus tard, était également une esclave. Me voilà donc confiée aux bons soins d’Aphrodite MDE dont je fis la connaissance, et qui allait se charger de me préparer sur ordre du Majordome, à la soirée prévue par le Maître.
- Viens ici, Ma belle chienne !, appela le Noble à l’interphone- Oui Maître, tout de suite, répondit Aphrodite MDE que je ne connaissais pas encore.
J’étais dans le bureau du Majordome, qui en profita pour rectifier ma pose.
- Redresse-toi, la chienne!
- Oui Monsieur, veuillez me pardonner.
(Il me détaillait… Puis soudain) - Approche !
- Oui Monsieur - Accroupie (Il défit sa braguette st sortit son sexe déjà fort raide). - Suce, salope !
J’ouvris la bouche autant que je le pouvais mais Walter était superbement bien monté et c’est avec un peu de difficulté que j’arrivais à engober son gland. Une fois en bouche, je commençais de presser mes lèvres autour dudit gland, tout en passant ma langue à la fois sur lui et léchant en même temps, à la fois le frein et le contour du gland violacé. Parfois j’enfonçais ma bouche plus bas, puis remontais rapidement en « tétant » le méat urinaire. Mes mouvements réguliers de va-et-vient, de plus en plus profonds et forts, le faisait se gonfler encore plus en ma bouche, signe annonciateur d’une jouissance imminente. En effet, et bien que prévenue, plusieurs flots de jets de sperme fusèrent que je reçu en bouche, vue la surprise, du mal à avaler totalement, manquant de m’étouffer. Je le croyais assouvie mais :
- Continue salope ! cria-t-il !
Je reprenais mes mouvements buccaux, caressais ses testicules, tandis que je pompais à nouveau l’énorme tige qui reprenait une belle vigueur au bout d’une dizaine de minutes… Je m’activais alors tant que je pouvais quand à nouveau, il juta en moi, presque autant que la première fois, en des jets successifs, saccadés, et à chaque fois, importants… Je venais juste de terminer de le nettoyer qu’Aphrodite MDE arriva et le prévint qu’elle était prête et que l’interphone sonnait. En râlant, il alla répondre. C’était le Maître qui l’appelait immédiatement… Le Majordome me dit :
- File avec Aphrodite MDE, tu as de la chance car je t’aurai bien enculée maintenant…
Je suivais donc Aphrodite MDE sans un mot, dans les luxueux couloirs tous capitonnés, feutrés de moquettes épaisses, de tapis de valeur et de beaux velours aux tentures murales. Aphrodite MDE pouvait avoir entre 25 et 30 ans. Belle fille, racée, musclée mais sans trop, juste ce qu’il fallait, elle avait une poitrine agréable, généreuse mais bien faite et ferme. Ses yeux, couleur noisette allait très bien avec sa chevelure brune et ondulée, dégageant dans ses mouvements une nuque agréable. Elle était nue mais portait des talons hauts. A son cou, un collier, sans laisse. C’est ainsi que j’appris, à ce moment-là, qu’elle était aussi esclave. Nous arrivâmes dans un ensemble de pièces où régnait une ambiance de détente. Les odeurs de parfums, d’huiles essentielles me chatouillaient les narines, l’endroit semblait reposant. Suivant l’esclave Aphrodite MDE, j’entrais dans une première pièce. D’autres esclaves femelles semblaient travailler à des soins corporels, lavages, épilation, manucure … L’esclave Aphrodite MDE me dit dans une appréciable douceur de ton :
- Entre, esclave Isabelle, je vais te confier aux mains des esclaves Laïs MDE et Phryné MDE qui vont te laver.
- Merci, Aphrodite, répondis-je, et j’entrais. Elle me reprit immédiatement mais doucement : - Pas Aphrodite, mais esclave Aphrodite MDE, fait très attention, le Maître est pointilleux sur ce point.
- Merci, esclave Aphrodite MDE, j’y penserai.
La pièce abritait un grand spa bouillonnant où régnait une odeur suave de muguet. Les deux esclaves pressenties à mon lavage étaient jeunes et belles, esclave Laïs MDE devait avoir 25 ans tandis que esclave Phryné MDE ne devait pas en avoir plus. Toutes deux portaient collier et Phryné MDE était bien marquée au fouet sur les fesses et les reins. Tandis que j’approchais du spa, l’esclave Laïs MDE me dit doucement à l’oreille :
- Ici, nous n’avons pas le droit de te parler tout comme toi, tu ne peux le faire également. Aussi, si tu as quelques chose à dire, parle tout doucement veux, nous sommes surveillées, regarde l’esclave Phryné MDE, si tu désobéis… (les marques) esclave Phryné MDE et moi, nous ne pouvons que te dire quoi faire, rien de plus...
De la tête, je fis comprendre à l’esclave Laïs MDE que j’avais compris.
- Allez, entre dans le bain, fais attention, c’est chaud me dit-elle !
Je montais les quelques marches, puis tendis le bout des orteils, effleurant la mousse, c’était chaud en effet. Lentement j’entrais dans le bain, si suave, si odoriférant, qu’au bout de quelques instants, trouvant ma place au milieu d’une myriade de bulles, je m’allongeais dans un environnement si doux, si agréable, si merveilleux après ce que j’avais connu au Cachot… Pendant ce temps-là, les esclaves Phryné MDE et Laïs MDE s’activaient à préparer des crèmes, des serviettes, des gants, elles allaient et venaient, apportant des flacons de je ne sais pas quoi. Laïs MDE semblait diriger la pièce tandis que Phryné MDE exécutait ce que Laïs MDE lui demandait de faire. Pendant ce temps, je « trempais »… Au bout d’un temps que j’évaluais à 20 minutes, j’entendis Laïs MDE appeler au loin :
- esclave Keira MDE, viens immédiatement !
Moins d’une minute plus tard, ladite Keira MDE entra. La quarantaine à peine, bien faite, esclave aussi parce que portant collier et elle aussi était très marquée sur les seins et fesses…
- Va laver l’esclave Isabelle lui ordonna Laïs MDE - J’y vais tout de suite, répondit Keira MDE.
Celle-ci entra dans le bain, prit des mousses épaisses et commença de me laver partout et avec sérieux. Sachant que j’avais servie sexuellement, est-ce du à une sorte de conscience professionnelle ou une autre motivation mais arrivée entre mes cuisses, elle insista longuement sur ma chatte, mes lèvres vaginales, petites et grandes, mon clitoris qu’elle frottait avec ardeur… mon anus également pour revenir à mon sexe… Tout cela eut pour résultat de réveiller en moi des envies… Laïs MDE passant devant le spa et me voyant apprécier le massage sexuel de Keira MDE lâcha :
- Si tu as envie de jouir, fais-le sans problème, Keira MDE sait très bien faire, crois-moi… Nous avons eu pour consigne de t’autoriser à jouir lors de ton bain…
(A suivre …)
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