La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
- Mes amis, je vous avais dit que je vous réservais une surprise, je vais vous la montrer…
Les yeux brillants des convives attendaient avec l’impatience que vous imaginez. Seule moi, n’était pas au courant. Le Maître m’ordonna de me retirer, ce que je fis prestement. Je suivis le maître d’hôtel qui m’entraîna en dehors de la pièce. Là je croisais un ancien plan cul, très bien d’ailleurs, mais ce soir, habillée comme je l’étais, avec le collier de chienne et la laisse, il me regarda passer, stupéfait, sans pouvoir dire un mot, bouche bée. On m’emmena dans la cuisine pour me faire monter nue et à quatre pattes sur une table roulante, puis on avança cette table jusqu’à l’entrée de la pièce des convives. Quelques moments plus tard, j’entendis Monsieur le Marquis ordonner de faire apporter le dessert. Celui-ci était le suivant : Sur cette petite table roulante, ornée d’une grande nappe, tombant jusqu’au sol, j’étais présentée aux Invités à quatre pattes, les desserts posés sur mon dos, le creux de mes reins, mes épaules, mes fesses. La vulve bien en vue, ouverte et laissant s’écouler ma cyprine, on avait placé en mon anus, comme une sorte de queue de cheval dont les extrémités étaient constituées de barres de chocolat, tandis que la queue tenait par un plug bien enfoncé en mes fesses et qui me remplissait mes entrailles, étant ainsi bien enculée. La table fut « introduite » dans le U de la table. Je devais faire attention de ne pas trop bouger pour ne pas renverser les crèmes anglaises, les glaces, sorbets et autres desserts. Mes yeux avaient été bandés, je ne voyais rien, mais entendit tout ce qui se disait :
Des ‘‘ohhh’’, des ‘‘ahhh’’, des ‘‘superbeeee’’ fusèrent des deux côtés de la table. ‘‘Magnifique’’ entendis-je, ‘‘Quel dessert !’’, ‘‘Quel raffinement mon cher !’’ et ‘‘Quelle grâce à la chienne ainsi parée....’’ De mes tétons, pendaient des pinces qui me faisaient souffrir et au bout desquelles se trouvaient des sortes de guimauves, et douceurs... Le serveur, après avoir demandé ce que l’Invité voulait, découpait à même ma peau le morceau choisi, le déposait sur une assiette et l’offrait. Tout le monde se régalait comme il le pouvait, tandis que je ne bougeais pas d’un millimètre, répondant seulement aux questions qui m’étaient posées ne sachant pas qui les posait. C’est à ce moment que j’entendis la voix de Monsieur le Marquis annoncer :
- Mes amis, vous allez bien écouter ce que ma Perle, ma Jument préférée va vous raconter. Vous voyez à quel point elle est mienne ! Mais vous allez l’entendre dire elle-même, sa condition de femelle, avant que je ne l’a rencontre… Mais, auparavant, je vais garnir l’ouverture principale qui est la sienne (et en riant) - Il serait dommage qu’elle souille de ses fuites vulvaires, nos desserts, Ha Ha Ha !
Il vint alors derrière moi, quand tout à coup j’entendis :
- Ah oui !
Ne sachant ce qui se passait, je sentis qu’il enfonçait un gode dans ma vulve, mais il l’enfonçait lentement, en prenant son temps, tandis que des applaudissements crépitaient… Il le ressortait, le renfonçait en le faisant tourner sur lui-même, jusqu’à ce que le gland soit rentré. Ensuite, le Maître l’enfonça très profondément, et commença de lents va et vient en tournant le gode encore sur lui-même... puis, accéléra la cadence, ce qui commença de me mettre dans un état d’envies très fortes. Pluguée par le cul, godée par la chatte… J’avais très besoin de remuer mon cul, mais je ne le pouvais sous peine de renverser les desserts. Terrible comme sensation d’être très excitée mais devoir se contrôler au point de rester parfaitement immobile. Pui le Noble s’adressant à moi :
- Raconte à mes amis, ce que tu as vécu à tes 18-19 ans et n’oublie rien !
Je restais sans voix. Comment savait-il ? Qui avait bien pu le lui raconter ? Comme je restais muette, tentant de rameuter mes souvenirs, une gifle imprévue (puisque j’avais les yeux bandés) mais puissante, failli me renverser de la table… et faire tomber les desserts. Je respirais un bon coup et me lança, tentant de retrouver mes esprits. Je me raclais la gorge très émue.
- Voici ce que j’ai vécu, il y a sept ans, dis-je (Les convives se turent) …
‘‘- J’avais presque 19 ans. Je cherchais ma voie. La danse : terminée à cause d’un accident de voiture, genou abimé. Mais passionnée par mes découvertes physiologiques féminines, les capacités orgasmiques que je travaillais sur moi depuis mon adolescence, je décidais de m’orienter vers des études médicales et surtout gynécologiques. L’année précédente, j’avais assisté à une conférence qui m’avait passionnée et en plus, comme on peut l’être à cet âge, j’avais la vie devant moi et j’étais heureuse enfin comme on peut l’être à cet âge. Je m’inscrivis donc à la faculté de médecine de Montpellier, car le conférencier y enseignait et me plaisait beaucoup. Je lui avais téléphoné quelques jours auparavant, lui parlant de sa conférence, lui expliquant que je m’étais inscrite dans la Faculté où il professait, et que je souhaitais le revoir pour qu’il me conseille et me guide dans ma première année. Il me donna rendez-vous et je sautais de joie. Je m’étais rendue à ce rendez-vous comme si j’allais retrouver mon amoureux, et j’étais assez excitée. Je venais de couper le moteur de ma voiture. J’attendis quelques minutes pour ne pas arriver la première... Ce soir-là, j’avais donc rendez-vous dans un des meilleurs restaurants de Montpellier, restaurant choisi par le Professeur de médecine. Je n’y suis jamais allée et de toutes manières, les étudiants ne vont pas dans ces endroits là... J’étais étudiante en première année de Médecine, je venais de réussir le concours d’entrée ! En septembre, j’aurai droit au bizutage...
(Je repris mon souffle un instant pour continuer à narrer mon histoire) - L’homme que j’allais rejoindre m’avait invitée à la suite d’une conférence qu’il avait donnée à la fac de Paris en fin d’année dernière... et ce jour-là, son exposé étant particulièrement brillant, j’étais allée le voir, le courant était assez vite passé et il m’avait glissé sa carte dans la main pour que je prenne rendez-vous à son bureau... un jour, au cas où… Mais, après quelques jours d’hésitation, je m’étais décidée à l’appeler pour pouvoir continuer à lui poser toutes mes questions... Il aurait pu être mon père mais cet homme à l’apparence classique avait une aura inimaginable... A la suite de notre entretien téléphonique, se souvenant de moi, il m’avait invitée à dîner et me voilà ce soir-là devant le restaurant... J’avais essayé de m’habiller du mieux possible par rapport à ma modeste garde-robe... Les temps sont durs lorsque l’on est étudiante... Je portais la robe que j’avais mise au gala pharma l’année dernière, j’avais un peu honte car elle était un peu transparente et elle se portait sans soutien-gorge... J’avais passé l’après-midi entre le coiffeur et l’esthéticienne... Je n’avais plus un poil... Dieu qu’il faut souffrir pour essayer d’être belle. Je pénétrais enfin dans le restaurant, une hôtesse vint vers moi...
- J’ai rendez-vous avec le Professeur Boyer, dis-je timidement.
Elle me fit signe de la suivre en m’indiquant qu’il était arrivé... La soirée était très agréable, je buvais ses paroles... C’était vraiment un grand orateur, capable de tenir une conversation pendant des heures... Je remarquais tout de même que la vision de mes seins sous ma robe captait régulièrement son attention et ce pour mon plus grand plaisir... A la fin du repas, nous nous connaissions mieux, je savais à regret qu’il était marié avec deux enfants ... Lui devait savoir pas mal de choses sur moi car le vin aidant, je m’étais mise à parler sans m’arrêter... Il compatissait sur mes difficultés à joindre les deux bouts et me félicitait d’arriver à m’en sortir aussi bien... L’heure de rentrer arriva et devant mon état de gaieté avancée, il décida qu’il me ramenait chez moi... Arrivés devant chez moi, il coupa le moteur et je me souvins qu’il me dit :
- Te voilà arrivée à bon port ! Je te remercie pour cette soirée belle Isabelle...
Tout en rougissant, je murmurais :
- Merci à vous... dommage que vous soyez marié !
Son regard se mit d’un coup à briller et il posa sa main sur ma cuisse. En même temps qu’il faisait remonter sa main le long de ma cuisse, il me toisa du regard :
- Tu ne vas pas regretter tes paroles chère Isabelle, mais tu es une petite effrontée qui n’a pas froid aux yeux...
Sa main venait d’atteindre ma culotte et commençait à glisser ses doigts à l’intérieur.
- Mais tu es trempée petite cochonne ! Tu mouilles d’envie que ton professeur s’occupe de toi, n’est-ce pas ?
- Oui professeur, vous me plaisez beaucoup... avoue ai-je - Je ne veux pas d’histoires d’un soir, si tu veux aller plus loin, tu devras te montrer obéissante et devenir ma chose... Je suis un Dominant dans mes histoires extraconjugales ! Je te veux à moi, où, quand et comment je voudrai ! Tu seras ma pute soumise car je te donnerai 15000 francs (environ 2300 euros) cash tous les mois pour tes services... Regarde dans la boite à gant, ouvre l’enveloppe !
Il y avait 2300 euros... Sans beaucoup réfléchir, je me disais que c’était la solution à pas mal de problèmes financiers d’étudiante et tout ça pour baiser avec un homme qui m’attirait terriblement... Je n’avais donc pas hésité très longtemps !
- Je suis à vous professeur...
Souriant, il répondit :
- Bien, sage décision... Mais fais-moi le plaisir de m’appeler Maître, c’est plus respectueux de mon statut et de ta condition... Maintenant, enlève ta culotte pour la mettre dans ta bouche... Hmmmm... Très bien Isabelle... Mets ta ceinture, on va faire un tour !
Après quelques kilomètres, il rentra sur un parking et gara la voiture à côté d’un banc...
- Tu vois ce banc... Assois-toi dessus et montre-moi ta belle petite chatte. Je te regarde, ne me déçoit pas !
Avalant une gorgée de salive parfumée à mon odeur corporelle, je m’exécutais... Il avait l’air satisfait de m’exhiber comme ça...
- Tu te comportes très bien, nous pouvons y aller... Remets ta culotte.
Étonnée et presque déçue :
- Déjà ?
- Non ma belle, je parlais du club qui se trouve sur cette place. Tu ne vas pas beaucoup dormir cette nuit...
Nous nous sommes présentés devant l’entrée où une femme habillée de cuir nous attendait. Elle connaissait mon nouveau Maître... Nous descendîmes alors beaucoup d’escaliers pour nous emmener dans des pièces voutées... Il m’emmena dans une pièce qu’il nomma donjon où se tenaient plusieurs hommes et femmes assis comme pour assister à un spectacle...
- Déshabilles-toi entièrement dit-il !
Alors que j’hésitais, je reçus une gifle terrible qui me renversa. Il me prit par les cheveux pour me faire me relever et je me suis déshabillée entièrement. Ensuite, il me présenta à l’auditoire et me plaça devant un objet datant du Moyen-Age dans lequel il bloqua ma tête et mes mains afin de m’immobiliser, c’était une sorte de pilori... Moi qui avait une confiance aveugle en cet homme, un frisson d’angoisse me parcourut lorsqu’en essayant de me dégager, je vis que j’étais prisonnière... Tous se mirent à rire devant mon angoisse. Et dire que j’avais affirmé à la dame de la réception que j’étais parfaitement consentante lorsqu’elle me posa la question avant de me laisser entrer, elle avait même demandé à voir ma carte d’identité pour s’assurer de ma majorité et m’avait fait signer un papier sur lequel j’attestais que je n’étais pas sous quelque contrainte que ce soit... Toujours immobilisée, j’entendis tout d’un coup :
- Patrick ? La caméra tourne ?
- Oui ça tourne ! »
Une caméra... (à l’époque, il n’y avait pas de téléphone portable pour filmer) Comment pouvait-il oser ? Je n’en croyais pas mes oreilles du haut de mes 19 ans... Il m’avait bien eu ce vieux pervers de professeur...
- La caméra ma belle, c’est juste histoire que tu comprennes que tu ne peux reprendre ta liberté sans mon accord sinon c’est ta réputation qui pourrait en pâtir... Et puis pour le fric que je vais te laisser...ah ah ah ! Regarde un peu ce que je vais t’enfoncer dans ton petit cul de salope !
Mes gémissements étaient à peine perceptibles devant les cris d’encouragements que recevait ce Maître.
- Passe-moi le vibromasseur Jean, que je lui donne du plaisir... Et toi, Patrick, filme bien son visage, je vais la faire jouir à la faire couiner de plaisirs et lui laisser le vibro collé à son clito jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus !
J’étais consentante et son vibro commençait à faire ressortir toute l’excitation que j’avais gardé en moi toute la soirée... Le vibro glissait contre ma chatte trempée, je commençais à bouger et remuer mon corps sous le coup de l’excitation mais dès que je bougeais un peu trop, la corde qui tenait l’hameçon géant avec une boule à l’extrémité et enfoncé dans mes fesses se tendait et le faisait remonter dans mon cul comme un pêcheur qui ferre sa proie... Je me mis à jouir comme cela ne m’était jamais arrivé... Chaque vibration faisait raidir mon corps et entrainait l’hameçon dans des mouvements perpétuels... Le Maître s’arrêta au bout de quelques minutes et reçut les applaudissements de la salle... Il détacha la corde de l’hameçon et me le retira délicatement. Il s’approcha de moi, baissa son pantalon et prit la parole :
- Je suis ravi de constater tout le plaisir que tu as pris ma belle Isabelle. Ta première séance qui en amène bien d’autres, crois-moi, est un succès ! Tu vas maintenant remercier Patrick - Comme il se doit pour le film qu’il a fait de toi, film qui restera confidentiel si tu respectes tes engagements... Patrick, viens te faire sucer mon ami ! Et avale tout comme une grande !
Patrick se présenta devant moi et en moins d’une minute éjacula dans ma bouche... Mon Maître en fit de même puis il me fallut tout avaler et nettoyer les deux verges redevenues molles avant de me détacher et de me rhabiller. Nous sortirent en silence et une fois dehors, il me questionna :
- As-tu pris autant de plaisir que moi ?
A présent remise de mes émotions, j’avoue franchement :
- J’ai très honte de l’avouer mais je crois que oui... Vous avez révélé en moi quelque chose, Maître ! »
Calmement, il me répondit :
- Et ce n’est que le début... salope !
Il me déposa chez moi, excitée mais tout de même honteuse. A tel point que la nuit fut horrible pour moi, à ne pas pouvoir dormir à ressasser les évènements. Je me dégoutais au point que je pris peur, en effet alors que j’avais eu une confiance aveugle en cet homme qui aurait pu être mon père, je m’étais faite avoir… J’avais été humiliée devant des inconnus… et maintenant je devrai passer toute l’année dans cette ville, croisant peut-être des personnes présentes ce soir, et lui aussi comme mon professeur qui certainement ne voudrait pas en rester là... Mes études de médecine commençaient vraiment très mal… Je n’avais plus qu’une idée fuir, malgré le plaisir certain que j’avais pris, j’avais peur de cette situation et, avec le recul je réalise qu’à l’époque, j’avais peur de moi-même, de ce que j’étais sans encore en avoir vraiment conscience… Le lendemain matin alors que je déambulais, place de la Comédie en Montpellier, je croisais la route d’une ancienne copine qui était venue passer quelques jours avec son chéri. Sur le coup, je ne la reconnus pas, tant elle était bien habillée, c’est elle qui me reconnut :
- Isabelle, c’est toi, me dit-elle...
Je lui racontais toute mon histoire de la veille, tandis qu’elle, me disait être mannequin à Paris. Elle voyait bien dans quel état d’esprit je me trouvais... Je décidais de quitter Montpellier et avec elle et son chéri, nous étions remontés à Paris quelques jours plus tard. Je tentais d’oublier Montpellier à jamais gravé dans ma mémoire. Deux mois étaient passés, je commençais le mannequinat comme vous le savez maintenant, chez Dior à Paris. Mais là encore...vous connaissez la suite...’’
(A suivre …)
- Mes amis, je vous avais dit que je vous réservais une surprise, je vais vous la montrer…
Les yeux brillants des convives attendaient avec l’impatience que vous imaginez. Seule moi, n’était pas au courant. Le Maître m’ordonna de me retirer, ce que je fis prestement. Je suivis le maître d’hôtel qui m’entraîna en dehors de la pièce. Là je croisais un ancien plan cul, très bien d’ailleurs, mais ce soir, habillée comme je l’étais, avec le collier de chienne et la laisse, il me regarda passer, stupéfait, sans pouvoir dire un mot, bouche bée. On m’emmena dans la cuisine pour me faire monter nue et à quatre pattes sur une table roulante, puis on avança cette table jusqu’à l’entrée de la pièce des convives. Quelques moments plus tard, j’entendis Monsieur le Marquis ordonner de faire apporter le dessert. Celui-ci était le suivant : Sur cette petite table roulante, ornée d’une grande nappe, tombant jusqu’au sol, j’étais présentée aux Invités à quatre pattes, les desserts posés sur mon dos, le creux de mes reins, mes épaules, mes fesses. La vulve bien en vue, ouverte et laissant s’écouler ma cyprine, on avait placé en mon anus, comme une sorte de queue de cheval dont les extrémités étaient constituées de barres de chocolat, tandis que la queue tenait par un plug bien enfoncé en mes fesses et qui me remplissait mes entrailles, étant ainsi bien enculée. La table fut « introduite » dans le U de la table. Je devais faire attention de ne pas trop bouger pour ne pas renverser les crèmes anglaises, les glaces, sorbets et autres desserts. Mes yeux avaient été bandés, je ne voyais rien, mais entendit tout ce qui se disait :
Des ‘‘ohhh’’, des ‘‘ahhh’’, des ‘‘superbeeee’’ fusèrent des deux côtés de la table. ‘‘Magnifique’’ entendis-je, ‘‘Quel dessert !’’, ‘‘Quel raffinement mon cher !’’ et ‘‘Quelle grâce à la chienne ainsi parée....’’ De mes tétons, pendaient des pinces qui me faisaient souffrir et au bout desquelles se trouvaient des sortes de guimauves, et douceurs... Le serveur, après avoir demandé ce que l’Invité voulait, découpait à même ma peau le morceau choisi, le déposait sur une assiette et l’offrait. Tout le monde se régalait comme il le pouvait, tandis que je ne bougeais pas d’un millimètre, répondant seulement aux questions qui m’étaient posées ne sachant pas qui les posait. C’est à ce moment que j’entendis la voix de Monsieur le Marquis annoncer :
- Mes amis, vous allez bien écouter ce que ma Perle, ma Jument préférée va vous raconter. Vous voyez à quel point elle est mienne ! Mais vous allez l’entendre dire elle-même, sa condition de femelle, avant que je ne l’a rencontre… Mais, auparavant, je vais garnir l’ouverture principale qui est la sienne (et en riant) - Il serait dommage qu’elle souille de ses fuites vulvaires, nos desserts, Ha Ha Ha !
Il vint alors derrière moi, quand tout à coup j’entendis :
- Ah oui !
Ne sachant ce qui se passait, je sentis qu’il enfonçait un gode dans ma vulve, mais il l’enfonçait lentement, en prenant son temps, tandis que des applaudissements crépitaient… Il le ressortait, le renfonçait en le faisant tourner sur lui-même, jusqu’à ce que le gland soit rentré. Ensuite, le Maître l’enfonça très profondément, et commença de lents va et vient en tournant le gode encore sur lui-même... puis, accéléra la cadence, ce qui commença de me mettre dans un état d’envies très fortes. Pluguée par le cul, godée par la chatte… J’avais très besoin de remuer mon cul, mais je ne le pouvais sous peine de renverser les desserts. Terrible comme sensation d’être très excitée mais devoir se contrôler au point de rester parfaitement immobile. Pui le Noble s’adressant à moi :
- Raconte à mes amis, ce que tu as vécu à tes 18-19 ans et n’oublie rien !
Je restais sans voix. Comment savait-il ? Qui avait bien pu le lui raconter ? Comme je restais muette, tentant de rameuter mes souvenirs, une gifle imprévue (puisque j’avais les yeux bandés) mais puissante, failli me renverser de la table… et faire tomber les desserts. Je respirais un bon coup et me lança, tentant de retrouver mes esprits. Je me raclais la gorge très émue.
- Voici ce que j’ai vécu, il y a sept ans, dis-je (Les convives se turent) …
‘‘- J’avais presque 19 ans. Je cherchais ma voie. La danse : terminée à cause d’un accident de voiture, genou abimé. Mais passionnée par mes découvertes physiologiques féminines, les capacités orgasmiques que je travaillais sur moi depuis mon adolescence, je décidais de m’orienter vers des études médicales et surtout gynécologiques. L’année précédente, j’avais assisté à une conférence qui m’avait passionnée et en plus, comme on peut l’être à cet âge, j’avais la vie devant moi et j’étais heureuse enfin comme on peut l’être à cet âge. Je m’inscrivis donc à la faculté de médecine de Montpellier, car le conférencier y enseignait et me plaisait beaucoup. Je lui avais téléphoné quelques jours auparavant, lui parlant de sa conférence, lui expliquant que je m’étais inscrite dans la Faculté où il professait, et que je souhaitais le revoir pour qu’il me conseille et me guide dans ma première année. Il me donna rendez-vous et je sautais de joie. Je m’étais rendue à ce rendez-vous comme si j’allais retrouver mon amoureux, et j’étais assez excitée. Je venais de couper le moteur de ma voiture. J’attendis quelques minutes pour ne pas arriver la première... Ce soir-là, j’avais donc rendez-vous dans un des meilleurs restaurants de Montpellier, restaurant choisi par le Professeur de médecine. Je n’y suis jamais allée et de toutes manières, les étudiants ne vont pas dans ces endroits là... J’étais étudiante en première année de Médecine, je venais de réussir le concours d’entrée ! En septembre, j’aurai droit au bizutage...
(Je repris mon souffle un instant pour continuer à narrer mon histoire) - L’homme que j’allais rejoindre m’avait invitée à la suite d’une conférence qu’il avait donnée à la fac de Paris en fin d’année dernière... et ce jour-là, son exposé étant particulièrement brillant, j’étais allée le voir, le courant était assez vite passé et il m’avait glissé sa carte dans la main pour que je prenne rendez-vous à son bureau... un jour, au cas où… Mais, après quelques jours d’hésitation, je m’étais décidée à l’appeler pour pouvoir continuer à lui poser toutes mes questions... Il aurait pu être mon père mais cet homme à l’apparence classique avait une aura inimaginable... A la suite de notre entretien téléphonique, se souvenant de moi, il m’avait invitée à dîner et me voilà ce soir-là devant le restaurant... J’avais essayé de m’habiller du mieux possible par rapport à ma modeste garde-robe... Les temps sont durs lorsque l’on est étudiante... Je portais la robe que j’avais mise au gala pharma l’année dernière, j’avais un peu honte car elle était un peu transparente et elle se portait sans soutien-gorge... J’avais passé l’après-midi entre le coiffeur et l’esthéticienne... Je n’avais plus un poil... Dieu qu’il faut souffrir pour essayer d’être belle. Je pénétrais enfin dans le restaurant, une hôtesse vint vers moi...
- J’ai rendez-vous avec le Professeur Boyer, dis-je timidement.
Elle me fit signe de la suivre en m’indiquant qu’il était arrivé... La soirée était très agréable, je buvais ses paroles... C’était vraiment un grand orateur, capable de tenir une conversation pendant des heures... Je remarquais tout de même que la vision de mes seins sous ma robe captait régulièrement son attention et ce pour mon plus grand plaisir... A la fin du repas, nous nous connaissions mieux, je savais à regret qu’il était marié avec deux enfants ... Lui devait savoir pas mal de choses sur moi car le vin aidant, je m’étais mise à parler sans m’arrêter... Il compatissait sur mes difficultés à joindre les deux bouts et me félicitait d’arriver à m’en sortir aussi bien... L’heure de rentrer arriva et devant mon état de gaieté avancée, il décida qu’il me ramenait chez moi... Arrivés devant chez moi, il coupa le moteur et je me souvins qu’il me dit :
- Te voilà arrivée à bon port ! Je te remercie pour cette soirée belle Isabelle...
Tout en rougissant, je murmurais :
- Merci à vous... dommage que vous soyez marié !
Son regard se mit d’un coup à briller et il posa sa main sur ma cuisse. En même temps qu’il faisait remonter sa main le long de ma cuisse, il me toisa du regard :
- Tu ne vas pas regretter tes paroles chère Isabelle, mais tu es une petite effrontée qui n’a pas froid aux yeux...
Sa main venait d’atteindre ma culotte et commençait à glisser ses doigts à l’intérieur.
- Mais tu es trempée petite cochonne ! Tu mouilles d’envie que ton professeur s’occupe de toi, n’est-ce pas ?
- Oui professeur, vous me plaisez beaucoup... avoue ai-je - Je ne veux pas d’histoires d’un soir, si tu veux aller plus loin, tu devras te montrer obéissante et devenir ma chose... Je suis un Dominant dans mes histoires extraconjugales ! Je te veux à moi, où, quand et comment je voudrai ! Tu seras ma pute soumise car je te donnerai 15000 francs (environ 2300 euros) cash tous les mois pour tes services... Regarde dans la boite à gant, ouvre l’enveloppe !
Il y avait 2300 euros... Sans beaucoup réfléchir, je me disais que c’était la solution à pas mal de problèmes financiers d’étudiante et tout ça pour baiser avec un homme qui m’attirait terriblement... Je n’avais donc pas hésité très longtemps !
- Je suis à vous professeur...
Souriant, il répondit :
- Bien, sage décision... Mais fais-moi le plaisir de m’appeler Maître, c’est plus respectueux de mon statut et de ta condition... Maintenant, enlève ta culotte pour la mettre dans ta bouche... Hmmmm... Très bien Isabelle... Mets ta ceinture, on va faire un tour !
Après quelques kilomètres, il rentra sur un parking et gara la voiture à côté d’un banc...
- Tu vois ce banc... Assois-toi dessus et montre-moi ta belle petite chatte. Je te regarde, ne me déçoit pas !
Avalant une gorgée de salive parfumée à mon odeur corporelle, je m’exécutais... Il avait l’air satisfait de m’exhiber comme ça...
- Tu te comportes très bien, nous pouvons y aller... Remets ta culotte.
Étonnée et presque déçue :
- Déjà ?
- Non ma belle, je parlais du club qui se trouve sur cette place. Tu ne vas pas beaucoup dormir cette nuit...
Nous nous sommes présentés devant l’entrée où une femme habillée de cuir nous attendait. Elle connaissait mon nouveau Maître... Nous descendîmes alors beaucoup d’escaliers pour nous emmener dans des pièces voutées... Il m’emmena dans une pièce qu’il nomma donjon où se tenaient plusieurs hommes et femmes assis comme pour assister à un spectacle...
- Déshabilles-toi entièrement dit-il !
Alors que j’hésitais, je reçus une gifle terrible qui me renversa. Il me prit par les cheveux pour me faire me relever et je me suis déshabillée entièrement. Ensuite, il me présenta à l’auditoire et me plaça devant un objet datant du Moyen-Age dans lequel il bloqua ma tête et mes mains afin de m’immobiliser, c’était une sorte de pilori... Moi qui avait une confiance aveugle en cet homme, un frisson d’angoisse me parcourut lorsqu’en essayant de me dégager, je vis que j’étais prisonnière... Tous se mirent à rire devant mon angoisse. Et dire que j’avais affirmé à la dame de la réception que j’étais parfaitement consentante lorsqu’elle me posa la question avant de me laisser entrer, elle avait même demandé à voir ma carte d’identité pour s’assurer de ma majorité et m’avait fait signer un papier sur lequel j’attestais que je n’étais pas sous quelque contrainte que ce soit... Toujours immobilisée, j’entendis tout d’un coup :
- Patrick ? La caméra tourne ?
- Oui ça tourne ! »
Une caméra... (à l’époque, il n’y avait pas de téléphone portable pour filmer) Comment pouvait-il oser ? Je n’en croyais pas mes oreilles du haut de mes 19 ans... Il m’avait bien eu ce vieux pervers de professeur...
- La caméra ma belle, c’est juste histoire que tu comprennes que tu ne peux reprendre ta liberté sans mon accord sinon c’est ta réputation qui pourrait en pâtir... Et puis pour le fric que je vais te laisser...ah ah ah ! Regarde un peu ce que je vais t’enfoncer dans ton petit cul de salope !
Mes gémissements étaient à peine perceptibles devant les cris d’encouragements que recevait ce Maître.
- Passe-moi le vibromasseur Jean, que je lui donne du plaisir... Et toi, Patrick, filme bien son visage, je vais la faire jouir à la faire couiner de plaisirs et lui laisser le vibro collé à son clito jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus !
J’étais consentante et son vibro commençait à faire ressortir toute l’excitation que j’avais gardé en moi toute la soirée... Le vibro glissait contre ma chatte trempée, je commençais à bouger et remuer mon corps sous le coup de l’excitation mais dès que je bougeais un peu trop, la corde qui tenait l’hameçon géant avec une boule à l’extrémité et enfoncé dans mes fesses se tendait et le faisait remonter dans mon cul comme un pêcheur qui ferre sa proie... Je me mis à jouir comme cela ne m’était jamais arrivé... Chaque vibration faisait raidir mon corps et entrainait l’hameçon dans des mouvements perpétuels... Le Maître s’arrêta au bout de quelques minutes et reçut les applaudissements de la salle... Il détacha la corde de l’hameçon et me le retira délicatement. Il s’approcha de moi, baissa son pantalon et prit la parole :
- Je suis ravi de constater tout le plaisir que tu as pris ma belle Isabelle. Ta première séance qui en amène bien d’autres, crois-moi, est un succès ! Tu vas maintenant remercier Patrick - Comme il se doit pour le film qu’il a fait de toi, film qui restera confidentiel si tu respectes tes engagements... Patrick, viens te faire sucer mon ami ! Et avale tout comme une grande !
Patrick se présenta devant moi et en moins d’une minute éjacula dans ma bouche... Mon Maître en fit de même puis il me fallut tout avaler et nettoyer les deux verges redevenues molles avant de me détacher et de me rhabiller. Nous sortirent en silence et une fois dehors, il me questionna :
- As-tu pris autant de plaisir que moi ?
A présent remise de mes émotions, j’avoue franchement :
- J’ai très honte de l’avouer mais je crois que oui... Vous avez révélé en moi quelque chose, Maître ! »
Calmement, il me répondit :
- Et ce n’est que le début... salope !
Il me déposa chez moi, excitée mais tout de même honteuse. A tel point que la nuit fut horrible pour moi, à ne pas pouvoir dormir à ressasser les évènements. Je me dégoutais au point que je pris peur, en effet alors que j’avais eu une confiance aveugle en cet homme qui aurait pu être mon père, je m’étais faite avoir… J’avais été humiliée devant des inconnus… et maintenant je devrai passer toute l’année dans cette ville, croisant peut-être des personnes présentes ce soir, et lui aussi comme mon professeur qui certainement ne voudrait pas en rester là... Mes études de médecine commençaient vraiment très mal… Je n’avais plus qu’une idée fuir, malgré le plaisir certain que j’avais pris, j’avais peur de cette situation et, avec le recul je réalise qu’à l’époque, j’avais peur de moi-même, de ce que j’étais sans encore en avoir vraiment conscience… Le lendemain matin alors que je déambulais, place de la Comédie en Montpellier, je croisais la route d’une ancienne copine qui était venue passer quelques jours avec son chéri. Sur le coup, je ne la reconnus pas, tant elle était bien habillée, c’est elle qui me reconnut :
- Isabelle, c’est toi, me dit-elle...
Je lui racontais toute mon histoire de la veille, tandis qu’elle, me disait être mannequin à Paris. Elle voyait bien dans quel état d’esprit je me trouvais... Je décidais de quitter Montpellier et avec elle et son chéri, nous étions remontés à Paris quelques jours plus tard. Je tentais d’oublier Montpellier à jamais gravé dans ma mémoire. Deux mois étaient passés, je commençais le mannequinat comme vous le savez maintenant, chez Dior à Paris. Mais là encore...vous connaissez la suite...’’
(A suivre …)
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