La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l'épisode N°1074) -
Nous sortîmes, moi suivant Walter laissant le Comte de Beusgley ‘maquignon’ à ses réflexions… Etant admise parmi les esclaves de Monsieur le Marquis d’Evans, il me restait, avant de commencer vraiment mon chemin d’esclave, à passer la visite médicale obligatoire. Le Noble avait su s’entourer de praticiens tels qu’un dentiste, gynécologue, médecin généraliste, chirurgien dont certains sont des Maîtres et chez qui, il envoie ses protégées. Même si j’avais conservé mon appartement à Paris, je passais le plus clair de mon temps au Domaine du Châtelain. De temps en temps, je retournais en mes murs, accompagnée par Walter. Ce retour en arrière, pourtant si récent, me paraissait à chaque fois me faire revenir dans une autre vie comme si j’étais morte à quelque chose et que ma vie, maintenant était autre, complètement autre, conne dans une évidence absolue. C’est une très curieuse sensation que je sentais en moi, à chaque fois que je revenais dans mes meubles me faisant me sentir étrangère chez… moi. Pire encore, je ne me sentais plus bien chez moi, il me manquait quelque chose ou plutôt quelqu’un. J’en étais là de mes réflexions, tandis que le Majordome me ramenait de chez le comte pour retourner chez le Maître. Il me regardait dans son rétroviseur et me dit, me voyant pensive :
- Un problème, petite chienne ?
- (Sursautant) Non Monsieur, non, rien de grave !
Bien qu’il ne me répondit pas, il me regardait avec attention, après tout, je représentais pour son employeur quelque chose d’important sur lequel il devait veiller pendant le trajet. Arrivée enfin au Château, je fus immédiatement conduite auprès du Noble qui m’accueillit très chaleureusement. Je ne pouvais nier l’immense joie de Le retrouver ! Monsieur le Marquis me prit dans ses bras, m’embrassa tendrement et me dit :
- Tu as manqué au Maître, petite salope !
De sa bouche, je pris ses paroles comme un compliment. Maître me fit Lui servir un digestif et pendant que je m’exécutais, il fit signe à son Majordome qui s’approcha.
- Walter, tu conduiras dès demain ma petite chienne pour sa visite médicale.
- Oui Monsieur le Marquis. Pour quelle heure, Monsieur le Marquis ?
Ainsi et sur ordre de Maître, je dois passer cette ‘révision’. Réfléchissant, Maître dit :
- Walter, chez mon ami le Gynécologue, demain après-midi, pour 17 heures. Tu l’amèneras selon le protocole habituel.
- Bien Monsieur le Marquis, naturellement.
- En attendant, emmènes-là maintenant aux cuisines, auprès de Marie… J’ai un coup de téléphone à passer maintenant. Ramène-la-moi dans une heure.
Deux heures plus tard, Le Maître, assez agacé, demanda à Walter :
- Walter, où est Ma chienne ?
- Elle est occupée avec Marie, Monsieur le Marquis, elle n’a pas terminé avec elle… Veuillez m’excuser, j’étais au téléphone avec Monsieur le Comte de Beusgley, votre ami qui devient, pardonnez-moi l’expression, vraiment embarrassant.
- (Surpris) Embarrassant ? dis-tu ?, et pourquoi donc ?
- Monsieur le Comte semble trop intéressé par Votre chienne, Monsieur le Marquis, et il me pose des questions embarrassantes, vraiment ! Questions auxquelles je ne sais quoi répondre.
- Lesquelles ? interrogea le Noble subitement devenu blême !
- Il me demande si Votre chienne est bonne à baiser, si elle se comporte bien au lit, si elle est docile ou pas… Si vous consentiriez à la lui céder ou à lui vendre au besoin ? Il vous en donnerait un excellent prix, selon Lui.
Le Noble devenait encore plus irrité aux dires de Walter. Subitement :
- Walter, va me chercher Ma petite chienne.
- Oui, Monsieur le Marquis.
J’avais été envoyée auprès de Marie la cuisinière pour lui montrer de nouveau mes aptitudes à la faire jouir, car elle savait que je léchais bien… Et quand le Majordome entra dans la cuisine de Marie, il la trouva sur le point d’exploser son énième orgasme sous mes si bons coups de langues entres ses lèvres intimes, mais l’entrée inopinée du Majordome calma sa montée de plaisirs…
- chienne Isabelle, ici, tout de suite, Monsieur le Marquis t’attend immédiatement !
- Oui, Monsieur.
Tout en faisant une grimace au Majordome lui exprimant qu’elle n’avait pas fini de prendre son plaisir avec moi et d’un coup de talon, fort mécontente, la cuisinière m’envoya bouler les quatre fers en l’air... Je suivais Walter, me demandant pourquoi le Châtelain me faisait venir si vite. Je remarquais que passant dans les couloirs, les esclaves mâles comme femelles s’inclinaient devant lui comme ils le feraient devant le Maître… Arrivés devant le bureau du Noble,
- Reste ici, salope, je viendrai te chercher.
- Bien, Monsieur, répondis-je.
Dans le bureau du Châtelain, celui-ci se fit apporter...
- Walter, donne mes deux petits coffrets, s’il te plait !
- Bien sûr, Monsieur le Marquis.
- La chienne est-elle avec toi ?
- Elle Vous attend, Monsieur le Marquis - Fais-la entrer !
- Bien, Monsieur le Marquis !
Le Majordome m’introduisit auprès du Maître, devant lequel je me prosternais en me mettant de suite en levrette, les mains bien en avant, le cul bien relevé, la tête plaquée sur le sol.
- Bien ! Bien, petite chienne, dit-il visiblement heureux de me voir me prosterner ainsi. - Je te fais venir, car, maintenant que je t’ai acceptée en Ma Demeure, je veux tous savoir de ta santé, de tes capacités physiologiques, de tes antécédents de santé, tes vaccins, aussi, tu vas accompagner Walter chez mon ami gynécologue qui, après t’avoir visitée, me fera parvenir les résultats de ses investigations te concernant.
- Oui, Maître.
- Mais auparavant, je te dois une correction pour être arrivée en retard, tu t’en souviens ?
- Oui, Maître. (je pensais, j’espérais qu’Il l’avait oubliée) - Relève-toi donc et va te pencher au-dessus de ce canapé, tes bras, reposant sur le dossier.
- Oui, Maître.
Il me désignait un superbe canapé en cuir, au-dessus duquel, je me plaçais, les jambes devant le canapé, et les bras posés sur le dossier comme exigé, fessier bien offert, tendu et dégagé.
Le Maître, tout d’abord s’approcha de mon corps, par derrière, me caressa tendrement les fesses, si tendrement, que j’en eu des frissons. Il passait ses doigts autour de ma taille, si fine, (36 voire 34 parfois sur un fessier de 90) mettant en valeur ma croupe bien arrondie… D’un coup de genoux, il me fit écarter mes cuisses et jambes. Ses mains remontaient le long de mes reins, de mon dos, passaient sous mes aisselles, soupesaient mes seins, titillaient mes aréoles, mes tétons qui se fripaient sous les caresses… Je sentais contre mes fesses, la bosse significative d’une envie érectile du Maître… Puis il revint vers mes fesses, attaqua directement mon clito, sans ménagement, tandis que quatre doigts s’enfonçaient sans préambule, rapidement en ma vulve…
- Ohhh, dis-je… Maî… Maître… hummm !
Comme s’il ne m’avait pas entendue, il ressortit ses doigts et son pouce replié dans les doigts, tenta de forcer mon ouverture en me fistant… J’écartais encore plus les jambes pour lui faciliter le passage, et après que je fus assez ouverte, avec quelques poussées, sa main entra lentement mais sûrement dans ma chatte gluante et tellement trempée par l’excitation de son traitement. Le poignet étant passé, le reste suivit sans problème, et sa main, en boule en ma vulve, commença de me travailler en des allers et venues lentes, le temps que ma vulve se détende assez, puis plus fortement et vigoureusement. L’effet, la sensation d’être aussi remplie fut énorme, d’autant que de son autre main, il branlait en même temps vigoureusement mon clitoris qui n’en demandait pas tant…
- Maî… Maî… je vais… venir… hummm !
- Oui, mais quand je le déciderai et pas avant, j’ai dit !
- Oh Maî…
Monsieur le Marquis continuait de me travailler, au point de non-retour, je tremblais sur mes jambes, ma vue était brouillée… je crus entendre le Maître parler à Walter… Celui-ci vint devant moi, dégrafa sa braguette, sortit son gros sexe démesuré et si énorme, dont le gland était gonflé et violacé. Je vis le Majordome regarder son patron et je pense qu’ils se parlaient entre eux. Walter me prit les cheveux qu’il me tira fortement en arrière, ce qui me fit mal à la nuque et me présenta sa queue gonflée de désirs… Tandis que j’étais au bord de l’explosion par ce que me faisait le Noble, le Majordome mit sa verge dressée d’autorité dans ma bouche et l’enfonça jusqu’au fond de ma gorge. J’étouffais, mais Walter tenant ma tête par les cheveux, me faisait avancer et reculer lui-même, imposant ainsi la cadence qu’il exigeait. En fait, il se branlait dans ma bouche sans que je n’ai rien d’autre à faire que de l’avoir dans ma cavité buccale… et de me laisser faire ! Pendant que tout cela se déroulait, le Maître avait retiré sa main de mon clito et sans m’y attendre, je reçus un si violent coup de cravache en travers du dos, que surprise, je me décalais, me redressais et perdis le sexe de Walter. Celui-ci, fort mécontent, me gifla au moment même où je recevais le deuxième coup de cravache me frappant depuis le dessus de l’épaule gauche descendant jusqu’au rein droit.
J’en étais très excitée à en être trempée de cyprine et même si la douleur fut si cuisante que mes mains, dans un réflexe, lâchèrent le dossier me faisant perdre l’équilibre, tentant de protéger mes reins, mais me faisant m’enfoncer encore plus sur le sexe du Majordome qui m’avait de nouveau pénétrer la bouche d’un coup sec. C’est à ce moment précis que celui-ci, si excité, juta en ma bouche comme il savait si bien le faire… en de longs jets de sperme, plusieurs fois renouvelés…
(A suivre …)
Nous sortîmes, moi suivant Walter laissant le Comte de Beusgley ‘maquignon’ à ses réflexions… Etant admise parmi les esclaves de Monsieur le Marquis d’Evans, il me restait, avant de commencer vraiment mon chemin d’esclave, à passer la visite médicale obligatoire. Le Noble avait su s’entourer de praticiens tels qu’un dentiste, gynécologue, médecin généraliste, chirurgien dont certains sont des Maîtres et chez qui, il envoie ses protégées. Même si j’avais conservé mon appartement à Paris, je passais le plus clair de mon temps au Domaine du Châtelain. De temps en temps, je retournais en mes murs, accompagnée par Walter. Ce retour en arrière, pourtant si récent, me paraissait à chaque fois me faire revenir dans une autre vie comme si j’étais morte à quelque chose et que ma vie, maintenant était autre, complètement autre, conne dans une évidence absolue. C’est une très curieuse sensation que je sentais en moi, à chaque fois que je revenais dans mes meubles me faisant me sentir étrangère chez… moi. Pire encore, je ne me sentais plus bien chez moi, il me manquait quelque chose ou plutôt quelqu’un. J’en étais là de mes réflexions, tandis que le Majordome me ramenait de chez le comte pour retourner chez le Maître. Il me regardait dans son rétroviseur et me dit, me voyant pensive :
- Un problème, petite chienne ?
- (Sursautant) Non Monsieur, non, rien de grave !
Bien qu’il ne me répondit pas, il me regardait avec attention, après tout, je représentais pour son employeur quelque chose d’important sur lequel il devait veiller pendant le trajet. Arrivée enfin au Château, je fus immédiatement conduite auprès du Noble qui m’accueillit très chaleureusement. Je ne pouvais nier l’immense joie de Le retrouver ! Monsieur le Marquis me prit dans ses bras, m’embrassa tendrement et me dit :
- Tu as manqué au Maître, petite salope !
De sa bouche, je pris ses paroles comme un compliment. Maître me fit Lui servir un digestif et pendant que je m’exécutais, il fit signe à son Majordome qui s’approcha.
- Walter, tu conduiras dès demain ma petite chienne pour sa visite médicale.
- Oui Monsieur le Marquis. Pour quelle heure, Monsieur le Marquis ?
Ainsi et sur ordre de Maître, je dois passer cette ‘révision’. Réfléchissant, Maître dit :
- Walter, chez mon ami le Gynécologue, demain après-midi, pour 17 heures. Tu l’amèneras selon le protocole habituel.
- Bien Monsieur le Marquis, naturellement.
- En attendant, emmènes-là maintenant aux cuisines, auprès de Marie… J’ai un coup de téléphone à passer maintenant. Ramène-la-moi dans une heure.
Deux heures plus tard, Le Maître, assez agacé, demanda à Walter :
- Walter, où est Ma chienne ?
- Elle est occupée avec Marie, Monsieur le Marquis, elle n’a pas terminé avec elle… Veuillez m’excuser, j’étais au téléphone avec Monsieur le Comte de Beusgley, votre ami qui devient, pardonnez-moi l’expression, vraiment embarrassant.
- (Surpris) Embarrassant ? dis-tu ?, et pourquoi donc ?
- Monsieur le Comte semble trop intéressé par Votre chienne, Monsieur le Marquis, et il me pose des questions embarrassantes, vraiment ! Questions auxquelles je ne sais quoi répondre.
- Lesquelles ? interrogea le Noble subitement devenu blême !
- Il me demande si Votre chienne est bonne à baiser, si elle se comporte bien au lit, si elle est docile ou pas… Si vous consentiriez à la lui céder ou à lui vendre au besoin ? Il vous en donnerait un excellent prix, selon Lui.
Le Noble devenait encore plus irrité aux dires de Walter. Subitement :
- Walter, va me chercher Ma petite chienne.
- Oui, Monsieur le Marquis.
J’avais été envoyée auprès de Marie la cuisinière pour lui montrer de nouveau mes aptitudes à la faire jouir, car elle savait que je léchais bien… Et quand le Majordome entra dans la cuisine de Marie, il la trouva sur le point d’exploser son énième orgasme sous mes si bons coups de langues entres ses lèvres intimes, mais l’entrée inopinée du Majordome calma sa montée de plaisirs…
- chienne Isabelle, ici, tout de suite, Monsieur le Marquis t’attend immédiatement !
- Oui, Monsieur.
Tout en faisant une grimace au Majordome lui exprimant qu’elle n’avait pas fini de prendre son plaisir avec moi et d’un coup de talon, fort mécontente, la cuisinière m’envoya bouler les quatre fers en l’air... Je suivais Walter, me demandant pourquoi le Châtelain me faisait venir si vite. Je remarquais que passant dans les couloirs, les esclaves mâles comme femelles s’inclinaient devant lui comme ils le feraient devant le Maître… Arrivés devant le bureau du Noble,
- Reste ici, salope, je viendrai te chercher.
- Bien, Monsieur, répondis-je.
Dans le bureau du Châtelain, celui-ci se fit apporter...
- Walter, donne mes deux petits coffrets, s’il te plait !
- Bien sûr, Monsieur le Marquis.
- La chienne est-elle avec toi ?
- Elle Vous attend, Monsieur le Marquis - Fais-la entrer !
- Bien, Monsieur le Marquis !
Le Majordome m’introduisit auprès du Maître, devant lequel je me prosternais en me mettant de suite en levrette, les mains bien en avant, le cul bien relevé, la tête plaquée sur le sol.
- Bien ! Bien, petite chienne, dit-il visiblement heureux de me voir me prosterner ainsi. - Je te fais venir, car, maintenant que je t’ai acceptée en Ma Demeure, je veux tous savoir de ta santé, de tes capacités physiologiques, de tes antécédents de santé, tes vaccins, aussi, tu vas accompagner Walter chez mon ami gynécologue qui, après t’avoir visitée, me fera parvenir les résultats de ses investigations te concernant.
- Oui, Maître.
- Mais auparavant, je te dois une correction pour être arrivée en retard, tu t’en souviens ?
- Oui, Maître. (je pensais, j’espérais qu’Il l’avait oubliée) - Relève-toi donc et va te pencher au-dessus de ce canapé, tes bras, reposant sur le dossier.
- Oui, Maître.
Il me désignait un superbe canapé en cuir, au-dessus duquel, je me plaçais, les jambes devant le canapé, et les bras posés sur le dossier comme exigé, fessier bien offert, tendu et dégagé.
Le Maître, tout d’abord s’approcha de mon corps, par derrière, me caressa tendrement les fesses, si tendrement, que j’en eu des frissons. Il passait ses doigts autour de ma taille, si fine, (36 voire 34 parfois sur un fessier de 90) mettant en valeur ma croupe bien arrondie… D’un coup de genoux, il me fit écarter mes cuisses et jambes. Ses mains remontaient le long de mes reins, de mon dos, passaient sous mes aisselles, soupesaient mes seins, titillaient mes aréoles, mes tétons qui se fripaient sous les caresses… Je sentais contre mes fesses, la bosse significative d’une envie érectile du Maître… Puis il revint vers mes fesses, attaqua directement mon clito, sans ménagement, tandis que quatre doigts s’enfonçaient sans préambule, rapidement en ma vulve…
- Ohhh, dis-je… Maî… Maître… hummm !
Comme s’il ne m’avait pas entendue, il ressortit ses doigts et son pouce replié dans les doigts, tenta de forcer mon ouverture en me fistant… J’écartais encore plus les jambes pour lui faciliter le passage, et après que je fus assez ouverte, avec quelques poussées, sa main entra lentement mais sûrement dans ma chatte gluante et tellement trempée par l’excitation de son traitement. Le poignet étant passé, le reste suivit sans problème, et sa main, en boule en ma vulve, commença de me travailler en des allers et venues lentes, le temps que ma vulve se détende assez, puis plus fortement et vigoureusement. L’effet, la sensation d’être aussi remplie fut énorme, d’autant que de son autre main, il branlait en même temps vigoureusement mon clitoris qui n’en demandait pas tant…
- Maî… Maî… je vais… venir… hummm !
- Oui, mais quand je le déciderai et pas avant, j’ai dit !
- Oh Maî…
Monsieur le Marquis continuait de me travailler, au point de non-retour, je tremblais sur mes jambes, ma vue était brouillée… je crus entendre le Maître parler à Walter… Celui-ci vint devant moi, dégrafa sa braguette, sortit son gros sexe démesuré et si énorme, dont le gland était gonflé et violacé. Je vis le Majordome regarder son patron et je pense qu’ils se parlaient entre eux. Walter me prit les cheveux qu’il me tira fortement en arrière, ce qui me fit mal à la nuque et me présenta sa queue gonflée de désirs… Tandis que j’étais au bord de l’explosion par ce que me faisait le Noble, le Majordome mit sa verge dressée d’autorité dans ma bouche et l’enfonça jusqu’au fond de ma gorge. J’étouffais, mais Walter tenant ma tête par les cheveux, me faisait avancer et reculer lui-même, imposant ainsi la cadence qu’il exigeait. En fait, il se branlait dans ma bouche sans que je n’ai rien d’autre à faire que de l’avoir dans ma cavité buccale… et de me laisser faire ! Pendant que tout cela se déroulait, le Maître avait retiré sa main de mon clito et sans m’y attendre, je reçus un si violent coup de cravache en travers du dos, que surprise, je me décalais, me redressais et perdis le sexe de Walter. Celui-ci, fort mécontent, me gifla au moment même où je recevais le deuxième coup de cravache me frappant depuis le dessus de l’épaule gauche descendant jusqu’au rein droit.
J’en étais très excitée à en être trempée de cyprine et même si la douleur fut si cuisante que mes mains, dans un réflexe, lâchèrent le dossier me faisant perdre l’équilibre, tentant de protéger mes reins, mais me faisant m’enfoncer encore plus sur le sexe du Majordome qui m’avait de nouveau pénétrer la bouche d’un coup sec. C’est à ce moment précis que celui-ci, si excité, juta en ma bouche comme il savait si bien le faire… en de longs jets de sperme, plusieurs fois renouvelés…
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