La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
… en de longs jets de sperme, plusieurs fois renouvelés… Je tentais d’avaler au fur et à mesure ses émissions de liquide tandis que le Maître continuait de me cravacher tout en poursuivant son labourage interne de mon vagin en feu. Les coups tombaient, réguliers mais de temps en temps après une pause, comme pour casser le rythme et m’empêcher de parer aux coups. Mon dos, mes épaules, mes reins et mes fesses étaient en feu et j’en mouillais terriblement et même, je commençais en recevant les coups, de sentir plus les excitations que la brûlure de la morsure du cuir… Il m’était difficile de retenir un fulgurant orgasme quand j’entendis les mots libérateurs :
- Jouis, dit le Maître, mais jouis tout de suite, salope de chienne !
Malgré ma forte envie de jouir, je fus surprise, car je ne m’y attendais pas du tout pour ce moment-là, et donc je ne réagis pas immédiatement à la seconde même de l’ordre donné et il s’exclama sans attendre :
- J’ai dit tout de suite, salope de chienne, me donnant quatre coups de cravache encore plus forts sur les reins…
Alors, je n’ai pas attendu un dixième de seconde de plus pour laisser éclater un puissant orgasme qui me dévasta des décharges électriques me remontant sur toute mon échine pour se propager dans tout mon corps empli de délicieux spasmes. Tout en hurlant de douleur et de plaisirs mélangés, je jouis bestialement, oui comme une bête, comme une femelle en chaleur. Ma vulve se serrant autour de Sa main m’encombrant pleinement mon vagin et donc toujours enfoncée en moi, me labourant le bas-ventre, encore et encore. Ma chatte était si serrée qu’elle avait immobilisé la main du Maître, comme si mon minou l’aspirait de l’intérieur pour la garder par ses nombreuses et libératrices contractions musculaires. Je n’arrêtais pas de jouir, des orgasmes explosifs non-stop se déversant dans tout mon être sans interruption. Je hoquetais, perdais le souffle, tentais de me reprendre quand un suivant arrivait, encore plus violent, encore plus dévastateur accompagné de mille plaisirs me faisant onduler de la croupe. Walter avait replacé son gros sexe sur ma langue, et les coups de cravache reprenaient leur danse durant que ‘’je grimpais au plafond’’ secouée par une multitude de sensations et cris jouissifs. Sous mes yeux, le canapé semblait onduler, mes jambes devenant coton, mon cul et dos en feu, les épaules également, la bouche pleine, ne sachant même plus où en était le Majordome, seul mon bas-ventre semblait conscient et réclamait encore et encore sa part… J’entendis tout de même dans mon propre vacarme le Maître dire à Walter :
- Décidément, cette petite chienne est vraiment une excellente recrue, elle est ultra-orgasmique…
Tout en continuant de me travailler comme si je n’avais pas encore joui, et tandis que le Majordome accélérait ses mouvements en ma bouche, le Noble lui dit encore :
- Walter, je veux tout savoir de Ma salope, tu le diras bien à notre ami le gynéco !
- Bien sûr, Monsieur le Marquis !
Enfin, Walter jouit à nouveau, le Châtelain posa la cravache sur le canapé, et sortit lentement sa main de ma chatte béante dans un délicieux mouvement rotatif de retrait de ma grotte lubrique, ce qui me procura de nouveau de succulents spasmes … Sitôt la chatte libérée, un flot de cyprine s’en écoula… Je gardais cependant la position, mais dans une sorte de brouillard absolu, inerte et tremblante sur mes jambes… Soudain, je sentis une grosse verge dressée se présenter sur ma rosette, le Maître certainement me dis-je puisque Walter était devant moi. Les puissantes mains du Marquis d’Evans se posèrent sur mes crêtes iliaques, s’accrochant à mon bassin, tandis qu’il poussait derrière moi pour pénétrer son cul et que je sentais lentement sa divine queue entrer en mon anus de chienne assoiffée… Ah ! Cette sensation d’être écartelée en cet endroit, sentir ce bâton dur s’enfoncer dans les entrailles, de plus en plus, glisser en mes profondeurs, me laissant la chatte béante et ruisselante, jusqu’au moment où je sentis contre mes fesses les poils pubiens du Maître. Ah oui ! Quel bonheur ! Sensations sublimes sans conteste !
Il tenta de s’enfoncer encore plus, resta un moment immobile en un profond coït anal, planté en moi sans bouger, puis commença une sorte de ballet infernal, se retirant, s’enfonçant, se retirant entièrement laissant mon cul ouvert puis se ré enfonçant profondément, d’un coup, d’un seul jusqu’au fond me faisant beugler de plaisirs… Tandis qu’Il me pistonnait virilement avec force, Il me prit les cheveux et les tira à Lui, me redressant en arrière… Dans cette pose, le Majordome prit la cravache et tandis que Maître allait et venait en mon cul torride, Walter cravachait mes seins avec méthode, comme voulant dessiner dessus des arabesques cruelles. C’est au milieu de cet ouragan d’excitations que je reçus les jets sacrés de la semence du Maître, en plusieurs fois, car après les premiers, Il ne sortit pas de mon cul, attendit un long moment, puis reprit son ballet. Ce qui fit dire à Walter :
- Monsieur le Marquis, sauf votre respect, Vous êtes en train d’en faire une citerne à foutre…
Pendant qu’il éjaculait à nouveau le Maître répondit :
- Walter, tu ne penses pas si bien dire, Ma petite chienne deviendra un réservoir à foutre en effet… C’est son évidente destinée…
Enfin, Il sortit de mon orifice anal… Il m’aida à me redresser, me tourna vers Lui, me prit dans Ses bras, bouche contre bouche… yeux dans les yeux…
- Maintenant tu es Mienne, dit-il, maintenant, ton éducation va pouvoir commencer… - Merci Maître, Merci… répondis-je encore étourdie de mille plaisirs.
- Tu vas suivre Walter mais avant… Allonge-toi sur le canapé, couchée sur le dos, jambes repliées sur tes seins !
- Oui, Maître !
Je prenais place sur le canapé, remontais mes jambes presque au niveau des épaules, et un bandeau vint sur mes yeux. Dans cette pose, vous imaginez mes orifices largement exposés à tous les regards, rejetant le sperme reçu… J’entendis des clics… Je sus ensuite que c’était l’ouverture des coffrets demandés par Maître au Majordome. Je sentis ensuite se poser sur mon anus encore bien ouvert, quelque chose de froid qui tentait d’entrer en mon cul. Malgré la dilatation anale laissée par le sexe du Maître, le gode devait être plus gros car le Châtelain forçait et je me sentis m’ouvrir encore plus quand enfin le gland entra suivi ensuite du reste mais cette hampe factice semblait assez longue car étant bien écartelée voilà maintenant que je la sentais qui remontait assez profondément en mes entrailles… Une fois le gode anal bien installé, Maître en fit de même avec ma chatte qui se vit, elle aussi encombrée profondément. Ainsi mes deux orifices bien garnis, le Noble me fit me relever, je me trémoussais un peu comme pour tout mettre bien en place et c’est ainsi bien remplie que je suivis Walter sous les yeux réjouis du Maître. Tandis que je suivais le Majordome, je sentais en moi les godes se toucher et surtout, surtout, me remplir totalement, quelles sensations dès que je bougeais un peu ! A chaque pas, les godes me procuraient des plaisirs orgasmiques que je retenais et je me sentais mouiller encore et encore de ma cyprine abondante. On me vêtit d’une cape sombre ornée d’un liseré rouge l’entourant sur toute sa longueur, portant sur mon sein droit les Initiales de Monsieur le Marquis ainsi que Son blason ancestral de la Famille des Evans.
A mon cou, le collier de chienne orné lui aussi des nobles Initiales et la laisse pendante entre mes seins. C’est dans cette tenue que je montai en voiture conduite par le Majordome. Quand je posai mes fesses sur la banquette de la Rolls-Royce, je sentis les deux godes s’enfoncer plus encore dans mes entrailles, au point même de ressentir une petite douleur vite compensée par une nouvelle et énième excitation. La sensation des deux godes en moi me faisaient écarter automatiquement les jambes. Je me rendis compte aussi de ceci : Les deux godes me remplissant tellement, faisaient ressortir mon clitoris poussé de l’intérieur de ma vulve. Le tout donnait l’image d’une véritable femelle en rut, obscène, lubrique… Le cabinet du gynécologue était à Rambouillet, non loin de la Demeure du Maître... Il était 17h30, la nuit tombait sur le parc dans lequel le médecin officiait…
Walter gara la Rolls-Royce, m’ouvrit la portière me fit sortir, prit la laisse et me voilà, marchant à ses côtés, fière et un peu honteuse cependant car en extérieur et en visite aussi… Entrés, la secrétaire nous reçut et vit tout de suite mon accoutrement… Nue sous la cape, de très belles chaussures, la laisse tenue par Walter, le collier et les marques impossibles à cacher sur les seins… Mais elle n’avait pas du tout l’air étonnée et même qu’elle nous souriait dans une mimique faisant comprendre qu’elle était habituée à ce genre de visite…
- Veuillez prendre place dans cette pièce, nous dit-elle…
Nous la suivîmes et je pensais que nous allions dans une pièce… neutre… Mais non ! Deux autres femmes s’y trouvaient déjà, que le Majordome salua comme s’il les connaissait. Très mal à l’aise, je ne savais quelle contenance prendre quand Walter intervenant dit tout haut :
- La chienne, un peu de tenue, veux-tu ! Le Maître m’apprécierait pas que tu te fasses remarquer…
Immédiatement je rectifiais la position, assise sur le rebord de la chaise, les cuisses écartées, et tête droite, mais yeux baissés. Les deux femmes ne cessaient de me dévisager, échangeant entre elles très doucement… Elles avaient la quarantaine. Très bien habillées et ne semblaient pas être étonnées plus que de raison. Elles échangeaient entre elles, à voix basse, en me dévisageant sans vergogne. J’étais rouge de honte… Les fesses me faisaient très mal des coups reçus et quand je pris place, le bruit fait par le gode anal au moment où mon cul touchait l’assise de la chaise, ne laissa aucun doute sur ce que j’avais dans mon fondement… M’asseyant ainsi le gode anal remonta encore plus haut en moi et je fermai les yeux le sentant s’enfoncer encore plus profondément… La porte du cabinet s’ouvrit sur le gynécologue qui, à notre vue, se fendit d’un petit sourire pervers et montra aussi des yeux vicieux derrière ses petites lunettes rondes…
- Ah ! Bonjour Walter !, dit le gynéco à Walter qui lui répondit : - Bonjour Docteur.
- Je recevrai la nouvelle acquisition de Monsieur le Marquis après Madame de Fontenelle…
Une noble, me dis-je, entendant le nom prononcé. Je tentais de voir le visage mais d’un regard détourné, car ce visage me semblait connu sans pouvoir dire qui il était. Nous en étions là, attendant, lorsque l’une d’entre elle, Madame de Fontenelle dit au Majordome :
- Veuillez pardonner mon indiscrétion, Monsieur, mais cette… enfin, cette femme … que vous tenez en laisse a-t-elle toujours été propriété de notre cher Ami, Monsieur le Marquis ? (Walter allait répondre quand) - Je veux dire, cette …comment la nommer ? Cette femme, n’était-elle pas mannequin avant de… Elle ressemble terriblement à un mannequin que je rencontrais de temps en temps lors de défilés mondains.
- Si fait, répondit Walter, Madame la Baronne a vu juste … Mais la chienne va vous répondre elle-même !
Madame la Baronne me dis-je, bien sûr, je la reconnais maintenant, en bonne place aux défilés de mode. D’un coup sec sur la laisse, Walter me fit comprendre de répondre à Madame la Baronne de Fontenelle.
- En effet, Madame la Baronne, répondis-je, avant d’être à Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, il y a peu encore, j’étais mannequin et défilais pour la dernière fois à Paris, lors de la dernière présentation de la Maison Cartier. Je me souviens de vous, Madame La baronne, vous étiez placée aux côtés de Monsieur de… - Ah ! Je ne m’étais donc pas trompée, répliqua La Baronne ! Il est vrai que votre pastique ne peut passer inaperçue…
Elle me fixait avec une intensité telle que je dus baisser les yeux.
- J’ai tout de suite reconnu le Majordome de mon Ami Monsieur le Marquis quand je vous ai vu entrer tenue en laisse par ses soins… Ainsi donc vous appartenez à… - Au Maître, Monsieur le Marquis, coupa vivement, Walter!
- Naturellement, répondit la Baronne avec un sourire entendu, mon ami Monsieur le Marquis d’Evans est un esthète et sait s’entourer des plus belles choses. Il faudra que je lui rendre visite pour admirer sa dernière recrue et surtout qu’il m’explique comment il a bien pu faire pour la détourner de sa carrière.
- Madame la Baronne, répondit Walter, vous connaissez assez Monsieur le Marquis pour savoir qu’Il ne peut rien vous refuser.
Madame La Baronne émit un rire sonore et entendu, lorsque le gynécologue annonça :
- Madame La Baronne, veuillez entrer, s’il vous plait…
(A suivre …)
… en de longs jets de sperme, plusieurs fois renouvelés… Je tentais d’avaler au fur et à mesure ses émissions de liquide tandis que le Maître continuait de me cravacher tout en poursuivant son labourage interne de mon vagin en feu. Les coups tombaient, réguliers mais de temps en temps après une pause, comme pour casser le rythme et m’empêcher de parer aux coups. Mon dos, mes épaules, mes reins et mes fesses étaient en feu et j’en mouillais terriblement et même, je commençais en recevant les coups, de sentir plus les excitations que la brûlure de la morsure du cuir… Il m’était difficile de retenir un fulgurant orgasme quand j’entendis les mots libérateurs :
- Jouis, dit le Maître, mais jouis tout de suite, salope de chienne !
Malgré ma forte envie de jouir, je fus surprise, car je ne m’y attendais pas du tout pour ce moment-là, et donc je ne réagis pas immédiatement à la seconde même de l’ordre donné et il s’exclama sans attendre :
- J’ai dit tout de suite, salope de chienne, me donnant quatre coups de cravache encore plus forts sur les reins…
Alors, je n’ai pas attendu un dixième de seconde de plus pour laisser éclater un puissant orgasme qui me dévasta des décharges électriques me remontant sur toute mon échine pour se propager dans tout mon corps empli de délicieux spasmes. Tout en hurlant de douleur et de plaisirs mélangés, je jouis bestialement, oui comme une bête, comme une femelle en chaleur. Ma vulve se serrant autour de Sa main m’encombrant pleinement mon vagin et donc toujours enfoncée en moi, me labourant le bas-ventre, encore et encore. Ma chatte était si serrée qu’elle avait immobilisé la main du Maître, comme si mon minou l’aspirait de l’intérieur pour la garder par ses nombreuses et libératrices contractions musculaires. Je n’arrêtais pas de jouir, des orgasmes explosifs non-stop se déversant dans tout mon être sans interruption. Je hoquetais, perdais le souffle, tentais de me reprendre quand un suivant arrivait, encore plus violent, encore plus dévastateur accompagné de mille plaisirs me faisant onduler de la croupe. Walter avait replacé son gros sexe sur ma langue, et les coups de cravache reprenaient leur danse durant que ‘’je grimpais au plafond’’ secouée par une multitude de sensations et cris jouissifs. Sous mes yeux, le canapé semblait onduler, mes jambes devenant coton, mon cul et dos en feu, les épaules également, la bouche pleine, ne sachant même plus où en était le Majordome, seul mon bas-ventre semblait conscient et réclamait encore et encore sa part… J’entendis tout de même dans mon propre vacarme le Maître dire à Walter :
- Décidément, cette petite chienne est vraiment une excellente recrue, elle est ultra-orgasmique…
Tout en continuant de me travailler comme si je n’avais pas encore joui, et tandis que le Majordome accélérait ses mouvements en ma bouche, le Noble lui dit encore :
- Walter, je veux tout savoir de Ma salope, tu le diras bien à notre ami le gynéco !
- Bien sûr, Monsieur le Marquis !
Enfin, Walter jouit à nouveau, le Châtelain posa la cravache sur le canapé, et sortit lentement sa main de ma chatte béante dans un délicieux mouvement rotatif de retrait de ma grotte lubrique, ce qui me procura de nouveau de succulents spasmes … Sitôt la chatte libérée, un flot de cyprine s’en écoula… Je gardais cependant la position, mais dans une sorte de brouillard absolu, inerte et tremblante sur mes jambes… Soudain, je sentis une grosse verge dressée se présenter sur ma rosette, le Maître certainement me dis-je puisque Walter était devant moi. Les puissantes mains du Marquis d’Evans se posèrent sur mes crêtes iliaques, s’accrochant à mon bassin, tandis qu’il poussait derrière moi pour pénétrer son cul et que je sentais lentement sa divine queue entrer en mon anus de chienne assoiffée… Ah ! Cette sensation d’être écartelée en cet endroit, sentir ce bâton dur s’enfoncer dans les entrailles, de plus en plus, glisser en mes profondeurs, me laissant la chatte béante et ruisselante, jusqu’au moment où je sentis contre mes fesses les poils pubiens du Maître. Ah oui ! Quel bonheur ! Sensations sublimes sans conteste !
Il tenta de s’enfoncer encore plus, resta un moment immobile en un profond coït anal, planté en moi sans bouger, puis commença une sorte de ballet infernal, se retirant, s’enfonçant, se retirant entièrement laissant mon cul ouvert puis se ré enfonçant profondément, d’un coup, d’un seul jusqu’au fond me faisant beugler de plaisirs… Tandis qu’Il me pistonnait virilement avec force, Il me prit les cheveux et les tira à Lui, me redressant en arrière… Dans cette pose, le Majordome prit la cravache et tandis que Maître allait et venait en mon cul torride, Walter cravachait mes seins avec méthode, comme voulant dessiner dessus des arabesques cruelles. C’est au milieu de cet ouragan d’excitations que je reçus les jets sacrés de la semence du Maître, en plusieurs fois, car après les premiers, Il ne sortit pas de mon cul, attendit un long moment, puis reprit son ballet. Ce qui fit dire à Walter :
- Monsieur le Marquis, sauf votre respect, Vous êtes en train d’en faire une citerne à foutre…
Pendant qu’il éjaculait à nouveau le Maître répondit :
- Walter, tu ne penses pas si bien dire, Ma petite chienne deviendra un réservoir à foutre en effet… C’est son évidente destinée…
Enfin, Il sortit de mon orifice anal… Il m’aida à me redresser, me tourna vers Lui, me prit dans Ses bras, bouche contre bouche… yeux dans les yeux…
- Maintenant tu es Mienne, dit-il, maintenant, ton éducation va pouvoir commencer… - Merci Maître, Merci… répondis-je encore étourdie de mille plaisirs.
- Tu vas suivre Walter mais avant… Allonge-toi sur le canapé, couchée sur le dos, jambes repliées sur tes seins !
- Oui, Maître !
Je prenais place sur le canapé, remontais mes jambes presque au niveau des épaules, et un bandeau vint sur mes yeux. Dans cette pose, vous imaginez mes orifices largement exposés à tous les regards, rejetant le sperme reçu… J’entendis des clics… Je sus ensuite que c’était l’ouverture des coffrets demandés par Maître au Majordome. Je sentis ensuite se poser sur mon anus encore bien ouvert, quelque chose de froid qui tentait d’entrer en mon cul. Malgré la dilatation anale laissée par le sexe du Maître, le gode devait être plus gros car le Châtelain forçait et je me sentis m’ouvrir encore plus quand enfin le gland entra suivi ensuite du reste mais cette hampe factice semblait assez longue car étant bien écartelée voilà maintenant que je la sentais qui remontait assez profondément en mes entrailles… Une fois le gode anal bien installé, Maître en fit de même avec ma chatte qui se vit, elle aussi encombrée profondément. Ainsi mes deux orifices bien garnis, le Noble me fit me relever, je me trémoussais un peu comme pour tout mettre bien en place et c’est ainsi bien remplie que je suivis Walter sous les yeux réjouis du Maître. Tandis que je suivais le Majordome, je sentais en moi les godes se toucher et surtout, surtout, me remplir totalement, quelles sensations dès que je bougeais un peu ! A chaque pas, les godes me procuraient des plaisirs orgasmiques que je retenais et je me sentais mouiller encore et encore de ma cyprine abondante. On me vêtit d’une cape sombre ornée d’un liseré rouge l’entourant sur toute sa longueur, portant sur mon sein droit les Initiales de Monsieur le Marquis ainsi que Son blason ancestral de la Famille des Evans.
A mon cou, le collier de chienne orné lui aussi des nobles Initiales et la laisse pendante entre mes seins. C’est dans cette tenue que je montai en voiture conduite par le Majordome. Quand je posai mes fesses sur la banquette de la Rolls-Royce, je sentis les deux godes s’enfoncer plus encore dans mes entrailles, au point même de ressentir une petite douleur vite compensée par une nouvelle et énième excitation. La sensation des deux godes en moi me faisaient écarter automatiquement les jambes. Je me rendis compte aussi de ceci : Les deux godes me remplissant tellement, faisaient ressortir mon clitoris poussé de l’intérieur de ma vulve. Le tout donnait l’image d’une véritable femelle en rut, obscène, lubrique… Le cabinet du gynécologue était à Rambouillet, non loin de la Demeure du Maître... Il était 17h30, la nuit tombait sur le parc dans lequel le médecin officiait…
Walter gara la Rolls-Royce, m’ouvrit la portière me fit sortir, prit la laisse et me voilà, marchant à ses côtés, fière et un peu honteuse cependant car en extérieur et en visite aussi… Entrés, la secrétaire nous reçut et vit tout de suite mon accoutrement… Nue sous la cape, de très belles chaussures, la laisse tenue par Walter, le collier et les marques impossibles à cacher sur les seins… Mais elle n’avait pas du tout l’air étonnée et même qu’elle nous souriait dans une mimique faisant comprendre qu’elle était habituée à ce genre de visite…
- Veuillez prendre place dans cette pièce, nous dit-elle…
Nous la suivîmes et je pensais que nous allions dans une pièce… neutre… Mais non ! Deux autres femmes s’y trouvaient déjà, que le Majordome salua comme s’il les connaissait. Très mal à l’aise, je ne savais quelle contenance prendre quand Walter intervenant dit tout haut :
- La chienne, un peu de tenue, veux-tu ! Le Maître m’apprécierait pas que tu te fasses remarquer…
Immédiatement je rectifiais la position, assise sur le rebord de la chaise, les cuisses écartées, et tête droite, mais yeux baissés. Les deux femmes ne cessaient de me dévisager, échangeant entre elles très doucement… Elles avaient la quarantaine. Très bien habillées et ne semblaient pas être étonnées plus que de raison. Elles échangeaient entre elles, à voix basse, en me dévisageant sans vergogne. J’étais rouge de honte… Les fesses me faisaient très mal des coups reçus et quand je pris place, le bruit fait par le gode anal au moment où mon cul touchait l’assise de la chaise, ne laissa aucun doute sur ce que j’avais dans mon fondement… M’asseyant ainsi le gode anal remonta encore plus haut en moi et je fermai les yeux le sentant s’enfoncer encore plus profondément… La porte du cabinet s’ouvrit sur le gynécologue qui, à notre vue, se fendit d’un petit sourire pervers et montra aussi des yeux vicieux derrière ses petites lunettes rondes…
- Ah ! Bonjour Walter !, dit le gynéco à Walter qui lui répondit : - Bonjour Docteur.
- Je recevrai la nouvelle acquisition de Monsieur le Marquis après Madame de Fontenelle…
Une noble, me dis-je, entendant le nom prononcé. Je tentais de voir le visage mais d’un regard détourné, car ce visage me semblait connu sans pouvoir dire qui il était. Nous en étions là, attendant, lorsque l’une d’entre elle, Madame de Fontenelle dit au Majordome :
- Veuillez pardonner mon indiscrétion, Monsieur, mais cette… enfin, cette femme … que vous tenez en laisse a-t-elle toujours été propriété de notre cher Ami, Monsieur le Marquis ? (Walter allait répondre quand) - Je veux dire, cette …comment la nommer ? Cette femme, n’était-elle pas mannequin avant de… Elle ressemble terriblement à un mannequin que je rencontrais de temps en temps lors de défilés mondains.
- Si fait, répondit Walter, Madame la Baronne a vu juste … Mais la chienne va vous répondre elle-même !
Madame la Baronne me dis-je, bien sûr, je la reconnais maintenant, en bonne place aux défilés de mode. D’un coup sec sur la laisse, Walter me fit comprendre de répondre à Madame la Baronne de Fontenelle.
- En effet, Madame la Baronne, répondis-je, avant d’être à Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, il y a peu encore, j’étais mannequin et défilais pour la dernière fois à Paris, lors de la dernière présentation de la Maison Cartier. Je me souviens de vous, Madame La baronne, vous étiez placée aux côtés de Monsieur de… - Ah ! Je ne m’étais donc pas trompée, répliqua La Baronne ! Il est vrai que votre pastique ne peut passer inaperçue…
Elle me fixait avec une intensité telle que je dus baisser les yeux.
- J’ai tout de suite reconnu le Majordome de mon Ami Monsieur le Marquis quand je vous ai vu entrer tenue en laisse par ses soins… Ainsi donc vous appartenez à… - Au Maître, Monsieur le Marquis, coupa vivement, Walter!
- Naturellement, répondit la Baronne avec un sourire entendu, mon ami Monsieur le Marquis d’Evans est un esthète et sait s’entourer des plus belles choses. Il faudra que je lui rendre visite pour admirer sa dernière recrue et surtout qu’il m’explique comment il a bien pu faire pour la détourner de sa carrière.
- Madame la Baronne, répondit Walter, vous connaissez assez Monsieur le Marquis pour savoir qu’Il ne peut rien vous refuser.
Madame La Baronne émit un rire sonore et entendu, lorsque le gynécologue annonça :
- Madame La Baronne, veuillez entrer, s’il vous plait…
(A suivre …)
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