La Comtesse et son clitoris – (Hors-série, la suite)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Comtesse et son clitoris – (Hors-série, la suite) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse et son clitoris – (Hors-série, la suite)
La Comtesse et son clitoris – (Hors-série, la suite) - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) –
J’avais grandi. La danse était terminée pour moi à cause de cet accident de voiture stupide, genoux abimé ! Je n’étais pas encore devenue mannequin, je souhaitais faire des études de médecine. J’en étais là de ma vie de jeune fille, mais comme tous les soirs, j’avais rendez-vous avec mon très cher ami, mon clitoris qui, je l’avoue, me comblait tous les soirs. Une véritable relation sensuelle s’était formée entre lui et moi et je découvrais de multiples manières de lui parler. C’est de l’une de ces manières dont je vais vous parler maintenant. J’avais, depuis longtemps remarqué que le nez clitoridien était particulièrement sensible, (en tous cas chez moi) aux tapotements. J’en avais établi toute une panoplie, allant du simple tapotement anodin, presque caresse douce, à la tape plus forte, avec les bouts de mes doigts, en passant par de petits coups de règle… A chaque fois, je réagissais fortement et avec volupté.

J’avais été initiée, à un rapport sexuel par un de mes professeurs et c’est au même prof que je dus de connaître une autre sensation clitoridienne. Je retrouvais ce professeur à la Fac d’Assas, par hasard, dans l’un des nombreux amphis de la Faculté. Pourquoi était-il là ? Je ne sais. Quoiqu’il en fût, il me reconnut tout de suite, et toujours aussi sympathique que quelques années auparavant, c’est sans méfiance de ma part que j’acceptais d’aller boire un verre, après les cours, en ville, avec lui. J’avais grandi, étais plus formée, devenue presque femme mais plus tout à fait gamine. Lui, avait pris quelques kilos, ses cheveux étaient devenus grisonnants, et je le taquinais gentiment sur ses changements. Je me sentais très à l’aise en sa compagnie et en plus, très contente de le revoir. Vers la fin du repas qu’il m’avait offert dans un petit restaurant local, entre la poire et le fromage, il me dit sans ambages :
- Te souviens-tu de la dernière fois, Isabelle ?

Alors que je portais à la bouche ma fourchette, celle-ci fut stoppée illico par la demande. Evasivement mais rougissante :
- Oui Monsieur, répondis-je le nez dans mon assiette.
- Pourquoi rougis-tu, Isabelle ? me demanda-t-il - Euh…euh…je ne sais pas, Monsieur.
- Tu avais aimé ?

Je ne pouvais dire autre chose que :
- Oui bien sûr !
- Je vais te dire quelque chose que tu dois savoir Isabelle. Tu es très douée pour les questions sexuelles. Je ne te dis pas cela par avantage ou espérant quelque chose, mais parce que je l’ai bien vu la dernière fois. Tu en feras ce que tu veux bien sûr, ton corps t’appartient, mais moi, je voulais que tu le saches. Je me souviens par exemple de la réactivité de ton petit clito…
Ah ! Voilà le mot fatidique et mon très cher clito entendant qu’on parlait de lui, qui tendit non seulement l’oreille mais réagit immédiatement comme pour dire :
- Oui Monsieur, je suis là !

Le traitre, me dis-je en serrant les jambes. Mal m’en prit car le bougre aimait ce geste qui le comprimait ce qui me faisait changer le croisement de mes jambes, tant et plus que le professeur s’en rendant compte ajouta, perfide…
- Tu te branles, Isabelle ?
- Oh Monsieur, rouge vif, cramoisie même, d’être découverte alors qu’habillée c’était comme si j’étais nue en face de lui. En plus, il m’avait déjà vu nue donc… - Tu sais, ajouta-t-il doucement en me caressant tendrement les doigts, tu as encore beaucoup de choses à découvrir sur toi et ne me dis pas le contraire, tu aimes que je te parle comme en ce moment.

Je ne répondais rien, serrant les dents et les cuisses. Lui, avait reculé de la table, et adossé à sa chaise, regardait le manège de mes jambes fines et parées de bas. J’avais aux pieds des chaussures à petits talons, qui mettaient en valeur la finesse de mon coup de pied. Sous le coup de l’émotion je ne me rendis pas compte qu’il regardait avec insignifiance, mes jambes… qui, changeaient de pose toutes les minutes. Tantôt la droite sur la gauche, puis la gauche sur la droite, mais très serrée lune contre l’autre à chaque fois, au point que je faisais passer le pied libre autour du mollet posé à terre. En fait je comprimais mon clitoris, je me branlais sans mes mains mais avec la même efficacité. Subitement, dans un grand sourire, et en se rapprochant de la table le professeur dit :
- Si tu continues ainsi, Isabelle, tu vas jouir toute seule !

Même s’il l’avait dit doucement, la table d’à côté avait entendu et les hommes qui y étaient me regardaient maintenant fixement.

- Je sors Monsieur, répondis-je vexée, comme on peut jouer à l’être à cet âge avec un Monsieur qui aurait pu être mon père. D’un air de dire « je ne suis pas celle que vous pensez... »
Me rattrapant dans la rue, mon manège de femelle outrée le fit rire franchement ce qui me désarma au point que j’éclatais de rire en même temps que lui. Pour le coup, nous riions tous les deux, cela faisait du bien… Enfin le calme revint et quand il me prit dans ses bras, de fait j’étais déjà conquise… Serrée contre lui, il me regardait dans les yeux, ne disait rien, il me pressait contre lui, mes tétons durcissaient, mon clitoris, refroidi par la fin brutale du restaurant, s’était retiré, mais subitement reprenait de la vigueur à nouveau.

- On y va, dit doucement le professeur ?
- Oui Monsieur, répondis-je doucement…
Il me prit par la main et nous nous dirigeâmes vers l’hôtel le plus proche. Les formalités remplies, nous voilà dans la chambre où nous nous jetâmes l’un sur l’autre en un baiser torride.

- Déshabille-toi entièrement, dit-il, soudain !

Je fus surprise de ce que je me dis être de la brutalité, mais le connaissant j’obtempérai. J’allais retirer mes chaussures et mes bas lorsqu’il ajouta :
- Non, reste ainsi, tu es si… belle, mais écartes bien les jambes et place tes mains derrière ta nuque. (J’obéissais !) - Ferme les yeux, ordonna-t-il !

Un bandeau se posa sur mon regard, et le professeur faisait un nœud serré. Il se mit à la hauteur de mon clitoris déjà dressé, et soufflait dessus, doucement mais régulièrement. Le courant d’air fit son effet, mais un effet que je ne connaissais pas, en une lente montée de plaisir sadique, très lente, trop lente pour moi. Je gémissais déjà, mais le souffle du professeur ne semblait pas vouloir aller plus vite. Je commençais de mouiller et sa remarque :
- Tu perles Isabelle, ta petite moule devient bien humide… (cela finit par me rendre très chaude) - Ahhh ! dis-je, Mon… sieur, Hummm j’ai envie !…
Le souffle s’arrêta aussi brusquement qu’il avait commencé. Mais un vif petit coup sec frappa mon nez clitoridien, ce qui me surprit, puis un second, plus fort, un troisième, encore plus fort, et à chaque fois, mon fameux clitoris réagissait de plus en plus violemment. Puis ce furent des tapes, carrément des tapes, de plus en plus fortes, qui faisaient se plier mon clito sur lui-même, mais sitôt la tape donnée, le clito abaissé, il se redressait immédiatement comme pour dire : ‘encore’. J’avoue avoir découvert un nouveau moyen de communiquer avec mon ami le clito mais j’étais loin de connaître la suite. Délaissant mon clitoris à mon grand désespoir, le professeur commençait les mêmes gestes sur chacun de mes deux tétons. Ceux-ci non habitués à ce traitement, réagirent violemment à ma grande surprise et à chaque tape sur un de mes tétons, mon clitoris réagissait immédiatement. Etrange comme sensation, mais délicieuse.

- Hummm, c’est bon Monsieur dis-je dans un souffle.
- Tu aimes ?
- Oh ouiiii, mais pas l’habitude…- Je m’en rends compte en effet, dit le prof
Puis plus rien, aucun attouchement, rien. Pas un bruit et moi chatte coulante, clito et tétons érigés…
- Monsieur, dis-je !

Pas de réponse. Soudain, un coup sec atteignit le nez du clitoris, mais le coup n’était pas du toucher de doigts, plus sec, plus dur aussi. Surprise, je me cabrai :
- Ahhhh (Un autre coup, aussi sec arriva) - Ohhhhhh
Un autre à nouveau encore plus fort me fit presque jouir et ainsi de suite, les coups étaient portés avec régularité, de plus en plus forts, mais parfois avec des coupures me laissant sans air comme attendant, espérant le suivant… Je tremblais d’envies, ma chatte vibrait, bien ouverte maintenant, je filais en gros paquets de glaire… puis
- Pan !

Un coup bien plus fort m’atteignit qui me fit plier le clito en deux, le rabaissant méchamment.

- Ahhhhhh hurlais-je non pas de douleur, encore que, mais surtout d’envies devenues de plus en plus incontrôlables… Mon dieu, que c’était bon ! …
Et ‘pan’, un coup très sec sur un de mes tétons, puis l’autre, et à nouveau le premier, le second, le premier à nouveau, le second et subitement un coup très fort sur le clito :
- Ouiiii, hummm ! c’est… bon… encooore !

Et à nouveau le téton gauche, coup très sec qui le rabaissa fortement et l’autre téton subit la même chose et pan encore plus fort sur le clito qui me semblait avoir été arraché :
- Ahhhh Mon… sieur !... vais… jou… ir … Hummm ! …
(A suivre …)

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