La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor
La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) –
… tant j’avais maintenant terriblement envie... Mais je n’eus pas cette délivrance jouissive, car un des hommes me lâcha avec autorité :
- Non salope, pas toi ! Elle (il montrait Anne) a droit à la jouissance, pas toi … Enfin pas pour tout de suite …
Comme il m’était difficile de ne pas laisser exploser mes orgasmes lesquels on m’en interdisait le plaisir… Il me fallut de longues minutes pour me calmer, calmer ce feu orgasmique qui ne demandait qu’à exploser en mon corps tel un volcan en furie… Une fois que je me fus un peu calmée de mes envies, les Dominants me détachèrent alors de mes liens et nous conduisirent chacune en un cachot différent et s’en était bien de réels car chacun de ceux-ci était bâti en pierres de taille, glacial, au sol de la terre battue, et comme siège, posée sur deux parpaings, une planche nue. Un petit soupirail armé de barreaux comme dans une cellule de prison, donnait en journée un peu de lumière. On me jeta sur la planche servant de siège et m’immobilisa ainsi : Le gardien des cachots, homme bourru s’il en est, me dit laconiquement :
- Ton cou !
Je tendis le cou docilement, il me passa un collier métallique comportant deux chaînes courtes. Assise sur la planche servant de siège, l’une des deux chaînes fut fixée à l’un des barreaux de la fenêtre, tandis que l’autre le fut à un anneau fiché dans le mur. Dans cette pose, je compris très vite que je ne pouvais plus ni m’abaisser, ni m’allonger éventuellement, ni aller vers la gauche ou la droite. Mais mon appareillage ne s’arrêta pas là…
- Tes bras, croisés derrière le dos, ordonna le geôlier
J’obtempérai rapidement. Il me regardait d’un sourire pervers.
- Toi, je vais te soigner, petite poule, tu vas voir…
Il sortit du cachot, je l’entendais remuer des pièces métalliques et revint avec une sorte de ceinture en métal, effectivement qu’il me plaça sur le ventre. La ceinture était glaciale et le contact avec ma peau du ventre très chaude me fit me crisper, remontant mes cuisses… Une puissante gifle atterrit sur ma joue gauche mais ma tête étant immobilisée par le collier en enregistra à la fois, la force et l’intensité. Il ajusta la ceinture que j’observais du coin de l’œil. De chaque côté de la ceinture, un anneau avec une attache métallique encore… Il me prit le bas gauche et le tira fortement encore plus vers la droite de mes reins en y posant mon poignet qu’il enferma dans l’attache. Mon épaule me faisait très mal, tandis qu’il en faisait de même avec l’autre bras. La pause devenait franchement inconfortable. Mais l’installation ne s’arrêtait pas là. Au milieu de la ceinture et donc de mon ventre, une autre chaîne descendant entre mes cuisses qu’il me fit relever assez haut sur le ventre tout en m’ordonnant de plier mes jambes, rapprochant mes talons de mes fesses…
Au bout de cette chaîne, un anneau duquel partaient deux autres chaînes plus courtes se terminant, elles aussi par des attaches dans lesquelles mes chevilles furent immobilisées. Ainsi recroquevillée, toujours nue, je ne bougeais que très peu, ne pouvant prendre appui ni sur mes pieds ni mes mains. Mes épaules me faisaient de plus en plus mal, des crampes dues au froid commençaient d’envahir mes cuisses. Seuls mes seins étaient bien offerts et libres. Sa tâche terminée, l’homme me regardait comme pour voir s’il n’avait rien oublié, puis se ravisant il sortit et revint un instant plus tard avec une sorte de soutien-gorge de cuir clouté mais sans les bonnets. Il plaça le soutien seins faisant passer les seins dans les trous, et attacha fortement celui-ci dans le dos. Ainsi tenus, mes seins étaient remontés assez haut, fermement maintenus, ce qui les faisait sembler plus volumineux.
L’homme se recula, admira son œuvre, sembla satisfait et ouvrit sa braguette. Il en sortit une verge démesurément grosse mais courte qu’il présenta à ma bouche. Encore fort excitée par toute cette mise en scène, j’ouvris rapidement la bouche et pris la bite offerte, surprise de sa grosseur mais de sa petitesse en longueur. Je n’avais pas de difficulté à la plaquer contre mon palais tant elle était grosse. Ma langue la travaillait par en dessous, tandis que mes lèvres le serraient fortement. Je ne pouvais faire autre chose pour le branler que de faire aller et venir ma tête d’avant en arrière sur ce pieu dressé, tandis qu’il se saisissait de mes tétons offerts, y plantaient ses ongles, me faisant lâcher :
- Hummm !, d’une douleur vive et, je dois l’avouer, d’un plaisir excitant qui accompagnait cette douleur
Tétons qu’il étirait ensuite, ongles toujours enfoncés, je le sentais commencer à mouiller, et alors que je ressortais son épais sexe de ma bouche pour mieux le reprendre tout de suite après, celui-ci n’apprécia pas ce qu’il comprit comme un arrêt de ma part, et lâchant mes tétons, me donna deux gifles si terribles que ma tête, ne pouvant accompagner les coups à cause du collier et des chaînes, les subirent de plein fouet. Immédiatement, je le repris en bouche tandis qu’il enfonçait à nouveau ses ongles dans mes tétons. Alors que je le sentais arriver, il sortit tout d’un coup de ma bouche et éjacula plusieurs fois sur mon visage des saccades de sperme épais m’atteignant sur les yeux, la bouche, le front. Le foutre s’écoulait sur mon visage, lentement, le jet sur les yeux m’empêchait de bien voir… Il semblait heureux de ce qu’il voyait et tenta d’écarter mes jambes solidement entravées, y arrivant difficilement mais quand même, et il entra sans préambule, quatre de ses énormes doigts dans ma chatte trempée. Celle-ci forcée, s’ouvrit sans peine car trop excitée et les doigts enfoncés le plus profondément en mon vagin, remuaient en moi, me faisant tenter d’écarter moi-même plus encore les cuisses, tant il me donnait envie par son massage forcé mais mon dieu, que c’était si bon ! Instinctivement, je fermais les yeux, et geignais tant j’avais envie de lâcher un puissant orgasme mais je ne savais pas si, là, j’étais autorisée à jouir, chose qui précédemment m’avait été interdite, lors de la séance du fouet avec Anne…
- Salope de femelle, tu as envie ?
- Ouiiiii Monsieur, répondis-je… tandis que je trémoussais sans honte devenue femelle en rut…
Je ne sais si je dois attribuer son geste à de la bonté ou autre chose, mais l’homme remua si bien ses doigts en les faisant manœuvrer par des va-et-vient réguliers et profond, jusqu’au fond de mon vagin qu’à un moment donné, malgré mes liens, je réussis à me cambrer en poussant des cris jouissifs où je pus jouir quand je sus que j’étais autorisée par un :
- Jouis, salope, maintenant !
- Ahhh ! Ouiiiiiii ! Ohhhh !
Je beuglais comme une femelle en rut, et le geôlier poursuivait ses gestes au fond de ma chatte, attrapant même mon col utérin, qu’il massait avec art…
- Tu n’es pas faite autrement que mes génisses, dit-il, tandis qu’il m’arrachait des beuglements de plaisirs bestiaux.
J’avais la très nette sensation, avec lui et les mots qu’il venait de prononcer, de devenir effectivement une femelle animale et j’en étais une, en ce moment précis, fière, très fière même ! Ses coups lents et rotatifs de poignet, ses doigts énormes enfoncés jusqu’au fond de ma vulve, il me travaillait comme jamais encore ma chatte ne l’avait été par une main… Quand il ressortit ses doigts :
- Nonnn ! dis-je
- Tu en veux encore ma salope ? Je vais t’en donner tu vas voir.
Il écarta à nouveau mes genoux, dégageant une nouvelle fois ma chatte en fusion, proche d’éclater à nouveau, présenta ses quatre doigts qu’il tentait d’enfoncer à nouveau en mon vagin. Les sentant s’enfoncer, je gloussais comme une dinde mais, arrivés en bas des quatre doigts je sentais qu’il essayait d’y entrer son pouce aussi… Il poussait fortement et ses poussées rouvraient lentement ma chatte de plus en plus… Cette sensation d’écartèlement me rendait folle d’envies nouvelles, me rendant encore plus bestiale... Lentement, je sentais sa main entrer en moi, me dilatant totalement comme pour un accouchement… j’en avais le souffle coupé, des myriades d’étoiles commençaient de s’allumer devant mes yeux encombrés de foutre, c’était bon divinement bon :
- Ahhhh ! Hummm ! Monsieur, dis-je c’est bon …
Tout participait en moi à ce déchaînement de rut, la séance de fouet et cravache, la mise au cachot immobilisée comme je l’étais, son travail avec ses doigts, mes orgasmes autorisés, sa main maintenant presque entièrement en moi, dilatée comme jamais encore… Je la sentais glisser lentement mais inexorablement en ma vulve détrempée… voilà elle est en moi, mes lèvres vaginales se referment sur son poignet comme voulant garder entre elles cette si terrible main, qui maintenant se refermait en ma vulve, je vécu mon premier et véritable fistage… Ainsi ce fist mis en place, son bras commença à travailler tel un énorme piston et je subis un labourage interne et intime si puissant, que je jouissais non stop, ne pouvant me retenir de faire pipi tant ma vessie était comprimé par sa main refermée en moi… Sans plus aucune honte, ni retenue ni pudeur, je me laissais entièrement aller à un massage intime d’une rare intensité. Je ne voyais plus rien, toute occupée à deux choses : Mes jouissances et cette main qui continuait ses allers et retours si excitants et jouissifs en mon bas-ventre si divinement défoncé.
Je n’ai aucune honte à avouer que ce soir-là, pour la toute première fois, je me suis sentie devenir femelle animale. Ce souvenir ne m’a jamais quitté tant il est resté en moi gravé comme un fer rouge faisant de moi, ce soir-là et définitivement une femelle obsédée de jouissances fortes et bestiales. Mon initiation, en cet instant m’avait été donnée par cet homme si bon avec moi. Ce fut l’ensemble de la soirée qui participa à ce ressenti, les coups de fouet et cravache, le cachot, les liens, et enfin lui… Je restais deux jours et deux nuits dans ce cachot. Mais par deux fois, cet homme revint me changer de position. A chaque fois que je le revoyais, je me remettais à trembler d’envies tant ce qu’il m’avait fait m’avait marqué. Le geôlier était resté avec moi une bonne partie de la nuit et son travail manuel en ma chatte s’était poursuivi jusqu’au petit matin, me laissant complètement épuisée mais si heureuse après une multitude d’orgasmes puissants qu’il m’a été impossible de les comptabiliser tant ils étaient nombreux…
(A suivre …)
… tant j’avais maintenant terriblement envie... Mais je n’eus pas cette délivrance jouissive, car un des hommes me lâcha avec autorité :
- Non salope, pas toi ! Elle (il montrait Anne) a droit à la jouissance, pas toi … Enfin pas pour tout de suite …
Comme il m’était difficile de ne pas laisser exploser mes orgasmes lesquels on m’en interdisait le plaisir… Il me fallut de longues minutes pour me calmer, calmer ce feu orgasmique qui ne demandait qu’à exploser en mon corps tel un volcan en furie… Une fois que je me fus un peu calmée de mes envies, les Dominants me détachèrent alors de mes liens et nous conduisirent chacune en un cachot différent et s’en était bien de réels car chacun de ceux-ci était bâti en pierres de taille, glacial, au sol de la terre battue, et comme siège, posée sur deux parpaings, une planche nue. Un petit soupirail armé de barreaux comme dans une cellule de prison, donnait en journée un peu de lumière. On me jeta sur la planche servant de siège et m’immobilisa ainsi : Le gardien des cachots, homme bourru s’il en est, me dit laconiquement :
- Ton cou !
Je tendis le cou docilement, il me passa un collier métallique comportant deux chaînes courtes. Assise sur la planche servant de siège, l’une des deux chaînes fut fixée à l’un des barreaux de la fenêtre, tandis que l’autre le fut à un anneau fiché dans le mur. Dans cette pose, je compris très vite que je ne pouvais plus ni m’abaisser, ni m’allonger éventuellement, ni aller vers la gauche ou la droite. Mais mon appareillage ne s’arrêta pas là…
- Tes bras, croisés derrière le dos, ordonna le geôlier
J’obtempérai rapidement. Il me regardait d’un sourire pervers.
- Toi, je vais te soigner, petite poule, tu vas voir…
Il sortit du cachot, je l’entendais remuer des pièces métalliques et revint avec une sorte de ceinture en métal, effectivement qu’il me plaça sur le ventre. La ceinture était glaciale et le contact avec ma peau du ventre très chaude me fit me crisper, remontant mes cuisses… Une puissante gifle atterrit sur ma joue gauche mais ma tête étant immobilisée par le collier en enregistra à la fois, la force et l’intensité. Il ajusta la ceinture que j’observais du coin de l’œil. De chaque côté de la ceinture, un anneau avec une attache métallique encore… Il me prit le bas gauche et le tira fortement encore plus vers la droite de mes reins en y posant mon poignet qu’il enferma dans l’attache. Mon épaule me faisait très mal, tandis qu’il en faisait de même avec l’autre bras. La pause devenait franchement inconfortable. Mais l’installation ne s’arrêtait pas là. Au milieu de la ceinture et donc de mon ventre, une autre chaîne descendant entre mes cuisses qu’il me fit relever assez haut sur le ventre tout en m’ordonnant de plier mes jambes, rapprochant mes talons de mes fesses…
Au bout de cette chaîne, un anneau duquel partaient deux autres chaînes plus courtes se terminant, elles aussi par des attaches dans lesquelles mes chevilles furent immobilisées. Ainsi recroquevillée, toujours nue, je ne bougeais que très peu, ne pouvant prendre appui ni sur mes pieds ni mes mains. Mes épaules me faisaient de plus en plus mal, des crampes dues au froid commençaient d’envahir mes cuisses. Seuls mes seins étaient bien offerts et libres. Sa tâche terminée, l’homme me regardait comme pour voir s’il n’avait rien oublié, puis se ravisant il sortit et revint un instant plus tard avec une sorte de soutien-gorge de cuir clouté mais sans les bonnets. Il plaça le soutien seins faisant passer les seins dans les trous, et attacha fortement celui-ci dans le dos. Ainsi tenus, mes seins étaient remontés assez haut, fermement maintenus, ce qui les faisait sembler plus volumineux.
L’homme se recula, admira son œuvre, sembla satisfait et ouvrit sa braguette. Il en sortit une verge démesurément grosse mais courte qu’il présenta à ma bouche. Encore fort excitée par toute cette mise en scène, j’ouvris rapidement la bouche et pris la bite offerte, surprise de sa grosseur mais de sa petitesse en longueur. Je n’avais pas de difficulté à la plaquer contre mon palais tant elle était grosse. Ma langue la travaillait par en dessous, tandis que mes lèvres le serraient fortement. Je ne pouvais faire autre chose pour le branler que de faire aller et venir ma tête d’avant en arrière sur ce pieu dressé, tandis qu’il se saisissait de mes tétons offerts, y plantaient ses ongles, me faisant lâcher :
- Hummm !, d’une douleur vive et, je dois l’avouer, d’un plaisir excitant qui accompagnait cette douleur
Tétons qu’il étirait ensuite, ongles toujours enfoncés, je le sentais commencer à mouiller, et alors que je ressortais son épais sexe de ma bouche pour mieux le reprendre tout de suite après, celui-ci n’apprécia pas ce qu’il comprit comme un arrêt de ma part, et lâchant mes tétons, me donna deux gifles si terribles que ma tête, ne pouvant accompagner les coups à cause du collier et des chaînes, les subirent de plein fouet. Immédiatement, je le repris en bouche tandis qu’il enfonçait à nouveau ses ongles dans mes tétons. Alors que je le sentais arriver, il sortit tout d’un coup de ma bouche et éjacula plusieurs fois sur mon visage des saccades de sperme épais m’atteignant sur les yeux, la bouche, le front. Le foutre s’écoulait sur mon visage, lentement, le jet sur les yeux m’empêchait de bien voir… Il semblait heureux de ce qu’il voyait et tenta d’écarter mes jambes solidement entravées, y arrivant difficilement mais quand même, et il entra sans préambule, quatre de ses énormes doigts dans ma chatte trempée. Celle-ci forcée, s’ouvrit sans peine car trop excitée et les doigts enfoncés le plus profondément en mon vagin, remuaient en moi, me faisant tenter d’écarter moi-même plus encore les cuisses, tant il me donnait envie par son massage forcé mais mon dieu, que c’était si bon ! Instinctivement, je fermais les yeux, et geignais tant j’avais envie de lâcher un puissant orgasme mais je ne savais pas si, là, j’étais autorisée à jouir, chose qui précédemment m’avait été interdite, lors de la séance du fouet avec Anne…
- Salope de femelle, tu as envie ?
- Ouiiiii Monsieur, répondis-je… tandis que je trémoussais sans honte devenue femelle en rut…
Je ne sais si je dois attribuer son geste à de la bonté ou autre chose, mais l’homme remua si bien ses doigts en les faisant manœuvrer par des va-et-vient réguliers et profond, jusqu’au fond de mon vagin qu’à un moment donné, malgré mes liens, je réussis à me cambrer en poussant des cris jouissifs où je pus jouir quand je sus que j’étais autorisée par un :
- Jouis, salope, maintenant !
- Ahhh ! Ouiiiiiii ! Ohhhh !
Je beuglais comme une femelle en rut, et le geôlier poursuivait ses gestes au fond de ma chatte, attrapant même mon col utérin, qu’il massait avec art…
- Tu n’es pas faite autrement que mes génisses, dit-il, tandis qu’il m’arrachait des beuglements de plaisirs bestiaux.
J’avais la très nette sensation, avec lui et les mots qu’il venait de prononcer, de devenir effectivement une femelle animale et j’en étais une, en ce moment précis, fière, très fière même ! Ses coups lents et rotatifs de poignet, ses doigts énormes enfoncés jusqu’au fond de ma vulve, il me travaillait comme jamais encore ma chatte ne l’avait été par une main… Quand il ressortit ses doigts :
- Nonnn ! dis-je
- Tu en veux encore ma salope ? Je vais t’en donner tu vas voir.
Il écarta à nouveau mes genoux, dégageant une nouvelle fois ma chatte en fusion, proche d’éclater à nouveau, présenta ses quatre doigts qu’il tentait d’enfoncer à nouveau en mon vagin. Les sentant s’enfoncer, je gloussais comme une dinde mais, arrivés en bas des quatre doigts je sentais qu’il essayait d’y entrer son pouce aussi… Il poussait fortement et ses poussées rouvraient lentement ma chatte de plus en plus… Cette sensation d’écartèlement me rendait folle d’envies nouvelles, me rendant encore plus bestiale... Lentement, je sentais sa main entrer en moi, me dilatant totalement comme pour un accouchement… j’en avais le souffle coupé, des myriades d’étoiles commençaient de s’allumer devant mes yeux encombrés de foutre, c’était bon divinement bon :
- Ahhhh ! Hummm ! Monsieur, dis-je c’est bon …
Tout participait en moi à ce déchaînement de rut, la séance de fouet et cravache, la mise au cachot immobilisée comme je l’étais, son travail avec ses doigts, mes orgasmes autorisés, sa main maintenant presque entièrement en moi, dilatée comme jamais encore… Je la sentais glisser lentement mais inexorablement en ma vulve détrempée… voilà elle est en moi, mes lèvres vaginales se referment sur son poignet comme voulant garder entre elles cette si terrible main, qui maintenant se refermait en ma vulve, je vécu mon premier et véritable fistage… Ainsi ce fist mis en place, son bras commença à travailler tel un énorme piston et je subis un labourage interne et intime si puissant, que je jouissais non stop, ne pouvant me retenir de faire pipi tant ma vessie était comprimé par sa main refermée en moi… Sans plus aucune honte, ni retenue ni pudeur, je me laissais entièrement aller à un massage intime d’une rare intensité. Je ne voyais plus rien, toute occupée à deux choses : Mes jouissances et cette main qui continuait ses allers et retours si excitants et jouissifs en mon bas-ventre si divinement défoncé.
Je n’ai aucune honte à avouer que ce soir-là, pour la toute première fois, je me suis sentie devenir femelle animale. Ce souvenir ne m’a jamais quitté tant il est resté en moi gravé comme un fer rouge faisant de moi, ce soir-là et définitivement une femelle obsédée de jouissances fortes et bestiales. Mon initiation, en cet instant m’avait été donnée par cet homme si bon avec moi. Ce fut l’ensemble de la soirée qui participa à ce ressenti, les coups de fouet et cravache, le cachot, les liens, et enfin lui… Je restais deux jours et deux nuits dans ce cachot. Mais par deux fois, cet homme revint me changer de position. A chaque fois que je le revoyais, je me remettais à trembler d’envies tant ce qu’il m’avait fait m’avait marqué. Le geôlier était resté avec moi une bonne partie de la nuit et son travail manuel en ma chatte s’était poursuivi jusqu’au petit matin, me laissant complètement épuisée mais si heureuse après une multitude d’orgasmes puissants qu’il m’a été impossible de les comptabiliser tant ils étaient nombreux…
(A suivre …)
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