La concierge veut sa part de plaisir.
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La concierge veut sa part de plaisir.
Alors que je venais une fois n’était pas coutume sécher les cours pour rejoindre ma garçonnière, dont je n’avais pas trouvé nécessaire de m’enfermer, je me retrouvais devant la concierge, nu en train de me masturber. Au lieu d’être dérangée, elle fut tout au contraire irrésistiblement attirée par ce qui se présentait sous ses yeux, à voir, ma queue dressée.
- Tu n’as pas cour ? se permit-elle-même de me lancer.
-C’est que !
- Pauvre de toi ! Tu sais, ajoutait-elle, mais moi aussi j'ai des besoins tu sais... d'ailleurs....
Elle prit la peine de coincer la porte avant de commencer à défaire sa blouse. Très surpris, je la regardais faire.
- Qu'est-ce que vous faites là ?
- Ecoute jeunot, je serais toi je la mettrais en veilleuse. Moi aussi j'ai des besoins et des envies, ce que je te propose, vu la situation c'est qu'on se masturbe ensemble !
- Euh... oui, pourquoi pas...
encouragé, je commençais à me masturber. Très vite ma verge prenait de la vigueur. La concierge était en admiration devant mon magnifique pénis qui gonflait, gonflait sans s'arrêter.
La cochonne ne perdait pas une miette du spectacle. Ma verge avait atteint sa taille maximale.
Avec un art parfait, elle souleva doucement le bassin et vint s’empaler sur ma queue avec un soupir d’extase. Ses hanches se mirent à onduler de plus en plus vite et bientôt se mit à ponctuer des plaintes rauques à chacun de mes coup de reins. Elle m’avait englouti au plus profond d’elle-même. Le rythme s’accéléra. J’haletais, éperdu de plaisir, tandis qu’elle gémissait. Je regardais son visage se mouvoir. C’était extraordinairement bon. Puis, elle poussa soudain un hurlement dément. À la même seconde, je me jutais en elle en d’interminables saccades qui les secouer tous deux. Nous nous affaissions sur le sommier de mailles, foudroyés par des vagues d’un orgasme qui n’en finissait pas.
Quelques minutes plus tard, je pris l’initiative d’effleurer son sein gauche du bout des doigts et de les remonter légèrement jusqu’au le téton fièrement dressé. Ce qui attira ma bouche.
- Ouiii, suce mes tétons comme un bébé.
Je le suçais comme une tétine de biberon puis je le coinçais entre mes dents pour mieux l’asticoter du bout de ma langue. Je savourais ses seins que je trouvais parfait en tétant parfois goulument comme un bébé affamé et elle m’excitait en se frottant sur ma queue toute dure.
- Tu es un bon cochon toi ?… tiens mange ma chatte aussi. Je te l’offre !
Je me plaçais entre ses jambes pour embrasser son ventre avant de fouiner entre ses lèvres de chatte pour chercher son clitoris encore caché sous les plis de chair rose. Ma langue s’affaira sur son bouton excité, sortit de sa gaine pour que je me mis à sucer entre mes lèvres.
- Ooohh, que tu suces bien… Et pour cause ! J’ai de toujours aimer sucer et manger les chattes. Et cela pendant des heures. Certaine je ne les ai même pas baisées. Adorant les faire jouir sous ma bouche. Et comme bien d’autres avant la concierge je voulais qu’elle jouisse grâce à ma bouche. M’abreuvant de son jus plein de saveur féminine.
En jouant de ma langue, sur et autour de son clitoris, et branlant ses deux orifices avec les doigts, je la rendais complètement folle et elle s’agitait sur ma bouche pour mieux la sentir. Mes lèvres naviguaient entre ses petites et grandes lèvres intimes toutes deux très humides, mais je revenais sans relâche sur son bouton d’amour.
Sa chatte se convulsait sur mes doigts, son corps se raidi et un flot de jus brûlant coulait sur ma main. Je fis tout ce que je pus pour garder son bourgeon entre mes dents.
- AAAAHHHH, cochon… OOOOOOhhhhhhhhhh… ouiiiiiiiiiiiii !
Et ses plaintes ce terminaient par un cri de plaisir. Tout en m’abreuvant de ce jus exquis, j’explorais les profondeurs de son vagin avec ma langue et je sentais ses contractions qui continuaient d’agiter tout son sexe. Elle saisit ma tête, forçant mon visage et ma bouche profondément dans son corps afin que ma langue pénètre plus profondément dans son vagin poisseux. Dans le mouvement mon nez vint s’écraser contre son clitoris. Malgré mon manque d’air, je me alors qu’elle utilisait mon visage pour son propre plaisirs.
-OOOOhhhhhhhh, mais tu es un vrai cochon toi… oui bouffe moi ! Suce moi bien et bois tout mon jus mon choux. Régales toi de ma chatte, elle est à toi...
Ne pouvant plus respirer je fus dans l’obligation de m’extraire de sa fourche. malgré tout, j’étais heureux de voir le plaisir déformait son visage dans une expression presque sadique.
-Pourquoi t’arrête-tu, continue mon chou. Dévore-moi encore…c’est si bon !
Et elle plaqua de nouveau ma bouche sur son sexe. Pas mécontent, je me laissais entrainer. Et je recommençais à sucer et à grignoter sa chatte dégoulinante de jus. Je la doigtais de plusieurs doigts dans le vagin et dans le cul. Résultat ! elle eut plusieurs orgasmes successifs avant de demander grâce et de s’écrouler sur le sommier.
-Dis-moi comment tu t’appelles ?
-Alain !
-Et bien Alain, je ne m’attendais pas à ce qu’un jeune garçon comme toi soit aussi doué dans la recherche du plaisir. C’est très impressionnant.
-Merci madame !
-Merci à toi. Il serait bien de ce revoir, qu’on penses-tu ?
-Si vous voulez madame.
-Mais surtout que cela reste entre nous.
-Bien sûr madame…
- Tu n’as pas cour ? se permit-elle-même de me lancer.
-C’est que !
- Pauvre de toi ! Tu sais, ajoutait-elle, mais moi aussi j'ai des besoins tu sais... d'ailleurs....
Elle prit la peine de coincer la porte avant de commencer à défaire sa blouse. Très surpris, je la regardais faire.
- Qu'est-ce que vous faites là ?
- Ecoute jeunot, je serais toi je la mettrais en veilleuse. Moi aussi j'ai des besoins et des envies, ce que je te propose, vu la situation c'est qu'on se masturbe ensemble !
- Euh... oui, pourquoi pas...
encouragé, je commençais à me masturber. Très vite ma verge prenait de la vigueur. La concierge était en admiration devant mon magnifique pénis qui gonflait, gonflait sans s'arrêter.
La cochonne ne perdait pas une miette du spectacle. Ma verge avait atteint sa taille maximale.
Avec un art parfait, elle souleva doucement le bassin et vint s’empaler sur ma queue avec un soupir d’extase. Ses hanches se mirent à onduler de plus en plus vite et bientôt se mit à ponctuer des plaintes rauques à chacun de mes coup de reins. Elle m’avait englouti au plus profond d’elle-même. Le rythme s’accéléra. J’haletais, éperdu de plaisir, tandis qu’elle gémissait. Je regardais son visage se mouvoir. C’était extraordinairement bon. Puis, elle poussa soudain un hurlement dément. À la même seconde, je me jutais en elle en d’interminables saccades qui les secouer tous deux. Nous nous affaissions sur le sommier de mailles, foudroyés par des vagues d’un orgasme qui n’en finissait pas.
Quelques minutes plus tard, je pris l’initiative d’effleurer son sein gauche du bout des doigts et de les remonter légèrement jusqu’au le téton fièrement dressé. Ce qui attira ma bouche.
- Ouiii, suce mes tétons comme un bébé.
Je le suçais comme une tétine de biberon puis je le coinçais entre mes dents pour mieux l’asticoter du bout de ma langue. Je savourais ses seins que je trouvais parfait en tétant parfois goulument comme un bébé affamé et elle m’excitait en se frottant sur ma queue toute dure.
- Tu es un bon cochon toi ?… tiens mange ma chatte aussi. Je te l’offre !
Je me plaçais entre ses jambes pour embrasser son ventre avant de fouiner entre ses lèvres de chatte pour chercher son clitoris encore caché sous les plis de chair rose. Ma langue s’affaira sur son bouton excité, sortit de sa gaine pour que je me mis à sucer entre mes lèvres.
- Ooohh, que tu suces bien… Et pour cause ! J’ai de toujours aimer sucer et manger les chattes. Et cela pendant des heures. Certaine je ne les ai même pas baisées. Adorant les faire jouir sous ma bouche. Et comme bien d’autres avant la concierge je voulais qu’elle jouisse grâce à ma bouche. M’abreuvant de son jus plein de saveur féminine.
En jouant de ma langue, sur et autour de son clitoris, et branlant ses deux orifices avec les doigts, je la rendais complètement folle et elle s’agitait sur ma bouche pour mieux la sentir. Mes lèvres naviguaient entre ses petites et grandes lèvres intimes toutes deux très humides, mais je revenais sans relâche sur son bouton d’amour.
Sa chatte se convulsait sur mes doigts, son corps se raidi et un flot de jus brûlant coulait sur ma main. Je fis tout ce que je pus pour garder son bourgeon entre mes dents.
- AAAAHHHH, cochon… OOOOOOhhhhhhhhhh… ouiiiiiiiiiiiii !
Et ses plaintes ce terminaient par un cri de plaisir. Tout en m’abreuvant de ce jus exquis, j’explorais les profondeurs de son vagin avec ma langue et je sentais ses contractions qui continuaient d’agiter tout son sexe. Elle saisit ma tête, forçant mon visage et ma bouche profondément dans son corps afin que ma langue pénètre plus profondément dans son vagin poisseux. Dans le mouvement mon nez vint s’écraser contre son clitoris. Malgré mon manque d’air, je me alors qu’elle utilisait mon visage pour son propre plaisirs.
-OOOOhhhhhhhh, mais tu es un vrai cochon toi… oui bouffe moi ! Suce moi bien et bois tout mon jus mon choux. Régales toi de ma chatte, elle est à toi...
Ne pouvant plus respirer je fus dans l’obligation de m’extraire de sa fourche. malgré tout, j’étais heureux de voir le plaisir déformait son visage dans une expression presque sadique.
-Pourquoi t’arrête-tu, continue mon chou. Dévore-moi encore…c’est si bon !
Et elle plaqua de nouveau ma bouche sur son sexe. Pas mécontent, je me laissais entrainer. Et je recommençais à sucer et à grignoter sa chatte dégoulinante de jus. Je la doigtais de plusieurs doigts dans le vagin et dans le cul. Résultat ! elle eut plusieurs orgasmes successifs avant de demander grâce et de s’écrouler sur le sommier.
-Dis-moi comment tu t’appelles ?
-Alain !
-Et bien Alain, je ne m’attendais pas à ce qu’un jeune garçon comme toi soit aussi doué dans la recherche du plaisir. C’est très impressionnant.
-Merci madame !
-Merci à toi. Il serait bien de ce revoir, qu’on penses-tu ?
-Si vous voulez madame.
-Mais surtout que cela reste entre nous.
-Bien sûr madame…
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