La conversion de Marie à la luxure 11 (en attendant les vacances)
Récit érotique écrit par René [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2014 dans la catégorie Plus on est
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La conversion de Marie à la luxure 11 (en attendant les vacances)
Chapitre 11: En attendant les vacances
Tout d'abord, mes excuses pour avoir lâchement abandonné les lecteurs de HDS, depuis presque 1 mois. Mais, une petite bête que j'héberge, m'a donné quelques soucis ces derniers temps. Mais voici la suite.
Le dimanche soir, j'attendais Marie à la gare de Lyon.
À 19h20, quand elle avait pris son train à Marseille, j'avais exigé qu'elle effectue le voyage retour dans les mêmes conditions qu'à l'aller. Et que toutes les heures elle m'envoie une photo de sa moule à l'air. Quand je la vis arriver au bout du quai, son visage resplendissait. Elle m'embrassa.
-Super weekend! Une seule chose, j'aurais aimé que tu sois avec nous les 3 jours. Je t'ai fait ton compte-rendu dans le train. Tu pourras le lire dès ce soir si tu veux.
-Ah non! Pas ce soir. J'ai autre chose à faire avec toi. D'ailleurs on va commencer tout de suite.
Elle me regarda interloquée. Je m'étais garé au fond du parking, dans un recoin. À peine avais-je rangé sa valise dans le coffre que je la poussai à l'arrière et la fit s'installer comme je l'avais vue sur la photo avec Marius. (Couchée sur le dos, les deux jambes écartées, posées sur les dossiers avant et arrière)
-On va voir si dans la même situation, l'expérience est préférable à l'apprentissage.
-Si je comprends bien, tu sais déjà tout, même dans le détail. Ça sert à quoi que je te fasse un compte-rendu?
-C'est juste un petit coup en passant, pour faire un état des lieux, pour voir si les locataires ont laissé au propriétaire son bien en "état de bonne jouissance" comme disent les agents immobiliers.
Je la pris pour une belle partie de jambes en l'air (au sens propre). Elle avait tellement été visitée pendant les 3 jours précédents que le conduit était très dilaté. Mon sexe naviguait sans trop de frottement. Je décidai de passer par l'entrée de service qui, je le pensais, avait été plus ménagée. Erreur, en effet, même si l'œil de bronze était encore bien serré, il n'avait plus rien à voir avec le petit trou que j'avais connu il y a quelques mois. Lui aussi, avait dû bien vivre pendant le weekend. Je n'eus pas à beaucoup limer pour faire redémarrer les vocalises.
-Tu te rends compte que tu es devenue une sacrée salope?
-Ouuui! Baise-moi! Ohlala! Ouuui! Je t'aime!
-C'est moi que tu aimes, t'es bien sûre? C'est pas la bite?
-Siiii? Viens, viens. Viens devant! Prends-moi! Ouuui!
J'obéis, et retournai vers sa moniche. Elle chantait, gémissait, en essayant de se retenir pour ne pas attirer l'attention. Elle serrait les dents. Ses joues étaient rouges, presque tuméfiées. Cela lui donnait vraiment l'air d'une furie sexuelle. Je crois qu'à cet instant j'aurais pu lui faire, ou lui faire faire n'importe quoi.
Elle perdait tout contrôle. Pour vérifier cette hypothèse, je décidai de la déshabiller tout en continuant à la pilonner. Elle se laissa faire sans aucune retenue. La Marie stricte et réservée était très loin.
Elle était nue dans une voiture, en train de se faire sauter dans un parking assez fréquenté de la gare de Lyon, et ça n'avait pas l'air de lui poser trop de problèmes. Quelle différence rien qu'avec l'épisode de la punition sur le parking de l'autoroute deux mois plus tôt !!!
Maintenant, je me l'imaginais au milieu de tous les hommes qu'elle avait connus depuis que j'avais réussi à lui faire briser sa coquille. Il faudrait qu'à la rentrée je trouve un moyen pour essayer de les réunir pour un grand gang-bang. Rien que la pensée m'excitait. Si bien que je lui lâchais la sauce. Elle poussa un grand râle et eut un orgasme en même temps. Nous nous écroulâmes sur la banquette arrière, elle m'embrassa en me répétant qu'elle m'aimait.
Il était tard, elle s'est rhabillée, non sans m'avoir dit que j'exagérais de l'avoir mise dans cette tenue. Nous sommes rentrés. Nous avons roulé un moment en silence. Puis, doucement, elle a avancé sa main vers mon pantalon et massé mon sexe au travers. Après le pont de Sèvres, je lui ai demandé de me sucer jusque chez nous.
-Mais on va me voir, pendant la traversée de Sèvres, et jusqu'à Versailles.
-Chérie, fait pas ta prude. Il est plus de minuit, c'est les vacances, y'a personne dans les rues, et en admettant que quelqu'un s'en aperçoive, il ne pourra pas te reconnaître, vu que tu auras la tête dans ma braguette. C'est pour ça qu'il ne faut pas que tu relèves la tête.
Elle se mit au travail, avec sérieux. Au bout de quelques minutes, je ralentis ma conduite, et de ma main droite, après lui avoir soulevé la jupe, je lui malaxais les jumelles. Nous fûmes arrêtés plusieurs fois aux feux. Les deux premières, personne. La troisième une mobylette s'arrêta à côté de nous, du côté de Marie. Malheureusement, il avait stoppé près du feu, trop avancé pour être attiré par ce qui se passait dans la voiture. J'avançai doucement, jusqu'à ce qu'il soit juste au niveau de la vitre avant. Il tourna la tête et mit un moment à réaliser que Marie me suçait, qu'elle avait les fesses à l'air et pas de culotte. En malaxant bien, j'écartai les deux en mettant un doigt dans sa foufoune. Il matait avec attention, les yeux écarquillés. Le feu ne passait toujours pas au vert. De plus, ce n'était pas problématique, il n'y avait personne derrière nous. Il leva le pouce et tira la langue en me regardant pour exprimer son intérêt, puis démarra.
Juste avant d'arriver, Marie releva la tête. Elle me dit:
-J'ai bien senti qu'il y avait quelqu'un tout à l'heure, quand tu t'es arrêté et que tu lui avais bien montré mon cul. Je n'ai pas voulu protester ou me relever, je pensais qu'on n'était pas loin de chez nous. T'es quand même un gros cochon!
-Et la femme du cochon, c'est.......Marie la cochonne!
La nuit fut très "amoureuse". Elle voulait me montrer que ses amants ne l'empêchaient pas de me garder beaucoup d'affection (dixit). C'est elle qui conduisit les opérations. Elle me dit que je finirai la nuit comme une lopette. J'eus droit à tout, et même je crois plusieurs fois. En particulier, le petit trou (qui d'ailleurs ne l'était plus beaucoup). Elle me dit même avec un sourire en coin.
-Tu vois mon chéri, on va rattraper le temps que je t'ai fait perdre en te refusant l'entrée pendant toutes ces années.
Elle me lâcha à la quatrième fois que je lui eus dit que je n'en pouvais plus. Effectivement, je n'avais plus de force, elle m'avait vidé dans tous les sens du mot.
Pour finir elle me dit:
-Alors, mon amour, on en voudrait bien encore, mais on n'en peut plus. Tu vois ce que c'est de livrer sa petite femme à tous les hommes. Après elle est plus excitée que son homme, et on ne peut plus l'arrêter !
Le lendemain, pendant la pause de midi, j'attaquai la lecture du récit du weekend de Marie.
"Quand nous t'avons laissé, Marius est reparti vers La Ciotat en longeant la côte. Quand nous eûmes passé la corniche, et qu'il a eu viré vers Cassis, il s'est mis au mouillage (sans jeu de mots) au large d'une petite crique. Il voulait que nous pêchions un peu avant de rentrer. Pour pêcher, nous avons bien pêché.
Pierre m'a fait enlever, mon tee-shirt et mon soutien-gorge. Il a demandé à Marius s'il connaissait la branlette espagnole. Comme il avait l'air surpris, il m'a demandé de lui montrer ce que c'était. Je ne comprenais pas non plus. Il a traduit: "une cravate de notaire".
Je me suis mise à genoux devant Marius, lui ai baissé son pantalon et son slip et lui ai longuement masturbé le jonc avec mes seins. J'arrivais à lui entourer complètement. Je m'attachai à sensibiliser surtout le gland. Progressivement, comme sa queue montrait sa satisfaction en se mettant au garde-à-vous, je me baissai un peu plus et à chaque descente lui léchait le bout du gland avec ma langue. Je sentais qu'il n'était pas loin de m'envoyer son jus. J'arrêtai et le pris complètement en bouche. Avec une main, je lui caressai les testicules, avec l'autre, je lui agitai les fesses. Quand il éjacula, je faillis avoir un haut le cœur tellement son jet était puissant et nourri.
Pendant que je m'occupais de Marius, Pierre s'était, lui aussi, déshabillé. Il me retourna et son sexe prit la place qui venait d'être libérée. La différence était dans la participation. Autant avec Marius c'était moi la meneuse, autant avec Pierre, je n'étais qu'un objet sexuel. Il me prenait la tête à deux mains et m'enfilait son vit jusqu'au fond de la gorge, m'interdisant de mettre mes mains autour, pour qu'il rentre tout. Lui ne bougeait pas. C'était uniquement les mouvements qu'il donnait à ma tête qui produisaient la branlette.
Il dit à l'adresse de Marius.
- Tu vois petit ce qu'on appelle une gorge profonde. Et Marie, maintenant, elle sait faire. On lui a appris. Et tu sais, c'est très bon de sentir que tu vas jusqu'au fond du palais, à l'entrée de la gorge.
Quand il eut fini sa démonstration, il lui dit de s'allonger et me demanda de m'installer en cavalière sur lui en lui tournant le dos. La queue de Marius devait être un peu fatiguée, elle n'était plus très conquérante. Il était indispensable que je lui remonte le "moral". Je m'y attelai en le caressant et le léchant. Je n'eus pas à m'escrimer trop longtemps.
Il remonta très vite au combat (privilège de la jeunesse?). Je l'enfournai. Dès que je fus en position, Pierre présenta son braquemart devant ma bouche. Cette position était très fatigante; les deux actions qu'il me fallait exécuter étaient contradictoires. Je le dis à Pierre et décidai de leur faire faire saute-mouton, chacun leur tour.
Ils m’ont prise en levrette, quand l'un me sautait, je suçais l'autre assis sur le rebord du bateau. À un moment, un plaisancier est passé près de nous et en nous voyant a actionné sa corne de brume.
Nous sommes arrivés à La Ciotat, il était 19h30. Nous avons reconduit Marius chez lui, dans une zone pavillonnaire un peu à l'extérieur de la ville. Il m'a saluée une dernière fois, dans la voiture, et m'a promis de nous recontacter quand il serait revenu sur la région parisienne, avant la rentrée universitaire.
En roulant, Pierre me confia qu'il avait invité, un couple à venir partager notre soirée. Qu’ils devaient être là vers 21h. Nous n'avons pas mangé. Le repas de midi avait été assez copieux.
Quand nous sommes arrivés, ils nous attendaient au bar de l'hôtel. Après avoir échangé autour d'une coupe, nous sommes montés dans la chambre. Dès l'entrée, on a changé de partenaire. L'homme m'a poussé à m'agenouiller et à m'occuper de son objet. J'étais un peu déçue que sans me connaître il attaque direct sans préliminaires. Il n'était pas aussi bien monté que tous ceux que j'avais fréquentés ces derniers temps.
Il m'a ensuite entraîné sur la moquette et m'a prise les jambes sur ses épaules. Ce n'était pas un athlète de la verge, question qualité de l'outil, mais son endurance et sa « dextérité du jonc », si je peux dire, compensaient ce que la nature ne lui avait pas donné...Il est resté très longtemps en moi. A un moment, j'ai vu arriver Pierre et la femme à côté de nous. Il l'a prise en levrette. Elle s'est penchée sur moi, m'a embrasée, m'a enlevé mon chemisier, puis mon soutien-gorge et s'est mise à me sucer les tétons. Mon attention avait changée de centre d'intérêt. Je n'avais pas vu que Pierre ne la lutinait plus. Elle est descendue le long de mon ventre jusqu'à mon pubis, puis elle a repoussé son mari et sa langue a pris la place du sexe.
Elle était visiblement experte à ce jeu. Très vite, j'ai ressenti des sensations plus prononcées que pendant les 10 minutes qui avaient précédé. Elle avait une certaine expérience des femmes. Après quelques minutes de ce régime, entièrement consacré à ma jouissance, elle a passé ses jambes de chaque côté de ma tête et m'a mis sa touffe sur le visage. Je me suis mise immédiatement à lui manger le mignon. Plus pour calmer mon excitation que par simple envie. Je buvais sa mouille, l'aspirais, lui mordillait les lèvres et le clitoris. Elle aussi se mit à gémir.
Soudain j'ai senti que le mouvement de ses reins sur ma tête devenait plus saccadé et plus lourd. J'ai ouvert les yeux. C'était Pierre qui la sodomisait en même temps. Chaque coup de butoir m'écrasait le sexe sur la bouche. A certains moments, je sentais même les testicules de Pierre qui me tombaient sur le front.
Nous avons joué ainsi et changer de partenaire, de position plusieurs fois, puis, ils sont partis tranquillement, comme s'ils étaient venus en passant. Mis à part leurs prénoms, nous ne savions rien d'autres sur eux.
Après leur départ, nous nous sommes couchés et vite endormis. Tu le sais, la nuit précédente avait été très courte et la journée très longue. J'étais épuisée. Je crois que Pierre aussi.
Mis à part quelques petits plaisirs au réveil (vers 8h), nous avons été très sérieux le lendemain. Nous nous sommes promenés sur le vieux port, on y a déjeuné. Pendant le repas, Pierre m'a demandé s'il pouvait inviter Martial (le pompier) et Marius à dîner et à passer la soirée avec nous. Après mon accord, on les a appelés. Ils ont accepté. Pierre m'a dit alors:
-On va être tranquilles cet après-midi, il faut laisser un peu reposer ton cul parce que je crois que ce soir il va encore avoir une grande activité.
Nous avons passé l'après-midi à la Montagne Sainte Victoire et dans l'arrière-pays. À 19 h, nous avons retrouvé Marius et Martial au restaurant. Ils avaient déjà fait connaissances. C'est Martial qui avait réservé, un truc sympa au bout du vieux port. Pierre m'a placé directement sur la banquette à côté de Martial. Eux se sont assis face à nous.
En prenant l'apéritif, il a voulu expliquer la nature de nos relations à Martial. Celui-ci ne l'a pas laissé finir. Il lui a dit qu'il avait bien compris au bal que tu étais très partageur et que je ne détestais pas. On a parlé de notre ballade en mer, de l'éducation de Marius.
Puis, Pierre a dit:
-Tu sais, tu peux lui caresser les cuisses, pendant le repas. Elle aime!
-Mais il n'a pas eu besoin de ton autorisation, il a déjà commencé! Et même, il s'aventure plus haut que les cuisses.
-Alors, je suggère que tu enlèves ton string, pour lui faciliter le travail.
Je n'ai pas répondu. Il a attendu un petit moment, puis m'a dit:
-Je te rappelle que tu es venue à Marseille de ton plein gré et pour mon plaisir. Donc, tu fais ce que je te demande, sinon c'est la punition...
Je me suis levée pour aller aux toilettes. Il m'a dit que ce n'était pas la peine, que je pouvais faire ça ici.
J'ai essayé de le faire discrètement. Malheureusement, à une table voisine, il y avait 3 jeunes qui depuis le début suivaient notre conversation et observaient ce qui se passait sous la table avec attention. Quand il m'ont vu faire, il y en a un qui est venu à notre table en s'adressant à moi:
-J'ai parié avec mes copains que si je vous le demandais vous me donneriez votre culotte! Ne me dîtes pas que j'ai eu tort.
J'ai regardé mes trois chevaliers servants qui me poussaient à m'exécuter, et je lui ai donnée. Tu en seras pour m'en racheter une autre.
Je dois reconnaître que Martial sait bien allumer le feu. Ses attouchements me faisaient déjà bien monter la température. Au point que lorsque nous sommes arrivés à l'hôtel, j'avais vraiment hâte qu'ils me prennent.
Pierre en gentleman a dit à Martial que, comme il était le seul à ne pas connaître mes charmes cachés, et qu'en plus, les pompiers c'était un de mes fantasmes, il était prioritaire, et qu'il avait le choix des armes, du terrain et des règles du jeu.
-Excusez-moi, mais je vais commencer en solitaire par l'entrée principale, dans une position rare, mais que j'apprécie beaucoup. C'est une position très antillaise, très cool pour l'homme.
Ce faisant, il se déshabilla, me déshabilla, puis s'assit sur une chaise les jambes écartées.
-Viens, fais monter le petit Jésus, et quand il sera bien fier, tu t'assieds dessus et tu travailles.
Au repos son sexe valait bien celui de Christian (ah! Les blacks, c'est pas une légende), en action, il était moins volumineux mais plus long. Je le contentai très vite.
-Si tu savais combien de fois j'ai pensé à toi depuis Jeudi! Tu m'avais vraiment donné envie et je craignais de ne pas te revoir.
Il n'y avait que moi qui travaillais, lui se contentait de me caresser alternativement les seins ou le cul, avec par moment un doigt dans l'anus. Pierre mitraillait avec son smartphone, Marius s'était déshabillé et bandait comme un turc en attendant impatiemment son tour.
Au bout d'un moment, je lui dis que je n'étais pas bien et que je voulais qu'on change de position.
Nous sommes allés tous les 4 vers le lit. Ils m'ont mise à quatre pattes au bord. Martial s'est mis derrière, Marius s'est assis sur le lit, les jambes écartées de chaque côté de ma tête. Devine pourquoi! Et Pierre a filmé, en me disant que c'était pour toi.
Je peux te dire que mon gentil pompier c'est un bon coup. Je ne sais pas si ça fait partie de leur formation, mais il savait y faire. En même temps qu'il limait en remuant son cul comme quand il zoukait l'autre soir, il me caressait les seins, le ventre ou le clito. Il m'a fait jouir très vite et plusieurs fois. Pierre a pris la suite, puis Marius. (Il a réussi à se retenir et à ne pas envoyer sa liqueur)
-Maintenant, on entame une deuxième rotation, par l'autre entrée, mais dans un ordre inverse. C'est Marius qui commence et je finis. On va du plus petit au plus gros. À la fin, je ferai une photo de ton trou pour l'envoyer à René qu'il voie comment tu travailles bien pour remporter ton défi.
Quand ce fut au tour de Martial, mon cul était déjà bien fait, j'ai pris tout de suite un grand pied. Lui continuait. Puis, il m'a allongée sur le côté et a repris ses secousses dans mon petit trou -qui ne l'était plus tellement- tout en me doigtant d'une main et en me titillant les tétons de l'autre. C'était à hurler. Je crois d'ailleurs que c'est ce que j'ai dû faire. Le pauvre Marius qui essayait de se faire sucer la queue, à genoux devant moi, a été déçu. L'état dans lequel j'étais m'empêchait de faire quoi que ce soit d'autre.
D'autant plus qu'au bout de dix minutes, Pierre s'était mis à me brouter la moule en même temps.
Martial m'a demandé comment je voulais son sperme,
-Dedans, sur le visage, entre les seins, sur ta moule...Il suffit de demander pour être servie, Madame. A moins que tu aies droit à trois parts et une à chaque endroit?
Les autres ont dû trouver l'idée intéressante. Ils m'ont couchée sur le dos. Marius s'est masturbé au-dessus de ma tête, Pierre de ma poitrine et Martial, mon ventre. Ils m'ont dit de me masser avec leurs spermes, puis se sont mis debout devant moi côte à côte et m'ont demandé de finir de les aspirer.
Vers minuit Marius nous a quittés, il avait rendez-vous avec un copain pour le ramener à La Ciotat. Je pense qu'il a dû le surprendre par le récit qu'il lui aura fait de ses occupations du weekend. Un 14 Juillet en fanfare.
Martial a passé la nuit avec nous. J'ai eu droit à tout. Chacun des deux a visité chaque trou, toutes les formes de doublettes ont été étudiées, et toutes les positions expérimentées. Mon sexe et mon cul étaient en feu. L’autre, il savait peut-être les éteindre, mais aussi les allumer, le salaud.
Au matin quand il est parti, il m'a complimenté et m'a dit que j'avais compensé pour un bon moment l'absence de sa femme qui était aux Antilles pour 4 mois pour ses congés bonifiés. Il m'a même dit que c'était dommage que je ne sois pas Marseillaise, parce qu'il aurait aimé me faire régulièrement un bout de "causette". Je dois reconnaître que ça ne m’aurait pas déplu non plus.
On n'aurait pas prévu notre voyage au Rajasthan pour les vacances, un petit séjour dans la caserne des pompiers m'irait bien. (Non, je blague. C'est pour te provoquer).
Dimanche, nous avons été très sages. On s'est recouché après le départ de Martial un tout petit peu coquiné tranquillement. Nos corps avaient besoin de repos. Puis, promenade plage des Catalans. Déjeuner dans un petit resto à La Madrague au bout de Marseille, avec une superbe vue sur la mer et la côte.
On a été très sérieux. Simplement, avant de partir pour la gare, on est un peu retourné à l'hôtel, pour se dire au revoir. Comme nous ne nous reverrons pas avant plus d'un mois on en a un peu profité. Il prend ses vacances en Août.
Voilà, mais tu dois avoir quelques photos et vidéos qui peuvent, mieux que mon récit, te donner une idée de mon weekend studieux."
La semaine qui suivit fut très calme sur le plan sexuel. Nous étions en plein préparatifs de notre voyage de vacances (3 semaines en Inde) qui débutait le samedi suivant. Un circuit personnalisé au Rajasthan prolongé par la descente le long du Gange vers Orchha, Khadjuraho et Benares. Nous serions un groupe de deux couples avec chauffeur et guide parlant français.
C'est Marie qui avait tout organisé avant qu'elle ne devienne la dévergondée sexuelle qu'elle était aujourd'hui. Pour ma part, j'avais la ferme intention de ne pas faire que du tourisme culturel. On ne pouvait aller au pays du Kâma-Sûtra, du tantrisme et des sculptures érotiques de Khajuraho sans se trouver confrontés à de nouvelles découvertes sexuelles.
Nos partenaires de voyage étaient un couple que Marie connaissait. Ils étaient un peu plus jeunes que nous. Lui était aussi proviseur et son épouse était DRH dans une boîte de sous-traitance d'un grand constructeur automobile. Marie m'avait dit "Maîtresse femme, elle gère près de 200 mâles, et à la baguette". Ils étaient venus dîner chez nous et nous chez eux, il y a plusieurs semaines. J'avais pu remarquer que Marie et Jean-Michel étaient très proches et complices.
Pourtant, je ne savais pas jusqu'où allait leur attirance respective et s'il avait envie d'elle. Il était important que leur compagnie ne soit pas une gêne à des jeux osés que nous pourrions envisager pendant notre voyage. Pour le tester, je décidai de lui envoyer dans un message anonyme une photo de Marie en action avec Albert, sous mes yeux. Je savais qu'il le connaissait. J'accompagnai la photo de ce commentaire: "Saviez-vous que votre amie était une salope?". J'attendais de voir l'effet que ferait cette éventuelle découverte le jeudi, puisqu'ils devaient venir dîner à la maison avant le départ prévu pour le samedi.
Dès leur arrivée, je vis que le regard de Jean-Michel sur Marie avait changé, même Adèle était différente des autres rencontres. Lui avait-il montré la photo? Comment le prenaient-ils? Autant de questions que le souhaitais un peu débroussailler pendant la soirée.
Je n'eus pas à attendre longtemps ou à faire de suggestives allusions. Dès l'apéritif, c'est Adèle qui aborda le sujet:
"Ce qui est bien dans notre circuit, c'est qu'on va loger dans des palais de Maharadjas. On pourra se prendre pour les favorites du harem. Et si on en trouve un, il pourra nous faire la démonstration des positions du Kâma-Sûtra."
Profitant de l'occasion qu'elle m'offrait, je rajoutai:
"Et à Khadjuraho, on pourra expérimenter à nous 4 les avantages des partouzes à l'indienne, comme elles sont représentées sur les fresques des temples"
Marie réagit:
"Arrête, René, il faut que tu remettes systématiquement tout sur le sexe. Y'a pas que ça, quand même! "
"Peut-être, mais au moins les indiens avaient, eux, avant qu'on ne les contamine, une grande liberté sexuelle qui n'excluait pas l'amour et l'attachement. Toute une éducation. On devrait retrouver cette liberté, on n'en serait que mieux".
C'était Jean-Michel qui avait repris Marie. Je décidai d'en rajouter une couche.
"Pourquoi tu nous joues les vierges effarouchées? Que je sache tu n'es pas un agneau de lait en ce domaine? Et tu n'as pas attendu d'aller en Inde pour te libérer. "
Je fus surpris par la nouvelle apostrophe d'Adèle qui, jusque-là m'avais toujours semblé être quelqu'un de très stricte.
"Tu feras ce que tu veux, mais, moi, pendant notre séjour, j'ai bien l'intention de me cultiver dans tous les domaines et de m'éclater. Avec le boulot que je fais, j'ai besoin de soupapes pendant les vacances.
J'y vais aussi pour faire la fête à mon cul et tu devrais faire pareil. Comme dit l'autre ça ne peut que te faire du bien. Bien sûr si René ne te tient pas en laisse. Mais je crois avoir compris qu'il était d'accord?"
Touchée au vif, Marie ne voulut pas avoir l'air d'être moins libérée (Ah! La jalousie entre femmes, qu'est-ce qu'elle ne leur ferait pas faire).
"Je n'ai pas attendu d'être en vacances. Mon sexe, il est à la fête toutes les semaines...et pas que lui. N'est-ce pas mon chéri? "
"C'est vrai qu'il y en a pas mal qui y ont goûté ces derniers temps"
Jean-Michel en rajouta:
"Alors cachotière, je suis le seul à ne pas en avoir profité. Et moi qui croyais qu'on étaient copains?"
Je repris:
"Ça peut vite s'arranger, si Marie est d'accord bien sûr"
"Euh...tu veux, là, maintenant?"
"C'est toi qui décides, qui, quand et où. Ma chérie. "
"On verra tout à l'heure. Là, on va passer à table, sinon ma viande va être trop cuite."
Pendant que Marie et Adèle débarrassaient et étaient en cuisine, Jean-Michel me demanda si c'était moi qui lui avais envoyé la photo. Après ma réponse affirmative, il me dit qu'ils avaient apprécié parce qu'eux aussi ne savaient pas trop comment se situer avec nous.
J'avais décidé de faire boire Marie et Adèle pour qu'elles se lâchent vraiment. Visiblement Jean-Michel avait très envie que Marie tienne vite les promesses qu'il avait cru discerner.
À un moment, j'interrogeai Adèle sur ses goûts et pratiques sexuelles. Elle n'avait jamais eu d'expérience bi, ni de pluralité masculine. Je lui dis que Marie commençait à être bien performante dans ces deux situations. J'ajoutai que s'ils voulaient, après le repas on pourrait visionner des vidéos des exploits récents de Marie.
"Ah. Non! Tu sais bien que j'aime pas ça. Me voir dans ces situations."
Jean-Michel reprit:
"Alors, toi, l'éminente pédagogue tu refuses de montrer l'exemple à Adèle."
"Oh, Oui, S'il te plait, montre-moi...."
Quand Marie eut apporté le dessert, je compris que le reste des barrières qui la retenaient étaient tombée. Je décidai de lui enlever sa jupe et son corsage. Jean-Michel en fit autant avec Adèle. Sans attendre je m'installai aux pieds de notre invitée et commençai à lui caresser l'entrejambe puis, en ayant écarté les cuisses et dégagé le triangle d'or, je la masturbai délicatement, en lui léchant le bouton.
En jetant un œil sur ma droite je vis que Jean-Michel faisait subir le même "supplice" à Marie. Mais lui, s'était facilité le travail. Il l'avait carrément assise sur la table. Lui, assis sur une chaise devant elle. À l'économie !!!
Après quelques minutes, nous eûmes droit à un duo vocal, digne des polyphonies corses. Adèle était plutôt en voix haute, avec des petits cris qui encadraient de longs soupirs, alors que Marie était plus dans une plainte sourde qui se transformait progressivement en un halètement saccadé ou un râle d'extase.
Je fis signe à JM de nous diriger vers le salon. J'y entraînais ma belle, ils nous suivirent.
Je branchai la clé USB sur laquelle j'avais copié toutes les frasques de Marie. Elles étaient rassemblées par thème:
Pierre, l'appart ‘hôtel- L'anniversaire- Paul chez nous- Marly, la punition- Le train- Le massage- La virée Calanques- Les soirées marseillaises...
J'expliquai le contenu de chacune en disant à nos hôtes qu'ils ne pourraient pas tout voir. J'avais plus de 15 heures d'enregistrements, réalisés par Pierre ou moi.
-Aller Adèle, à toi l'honneur. Il n'y a qu'un exemple de pratique bi. Les autres épisodes ont eu lieu en club, et n'ont pas été filmés. Mais tu peux aussi voir des séances intéressantes de pluralité.
-Qu'est-ce que tu me recommandes?
-Moi, j'aime beaucoup " le massage", il y a une palette de choses, et Marie était dans une forme exceptionnelle...
-Allons-y pour le massage.
-Ça me convient aussi, surtout en perspective de notre voyage.
Avant de mettre en route, je reculai la table basse, fis installer Marie courbée face à Adèle, et le visage entre ses cuisses et JM derrière Marie.
-Comme ça, vous pourrez vous occuper tous les deux, tout en visionnant les images. Il n'y aura que Marie qui ne les verra pas. Elle n'entendra que ses propres cris de plaisir.
Je lançai la lecture. Ils se mirent à l'ouvrage, j'en profitai pour aller chercher la bouteille de Champagne et les verres et en remettre une autre au frais. Je voulais que la nuit soit longue. Après avoir tout installé, je dis doucement à l'oreille de JM : "Quand elle sera chaude tu peux aussi investiguer l'arrière-cuisine, elle aime"
Je vins m'asseoir à côté d'Adèle. D'une main, je lui dégageai son soutien-gorge et lui malaxai les seins, de l'autre, en glissant mes doigts sous le front de Marie, je lui excitai le clitoris. Notre duo vocal reprit. Il se mélangeait avec les hululements qui venaient de la vidéo. Dès que Marie soulevait la tête pour se laisser aller aux sensations que JM provoquait en elle, je lui raplatissais sur le sexe d'Adèle. Elle compensait l'impossibilité de se laisser aller par un broutage-léchage goulu.
Je crois que seul JM suivait la vidéo xxx qui était projetée sur grand écran, même si je surprenais Adèle y jeter un œil entre deux extases. Considérant qu'elle était la seule à ne rien faire, après m'être déshabillé, je me mis debout sur le canapé devant elle, les jambes écartées. Lui plaçai mon vit devant la bouche. Je n'eus pas à lui dire ce qu'elle devait faire. Sans préliminaire elle engouffra mon sexe se mit à l'aspirer, à le lustrer, le titiller avec entrain.
Je lui pris la tête à deux mains et après avoir accompagné ses mouvements pendant quelques minutes, soudain je lui enfonçai d'un coup ferme et profond mon sexe au fond de la gorge. Elle eut un haut le cœur. Mais comme je n'avais aucunement l'intention de m'arrêter, je continuai les pénétrations profondes de son gentil minois. Elle se mit à ouvrir plus largement, et à lécher avidement. Je pense que l'action de Marie dans son intérieur commençait aussi à la mettre au bord de l'orgasme. Elle bavait et fermait les yeux avec des petits cris syncopés. Mon action ne fit que pousser JM à aller plus avant. Il accéléra la vitesse et la force de ses mouvements dans le con de Marie qui maintenant hurlait en synchronisation avec les cris qu'on l'entendait pousser sous les caresses du massage sensuel de Franck.
Sur la vidéo, on en était au moment où Albert, Christian et Franck se préparaient alternativement à prendre Marie à tous les trois.
- Bon, on arrête un peu. On va regarder les exploits de la dame et comment elle n'a pas peur de se taper trois queues en même temps. Et après on essaiera de préparer notre voyage.
Je les vis me regarder interrogatifs tous les trois. Mais visiblement ils n'avaient pas les mêmes raisons de l'être.
Adèle:
-Trois en même temps, Ouah! Et ça fait pas mal?
Marie:
-Qu'est-ce que tu veux encore préparer? Tout est prêt.
Jean-Michel:
-Elle s'est tapé Albert, quelle queue! Et le black! Et le lit? Tu l'as drôlement inondé! Alors y a que moi qui savais pas que t'étais une sacrée salope. C'est vrai que t'es bonne. Mais on ne va pas en rester là, n'est-ce pas?
-Non, tu la reprendras dans dix minutes et tu auras toutes les vacances pour parfaire ta connaissance. Mais là, je veux que vous voyiez, son entrain et sa santé sur l'homme!
Je mis en pause, et choisis les emplacements et actions de chacun pour le spectacle. Je plaçai Adèle entre Marie et moi et JM de l'autre côté de Marie.
-Bon, les filles vous vous masturbez toutes les deux. Jean-Michel, tu caresses Marie où tu veux et quand tu voudras tu te lèves, l'allonges sur le dos et la reprends comme une bête. Quand JM sera bien entrain, Adèle ! Je t'expliquerai ce que je ferai de toi.
Personne ne réagit. Je relançai la lecture. Nos amis étaient passionnés. De temps en temps JM se tournait vers Marie et lui lançait des " Ouahou, Ouah la gourmande, Quelle salope, Putain, elle jouit sans retenue......" Marie souriait. Adèle aussi. Je fis signe à Jean-Michel. Il la prit, l'allongea. Avant qu'il ne la pénètre, je lui pris les jambes et les levai autour de son cou. Pour un moment, j'abandonnai Adèle, me disant que ce que nous allions faire avec Marie, elle y aurait droit ensuite. Tout en continuant à lui tenir les jambes en l'air, je m'installai au niveau de sa tête et lui introduisit mon sexe en bouche. Puis je fis signe à JM d'y aller fermement et vigoureusement. Dès le premier coup de rein appuyé, Marie eu un mouvement de tête qui eut pour effet de lui entrer mon sexe plus profond au fond de la gorge. Ce qui se reproduisit à chaque coup de boutoir de son collègue. Vu comme j'étais, je n'avais à faire aucun mouvement pour que mon membre s'agite dans sa bouche.
En jetant un œil sur notre compagne qui était devenue solitaire par la force des choses, je vis qu'elle regardait alternativement la vidéo et notre travail à trois.
-Alors, Adèle, il est pas mal le black? Et tu vois Marie est maintenant accroc aux queues qui la remplissent bien. T'as déjà connu un beau jeune black?
-Oui, dans ma jeunesse, mais je crois que si c'était à refaire j'en profiterais plus et mieux.
-Peut être qu'on va trouver à te satisfaire en Inde.... Il y en a surement des bien montés.
Tout en continuant la conversation, je fis signe à JM de se retirer. Je tirai encore un peu plus en arrière les jambes de Marie et d'une main libre, je lui montrai le trou du diable qui maintenant était on ne peut plus accessible et accueillant.
Jean-Michel ne se fit pas prier. Je compris vite qu'il n'avait pas souvent utilisé cette entrée. Après avoir salivé sur la rondelle, il entra délicatement. Je lui fis signe d'y aller plus vigoureusement.
-Tu sais elle est loin d'être vierge de ce côté aussi, t'as qu'à regarder sur la vidéo ce qu'Albert et Christian y ont introduit. T'es pas en train de faire une grande découverte spéléo. Surtout, sans te faire insulte que t'es pas monté comme eux. Et elle aime être bousculée de ce côté. Vas-y secoue-la!
-Et toi Adèle.? Tu aimes la sodomie?
Vu la manière avec laquelle elle regardait tout ça, j'avais compris que ce n'était pas son truc.
-J'aime pas. Quand on a essayé, on n’est jamais allé bien loin, j'avais mal.
Elle attendit un moment et rajouta:
-Mais je ne demande qu'à réessayer et qu'on me fasse aimer. Visiblement Marie y prend beaucoup de plaisir.
-Je vais essayer, ma chérie, mais pas maintenant, il faut que tu sois très chaude et très détendue.
Je lui resservis une coupe. J'avais compté. Elle en était à la quatrième depuis que nous étions passés au salon.
- Mais on va faire ça dans l'ordre. Mon petit joujou, il n’a pas encore goûté à ton gentil minou.
Sur ce, je la pris la fis se lever, s'appuyer sur la table basse face à l'écran de télé et aux exploits de ma petite salope. Je m'introduisis en elle en levrette d'un coup sec et profond. Elle poussa un cri énorme qui fit se retourner JM et Marie. Doucement son hurlement se transforma en respiration sonore et sourde, puis en petits râles saccadés, et enfin en appels profonds et prolongés. Je m'abaissai sur elle et tout en continuant à la lutiner, je lui excitai le haricot. Les cris devinrent plus stridents.
Je sentais que l'orgasme n'était pas loin. Je lâchai quelques gouttes de salive sur son petit trou, effectivement très resserré, comme l'était celui de ma Marie quelques mois plus tôt. Et de l'autre main, je lui caressai doucement la rondelle, en entrant progressivement l'index que je remouillais après chaque petite visite. Elle se laissait faire.
Etait-ce parce qu'elle était entièrement concentrée sur sa jouissance dans sa moniche ou parce qu'elle ne voulait pas être en reste par rapport à Marie qu'elle voyait jouir à côté d'elle et prendre de grands pieds à la télé. Je m'aventurai plus loin dans son antre noire. Maintenant j'y introduisais le pouce. Je décidai d'en rester là pour l'instant et de le lui remettre au moment où je sentirais qu'elle avait un orgasme.
Je m'attachai à la lutiner en variant les mouvements afin de faire grandir l'excitation, et accompagnai mon action de paroles qui à mon avis, vus les propos qu’elle avait tenu à l'apéritif ne pouvaient que faire monter la température cérébrale, tant il est vrai que les femmes baisent aussi avec leur tête.
- Alors, toi aussi t'es une petite salope? T'aime ça te faire prendre comme une chienne, toi qui veux que les hommes que tu diriges soient à tes pieds?
-.......
-Je te parle, petite pute! T'aime ça la bite? Comme Marie?
Il y eut un Ouui, presque inaudible.
-Eh, tout à l'heure tu jouais les femmes libérées! Alors je veux t’entendre dire plus fort que t'es une salope et que t'aime la bite!
Et tout en lui parlant j'appuyai mes coups de reins.
-Ahah! Oui! J'aime ça!
-Ça quoi?
- Ahah ouh! Me faire baiser....Ahah, Non, Oui...Oh! Oui j’aime.
J'arrêtai mes interrogations, je sentais qu'il n'en fallait plus beaucoup pour qu'elle se lâche, surtout qu'à côté, Marie venait, elle d'exploser. Ce qui eut pour effet de faire envoyer la sauce à Jean-Michel. Il accompagna son extase de longs soufflements sonores et plaintifs.
Dans la minute qui suivit, Adèle fut prise de convulsions, d'abord petites et saccadées puis comme une électrocution. Dès les premiers signes d'orgasme, j'avais entré vigoureusement mon pouce dans sa base arrière en l'agitant à l'intérieur. Quand les soubresauts devinrent moins brusques, je sortis mon sexe de sa chatte et me mis à lui lécher la moule, remontai jusqu'à la rondelle en la lui titillant doucement. Quand j''étais au pubis, j'entrai un doigt dans son œil de bronze que je ressortais et passai au clito lorsque ma langue s'attardait de nouveau sur sa rose de venin. L'orifice s'ouvrait doucement. La belle Adèle continuait à jouir.
-Alors, c'est pas si mauvais que ça se qui se passe derrière.
-Oh non, c'est bon!
-Bien, maintenant on va voir si tu es une vraie bonne salope. Je vais me branler sur toi et quand ma semence viendra je t'en mettrai sur les seins et tu avaleras le reste. D'accord ?
Je venais de jouer un va-tout. Une femme de pouvoir comme elle, allait-elle se rebeller ou obéir à mes ordres?
De plus, si elle refusait, mon calcul pour aboutir à provoquer Marie pour qu'elle aille encore plus loin dans la luxure, en voulant montrer qu'elle était moins coincée qu'Adèle tombait à l'eau.
-Oui, je n'ai jamais eu de sperme sur moi, mais par contre j'aime bien avaler.
J'avais déjà commencé à me masturber au-dessus d'elle après l’avoir retournée sur le canapé à côté de Marie.
-Et Jean-Michel s'il t'en reste un peu à donner toi aussi, viens à côté de moi, on va lui étaler une jolie crème corporelle!
J'étais volontairement plus trivial qu'à la normale pour voir si nos deux femmes chefs acceptaient d'être un peu malmenées verbalement. Ce qui pouvait permettre d'envisager des choses intéressantes pendant les vacances.
Je fus le premier à sortir mon jus, en grandes saccades entre les seins et aussi sur le visage. À la troisième giclée, j'approchai mon chibre de la bouche d'Adèle. Elle le prit immédiatement et aspira tout le reste. Comme je n'avais pas fait l'amour depuis le dimanche, il en sortit pas mal.
En garçon bien élevé, Jean-Michel avait attendu que je m'enlève pour lâcher son liquide. Il lui en restait encore pas mal. Et alors qu'il se dirigeait vers la bouche de sa femme pour se faire finir, Marie intervint.
-Oh! Stop! Ça c'est pour moi. Y'en a pas que pour elle!
Elles éclatèrent toutes les deux de rire.
-Normal, on échange les semences, comme ça, ça ne peut faire que du plus robuste.
Quand elle eut bien aspiré JM, Marie prit Adèle par la main et l'emmena vers la salle de bain. Pendant la dizaine de minutes qu'elles y passèrent nous les entendîmes rire à gorge déployée. Elles étaient devenues plus qu'amies, deux vraies complices. Je dis à Jean-Michel:
- C'est bon, je crois qu'on peut envisager de belles choses pour l'Inde. Il faut prévoir une cargaison de préservatifs.
-Ah oui! Tu sais, quand j'ai reçu ta photo, j'ai hésité avant de la montrer à Adèle. Je ne savais pas que ça venait de toi. Et quand elle l'a vue, elle m'a dit:
" Il faut qu'on leur montre qu'on n'est pas contre des parties de sexe entre nous pendant les vacances. Ça serait bien aussi, ça donnerait un peu de piment à nos relations. A mon avis c'est eux qui nous envoient ça pour savoir si on est d'accord."
Elle avait vu juste. Le pire c'est que comme expérience avec d'autres, jusque-là, nous n'avions que deux sorties en sauna libertin, dont l'une n'avait pas été très concluante.
-Dis donc, pour le séjour, j'ai bien l'intention que ça ne se limite pas à des parties carrées entre nous. Mais qu'on trouve des autochtones qui viendraient donner un peu de sel.
-Je ne suis pas contre, mais je vais voir si Adèle est d'accord.
-Non, ne fais pas comme ça. Comment tu crois que j'ai réussi à amener Marie là où elle en est aujourd'hui? Ta femme, elle aime ça, ça se voit, mais son statut social et le fait qu'elle ne veut pas qu'à tes yeux elle apparaisse comme une traînée, font qu'elle ne te dira jamais oui à tes propositions au départ, même si après elle te dit qu'elle a aimé et te remercie. C'est toi qui l’as amenée à se conduire comme ça. Son honneur est sauf. Regarde ce que je lui ai fait dire tout à l'heure et je peux même t'annoncer qu'avant la fin de la soirée elle va connaître sa première sodomie profonde et qu'elle va aimer, je lui ai déjà bien travaillé la rondelle tout à l'heure sans qu'elle ne s'en offusque, au contraire. Je t'invite même à prendre la suite quand j'en aurai fini et de lui en refaire goûter une ou deux fois avant notre départ pour que ce soit devenu une pratique naturelle pour elle quand on sera là-bas.
Il y a un quelques mois Marie était pareille, elle refusait que je la sodomise. C'est son premier amant qui l'a convertie dès leur deuxième rencontre.
Les filles revinrent. J'allai chercher la bouteille que j'avais mise au frais. Et je resservis une coupe.
-Si tu voulais nous enivrer pour profiter de nous tu ne ferais pas autrement.
-Et oui, ma belle, j'ai bien l'intention de profiter encore de toi. Mais tu n'as pas l'air d'avoir détesté pour l'instant?.... Tu ne réponds pas ?
-Si, si, j'ai bien aimé.
-Fais attention Adèle, il est redoutable... Tu n'imagines pas tout ce qu'il m'a fait faire en me provoquant comme ça.
-Mais, je crois que ça ne me déplairait pas à moi de me faire manipuler pour avoir du plaisir.
-Bien, alors commençons tout de suite. Marie t'a montré tout à l'heure comment elle fait bien les cunnilingus. On va voir si toi tu sais en faire. Marie allonge toi sur le canapé....Adèle, on te regarde, et après on demandera à ta copine de te mettre une note.
Adèle se mit au travail. Je retins Jean-Marie qui voulait anticiper tout de suite.
-Non, laisse-les se gougnotter toutes seules un petit moment. Surtout maintenant qu'elles sont devenues aussi complices. Ça devrait être intéressant.
Comme Marie était bien chaude, un peu pompette, et que son con était devenu des plus accueillants, elle ne tarda pas à lâcher de petits gémissements. Ils fonctionnèrent comme de véritables encouragements en direction d'Adèle, qui redoubla de vivacité et de détermination.
-Regarde-la ta femme, je suis sûr qu'elle est encore plus salope que Marie et que si tu t'y prends bien, tu ne devrais pas t'ennuyer dans les prochaines années.
Après deux à trois minutes, je dis à JM de se mettre au-dessus de Marie pour qu'elle le suce et que moi je baiserai sa femme derrière en progressant encore vers l'ouverture au bonheur du trou noir.
Nous nous installâmes, chacun à un bout du canapé. Autant Marie avait vu arriver JM sur elle, autant Adèle toute occupée à faire reluire Marie, ne m'avait pas senti derrière elle. Je lui tournai rapidement les cuisses, les écartai et d'un seul coup la pénétrait avec force. Elle eut de nouveau un sursaut. Mais là, leva la tête et dit:
-Tu as décidé de m'éclater en deux. Tu veux faire du petit bois pour l'hiver?
- Non, seulement te prendre comme une chienne. Mais pour le bois de cet hiver, je réfléchirai, c'est une bonne idée de te demander de venir nous réchauffer. Je suis sûr que Marie ne sera pas contre, non plus, vu comment vous vous entendez tous les deux.
Je parlais, je parlais, mais je crois qu'elle n'écoutait plus que son cul. Elle l'agitait et accompagnait mes mouvements. Très vite, je décidai d’investiguer à nouveau l'arrière garde. Mais là, je voulais qu'elle me le demande.
- Je peux recommencer mes études entre tes deux gentils petits monticules comme tout à l'heure?
-Einouuuuih...
-Soit un peu attentive, ne perds pas la tête, réponds moi distinctement. Tu veux que je te doigte le cul?
-Oui! Oh la la!
-Oui, quoi?
-Oui, vas-y dans mon...euheuh mon cul!
Je n'avais pas attendu sa réponse, tout en allant chercher la bouteille de Champagne, j'avais rapporté du lubrifiant que j'avais posé discrètement sur la table de coin du canapé. J'avais commencé à lui enduire grassement la rondelle, en écartant les redondants. Je lui entrai directement et d'un seul coup le pouce. Elle eut un nouveau sursaut mais ne réagit pas. Je dis à Jean-Michel:
-Veux-tu bien surveiller que ta tendre et douce n'arrête pas de lustrer la mienne et si elle a des velléités, appuie lui la tête entre les jambes de Marie. Elle n'a pas le droit d'être seule à jouir.
Après au moins cinq minutes de lutinage et de doigtage doux de son orifice, l'entrée était bien attendrie, je décidai de franchir un niveau. J'introduisis doucement deux doigts, l'un après l'autre puis tous les deux ensembles. Elle continua à geindre de plaisir. Cinq minutes après, sentant que sa jouissance devenait plus forte, je lui relevai les fesses pour la mettre à quatre pattes, les jambes bien écartées. J'écartai les fesses au maximum et d'un seul coup passai de l'avant à l'arrière. Il n'y eut qu'un léger mouvement. À mon avis autant de surprise que de douleur.
J'y allai avec délicatesse comme dans tout dépucelage, même du cul pour une femme déjà expérimentée, il faut toujours procéder avec douceur et sensibilité. D'autant plus que si son trou avait été bien dilaté par mes approches répétées, il restait encore très étroit. Je m'allongeai sur son dos, et tout en continuant à la besogner doucement, je l'embrassai dans le cou, derrière les oreilles et lui murmurai des mots d'encouragement pour la conquérir encore plus. Non, seulement je faisais cela pour elle, mais c'était la première fois depuis la conversion de Marie qu'il m'était donné d'avoir une relation sexuelle pour mon propre compte avec une belle femme. De plus, je ne doutais pas que cela rendrait Marie un peu jalouse et qu'elle s'attacherait à aller encore plus loin dans la luxure.
-Tu sais que ton petit trou est très bon, il aurait été dommage de ne pas y goûter. Tu es très bonne....J'aime ta peau...J'aime ta façon de faire l'amour et de te laisser aller à tes pulsions....Tu me plais....
Je forçai un peu sur les râles de plaisir que pouvait me donner son cul, même si c'était très bon.
-Je t'aime...Oh que c'est bon, ton cul.
Je sentais qu'elle commençait à se laisser aller et que la douleur était de plus en plus supplantée par le plaisir. Je lui remontai les fesses pour la mettre à quatre pattes tout en continuant à la limer doucement. Après quelques minutes, j'interpellai Jean-Michel qui ne quittai plus du tout sa femme des yeux.
-Allez, au lieu de mater, rends-toi utile. Viens t'installer sous ta femme la tête entre ses cuisses et doigte-la devant doucement pendant que je l'encule. Marie, viens aussi, caresse-lui les seins et le ventre.
Il ne fallut pas attendre longtemps pour qu'à ce régime la belle Adèle nous gratifie de plaintes plus accentuées et plus fortes.
-Marie, roule lui une pelle, embrasse-la dans le cou. Excite-lui les mamelons, vas-y, fais la jouir aussi par en haut.
J'ajoutai à l'attention d'Adèle.
-C'est bon, hein, d'avoir plein de gens qui s'occupent de te faire jouir, ma chérie.
-Oh, oui, c'est bon.
Elle eut à peine fini ces mots que j'entrepris de poursuivre mon avantage en accélérant et en affirmant plus mes coups de boutoir entre ses fesses. Très vite elle commença à geindre, sous les attentions conjuguées que nous lui prodiguions. Marie, se recula et décida de prendre la fin de nos assauts en vidéo.
Elle me surprendrait toujours. C'était une première, qu'elle prenne une place dévolue habituellement aux hommes.... Je pense qu'elle voulait me montrer qu'elle était avec moi... Cette nouvelle preuve de libération laissait bien augurer des trois semaines de vacances.
Progressivement, je sentais qu'Adèle approchait de l'orgasme, tout ça m'excitait aussi au plus haut point, et j'avais de plus en plus de mal à retenir mon éjaculation, d'autant plus que ce cul m'enserrait la bite et me frottait sérieusement. Je voulais pourtant aller jusqu'à ce que la belle se lâche d'abord. Il fallut attendre encore un petit moment. Je sentis arriver les premiers signes du grand pied, son corps commençait à être secoué de petits tremblements, son visage se tuméfiait, elle respirait en haletant et en poussant des cris rauques. Je me mis à la besogner en force. Elle y était. Je me vidai. Elle poussa un long gémissement, et s'affaissa sur son homme qui avait continué à la doigter pendant tout ce temps.
Après l’avoir laissée reprendre son souffle, je la soulevai doucement sur le côté pour la mettre en position assise et l'embrassai goulument. Ni Marie, ni Jean-Michel ne réagir.
- Alors, ce n’était pas bon? Tu vois qu'il faut toujours se laisser aller à de nouvelles expériences. Maintenant ton cul est bon pour le service, et pour montrer que tu es reconnaissante à ton mari, tu vas le sucer pour qu'il bande de nouveau, puis tu feras la même chose pour moi, et enfin, je te réserve une autre découverte. Marie, excuse-nous de nous occuper surtout d'Adèle, mais pour nos vacances il faut qu'elle rattrape en une soirée tout ce que tu as appris ces derniers mois. Par contre tu vas, si tu veux bien, continuer à filmer la suite.
Jean-Michel se mit debout face à sa femme qui lui fit une belle petite turlutte. Petite parce que tout ce qui avait eu lieu avant l'avait bien excité et qu'il en fallait peu pour que son membre soit prêt pour le combat. J'arrêtai le lustrage et demandai à JM de s'asseoir et à Adèle de s'asseoir sur son homme.
-Mais attention, c'est ton petit trou que tu dois lui offrir.
Doucement, elle s'empala sur sa queue. Ils commencèrent à s'agiter l'un sur l'autre. Lui était aux anges d'avoir enfin accès à ce chemin défendu. Peut-être même plus que moi, quand j'avais sodomisé Marie après sa première avec Pierre.
Je les laissai un moment, se donner du bonheur. J'enlevai le portable de Marie.
-Tu le reprendras tout à l'heure, allez, à genoux et suce-moi!
Quand mon sexe fut de nouveau bien levé j'appuyai Marie sur le canapé, à côté d'Adèle et la pris en levrette....Tout en la sautant, j'entrepris de doigter notre invitée, qui avait les jambes écartées et la moule bien ouverte à côté de moi... Elle me souriait d'un air complice. Après cinq à dix minutes, je quittai l'entrejambe de Marie, lui suggérai de reprendre son tournage. Je me plaçai devant Adèle. Mais, alors qu’elle ouvrait la bouche prête à y prendre mon vit, je lui écartai les cuisses en les relevant et enfilai d'un seul coup mon mandrin dans son puits. Elle cria longuement. C'était, aussi, sa première double.
Je pris les mains de JM et les apposai sur ses seins, et posai les miennes sur ses fesses entre elle et son mari. Puis commençai doucement à la bétonner. Elle poussait encore quelques cris. Je ne sais pas si c'était parce qu'elle avait mal, ou par jouissance, toujours est-il qu'elle ne me demanda d'arrêter à aucun moment. Après un bon moment elle se reprit un bon pied, et visiblement JM aussi.
Quand nous arrêtâmes, il était une heure du matin. Marie et Adèle repartirent ensemble à la salle de bain. Nous n'entendîmes plus de grands éclats de rire, comme deux heures plus tôt, mais de longs conciliabules.
Nos amis se rhabillèrent, et nous les raccompagnâmes.
Sur le perron, je m'adressai à Adèle:
-Tu vois ma chérie, si tu rencontres la Maharadja de Jaïpur tu pourras lui montrer que tu peux concurrencer les autres femmes de son harem.
Après leur départ, je décidai de me rattraper d'avoir un peu délaissé Marie pendant la soirée. Nous fîmes quelques petits compléments d'information.
Avant de s'endormir, je dis à Marie:
-Dis donc, tu savais que ton copain était aussi un adepte du don de soi et de sa femme ? ….Je crois qu'on est bien parti pour passer de bonnes vacances, à tout point de vue.
Tout d'abord, mes excuses pour avoir lâchement abandonné les lecteurs de HDS, depuis presque 1 mois. Mais, une petite bête que j'héberge, m'a donné quelques soucis ces derniers temps. Mais voici la suite.
Le dimanche soir, j'attendais Marie à la gare de Lyon.
À 19h20, quand elle avait pris son train à Marseille, j'avais exigé qu'elle effectue le voyage retour dans les mêmes conditions qu'à l'aller. Et que toutes les heures elle m'envoie une photo de sa moule à l'air. Quand je la vis arriver au bout du quai, son visage resplendissait. Elle m'embrassa.
-Super weekend! Une seule chose, j'aurais aimé que tu sois avec nous les 3 jours. Je t'ai fait ton compte-rendu dans le train. Tu pourras le lire dès ce soir si tu veux.
-Ah non! Pas ce soir. J'ai autre chose à faire avec toi. D'ailleurs on va commencer tout de suite.
Elle me regarda interloquée. Je m'étais garé au fond du parking, dans un recoin. À peine avais-je rangé sa valise dans le coffre que je la poussai à l'arrière et la fit s'installer comme je l'avais vue sur la photo avec Marius. (Couchée sur le dos, les deux jambes écartées, posées sur les dossiers avant et arrière)
-On va voir si dans la même situation, l'expérience est préférable à l'apprentissage.
-Si je comprends bien, tu sais déjà tout, même dans le détail. Ça sert à quoi que je te fasse un compte-rendu?
-C'est juste un petit coup en passant, pour faire un état des lieux, pour voir si les locataires ont laissé au propriétaire son bien en "état de bonne jouissance" comme disent les agents immobiliers.
Je la pris pour une belle partie de jambes en l'air (au sens propre). Elle avait tellement été visitée pendant les 3 jours précédents que le conduit était très dilaté. Mon sexe naviguait sans trop de frottement. Je décidai de passer par l'entrée de service qui, je le pensais, avait été plus ménagée. Erreur, en effet, même si l'œil de bronze était encore bien serré, il n'avait plus rien à voir avec le petit trou que j'avais connu il y a quelques mois. Lui aussi, avait dû bien vivre pendant le weekend. Je n'eus pas à beaucoup limer pour faire redémarrer les vocalises.
-Tu te rends compte que tu es devenue une sacrée salope?
-Ouuui! Baise-moi! Ohlala! Ouuui! Je t'aime!
-C'est moi que tu aimes, t'es bien sûre? C'est pas la bite?
-Siiii? Viens, viens. Viens devant! Prends-moi! Ouuui!
J'obéis, et retournai vers sa moniche. Elle chantait, gémissait, en essayant de se retenir pour ne pas attirer l'attention. Elle serrait les dents. Ses joues étaient rouges, presque tuméfiées. Cela lui donnait vraiment l'air d'une furie sexuelle. Je crois qu'à cet instant j'aurais pu lui faire, ou lui faire faire n'importe quoi.
Elle perdait tout contrôle. Pour vérifier cette hypothèse, je décidai de la déshabiller tout en continuant à la pilonner. Elle se laissa faire sans aucune retenue. La Marie stricte et réservée était très loin.
Elle était nue dans une voiture, en train de se faire sauter dans un parking assez fréquenté de la gare de Lyon, et ça n'avait pas l'air de lui poser trop de problèmes. Quelle différence rien qu'avec l'épisode de la punition sur le parking de l'autoroute deux mois plus tôt !!!
Maintenant, je me l'imaginais au milieu de tous les hommes qu'elle avait connus depuis que j'avais réussi à lui faire briser sa coquille. Il faudrait qu'à la rentrée je trouve un moyen pour essayer de les réunir pour un grand gang-bang. Rien que la pensée m'excitait. Si bien que je lui lâchais la sauce. Elle poussa un grand râle et eut un orgasme en même temps. Nous nous écroulâmes sur la banquette arrière, elle m'embrassa en me répétant qu'elle m'aimait.
Il était tard, elle s'est rhabillée, non sans m'avoir dit que j'exagérais de l'avoir mise dans cette tenue. Nous sommes rentrés. Nous avons roulé un moment en silence. Puis, doucement, elle a avancé sa main vers mon pantalon et massé mon sexe au travers. Après le pont de Sèvres, je lui ai demandé de me sucer jusque chez nous.
-Mais on va me voir, pendant la traversée de Sèvres, et jusqu'à Versailles.
-Chérie, fait pas ta prude. Il est plus de minuit, c'est les vacances, y'a personne dans les rues, et en admettant que quelqu'un s'en aperçoive, il ne pourra pas te reconnaître, vu que tu auras la tête dans ma braguette. C'est pour ça qu'il ne faut pas que tu relèves la tête.
Elle se mit au travail, avec sérieux. Au bout de quelques minutes, je ralentis ma conduite, et de ma main droite, après lui avoir soulevé la jupe, je lui malaxais les jumelles. Nous fûmes arrêtés plusieurs fois aux feux. Les deux premières, personne. La troisième une mobylette s'arrêta à côté de nous, du côté de Marie. Malheureusement, il avait stoppé près du feu, trop avancé pour être attiré par ce qui se passait dans la voiture. J'avançai doucement, jusqu'à ce qu'il soit juste au niveau de la vitre avant. Il tourna la tête et mit un moment à réaliser que Marie me suçait, qu'elle avait les fesses à l'air et pas de culotte. En malaxant bien, j'écartai les deux en mettant un doigt dans sa foufoune. Il matait avec attention, les yeux écarquillés. Le feu ne passait toujours pas au vert. De plus, ce n'était pas problématique, il n'y avait personne derrière nous. Il leva le pouce et tira la langue en me regardant pour exprimer son intérêt, puis démarra.
Juste avant d'arriver, Marie releva la tête. Elle me dit:
-J'ai bien senti qu'il y avait quelqu'un tout à l'heure, quand tu t'es arrêté et que tu lui avais bien montré mon cul. Je n'ai pas voulu protester ou me relever, je pensais qu'on n'était pas loin de chez nous. T'es quand même un gros cochon!
-Et la femme du cochon, c'est.......Marie la cochonne!
La nuit fut très "amoureuse". Elle voulait me montrer que ses amants ne l'empêchaient pas de me garder beaucoup d'affection (dixit). C'est elle qui conduisit les opérations. Elle me dit que je finirai la nuit comme une lopette. J'eus droit à tout, et même je crois plusieurs fois. En particulier, le petit trou (qui d'ailleurs ne l'était plus beaucoup). Elle me dit même avec un sourire en coin.
-Tu vois mon chéri, on va rattraper le temps que je t'ai fait perdre en te refusant l'entrée pendant toutes ces années.
Elle me lâcha à la quatrième fois que je lui eus dit que je n'en pouvais plus. Effectivement, je n'avais plus de force, elle m'avait vidé dans tous les sens du mot.
Pour finir elle me dit:
-Alors, mon amour, on en voudrait bien encore, mais on n'en peut plus. Tu vois ce que c'est de livrer sa petite femme à tous les hommes. Après elle est plus excitée que son homme, et on ne peut plus l'arrêter !
Le lendemain, pendant la pause de midi, j'attaquai la lecture du récit du weekend de Marie.
"Quand nous t'avons laissé, Marius est reparti vers La Ciotat en longeant la côte. Quand nous eûmes passé la corniche, et qu'il a eu viré vers Cassis, il s'est mis au mouillage (sans jeu de mots) au large d'une petite crique. Il voulait que nous pêchions un peu avant de rentrer. Pour pêcher, nous avons bien pêché.
Pierre m'a fait enlever, mon tee-shirt et mon soutien-gorge. Il a demandé à Marius s'il connaissait la branlette espagnole. Comme il avait l'air surpris, il m'a demandé de lui montrer ce que c'était. Je ne comprenais pas non plus. Il a traduit: "une cravate de notaire".
Je me suis mise à genoux devant Marius, lui ai baissé son pantalon et son slip et lui ai longuement masturbé le jonc avec mes seins. J'arrivais à lui entourer complètement. Je m'attachai à sensibiliser surtout le gland. Progressivement, comme sa queue montrait sa satisfaction en se mettant au garde-à-vous, je me baissai un peu plus et à chaque descente lui léchait le bout du gland avec ma langue. Je sentais qu'il n'était pas loin de m'envoyer son jus. J'arrêtai et le pris complètement en bouche. Avec une main, je lui caressai les testicules, avec l'autre, je lui agitai les fesses. Quand il éjacula, je faillis avoir un haut le cœur tellement son jet était puissant et nourri.
Pendant que je m'occupais de Marius, Pierre s'était, lui aussi, déshabillé. Il me retourna et son sexe prit la place qui venait d'être libérée. La différence était dans la participation. Autant avec Marius c'était moi la meneuse, autant avec Pierre, je n'étais qu'un objet sexuel. Il me prenait la tête à deux mains et m'enfilait son vit jusqu'au fond de la gorge, m'interdisant de mettre mes mains autour, pour qu'il rentre tout. Lui ne bougeait pas. C'était uniquement les mouvements qu'il donnait à ma tête qui produisaient la branlette.
Il dit à l'adresse de Marius.
- Tu vois petit ce qu'on appelle une gorge profonde. Et Marie, maintenant, elle sait faire. On lui a appris. Et tu sais, c'est très bon de sentir que tu vas jusqu'au fond du palais, à l'entrée de la gorge.
Quand il eut fini sa démonstration, il lui dit de s'allonger et me demanda de m'installer en cavalière sur lui en lui tournant le dos. La queue de Marius devait être un peu fatiguée, elle n'était plus très conquérante. Il était indispensable que je lui remonte le "moral". Je m'y attelai en le caressant et le léchant. Je n'eus pas à m'escrimer trop longtemps.
Il remonta très vite au combat (privilège de la jeunesse?). Je l'enfournai. Dès que je fus en position, Pierre présenta son braquemart devant ma bouche. Cette position était très fatigante; les deux actions qu'il me fallait exécuter étaient contradictoires. Je le dis à Pierre et décidai de leur faire faire saute-mouton, chacun leur tour.
Ils m’ont prise en levrette, quand l'un me sautait, je suçais l'autre assis sur le rebord du bateau. À un moment, un plaisancier est passé près de nous et en nous voyant a actionné sa corne de brume.
Nous sommes arrivés à La Ciotat, il était 19h30. Nous avons reconduit Marius chez lui, dans une zone pavillonnaire un peu à l'extérieur de la ville. Il m'a saluée une dernière fois, dans la voiture, et m'a promis de nous recontacter quand il serait revenu sur la région parisienne, avant la rentrée universitaire.
En roulant, Pierre me confia qu'il avait invité, un couple à venir partager notre soirée. Qu’ils devaient être là vers 21h. Nous n'avons pas mangé. Le repas de midi avait été assez copieux.
Quand nous sommes arrivés, ils nous attendaient au bar de l'hôtel. Après avoir échangé autour d'une coupe, nous sommes montés dans la chambre. Dès l'entrée, on a changé de partenaire. L'homme m'a poussé à m'agenouiller et à m'occuper de son objet. J'étais un peu déçue que sans me connaître il attaque direct sans préliminaires. Il n'était pas aussi bien monté que tous ceux que j'avais fréquentés ces derniers temps.
Il m'a ensuite entraîné sur la moquette et m'a prise les jambes sur ses épaules. Ce n'était pas un athlète de la verge, question qualité de l'outil, mais son endurance et sa « dextérité du jonc », si je peux dire, compensaient ce que la nature ne lui avait pas donné...Il est resté très longtemps en moi. A un moment, j'ai vu arriver Pierre et la femme à côté de nous. Il l'a prise en levrette. Elle s'est penchée sur moi, m'a embrasée, m'a enlevé mon chemisier, puis mon soutien-gorge et s'est mise à me sucer les tétons. Mon attention avait changée de centre d'intérêt. Je n'avais pas vu que Pierre ne la lutinait plus. Elle est descendue le long de mon ventre jusqu'à mon pubis, puis elle a repoussé son mari et sa langue a pris la place du sexe.
Elle était visiblement experte à ce jeu. Très vite, j'ai ressenti des sensations plus prononcées que pendant les 10 minutes qui avaient précédé. Elle avait une certaine expérience des femmes. Après quelques minutes de ce régime, entièrement consacré à ma jouissance, elle a passé ses jambes de chaque côté de ma tête et m'a mis sa touffe sur le visage. Je me suis mise immédiatement à lui manger le mignon. Plus pour calmer mon excitation que par simple envie. Je buvais sa mouille, l'aspirais, lui mordillait les lèvres et le clitoris. Elle aussi se mit à gémir.
Soudain j'ai senti que le mouvement de ses reins sur ma tête devenait plus saccadé et plus lourd. J'ai ouvert les yeux. C'était Pierre qui la sodomisait en même temps. Chaque coup de butoir m'écrasait le sexe sur la bouche. A certains moments, je sentais même les testicules de Pierre qui me tombaient sur le front.
Nous avons joué ainsi et changer de partenaire, de position plusieurs fois, puis, ils sont partis tranquillement, comme s'ils étaient venus en passant. Mis à part leurs prénoms, nous ne savions rien d'autres sur eux.
Après leur départ, nous nous sommes couchés et vite endormis. Tu le sais, la nuit précédente avait été très courte et la journée très longue. J'étais épuisée. Je crois que Pierre aussi.
Mis à part quelques petits plaisirs au réveil (vers 8h), nous avons été très sérieux le lendemain. Nous nous sommes promenés sur le vieux port, on y a déjeuné. Pendant le repas, Pierre m'a demandé s'il pouvait inviter Martial (le pompier) et Marius à dîner et à passer la soirée avec nous. Après mon accord, on les a appelés. Ils ont accepté. Pierre m'a dit alors:
-On va être tranquilles cet après-midi, il faut laisser un peu reposer ton cul parce que je crois que ce soir il va encore avoir une grande activité.
Nous avons passé l'après-midi à la Montagne Sainte Victoire et dans l'arrière-pays. À 19 h, nous avons retrouvé Marius et Martial au restaurant. Ils avaient déjà fait connaissances. C'est Martial qui avait réservé, un truc sympa au bout du vieux port. Pierre m'a placé directement sur la banquette à côté de Martial. Eux se sont assis face à nous.
En prenant l'apéritif, il a voulu expliquer la nature de nos relations à Martial. Celui-ci ne l'a pas laissé finir. Il lui a dit qu'il avait bien compris au bal que tu étais très partageur et que je ne détestais pas. On a parlé de notre ballade en mer, de l'éducation de Marius.
Puis, Pierre a dit:
-Tu sais, tu peux lui caresser les cuisses, pendant le repas. Elle aime!
-Mais il n'a pas eu besoin de ton autorisation, il a déjà commencé! Et même, il s'aventure plus haut que les cuisses.
-Alors, je suggère que tu enlèves ton string, pour lui faciliter le travail.
Je n'ai pas répondu. Il a attendu un petit moment, puis m'a dit:
-Je te rappelle que tu es venue à Marseille de ton plein gré et pour mon plaisir. Donc, tu fais ce que je te demande, sinon c'est la punition...
Je me suis levée pour aller aux toilettes. Il m'a dit que ce n'était pas la peine, que je pouvais faire ça ici.
J'ai essayé de le faire discrètement. Malheureusement, à une table voisine, il y avait 3 jeunes qui depuis le début suivaient notre conversation et observaient ce qui se passait sous la table avec attention. Quand il m'ont vu faire, il y en a un qui est venu à notre table en s'adressant à moi:
-J'ai parié avec mes copains que si je vous le demandais vous me donneriez votre culotte! Ne me dîtes pas que j'ai eu tort.
J'ai regardé mes trois chevaliers servants qui me poussaient à m'exécuter, et je lui ai donnée. Tu en seras pour m'en racheter une autre.
Je dois reconnaître que Martial sait bien allumer le feu. Ses attouchements me faisaient déjà bien monter la température. Au point que lorsque nous sommes arrivés à l'hôtel, j'avais vraiment hâte qu'ils me prennent.
Pierre en gentleman a dit à Martial que, comme il était le seul à ne pas connaître mes charmes cachés, et qu'en plus, les pompiers c'était un de mes fantasmes, il était prioritaire, et qu'il avait le choix des armes, du terrain et des règles du jeu.
-Excusez-moi, mais je vais commencer en solitaire par l'entrée principale, dans une position rare, mais que j'apprécie beaucoup. C'est une position très antillaise, très cool pour l'homme.
Ce faisant, il se déshabilla, me déshabilla, puis s'assit sur une chaise les jambes écartées.
-Viens, fais monter le petit Jésus, et quand il sera bien fier, tu t'assieds dessus et tu travailles.
Au repos son sexe valait bien celui de Christian (ah! Les blacks, c'est pas une légende), en action, il était moins volumineux mais plus long. Je le contentai très vite.
-Si tu savais combien de fois j'ai pensé à toi depuis Jeudi! Tu m'avais vraiment donné envie et je craignais de ne pas te revoir.
Il n'y avait que moi qui travaillais, lui se contentait de me caresser alternativement les seins ou le cul, avec par moment un doigt dans l'anus. Pierre mitraillait avec son smartphone, Marius s'était déshabillé et bandait comme un turc en attendant impatiemment son tour.
Au bout d'un moment, je lui dis que je n'étais pas bien et que je voulais qu'on change de position.
Nous sommes allés tous les 4 vers le lit. Ils m'ont mise à quatre pattes au bord. Martial s'est mis derrière, Marius s'est assis sur le lit, les jambes écartées de chaque côté de ma tête. Devine pourquoi! Et Pierre a filmé, en me disant que c'était pour toi.
Je peux te dire que mon gentil pompier c'est un bon coup. Je ne sais pas si ça fait partie de leur formation, mais il savait y faire. En même temps qu'il limait en remuant son cul comme quand il zoukait l'autre soir, il me caressait les seins, le ventre ou le clito. Il m'a fait jouir très vite et plusieurs fois. Pierre a pris la suite, puis Marius. (Il a réussi à se retenir et à ne pas envoyer sa liqueur)
-Maintenant, on entame une deuxième rotation, par l'autre entrée, mais dans un ordre inverse. C'est Marius qui commence et je finis. On va du plus petit au plus gros. À la fin, je ferai une photo de ton trou pour l'envoyer à René qu'il voie comment tu travailles bien pour remporter ton défi.
Quand ce fut au tour de Martial, mon cul était déjà bien fait, j'ai pris tout de suite un grand pied. Lui continuait. Puis, il m'a allongée sur le côté et a repris ses secousses dans mon petit trou -qui ne l'était plus tellement- tout en me doigtant d'une main et en me titillant les tétons de l'autre. C'était à hurler. Je crois d'ailleurs que c'est ce que j'ai dû faire. Le pauvre Marius qui essayait de se faire sucer la queue, à genoux devant moi, a été déçu. L'état dans lequel j'étais m'empêchait de faire quoi que ce soit d'autre.
D'autant plus qu'au bout de dix minutes, Pierre s'était mis à me brouter la moule en même temps.
Martial m'a demandé comment je voulais son sperme,
-Dedans, sur le visage, entre les seins, sur ta moule...Il suffit de demander pour être servie, Madame. A moins que tu aies droit à trois parts et une à chaque endroit?
Les autres ont dû trouver l'idée intéressante. Ils m'ont couchée sur le dos. Marius s'est masturbé au-dessus de ma tête, Pierre de ma poitrine et Martial, mon ventre. Ils m'ont dit de me masser avec leurs spermes, puis se sont mis debout devant moi côte à côte et m'ont demandé de finir de les aspirer.
Vers minuit Marius nous a quittés, il avait rendez-vous avec un copain pour le ramener à La Ciotat. Je pense qu'il a dû le surprendre par le récit qu'il lui aura fait de ses occupations du weekend. Un 14 Juillet en fanfare.
Martial a passé la nuit avec nous. J'ai eu droit à tout. Chacun des deux a visité chaque trou, toutes les formes de doublettes ont été étudiées, et toutes les positions expérimentées. Mon sexe et mon cul étaient en feu. L’autre, il savait peut-être les éteindre, mais aussi les allumer, le salaud.
Au matin quand il est parti, il m'a complimenté et m'a dit que j'avais compensé pour un bon moment l'absence de sa femme qui était aux Antilles pour 4 mois pour ses congés bonifiés. Il m'a même dit que c'était dommage que je ne sois pas Marseillaise, parce qu'il aurait aimé me faire régulièrement un bout de "causette". Je dois reconnaître que ça ne m’aurait pas déplu non plus.
On n'aurait pas prévu notre voyage au Rajasthan pour les vacances, un petit séjour dans la caserne des pompiers m'irait bien. (Non, je blague. C'est pour te provoquer).
Dimanche, nous avons été très sages. On s'est recouché après le départ de Martial un tout petit peu coquiné tranquillement. Nos corps avaient besoin de repos. Puis, promenade plage des Catalans. Déjeuner dans un petit resto à La Madrague au bout de Marseille, avec une superbe vue sur la mer et la côte.
On a été très sérieux. Simplement, avant de partir pour la gare, on est un peu retourné à l'hôtel, pour se dire au revoir. Comme nous ne nous reverrons pas avant plus d'un mois on en a un peu profité. Il prend ses vacances en Août.
Voilà, mais tu dois avoir quelques photos et vidéos qui peuvent, mieux que mon récit, te donner une idée de mon weekend studieux."
La semaine qui suivit fut très calme sur le plan sexuel. Nous étions en plein préparatifs de notre voyage de vacances (3 semaines en Inde) qui débutait le samedi suivant. Un circuit personnalisé au Rajasthan prolongé par la descente le long du Gange vers Orchha, Khadjuraho et Benares. Nous serions un groupe de deux couples avec chauffeur et guide parlant français.
C'est Marie qui avait tout organisé avant qu'elle ne devienne la dévergondée sexuelle qu'elle était aujourd'hui. Pour ma part, j'avais la ferme intention de ne pas faire que du tourisme culturel. On ne pouvait aller au pays du Kâma-Sûtra, du tantrisme et des sculptures érotiques de Khajuraho sans se trouver confrontés à de nouvelles découvertes sexuelles.
Nos partenaires de voyage étaient un couple que Marie connaissait. Ils étaient un peu plus jeunes que nous. Lui était aussi proviseur et son épouse était DRH dans une boîte de sous-traitance d'un grand constructeur automobile. Marie m'avait dit "Maîtresse femme, elle gère près de 200 mâles, et à la baguette". Ils étaient venus dîner chez nous et nous chez eux, il y a plusieurs semaines. J'avais pu remarquer que Marie et Jean-Michel étaient très proches et complices.
Pourtant, je ne savais pas jusqu'où allait leur attirance respective et s'il avait envie d'elle. Il était important que leur compagnie ne soit pas une gêne à des jeux osés que nous pourrions envisager pendant notre voyage. Pour le tester, je décidai de lui envoyer dans un message anonyme une photo de Marie en action avec Albert, sous mes yeux. Je savais qu'il le connaissait. J'accompagnai la photo de ce commentaire: "Saviez-vous que votre amie était une salope?". J'attendais de voir l'effet que ferait cette éventuelle découverte le jeudi, puisqu'ils devaient venir dîner à la maison avant le départ prévu pour le samedi.
Dès leur arrivée, je vis que le regard de Jean-Michel sur Marie avait changé, même Adèle était différente des autres rencontres. Lui avait-il montré la photo? Comment le prenaient-ils? Autant de questions que le souhaitais un peu débroussailler pendant la soirée.
Je n'eus pas à attendre longtemps ou à faire de suggestives allusions. Dès l'apéritif, c'est Adèle qui aborda le sujet:
"Ce qui est bien dans notre circuit, c'est qu'on va loger dans des palais de Maharadjas. On pourra se prendre pour les favorites du harem. Et si on en trouve un, il pourra nous faire la démonstration des positions du Kâma-Sûtra."
Profitant de l'occasion qu'elle m'offrait, je rajoutai:
"Et à Khadjuraho, on pourra expérimenter à nous 4 les avantages des partouzes à l'indienne, comme elles sont représentées sur les fresques des temples"
Marie réagit:
"Arrête, René, il faut que tu remettes systématiquement tout sur le sexe. Y'a pas que ça, quand même! "
"Peut-être, mais au moins les indiens avaient, eux, avant qu'on ne les contamine, une grande liberté sexuelle qui n'excluait pas l'amour et l'attachement. Toute une éducation. On devrait retrouver cette liberté, on n'en serait que mieux".
C'était Jean-Michel qui avait repris Marie. Je décidai d'en rajouter une couche.
"Pourquoi tu nous joues les vierges effarouchées? Que je sache tu n'es pas un agneau de lait en ce domaine? Et tu n'as pas attendu d'aller en Inde pour te libérer. "
Je fus surpris par la nouvelle apostrophe d'Adèle qui, jusque-là m'avais toujours semblé être quelqu'un de très stricte.
"Tu feras ce que tu veux, mais, moi, pendant notre séjour, j'ai bien l'intention de me cultiver dans tous les domaines et de m'éclater. Avec le boulot que je fais, j'ai besoin de soupapes pendant les vacances.
J'y vais aussi pour faire la fête à mon cul et tu devrais faire pareil. Comme dit l'autre ça ne peut que te faire du bien. Bien sûr si René ne te tient pas en laisse. Mais je crois avoir compris qu'il était d'accord?"
Touchée au vif, Marie ne voulut pas avoir l'air d'être moins libérée (Ah! La jalousie entre femmes, qu'est-ce qu'elle ne leur ferait pas faire).
"Je n'ai pas attendu d'être en vacances. Mon sexe, il est à la fête toutes les semaines...et pas que lui. N'est-ce pas mon chéri? "
"C'est vrai qu'il y en a pas mal qui y ont goûté ces derniers temps"
Jean-Michel en rajouta:
"Alors cachotière, je suis le seul à ne pas en avoir profité. Et moi qui croyais qu'on étaient copains?"
Je repris:
"Ça peut vite s'arranger, si Marie est d'accord bien sûr"
"Euh...tu veux, là, maintenant?"
"C'est toi qui décides, qui, quand et où. Ma chérie. "
"On verra tout à l'heure. Là, on va passer à table, sinon ma viande va être trop cuite."
Pendant que Marie et Adèle débarrassaient et étaient en cuisine, Jean-Michel me demanda si c'était moi qui lui avais envoyé la photo. Après ma réponse affirmative, il me dit qu'ils avaient apprécié parce qu'eux aussi ne savaient pas trop comment se situer avec nous.
J'avais décidé de faire boire Marie et Adèle pour qu'elles se lâchent vraiment. Visiblement Jean-Michel avait très envie que Marie tienne vite les promesses qu'il avait cru discerner.
À un moment, j'interrogeai Adèle sur ses goûts et pratiques sexuelles. Elle n'avait jamais eu d'expérience bi, ni de pluralité masculine. Je lui dis que Marie commençait à être bien performante dans ces deux situations. J'ajoutai que s'ils voulaient, après le repas on pourrait visionner des vidéos des exploits récents de Marie.
"Ah. Non! Tu sais bien que j'aime pas ça. Me voir dans ces situations."
Jean-Michel reprit:
"Alors, toi, l'éminente pédagogue tu refuses de montrer l'exemple à Adèle."
"Oh, Oui, S'il te plait, montre-moi...."
Quand Marie eut apporté le dessert, je compris que le reste des barrières qui la retenaient étaient tombée. Je décidai de lui enlever sa jupe et son corsage. Jean-Michel en fit autant avec Adèle. Sans attendre je m'installai aux pieds de notre invitée et commençai à lui caresser l'entrejambe puis, en ayant écarté les cuisses et dégagé le triangle d'or, je la masturbai délicatement, en lui léchant le bouton.
En jetant un œil sur ma droite je vis que Jean-Michel faisait subir le même "supplice" à Marie. Mais lui, s'était facilité le travail. Il l'avait carrément assise sur la table. Lui, assis sur une chaise devant elle. À l'économie !!!
Après quelques minutes, nous eûmes droit à un duo vocal, digne des polyphonies corses. Adèle était plutôt en voix haute, avec des petits cris qui encadraient de longs soupirs, alors que Marie était plus dans une plainte sourde qui se transformait progressivement en un halètement saccadé ou un râle d'extase.
Je fis signe à JM de nous diriger vers le salon. J'y entraînais ma belle, ils nous suivirent.
Je branchai la clé USB sur laquelle j'avais copié toutes les frasques de Marie. Elles étaient rassemblées par thème:
Pierre, l'appart ‘hôtel- L'anniversaire- Paul chez nous- Marly, la punition- Le train- Le massage- La virée Calanques- Les soirées marseillaises...
J'expliquai le contenu de chacune en disant à nos hôtes qu'ils ne pourraient pas tout voir. J'avais plus de 15 heures d'enregistrements, réalisés par Pierre ou moi.
-Aller Adèle, à toi l'honneur. Il n'y a qu'un exemple de pratique bi. Les autres épisodes ont eu lieu en club, et n'ont pas été filmés. Mais tu peux aussi voir des séances intéressantes de pluralité.
-Qu'est-ce que tu me recommandes?
-Moi, j'aime beaucoup " le massage", il y a une palette de choses, et Marie était dans une forme exceptionnelle...
-Allons-y pour le massage.
-Ça me convient aussi, surtout en perspective de notre voyage.
Avant de mettre en route, je reculai la table basse, fis installer Marie courbée face à Adèle, et le visage entre ses cuisses et JM derrière Marie.
-Comme ça, vous pourrez vous occuper tous les deux, tout en visionnant les images. Il n'y aura que Marie qui ne les verra pas. Elle n'entendra que ses propres cris de plaisir.
Je lançai la lecture. Ils se mirent à l'ouvrage, j'en profitai pour aller chercher la bouteille de Champagne et les verres et en remettre une autre au frais. Je voulais que la nuit soit longue. Après avoir tout installé, je dis doucement à l'oreille de JM : "Quand elle sera chaude tu peux aussi investiguer l'arrière-cuisine, elle aime"
Je vins m'asseoir à côté d'Adèle. D'une main, je lui dégageai son soutien-gorge et lui malaxai les seins, de l'autre, en glissant mes doigts sous le front de Marie, je lui excitai le clitoris. Notre duo vocal reprit. Il se mélangeait avec les hululements qui venaient de la vidéo. Dès que Marie soulevait la tête pour se laisser aller aux sensations que JM provoquait en elle, je lui raplatissais sur le sexe d'Adèle. Elle compensait l'impossibilité de se laisser aller par un broutage-léchage goulu.
Je crois que seul JM suivait la vidéo xxx qui était projetée sur grand écran, même si je surprenais Adèle y jeter un œil entre deux extases. Considérant qu'elle était la seule à ne rien faire, après m'être déshabillé, je me mis debout sur le canapé devant elle, les jambes écartées. Lui plaçai mon vit devant la bouche. Je n'eus pas à lui dire ce qu'elle devait faire. Sans préliminaire elle engouffra mon sexe se mit à l'aspirer, à le lustrer, le titiller avec entrain.
Je lui pris la tête à deux mains et après avoir accompagné ses mouvements pendant quelques minutes, soudain je lui enfonçai d'un coup ferme et profond mon sexe au fond de la gorge. Elle eut un haut le cœur. Mais comme je n'avais aucunement l'intention de m'arrêter, je continuai les pénétrations profondes de son gentil minois. Elle se mit à ouvrir plus largement, et à lécher avidement. Je pense que l'action de Marie dans son intérieur commençait aussi à la mettre au bord de l'orgasme. Elle bavait et fermait les yeux avec des petits cris syncopés. Mon action ne fit que pousser JM à aller plus avant. Il accéléra la vitesse et la force de ses mouvements dans le con de Marie qui maintenant hurlait en synchronisation avec les cris qu'on l'entendait pousser sous les caresses du massage sensuel de Franck.
Sur la vidéo, on en était au moment où Albert, Christian et Franck se préparaient alternativement à prendre Marie à tous les trois.
- Bon, on arrête un peu. On va regarder les exploits de la dame et comment elle n'a pas peur de se taper trois queues en même temps. Et après on essaiera de préparer notre voyage.
Je les vis me regarder interrogatifs tous les trois. Mais visiblement ils n'avaient pas les mêmes raisons de l'être.
Adèle:
-Trois en même temps, Ouah! Et ça fait pas mal?
Marie:
-Qu'est-ce que tu veux encore préparer? Tout est prêt.
Jean-Michel:
-Elle s'est tapé Albert, quelle queue! Et le black! Et le lit? Tu l'as drôlement inondé! Alors y a que moi qui savais pas que t'étais une sacrée salope. C'est vrai que t'es bonne. Mais on ne va pas en rester là, n'est-ce pas?
-Non, tu la reprendras dans dix minutes et tu auras toutes les vacances pour parfaire ta connaissance. Mais là, je veux que vous voyiez, son entrain et sa santé sur l'homme!
Je mis en pause, et choisis les emplacements et actions de chacun pour le spectacle. Je plaçai Adèle entre Marie et moi et JM de l'autre côté de Marie.
-Bon, les filles vous vous masturbez toutes les deux. Jean-Michel, tu caresses Marie où tu veux et quand tu voudras tu te lèves, l'allonges sur le dos et la reprends comme une bête. Quand JM sera bien entrain, Adèle ! Je t'expliquerai ce que je ferai de toi.
Personne ne réagit. Je relançai la lecture. Nos amis étaient passionnés. De temps en temps JM se tournait vers Marie et lui lançait des " Ouahou, Ouah la gourmande, Quelle salope, Putain, elle jouit sans retenue......" Marie souriait. Adèle aussi. Je fis signe à Jean-Michel. Il la prit, l'allongea. Avant qu'il ne la pénètre, je lui pris les jambes et les levai autour de son cou. Pour un moment, j'abandonnai Adèle, me disant que ce que nous allions faire avec Marie, elle y aurait droit ensuite. Tout en continuant à lui tenir les jambes en l'air, je m'installai au niveau de sa tête et lui introduisit mon sexe en bouche. Puis je fis signe à JM d'y aller fermement et vigoureusement. Dès le premier coup de rein appuyé, Marie eu un mouvement de tête qui eut pour effet de lui entrer mon sexe plus profond au fond de la gorge. Ce qui se reproduisit à chaque coup de boutoir de son collègue. Vu comme j'étais, je n'avais à faire aucun mouvement pour que mon membre s'agite dans sa bouche.
En jetant un œil sur notre compagne qui était devenue solitaire par la force des choses, je vis qu'elle regardait alternativement la vidéo et notre travail à trois.
-Alors, Adèle, il est pas mal le black? Et tu vois Marie est maintenant accroc aux queues qui la remplissent bien. T'as déjà connu un beau jeune black?
-Oui, dans ma jeunesse, mais je crois que si c'était à refaire j'en profiterais plus et mieux.
-Peut être qu'on va trouver à te satisfaire en Inde.... Il y en a surement des bien montés.
Tout en continuant la conversation, je fis signe à JM de se retirer. Je tirai encore un peu plus en arrière les jambes de Marie et d'une main libre, je lui montrai le trou du diable qui maintenant était on ne peut plus accessible et accueillant.
Jean-Michel ne se fit pas prier. Je compris vite qu'il n'avait pas souvent utilisé cette entrée. Après avoir salivé sur la rondelle, il entra délicatement. Je lui fis signe d'y aller plus vigoureusement.
-Tu sais elle est loin d'être vierge de ce côté aussi, t'as qu'à regarder sur la vidéo ce qu'Albert et Christian y ont introduit. T'es pas en train de faire une grande découverte spéléo. Surtout, sans te faire insulte que t'es pas monté comme eux. Et elle aime être bousculée de ce côté. Vas-y secoue-la!
-Et toi Adèle.? Tu aimes la sodomie?
Vu la manière avec laquelle elle regardait tout ça, j'avais compris que ce n'était pas son truc.
-J'aime pas. Quand on a essayé, on n’est jamais allé bien loin, j'avais mal.
Elle attendit un moment et rajouta:
-Mais je ne demande qu'à réessayer et qu'on me fasse aimer. Visiblement Marie y prend beaucoup de plaisir.
-Je vais essayer, ma chérie, mais pas maintenant, il faut que tu sois très chaude et très détendue.
Je lui resservis une coupe. J'avais compté. Elle en était à la quatrième depuis que nous étions passés au salon.
- Mais on va faire ça dans l'ordre. Mon petit joujou, il n’a pas encore goûté à ton gentil minou.
Sur ce, je la pris la fis se lever, s'appuyer sur la table basse face à l'écran de télé et aux exploits de ma petite salope. Je m'introduisis en elle en levrette d'un coup sec et profond. Elle poussa un cri énorme qui fit se retourner JM et Marie. Doucement son hurlement se transforma en respiration sonore et sourde, puis en petits râles saccadés, et enfin en appels profonds et prolongés. Je m'abaissai sur elle et tout en continuant à la lutiner, je lui excitai le haricot. Les cris devinrent plus stridents.
Je sentais que l'orgasme n'était pas loin. Je lâchai quelques gouttes de salive sur son petit trou, effectivement très resserré, comme l'était celui de ma Marie quelques mois plus tôt. Et de l'autre main, je lui caressai doucement la rondelle, en entrant progressivement l'index que je remouillais après chaque petite visite. Elle se laissait faire.
Etait-ce parce qu'elle était entièrement concentrée sur sa jouissance dans sa moniche ou parce qu'elle ne voulait pas être en reste par rapport à Marie qu'elle voyait jouir à côté d'elle et prendre de grands pieds à la télé. Je m'aventurai plus loin dans son antre noire. Maintenant j'y introduisais le pouce. Je décidai d'en rester là pour l'instant et de le lui remettre au moment où je sentirais qu'elle avait un orgasme.
Je m'attachai à la lutiner en variant les mouvements afin de faire grandir l'excitation, et accompagnai mon action de paroles qui à mon avis, vus les propos qu’elle avait tenu à l'apéritif ne pouvaient que faire monter la température cérébrale, tant il est vrai que les femmes baisent aussi avec leur tête.
- Alors, toi aussi t'es une petite salope? T'aime ça te faire prendre comme une chienne, toi qui veux que les hommes que tu diriges soient à tes pieds?
-.......
-Je te parle, petite pute! T'aime ça la bite? Comme Marie?
Il y eut un Ouui, presque inaudible.
-Eh, tout à l'heure tu jouais les femmes libérées! Alors je veux t’entendre dire plus fort que t'es une salope et que t'aime la bite!
Et tout en lui parlant j'appuyai mes coups de reins.
-Ahah! Oui! J'aime ça!
-Ça quoi?
- Ahah ouh! Me faire baiser....Ahah, Non, Oui...Oh! Oui j’aime.
J'arrêtai mes interrogations, je sentais qu'il n'en fallait plus beaucoup pour qu'elle se lâche, surtout qu'à côté, Marie venait, elle d'exploser. Ce qui eut pour effet de faire envoyer la sauce à Jean-Michel. Il accompagna son extase de longs soufflements sonores et plaintifs.
Dans la minute qui suivit, Adèle fut prise de convulsions, d'abord petites et saccadées puis comme une électrocution. Dès les premiers signes d'orgasme, j'avais entré vigoureusement mon pouce dans sa base arrière en l'agitant à l'intérieur. Quand les soubresauts devinrent moins brusques, je sortis mon sexe de sa chatte et me mis à lui lécher la moule, remontai jusqu'à la rondelle en la lui titillant doucement. Quand j''étais au pubis, j'entrai un doigt dans son œil de bronze que je ressortais et passai au clito lorsque ma langue s'attardait de nouveau sur sa rose de venin. L'orifice s'ouvrait doucement. La belle Adèle continuait à jouir.
-Alors, c'est pas si mauvais que ça se qui se passe derrière.
-Oh non, c'est bon!
-Bien, maintenant on va voir si tu es une vraie bonne salope. Je vais me branler sur toi et quand ma semence viendra je t'en mettrai sur les seins et tu avaleras le reste. D'accord ?
Je venais de jouer un va-tout. Une femme de pouvoir comme elle, allait-elle se rebeller ou obéir à mes ordres?
De plus, si elle refusait, mon calcul pour aboutir à provoquer Marie pour qu'elle aille encore plus loin dans la luxure, en voulant montrer qu'elle était moins coincée qu'Adèle tombait à l'eau.
-Oui, je n'ai jamais eu de sperme sur moi, mais par contre j'aime bien avaler.
J'avais déjà commencé à me masturber au-dessus d'elle après l’avoir retournée sur le canapé à côté de Marie.
-Et Jean-Michel s'il t'en reste un peu à donner toi aussi, viens à côté de moi, on va lui étaler une jolie crème corporelle!
J'étais volontairement plus trivial qu'à la normale pour voir si nos deux femmes chefs acceptaient d'être un peu malmenées verbalement. Ce qui pouvait permettre d'envisager des choses intéressantes pendant les vacances.
Je fus le premier à sortir mon jus, en grandes saccades entre les seins et aussi sur le visage. À la troisième giclée, j'approchai mon chibre de la bouche d'Adèle. Elle le prit immédiatement et aspira tout le reste. Comme je n'avais pas fait l'amour depuis le dimanche, il en sortit pas mal.
En garçon bien élevé, Jean-Michel avait attendu que je m'enlève pour lâcher son liquide. Il lui en restait encore pas mal. Et alors qu'il se dirigeait vers la bouche de sa femme pour se faire finir, Marie intervint.
-Oh! Stop! Ça c'est pour moi. Y'en a pas que pour elle!
Elles éclatèrent toutes les deux de rire.
-Normal, on échange les semences, comme ça, ça ne peut faire que du plus robuste.
Quand elle eut bien aspiré JM, Marie prit Adèle par la main et l'emmena vers la salle de bain. Pendant la dizaine de minutes qu'elles y passèrent nous les entendîmes rire à gorge déployée. Elles étaient devenues plus qu'amies, deux vraies complices. Je dis à Jean-Michel:
- C'est bon, je crois qu'on peut envisager de belles choses pour l'Inde. Il faut prévoir une cargaison de préservatifs.
-Ah oui! Tu sais, quand j'ai reçu ta photo, j'ai hésité avant de la montrer à Adèle. Je ne savais pas que ça venait de toi. Et quand elle l'a vue, elle m'a dit:
" Il faut qu'on leur montre qu'on n'est pas contre des parties de sexe entre nous pendant les vacances. Ça serait bien aussi, ça donnerait un peu de piment à nos relations. A mon avis c'est eux qui nous envoient ça pour savoir si on est d'accord."
Elle avait vu juste. Le pire c'est que comme expérience avec d'autres, jusque-là, nous n'avions que deux sorties en sauna libertin, dont l'une n'avait pas été très concluante.
-Dis donc, pour le séjour, j'ai bien l'intention que ça ne se limite pas à des parties carrées entre nous. Mais qu'on trouve des autochtones qui viendraient donner un peu de sel.
-Je ne suis pas contre, mais je vais voir si Adèle est d'accord.
-Non, ne fais pas comme ça. Comment tu crois que j'ai réussi à amener Marie là où elle en est aujourd'hui? Ta femme, elle aime ça, ça se voit, mais son statut social et le fait qu'elle ne veut pas qu'à tes yeux elle apparaisse comme une traînée, font qu'elle ne te dira jamais oui à tes propositions au départ, même si après elle te dit qu'elle a aimé et te remercie. C'est toi qui l’as amenée à se conduire comme ça. Son honneur est sauf. Regarde ce que je lui ai fait dire tout à l'heure et je peux même t'annoncer qu'avant la fin de la soirée elle va connaître sa première sodomie profonde et qu'elle va aimer, je lui ai déjà bien travaillé la rondelle tout à l'heure sans qu'elle ne s'en offusque, au contraire. Je t'invite même à prendre la suite quand j'en aurai fini et de lui en refaire goûter une ou deux fois avant notre départ pour que ce soit devenu une pratique naturelle pour elle quand on sera là-bas.
Il y a un quelques mois Marie était pareille, elle refusait que je la sodomise. C'est son premier amant qui l'a convertie dès leur deuxième rencontre.
Les filles revinrent. J'allai chercher la bouteille que j'avais mise au frais. Et je resservis une coupe.
-Si tu voulais nous enivrer pour profiter de nous tu ne ferais pas autrement.
-Et oui, ma belle, j'ai bien l'intention de profiter encore de toi. Mais tu n'as pas l'air d'avoir détesté pour l'instant?.... Tu ne réponds pas ?
-Si, si, j'ai bien aimé.
-Fais attention Adèle, il est redoutable... Tu n'imagines pas tout ce qu'il m'a fait faire en me provoquant comme ça.
-Mais, je crois que ça ne me déplairait pas à moi de me faire manipuler pour avoir du plaisir.
-Bien, alors commençons tout de suite. Marie t'a montré tout à l'heure comment elle fait bien les cunnilingus. On va voir si toi tu sais en faire. Marie allonge toi sur le canapé....Adèle, on te regarde, et après on demandera à ta copine de te mettre une note.
Adèle se mit au travail. Je retins Jean-Marie qui voulait anticiper tout de suite.
-Non, laisse-les se gougnotter toutes seules un petit moment. Surtout maintenant qu'elles sont devenues aussi complices. Ça devrait être intéressant.
Comme Marie était bien chaude, un peu pompette, et que son con était devenu des plus accueillants, elle ne tarda pas à lâcher de petits gémissements. Ils fonctionnèrent comme de véritables encouragements en direction d'Adèle, qui redoubla de vivacité et de détermination.
-Regarde-la ta femme, je suis sûr qu'elle est encore plus salope que Marie et que si tu t'y prends bien, tu ne devrais pas t'ennuyer dans les prochaines années.
Après deux à trois minutes, je dis à JM de se mettre au-dessus de Marie pour qu'elle le suce et que moi je baiserai sa femme derrière en progressant encore vers l'ouverture au bonheur du trou noir.
Nous nous installâmes, chacun à un bout du canapé. Autant Marie avait vu arriver JM sur elle, autant Adèle toute occupée à faire reluire Marie, ne m'avait pas senti derrière elle. Je lui tournai rapidement les cuisses, les écartai et d'un seul coup la pénétrait avec force. Elle eut de nouveau un sursaut. Mais là, leva la tête et dit:
-Tu as décidé de m'éclater en deux. Tu veux faire du petit bois pour l'hiver?
- Non, seulement te prendre comme une chienne. Mais pour le bois de cet hiver, je réfléchirai, c'est une bonne idée de te demander de venir nous réchauffer. Je suis sûr que Marie ne sera pas contre, non plus, vu comment vous vous entendez tous les deux.
Je parlais, je parlais, mais je crois qu'elle n'écoutait plus que son cul. Elle l'agitait et accompagnait mes mouvements. Très vite, je décidai d’investiguer à nouveau l'arrière garde. Mais là, je voulais qu'elle me le demande.
- Je peux recommencer mes études entre tes deux gentils petits monticules comme tout à l'heure?
-Einouuuuih...
-Soit un peu attentive, ne perds pas la tête, réponds moi distinctement. Tu veux que je te doigte le cul?
-Oui! Oh la la!
-Oui, quoi?
-Oui, vas-y dans mon...euheuh mon cul!
Je n'avais pas attendu sa réponse, tout en allant chercher la bouteille de Champagne, j'avais rapporté du lubrifiant que j'avais posé discrètement sur la table de coin du canapé. J'avais commencé à lui enduire grassement la rondelle, en écartant les redondants. Je lui entrai directement et d'un seul coup le pouce. Elle eut un nouveau sursaut mais ne réagit pas. Je dis à Jean-Michel:
-Veux-tu bien surveiller que ta tendre et douce n'arrête pas de lustrer la mienne et si elle a des velléités, appuie lui la tête entre les jambes de Marie. Elle n'a pas le droit d'être seule à jouir.
Après au moins cinq minutes de lutinage et de doigtage doux de son orifice, l'entrée était bien attendrie, je décidai de franchir un niveau. J'introduisis doucement deux doigts, l'un après l'autre puis tous les deux ensembles. Elle continua à geindre de plaisir. Cinq minutes après, sentant que sa jouissance devenait plus forte, je lui relevai les fesses pour la mettre à quatre pattes, les jambes bien écartées. J'écartai les fesses au maximum et d'un seul coup passai de l'avant à l'arrière. Il n'y eut qu'un léger mouvement. À mon avis autant de surprise que de douleur.
J'y allai avec délicatesse comme dans tout dépucelage, même du cul pour une femme déjà expérimentée, il faut toujours procéder avec douceur et sensibilité. D'autant plus que si son trou avait été bien dilaté par mes approches répétées, il restait encore très étroit. Je m'allongeai sur son dos, et tout en continuant à la besogner doucement, je l'embrassai dans le cou, derrière les oreilles et lui murmurai des mots d'encouragement pour la conquérir encore plus. Non, seulement je faisais cela pour elle, mais c'était la première fois depuis la conversion de Marie qu'il m'était donné d'avoir une relation sexuelle pour mon propre compte avec une belle femme. De plus, je ne doutais pas que cela rendrait Marie un peu jalouse et qu'elle s'attacherait à aller encore plus loin dans la luxure.
-Tu sais que ton petit trou est très bon, il aurait été dommage de ne pas y goûter. Tu es très bonne....J'aime ta peau...J'aime ta façon de faire l'amour et de te laisser aller à tes pulsions....Tu me plais....
Je forçai un peu sur les râles de plaisir que pouvait me donner son cul, même si c'était très bon.
-Je t'aime...Oh que c'est bon, ton cul.
Je sentais qu'elle commençait à se laisser aller et que la douleur était de plus en plus supplantée par le plaisir. Je lui remontai les fesses pour la mettre à quatre pattes tout en continuant à la limer doucement. Après quelques minutes, j'interpellai Jean-Michel qui ne quittai plus du tout sa femme des yeux.
-Allez, au lieu de mater, rends-toi utile. Viens t'installer sous ta femme la tête entre ses cuisses et doigte-la devant doucement pendant que je l'encule. Marie, viens aussi, caresse-lui les seins et le ventre.
Il ne fallut pas attendre longtemps pour qu'à ce régime la belle Adèle nous gratifie de plaintes plus accentuées et plus fortes.
-Marie, roule lui une pelle, embrasse-la dans le cou. Excite-lui les mamelons, vas-y, fais la jouir aussi par en haut.
J'ajoutai à l'attention d'Adèle.
-C'est bon, hein, d'avoir plein de gens qui s'occupent de te faire jouir, ma chérie.
-Oh, oui, c'est bon.
Elle eut à peine fini ces mots que j'entrepris de poursuivre mon avantage en accélérant et en affirmant plus mes coups de boutoir entre ses fesses. Très vite elle commença à geindre, sous les attentions conjuguées que nous lui prodiguions. Marie, se recula et décida de prendre la fin de nos assauts en vidéo.
Elle me surprendrait toujours. C'était une première, qu'elle prenne une place dévolue habituellement aux hommes.... Je pense qu'elle voulait me montrer qu'elle était avec moi... Cette nouvelle preuve de libération laissait bien augurer des trois semaines de vacances.
Progressivement, je sentais qu'Adèle approchait de l'orgasme, tout ça m'excitait aussi au plus haut point, et j'avais de plus en plus de mal à retenir mon éjaculation, d'autant plus que ce cul m'enserrait la bite et me frottait sérieusement. Je voulais pourtant aller jusqu'à ce que la belle se lâche d'abord. Il fallut attendre encore un petit moment. Je sentis arriver les premiers signes du grand pied, son corps commençait à être secoué de petits tremblements, son visage se tuméfiait, elle respirait en haletant et en poussant des cris rauques. Je me mis à la besogner en force. Elle y était. Je me vidai. Elle poussa un long gémissement, et s'affaissa sur son homme qui avait continué à la doigter pendant tout ce temps.
Après l’avoir laissée reprendre son souffle, je la soulevai doucement sur le côté pour la mettre en position assise et l'embrassai goulument. Ni Marie, ni Jean-Michel ne réagir.
- Alors, ce n’était pas bon? Tu vois qu'il faut toujours se laisser aller à de nouvelles expériences. Maintenant ton cul est bon pour le service, et pour montrer que tu es reconnaissante à ton mari, tu vas le sucer pour qu'il bande de nouveau, puis tu feras la même chose pour moi, et enfin, je te réserve une autre découverte. Marie, excuse-nous de nous occuper surtout d'Adèle, mais pour nos vacances il faut qu'elle rattrape en une soirée tout ce que tu as appris ces derniers mois. Par contre tu vas, si tu veux bien, continuer à filmer la suite.
Jean-Michel se mit debout face à sa femme qui lui fit une belle petite turlutte. Petite parce que tout ce qui avait eu lieu avant l'avait bien excité et qu'il en fallait peu pour que son membre soit prêt pour le combat. J'arrêtai le lustrage et demandai à JM de s'asseoir et à Adèle de s'asseoir sur son homme.
-Mais attention, c'est ton petit trou que tu dois lui offrir.
Doucement, elle s'empala sur sa queue. Ils commencèrent à s'agiter l'un sur l'autre. Lui était aux anges d'avoir enfin accès à ce chemin défendu. Peut-être même plus que moi, quand j'avais sodomisé Marie après sa première avec Pierre.
Je les laissai un moment, se donner du bonheur. J'enlevai le portable de Marie.
-Tu le reprendras tout à l'heure, allez, à genoux et suce-moi!
Quand mon sexe fut de nouveau bien levé j'appuyai Marie sur le canapé, à côté d'Adèle et la pris en levrette....Tout en la sautant, j'entrepris de doigter notre invitée, qui avait les jambes écartées et la moule bien ouverte à côté de moi... Elle me souriait d'un air complice. Après cinq à dix minutes, je quittai l'entrejambe de Marie, lui suggérai de reprendre son tournage. Je me plaçai devant Adèle. Mais, alors qu’elle ouvrait la bouche prête à y prendre mon vit, je lui écartai les cuisses en les relevant et enfilai d'un seul coup mon mandrin dans son puits. Elle cria longuement. C'était, aussi, sa première double.
Je pris les mains de JM et les apposai sur ses seins, et posai les miennes sur ses fesses entre elle et son mari. Puis commençai doucement à la bétonner. Elle poussait encore quelques cris. Je ne sais pas si c'était parce qu'elle avait mal, ou par jouissance, toujours est-il qu'elle ne me demanda d'arrêter à aucun moment. Après un bon moment elle se reprit un bon pied, et visiblement JM aussi.
Quand nous arrêtâmes, il était une heure du matin. Marie et Adèle repartirent ensemble à la salle de bain. Nous n'entendîmes plus de grands éclats de rire, comme deux heures plus tôt, mais de longs conciliabules.
Nos amis se rhabillèrent, et nous les raccompagnâmes.
Sur le perron, je m'adressai à Adèle:
-Tu vois ma chérie, si tu rencontres la Maharadja de Jaïpur tu pourras lui montrer que tu peux concurrencer les autres femmes de son harem.
Après leur départ, je décidai de me rattraper d'avoir un peu délaissé Marie pendant la soirée. Nous fîmes quelques petits compléments d'information.
Avant de s'endormir, je dis à Marie:
-Dis donc, tu savais que ton copain était aussi un adepte du don de soi et de sa femme ? ….Je crois qu'on est bien parti pour passer de bonnes vacances, à tout point de vue.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore une fois bravo : texte aussi élégant qu'il est excitant. La suite me paraît prometteuse.
Par ailleurs j'espère que "votre petite bête" va dorénavant vous laisser en paix.
Bien à vous.
Par ailleurs j'espère que "votre petite bête" va dorénavant vous laisser en paix.
Bien à vous.
Que j'aimerais être cette Marie.
C'est trop trop bon de te lire !
J'adooore tes histoires c'est tout ce dont rêve un homme
Elle m'excites a chaque fois toujours plus
Encore de nouvelles histoires,j'attends la suite avec impatience. Reviens avec de nouvelles histoires meme si je les relie et relie tjrs et qu'elles m'excites toujours on a besoin de nouveaux recits tres classe et REVIENS VITE ! merci!!!!!!!!!!!!!!!!!
J'adooore tes histoires c'est tout ce dont rêve un homme
Elle m'excites a chaque fois toujours plus
Encore de nouvelles histoires,j'attends la suite avec impatience. Reviens avec de nouvelles histoires meme si je les relie et relie tjrs et qu'elles m'excites toujours on a besoin de nouveaux recits tres classe et REVIENS VITE ! merci!!!!!!!!!!!!!!!!!
Deux bonnes nouvelles d'abord la rémission de la maladie de René,que j'espère définitive et la deuxième c'est de lire la suite des aventures de Marie. très belle écriture, merci encore de nous exciter pas les prouesses de Marie . Bienvenue aux nouveaux partenaires de ce charmant couple.