La conversion de Marie à la luxure 6 (la découverte de la pluralité- le club)

- Par l'auteur HDS René -
Récit érotique écrit par René [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La conversion de Marie à la luxure 6 (la découverte de la pluralité- le club) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La conversion de Marie à la luxure 6 (la découverte de la pluralité- le club)
La découverte de la pluralité

Donnons la parole à Marie et au récit qu'elle me fit de son Dimanche. Récit authentifié par Pierre sans aucune modification, si ce n'est qu'il a complété les détails sexuellement un peu hards, Marie restant très succincte sur les formes que prenait son exubérance en ce domaine.

« Quand tu nous eus quitté, Pierre saisit le sac de voyage, m'attrapa par la taille et m'emmena, sous les yeux ébahis du réceptionniste et de la femme de chambre qui se trouvaient là. Je pense que je suis passé pour une pute de luxe que vous aviez échangé.....C'était peut-être un peu ça, quand même, sauf que je ne me faisais pas payer et que l'un des deux hommes était mon mari!!!
Nous nous dirigeâmes vers sa voiture qui était garée derrière l'hôtel. Il me demanda de monter à l'arrière. Il me dit d'ouvrir le paquet qu'il m'avait apporté et que j'avais toujours sous le bras. Je savais que c'était de la lingerie...je connaissais bien ce type d'emballage. Un papier jaune pâle avec un motif féminin en noir. Je ne savais plus quelle marque c’était mais je la connaissais, tu m’en avais déjà offert. C’était Lise Charmel. « Royal Saphir », Tout un ensemble bleu saphir avec des motifs floraux bordeaux brodés. Et en plus, il y avait joint, le loup de la même collection. Mais tu la verras bien.
Il me dit:
-Maintenant, tu la mets. Comme ça, sur ta peau tu auras, en même temps, les cadeaux de tes deux hommes. Après m'être assurée que personne ne pouvait me voir, je m'exécutai. A peine la guêpière mise et les bas attachés aux jarretelles, il me dit:
-Pour l'instant tu arrêtes là!
Il était assis à côté de moi sur le siège arrière.
-Viens, assieds-toi sur moi, et saute-moi!
-Je m'assieds comment de face ou de dos?
- C'est toi qui choisis. Chaque position a son avantage. D'un côté on pourra s'embrasser en même temps et je pourrai même te bouffer les seins. Et de l'autre, la pénétration sera plus profonde.
J'ai choisi la seconde solution, pas tellement parce que la pénétration serait plus profonde, mais parce que la position me permettait de voir si personne n'arrivait.
Ce fut court, mais bon. Je retenais mes réactions, de peur que quelqu'un nous entende, surtout qu'avec la chaleur intérieure, Pierre avait entrebâillé les fenêtres. Rapidement, d'un commun accord, nous décidâmes de ne pas prolonger. La position et le lieu n'était pas très propice aux performances athlétiques. Pierre me dit:
- C’était juste une prise de contact « amicale ». On va aller ailleurs te faire exercer tes talents et s'ouvrir l'appétit.
Je commençai à me rhabiller, mais il me dit:
- Pas la peine..... Tu vas pas te rhabiller pour te redéloquer dans quelques minutes. En plus, maintenant tu as l'habitude de voyager dans cette tenue!
-Sa-laud! Mais, tu passes pas en ville, hein?
-Ok. On va prendre le chemin des écoliers, ou plutôt des écolières. Tiens, tu me donnes une idée. Plutôt que d'aller au resto on a s'arrêter dans une supérette et on va acheter de quoi se faire un petit pique-nique... Nique-nique. Et qui c'est qui va se faire niquer? C'est ma petite salope!
-Mais tu m'as promis qu'on ne passerait pas en ville!
-Attends, j'ai une couverture dans mon coffre. Elle va d'abord servir à te recouvrir pendant que je ferai les courses, puis à poser nos victuailles et à protéger ton beau petit cul des attaques indésirables de petites bêtes à pattes, quand je te besognerai.
Il a fait ce qu'il avait dit, lui. Il a été honnête. Il ne m'a pas laissée à demie nue sur le parking (voir chapitre 3). En plus il s'est garé loin d'un endroit de passage...
Nous sommes repartis en direction du Havre par une petite route qui, après avoir traversé le port de pêche, longeait la baie de Seine. Je ne sais pas s’il connaissait ou s’il y allait au hasard. Toujours est-il qu’après être passé sous le pont de Normandie, il y avait une cimenterie puis, un bois avec plusieurs chemins qui y pénétraient. Il en prit un après une centaine de mètres, rangea sa voiture dans une petite clairière, et me dit :
- C’est là que commencent les agapes…Enlève la couverture, et amène les victuailles. Tu en es l’amuse-gueule, mais tu feras aussi une très bonne entrée et peut-être si j’ai encore faim, tu pourras faire un bon de plat de résistance, qui complètera le poulet rôti que je nous ai acheté.
Je m’apprêtais à mettre la table, mais il ne m’en laissa pas le temps.
- Tout à l’heure on a seulement fait connaissance. Il ne faudrait pas oublier qu’un anniversaire ça se fête. Viens là !
Je me laissais totalement guidée. Depuis que je le fréquentais, je me rendais compte que j’étais devenue d’une docilité que tous ceux qui me connaissaient, n’auraient jamais cru possible. Je lui étais totalement soumise. Et comme j’avais pu constater, l’heure précédente, que ce statut ne te posait pas problème, je me laissais complètement faire.
Il me retourna, m’appuya sur le capot de sa voiture, me fit bien écarter les jambes, dégagea légèrement le string, et entreprit de me faire passer à la casserole. Et après s’être mis à genoux derrière moi, sur la couverture, il entreprit une tendre fricassée de minou.
- A toi l’honneur ! Surtout qu’à cette heure je devrais déjà être sur le chemin du retour. Donc ; il faut bien que je rétribue ta bonne volonté.
Il alternait les coups de langues qui partaient de mon pubis et remontaient jusqu’à mon petit anneau en passant par mon bouton, sur lequel il s’arrêtait en le titillant puis s’occupait de mes lèvres et de la partie intérieure qui s’ouvrait déjà , pour finir par un broutage en règle du petit trou entre mes deux brioches - comme tu les appelles.
Mais on dirait qu’elle s’est enrichie depuis que je l’ai laissée ta petite tirelire. On a dû y mettre quelques dollars ?
- Arrête cette comparaison. René m’a dit qu’il voulait que bientôt il puisse y rentrer une pièce d’1€.
- Ah, bon, alors, il faut s’y mettre tout de suite !
Il s’est relevé, a baissé son pantalon, tout en me maintenant appuyée sur le capot, m’a écarté les fesses et enfilé son engin délicatement. A mon grand étonnement s’est rentré tout seul.
- Là, on sent que ça a bien servi, il n’y a pas longtemps !
Il continuait à écarter et malaxer les fesses. Visiblement, il aimait cette position. Alternant des pénétrations rugueuses et rapides, des petits mouvements peu profonds et des grands coups de boutoir. Soudain, il se mit à me claquer le haut des fesses à petite tapes sèches … un coup l’une, un coup l’autre. Sur le coup, ça m’a tiré un cri, plus de surprise que vraiment de douleur. Je sentais ma chair rougir en même temps de l’extérieur et de l’intérieur. Puis tout en continuant à me pénétrer l’arrière, il passa sa main pour me gratter le clito. Je sentais ma mouille qui commençait à s’étendre au-delà de ma vulve et glisser sur mes cuisses. Je n’en pouvais plus. C’était bon. Surtout que la soirée et la nuit qu’on avait passées toi et moi avaient bien préparé le terrain. Je lui dis :
- Viens ! Viens, maintenant ! J’en peux plus !
- Non, pas tout de suite. Je veux que tu me dises tout ce que tu es sans que j’aie à te le demander !
- Comment ça !
- T’es une petite…
- Salope, c’est ça que …hahaahah !….tu veux que je dise ? Mais je peux pas parler tu m’excites trop !
- Oui, mais pas que, qu’est-ce que c’est une femme qui se donne aux hommes qui lui offre des bijoux, de la lingerie, des voyages…
- Une pute !
- Voilà ! et toi tu fais ça seulement pour l’argent ?
- Arrête, Pierre, je suis à bout ! Je jouis ! C’est pas possible !
- Non, je t’ai posé une question.
- Non, j’aime ça !
- Tu aimes quoi ?
- La bite !
- Et te faire…
- Enfiler !
- Bien alors tu vas avoir ton salaire en nature. Tourne-toi.
Il m’a fait mettre à genoux, et s’est masturbé tout près, devant mon visage. Son sperme, n’a pas mis longtemps à venir. Il m’en a barbouillé le visage et les seins et m’a dit de lécher sa queue.
- C’est malin, maintenant, la belle lingerie est toute souillée !
- Qui le saura à part les hommes qui vont t’embrocher ce soir !
Je lui ai demandé qu’est-ce que c’était encore que cette histoire. Il m’a répondu que tu avais exprimé un souhait.
- Le club ! Ne me dis pas que tu t’en rappelles déjà plus ?
- Si, René n’était pas sérieux quand il a dit ça… C’était pour me provoquer.
- Je crois pas. La preuve, il t’a donné sa fiole de whisky. Allez, on se met vraiment à table, là. On reparlera de ça plus tard.

Je me suis rhabillée. On a mangé, gentiment, comme un vieux couple, en discutant tranquillement de choses et d'autres. On n'a pas du tout parlé de sexe, ni coquiné… Jusqu'au dessert. Il avait acheté des bananes....
Tu imagines, ce qu'il avait comme idée. Il m'a allongée, soulevé ma jupe et, de nouveau sans enlever le string, a utilisé l'une des deux bananes. Il faudra d'ailleurs un jour qu'un scientifique se penche sur la raison pour laquelle, vous les hommes, semblez prendre un plaisir particulier à nous baiser sans enlever notre culotte.
Au début, la pénétration de la banane ne m'a pas fait monter au ciel. Puis, ses mouvements lents en la penchant vers le haut, puis vers le bas; en la faisant tourner dans ma moniche, ont commencé à me faire jouir. Et quand il s'est mis à accompagner ça d'un travail des doigts de sa main libre sur mon clitoris ou à introduire son pouce dans mon cul j'ai commencé à ne plus savoir où j'habitais.
Il a voulu en profiter pour introduire la deuxième banane par l'entrée de service. J’ai refusé!
Il n'a pas insisté et a seulement dit:
-Un jour, ma belle, il faudra bien, quand même, t'initier à la double pénétration. Je suis sûr qu'avec ton tempérament que tu y prendras d'énormes pieds...
Pour l'instant je n'avais pas besoin de ça. Je prenais un super pied.
-Attention, s'il y a des chasseurs dans le coin, ils pourraient croire qu'il y a une bête qui agonise dans la forêt.
Il me retourna. Il me fit mettre à 4 pattes. J''avais toujours la banane fichée dans le vagin. Il se mit à genoux derrière, enleva très vite la banane pour la remplacer par son sexe. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai eu un orgasme presque immédiatement. Il me lima encore quelques minutes mais n'insista pas, même si lui n'avait pas joui.
Nous avons quand même mangé nos bananes. Quand nous sommes remontés en voiture, il était déjà 15 h.
Pierre a sorti son portable et m'a dit:
-Tiens, comme ton mari m'a donné son numéro tout à l'heure, je lui envoie quelques photos pour lui montrer que je m'occupe bien de toi. Je le trouve plus sympa que quand je bossais avec lui, ton mari. Il faudra qu'on se revoit dans d'autres circonstances.
Je ne m'étais pas rendu compte qu'il en avait prises.
-Et mon droit à l'image! Tu en fais quoi?
Il me répondit que je n'avais pas à me plaindre et que c'était aussi pour créer un site internet à ma gloire.
Je ne savais pas qu'en penser. Je lui dis que je lui interdisais, que c'était pas possible.
-Tu vois ces photos circuler dans le lycée?
-Oui, et même certains profs ou élèves, lorsque tu les convoquerais, demanderaient à vérifier tes compétences. Et moi, je peux te dire que si j'étais parent d'élève, je solliciterais souvent un rendez-vous avec le proviseur.
Après en avoir discuté, il me convainquit que le mieux pour le reste de l'après-midi était de faire une ballade dans le vieux Rouen. On trouverait plus facilement un restau pour le soir et ça nous rapprocherait de Paris, pour ne pas rentrer trop tard. J'ai compris le soir que tout ça n'avait rien à voir avec la vraie raison.
Il y a autre chose qu'il faudra m'expliquer les mecs. Vous aimez laisser notre culotte quand vous sauter, et par contre, vous voulez qu'on se promène sans culotte.
Tu l'as compris, il me l'a faite enlever pendant la route jusqu'à Rouen, et ensuite pendant notre promenade dans le vieux quartier. Au programme: visite de la cathédrale, place du vieux marché et musée des Beaux-Arts....Tu vois on n'a pas que fait cul on a aussi fait cul-ture. En passant dans une petite rue, il m'a dit:
- Tiens, tu vois, là il y a un club libertin...Ça tombe bien, on viendra y faire une petite visite, ce soir, après le restau.
Il me prenait pour une grande naïve. Comme si je n'avais pas remarqué qu'il recherchait l'endroit depuis le début de notre ballade. Pourtant, j'ai fait celle qui se laissait avoir.
-Décidément, tout semble vouloir s'organiser pour que je sois obligée de te dire oui. Même le hasard fait bien les choses....
Il a réservé pour 20h30 dans un restaurant à proximité. Puis, nous nous sommes promenés le long de la Seine, dans le parc de la presqu'île. Le soir avançait, les promeneurs devenaient de moins en moins nombreux. Il restait surtout, assis ou carrément allongés sur les pelouses, de jeunes couples d'amoureux. Au détour d'une allée, presque masqué par un bosquet, l'un de ceux-ci faisait visiblement l'amour. L'homme était assis, son pull était posé nonchalamment sur ses cuisses. Sa compagne était allongée perpendiculairement, sa tête posée sur ses genoux, sous le pull; donnant l'impression aux passants qu'elle sommeillait. Mais Pierre me fit regarder plus longuement. Effectivement, il n'y avait aucun doute, elle lui faisait une petite misère. Le pull montait et descendait, soulevé par sa tête. et la mine réjoui du type ne faisait que confirmer l'hypothèse.
Je regardai Pierre avec un sourire complice. Je ne sais s'il prit cela pour une invite. Ou s'il en avait déjà l'idée, mais il me dit:
-Excellent exercice apéritif. Et pourquoi ne nous y mettrions pas, nous aussi?
-Chéri, on est trop âgé pour jouer ce jeu-là!
-Tu y a bien joué tout à l'heure dans la forêt!
-Oui, mais là, c'est pas pareil, il y a du monde qui peut passer.
-Et alors, t'es pas proviseur dans le coin? Et on fera pareil, on te cachera la tête.
Tout en le disant, il m'entraînait vers un autre bosquet. Nous y entrâmes. Me dit, après avoir ouvert sa braguette et sorti le "petit" Jésus:
-Allez, mets-toi à genoux. Y'a personne.
Là encore je ne me suis pas reconnue. Je me suis exécutée sans un mot.
Cela faisait bien 3 ou 4 minutes que j'étais en action qu'un type, ayant peut-être entrevu, ou alors un voyeur qui cherchait à surprendre des couples, s'est approché de nous, en demandant s'il ne pouvait pas aussi en profiter. Pierre l'a engueulé en lui disant vite de déguerpir, sinon, il profiterait de son pied au cul.
J'ai repris mon activité champêtre. Au bout de quelques minutes encore Pierre m'a faite relever. Il faisait quasiment nuit. Il m'a entraînée vers un arbre, m'a appuyée dessus les reins cambrés. Et m'a de nouveau prise en levrette.
Là, je n'avais pas de culotte. Je ne l'avais toujours pas remise. Il voulait que je passe tout le reste du temps, jusqu'à ce qu'il me ramène à la maison, « la chatte en liberté ».
- Je n’aime pas les animaux en cage, même les oiseaux, surtout quand ils sont mignons et qu’ils chantent bien.
Il me fourra avec beaucoup d’énergie, comme il en était habitué.
Là, j’ai su qu’il reprenait des photos, (2 ou 3) à cause du flash.
Il me dit, je vais te faire chanter « la Traviata » puisque tu m’as dit que tu aimais l’opéra.
Très vite, je me suis senti grimper, non pas aux rideaux, mais à l’arbre. Je tentais de retenir mes bruits. Mais très vite , ce ne fut plus possible. Trop, c’était trop depuis plus de 24 heures, je n’avais pas passé beaucoup de temps « tranquille ». Vous ne m’en aviez pas tellement laissé la latitude. Pour être ma fête, c’était ma fête. Je me demandais comment j’allais finir et dans quel état je serai au bureau le lendemain. Avant de se lâcher, lui aussi, il me dit :
Attends, je vais enregistrer, le chant de la chouette, la nuit à Rouen. Sacré spécimen. Et je vais l’envoyer aussi à René pour qu’il voit comment tu te comportes dans un espace public.
Puis, nous nous sommes rendus au restaurant. Le repas était simple, mais assez bon. Étonnant pas un seul attouchement de la part de Pierre. Nous sommes sortis il était près de 22h.

Maintenant, parler de ce qui s’est passé après le dîner est un exercice très difficile pour moi…Je n’ai jamais aimé me raconter… encore moins raconter mes pensées profondes et intimes face à quelque chose qui, au départ ne correspondait pas à mon style....Ce n’est qu’entre toi et moi….Donc c’est comme si ce n’était que moi !
Je savais que Pierre avait organisé et programmé cette sortie en Club Libertin, il me l’avait dit dès que tu nous avais laissé seuls, et répété plusieurs fois dans la journée….je ne sais pas si j’en avais vraiment envie, au départ….je pense que non… mais à force de vous entendre dire à l’un comme à l’autre que j’en étais capable et que j’allais aimer ! !!!...En revenant du parc en voiture , j’avais quand même décidé de m’enfiler le reste de la petite fiole de Whisky que tu m’avais dit de prendre avec moi pour, comme tu disais, me désinhiber si j’en avais besoin….pour faire taire ma tête…Ah !.Le petit sourire de Pierre qui en a bu un peu pour m’accompagner …..Pas dupe et capable de tout pour mettre autre chose dans notre relation !
Au resto, j’avais encore pas mal bu, ma tête commandait de moins en moins, je me suis beaucoup amusée et dit des bêtises…..mais à aucun moment, en nous rendant au club, nous n’avons parlé du reste de la soirée, en sortant du resto, mon accord avait été de nouveau sollicité….
En arrivant au « 7 » (note de moi : « Seven » le Club à Rouen), il n’y avait personne, seulement le patron et un couple qui buvait au bar en discutant avec lui…Pierre a commandé du Champagne. Sans rien se dire, je crois que nous avons eu la même sensation…..soirée un dimanche à Rouen !!! Triste… Pas de coquineries libertines…..nous en avons parlé après !
En vrai, je ressentais un mélange de soulagement et de déception… Un client venait d’entrer et buvait au bar …Nous nous sommes assis, dans un coin salon, Pierre m’a fait relever ma jupe assez haut, et d’écarter les jambes. Tu imagines le spectacle, je n’avais pas eu le droit de remettre ma culotte. Au point où j’en étais, ça ne m’a pas posé problème… Une fois notre coupe finie, avec des caresses de la part de Pierre tout en buvant et en discutant, Il me proposa de descendre….les coin câlins sont au sous-sol, ce n’est pas grand, la décoration est plutôt sympa et chic…Pierre me proposa un espace…j’acceptai, nous étions seuls, il enleva ma jupe et mon pull, je me retrouvai en guêpière, il se déshabilla aussi et nous commençâmes à faire l’amour….je nous pensais tous les deux, mais au bout de quelques minutes je me rendis compte que des mains me caressaient et que j’avais plusieurs souffles sur moi….un autre couple était là, depuis un moment puisque nous ne les avions pas vu entrer ! Du moins, moi !!!
J’ai regardé, j’ai vu un jeune couple, l’homme me caressait la poitrine, en prenant sa partenaire par derrière, Pierre caressait les seins de la femme (une belle jeune black) tout en étant en moi …..Ma tête était à côté de celle de l’autre femme…elle m’a embrassée.
Drôle de sensation pour moi la caresse d’une femme, pour la première fois….
Tu ne vas pas me croire si j’explique que je ne me souviens pas de tout…du moins si….mais pas dans l’ordre ….la chronologie a-t-elle de l’importance ?
Pour me laisser aller je ne pensais plus à rien d’autre qu’au plaisir que mon corps me donnait (ou plutôt que les autres donnaient à mon corps)….. Je me suis retrouvée à faire une fellation au jeune homme en entendant des « c’est bon », Pierre me prenait en levrette en que même temps….le sexe était petit ! Je crois que, lorsque la situation s’est inversée, je n’ai pas eu un plaisir immense !! Et puis un peu pressé et pas très soucieux du plaisir donné ….
Je me suis surprise à éprouver l’envie et à me mettre à caresser le sexe de la jeune femme noire….pourquoi ? Peut-être la volonté de prendre une initiative…Pierre me caressait la chatte, pendant ce temps là….je crois que ce moment a été court, oui il a été court et je savais déjà que j’en entendrais parler !!!!
Le jeune homme du bar….depuis quand était- il là ? Il a présenté son sexe à ma bouche, je lui ai fait une fellation, il me caressait la tête, Pierre me caressait aussi et dégrafait ma guêpière pour me caresser les seins….ce nouveau sexe était très différent, gros, très dur. Il avait beaucoup de plaisir et moi aussi… il était beaucoup plus attentif et caressant, Pierre et lui ont changé de position, il m’a demandé mon accord pour me pénétrer par derrière en levrette, il l’a fait avec délicatesse et doucement….j’ai eu du plaisir …. Décidément, j’aime les sexes qui me remplissent bien !!! Lui aussi il a éjaculé assez vite dans son préservatif….je crois qu’il n’a pas pu se retenir davantage
Pierre n’a pas eu sa fellation complète.
Ensuite, tous les cinq nous avons discuté tranquillement, le jeune couple se disait ravi de leur soirée, lui disant même qu’il pouvait « mourir » maintenant qu’il avait fait cette expérience….l’autre habitué des lieux disait qu’il aimait ce lieu car c’était toujours correct et que le patron y veillait…Il m’a dit aussi qu’il m’avait trouvé très bonne, m’a remerciée et nous a demandé si nous étions du coin. Nous lui avons dit que nous n’étions que de passage.
Je crois que j’ai vraiment eu du plaisir, sans me poser de questions, ma tête n’a pas parlé…A aucun moment je n’ai ressenti la différence d’âge avec les autres protagonistes, jamais je n’ai eu honte de montrer mon corps, je me suis totalement lâchée….mais aussi parce qu’à chaque moment d’une manière ou d’une autre Pierre savait me rassurer. Il me touchait, surveillait, me caressait…..si dans ce qui est arrivé j’ai oublié un moment…ce n’est pas mensonge ….même par omission.
Pierre m’a dit en sortant qu’il était très heureux et qu’il m’avait aimé pendant cette soirée…je crois que j’ai été totalement libérée car il n’y avait pas de « regardeurs », seulement des protagonistes….ce qui est très excitant pour moi, c’est ce basculement à un moment vers des inconnus, c’est l’approche, la première caresse, la respiration…qui font que tu sais si tu vas te laisser aller, laisser faire…J’ai l’impression par contre que certaines respirations, certaines caresses doivent être insupportables….
C’est moi et ce n’est pas moi….je ne sais pas si j’irai encore souvent dans un club… j’ai une réticence, ce n’est pas anodin, je n’ai pas honte mais certains lieux ne me conviennent pas…là comme ailleurs je n’aime pas la vulgarité…
Peut-être que si les mêmes situations avaient lieu chez nous, voire dans un hôtel, je les accepterais davantage.
Il faut donc continuer à me laisser boire un peu pour m’y emmener….si on me disait ….c’était la dernière fois ça ne me dérangerait pas….
Nous avons quitté Rouen il devait être un peu plus d’1 heure du matin. En voiture, je me suis écroulée. J’étais vidée.
Je savais que le lendemain il faudrait que je trouve un moment pour t’écrire ce compte-rend

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