La conversion de Marie à la luxure 7 (Jeux- set et match)
Récit érotique écrit par René [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2014 dans la catégorie Plus on est
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La conversion de Marie à la luxure 7 (Jeux- set et match)
La conversion de Marie à la luxure 7 (Jeux-set et match)
Quand Marie rentra, il était 2h30. Je ne dormais pas. Elle passa très vite à la salle de bains. Puis, elle se coucha, en se glissant dans mes bras et s'endormit dans les minutes qui suivirent... Au matin, je devais partir de bonne heure, je la laissai dormir. Le soir, en rentrant, je ne dis rien... J'attendais qu'elle me donne son compte-rendu. D'autant plus que, dans la journée, Pierre m'avait envoyé un SMS me disant qu'il avait réussi à l'emmener en club et qu'elle n'avait pas détesté. Elle le lui avait d'ailleurs dit. Je ne parlai pas non plus du fait que j'étais sensé avoir découvert son entretien d'embauche dans le bureau de Pierre. C'est elle qui aborda le sujet.
- Merci, mon amour pour ce super weekend. Tout y était. Le lieu, l'accueil, l'hébergement, les cadeaux et mes deux hommes. Mais je n'ai pas réussi à t'écrire le récit que tu veux. J'ai du mal.
- Soit nature, normale. Mais dis-moi tout, et je ne veux pas que tu ne fasses que raconter, je veux aussi que tu me dises comment tu as vécu les différents épisodes. Mais, prends ton temps.
- Je te promets, je te le ferai demain.
- Il faudra aussi qu'on parle de 2 choses. D'abord que tu m'expliques cette visite au bureau de Pierre. Que tu me dises quand ça a eu lieu et de quoi il s'agissait... Et ensuite, il faudra qu'on trouve un moyen de remercier Albert. On peut par exemple l'inviter à dîner, un de ces jours.
- Pour Pierre, c'était lundi dernier. Tu sais le matin. Je n'avais pas du tout de départ de classe en voyage. Il avait souhaité que je vienne de bonne heure à son bureau avant que tout le monde arrive.
- Je n'ai jamais eu droit à ça, moi ! Donc, tu conviendras que ça mérite deux punitions. Une pour ce privilège que tu lui as accordé à mon détriment. L'autre pour le gros mensonge.
Effectivement, elle me remit le récit de son dimanche, le lendemain. Je n'en fis aucun commentaire.
Et n'abordait aucun sujet tenant à ses frasques sexuelles jusqu'en fin de semaine. Le jeudi, comme elle n'en parlait pas non plus je lui demandai :
- Pas de nouvelles de Pierre ? Pas d'autre entretien d'embauche en vue ?
- Non, il est débordé en ce moment. Il part pour une mission à Marseille la semaine prochaine et doit préparer une étude pour ses clients. Il ne sait pas encore quand on pourra se voir.
Je ne reparlai plus des punitions que j'avais prévues. Et laissai les choses se faire. Je savais, qu'après ce weekend agité, il fallait faire baisser la pression, si je voulais l'emmener plus loin dans la "libération" de ses envies sexuelles. C'est elle qui, le vendredi dans la matinée, m'appela à mon bureau pour me dire que Pierre ne pourrait pas la voir avant son départ et qu'il lui proposait de venir la voir à midi à la Défense, qu'ils iraient pique-niquer sur l'île du Pont. Qu'il s'occupait de tout qu’elle n'avait à amener que sa belle personne.
Immédiatement, j'envoyai un message à Pierre pour lui dire que je pensais qu'il fallait que le pique-nique soit très soft, pour créer chez elle un petit état de frustration. Il me répondit que j'avais raison et que ça ne serait qu'en " copains". Quand je vis Marie, le soir, elle me fit part de sa déception. Et tout en souriant, elle me dit :
- Tu te rends compte, il part deux semaines de suite. Il ne sera peut-être pas libre le weekend prochain et, à part deux ou trois bisouillages, rien !
- Tu m'as dit qu'il était amateur de Rugby ?
- Oui, mais qu'est-ce que ça a à voir ?
- Ben ! Samedi soir en huit, c'est la finale du Top14. Toulouse-Toulon. Et tu te rappelles de Sylvain ?
- Sylvain ?
- Oui, le gars qui nous a eu des places en loge pour France-Irlande en février dernier.... Et bien, il m'a proposé des places pour la finale, j'avais dit oui, et il en avait mis quatre de côté, pour nous, Albert auquel j'en avais promis et sa femme. Je peux lui en demander une de plus et la proposer à Pierre. S'il est amateur, il ne pourra pas résister. Et je peux m'arranger pour lui suggérer de t'emmener après à l'hôtel avec lui.... Écoute, j'appelle tout de suite Sylvain...
Je l'eus tout de suite. Il me dit qu'il ne devrait pas y avoir de problème. J'appelai Pierre devant Marie.
- Allo, Pierre. Est-ce que ça t'intéresse des places pour Toulouse-Toulon. La finale, en loge ?
- Bien sûr. Mais, vous y serez aussi ?
- Oui. Et Marie m'a mis une condition pour t'inviter : que tu lui fasses un petit bout de "causette" après, en tête à tête. Tu vois ce que je veux dire ?
- D'accord, mais je mets la mienne: qu'elle vienne en jupe et sans culotte.
Je me tournai vers elle. Elle avait un air désabusé et me dit :
- Vous êtes tous des malades, mais dis-lui que c'est d'accord.
- Tu as entendu? Ça marche! Je t'enverrai tous les renseignements pour qu'on se retrouve.
Les huit jours qui nous séparaient du 3 juin se passèrent tranquillement. Pierre envoyait des photos et des messages langoureux ou carrément hards à Marie qui répondait de façon plus soft. Par exemple des montages faits avec Photoshop ou l'on voyait Marie pomper un grand black ou se faire sodomiser par un jeune hardeur.... Je fus très étonné par un épisode. Sur mon conseil, il lui envoya le lien de deux chansons sur YouTube : "Déshabillez-moi" de Juliette Greco et "Je suis libertine" de Mylène Farmer, en lui demandant de choisir celle qu'elle pensait correspondre le mieux à elle. Alors que je pensais qu'elle choisirait la moins crue, à ma grande surprise, voilà ce qu'elle répondit :
- J'aime beaucoup Juliette Greco, mais la chanson de Mylène Farmer me convient mieux, d'abord parce que je n'aime pas qu'on s'attarde trop avant de passer aux choses sérieuses, et ensuite parce que je crois que, fondamentalement, je suis une libertine. Que je ne voulais pas me l'avouer jusque-là, mais maintenant, tu me l'as fait comprendre.
Elle m'en parla et me dit :
- Parfois, j'ai l'impression que Pierre me prend pour une oie blanche. En retour, je lui ai envoyé "les nuits d'une demoiselle" de Colette Renard.
(pour les lecteurs qui ne connaîtraient pas je vous invite à vous connecter sur la chanson sur YouTube, un chef d'œuvre, surtout pour l'époque)
Le samedi nous retrouvâmes Albert, son épouse et Pierre à l'entrée des loges. Arrivés dans la loge, nous avons discuté autour d'une coupe de champagne, puis nous nous sommes installés pour le repas qui précédait le match. Les sièges autour de la table étaient constitués d'une grande banquette de huit places, adossée à un muret et de chaises qui faisaient face. Si bien que les convives assis sur la banquette devaient déranger tous les autres s'ils voulaient bouger pendant le repas.
Je décidai d'installer Marie sur la banquette, en "sandwich" entre Albert et Pierre et m'installai en face, à côté de la femme d'Albert sur une chaise. Celui-ci ne savait pas que Marie était sans culotte.
Très rapidement Pierre voulut vérifier que sa consigne avait bien été respectée. Pour quelqu'un qui n'était pas au courant, rien ne laissait penser à ce qui se passait sous la table. Je devinai à leur visage à tous les deux, de manière différente, qu'il remontait le long de ses cuisses, jusqu'à ce que, pudiquement, j'appellerais son intimité.
Dans un premier temps, Albert ne remarqua pas ce qui était en train de se passer à côté de lui. Puis, à un moment, je le vis jeter un œil en diagonale vers les cuisses de Marie, et après, me regarder avec un air interrogatif et surpris. Je lui souriais de manière entendue. Dans la seconde qui suivit, je vis sa main gauche, passer aussi sous la table et immédiatement, Marie avoir un petit sursaut. Elle était coincée dans tous les sens du terme. Visiblement, deux mains et quelques doigts se relayaient pour lui caresser l'entrejambes, voire plus... Et tout l'empêchait de dire quoi que ce soit : le lieu, les autres personnes de la loge, la présence de la femme d'Albert et le fait qu'il lui était, à cet instant difficile de refuser à Albert les privautés qu'elle autorisait à Pierre qui n'était pas non plus son mari. Elle se laissa, comme on dit dans le beau monde, "faire un doigt de cour"(même si, en l'occurrence, je pense qu'il y avait plusieurs doigts).
Plus le repas avançait et plus je la trouvais congestionnée. Surtout qu'elle était contrainte de ne pas manifester verbalement de quelque manière que ce soit. Je lui dis :
- Chérie, il fait très chaud, tu as l'air de manquer d'air. Ça ira mieux tout à l'heure pour le match, on sera à l'extérieur.
La femme d'Albert ne s'apercevait de rien, prise dans une discussion avec sa voisine de droite sur la beauté réciproque des joueurs de rugby, avec une grande préférence pour Wilkinson. À un moment, Pierre sortit sa main de dessous la table et me montra discrètement que son index et son majeur étaient inondés de mouille. Albert, toujours aussi attentif l'ayant remarqué dit à Marie.
- Et toi, Wilkinson, tu lui mettrais ta bague au doigt ?
Elle ne se démonta pas et lui répondit :
- Je ne ferai pas que m'intéresser à son doigt
A la fin du repas en nous rendant à la loge pour suivre le match, Albert me prit à part :
- Mais sous ses airs très stricts, elle est plutôt pas farouche, ta Marie ! Depuis quand il y a quelque chose avec ton copain ? Tu es un sacré cachottier. Tu ne m'avais rien dit. En tout cas, je retiens encore plus ta promesse.
-
Après le match, je vis la tête encore plus surprise d'Albert quand il vit Marie partir avec Pierre. En me quittant, Pierre me dit, discrètement :
- Je te la ramène dans la nuit, pas trop tard. Demain matin, je pars de très bonne heure pour Marseille.
....
Effectivement, j'entendis la voiture arriver en bas de la maison vers 1h30. En regardant par la fenêtre de l'étage, je vis que Pierre avait garé sa voiture sous le lampadaire le plus proche. Il pensait à tout. Le siège avant du côté passager était abaissé. Marie était à moitié allongée. Elle n'avait plus rien en dessous de la taille, et seulement son soutien-gorge en haut. Pierre, lui taquinait l'abricot avec un ou deux doigts et je crus voir que le pouce s'occupait en même temps de la tirelire.
Il la releva, se rassit sur son siège, lui prit l'arrière de la tête et la conduisit jusqu'à son sexe. Le pantalon était baissé. Elle lui fit reluire le manche avec un entrain qui frisait la grève du zèle. Pierre, lui agitait la tête pour accompagner son action. Vus leurs positions respectives, l'ampleur des mouvements, et ce que je savais de la longueur de son sexe, je me disais que Marie, elle aussi, aurait bien mérité le surnom de "gorge profonde".
Elle s'y prenait si bien que sans le voir, je fus sûr que Pierre, lui avait lâché la sauce. En effet, à un moment, elle changea complètement d'attitude, elle ne s'agitait plus, mais visiblement lui aspirait sa semence. J'en eus une confirmation en la voyant ensuite lui lécher la queue, puis prendre un mouchoir dans la boîte à gants et s'essuyer la poitrine. Elle n’était pas "la goulue", elle n'avait pas réussi à tout avaler. Ça avait débordé.
...
Quand elle rentra dans la chambre, je lisais.
- Je ne vous ai pas entendu arriver.
- Menteur, toi aussi ! Je t'ai aperçu qui matais derrière le rideau de la fenêtre de la chambre !
Elle m'embrassa tendrement.
- Va te nettoyer un peu tu sens l'homme et le sperme. Et après tu me racontes ta soirée.
Au-delà de ce qu'ils avaient fait depuis le Stade de France, je voulais savoir si elle évoquerait les attouchements d'Albert et, si oui, comment elle l'avait vécu. Là encore elle m'étonna.
- Tes deux complices m'avaient tellement excité au stade que dès que nous avons été dans la voiture, au parking, j'ai ouvert la braguette de Pierre, je lui ai dit de rouler et je lui ai taillé une de ces pipes, qu'il avait du mal à garder les pieds sur les pédales.
Donc, ayant visiblement constaté que je savais qu'Albert avait participé aux réjouissances, elle considérait que rien n'était choquant. Cela me conforta dans l'idée d'organiser une rencontre avec lui, quand Pierre serait à Marseille. Voire plus tard, faire un plan avec eux deux. Après avoir roulé un bon moment, me dit-elle, il l'avait reconduite en direction de chez nous. Avant d'arriver, il avait fait un détour en direction de Trappes et était rentré par un chemin bien dissimulé dans la grande gare de triage de Trappes. Là, il avait masqué sa voiture entre deux trains désaffectés. Il l'avait fait descendre puis entraînée dans l'un d'eux. Il avait dû être squatté à un moment par des jeunes, voire des dealers. Elle me dit qu'il y avait des matelas entre les banquettes des vieux compartiments, mais que l'endroit était encore très propre. Elle fut étonnée qu'il connaisse ce lieu. Il lui répondit que son beau-frère était chef du service de vente des trains hors d'usage. Qu'aujourd'hui, le lieu était resté en l'état et n'était plus fréquenté de temps en temps que par des jeunes du coin qui y amenaient leurs petites copines...
Elle me précisa qu'ensuite, il l'avait emmenée par la main dans un compartiment, avait enlevé son pantalon, s'était assis sur un siège, l'avait fait déshabiller lentement et complètement devant lui...
Puis, il l'avait faite asseoir sur lui face à lui, en introduisant elle-même son membre dans son con.
Elle était donc quasiment à genoux sur la banquette. Il lui avait dit qu'il ne ferait aucun effort ce soir, puisqu'il ne devait pas la voir normalement, et qu'il n'était avec elle que parce qu’il avait été victime d’un chantage honteux.
Elle avait donc travaillé seule. Je l'imaginais bien, s'appliquer à se soulever légèrement sur ses genoux jusqu'à ce que le mandrin soit presque en dehors de sa moule puis redescendre en variant les cadences et en s'escrimant à lui masser le vit en resserrant ou desserrant ses muscles périnéaux pour exciter le Pierrot. Je savais que le défi que lui lançait son partenaire devait lui plaire à relever.
- Il me connaît encore mal, ce petit. Me dit-elle. S'il croyait m'ébranler... Qui c'est qui l'a bien branlé ?
Elle m'expliqua que ses efforts d’aboutir d'abord à ce que Pierre lui empoigne les fesses pour accompagner ses efforts. Puis il se mit à agiter ses reins en mesure avec elle... Ensuite, n'y tenant plus, il reprit l'initiative. Il la fit relever, Il lui demanda de monter sur le siège et d'écarter les cuisses face à lui qui était assis sur l'autre banquette. Il lui dit de mettre les bras en l'air, prit sa ceinture et lui attacha les poignets avec au porte-bagage, au-dessus d'elle... Puis, il lui dit de ne plus bouger.
Elle continuait à me raconter, comme si elle racontait une péripétie de son lycée. Je lui demandai :
- Et tu as obéi, toi ? Te faire abaisser comme ça !
- Elle me répondit, un peu gênée malgré tout, que ça ne lui posait pas problème. Qu'elle savait que c'était un jeu. Après, un long moment à la regarder, à la photographier avec son portable, dans cette attitude. Y compris avec des gros plans sur son sexe qui devait être bien humide. Il la doigta doucement, de plus en plus profondément avec deux puis trois doigts, en lui titillant le point G et les parois de la caverne. Puis progressivement, il commença à introduire les cinq doigts. Elle me dit qu’elle se tortillait accroupie sur le siège, mais son lien l'empêchait de se baisser plus, et l'obligeait à laisser sa grotte grande ouverte. Après quelques minutes de ce régime, elle eut, selon ses dires, un énorme orgasme et, immédiatement après, se mit à couler en fontaine. Pierre ne s'arrêtait pas. Il voulait la faire hurler encore plus fort. D'autant plus que, là où ils étaient, personne ne l'entendrait, lui disait-il.
Il lui dit aussi qu'il voulait qu'elle sorte tout ce qu'elle avait en elle, pour qu'il ne reste rien pour d'autres qui voudraient éventuellement goûter à son nectar.
- Tu vois chéri pourquoi, il peut me faire tout ce qu'il veut. Il me fait jouir et connaître des sensations que je n'ai jamais connues auparavant, même avec toi, mon loup.
- Je lui répondis que ça ne me posait aucun problème, que je savais que je n'étais pas un super coup. Du moins pas à la hauteur de ce qu'elle méritait et que son corps attendait. Que c'était aussi pour ça que je l'avais poussé à prendre un amant. Et qu'avec Pierre, si elle n'était pas déçue, moi non plus.
Quand il arrêta, elle était vidée, dans tous les sens du terme. Et, quand il la détacha, elle s'écroula sur la banquette, en loque, selon sa propre expression. Et lui dit :
- Je suppose que pour le moment, tu as ton compte. Tu voulais que je te fasse reluire avant mon départ pour Marseille, tu dois être comblée.
Elle acquiesça. Il l'empêcha de se rhabiller. Il consentit pourtant à ce qu'elle remette son soutien-gorge, et la fit monter en voiture dans cette tenue (si on peut dire). En lui disant qu'il allait ramener la salope à son propriétaire, en tenue de travail. Contrairement au cinéma qu'elle m'avait fait trois semaines plutôt pour le weekend en Bourgogne, elle ne lui opposa aucune résistance. Quand je l'interrogeai sur la raison de cette différence, elle me répondit que son numéro lui avait enlevé toute énergie, même celle de le contredire et qu'à cet instant, il aurait pu lui faire faire tout ce qu'il voulait.
Même si en roulant, elle s'était rendue compte de l'incongruité de sa nudité dans ce lieu, par rapport à son statut social et à son âge. Il restait néanmoins, qu'elle n'avait pas rechigné en arrivant à remettre, un petit coup l'ouvrage sur le métier. Tout en sachant que je les observais, comme elle me l’avait dit. Je profitai de ce moment de grande confidence pour lui dire :
- Au fait, pendant que tu étais en pleine extase, j'en ai profité pour inviter Albert et sa femme à la maison, la semaine prochaine, pour le remercier de son geste, pour ton anniversaire. Il m'a dit qu'il rentrait chez lui, et qu'il me rappellerait demain pour me dire quand est-ce qu'ils pouvaient venir. Là encore, surprise ! Je m'attendais à une protestation ou récrimination, vue ce qu'elle m'avait donné un avis très peu flatteur sur Albert. Pourtant, rien.
- Tu me diras, le jour que je me débrouille pour voir ce que je vais leur faire à dîner.
Soit elle avait remisé ses préjugés dans la boutique des vieux souvenirs, soit le travail d'Albert sous la table au Stade de France l’empêchait d’exprimer une quelconque réserve maintenant, soit il lui avait donné envie d'en découvrir plus sur l'individu. Le pire, c'était que je lui avais dit ça sans avoir encore pris contact avec Albert.....
Le lundi matin, lors d'une petite pose au bureau, j'appelai l'ami Albert. Il me proposa le jeudi suivant.
Je lui suggérai de venir plutôt le vendredi et seul. Le lendemain Marie ne travaillait pas. Je lui dis que je ferais croire à Marie que sa femme n'avait pas pu venir au dernier moment, qu'elle était malade. Il me répondit que ça ne posait aucun problème, que sa femme avait l'habitude qu'il découche. Puis il me demanda :
- Alors si je comprends bien, je vais enfin connaître les attraits cachés de cette belle Marie.
- Là, mon gars, c'est ton problème. Moi, je t'invite, après, à toi de faire le reste pour te la mettre dans la poche.
- Vu, ce qu'elle m'a laissé faire au Stade de France. Et comment elle ne s'est pas montrée farouche, ça ne devrait pas être trop dur.
- Fais gaffe, je crois qu'il faudra quand même que tu y ailles avec diplomatie. Pour l'instant, depuis notre mariage, il n'y a eu que Pierre qui y ait accès, et depuis pas longtemps.
- Ecoute, ne me prend pas pour un bœuf ! J'en ai déjà dévergondé d'autres. Mais si tu peux me donner quelques tuyaux pour m'aider, ce ne sera pas de refus.
Je lui conseillai d'aborder le sujet en lui demandant si le weekend normand s'était bien passé et ce qu'on avait fait. Que je l'aiderais à la faire parler de son exubérance sexuelle. Le soir, j'informai Marie que c'était pour le vendredi.
- On sera quatre, prépare quelque chose de bien. Il faut lui renvoyer la balle, pour tout ce qu'il a fait pour ton anniversaire. Le mieux serait peut-être qu'on fasse livrer des trucs de traiteur. Comme ça, tu passeras pas ta soirée en cuisine. Elle fit une moue. J'insistai. Elle céda, mais me dit qu'alors c'était moi qui commanderais....
Le vendredi, Albert appela vers 18h. Je laissai Marie décrocher. Elle revint me voir pour me dire que Michèle (la femme d'Albert) s'était faite une entorse en tombant dans l'escalier, qu'Albert lui avait dit :
- On peut refixer une autre date, dans quelques semaines, sauf si tu as tout préparé, je ne voudrais pas t'empêcher de me dévoiler tous tes talents de maîtresse de maison.
Je lui ai dit que je n'avais rien fait et que tu avais fait livrer un repas traiteur. Alors, il m'a répondu qu'il ne pouvait pas laisser gâcher une si bonne soirée, qu'il viendrait, même seul et qu'il arrivait, dans 1 heure. Quand, il sonna, je laissai Marie aller ouvrir. Albert avait bien fait les choses, il apportait un grand bouquet de roses rouges et un flacon de parfum. C'était Angel de Mugler. Marie le remercia pour les roses et l'air faussement gêné lui dit :
- Mais le parfum, ça ne se fait pas à une femme qu'on ne connait pas assez bien. Surtout devant son mari.
- Albert lui répondit :
- Mais je crois qu'on commence à bien se connaître. Du moins, moi. Et pour René, je suis sûr qu'il est informé de la qualité des relations que nous avons eu tous les deux, il n’y a pas très longtemps. Surprise, elle ne sut pas quoi répondre et cacha son trouble en nous proposant de passer au salon pour l'apéritif. Je laissai, Marie et Albert en tête à tête et partis chercher le champagne et les petits fours salés. Quand je revins, à mon grand étonnement, Albert n'avait rien tenté. Ils parlaient de Honfleur, des impressionnistes. Il la jouait, type sérieux et intéressé. Je sentis qu'il attendait que ce soit moi qui aborde les sujets chauds.
- Est-ce qu'elle t'a au moins remercié pour lui avoir permis de vivre un anniversaire de découvertes et de plaisirs extrêmes ?
- Chéri, s’il te plait ?
- Quoi, il a le droit de savoir que l'argent qu'il a dépensé t'a profité à plein, mais aussi à moi et à ton amant.... Puisqu'il en a fait la connaissance samedi dernier. Je dirais même que tous les deux, nous avons partagé ensemble de grandes émotions avec toi, si je peux dire.
Je laissai passer un moment, et tout en ouvrant la bouteille de champagne, je dis :
- Elle n'a pas eu le temps de visiter grand-chose à Honfleur. Parce que, entre les coups de queue que je lui ai donnés, les gentillesses qu'elle m'a faites et celles qu'elle a partagé avec Pierre, elle n’a pas beaucoup vu le jour !
- Marie ne disait mot, faisant semblant d'être préoccupée par les petits fours. Albert ne dit rien non plus... Un peu plus tard, assis, chacun d'un côté de Marie, tout en discutant, je lui soulevais sa jupe en lui caressant la cuisse de mon côté. Elle avança la main pour me repousser, mais j'insistai :
- Ne fais pas ta prude ! Albert connait tes cuisses. Je crois même que tu l'as laissé les explorer, l'autre jour.
Et j'ajoutai :
- D'ailleurs, s'il ne s'en souvient plus, lui non plus, il peut recommencer. Ça lui fera peut-être revenir
la mémoire.
Elle me regarda, d'un air à la fois entendu et résigné. Elle avait compris le traquenard dans lequel elle était tombée. Quant à lui, il n'attendait que ça. Je lui mis la tête en arrière, elle se laissa caresser. Je fis un geste de la tête à Albert pour qu'il s'aventure plus haut. Et soudain, se lâchant, il dit :
- Mais je ne pourrai pas bien me souvenir, parce que la dernière fois, elle n'avait pas de culotte.
Devant l'absence de réaction de Marie. Je lui dis :
- Tu n'as pas entendu ce qu'il a dit le monsieur ?
-
Elle s'exécuta. Je voyais bien, pourtant, qu'elle ne ferait aucun effort pour accompagner nos investigations, ou même se laisser aller. J'entrepris de lui écarter les cuisses et de la fouiller plus profondément. Après un petit moment, où je sentis la mouille qui commençait à arriver, et qu'il ne manquait plus grand-chose pour qu’elle se laisse complètement aller, je me retirai et dit à Albert qui, entre-temps s'était intéressé aux seins :
- A toi, maintenant, il ne faut pas la laisser refroidir, moi, je commence à avoir mal à la main. Je ne voudrais pas me faire un tennis elbow.
-
Albert ne se le fit pas répéter deux fois. Elle était toujours avec sa tête en arrière appuyée sur le dossier du canapé. L'air de rien. Il y mit une certaine application. Je ne doutais pas de son savoir-faire. deux ou trois minutes suffirent pour que les cuisses de la belle aient quelques tressaillements qui devinrent vite des tremblements et que quelques petits gémissements sortent de sa bouche. J'entrepris de prolonger le travail que mon partenaire de double avait commencé. Je dégrafai le corsage de Marie, dégageai les seins du soutien-gorge et tout en malaxant l’un, je suçai l'autre goulûment.
Quand je me rendis compte qu'elle avait bien perdu la retenue qu'elle avait eue quelques minutes plus tôt, je lui pris la tête et la penchai vers mon pantalon. Elle comprit tout de suite ce que j'attendais d'elle. Elle ouvrit ma fermeture éclair, sortit ma bite du slip et commença à limer le bâton.
Pendant tout ce temps, Albert ne s'était pas arrêté de la fouiller. Elle eut du mal à effectuer son action avec constance, l'action de mon voisin de jeu lui tirait par moments de telles jouissances qu'elle avait un mouvement de recul et poussait un cri. Je lui prenais aussitôt la tête entre mes deux mains pour la remettre à l'ouvrage. Quand je la sentis à point. Je fis signe à Albert de la remonter sur le canapé et de la prendre en levrette. Elle se laissa faire sans aucun problème.
Après quelques minutes pendant lesquelles il lui avait bien agité le bocal, je m'enlevai de sa bouche et du canapé. Aucune réaction ne suivit. Elle avait les yeux fermés et accompagnait les mouvements d'Albert qui, visiblement ne lui déplaisaient pas du tout. En observant ce qui se passait, je me rendis compte que ce vieil Albert était monté comme un âne. Même la queue de Pierre que je trouvais déjà généreuse, ne méritait pas la comparaison. Peut-être que l'entraînement qu'il avait, lui développait "le muscle".
Je partis chercher mon reflex numérique. Cela valait bien quelques clichés, et même un gros plan qui pourrait illustrer un cours de Physique (discipline d'enseignement d'origine de Marie) sur l'adaptation du contenu au contenant. Plus encore, je l’enverrai à Pierre pour montrer qu’elle ne se laissait pas mourir de soif, de faim et d’envie en son absence.
Albert me fit un signe, pouce levé. Et sur ses lèvres, je pus discerner qu’il me disait qu’il trouvait Marie très bonne. Tout en l’enfilant, il lui défit le haut de sa jupe et entreprit de l’enlever en la passant par en haut, sans ralentir son action. Marie l’y aida. Ensuite, il finit de lui défaire son corsage que j’avais déboutonné un peu plus tôt. Elle était maintenant uniquement avec son porte-jarretelle, ses bas et son soutien –gorge, qui ne fonctionnait plus que comme redresse-seins.
Il lui agrippa les deux jumeaux et lui et commença à lui astiquer le con avec force et des mouvements très amples. Si bien qu’à chaque coup de boutoir, ma Marie poussait un cri, mélange de surprise et de plaisir. Il ne fallut pas longtemps pour que ces cris deviennent de longues plaintes monocordes et qui donnaient plus l’impression d’une agréable souffrance que d’une véritable douleur. En plus de la qualité de son équipement, il était endurant le bougre. Il resta bien dix minutes dans son antre. Je crois qu’elle dut avoir trois ou quatre orgasmes avant qu’il ne lui lâche une giclée qui lui fit, à lui aussi, pousser un râle bestial. Il la retourna et la fit sucer, jusqu’à ce qu’il lui dise :
- Bon, maintenant, on se le boit ce champagne ?
-
Marie se releva, et se préparai à se rhabiller, mais avant que j’ai pu réagir, il lui dit :
- Non, non, ma belle, on n’en a pas fini avec toi, depuis le temps que je rêve de ton cul, quand je te vois, j’ai bien l’intention d’en profiter un maximum. D’ailleurs, j’ai l’impression que tu n’as pas détesté la conversation que je viens de te faire. C’est pas de l’impressionnisme, ni du cubisme, plutôt du naturalisme. Reste comme ça, à notre disposition.
- Il avait compris que le super plaisir qu’il venait de lui donner et l’engin dont il était doté lui donnaient un ascendant sur elle. D’ailleurs elle n’exprima aucune rebuffade. Sa seule réaction fut à mon endroit :
- Ça ne te pose pas problème qu’un autre de tes copains se fasse ta femme et lui, en plus sous tes yeux ?
- Non, ma chérie, à partir du moment où je vois que tu aimes ce qu’ils te font, pourquoi cela me gênerait que ma femme ait du plaisir. Je l’aime pour qu’elle soit heureuse. Pas pour la garder pour moi, comme un bibelot.
Elle vint vers moi et tout en ayant un petit air coupable, m’embrassa longuement et me dit :
- Je t’aime, tu peux pas savoir !
- Et moi donc…
Après avoir bu quelques coupes, en discutant justement d’art. Nous passâmes à table. J’apostrophai Marie.
- Tu vois que j’ai eu raison de ne pas te laisser faire la cuisine, et de commander au traiteur.
- Salaud ! Te fous pas de ma gueule, tu avais tout prévu ; et si ça se trouve, c’est même toi qui a dit à Albert de ne pas venir avec sa femme. Et qu’elle n’a jamais eu d’entorse.
- Ni Albert, ni moi ne reprîmes ses accusations. Chacun savait à quoi s’en tenir. Je leur spécifiai qu’ils se tiennent compagnie, que la soirée n’était pas pour moi, mais pour eux et que je m’occuperai en cuisine de réchauffer les plats, de débarrasser et de servir. Ce grand libertin d’Albert comprit vite que je lui tendais une perche. Après l’entrée, je trainai un peu et à mon retour, je vis Marie à genoux sous la table en train de tailler une lui pipe. Je lui dis :
- Vu comment il est bien fourni, tu dois en avoir plein la bouche ! Est-ce que tu vas avoir encore faim ?
- Elle se releva et me dit :
- Je peux te dire deux choses au choix. Un, que tu es un pauvre con et que l’on a besoin d’une diversité d’aliments pour être en forme ; ou deux, que, si tu veux, tu peux mettre ton haricot à la place de sa courgette, mais que ça n’est pas aussi nourrissant.
Là, elle me prenait à mon propre jeu. Mais je n’étais pas trop mécontent, elle commençait aussi à davantage libérer sa parole. En revenant, après avoir débarrassé le plat, et préparé le fromage, je découvris, qu’ils avaient émigré vers l’autre bout de la table de chasse, sur laquelle nous mangions.
Elle y était allongée sur le dos, juste à bonne hauteur. Elle avait la tête en arrière, et reprenait ses soliloques les yeux fermés. Quant à lui, il avait repris ses pénétrations, de loin, je lui fis signe pour savoir quelle entrée il avait choisi. Par des gestes, il me répondit comme s’il était surpris, qu’il avait opté pour l’entrée principale et me demanda aussitôt de la même manière en me montrant le cul de Marie s’il pouvait aussi utiliser l’entée de service. Devant mon acquiescement, il me fit signe qu’il s’y attaquerait tout à l’heure.
Je ne les dérangeais pas, pris quelques photos sans flash et m’assis sur ma chaise pour profiter du spectacle. Après un bon moment Marie en ouvrant les yeux constata ma présence. Elle me fit un grand sourire, tendit son bras pour me prendre la main. Elle ne souhaitait à aucun moment arrêter l’exercice tout de suite. Je vins alors m’asseoir plus près d’eux, à côté de Marie. Et pendant que notre mirebalai continuait son office, je me mis à lui chatouiller le clito. En m’avançant, je constatai que cet imposant mât entrait sans peine, et même laissait suffisamment d’interstices pour que le jus en sorte bien. Je passai ma main sous ses fesses, la nappe était inondée en dessous. Pas de doute, elle avait une grosse affection pour Albert. Il la fit encore pas mal chanter. Et quand il en eut assez, il sortit et sans rien dire se remis à table à sa place. Marie descendit de la table. Et se rendit aussi vers sa chaise. Je lui dis en rigolant :
- Alors mademoiselle, on sort de table sans demander la permission au Messieurs ?
- Elle en profita pour aller aux toilettes. Pendant ce temps, je dis à Albert de ne pas perdre de temps entre le fromage et le dessert. Il me demanda si le dessert était vraiment une nécessité. Je lui répondis que non, d’autant plus que Marie n’en prenait jamais. Nous nous mîmes d’accord qu’après le repas, qu’il l’emmènerait dans la chambre. Je lui expliquai qu’elle était à l’étage et que s’il en avait besoin, il y avait du lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit. Je ne les rejoindrai qu’après avoir tout rangé et débarrassé. Quand je les rejoignis, je trouvai Marie à quatre pattes au bord du lit et Albert déjà bien avancé dans la conquête de la face nord. Il me dit :
- Je n’ai pas eu besoin de lubrifiant, avec sa mouille et en lui mettant avant un peu les doigts, c’est rentré assez facilement.
- Et s’adressant à Marie :
- Hein, ma chérie que le bon Albert ne t’a pas déchirée ?
- Non, un peu mal, mais ça va…
Il l’avait appelé ma chérie sans qu’elle ne s’en offusque. Bien ! Et elle reprit, en ma direction :
- Je crois que tu ne vas pas tarder à l’avoir ta pièce d’un euro. Peut-être même qu’on va passer directement à deux euros !
- C’est quoi cette histoire.
- J’expliquai le défi que j’avais lancé à Marie et Pierre. Cela ne donna que plus de vigueurs à Albert., qui me dit :
- Oui, mais pour ça, il faut aller souvent y voir, et y rester longtemps. N’est-ce pas ma belle ?
- En absence de réponse, il réitéra sa demande autrement :
- Tu veux qu’on se voie régulièrement pour t’aider à relever ton défi ?
- Elle se tourna vers moi, interrogative. Je lui fis signe que ça ne me posait pas de problème et que c’était elle qui décidait. Elle lui répondit, alors, qu’elle avait déjà beaucoup à faire avec Pierre et moi, mais qu’elle ne disait pas non, et qu’il faudrait trouver le temps. Et j’ajoutai :`
- Sauf si de temps en temps vous partager le même créneau Pierre et toi.
- Qu’est-ce que c’est que ça ?
Marie protestait. Je croyais qu’elle n’acceptait pas du tout de les voir tous les deux ensembles. Mais non, elle précisa :
- Qu’est-ce que c’est que cette expression à mon propos, « partager un créneau ». Je suis pas une pute. Je veux bien les voir ensemble, mais : un quand je l’aurai décidé et deux pas encore maintenant, je les verrai séparément.
- Je décidai de les laisser terminer leur nuit dans notre chambre. J’allai me coucher dans la chambre d’ami. De temps en temps, j’entrouvrais la porte. J’entendais les miaulements de Marie et me disais qu’elle passait encore une bonne nuit et que demain ou plutôt tout à l’heure (ils arrêtèrent à 2h30), heureusement que c’était le weekend. Je me levai à 6 heures 30, préparai le petit-déjeuner et montai pour les prévenir. Dès le haut de l'escalier, je perçus que Marie avait décidé de se passer du radio réveil. Ses mélopées, suffisaient à sonoriser le lever du soleil. J'entrouvrais la porte de la chambre doucement et je les vis. Ils avaient repoussé les draps en bas du lit et étaient encastrés l'un dans l'autre en chien de fusil. Si je n'avais pas vu Albert s'agiter derrière Marie et entendu ses accompagnements tonitruants à chaque coup de reins qu'il lui délivrait, j'aurais pu penser qu’ils se tenaient chaud. Contrairement à lui, elle ne s'était pas aperçue que j'étais entré dans la pièce. Elle lui disait :
-Oui, Vas-y, tu me baises bien. C'est bon !
Et aussi des paroles inarticulées qui étaient plus des souffles de plaisir qu'un discours à vocation d'échange. Je me penchai doucement à l'oreille d'Albert pour lui demander dans quelle salle de jeu il exerçait ses compétences et lui dit de la forcer à dire qu'elle était une salope .... Qu'elle aimait jouir.
Il me fit signe qu'il était dans le minou. Je lui redis discrètement :
- Reprends la derrière après, le petit déj. peut attendre.
Après quelques secondes, il entreprit de la faire parler. Je m'étais reculé pour me placer au fond de la pièce à la limite de notre salle de bain privative. Dans un recoin d'où j'étais difficilement visible. Je ne voulais pas que la vue de ma présence modifie le discours que Marie pourrait tenir.
- Tu aimes ça ? Peu importe le trou ?
-Oui, j'aime !
- Et ma bite, tu l'aimes ? Elle te convient ?
-Oui !
-Et celle de Pierre, tu l'aimes aussi ?
-Oui, mais je préfère la tienne elle me remplit mieux.
-Et celle de René ?
-Je l'aime aussi, c'est mon mari. Même s'il n'est pas aussi performant que vous deux.
-Alors si je comprends bien, tu aimes toutes les bites, surtout celles qui te fourrent profond et large ?
....
-Pourquoi, tu réponds pas ? Attention, je vais me retirer et je vais partir.
-Non, reste encore, il est pas tard !
-Alors tu réponds à mes questions.
-Oui, j'aime la bite, les mâles qui sont bien membrés. Et qui savent bien me baiser. Ça te va comme ça.
-Tu sais comment on appelle les filles qui disent et font ce que tu dis et fais ?
-Des salopes.
-Alors ?
-Oui, je suis une salope.
Ensuite, il la prit, la retourna. L'agenouilla sur le lit s'installa derrière et comme je l'avais déjà vu faire à Pierre, il lui enfonça son dard d'un coup sec dans l'œil de bronze. Elle laissa échapper un petit cri.
Mais cela ne lui faisait visiblement pas mal. Albert avait du bien attendrir le passage cette nuit. Après qu'il l'eut besogné pendant quelques minutes, je vins derrière eux et fis signe à Albert de se retirer.
Je la maintins à genoux et, en lui écartant les fesses, je vis son trou rose, bien arrondi qui un instant gardait la forme et le diamètre de la queue de son amant du jour. On voyait même assez loin dans la caverne.
-Je crois qu'on va dépasser allègrement les deux euros, et qu'on est plus très loin des cinq euros …
Plus tu te fais mettre, plus ton cul vaut cher !
-Tu étais là ? Depuis combien de temps ?
-Avant votre réveil. Je vous ai vu vous mettre au travail. J'ai surtout entendu ta profession de foi.
C'est bien. Je suis fier de toi. Maintenant le petit-déjeuner est prêt. J'ai mis les croissants au four. Il n'y aura plus qu'à les faire remonter en température. Comme Albert a fait avec toi.
Le petit-déjeuner fut joyeux et très sympathique. Albert nous dit qu'il avait beaucoup apprécié notre accueil. Que Marie était une hôtesse hors pair. Et qu'il reviendrait sans problème dès qu'on l'inviterait. Que, si pour avoir droit aux prestations qui lui avaient été fournies, il devait encore nous offrir une nuit dans un hôtel qu'il avait comme client, ce serait sans problème. Il nous quitta, il était déjà 9 heures.
À suivre…
Quand Marie rentra, il était 2h30. Je ne dormais pas. Elle passa très vite à la salle de bains. Puis, elle se coucha, en se glissant dans mes bras et s'endormit dans les minutes qui suivirent... Au matin, je devais partir de bonne heure, je la laissai dormir. Le soir, en rentrant, je ne dis rien... J'attendais qu'elle me donne son compte-rendu. D'autant plus que, dans la journée, Pierre m'avait envoyé un SMS me disant qu'il avait réussi à l'emmener en club et qu'elle n'avait pas détesté. Elle le lui avait d'ailleurs dit. Je ne parlai pas non plus du fait que j'étais sensé avoir découvert son entretien d'embauche dans le bureau de Pierre. C'est elle qui aborda le sujet.
- Merci, mon amour pour ce super weekend. Tout y était. Le lieu, l'accueil, l'hébergement, les cadeaux et mes deux hommes. Mais je n'ai pas réussi à t'écrire le récit que tu veux. J'ai du mal.
- Soit nature, normale. Mais dis-moi tout, et je ne veux pas que tu ne fasses que raconter, je veux aussi que tu me dises comment tu as vécu les différents épisodes. Mais, prends ton temps.
- Je te promets, je te le ferai demain.
- Il faudra aussi qu'on parle de 2 choses. D'abord que tu m'expliques cette visite au bureau de Pierre. Que tu me dises quand ça a eu lieu et de quoi il s'agissait... Et ensuite, il faudra qu'on trouve un moyen de remercier Albert. On peut par exemple l'inviter à dîner, un de ces jours.
- Pour Pierre, c'était lundi dernier. Tu sais le matin. Je n'avais pas du tout de départ de classe en voyage. Il avait souhaité que je vienne de bonne heure à son bureau avant que tout le monde arrive.
- Je n'ai jamais eu droit à ça, moi ! Donc, tu conviendras que ça mérite deux punitions. Une pour ce privilège que tu lui as accordé à mon détriment. L'autre pour le gros mensonge.
Effectivement, elle me remit le récit de son dimanche, le lendemain. Je n'en fis aucun commentaire.
Et n'abordait aucun sujet tenant à ses frasques sexuelles jusqu'en fin de semaine. Le jeudi, comme elle n'en parlait pas non plus je lui demandai :
- Pas de nouvelles de Pierre ? Pas d'autre entretien d'embauche en vue ?
- Non, il est débordé en ce moment. Il part pour une mission à Marseille la semaine prochaine et doit préparer une étude pour ses clients. Il ne sait pas encore quand on pourra se voir.
Je ne reparlai plus des punitions que j'avais prévues. Et laissai les choses se faire. Je savais, qu'après ce weekend agité, il fallait faire baisser la pression, si je voulais l'emmener plus loin dans la "libération" de ses envies sexuelles. C'est elle qui, le vendredi dans la matinée, m'appela à mon bureau pour me dire que Pierre ne pourrait pas la voir avant son départ et qu'il lui proposait de venir la voir à midi à la Défense, qu'ils iraient pique-niquer sur l'île du Pont. Qu'il s'occupait de tout qu’elle n'avait à amener que sa belle personne.
Immédiatement, j'envoyai un message à Pierre pour lui dire que je pensais qu'il fallait que le pique-nique soit très soft, pour créer chez elle un petit état de frustration. Il me répondit que j'avais raison et que ça ne serait qu'en " copains". Quand je vis Marie, le soir, elle me fit part de sa déception. Et tout en souriant, elle me dit :
- Tu te rends compte, il part deux semaines de suite. Il ne sera peut-être pas libre le weekend prochain et, à part deux ou trois bisouillages, rien !
- Tu m'as dit qu'il était amateur de Rugby ?
- Oui, mais qu'est-ce que ça a à voir ?
- Ben ! Samedi soir en huit, c'est la finale du Top14. Toulouse-Toulon. Et tu te rappelles de Sylvain ?
- Sylvain ?
- Oui, le gars qui nous a eu des places en loge pour France-Irlande en février dernier.... Et bien, il m'a proposé des places pour la finale, j'avais dit oui, et il en avait mis quatre de côté, pour nous, Albert auquel j'en avais promis et sa femme. Je peux lui en demander une de plus et la proposer à Pierre. S'il est amateur, il ne pourra pas résister. Et je peux m'arranger pour lui suggérer de t'emmener après à l'hôtel avec lui.... Écoute, j'appelle tout de suite Sylvain...
Je l'eus tout de suite. Il me dit qu'il ne devrait pas y avoir de problème. J'appelai Pierre devant Marie.
- Allo, Pierre. Est-ce que ça t'intéresse des places pour Toulouse-Toulon. La finale, en loge ?
- Bien sûr. Mais, vous y serez aussi ?
- Oui. Et Marie m'a mis une condition pour t'inviter : que tu lui fasses un petit bout de "causette" après, en tête à tête. Tu vois ce que je veux dire ?
- D'accord, mais je mets la mienne: qu'elle vienne en jupe et sans culotte.
Je me tournai vers elle. Elle avait un air désabusé et me dit :
- Vous êtes tous des malades, mais dis-lui que c'est d'accord.
- Tu as entendu? Ça marche! Je t'enverrai tous les renseignements pour qu'on se retrouve.
Les huit jours qui nous séparaient du 3 juin se passèrent tranquillement. Pierre envoyait des photos et des messages langoureux ou carrément hards à Marie qui répondait de façon plus soft. Par exemple des montages faits avec Photoshop ou l'on voyait Marie pomper un grand black ou se faire sodomiser par un jeune hardeur.... Je fus très étonné par un épisode. Sur mon conseil, il lui envoya le lien de deux chansons sur YouTube : "Déshabillez-moi" de Juliette Greco et "Je suis libertine" de Mylène Farmer, en lui demandant de choisir celle qu'elle pensait correspondre le mieux à elle. Alors que je pensais qu'elle choisirait la moins crue, à ma grande surprise, voilà ce qu'elle répondit :
- J'aime beaucoup Juliette Greco, mais la chanson de Mylène Farmer me convient mieux, d'abord parce que je n'aime pas qu'on s'attarde trop avant de passer aux choses sérieuses, et ensuite parce que je crois que, fondamentalement, je suis une libertine. Que je ne voulais pas me l'avouer jusque-là, mais maintenant, tu me l'as fait comprendre.
Elle m'en parla et me dit :
- Parfois, j'ai l'impression que Pierre me prend pour une oie blanche. En retour, je lui ai envoyé "les nuits d'une demoiselle" de Colette Renard.
(pour les lecteurs qui ne connaîtraient pas je vous invite à vous connecter sur la chanson sur YouTube, un chef d'œuvre, surtout pour l'époque)
Le samedi nous retrouvâmes Albert, son épouse et Pierre à l'entrée des loges. Arrivés dans la loge, nous avons discuté autour d'une coupe de champagne, puis nous nous sommes installés pour le repas qui précédait le match. Les sièges autour de la table étaient constitués d'une grande banquette de huit places, adossée à un muret et de chaises qui faisaient face. Si bien que les convives assis sur la banquette devaient déranger tous les autres s'ils voulaient bouger pendant le repas.
Je décidai d'installer Marie sur la banquette, en "sandwich" entre Albert et Pierre et m'installai en face, à côté de la femme d'Albert sur une chaise. Celui-ci ne savait pas que Marie était sans culotte.
Très rapidement Pierre voulut vérifier que sa consigne avait bien été respectée. Pour quelqu'un qui n'était pas au courant, rien ne laissait penser à ce qui se passait sous la table. Je devinai à leur visage à tous les deux, de manière différente, qu'il remontait le long de ses cuisses, jusqu'à ce que, pudiquement, j'appellerais son intimité.
Dans un premier temps, Albert ne remarqua pas ce qui était en train de se passer à côté de lui. Puis, à un moment, je le vis jeter un œil en diagonale vers les cuisses de Marie, et après, me regarder avec un air interrogatif et surpris. Je lui souriais de manière entendue. Dans la seconde qui suivit, je vis sa main gauche, passer aussi sous la table et immédiatement, Marie avoir un petit sursaut. Elle était coincée dans tous les sens du terme. Visiblement, deux mains et quelques doigts se relayaient pour lui caresser l'entrejambes, voire plus... Et tout l'empêchait de dire quoi que ce soit : le lieu, les autres personnes de la loge, la présence de la femme d'Albert et le fait qu'il lui était, à cet instant difficile de refuser à Albert les privautés qu'elle autorisait à Pierre qui n'était pas non plus son mari. Elle se laissa, comme on dit dans le beau monde, "faire un doigt de cour"(même si, en l'occurrence, je pense qu'il y avait plusieurs doigts).
Plus le repas avançait et plus je la trouvais congestionnée. Surtout qu'elle était contrainte de ne pas manifester verbalement de quelque manière que ce soit. Je lui dis :
- Chérie, il fait très chaud, tu as l'air de manquer d'air. Ça ira mieux tout à l'heure pour le match, on sera à l'extérieur.
La femme d'Albert ne s'apercevait de rien, prise dans une discussion avec sa voisine de droite sur la beauté réciproque des joueurs de rugby, avec une grande préférence pour Wilkinson. À un moment, Pierre sortit sa main de dessous la table et me montra discrètement que son index et son majeur étaient inondés de mouille. Albert, toujours aussi attentif l'ayant remarqué dit à Marie.
- Et toi, Wilkinson, tu lui mettrais ta bague au doigt ?
Elle ne se démonta pas et lui répondit :
- Je ne ferai pas que m'intéresser à son doigt
A la fin du repas en nous rendant à la loge pour suivre le match, Albert me prit à part :
- Mais sous ses airs très stricts, elle est plutôt pas farouche, ta Marie ! Depuis quand il y a quelque chose avec ton copain ? Tu es un sacré cachottier. Tu ne m'avais rien dit. En tout cas, je retiens encore plus ta promesse.
-
Après le match, je vis la tête encore plus surprise d'Albert quand il vit Marie partir avec Pierre. En me quittant, Pierre me dit, discrètement :
- Je te la ramène dans la nuit, pas trop tard. Demain matin, je pars de très bonne heure pour Marseille.
....
Effectivement, j'entendis la voiture arriver en bas de la maison vers 1h30. En regardant par la fenêtre de l'étage, je vis que Pierre avait garé sa voiture sous le lampadaire le plus proche. Il pensait à tout. Le siège avant du côté passager était abaissé. Marie était à moitié allongée. Elle n'avait plus rien en dessous de la taille, et seulement son soutien-gorge en haut. Pierre, lui taquinait l'abricot avec un ou deux doigts et je crus voir que le pouce s'occupait en même temps de la tirelire.
Il la releva, se rassit sur son siège, lui prit l'arrière de la tête et la conduisit jusqu'à son sexe. Le pantalon était baissé. Elle lui fit reluire le manche avec un entrain qui frisait la grève du zèle. Pierre, lui agitait la tête pour accompagner son action. Vus leurs positions respectives, l'ampleur des mouvements, et ce que je savais de la longueur de son sexe, je me disais que Marie, elle aussi, aurait bien mérité le surnom de "gorge profonde".
Elle s'y prenait si bien que sans le voir, je fus sûr que Pierre, lui avait lâché la sauce. En effet, à un moment, elle changea complètement d'attitude, elle ne s'agitait plus, mais visiblement lui aspirait sa semence. J'en eus une confirmation en la voyant ensuite lui lécher la queue, puis prendre un mouchoir dans la boîte à gants et s'essuyer la poitrine. Elle n’était pas "la goulue", elle n'avait pas réussi à tout avaler. Ça avait débordé.
...
Quand elle rentra dans la chambre, je lisais.
- Je ne vous ai pas entendu arriver.
- Menteur, toi aussi ! Je t'ai aperçu qui matais derrière le rideau de la fenêtre de la chambre !
Elle m'embrassa tendrement.
- Va te nettoyer un peu tu sens l'homme et le sperme. Et après tu me racontes ta soirée.
Au-delà de ce qu'ils avaient fait depuis le Stade de France, je voulais savoir si elle évoquerait les attouchements d'Albert et, si oui, comment elle l'avait vécu. Là encore elle m'étonna.
- Tes deux complices m'avaient tellement excité au stade que dès que nous avons été dans la voiture, au parking, j'ai ouvert la braguette de Pierre, je lui ai dit de rouler et je lui ai taillé une de ces pipes, qu'il avait du mal à garder les pieds sur les pédales.
Donc, ayant visiblement constaté que je savais qu'Albert avait participé aux réjouissances, elle considérait que rien n'était choquant. Cela me conforta dans l'idée d'organiser une rencontre avec lui, quand Pierre serait à Marseille. Voire plus tard, faire un plan avec eux deux. Après avoir roulé un bon moment, me dit-elle, il l'avait reconduite en direction de chez nous. Avant d'arriver, il avait fait un détour en direction de Trappes et était rentré par un chemin bien dissimulé dans la grande gare de triage de Trappes. Là, il avait masqué sa voiture entre deux trains désaffectés. Il l'avait fait descendre puis entraînée dans l'un d'eux. Il avait dû être squatté à un moment par des jeunes, voire des dealers. Elle me dit qu'il y avait des matelas entre les banquettes des vieux compartiments, mais que l'endroit était encore très propre. Elle fut étonnée qu'il connaisse ce lieu. Il lui répondit que son beau-frère était chef du service de vente des trains hors d'usage. Qu'aujourd'hui, le lieu était resté en l'état et n'était plus fréquenté de temps en temps que par des jeunes du coin qui y amenaient leurs petites copines...
Elle me précisa qu'ensuite, il l'avait emmenée par la main dans un compartiment, avait enlevé son pantalon, s'était assis sur un siège, l'avait fait déshabiller lentement et complètement devant lui...
Puis, il l'avait faite asseoir sur lui face à lui, en introduisant elle-même son membre dans son con.
Elle était donc quasiment à genoux sur la banquette. Il lui avait dit qu'il ne ferait aucun effort ce soir, puisqu'il ne devait pas la voir normalement, et qu'il n'était avec elle que parce qu’il avait été victime d’un chantage honteux.
Elle avait donc travaillé seule. Je l'imaginais bien, s'appliquer à se soulever légèrement sur ses genoux jusqu'à ce que le mandrin soit presque en dehors de sa moule puis redescendre en variant les cadences et en s'escrimant à lui masser le vit en resserrant ou desserrant ses muscles périnéaux pour exciter le Pierrot. Je savais que le défi que lui lançait son partenaire devait lui plaire à relever.
- Il me connaît encore mal, ce petit. Me dit-elle. S'il croyait m'ébranler... Qui c'est qui l'a bien branlé ?
Elle m'expliqua que ses efforts d’aboutir d'abord à ce que Pierre lui empoigne les fesses pour accompagner ses efforts. Puis il se mit à agiter ses reins en mesure avec elle... Ensuite, n'y tenant plus, il reprit l'initiative. Il la fit relever, Il lui demanda de monter sur le siège et d'écarter les cuisses face à lui qui était assis sur l'autre banquette. Il lui dit de mettre les bras en l'air, prit sa ceinture et lui attacha les poignets avec au porte-bagage, au-dessus d'elle... Puis, il lui dit de ne plus bouger.
Elle continuait à me raconter, comme si elle racontait une péripétie de son lycée. Je lui demandai :
- Et tu as obéi, toi ? Te faire abaisser comme ça !
- Elle me répondit, un peu gênée malgré tout, que ça ne lui posait pas problème. Qu'elle savait que c'était un jeu. Après, un long moment à la regarder, à la photographier avec son portable, dans cette attitude. Y compris avec des gros plans sur son sexe qui devait être bien humide. Il la doigta doucement, de plus en plus profondément avec deux puis trois doigts, en lui titillant le point G et les parois de la caverne. Puis progressivement, il commença à introduire les cinq doigts. Elle me dit qu’elle se tortillait accroupie sur le siège, mais son lien l'empêchait de se baisser plus, et l'obligeait à laisser sa grotte grande ouverte. Après quelques minutes de ce régime, elle eut, selon ses dires, un énorme orgasme et, immédiatement après, se mit à couler en fontaine. Pierre ne s'arrêtait pas. Il voulait la faire hurler encore plus fort. D'autant plus que, là où ils étaient, personne ne l'entendrait, lui disait-il.
Il lui dit aussi qu'il voulait qu'elle sorte tout ce qu'elle avait en elle, pour qu'il ne reste rien pour d'autres qui voudraient éventuellement goûter à son nectar.
- Tu vois chéri pourquoi, il peut me faire tout ce qu'il veut. Il me fait jouir et connaître des sensations que je n'ai jamais connues auparavant, même avec toi, mon loup.
- Je lui répondis que ça ne me posait aucun problème, que je savais que je n'étais pas un super coup. Du moins pas à la hauteur de ce qu'elle méritait et que son corps attendait. Que c'était aussi pour ça que je l'avais poussé à prendre un amant. Et qu'avec Pierre, si elle n'était pas déçue, moi non plus.
Quand il arrêta, elle était vidée, dans tous les sens du terme. Et, quand il la détacha, elle s'écroula sur la banquette, en loque, selon sa propre expression. Et lui dit :
- Je suppose que pour le moment, tu as ton compte. Tu voulais que je te fasse reluire avant mon départ pour Marseille, tu dois être comblée.
Elle acquiesça. Il l'empêcha de se rhabiller. Il consentit pourtant à ce qu'elle remette son soutien-gorge, et la fit monter en voiture dans cette tenue (si on peut dire). En lui disant qu'il allait ramener la salope à son propriétaire, en tenue de travail. Contrairement au cinéma qu'elle m'avait fait trois semaines plutôt pour le weekend en Bourgogne, elle ne lui opposa aucune résistance. Quand je l'interrogeai sur la raison de cette différence, elle me répondit que son numéro lui avait enlevé toute énergie, même celle de le contredire et qu'à cet instant, il aurait pu lui faire faire tout ce qu'il voulait.
Même si en roulant, elle s'était rendue compte de l'incongruité de sa nudité dans ce lieu, par rapport à son statut social et à son âge. Il restait néanmoins, qu'elle n'avait pas rechigné en arrivant à remettre, un petit coup l'ouvrage sur le métier. Tout en sachant que je les observais, comme elle me l’avait dit. Je profitai de ce moment de grande confidence pour lui dire :
- Au fait, pendant que tu étais en pleine extase, j'en ai profité pour inviter Albert et sa femme à la maison, la semaine prochaine, pour le remercier de son geste, pour ton anniversaire. Il m'a dit qu'il rentrait chez lui, et qu'il me rappellerait demain pour me dire quand est-ce qu'ils pouvaient venir. Là encore, surprise ! Je m'attendais à une protestation ou récrimination, vue ce qu'elle m'avait donné un avis très peu flatteur sur Albert. Pourtant, rien.
- Tu me diras, le jour que je me débrouille pour voir ce que je vais leur faire à dîner.
Soit elle avait remisé ses préjugés dans la boutique des vieux souvenirs, soit le travail d'Albert sous la table au Stade de France l’empêchait d’exprimer une quelconque réserve maintenant, soit il lui avait donné envie d'en découvrir plus sur l'individu. Le pire, c'était que je lui avais dit ça sans avoir encore pris contact avec Albert.....
Le lundi matin, lors d'une petite pose au bureau, j'appelai l'ami Albert. Il me proposa le jeudi suivant.
Je lui suggérai de venir plutôt le vendredi et seul. Le lendemain Marie ne travaillait pas. Je lui dis que je ferais croire à Marie que sa femme n'avait pas pu venir au dernier moment, qu'elle était malade. Il me répondit que ça ne posait aucun problème, que sa femme avait l'habitude qu'il découche. Puis il me demanda :
- Alors si je comprends bien, je vais enfin connaître les attraits cachés de cette belle Marie.
- Là, mon gars, c'est ton problème. Moi, je t'invite, après, à toi de faire le reste pour te la mettre dans la poche.
- Vu, ce qu'elle m'a laissé faire au Stade de France. Et comment elle ne s'est pas montrée farouche, ça ne devrait pas être trop dur.
- Fais gaffe, je crois qu'il faudra quand même que tu y ailles avec diplomatie. Pour l'instant, depuis notre mariage, il n'y a eu que Pierre qui y ait accès, et depuis pas longtemps.
- Ecoute, ne me prend pas pour un bœuf ! J'en ai déjà dévergondé d'autres. Mais si tu peux me donner quelques tuyaux pour m'aider, ce ne sera pas de refus.
Je lui conseillai d'aborder le sujet en lui demandant si le weekend normand s'était bien passé et ce qu'on avait fait. Que je l'aiderais à la faire parler de son exubérance sexuelle. Le soir, j'informai Marie que c'était pour le vendredi.
- On sera quatre, prépare quelque chose de bien. Il faut lui renvoyer la balle, pour tout ce qu'il a fait pour ton anniversaire. Le mieux serait peut-être qu'on fasse livrer des trucs de traiteur. Comme ça, tu passeras pas ta soirée en cuisine. Elle fit une moue. J'insistai. Elle céda, mais me dit qu'alors c'était moi qui commanderais....
Le vendredi, Albert appela vers 18h. Je laissai Marie décrocher. Elle revint me voir pour me dire que Michèle (la femme d'Albert) s'était faite une entorse en tombant dans l'escalier, qu'Albert lui avait dit :
- On peut refixer une autre date, dans quelques semaines, sauf si tu as tout préparé, je ne voudrais pas t'empêcher de me dévoiler tous tes talents de maîtresse de maison.
Je lui ai dit que je n'avais rien fait et que tu avais fait livrer un repas traiteur. Alors, il m'a répondu qu'il ne pouvait pas laisser gâcher une si bonne soirée, qu'il viendrait, même seul et qu'il arrivait, dans 1 heure. Quand, il sonna, je laissai Marie aller ouvrir. Albert avait bien fait les choses, il apportait un grand bouquet de roses rouges et un flacon de parfum. C'était Angel de Mugler. Marie le remercia pour les roses et l'air faussement gêné lui dit :
- Mais le parfum, ça ne se fait pas à une femme qu'on ne connait pas assez bien. Surtout devant son mari.
- Albert lui répondit :
- Mais je crois qu'on commence à bien se connaître. Du moins, moi. Et pour René, je suis sûr qu'il est informé de la qualité des relations que nous avons eu tous les deux, il n’y a pas très longtemps. Surprise, elle ne sut pas quoi répondre et cacha son trouble en nous proposant de passer au salon pour l'apéritif. Je laissai, Marie et Albert en tête à tête et partis chercher le champagne et les petits fours salés. Quand je revins, à mon grand étonnement, Albert n'avait rien tenté. Ils parlaient de Honfleur, des impressionnistes. Il la jouait, type sérieux et intéressé. Je sentis qu'il attendait que ce soit moi qui aborde les sujets chauds.
- Est-ce qu'elle t'a au moins remercié pour lui avoir permis de vivre un anniversaire de découvertes et de plaisirs extrêmes ?
- Chéri, s’il te plait ?
- Quoi, il a le droit de savoir que l'argent qu'il a dépensé t'a profité à plein, mais aussi à moi et à ton amant.... Puisqu'il en a fait la connaissance samedi dernier. Je dirais même que tous les deux, nous avons partagé ensemble de grandes émotions avec toi, si je peux dire.
Je laissai passer un moment, et tout en ouvrant la bouteille de champagne, je dis :
- Elle n'a pas eu le temps de visiter grand-chose à Honfleur. Parce que, entre les coups de queue que je lui ai donnés, les gentillesses qu'elle m'a faites et celles qu'elle a partagé avec Pierre, elle n’a pas beaucoup vu le jour !
- Marie ne disait mot, faisant semblant d'être préoccupée par les petits fours. Albert ne dit rien non plus... Un peu plus tard, assis, chacun d'un côté de Marie, tout en discutant, je lui soulevais sa jupe en lui caressant la cuisse de mon côté. Elle avança la main pour me repousser, mais j'insistai :
- Ne fais pas ta prude ! Albert connait tes cuisses. Je crois même que tu l'as laissé les explorer, l'autre jour.
Et j'ajoutai :
- D'ailleurs, s'il ne s'en souvient plus, lui non plus, il peut recommencer. Ça lui fera peut-être revenir
la mémoire.
Elle me regarda, d'un air à la fois entendu et résigné. Elle avait compris le traquenard dans lequel elle était tombée. Quant à lui, il n'attendait que ça. Je lui mis la tête en arrière, elle se laissa caresser. Je fis un geste de la tête à Albert pour qu'il s'aventure plus haut. Et soudain, se lâchant, il dit :
- Mais je ne pourrai pas bien me souvenir, parce que la dernière fois, elle n'avait pas de culotte.
Devant l'absence de réaction de Marie. Je lui dis :
- Tu n'as pas entendu ce qu'il a dit le monsieur ?
-
Elle s'exécuta. Je voyais bien, pourtant, qu'elle ne ferait aucun effort pour accompagner nos investigations, ou même se laisser aller. J'entrepris de lui écarter les cuisses et de la fouiller plus profondément. Après un petit moment, où je sentis la mouille qui commençait à arriver, et qu'il ne manquait plus grand-chose pour qu’elle se laisse complètement aller, je me retirai et dit à Albert qui, entre-temps s'était intéressé aux seins :
- A toi, maintenant, il ne faut pas la laisser refroidir, moi, je commence à avoir mal à la main. Je ne voudrais pas me faire un tennis elbow.
-
Albert ne se le fit pas répéter deux fois. Elle était toujours avec sa tête en arrière appuyée sur le dossier du canapé. L'air de rien. Il y mit une certaine application. Je ne doutais pas de son savoir-faire. deux ou trois minutes suffirent pour que les cuisses de la belle aient quelques tressaillements qui devinrent vite des tremblements et que quelques petits gémissements sortent de sa bouche. J'entrepris de prolonger le travail que mon partenaire de double avait commencé. Je dégrafai le corsage de Marie, dégageai les seins du soutien-gorge et tout en malaxant l’un, je suçai l'autre goulûment.
Quand je me rendis compte qu'elle avait bien perdu la retenue qu'elle avait eue quelques minutes plus tôt, je lui pris la tête et la penchai vers mon pantalon. Elle comprit tout de suite ce que j'attendais d'elle. Elle ouvrit ma fermeture éclair, sortit ma bite du slip et commença à limer le bâton.
Pendant tout ce temps, Albert ne s'était pas arrêté de la fouiller. Elle eut du mal à effectuer son action avec constance, l'action de mon voisin de jeu lui tirait par moments de telles jouissances qu'elle avait un mouvement de recul et poussait un cri. Je lui prenais aussitôt la tête entre mes deux mains pour la remettre à l'ouvrage. Quand je la sentis à point. Je fis signe à Albert de la remonter sur le canapé et de la prendre en levrette. Elle se laissa faire sans aucun problème.
Après quelques minutes pendant lesquelles il lui avait bien agité le bocal, je m'enlevai de sa bouche et du canapé. Aucune réaction ne suivit. Elle avait les yeux fermés et accompagnait les mouvements d'Albert qui, visiblement ne lui déplaisaient pas du tout. En observant ce qui se passait, je me rendis compte que ce vieil Albert était monté comme un âne. Même la queue de Pierre que je trouvais déjà généreuse, ne méritait pas la comparaison. Peut-être que l'entraînement qu'il avait, lui développait "le muscle".
Je partis chercher mon reflex numérique. Cela valait bien quelques clichés, et même un gros plan qui pourrait illustrer un cours de Physique (discipline d'enseignement d'origine de Marie) sur l'adaptation du contenu au contenant. Plus encore, je l’enverrai à Pierre pour montrer qu’elle ne se laissait pas mourir de soif, de faim et d’envie en son absence.
Albert me fit un signe, pouce levé. Et sur ses lèvres, je pus discerner qu’il me disait qu’il trouvait Marie très bonne. Tout en l’enfilant, il lui défit le haut de sa jupe et entreprit de l’enlever en la passant par en haut, sans ralentir son action. Marie l’y aida. Ensuite, il finit de lui défaire son corsage que j’avais déboutonné un peu plus tôt. Elle était maintenant uniquement avec son porte-jarretelle, ses bas et son soutien –gorge, qui ne fonctionnait plus que comme redresse-seins.
Il lui agrippa les deux jumeaux et lui et commença à lui astiquer le con avec force et des mouvements très amples. Si bien qu’à chaque coup de boutoir, ma Marie poussait un cri, mélange de surprise et de plaisir. Il ne fallut pas longtemps pour que ces cris deviennent de longues plaintes monocordes et qui donnaient plus l’impression d’une agréable souffrance que d’une véritable douleur. En plus de la qualité de son équipement, il était endurant le bougre. Il resta bien dix minutes dans son antre. Je crois qu’elle dut avoir trois ou quatre orgasmes avant qu’il ne lui lâche une giclée qui lui fit, à lui aussi, pousser un râle bestial. Il la retourna et la fit sucer, jusqu’à ce qu’il lui dise :
- Bon, maintenant, on se le boit ce champagne ?
-
Marie se releva, et se préparai à se rhabiller, mais avant que j’ai pu réagir, il lui dit :
- Non, non, ma belle, on n’en a pas fini avec toi, depuis le temps que je rêve de ton cul, quand je te vois, j’ai bien l’intention d’en profiter un maximum. D’ailleurs, j’ai l’impression que tu n’as pas détesté la conversation que je viens de te faire. C’est pas de l’impressionnisme, ni du cubisme, plutôt du naturalisme. Reste comme ça, à notre disposition.
- Il avait compris que le super plaisir qu’il venait de lui donner et l’engin dont il était doté lui donnaient un ascendant sur elle. D’ailleurs elle n’exprima aucune rebuffade. Sa seule réaction fut à mon endroit :
- Ça ne te pose pas problème qu’un autre de tes copains se fasse ta femme et lui, en plus sous tes yeux ?
- Non, ma chérie, à partir du moment où je vois que tu aimes ce qu’ils te font, pourquoi cela me gênerait que ma femme ait du plaisir. Je l’aime pour qu’elle soit heureuse. Pas pour la garder pour moi, comme un bibelot.
Elle vint vers moi et tout en ayant un petit air coupable, m’embrassa longuement et me dit :
- Je t’aime, tu peux pas savoir !
- Et moi donc…
Après avoir bu quelques coupes, en discutant justement d’art. Nous passâmes à table. J’apostrophai Marie.
- Tu vois que j’ai eu raison de ne pas te laisser faire la cuisine, et de commander au traiteur.
- Salaud ! Te fous pas de ma gueule, tu avais tout prévu ; et si ça se trouve, c’est même toi qui a dit à Albert de ne pas venir avec sa femme. Et qu’elle n’a jamais eu d’entorse.
- Ni Albert, ni moi ne reprîmes ses accusations. Chacun savait à quoi s’en tenir. Je leur spécifiai qu’ils se tiennent compagnie, que la soirée n’était pas pour moi, mais pour eux et que je m’occuperai en cuisine de réchauffer les plats, de débarrasser et de servir. Ce grand libertin d’Albert comprit vite que je lui tendais une perche. Après l’entrée, je trainai un peu et à mon retour, je vis Marie à genoux sous la table en train de tailler une lui pipe. Je lui dis :
- Vu comment il est bien fourni, tu dois en avoir plein la bouche ! Est-ce que tu vas avoir encore faim ?
- Elle se releva et me dit :
- Je peux te dire deux choses au choix. Un, que tu es un pauvre con et que l’on a besoin d’une diversité d’aliments pour être en forme ; ou deux, que, si tu veux, tu peux mettre ton haricot à la place de sa courgette, mais que ça n’est pas aussi nourrissant.
Là, elle me prenait à mon propre jeu. Mais je n’étais pas trop mécontent, elle commençait aussi à davantage libérer sa parole. En revenant, après avoir débarrassé le plat, et préparé le fromage, je découvris, qu’ils avaient émigré vers l’autre bout de la table de chasse, sur laquelle nous mangions.
Elle y était allongée sur le dos, juste à bonne hauteur. Elle avait la tête en arrière, et reprenait ses soliloques les yeux fermés. Quant à lui, il avait repris ses pénétrations, de loin, je lui fis signe pour savoir quelle entrée il avait choisi. Par des gestes, il me répondit comme s’il était surpris, qu’il avait opté pour l’entrée principale et me demanda aussitôt de la même manière en me montrant le cul de Marie s’il pouvait aussi utiliser l’entée de service. Devant mon acquiescement, il me fit signe qu’il s’y attaquerait tout à l’heure.
Je ne les dérangeais pas, pris quelques photos sans flash et m’assis sur ma chaise pour profiter du spectacle. Après un bon moment Marie en ouvrant les yeux constata ma présence. Elle me fit un grand sourire, tendit son bras pour me prendre la main. Elle ne souhaitait à aucun moment arrêter l’exercice tout de suite. Je vins alors m’asseoir plus près d’eux, à côté de Marie. Et pendant que notre mirebalai continuait son office, je me mis à lui chatouiller le clito. En m’avançant, je constatai que cet imposant mât entrait sans peine, et même laissait suffisamment d’interstices pour que le jus en sorte bien. Je passai ma main sous ses fesses, la nappe était inondée en dessous. Pas de doute, elle avait une grosse affection pour Albert. Il la fit encore pas mal chanter. Et quand il en eut assez, il sortit et sans rien dire se remis à table à sa place. Marie descendit de la table. Et se rendit aussi vers sa chaise. Je lui dis en rigolant :
- Alors mademoiselle, on sort de table sans demander la permission au Messieurs ?
- Elle en profita pour aller aux toilettes. Pendant ce temps, je dis à Albert de ne pas perdre de temps entre le fromage et le dessert. Il me demanda si le dessert était vraiment une nécessité. Je lui répondis que non, d’autant plus que Marie n’en prenait jamais. Nous nous mîmes d’accord qu’après le repas, qu’il l’emmènerait dans la chambre. Je lui expliquai qu’elle était à l’étage et que s’il en avait besoin, il y avait du lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit. Je ne les rejoindrai qu’après avoir tout rangé et débarrassé. Quand je les rejoignis, je trouvai Marie à quatre pattes au bord du lit et Albert déjà bien avancé dans la conquête de la face nord. Il me dit :
- Je n’ai pas eu besoin de lubrifiant, avec sa mouille et en lui mettant avant un peu les doigts, c’est rentré assez facilement.
- Et s’adressant à Marie :
- Hein, ma chérie que le bon Albert ne t’a pas déchirée ?
- Non, un peu mal, mais ça va…
Il l’avait appelé ma chérie sans qu’elle ne s’en offusque. Bien ! Et elle reprit, en ma direction :
- Je crois que tu ne vas pas tarder à l’avoir ta pièce d’un euro. Peut-être même qu’on va passer directement à deux euros !
- C’est quoi cette histoire.
- J’expliquai le défi que j’avais lancé à Marie et Pierre. Cela ne donna que plus de vigueurs à Albert., qui me dit :
- Oui, mais pour ça, il faut aller souvent y voir, et y rester longtemps. N’est-ce pas ma belle ?
- En absence de réponse, il réitéra sa demande autrement :
- Tu veux qu’on se voie régulièrement pour t’aider à relever ton défi ?
- Elle se tourna vers moi, interrogative. Je lui fis signe que ça ne me posait pas de problème et que c’était elle qui décidait. Elle lui répondit, alors, qu’elle avait déjà beaucoup à faire avec Pierre et moi, mais qu’elle ne disait pas non, et qu’il faudrait trouver le temps. Et j’ajoutai :`
- Sauf si de temps en temps vous partager le même créneau Pierre et toi.
- Qu’est-ce que c’est que ça ?
Marie protestait. Je croyais qu’elle n’acceptait pas du tout de les voir tous les deux ensembles. Mais non, elle précisa :
- Qu’est-ce que c’est que cette expression à mon propos, « partager un créneau ». Je suis pas une pute. Je veux bien les voir ensemble, mais : un quand je l’aurai décidé et deux pas encore maintenant, je les verrai séparément.
- Je décidai de les laisser terminer leur nuit dans notre chambre. J’allai me coucher dans la chambre d’ami. De temps en temps, j’entrouvrais la porte. J’entendais les miaulements de Marie et me disais qu’elle passait encore une bonne nuit et que demain ou plutôt tout à l’heure (ils arrêtèrent à 2h30), heureusement que c’était le weekend. Je me levai à 6 heures 30, préparai le petit-déjeuner et montai pour les prévenir. Dès le haut de l'escalier, je perçus que Marie avait décidé de se passer du radio réveil. Ses mélopées, suffisaient à sonoriser le lever du soleil. J'entrouvrais la porte de la chambre doucement et je les vis. Ils avaient repoussé les draps en bas du lit et étaient encastrés l'un dans l'autre en chien de fusil. Si je n'avais pas vu Albert s'agiter derrière Marie et entendu ses accompagnements tonitruants à chaque coup de reins qu'il lui délivrait, j'aurais pu penser qu’ils se tenaient chaud. Contrairement à lui, elle ne s'était pas aperçue que j'étais entré dans la pièce. Elle lui disait :
-Oui, Vas-y, tu me baises bien. C'est bon !
Et aussi des paroles inarticulées qui étaient plus des souffles de plaisir qu'un discours à vocation d'échange. Je me penchai doucement à l'oreille d'Albert pour lui demander dans quelle salle de jeu il exerçait ses compétences et lui dit de la forcer à dire qu'elle était une salope .... Qu'elle aimait jouir.
Il me fit signe qu'il était dans le minou. Je lui redis discrètement :
- Reprends la derrière après, le petit déj. peut attendre.
Après quelques secondes, il entreprit de la faire parler. Je m'étais reculé pour me placer au fond de la pièce à la limite de notre salle de bain privative. Dans un recoin d'où j'étais difficilement visible. Je ne voulais pas que la vue de ma présence modifie le discours que Marie pourrait tenir.
- Tu aimes ça ? Peu importe le trou ?
-Oui, j'aime !
- Et ma bite, tu l'aimes ? Elle te convient ?
-Oui !
-Et celle de Pierre, tu l'aimes aussi ?
-Oui, mais je préfère la tienne elle me remplit mieux.
-Et celle de René ?
-Je l'aime aussi, c'est mon mari. Même s'il n'est pas aussi performant que vous deux.
-Alors si je comprends bien, tu aimes toutes les bites, surtout celles qui te fourrent profond et large ?
....
-Pourquoi, tu réponds pas ? Attention, je vais me retirer et je vais partir.
-Non, reste encore, il est pas tard !
-Alors tu réponds à mes questions.
-Oui, j'aime la bite, les mâles qui sont bien membrés. Et qui savent bien me baiser. Ça te va comme ça.
-Tu sais comment on appelle les filles qui disent et font ce que tu dis et fais ?
-Des salopes.
-Alors ?
-Oui, je suis une salope.
Ensuite, il la prit, la retourna. L'agenouilla sur le lit s'installa derrière et comme je l'avais déjà vu faire à Pierre, il lui enfonça son dard d'un coup sec dans l'œil de bronze. Elle laissa échapper un petit cri.
Mais cela ne lui faisait visiblement pas mal. Albert avait du bien attendrir le passage cette nuit. Après qu'il l'eut besogné pendant quelques minutes, je vins derrière eux et fis signe à Albert de se retirer.
Je la maintins à genoux et, en lui écartant les fesses, je vis son trou rose, bien arrondi qui un instant gardait la forme et le diamètre de la queue de son amant du jour. On voyait même assez loin dans la caverne.
-Je crois qu'on va dépasser allègrement les deux euros, et qu'on est plus très loin des cinq euros …
Plus tu te fais mettre, plus ton cul vaut cher !
-Tu étais là ? Depuis combien de temps ?
-Avant votre réveil. Je vous ai vu vous mettre au travail. J'ai surtout entendu ta profession de foi.
C'est bien. Je suis fier de toi. Maintenant le petit-déjeuner est prêt. J'ai mis les croissants au four. Il n'y aura plus qu'à les faire remonter en température. Comme Albert a fait avec toi.
Le petit-déjeuner fut joyeux et très sympathique. Albert nous dit qu'il avait beaucoup apprécié notre accueil. Que Marie était une hôtesse hors pair. Et qu'il reviendrait sans problème dès qu'on l'inviterait. Que, si pour avoir droit aux prestations qui lui avaient été fournies, il devait encore nous offrir une nuit dans un hôtel qu'il avait comme client, ce serait sans problème. Il nous quitta, il était déjà 9 heures.
À suivre…
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