La copine de ma femme
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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La copine de ma femme
La copine de ma femme
Ma femme que j’aime tendrement, un jour m'a dit avoir retrouver une amie de jeunesse et elle aimerait bien me la faire rencontrer.
- Tu sais que cela fait presque dix ans que je ne l'ai pas vue ?
- Et alors ?
- C'était ma meilleure amie, et pourtant. Je l'ai souvent détestée, car elle n'arrêtait pas de me chiper mes petits amis.
- Et bien tu auras toute la journée pour la retrouver, moi je la verrai ce soir, après le bureau. Tu n’as rien à craindre avec moi, tu sais que je t’aime.
Je n’y pensais déjà plus. Ma femme avait invité sa meilleure amie d’enfance à passer une semaine chez nous. Oui c'est vrai, j’en avais déjà entendu parler et vue quelques photos mais je n’y attachais aucune importance. En rentrant le soir, j'ouvre la porte de notre logement et ne vois pas de suite ma femme mais croise dans le couloir une jolie brune encore inconnue pour moi.
- Je suis Pierre, le mari de Ginette, très heureux de faire votre connaissance.
Je suis surpris, l'amie de ma femme est habillée des plus sexy, et je la dévore des yeux. Elle porte une minijupe de cuir qui moule ses fesses. Ses seins débordent presque de son décolleté. Je devais avoir à peu près la même expression que le loup de Tex Avery, car elle me dit :
- J'espère qu'ils sont à votre goût.
Sa voix est douce. Je suis sous le charme de cette femme, je lève à regret mon regard et lui demande bêtement :
- Quoi donc ?
- Mes seins bien sûr.
La soirée commence bien. Je deviens tout rouge et lui dis en désignant son décolleté profond :
- Je vous prie de me pardonner, mais vous devriez vous attendre à ce genre de regard lorsque vous exposez une si jolie vitrine.
- Ce n'est pas une vitrine, car une vitrine empêche de toucher les objets exposés, alors que vous, vous pouvez les caresser si le cœur vous en dit.
Elle s’approche plus prêt de moi, je sens maintenant la chaleur de son corps, son visage est levé vers le mien et elle me tend ses lèvres. Je fais un bon en arrière et lui dit :
- Attendez, vous oubliez que je suis le mari de votre amie.
- C'est une vieille tradition, elle ne vous a pas prévenu ? J'ai couché avec tous ses flirts.
- Et bien les traditions tombent à l'eau un jour ou l'autre, moi je n'ai pas envie de coucher avec vous.
- Menteur !
Il ne me reste que deux solutions pour m’en sortir. La première est de l’enlacer, l’embrasser, lui arracher ses vêtements. Je n’ai jamais désiré une femme comme elle, même pas la mienne. Pourtant je la repousse choisissant courageusement la seconde solution : Oui ! Je prends la fuite. J’entends alors deux éclats de rire qui m’arrêtent dans ma fuite. Ma femme et ma séductrice sont en train de se moquer de moi.
- Je te l'avais dis que mon Pierre était différent et que tu ne l'aurais pas.
- Oui ! Je dois dire que je suis un peu vexée.
- Pardonne-nous chéri, j'avais parié avec Marie-Christine qu'elle ne parviendrait pas à te séduire.
- Bon, maintenant, je vais ranger ma tenue de vamp !
- Chérie, ce n'est pas des choses à faire.
- Je sais bien mon chéri, mais c'est la première fois que j'ai le dessus sur elle, et c'est à toi que je le dois. Merci mon chéri.
J’aime tendrement ma femme. Je n’ai aucune envie de la tromper, notre vie simple et tranquille de couple me satisfait entièrement. Je l’ai quand même échappé belle, si je m’étais laissé aller, j’étais bon pour une scène de ménage. J'embrasse tendrement ma femme, tandis que Marie Christine arrive.
- Me revoilà les tourtereaux, en tenue plus sage.
Marie-Christine porte une longue robe qui ne laisse effectivement aucune nudité au regard. Mais qui la moule si étroitement que cela ne fait guère de différence.
- Chéri je te présente Marie-Christine, vous pouvez vous embrasser, mais que sur les joues, pas de blague je surveille.
Je l’embrasse sagement mais la traîtresse est collée contre moi. Mon dieu, toute une semaine avec elle, chez nous comment vais-je pouvoir tenir ? Je la connais que depuis quelque instant et je n’ai qu’une envie, coucher avec elle.
Le matin, je suis toujours dans le cirage tant que je n’ai pas bu mon café. Tout endormi je me dirige d’abords dans la salle de bain. Je tâtonne un peu pour saisir mon rasoir quand j’entends un clapotis. Zut ! J’ai encore oublié de vider la baignoire hier soir. Je me retourne, la baignoire est pleine d’eau mais il y a aussi la copine de ma femme qui trempe dedans. Je tente d’en profiter pour me rincer l’œil mais l’eau est trop trouble, et ne peu rien voir avec la mousse.
- Pardon Marie-Christine, mais vous avez oublié de verrouiller la porte de la salle de bain.
- Non non je n’ai rien oublié, je sais que Ginette n’est pas très matinale et je t’attendais.
- M’attendre mais pourquoi ?
- Pour te montrer ça.
Elle se lève nue devant moi et je sens ma mâchoire se décrocher. Je fixe bouche ouverte ses seins ruisselants
- Tu peux me passer une serviette s’il te plaît ?
Je saisis une serviette sans la quitter du regard.
- Tu serais gentil si tu m’essuyais.
Ma femme est peut-être cachée dans la douche. Alors je reste de marbre.
- Tu peux arrêter ton cinéma, ta nudité me laisse froid, je suis là pour me brosser les dents c'est tout.
- Et tu vas me dire que c’est ta brosse à dents que je vois pointer sous ton pyjama ?
Oui bon c’est vrai, elle m’a mis dans tous mes états, et je bande comme un âne. Et lui dit :
- C’est une simple réaction chez l’homme, il s’agit d’une érection du matin.
Je me retourne pour me brosser les dents. Ce qui ne m’empêche pas de la regarder en douce dans la glace. Elle s’essuie lentement de la tête aux pieds en s’arrêtant longuement sur ses seins, ses cuisses et son sexe. Je comprends qu’elle est en train de se masturber et je me concentre avec désespoir sur mes dents. Elle se colle à moi dans mon dos. Je sens ses seins s’écraser dans mon dos, un baiser sur mon cou et une main qui vient tâter délicatement mon sexe.
- Tient ! Ton érection matinale s’est encore développée.
Et elle s’en va en éclatant de rire. Je tire le rideau de la douche. Personne. Ma femme n'est pas cachée. Mais je ne regrette pas d’avoir tenu bon.
Je suis bien réveillé lorsque je prends mon café. Ma femme et sa copine me retrouvent dans la cuisine, habillées du même peignoir, mais celui de Marie-Christine baille. Ma femme m’embrasse sous le regard attendri de sa copine.
- Pierre, tu sais ce qui serait sympa ? Ce serait de déposer Marie-Christine, elle a rendez-vous sur Paris.
Mes soupçons redoublent, mais j’accepte. Dans la voiture, Marie-Christine ne tient pas en place, elle allonge ses jambes, s’étire, se trémousse. Je louche un peu sur ses cuisses, puis sur l’entrebâillement de son chemisier. Elle a glissé une main sous son chemisier et se caresse un sein.
- Pierre ! Détend toi, laisses-toi aller, la vie est belle. Je sens ton regard sur moi et cela m’excite.
- Mon regard était machinal, ne prend pas tes rêves pour des réalités.
- Menteur me lance-t-elle.
Elle vient maintenant se coucher contre moi. Sa main se fait baladeuse. Il m'est bien difficile de l'ignorer.
- Marie-Christine s'il te plait, arrête.
Je fais faire un violant écart à la voiture avant d’en reprendre de justesse le contrôle.
- Voyons Pierre, concentre-toi sur la conduite, nous allons avoir un accident.
Elle se frotte contre moi. Elle est vêtue d'une combinaison qui la moule comme une seconde peau. Elle met sa poitrine à hauteur de mes yeux. La voiture tangue une seconde fois. Cela devient dangereux alors je m'arrête comme je peux sur le bas coté et tente de sortir de la voiture pour lui échapper.
Mais elle me rattrape, se pend à moi et recommence à se frotter. Elle ouvre le haut de sa combinaison, et me fourre un sein cette fois-ci nu dans la bouche.
- Vas-y lèche le, tu verras, comme c'est bon!
Je ne tiens plus, alors, je lèche la pointe de son sein. Mon autre main va caresser l'autre pour sa plus grande satisfaction.
- Mais que vois-je là, tu as encore ton érection matinale, Pierre, il va falloir faire quelque chose, tu ne peux pas garder ça toute la journée.
Et d’un geste très naturel, elle défait ma braguette et en sort mon sexe. Elle se penche, l'avale tout entier puis le suce goulûment. C’est bon ! Je me raidis sous sa caresse. Je me cramponne au volant. Le plaisir monte dans une telle jouissance que j’en ai des éblouissements. Je retombe sans force. Je caresse et embrasse sa croupe fabuleuse. Elle se redresse d’un air satisfait. Je reprends la route en direction de Paris.
- Bon te voilà soulagé de ton érection du matin Pierre. Si cela te reprend n’hésites pas à demander mes services. Tu peux m’arrêter ici, c’est parfait.
Le soir je rentre à la maison un peu inquiet de voir si ma femme a été mise au courant mais je ne détecte aucun nuage sur son visage, ce n’était donc pas un nouveau piège ou alors ma femme est une très bonne comédienne. Pour l’instant je suis serein, la vamp Marie-Christine n’est pas encore rentrée. Elle n’apparaît qu’au souper. Et nous dit en arrivant :
- Bonsoir les amoureux.
Elle s’assoit aux cotés de sa copine face à moi. Je sens bientôt un pied nu chercher avec insistance le miens, Ginette ou Marie-Christine ? Petit coup d’œil sous la table sous un prétexte d'avoir fait tomber ma serviette. Ouf ! C’est ma petite femme chérie. Mais en même temps je peu voir les cuisses de Marie-Christine qui sont bien écartées et elle n'a pas de culotte !
Le repas se poursuit tranquillement en petites caresses du pied, sans que je me pose la question si je joue avec ma femme ou sa copine. Toutes les deux me sourient d’un air complice. Mais lorsqu'un pied me touche les testicules j’ai moment de recul involontaire puis je m’abandonne à la caresse. Viens la corvée de vaisselle c’est moi qui me propose, ma femme a préparer le repas alors elle prend un peu de repos. Je vois arriver Marie-Christine en renfort qui m’annonce :
- Je viens juste pour l’essuyer.
Je ne sais pas trop ce qu’elle veut essuyer, car elle se colle comme le matin dans mon dos, m’enlace et se frotte à moi doucement. Je reste avec l’assiette et l’éponge dans les mains, électrisé de la sentir dans mon dos. Sa main touche la bosse de mon pantalon.
- Hé Dit moi pierrot, il y a ton érection du matin qui t’as repris.
Elle commence à me masturber tout en continuant à se frotter dans mon dos. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire éjaculer. Elle m’essuie délicatement avec le torchon à vaisselle avant de disparaître. J’ai toujours la même assiette et mon éponge, et je suis déculotté un torchon souillé à mes pieds.
Ma femme est d’humeur amoureuse cette nuit mais elle est un peu déçue car malgré son échauffement érotique du dessous de table, elle me trouve un peu mou. Le lendemain, je pénètre un peu inquiet dans la salle de bain. Personne. J’entame le cérémonial du matin, rasage et douche. Un corps nu entre sous ma douche.
- Bonjour Pierre, excuses-moi, je suis en retard alors je fais vite.
C’est Marie-Christine qui se colle à moi, par devant cette fois. Je l’embrasse pour la première fois, nos langues se mêlent. Quelques frottis frotta puis je la pénètre en la maintenant fermement contre moi. Je suis tellement excité que j’éjacule comme un lapin. Elle s’enfuie aussitôt et je reste là seul sous la douche, ma queue apaisée.
Et voilà, cette fois c’est fait, j’ai trompé ma femme. J’ai même envie de recommencer. Le petit déjeuner à trois se passe sans nuage et comme la veille je conduis l’amie de ma femme à Paris. Comme la veille elle s’étire sur le siège passager mais le texte a changé.
- C’était super ce matin Pierre, j’aime bien prendre une douche avec toi.
- Moi aussi, Marie-Christine, j'aime bien, moi aussi
- Tu sais Pierre ? Finalement je te préfère avec ton érection du matin
Comme la veille, elle ouvre ma braguette, en extrait mon sexe et commence une fellation d’enfer. Malgré la séance de la douche, je me sens durcir, je vais…
- Stop ! C’est ici que je descends, à ce soir Pierrot.
Elle a appuyé elle même sur le frein, descend et disparaît en me laissant dans un état très embarrassant, le sexe dressé hors de mon pantalon. Je pense à elle toute la journée. Le soir je les retrouve toutes deux.
Ma femme est bien jolie dans sa nouvelle robe dont le décolleté laisse voir ses petits seins menus mais bien fermes. Marie-Christine continue de me troubler dans une robe sous laquelle on devine libres ses gros seins en poire. Mon excitation du matin n’est pas retombée et comme je ne trouve pas d’occasion de rester seul avec Marie-Christine, c’est ma femme qui en profite dans notre chambre. Mais J'ai honte car c’est à sa copine que je pense quand je lui fais l’amour.
Ma femme s’endort émue croyant à un retour de flamme et j’ai beaucoup de remords. Je n’arrive pas à dormir, je tourne et retourne dans le lit, mon désir n’est toujours pas apaisé. Je descends à la cuisine, il y a déjà de la lumière. Marie-Christine est attablée devant une tranche de pâté. Elle porte une nuisette noire qui ne cache rien.
- Salut Pierre, toi aussi tu as faim, assieds-toi et partage avec moi.
Je reste hésitant devant elle, elle termine posément sa bouchée.
- Je vois, ce n’est pas de pâté que tu as faim.
Elle range le reste du pâté au frigo, s’essuie la bouche. Elle est debout, devant moi, provocante. Elle me sourie, ses seins palpitent sous la nuisette. C’est moi qui viens à elle pour l’enlacer. Je me colle à elle et je l’embrasse sur la bouche.
Je descends pour embrasser un sein. J’en lèche le bout jusqu’à ce qu’il se redresse, puis passe l’autre. J’écarte les pans de son déshabillé à la recherche du clitoris. Elle me prend la tête pour la presser avidement contre sa chatte. Je la suce avidement.
Elle se laisse glisser sur le sol. Je suis son mouvement tout en l’embrassant jusqu’à la pénétrer d’un seul coup. Je reste immobile, enfoncé en elle, nous savourons la sensation de sentir l’autre. Alors doucement je me retire puis reviens, encore, de plus en plus vite. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre.
Nous remontons, me prenant par la main, elle m’entraîne dans sa chambre et me pousse sur le lit.
Elle se déshabille devant moi. Ses seins lourds se dressent. Elle est en nage ce qui rend sa peau luisante. Elle s’allonge sur moi, commence à se frotter ravivant mon désir. Je l’enlace et la pénètre à nouveau. Cette fois notre union dure longtemps. Comment est-il possible je suis en train de faire l'amour avec une inconnue, et ma femme est couchée à quelque mètres de notre chambre.
Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Je crois finir épuisé, elle parvient à raviver mon désir. A la fin je m’entends même dire des mots, que je l’aime, que je vais quitter ma femme pour elle. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant que Ginette ait jamais eut.
Le lendemain je me retrouve dans le lit conjugal sans savoir comment. Je ne me rappelle pas y être revenu. Il doit être tard, ma femme est déjà levée. Trop tard pour prendre une douche avec Marie-Christine. Je trouve Ginette seule dans la cuisine.
- Ben que t’arrive-t-il aujourd’hui, tu as eu une panne d'oreiller ? Marie-Christine a dû prendre un taxi.
Il est trop tard pour mon café du matin aussi. J’embrasse ma femme et part vite fait pour mon travail. Je pense toute la journée à Marie-Christine et suis pressé de la retrouver. Mais quand je rentre le soir, ma femme me dit :
- Marie-Christine a reçu un appel, elle a dû rentrer en urgence chez elle, elle t’embrasse.
Je regarde ma femme les yeux dans le vague. Je pense à cette copine, elle est venue chez nous, elle a tout dévasté dans notre couple puis est reparti. Je suis sur maintenant que je n’étais qu’un jouet pour elle, un défi, une tradition à perpétuer. (Ce faire les copains des copines)
Est-ce qu’au contraire le jeu était devenu trop sérieux pour elle aussi et a-t-elle préférée partir pour ne pas faire de mal à sa copine ?
Depuis un bon mois, nous n'avons plus de nouvelles de Marie-Christine, Un soir ma femme me dit :
- Tu sais chéri, Marie-Christine m'a téléphoné, elle m'a remerciée et m'a dit qu’elle s’était bien plut chez nous, je suis sûre qu’elle repassera un jour. Elle a aussi lancée une invitation chez elle.
Je me suis calmé et j’ai réappris à revivre calmement avec ma femme, mais il m’arrive encore parfois de repenser avec nostalgie à cette copine de ma femme. Alors je lance un appel : Si vous êtes une vielle copine de Ginette, passez la voir un de ces jours, car cela lui ferra plaisir et vous verrez, nous somme très accueillants !
Ma femme que j’aime tendrement, un jour m'a dit avoir retrouver une amie de jeunesse et elle aimerait bien me la faire rencontrer.
- Tu sais que cela fait presque dix ans que je ne l'ai pas vue ?
- Et alors ?
- C'était ma meilleure amie, et pourtant. Je l'ai souvent détestée, car elle n'arrêtait pas de me chiper mes petits amis.
- Et bien tu auras toute la journée pour la retrouver, moi je la verrai ce soir, après le bureau. Tu n’as rien à craindre avec moi, tu sais que je t’aime.
Je n’y pensais déjà plus. Ma femme avait invité sa meilleure amie d’enfance à passer une semaine chez nous. Oui c'est vrai, j’en avais déjà entendu parler et vue quelques photos mais je n’y attachais aucune importance. En rentrant le soir, j'ouvre la porte de notre logement et ne vois pas de suite ma femme mais croise dans le couloir une jolie brune encore inconnue pour moi.
- Je suis Pierre, le mari de Ginette, très heureux de faire votre connaissance.
Je suis surpris, l'amie de ma femme est habillée des plus sexy, et je la dévore des yeux. Elle porte une minijupe de cuir qui moule ses fesses. Ses seins débordent presque de son décolleté. Je devais avoir à peu près la même expression que le loup de Tex Avery, car elle me dit :
- J'espère qu'ils sont à votre goût.
Sa voix est douce. Je suis sous le charme de cette femme, je lève à regret mon regard et lui demande bêtement :
- Quoi donc ?
- Mes seins bien sûr.
La soirée commence bien. Je deviens tout rouge et lui dis en désignant son décolleté profond :
- Je vous prie de me pardonner, mais vous devriez vous attendre à ce genre de regard lorsque vous exposez une si jolie vitrine.
- Ce n'est pas une vitrine, car une vitrine empêche de toucher les objets exposés, alors que vous, vous pouvez les caresser si le cœur vous en dit.
Elle s’approche plus prêt de moi, je sens maintenant la chaleur de son corps, son visage est levé vers le mien et elle me tend ses lèvres. Je fais un bon en arrière et lui dit :
- Attendez, vous oubliez que je suis le mari de votre amie.
- C'est une vieille tradition, elle ne vous a pas prévenu ? J'ai couché avec tous ses flirts.
- Et bien les traditions tombent à l'eau un jour ou l'autre, moi je n'ai pas envie de coucher avec vous.
- Menteur !
Il ne me reste que deux solutions pour m’en sortir. La première est de l’enlacer, l’embrasser, lui arracher ses vêtements. Je n’ai jamais désiré une femme comme elle, même pas la mienne. Pourtant je la repousse choisissant courageusement la seconde solution : Oui ! Je prends la fuite. J’entends alors deux éclats de rire qui m’arrêtent dans ma fuite. Ma femme et ma séductrice sont en train de se moquer de moi.
- Je te l'avais dis que mon Pierre était différent et que tu ne l'aurais pas.
- Oui ! Je dois dire que je suis un peu vexée.
- Pardonne-nous chéri, j'avais parié avec Marie-Christine qu'elle ne parviendrait pas à te séduire.
- Bon, maintenant, je vais ranger ma tenue de vamp !
- Chérie, ce n'est pas des choses à faire.
- Je sais bien mon chéri, mais c'est la première fois que j'ai le dessus sur elle, et c'est à toi que je le dois. Merci mon chéri.
J’aime tendrement ma femme. Je n’ai aucune envie de la tromper, notre vie simple et tranquille de couple me satisfait entièrement. Je l’ai quand même échappé belle, si je m’étais laissé aller, j’étais bon pour une scène de ménage. J'embrasse tendrement ma femme, tandis que Marie Christine arrive.
- Me revoilà les tourtereaux, en tenue plus sage.
Marie-Christine porte une longue robe qui ne laisse effectivement aucune nudité au regard. Mais qui la moule si étroitement que cela ne fait guère de différence.
- Chéri je te présente Marie-Christine, vous pouvez vous embrasser, mais que sur les joues, pas de blague je surveille.
Je l’embrasse sagement mais la traîtresse est collée contre moi. Mon dieu, toute une semaine avec elle, chez nous comment vais-je pouvoir tenir ? Je la connais que depuis quelque instant et je n’ai qu’une envie, coucher avec elle.
Le matin, je suis toujours dans le cirage tant que je n’ai pas bu mon café. Tout endormi je me dirige d’abords dans la salle de bain. Je tâtonne un peu pour saisir mon rasoir quand j’entends un clapotis. Zut ! J’ai encore oublié de vider la baignoire hier soir. Je me retourne, la baignoire est pleine d’eau mais il y a aussi la copine de ma femme qui trempe dedans. Je tente d’en profiter pour me rincer l’œil mais l’eau est trop trouble, et ne peu rien voir avec la mousse.
- Pardon Marie-Christine, mais vous avez oublié de verrouiller la porte de la salle de bain.
- Non non je n’ai rien oublié, je sais que Ginette n’est pas très matinale et je t’attendais.
- M’attendre mais pourquoi ?
- Pour te montrer ça.
Elle se lève nue devant moi et je sens ma mâchoire se décrocher. Je fixe bouche ouverte ses seins ruisselants
- Tu peux me passer une serviette s’il te plaît ?
Je saisis une serviette sans la quitter du regard.
- Tu serais gentil si tu m’essuyais.
Ma femme est peut-être cachée dans la douche. Alors je reste de marbre.
- Tu peux arrêter ton cinéma, ta nudité me laisse froid, je suis là pour me brosser les dents c'est tout.
- Et tu vas me dire que c’est ta brosse à dents que je vois pointer sous ton pyjama ?
Oui bon c’est vrai, elle m’a mis dans tous mes états, et je bande comme un âne. Et lui dit :
- C’est une simple réaction chez l’homme, il s’agit d’une érection du matin.
Je me retourne pour me brosser les dents. Ce qui ne m’empêche pas de la regarder en douce dans la glace. Elle s’essuie lentement de la tête aux pieds en s’arrêtant longuement sur ses seins, ses cuisses et son sexe. Je comprends qu’elle est en train de se masturber et je me concentre avec désespoir sur mes dents. Elle se colle à moi dans mon dos. Je sens ses seins s’écraser dans mon dos, un baiser sur mon cou et une main qui vient tâter délicatement mon sexe.
- Tient ! Ton érection matinale s’est encore développée.
Et elle s’en va en éclatant de rire. Je tire le rideau de la douche. Personne. Ma femme n'est pas cachée. Mais je ne regrette pas d’avoir tenu bon.
Je suis bien réveillé lorsque je prends mon café. Ma femme et sa copine me retrouvent dans la cuisine, habillées du même peignoir, mais celui de Marie-Christine baille. Ma femme m’embrasse sous le regard attendri de sa copine.
- Pierre, tu sais ce qui serait sympa ? Ce serait de déposer Marie-Christine, elle a rendez-vous sur Paris.
Mes soupçons redoublent, mais j’accepte. Dans la voiture, Marie-Christine ne tient pas en place, elle allonge ses jambes, s’étire, se trémousse. Je louche un peu sur ses cuisses, puis sur l’entrebâillement de son chemisier. Elle a glissé une main sous son chemisier et se caresse un sein.
- Pierre ! Détend toi, laisses-toi aller, la vie est belle. Je sens ton regard sur moi et cela m’excite.
- Mon regard était machinal, ne prend pas tes rêves pour des réalités.
- Menteur me lance-t-elle.
Elle vient maintenant se coucher contre moi. Sa main se fait baladeuse. Il m'est bien difficile de l'ignorer.
- Marie-Christine s'il te plait, arrête.
Je fais faire un violant écart à la voiture avant d’en reprendre de justesse le contrôle.
- Voyons Pierre, concentre-toi sur la conduite, nous allons avoir un accident.
Elle se frotte contre moi. Elle est vêtue d'une combinaison qui la moule comme une seconde peau. Elle met sa poitrine à hauteur de mes yeux. La voiture tangue une seconde fois. Cela devient dangereux alors je m'arrête comme je peux sur le bas coté et tente de sortir de la voiture pour lui échapper.
Mais elle me rattrape, se pend à moi et recommence à se frotter. Elle ouvre le haut de sa combinaison, et me fourre un sein cette fois-ci nu dans la bouche.
- Vas-y lèche le, tu verras, comme c'est bon!
Je ne tiens plus, alors, je lèche la pointe de son sein. Mon autre main va caresser l'autre pour sa plus grande satisfaction.
- Mais que vois-je là, tu as encore ton érection matinale, Pierre, il va falloir faire quelque chose, tu ne peux pas garder ça toute la journée.
Et d’un geste très naturel, elle défait ma braguette et en sort mon sexe. Elle se penche, l'avale tout entier puis le suce goulûment. C’est bon ! Je me raidis sous sa caresse. Je me cramponne au volant. Le plaisir monte dans une telle jouissance que j’en ai des éblouissements. Je retombe sans force. Je caresse et embrasse sa croupe fabuleuse. Elle se redresse d’un air satisfait. Je reprends la route en direction de Paris.
- Bon te voilà soulagé de ton érection du matin Pierre. Si cela te reprend n’hésites pas à demander mes services. Tu peux m’arrêter ici, c’est parfait.
Le soir je rentre à la maison un peu inquiet de voir si ma femme a été mise au courant mais je ne détecte aucun nuage sur son visage, ce n’était donc pas un nouveau piège ou alors ma femme est une très bonne comédienne. Pour l’instant je suis serein, la vamp Marie-Christine n’est pas encore rentrée. Elle n’apparaît qu’au souper. Et nous dit en arrivant :
- Bonsoir les amoureux.
Elle s’assoit aux cotés de sa copine face à moi. Je sens bientôt un pied nu chercher avec insistance le miens, Ginette ou Marie-Christine ? Petit coup d’œil sous la table sous un prétexte d'avoir fait tomber ma serviette. Ouf ! C’est ma petite femme chérie. Mais en même temps je peu voir les cuisses de Marie-Christine qui sont bien écartées et elle n'a pas de culotte !
Le repas se poursuit tranquillement en petites caresses du pied, sans que je me pose la question si je joue avec ma femme ou sa copine. Toutes les deux me sourient d’un air complice. Mais lorsqu'un pied me touche les testicules j’ai moment de recul involontaire puis je m’abandonne à la caresse. Viens la corvée de vaisselle c’est moi qui me propose, ma femme a préparer le repas alors elle prend un peu de repos. Je vois arriver Marie-Christine en renfort qui m’annonce :
- Je viens juste pour l’essuyer.
Je ne sais pas trop ce qu’elle veut essuyer, car elle se colle comme le matin dans mon dos, m’enlace et se frotte à moi doucement. Je reste avec l’assiette et l’éponge dans les mains, électrisé de la sentir dans mon dos. Sa main touche la bosse de mon pantalon.
- Hé Dit moi pierrot, il y a ton érection du matin qui t’as repris.
Elle commence à me masturber tout en continuant à se frotter dans mon dos. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire éjaculer. Elle m’essuie délicatement avec le torchon à vaisselle avant de disparaître. J’ai toujours la même assiette et mon éponge, et je suis déculotté un torchon souillé à mes pieds.
Ma femme est d’humeur amoureuse cette nuit mais elle est un peu déçue car malgré son échauffement érotique du dessous de table, elle me trouve un peu mou. Le lendemain, je pénètre un peu inquiet dans la salle de bain. Personne. J’entame le cérémonial du matin, rasage et douche. Un corps nu entre sous ma douche.
- Bonjour Pierre, excuses-moi, je suis en retard alors je fais vite.
C’est Marie-Christine qui se colle à moi, par devant cette fois. Je l’embrasse pour la première fois, nos langues se mêlent. Quelques frottis frotta puis je la pénètre en la maintenant fermement contre moi. Je suis tellement excité que j’éjacule comme un lapin. Elle s’enfuie aussitôt et je reste là seul sous la douche, ma queue apaisée.
Et voilà, cette fois c’est fait, j’ai trompé ma femme. J’ai même envie de recommencer. Le petit déjeuner à trois se passe sans nuage et comme la veille je conduis l’amie de ma femme à Paris. Comme la veille elle s’étire sur le siège passager mais le texte a changé.
- C’était super ce matin Pierre, j’aime bien prendre une douche avec toi.
- Moi aussi, Marie-Christine, j'aime bien, moi aussi
- Tu sais Pierre ? Finalement je te préfère avec ton érection du matin
Comme la veille, elle ouvre ma braguette, en extrait mon sexe et commence une fellation d’enfer. Malgré la séance de la douche, je me sens durcir, je vais…
- Stop ! C’est ici que je descends, à ce soir Pierrot.
Elle a appuyé elle même sur le frein, descend et disparaît en me laissant dans un état très embarrassant, le sexe dressé hors de mon pantalon. Je pense à elle toute la journée. Le soir je les retrouve toutes deux.
Ma femme est bien jolie dans sa nouvelle robe dont le décolleté laisse voir ses petits seins menus mais bien fermes. Marie-Christine continue de me troubler dans une robe sous laquelle on devine libres ses gros seins en poire. Mon excitation du matin n’est pas retombée et comme je ne trouve pas d’occasion de rester seul avec Marie-Christine, c’est ma femme qui en profite dans notre chambre. Mais J'ai honte car c’est à sa copine que je pense quand je lui fais l’amour.
Ma femme s’endort émue croyant à un retour de flamme et j’ai beaucoup de remords. Je n’arrive pas à dormir, je tourne et retourne dans le lit, mon désir n’est toujours pas apaisé. Je descends à la cuisine, il y a déjà de la lumière. Marie-Christine est attablée devant une tranche de pâté. Elle porte une nuisette noire qui ne cache rien.
- Salut Pierre, toi aussi tu as faim, assieds-toi et partage avec moi.
Je reste hésitant devant elle, elle termine posément sa bouchée.
- Je vois, ce n’est pas de pâté que tu as faim.
Elle range le reste du pâté au frigo, s’essuie la bouche. Elle est debout, devant moi, provocante. Elle me sourie, ses seins palpitent sous la nuisette. C’est moi qui viens à elle pour l’enlacer. Je me colle à elle et je l’embrasse sur la bouche.
Je descends pour embrasser un sein. J’en lèche le bout jusqu’à ce qu’il se redresse, puis passe l’autre. J’écarte les pans de son déshabillé à la recherche du clitoris. Elle me prend la tête pour la presser avidement contre sa chatte. Je la suce avidement.
Elle se laisse glisser sur le sol. Je suis son mouvement tout en l’embrassant jusqu’à la pénétrer d’un seul coup. Je reste immobile, enfoncé en elle, nous savourons la sensation de sentir l’autre. Alors doucement je me retire puis reviens, encore, de plus en plus vite. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre.
Nous remontons, me prenant par la main, elle m’entraîne dans sa chambre et me pousse sur le lit.
Elle se déshabille devant moi. Ses seins lourds se dressent. Elle est en nage ce qui rend sa peau luisante. Elle s’allonge sur moi, commence à se frotter ravivant mon désir. Je l’enlace et la pénètre à nouveau. Cette fois notre union dure longtemps. Comment est-il possible je suis en train de faire l'amour avec une inconnue, et ma femme est couchée à quelque mètres de notre chambre.
Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Je crois finir épuisé, elle parvient à raviver mon désir. A la fin je m’entends même dire des mots, que je l’aime, que je vais quitter ma femme pour elle. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant que Ginette ait jamais eut.
Le lendemain je me retrouve dans le lit conjugal sans savoir comment. Je ne me rappelle pas y être revenu. Il doit être tard, ma femme est déjà levée. Trop tard pour prendre une douche avec Marie-Christine. Je trouve Ginette seule dans la cuisine.
- Ben que t’arrive-t-il aujourd’hui, tu as eu une panne d'oreiller ? Marie-Christine a dû prendre un taxi.
Il est trop tard pour mon café du matin aussi. J’embrasse ma femme et part vite fait pour mon travail. Je pense toute la journée à Marie-Christine et suis pressé de la retrouver. Mais quand je rentre le soir, ma femme me dit :
- Marie-Christine a reçu un appel, elle a dû rentrer en urgence chez elle, elle t’embrasse.
Je regarde ma femme les yeux dans le vague. Je pense à cette copine, elle est venue chez nous, elle a tout dévasté dans notre couple puis est reparti. Je suis sur maintenant que je n’étais qu’un jouet pour elle, un défi, une tradition à perpétuer. (Ce faire les copains des copines)
Est-ce qu’au contraire le jeu était devenu trop sérieux pour elle aussi et a-t-elle préférée partir pour ne pas faire de mal à sa copine ?
Depuis un bon mois, nous n'avons plus de nouvelles de Marie-Christine, Un soir ma femme me dit :
- Tu sais chéri, Marie-Christine m'a téléphoné, elle m'a remerciée et m'a dit qu’elle s’était bien plut chez nous, je suis sûre qu’elle repassera un jour. Elle a aussi lancée une invitation chez elle.
Je me suis calmé et j’ai réappris à revivre calmement avec ma femme, mais il m’arrive encore parfois de repenser avec nostalgie à cette copine de ma femme. Alors je lance un appel : Si vous êtes une vielle copine de Ginette, passez la voir un de ces jours, car cela lui ferra plaisir et vous verrez, nous somme très accueillants !
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Contrairement à l avis de deux lecteurs blasés préférant sans doute des récits plus corsés ou plus vulgaires je trouve cet histoire naturelle et pouvant arriver à beaucoup de maris même fidèles. C est vrai que l on aimerait en avoir un peu plus mais les fantasmes c est bien aussi .La réalité est quelque fois décevante voir peut conduire à un divorce difficile.
histoire incomplète, laissant des inacheveés, de promesses, des mal compris, pourtant il
y a des masses de possibilités de toute premère classe. Faut remodeler !
y a des masses de possibilités de toute premère classe. Faut remodeler !
moi j aime bien la belle brune a gros sein et chate mouillée
cette une histoir bien bandente :)
cette une histoir bien bandente :)
Ou est le rapport dominant/dominé ?
Il s'agit ici d'un simple adultère, pas très intéressant qui plus est...
Il s'agit ici d'un simple adultère, pas très intéressant qui plus est...
assez bandant
Ordinaire et pas crédible