La copine de mon pote
Récit érotique écrit par lapinzaza [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La copine de mon pote
Il y des fois où je me dis que je suis vraiment un pervers…
Ce que je vais vous raconter s’est passé il y a près de 15 ans à l’époque où nous avions à peine 30 ans.
J’étais en couple depuis près de 10 ans avec ma copine et je me lassais du sexe ensemble. J’avais des envies de plus en plus fortes de sexe avec d’autres filles. Sans que je veuille avoir une relation sentimentale, il me manquait du sexe, et mes fantasmes allaient crescendo…
Et s’il y avait bien une fille qui me faisait fantasmer c’était Élise, la copine d’un de mes meilleurs amis prénommé Ali. Pendant longtemps j’ai bien gardé de montrer quoi que ce soit de ce désir à qui que ce soit. J’avais des principes et il était absolument exclu d’envisager quoique ce soit avec la copine d’un ami.
Pourtant un soir j’ai vrillé… Nous étions dans un grand club électro au centre-ville de Lyon avec toute une bande d’amis. Nous habitions tous pas très loin et nous pouvions nous y rendre à pied. Ce jour-là Ali et Elise étaient venus de Paris pour passer le week-end. J’étais content de les voir, autant Ali avec qui je m’entendais très bien depuis que nous avions fait connaissance lors de nos études, que Elise, sa copine depuis près de 10 ans que je trouvais archi bandante. Elle était laotienne, pas très grande, très fine et avait un visage aux traits doux. Ses yeux pétillants et ses lèvres pulpeuses la rendait irrésistible, surtout quand elle souriait, ce qui arrivait très souvent vu sa nature enthousiaste.
Ce soir-là nous dansions sans cesse. Nous entrecoupions la soirée juste pour nous alcooliser et nous désaltérer de temps en temps au bar avant de repartir sur le dance floor. Il se faisait de plus en plus tard et la fatigue commençait à gagner certains d’entre nous qui décidèrent de rentrer. Ma copine faisait partie de ce lot et Ali également. D’autres départs suivirent et finalement il ne resta que Elise et moi qui avions décidé de profiter encore un peu de cette musique envoutante. J’étais moi-même envouté par le corps de Elise en mouvement. Elle était hyper sexy dans sa petite robe moulante et je ne cessais de la regarder se déhancher en imaginant tout ce qu’il était possible de lui faire. Je retenais mes envies et me contentait de danser en fantasmant.
Plusieurs mecs tentaient des approches mais elle savait les repousser avec facilité.
La boite était encore pleine de plus d’une centaine de personnes à cette heure avancée et les pauses au bar s’allongeaient. Un petit tour dans l’espace fumeur à l’extérieur permettait de refroidir nos corps échauffés par tant de mouvements.
Les gens qui ne se connaissaient pas discutaient facilement et certains proposaient des produits illicites. Bien que je ne fusse pas vraiment axé sur ces mondes imaginaires je me laissai tenter par une poudre à sniffer qui me boosta et multiplia ma libido. Me vint alors une idée très perverse qui ne me quitta plus. Je savais que Elise n’aurait jamais accepter de prendre cette poudre mais je voulu savoir si, chez elle aussi, cela boosterait sa libido… L’envie était trop forte et je cédai à la tentation de verser une bonne dose dans son verre. Je savais que c’était immoral et lâche mais je voulais irrésistiblement essayer… ce que je fis discrètement. Il ne me restait plus qu’à attendre et l’observer.
Elle ne tarda pas à danser plus langoureusement, caressant son corps avec ses mains comme elle ne l’avait jamais fait jusqu’alors. Son regard devint plus provoquant et plus soutenu. Ses petits sourires séduisants laissaient eux aussi penser qu’elle devait ressentir ce que je ressentais : une grosse montée de libido !
Les avances des mecs ne cessaient pas et elle ne les rejetait plus mollement, elle les entretenait même voire chauffait ces mâles en ruts. Je me mis à côté d’elle et la sentit me provoquer également, elle riait, souriait et m’effleurait presque à chaque mouvement. Je me retenais et avait une idée en tête, une idée très perverse. Je m’éloignai un peu pour la laisser seule à danser entourée de mecs attirés par son corps comme des insectes par une lumière dans la nuit. Une fois au bar je repérai les gars qui l’avaient approchée et qui venaient se désaltérer au bar.
C’est ainsi que je débutai la suite de mon plan. J’abordai alors chacun de ces types, un par un, sans que les autres ne repèrent mon manège, et rapidement leur confiais sur le ton de la confidence qu’elle était une amie proche, célibataire, qu’elle était venue avec la ferme intention de se faire baiser ce soir et qu’elle m’avait confié qu’elle le trouvait très mignon, tout comme d’autres d’ailleurs, et qu’elle n’arrivait pas à choisir avec lequel elle se lâcherait ce soir. J’ajoutais que la connaissant elle finirait dans les toilettes avec quelqu’un. Mon plan était machiavélique et totalement pervers mais cela m’excitait au plus haut point. Je repris d’ailleurs un peu de cette poudre qui me donnait des idées aussi abjectes qu’excitantes.
Mon plan fonctionnait à merveille, en quelques minutes je la vis entourée d’une bande de mâles décidés à la baiser. Pour m’assurer qu’elle continue à avoir une libido aussi débridée je lui apportai un nouveau verre bien dosé en poudre à libido qu’elle but d’un trait.
Bientôt elle embrassa plusieurs mecs à la suite tout en continuant à danser. Elle se faisait peloter par des mains envieuses. Je bandais déjà comme un âne à la voir si excitée. En m’approchant d’elle Elise me murmura « Tu ne dis rien à Ali hein, je compte sur toi !» et ponctua sa phrase avec un baiser qui me fit vibrer entièrement. Je m’éloignai et attendis qu’elle décide d’aller plus loin avec un de ces mecs. Je n’eu pas à attendre très longtemps pour la voir quitter la piste avec un mec chaud comme la braise qu’elle trainait par le bras en direction des toilettes. Il s’agissait d’un endroit assez particulier, très grand, du genre underground avec des murs en briques beige, des portes en acier oxydé, des grilles en métal industriel et des lampes de chantier à la lueur volontairement tamisées. Ce look industriel aurait pu être un sous-sol BDSM et la voir aussi sexy et assoiffée de sexe dans ce lieu était un plaisir honteux mais puissant.
Je me pressai pour les suivre et préparai mon téléphone en mode vidéo.
Elle était déjà enfermée dans un box avec le mec qu’elle avait choisi et bien que la porte soit fermée j’entendais des halètements et des bruits de vêtements qu’on s’arrache. Il ne faisait aucun doute qu’elle était déjà en train de se faire démonter sauvagement par un inconnu. Je m’installa dans les toilettes voisines, ferma la porte et tendis mon téléphone en haut de la cloison pour filmer ce qui se passait. Je ne vis rien tout de suite mais j’imaginais cette bombasse en train de se faire démonter et ça m’excitait au plus haut point. Tout se passait comme prévu. Le plus dur fut d’attendre, sans rien voir, juste en entendant et en imaginant. J’essayais de passer le téléphone par le dessous de la cloison nous séparant pour capter un autre angle de vue, mode selfie. Je vis alors Elise avec la robe retroussée, appuyée sur les mains au mur opposé à l’entrée, sa petite culotte en dentelle aux chevilles étirée à la limite de craquer par ses jambes écartées, offrant sa croupe à un gaillard au crâne rasé, musclé comme un bodybulder avec un T-shirt blanc moulant, le jean tombé aux chevilles, qui était en train de violenter bestialement Elise par derrière. Je bandais à mort à la voir transformée en petite salope avide d’un sexe hard. Elle rebondissait sous les coups de reins du molosse, sa chevelure balançait d’avant en arrière et elle semblait adorer se faire ramoner de la sorte. Je me délectais à voir enfin sa petite chatte pour de vrai et ses petites fesses si bien dessinées. Voir la queue turgescente du sauvage la fourrer ainsi était un spectacle au-delà de mes espérances.
Le gars la tenait fermement par les hanches et s’en donnait à cœur joie, grognant et grimaçant de plaisir. Il l’attrapa par les cheveux d’une main et continua à assouvir une soif démesurée de sexe. Elle se faisait littéralement défoncer et étouffait ses hurlements de plaisir. Elle tentait de se maintenir debout sous les coups de butoir en s’accrochant à ce qu’elle pouvait pour ne pas perdre l’équilibre.
Je parvins à délivrer ma queue dure et raide de mon jean, non sans mal, avec une seule main, l’autre s’appliquant à conserver la prise de vue sur ce qu’Elise refuserait de laisser diffuser. Et, si mon plan fonctionne, elle serait prête à offrir ce que je voudrais en contrepartie de mon silence… Je me sentais immonde et pervers sans pitié mais cette situation et ses perspectives me procuraient un plaisir incommensurable. Autant je me serais refusé à avoir un écart maladroit avec la copine de mon pote, autant là je trouvais que la violation de mes principes trouvait une compensation irrefusable et non discutable.
Je laissais ainsi mon appareil enregistrer la scène en prenant garde à ne pas être vu.
Je m’efforçais de saisir toutes les expressions du visage d’une Elise que je découvrais sous un angle inespéré. Le grand costaud avait conscience qu’il ne fallait pas s’attarder. Il accéléra alors le rythme à un niveau insoutenable, Elise n’aurait pas pu tenir debout s’il ne l’avait pas tenue fermement par la taille et par la chevelure. Il poussa bientôt un râle puissant, se crispa, grimaça et je réussi à filmer par en dessous sa queue secouée de convulsions qui injectait de gros jets de sperme au fond du vagin serré d’une Elise traversée par un orgasme elle aussi, les yeux révulsés et les jambes tremblantes. Ses grognements diminuèrent à chaque saccade et ses bras se relâchèrent progressivement. On sentait qu’il venait de se libérer d’une tension d’une intensité extrême. Il fit encore quelques allers-retours pour savourer un dernier instant l’orgasme puissant qu’il venait de prendre avec le corps si canon de cette chienne si assoiffée et se retira doucement, laissant échapper un flot de sperme bien épais de sa petite chatte.
Je retira alors mon téléphone et me fis silencieux.
Le gars sorti et Elise referma la porte pour rester seule.
Je sorti à mon tour et fis semblant de me laver les mains pour attendre qu’Elise sorte.
Lorsqu’elle ouvrit la porte et m’aperçut son regard était malicieux. Elle sourit et semblait ravie de son sort cette salope.
Elle fit l’air de rien mais senti très vite que ce n’était pas sa place car nous étions dans les toilettes des hommes…
Elle sembla réaliser la situation et se sentie gênée lorsqu’elle m’aborda.
« Tu viens danser ? » me dit-elle pour essayer de masquer ce qui venait de se passer.
Je lui fis non de la tête et lui montra mon téléphone avec un petit sourire vicieux.
Elle comprit instantanément que je venais de filmer la scène et me fit ses yeux de chien battu pour m’implorer de ne rien dire à Ali, ni à personne, que ça devait rester entre nous. Elle me supplia d’effacer tout de suite les photos/vidéos que j’aurais pu prendre et espéra très fort que j’acquiesce sans faire d’histoire.
C’est là que le meilleur commença : celui où je lui murmura à l’oreille que je pourrais tout effacer… mais que je comptais bien me branler en regardant ces images, et puis, qui sait, peut-être que je devrais en parler à Ali, c’est mon pote tout de même…
Son regard était paniqué, elle ne voulait surtout pas que je parle et diffuse quoi que ce soit, alors elle me regarda froidement en me demandant : « Qu’est-ce qu’il faut que je fasse pour acheter ton silence ? »
Je l’entends encore aujourd’hui. Je me disais que j’avais toutes les cartes en main et qu’elle était désormais à ma merci.
Je lui montra un box libre et l’invita à entrer en première. Elle s’exécuta avec résignation et je la suivis en veillant à ne pas nous faire remarquer. Elle me regarda avec un regard soumis et implorant mais s’accroupit docilement sous la pression de ma main sur sa nuque.
Je déboutonna mon jean et la laissa poursuivre ce qu’il lui restait à faire.
Je pris d’une main mon téléphone et lança la vidéo après lui avoir dit sur le ton de la confidence : « Celle-là aussi je la garderai bien cachée, sois rassurée petite salope… »
Ma queue fut rapidement revenue en position verticale et quand je poussa le bassin en avant pour lui tendre, je pressentis que ma bite pourrait exploser !
Quand je vis Elise saisir ma bite avec ses doigts fins, je sentis que je réalisais là un fantasme maintes fois revisité. Avant d’enfourner ma queue entre ses lèvres elle me regarda dans les yeux et me sourit avec un regard que je ne lui connaissais pas, un regard déterminé mais dévoilant un désir malicieux.
Je pense qu’au bout du compte elle devait trouver la situation excitante. Je reconnu là bien Elise, toujours positive, toujours à voir le bon côté des choses, toujours à se satisfaire de ce que la vie lui réserve.
Je savourai sentir son souffle chaud sur mon gland l’instant précédent celui de sa langue venant s’enrouler autour de lui. Quel pied de sentir glisser ma queue dans sa bouche trempée et ses lèvres se refermer autour de mon membre gonflé à la limite de la rupture. Je ne pu m’empêcher de penser à Ali qui devait dormir alors que sa copine était en train de me pomper le dard comme une déesse.
Ses va et vient sur ma queue déclenchaient un tsunami de plaisir dans mon cerveau. Je la contemplais s’appliquer à me sucer tout en levant le regard jusqu’au mien afin de savourer elle aussi l’effet qu’elle me faisait avec sa bouche et sa langue. J’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais. Je la regardais de temps en temps retirer ma queue de sa jolie bouche, un filet de bave nous liait encore jusqu’à ce qu’elle engloutisse à nouveau mon membre. Je ne pu résister à l’envie de la tenir par la nuque pour que le plaisir soit total. Elle ne broncha pas et se laissa guider la tête par ma main ferme. J’essaya de pousser le vice plus loin en tentant une gorge profonde. Je sentis qu’elle inclina sa tête pour faciliter le passage au fond de sa gorge serrée, je poussai doucement et senti mon gland pénétrer la gorge d’Elise. Pour mon plus grand plaisir et étonnement, elle réussit à avaler l’intégralité de mon membre, pourtant conséquent. Je pressai sa nuque lentement jusqu’à sentir sa petite langue venir me lécher les couilles. Je me reteins de tout décharger à cet instant précis, mais ça aurait été du gâchis, je voulais profiter d’elle encore, depuis le temps que je rêvais de me la faire cette chienne. Elle se retira continua à me pomper docilement et recommença plusieurs gorges profondes d’affilée.
J’espérais qu’Ali profite autant de sa gorge le veinard !
Je sentis que la situation l’excitait car elle se caressait et grognait de plaisir.
Elle ne pouvait plus attendre de se faire prendre et se leva, retira rapidement sa culotte en dentelle et s’installa face à moi sur le couvercle fermé des toilettes, les jambes écartées, se tenant aux parois avec les mains. Cette vue je l’ai imaginée plus d’une fois mais la réalité dépassait mon imagination. Elise me regardait avec un regard de braise, haletante, les jambes écartées, sa petite robe remontée jusqu’au nombril, mourant d’envie que je la pénètre. Alors je posai précautionneusement le téléphone sur le dérouleur à PQ pour filmer la scène en essayant de ne pas être dans le champ pour ne pas apparaitre.
Je pris ses chevilles par les mains, ajusta ma taille pour que ma queue soit pile à l’entrée de sa petite chatte trempée et admira mon sexe glisser au fond de son ventre. Je n’imaginais pas qu’elle était aussi serrée, plus que dans le meilleur de mes rêves ! Elle poussa un soupir profond et étouffé en me fixant d’un regard implorant à la fois de la ménager et à la fois l’envie de se faire baiser profondément. Je me demande si le fait que je sois l’un des meilleurs amis de son mec l’excitait autant que moi.
Je pris mon temps pour la prendre bien profondément et accéléra le rythme jusqu’à sentir mes couilles claquer contre sa peau en rythme. Elle s’agrippait à mon cou et fermait les yeux en gémissant et grimaçant puis écarquillant les yeux tout grand. Pour mon plus grand plaisir elle m’encouragea même à la baiser avec des mots crus du style : « Vas-y ! Bien profond ! Quelle queue ! J’adore ! Prends-moi ! Baise moi fort ! Je vais jouir ! C’est trop bon ! Vide tes couilles ! Ça te plait hein ?! Je veux déborder de ton sperme ! Tu es un salaud ! J’aime ça ! Oui, encore ! »
Elle qui semblait si dépitée quand elle eut compris mon chantage me comblait de la sentir si excitée désormais.
Je ne parvins pas à rester silencieux comme je le voulais afin de ne pas être reconnu sur la vidéo, tant pis, je couperai au montage me dis-je, je m’en fichais totalement et ne pus m’empêcher de lui parler cru moi aussi : « Petite salope ! Depuis le temps que je voulais te baiser ! Avec ton corps de pute ! Si tu savais comme je me suis branlé en pensant à toi en imaginant tout le sperme que je te fourrerais au fond de la chatte… et sur ta gueule de chienne ! Ho oui ! Que c’est bon de te baiser maintenant ! Tu en avais envie toi aussi on dirait hein !? » et sa réponse déclencha chez moi un orgasme incroyable : « Ho oui, j’ai toujours eu envie que tu me défonces ! De sentir ta queue au fond de moi ! Voilà tu sais maintenant ! Mais tu es un beau salaud ! J’aime me faire baiser comme ça ! Comme une salope ! Vas-y, vide-toi les couilles au fond de ma chatte salopard ! Rempli moi de sperme… » et elle aussi fut envahie d’un puissant orgasme qu’elle peina à étouffer. Je sentis les saccades de sperme jaillir au fond de sa petite chatte toute serrée, j’aurais bien voulu profiter plus d’elle mais c’était trop bon et ne pouvais pas me retenir plus encore. Je la remplissais cette chienne, je vidais mes couilles bien pleines tout au fond de la copine de mon pote qui me faisait fantasmer depuis tant d’années… Nous restâmes un moment emboités l’un dans l’autre, haletants, le cœur battant, les yeux dans les yeux, fébriles…. Puis je sorti doucement ma queue de son antre si agréable et me recula. Elle se détacha de moi et continua de me surprendre en s’accroupissant à nouveau devant moi pour me lécher le gland et avaler les dernières gouttes de sperme qui pendaient. Elle s’appliquait avec sa langue et me souriait d’un air malicieux. Elle semblait ravie de ce moment improbable. Mon sperme coulait de sa chatte sur le sol et forma une petite flaque au sol. Elle passa les doigts sur sa fente et les porta à sa bouche pour les lécher méticuleusement.
Je récupéra le téléphone témoin de toute la scène et le rangea dans ma poche, me rhabilla calmement, sans un mot, sur un nuage. Elle s’essuya et attendit que je sorte.
Nous nous retrouvâmes à l’extérieur des toilettes, burent un dernier verre où elle me demanda ce que je comptais faire des vidéos. Je lui répondis que je les garderais cachées à condition bien sûr qu’elle accepte de se faire baiser à ma guise pour une durée indéterminée. Elle resta bouche bée et fronça les sourcils en manifestant son désaccord : « Je croyais que tu avais eu ce que tu voulais ! Ce n’est pas loyal ! Non ! Tu abuses ! » Ce à quoi je lui répondis : « C’est à toi de choisir… Je me ferai un plaisir d’envoyer sur internet des vidéos soignées de toi, de façon anonyme, à des gens que tu ne connais même pas qui relaieront à coup sûr les vidéos à d’autres personnes. Je n’ai aucun doute qu’avec un corps comme le tien tu seras vite likée par des milliers de mâles en train de se branler sur des sites pornos ou tu figureras dans la rubrique Skinny Asian Hardcore Creampie. Un jour Ali apprendra par quelqu’un d’autre que sa copine est sur des sites pornos et visionnera lui-même les vidéos, à moins que tes frères ou bien tes collègues ne les voient avant ? Qui oserait t’avouer t’avoir vu la veille au soir sur un site porno, qui osera te dire qu’il s’est fait plaisir à éjaculer en te regardant te faire démonter comme une pute dans les chiottes d’une boite sur de l’électro à fond. Peut-être tes voisins ? ou une de tes copines ? Et puis je crois que c’est difficile de faire disparaitre ce genre de vidéo ensuite… C’est vrai que tu es bandante…et moi je te trouve encore plus bandante quand tu es à mes pieds, totalement obligée de te soumettre à mes exigences. Tu ne sais peut-être pas que je suis encore plus pervers que tu ne l’imagines. J’ai pris un énorme plaisir à te tendre ce piège ce soir, et maintenant je vais prendre un immense plaisir soit à te montrer aux yeux de tous, soit à te traiter comme ma soumise absolue »
Elle était terrorisée devant le plaisir que j’éprouvais en racontant tout cela.
Je bandais à nouveau tellement fort que je la força à retourner dans les chiottes pour me pomper le dard comme une pute. Elle ne résista pas. Je lui baisa la bouche sans ménagement en l’insultant de tous les noms. J’adorais la sentir aussi soumise. Quel plaisir de se vider les couilles dans une beauté aussi interdite quelques heures à peine auparavant. Quel pied de se sentir aussi pervers et puissant.
J’éprouva un orgasme extrême lorsque je lui couvris le visage de nouveaux jets de sperme chaud et collant.
Bien entendu je réalisa une nouvelle vidéo de cette scène délicieuse. Une de plus comme élément de chantage s’il en fallait encore. Une de plus qui ferait éjaculer des millions d’hommes, du plus jeune au plus vieux, du plus inconnu au plus proche d’elle.
Ce moment de sacrifice valu une réponse à mon offre. Elle était désormais ma chose, ma pute, ma soumise, mon esclave. J’en ferais désormais ce que je voudrais.
Une fois nettoyée elle me proposa de rentrer nous coucher, ce que nous fîmes sur le champ.
Nos conjoints dormaient déjà et nous allions essayer de ne pas les réveiller.
Le lendemain promettait d’être torride, j’avais plein d’idées en tête, dont certaines d’une perversité absolue.
Je me dis qu’il était temps de quitter ma copine désormais pour me consacrer à plein temps à manipuler Elise dans le dos de mon pote Ali, le pauvre. Et je bandais à l’idée de penser qu’elle allait se faire souiller sa salope d’Elise, que j’allais désormais lui faire vivre des choses impensables et qu’elle n’aurait d’autres choix que de se résigner et de se soumettre. J’espère qu’elle y prendra du plaisir, son enthousiasme et son optimisme allaient être mis à rude épreuve désormais…
Ce que je vais vous raconter s’est passé il y a près de 15 ans à l’époque où nous avions à peine 30 ans.
J’étais en couple depuis près de 10 ans avec ma copine et je me lassais du sexe ensemble. J’avais des envies de plus en plus fortes de sexe avec d’autres filles. Sans que je veuille avoir une relation sentimentale, il me manquait du sexe, et mes fantasmes allaient crescendo…
Et s’il y avait bien une fille qui me faisait fantasmer c’était Élise, la copine d’un de mes meilleurs amis prénommé Ali. Pendant longtemps j’ai bien gardé de montrer quoi que ce soit de ce désir à qui que ce soit. J’avais des principes et il était absolument exclu d’envisager quoique ce soit avec la copine d’un ami.
Pourtant un soir j’ai vrillé… Nous étions dans un grand club électro au centre-ville de Lyon avec toute une bande d’amis. Nous habitions tous pas très loin et nous pouvions nous y rendre à pied. Ce jour-là Ali et Elise étaient venus de Paris pour passer le week-end. J’étais content de les voir, autant Ali avec qui je m’entendais très bien depuis que nous avions fait connaissance lors de nos études, que Elise, sa copine depuis près de 10 ans que je trouvais archi bandante. Elle était laotienne, pas très grande, très fine et avait un visage aux traits doux. Ses yeux pétillants et ses lèvres pulpeuses la rendait irrésistible, surtout quand elle souriait, ce qui arrivait très souvent vu sa nature enthousiaste.
Ce soir-là nous dansions sans cesse. Nous entrecoupions la soirée juste pour nous alcooliser et nous désaltérer de temps en temps au bar avant de repartir sur le dance floor. Il se faisait de plus en plus tard et la fatigue commençait à gagner certains d’entre nous qui décidèrent de rentrer. Ma copine faisait partie de ce lot et Ali également. D’autres départs suivirent et finalement il ne resta que Elise et moi qui avions décidé de profiter encore un peu de cette musique envoutante. J’étais moi-même envouté par le corps de Elise en mouvement. Elle était hyper sexy dans sa petite robe moulante et je ne cessais de la regarder se déhancher en imaginant tout ce qu’il était possible de lui faire. Je retenais mes envies et me contentait de danser en fantasmant.
Plusieurs mecs tentaient des approches mais elle savait les repousser avec facilité.
La boite était encore pleine de plus d’une centaine de personnes à cette heure avancée et les pauses au bar s’allongeaient. Un petit tour dans l’espace fumeur à l’extérieur permettait de refroidir nos corps échauffés par tant de mouvements.
Les gens qui ne se connaissaient pas discutaient facilement et certains proposaient des produits illicites. Bien que je ne fusse pas vraiment axé sur ces mondes imaginaires je me laissai tenter par une poudre à sniffer qui me boosta et multiplia ma libido. Me vint alors une idée très perverse qui ne me quitta plus. Je savais que Elise n’aurait jamais accepter de prendre cette poudre mais je voulu savoir si, chez elle aussi, cela boosterait sa libido… L’envie était trop forte et je cédai à la tentation de verser une bonne dose dans son verre. Je savais que c’était immoral et lâche mais je voulais irrésistiblement essayer… ce que je fis discrètement. Il ne me restait plus qu’à attendre et l’observer.
Elle ne tarda pas à danser plus langoureusement, caressant son corps avec ses mains comme elle ne l’avait jamais fait jusqu’alors. Son regard devint plus provoquant et plus soutenu. Ses petits sourires séduisants laissaient eux aussi penser qu’elle devait ressentir ce que je ressentais : une grosse montée de libido !
Les avances des mecs ne cessaient pas et elle ne les rejetait plus mollement, elle les entretenait même voire chauffait ces mâles en ruts. Je me mis à côté d’elle et la sentit me provoquer également, elle riait, souriait et m’effleurait presque à chaque mouvement. Je me retenais et avait une idée en tête, une idée très perverse. Je m’éloignai un peu pour la laisser seule à danser entourée de mecs attirés par son corps comme des insectes par une lumière dans la nuit. Une fois au bar je repérai les gars qui l’avaient approchée et qui venaient se désaltérer au bar.
C’est ainsi que je débutai la suite de mon plan. J’abordai alors chacun de ces types, un par un, sans que les autres ne repèrent mon manège, et rapidement leur confiais sur le ton de la confidence qu’elle était une amie proche, célibataire, qu’elle était venue avec la ferme intention de se faire baiser ce soir et qu’elle m’avait confié qu’elle le trouvait très mignon, tout comme d’autres d’ailleurs, et qu’elle n’arrivait pas à choisir avec lequel elle se lâcherait ce soir. J’ajoutais que la connaissant elle finirait dans les toilettes avec quelqu’un. Mon plan était machiavélique et totalement pervers mais cela m’excitait au plus haut point. Je repris d’ailleurs un peu de cette poudre qui me donnait des idées aussi abjectes qu’excitantes.
Mon plan fonctionnait à merveille, en quelques minutes je la vis entourée d’une bande de mâles décidés à la baiser. Pour m’assurer qu’elle continue à avoir une libido aussi débridée je lui apportai un nouveau verre bien dosé en poudre à libido qu’elle but d’un trait.
Bientôt elle embrassa plusieurs mecs à la suite tout en continuant à danser. Elle se faisait peloter par des mains envieuses. Je bandais déjà comme un âne à la voir si excitée. En m’approchant d’elle Elise me murmura « Tu ne dis rien à Ali hein, je compte sur toi !» et ponctua sa phrase avec un baiser qui me fit vibrer entièrement. Je m’éloignai et attendis qu’elle décide d’aller plus loin avec un de ces mecs. Je n’eu pas à attendre très longtemps pour la voir quitter la piste avec un mec chaud comme la braise qu’elle trainait par le bras en direction des toilettes. Il s’agissait d’un endroit assez particulier, très grand, du genre underground avec des murs en briques beige, des portes en acier oxydé, des grilles en métal industriel et des lampes de chantier à la lueur volontairement tamisées. Ce look industriel aurait pu être un sous-sol BDSM et la voir aussi sexy et assoiffée de sexe dans ce lieu était un plaisir honteux mais puissant.
Je me pressai pour les suivre et préparai mon téléphone en mode vidéo.
Elle était déjà enfermée dans un box avec le mec qu’elle avait choisi et bien que la porte soit fermée j’entendais des halètements et des bruits de vêtements qu’on s’arrache. Il ne faisait aucun doute qu’elle était déjà en train de se faire démonter sauvagement par un inconnu. Je m’installa dans les toilettes voisines, ferma la porte et tendis mon téléphone en haut de la cloison pour filmer ce qui se passait. Je ne vis rien tout de suite mais j’imaginais cette bombasse en train de se faire démonter et ça m’excitait au plus haut point. Tout se passait comme prévu. Le plus dur fut d’attendre, sans rien voir, juste en entendant et en imaginant. J’essayais de passer le téléphone par le dessous de la cloison nous séparant pour capter un autre angle de vue, mode selfie. Je vis alors Elise avec la robe retroussée, appuyée sur les mains au mur opposé à l’entrée, sa petite culotte en dentelle aux chevilles étirée à la limite de craquer par ses jambes écartées, offrant sa croupe à un gaillard au crâne rasé, musclé comme un bodybulder avec un T-shirt blanc moulant, le jean tombé aux chevilles, qui était en train de violenter bestialement Elise par derrière. Je bandais à mort à la voir transformée en petite salope avide d’un sexe hard. Elle rebondissait sous les coups de reins du molosse, sa chevelure balançait d’avant en arrière et elle semblait adorer se faire ramoner de la sorte. Je me délectais à voir enfin sa petite chatte pour de vrai et ses petites fesses si bien dessinées. Voir la queue turgescente du sauvage la fourrer ainsi était un spectacle au-delà de mes espérances.
Le gars la tenait fermement par les hanches et s’en donnait à cœur joie, grognant et grimaçant de plaisir. Il l’attrapa par les cheveux d’une main et continua à assouvir une soif démesurée de sexe. Elle se faisait littéralement défoncer et étouffait ses hurlements de plaisir. Elle tentait de se maintenir debout sous les coups de butoir en s’accrochant à ce qu’elle pouvait pour ne pas perdre l’équilibre.
Je parvins à délivrer ma queue dure et raide de mon jean, non sans mal, avec une seule main, l’autre s’appliquant à conserver la prise de vue sur ce qu’Elise refuserait de laisser diffuser. Et, si mon plan fonctionne, elle serait prête à offrir ce que je voudrais en contrepartie de mon silence… Je me sentais immonde et pervers sans pitié mais cette situation et ses perspectives me procuraient un plaisir incommensurable. Autant je me serais refusé à avoir un écart maladroit avec la copine de mon pote, autant là je trouvais que la violation de mes principes trouvait une compensation irrefusable et non discutable.
Je laissais ainsi mon appareil enregistrer la scène en prenant garde à ne pas être vu.
Je m’efforçais de saisir toutes les expressions du visage d’une Elise que je découvrais sous un angle inespéré. Le grand costaud avait conscience qu’il ne fallait pas s’attarder. Il accéléra alors le rythme à un niveau insoutenable, Elise n’aurait pas pu tenir debout s’il ne l’avait pas tenue fermement par la taille et par la chevelure. Il poussa bientôt un râle puissant, se crispa, grimaça et je réussi à filmer par en dessous sa queue secouée de convulsions qui injectait de gros jets de sperme au fond du vagin serré d’une Elise traversée par un orgasme elle aussi, les yeux révulsés et les jambes tremblantes. Ses grognements diminuèrent à chaque saccade et ses bras se relâchèrent progressivement. On sentait qu’il venait de se libérer d’une tension d’une intensité extrême. Il fit encore quelques allers-retours pour savourer un dernier instant l’orgasme puissant qu’il venait de prendre avec le corps si canon de cette chienne si assoiffée et se retira doucement, laissant échapper un flot de sperme bien épais de sa petite chatte.
Je retira alors mon téléphone et me fis silencieux.
Le gars sorti et Elise referma la porte pour rester seule.
Je sorti à mon tour et fis semblant de me laver les mains pour attendre qu’Elise sorte.
Lorsqu’elle ouvrit la porte et m’aperçut son regard était malicieux. Elle sourit et semblait ravie de son sort cette salope.
Elle fit l’air de rien mais senti très vite que ce n’était pas sa place car nous étions dans les toilettes des hommes…
Elle sembla réaliser la situation et se sentie gênée lorsqu’elle m’aborda.
« Tu viens danser ? » me dit-elle pour essayer de masquer ce qui venait de se passer.
Je lui fis non de la tête et lui montra mon téléphone avec un petit sourire vicieux.
Elle comprit instantanément que je venais de filmer la scène et me fit ses yeux de chien battu pour m’implorer de ne rien dire à Ali, ni à personne, que ça devait rester entre nous. Elle me supplia d’effacer tout de suite les photos/vidéos que j’aurais pu prendre et espéra très fort que j’acquiesce sans faire d’histoire.
C’est là que le meilleur commença : celui où je lui murmura à l’oreille que je pourrais tout effacer… mais que je comptais bien me branler en regardant ces images, et puis, qui sait, peut-être que je devrais en parler à Ali, c’est mon pote tout de même…
Son regard était paniqué, elle ne voulait surtout pas que je parle et diffuse quoi que ce soit, alors elle me regarda froidement en me demandant : « Qu’est-ce qu’il faut que je fasse pour acheter ton silence ? »
Je l’entends encore aujourd’hui. Je me disais que j’avais toutes les cartes en main et qu’elle était désormais à ma merci.
Je lui montra un box libre et l’invita à entrer en première. Elle s’exécuta avec résignation et je la suivis en veillant à ne pas nous faire remarquer. Elle me regarda avec un regard soumis et implorant mais s’accroupit docilement sous la pression de ma main sur sa nuque.
Je déboutonna mon jean et la laissa poursuivre ce qu’il lui restait à faire.
Je pris d’une main mon téléphone et lança la vidéo après lui avoir dit sur le ton de la confidence : « Celle-là aussi je la garderai bien cachée, sois rassurée petite salope… »
Ma queue fut rapidement revenue en position verticale et quand je poussa le bassin en avant pour lui tendre, je pressentis que ma bite pourrait exploser !
Quand je vis Elise saisir ma bite avec ses doigts fins, je sentis que je réalisais là un fantasme maintes fois revisité. Avant d’enfourner ma queue entre ses lèvres elle me regarda dans les yeux et me sourit avec un regard que je ne lui connaissais pas, un regard déterminé mais dévoilant un désir malicieux.
Je pense qu’au bout du compte elle devait trouver la situation excitante. Je reconnu là bien Elise, toujours positive, toujours à voir le bon côté des choses, toujours à se satisfaire de ce que la vie lui réserve.
Je savourai sentir son souffle chaud sur mon gland l’instant précédent celui de sa langue venant s’enrouler autour de lui. Quel pied de sentir glisser ma queue dans sa bouche trempée et ses lèvres se refermer autour de mon membre gonflé à la limite de la rupture. Je ne pu m’empêcher de penser à Ali qui devait dormir alors que sa copine était en train de me pomper le dard comme une déesse.
Ses va et vient sur ma queue déclenchaient un tsunami de plaisir dans mon cerveau. Je la contemplais s’appliquer à me sucer tout en levant le regard jusqu’au mien afin de savourer elle aussi l’effet qu’elle me faisait avec sa bouche et sa langue. J’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais. Je la regardais de temps en temps retirer ma queue de sa jolie bouche, un filet de bave nous liait encore jusqu’à ce qu’elle engloutisse à nouveau mon membre. Je ne pu résister à l’envie de la tenir par la nuque pour que le plaisir soit total. Elle ne broncha pas et se laissa guider la tête par ma main ferme. J’essaya de pousser le vice plus loin en tentant une gorge profonde. Je sentis qu’elle inclina sa tête pour faciliter le passage au fond de sa gorge serrée, je poussai doucement et senti mon gland pénétrer la gorge d’Elise. Pour mon plus grand plaisir et étonnement, elle réussit à avaler l’intégralité de mon membre, pourtant conséquent. Je pressai sa nuque lentement jusqu’à sentir sa petite langue venir me lécher les couilles. Je me reteins de tout décharger à cet instant précis, mais ça aurait été du gâchis, je voulais profiter d’elle encore, depuis le temps que je rêvais de me la faire cette chienne. Elle se retira continua à me pomper docilement et recommença plusieurs gorges profondes d’affilée.
J’espérais qu’Ali profite autant de sa gorge le veinard !
Je sentis que la situation l’excitait car elle se caressait et grognait de plaisir.
Elle ne pouvait plus attendre de se faire prendre et se leva, retira rapidement sa culotte en dentelle et s’installa face à moi sur le couvercle fermé des toilettes, les jambes écartées, se tenant aux parois avec les mains. Cette vue je l’ai imaginée plus d’une fois mais la réalité dépassait mon imagination. Elise me regardait avec un regard de braise, haletante, les jambes écartées, sa petite robe remontée jusqu’au nombril, mourant d’envie que je la pénètre. Alors je posai précautionneusement le téléphone sur le dérouleur à PQ pour filmer la scène en essayant de ne pas être dans le champ pour ne pas apparaitre.
Je pris ses chevilles par les mains, ajusta ma taille pour que ma queue soit pile à l’entrée de sa petite chatte trempée et admira mon sexe glisser au fond de son ventre. Je n’imaginais pas qu’elle était aussi serrée, plus que dans le meilleur de mes rêves ! Elle poussa un soupir profond et étouffé en me fixant d’un regard implorant à la fois de la ménager et à la fois l’envie de se faire baiser profondément. Je me demande si le fait que je sois l’un des meilleurs amis de son mec l’excitait autant que moi.
Je pris mon temps pour la prendre bien profondément et accéléra le rythme jusqu’à sentir mes couilles claquer contre sa peau en rythme. Elle s’agrippait à mon cou et fermait les yeux en gémissant et grimaçant puis écarquillant les yeux tout grand. Pour mon plus grand plaisir elle m’encouragea même à la baiser avec des mots crus du style : « Vas-y ! Bien profond ! Quelle queue ! J’adore ! Prends-moi ! Baise moi fort ! Je vais jouir ! C’est trop bon ! Vide tes couilles ! Ça te plait hein ?! Je veux déborder de ton sperme ! Tu es un salaud ! J’aime ça ! Oui, encore ! »
Elle qui semblait si dépitée quand elle eut compris mon chantage me comblait de la sentir si excitée désormais.
Je ne parvins pas à rester silencieux comme je le voulais afin de ne pas être reconnu sur la vidéo, tant pis, je couperai au montage me dis-je, je m’en fichais totalement et ne pus m’empêcher de lui parler cru moi aussi : « Petite salope ! Depuis le temps que je voulais te baiser ! Avec ton corps de pute ! Si tu savais comme je me suis branlé en pensant à toi en imaginant tout le sperme que je te fourrerais au fond de la chatte… et sur ta gueule de chienne ! Ho oui ! Que c’est bon de te baiser maintenant ! Tu en avais envie toi aussi on dirait hein !? » et sa réponse déclencha chez moi un orgasme incroyable : « Ho oui, j’ai toujours eu envie que tu me défonces ! De sentir ta queue au fond de moi ! Voilà tu sais maintenant ! Mais tu es un beau salaud ! J’aime me faire baiser comme ça ! Comme une salope ! Vas-y, vide-toi les couilles au fond de ma chatte salopard ! Rempli moi de sperme… » et elle aussi fut envahie d’un puissant orgasme qu’elle peina à étouffer. Je sentis les saccades de sperme jaillir au fond de sa petite chatte toute serrée, j’aurais bien voulu profiter plus d’elle mais c’était trop bon et ne pouvais pas me retenir plus encore. Je la remplissais cette chienne, je vidais mes couilles bien pleines tout au fond de la copine de mon pote qui me faisait fantasmer depuis tant d’années… Nous restâmes un moment emboités l’un dans l’autre, haletants, le cœur battant, les yeux dans les yeux, fébriles…. Puis je sorti doucement ma queue de son antre si agréable et me recula. Elle se détacha de moi et continua de me surprendre en s’accroupissant à nouveau devant moi pour me lécher le gland et avaler les dernières gouttes de sperme qui pendaient. Elle s’appliquait avec sa langue et me souriait d’un air malicieux. Elle semblait ravie de ce moment improbable. Mon sperme coulait de sa chatte sur le sol et forma une petite flaque au sol. Elle passa les doigts sur sa fente et les porta à sa bouche pour les lécher méticuleusement.
Je récupéra le téléphone témoin de toute la scène et le rangea dans ma poche, me rhabilla calmement, sans un mot, sur un nuage. Elle s’essuya et attendit que je sorte.
Nous nous retrouvâmes à l’extérieur des toilettes, burent un dernier verre où elle me demanda ce que je comptais faire des vidéos. Je lui répondis que je les garderais cachées à condition bien sûr qu’elle accepte de se faire baiser à ma guise pour une durée indéterminée. Elle resta bouche bée et fronça les sourcils en manifestant son désaccord : « Je croyais que tu avais eu ce que tu voulais ! Ce n’est pas loyal ! Non ! Tu abuses ! » Ce à quoi je lui répondis : « C’est à toi de choisir… Je me ferai un plaisir d’envoyer sur internet des vidéos soignées de toi, de façon anonyme, à des gens que tu ne connais même pas qui relaieront à coup sûr les vidéos à d’autres personnes. Je n’ai aucun doute qu’avec un corps comme le tien tu seras vite likée par des milliers de mâles en train de se branler sur des sites pornos ou tu figureras dans la rubrique Skinny Asian Hardcore Creampie. Un jour Ali apprendra par quelqu’un d’autre que sa copine est sur des sites pornos et visionnera lui-même les vidéos, à moins que tes frères ou bien tes collègues ne les voient avant ? Qui oserait t’avouer t’avoir vu la veille au soir sur un site porno, qui osera te dire qu’il s’est fait plaisir à éjaculer en te regardant te faire démonter comme une pute dans les chiottes d’une boite sur de l’électro à fond. Peut-être tes voisins ? ou une de tes copines ? Et puis je crois que c’est difficile de faire disparaitre ce genre de vidéo ensuite… C’est vrai que tu es bandante…et moi je te trouve encore plus bandante quand tu es à mes pieds, totalement obligée de te soumettre à mes exigences. Tu ne sais peut-être pas que je suis encore plus pervers que tu ne l’imagines. J’ai pris un énorme plaisir à te tendre ce piège ce soir, et maintenant je vais prendre un immense plaisir soit à te montrer aux yeux de tous, soit à te traiter comme ma soumise absolue »
Elle était terrorisée devant le plaisir que j’éprouvais en racontant tout cela.
Je bandais à nouveau tellement fort que je la força à retourner dans les chiottes pour me pomper le dard comme une pute. Elle ne résista pas. Je lui baisa la bouche sans ménagement en l’insultant de tous les noms. J’adorais la sentir aussi soumise. Quel plaisir de se vider les couilles dans une beauté aussi interdite quelques heures à peine auparavant. Quel pied de se sentir aussi pervers et puissant.
J’éprouva un orgasme extrême lorsque je lui couvris le visage de nouveaux jets de sperme chaud et collant.
Bien entendu je réalisa une nouvelle vidéo de cette scène délicieuse. Une de plus comme élément de chantage s’il en fallait encore. Une de plus qui ferait éjaculer des millions d’hommes, du plus jeune au plus vieux, du plus inconnu au plus proche d’elle.
Ce moment de sacrifice valu une réponse à mon offre. Elle était désormais ma chose, ma pute, ma soumise, mon esclave. J’en ferais désormais ce que je voudrais.
Une fois nettoyée elle me proposa de rentrer nous coucher, ce que nous fîmes sur le champ.
Nos conjoints dormaient déjà et nous allions essayer de ne pas les réveiller.
Le lendemain promettait d’être torride, j’avais plein d’idées en tête, dont certaines d’une perversité absolue.
Je me dis qu’il était temps de quitter ma copine désormais pour me consacrer à plein temps à manipuler Elise dans le dos de mon pote Ali, le pauvre. Et je bandais à l’idée de penser qu’elle allait se faire souiller sa salope d’Elise, que j’allais désormais lui faire vivre des choses impensables et qu’elle n’aurait d’autres choix que de se résigner et de se soumettre. J’espère qu’elle y prendra du plaisir, son enthousiasme et son optimisme allaient être mis à rude épreuve désormais…
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Franchement mauvais texte. Mal écrit sans grand intérêt a part celui de montrer un viol. Vous êtes a gerber petit frustre incapable de faire jouir une femme autrement que sous la contrainte et la drogue ...
Quand on veut écrire des textes il faut d abord savoir écrire et connaître la conjugaison des verbes . En l occurence ce n est pas le cas .renvoyer votre Bescherelle .cela gache le récit et le rends encore plus médiocre .
Trop nul t lamentable tu mérite un châtiment
Il s'agit d'une fiction
C’est horrible et immoral si cette histoire est réelle tu devrais avoir honte tu l’à drogué et pour cela tu fois être puni
Votre récit sort de la charte. C’est à gerber comme pour le violeur de Mazan.
Vous êtes 1 être abject.
Vous êtes 1 être abject.