La cousine de Laurent - histoire érotique

Lors de notre mariage, à Laurent et moi, il y avait presque 150 invité(e)s, de la famille et des ami(e)s à chacun de nous. C'est ce jour-là que j'ai fait la connaissance de Sylvaine, la cousine de Laurent. Elle étaitâgée de 17 ans, un vrai rayon de soleil. Sa beauté m'a subjuguée, vêtue d'une petite robe bleue hyper moulante qui cachait à peine un corps de déesse. Mais ce jour-là je n'avais d'yeux que pour mon mari et n'eus aucune pensée coquine concernant qui que ce soit. Dans les semaines qui suivirent j'eus l'occasion de revoir 2 fois Sylvaine chez les parents de Laurent et très vite nous nous sommes aperçues bien des points communs. Toutes 2 nous aimons ce qui concerne la mode et certains loisirs.
Le jour de ses 18 ans ses parents ont organisé une fête à laquelle Laurent et moi avons été invités, c'était dans une salle avec un DJ qui savait mettre de l'ambiance.
Il devait être vers 01h00 quand sylvaine, un peu ivre, m'a demandé à l'accompagner au-dehors pour pendre l'air.
Assises toutes les 2 sur un banc, au bout d'un instant elle m'a demandé si elle pouvait venir chez moi lorsque Laurent serait absent car elle désirait me parler de certaines choses la concernant. J'ai évidemment accepté, lui proposant le mercredi après-midi, jour où Laurent va à son entraînement de foot et ne rentre jamais avant 22h00.
Le mercredi vers 19h00:
Sylvaine est arrivée, resplendissante comme toujours et dans une tenue qui avait dû affoler tous les mecs sur son trajet. Elle portait un short court ultra moulant, un collant et un t-shirt. Nous avons parlé de tout et de rien pendant un certain temps, mais je voyais bien qu'elle n'osait pas aborder le vrai sujet de sa visite. Alors j'en ai pris l'initiative, la rassurant que ce dont elle me parlerait resterait entre nous.
- Ben voilà, me dit-elle, maman a une maîtresse.
- Ton père veux-tu dire, répondis-je.
- Non, maman. C'est mon amie qui les a vue s'embrasser dans un café.
- S'embrasser comme 2 copines ou à pleine bouche, ai-je demandé.
- Leurs bouches étaient collées et maman caressait la nuque de la femme.
Elle a continué en me narrant tout ce que son amie avait vu et lui avait dit. C'était assez excitant et je ne pouvait m'empêcher de lorgner sur sa poitrine et ses sublimes jambes. L'air de rien, faisant mine d'être interloquée, j'ai déposé une main sur sa cuisse. Pas de réaction de sa part, elle était trop absorbée à me détailler la scène telle que la lui avit raconté son amie. Mais plus elle parlait et plus ça m'excitait, ma main d'abord simplement déposée allait et venait maintenant. J'ai vu qu'elle l'a regardée à plusieurs reprises, mais elle ne disait rien. Je lui ai demandé si c'était le fait que sa maman trompait son père ou si c'était parce-que c'était avec une femme.
- Je ne sais pas, peut-être parce-qu'elle trompe papa.
- Tu sais, ce n'est pas parce-qu'elle le trompe qu'elle ne l'aime plus, peut-être cherche-t-elle autre chose dans les bras d'une femme. D'ailleurs, toi-même n'as-tu jamais embrassé une copine ou eut envie de le faire ?
Elle me regardait mais ne répondit rien, certainement gênée de me l'avouer.
- Tu sais, embrasser une femme est très agréable, bien souvent on y trouve une douceur différente qu'avec un homme.
Ma main s'est insinuée entre ses cuisses remontant presqu'à son entrejambes, je la voyais rosir mais elle restait muette.
- Je vais te montrer, lui ai-je dit tout en approchant doucement mes lèvres des siennes jusqu'à les toucher. J'y ai d'abord déposé de petits baisers et, en l'absence de réactions négatives, me suis enhardie. Nos lèvres étaient jointes, nos langues jouaient entre elles, de temps en temps ma main quittait ses cuisses et remontait sous sa blouse pour titiller ses tétons.
Sa poitrine était libre de soutien-gorge, ses petits seins étaient fermes, Sylvaine est vraiment un "canon" comme disent les hommes.
Notre baiser a duré de longues minutes et elle semblait vraiment y goûter. Un coup d'oeil sur l'horloge mural me fit comprendre que, même si Sylvaine serait peut-être d'accord, nous n'aurions pas le temps de nous aimer avant le retour de Laurent. Je râlais un peu, qui sait si elle serait d'accord une autre fois alors qu'elle aura repris ses esprits.
Durant la 1/2 heure qui suivit nous avons repris une conversation banale, mais j'ai continué à lui caresser les cuisses durant tout ce temps. Il était presque 22h00 lorsqu'elle s'est levée pour partir, mais je ne voulais pas qu'elle me quitte ainsi. Alors, avant de lui ouvrir la porte d'entrée, je l'ai plaquée au mur et l'ai à nouveau embrassée. Cette fois elle fut hyper réceptive et m'enlaça contre elle.
- Si tu veux tu peux venir dimanche, Laurent a un match en extérieur et sera absent de 08h30 à +_ 17h00.
- Je ne sais pas, je te téléphonerai samedi pour te le dire, répondit-elle.
- Tu n'es pas fâchée, tu ne m'en veux pas, lui ai-je demandé.
- Non, je t'assure, m'at-elle rétorqué en me déposant un baiser.
Elle est partie et je me suis assise sur le divan après avoir éteint toutes les lumières. J'ai baissé ma petite culotte et j'étais en train de me donner du plaisir quand Laurent est arrivé. Vite j'ai réajusté ma tenue, il savait que sa cousine devait venir en son absence et je ne tenais pas à ce qu'il se doute de quoi que ce soit.
Le samedi Sylvaine m'a téléphoné, je vous raconterai lors de mon prochain post.
Bisous