La couturière (suite et fin)
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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La couturière (suite et fin)
La couturière n'avait plus le moral, non pas que la mort de son mari lui ait détruit son intérieur, mais la disparition de toute relation sexuelle lui manquait. Passer de cinq à six copulations par jour à un désert complet était perturbant.
Elle se confiait volontiers à madame D, certes son mari était une brute épaisse qui n'avait aucune délicatesse, mais passer de trop à rien du tout lui faisait un choc.
Madame D, bien sûr, partagea l'information avec son mari, celui-ci proposa que la couturière les accompagne dans leur club libertin habituel.
Lorsque madame D fit part de la proposition de son mari, la couturière commença par refuser en disant "je n'oserai jamais", puis devant l'insistance de madame D passa à "Alors juste pour un soir".
Madame D fit part du "dress-code" de ce genre d'établissement, ce qui ne posait aucun problème à la couturière, elle se rendit sur le site de "Sharon 33" et copia quelques modèles de Patrice Catanzaro et des modèles de la collection "Noir Handmade".
Le soir prévu tls vinrent chercher la couturière, madame D portait une jupe qui aurait pu sembler longue, mais dont un laçage dans le dos laissait un espace de plusieurs centimètres entre les deux pans de tissus, non seulement on voyait une bonne partie de ses fesses, mais un doigt inquisiteur pouvait, sans difficultés, venir tutoyer l'anus avec une certaine aisance.
La couturière avait opté pour la fabrication d'une robe courte dans un tissu fluide, écoutant les conseils de madame D elle portait un soutien-gorge demi-seins qui laissait la pointe des deux seins libres de toute entrave.
"ça fait pas trop?" s'inquiéta-t-elle aupré de madame D en lui montrant que le bas de la robe parvenait à peine sous son pli fessier, laissant cinq bons centimètres de peau nue visible au-dessus des bas auto fixant.
Madame D lui dit qu'elle serait loin d'être la femme la plus provocante.
Arrivés au "Vahiné" monsieur D expliqua la spécialisation des espaces, le rez de chaussée pour tout le monde, mais l'étage était scindé en deux parties, un côté où ne pouvaient accéder que les couples et les femmes seules; l'autre côté ouvert aux hommes seuls, mais où les couples et les femmes seules avaient accès.
La couturière ouvrait de grands yeux, effectivement de nombreuses femmes étaient plus extravagantes qu'elle, et certains couples avaient entamé leurs activités dans un peu tous les coins.
La couturière avait peur "de ne pas savoir faire"... Ils prirent un pot au comptoir et monsieur D lui expliqua que pour toute intromission d'un phallus elle devait exiger un préservatif (le sida était déjà là) mais qu'elle pouvait accepter les langues dans tous ses orifices (covid n'était pas encore arrivé).
Ils la conduisirent dans la salle SM du rez de chaussée, lui précisant qu'ils pouvaient fermer la porte derrière eux, et qu'ainsi ils ne seraient que tous les trois dans cet espace, mais que là, ils allaient laisser la porte simplement poussée, et que n'importe qui pourrait les rejoindre...
Ils lui montraient les différents instruments et leur fonctionnement, arrivés devant la croix de saint André, madame D lui proposa: "vous voulez essayer?" la couturière se laissa tenter et se retrouva attachée les jambes écartées et les bras en croix.
La position faisait que le bas de sa robe était un peu au-dessus de son sexe, monsieur D s'agenouilla et entreprit un léger cunnilingus tandis que madame D gobait la pointe d'un sein qu'elle suçait avec avidité.
La couturière qui n'avait jamais reçu le moindre préliminaire de la part de son mari considérait ces gestes comme des gestes d'affection et en avait les larmes aux yeux.
Monsieur D, tout en léchant le clitoris avait introduit deux doigts dans le vagin et la branlait avec vigueur.
Une tête masculine venait d'apparaitre dans l'entrebâillement de la porte, madame D lui fit signe de la main de venir les rejoindre. L'homme s'avança, et comme la bouche de la couturière était disponible, l'embrassa avec avidité.
La couturière lui répondit avec tout autant d'ardeur, elle était aux anges, tout le monde était gentil avec elle et lui portait des marques d'affection.
Elle se mit à jouir en gémissant dans la bouche de l'individu sous l'action des doigts dans son vagin et de la langue sur son clitoris.
Monsieur D se releva, le nouveau venu s'équipa d'un préservatif, et tenant la couturière par les hanches, il la pénétra en pliant un peu les genoux.
La couturière était dans les psalmodies, l'homme s'activa un petit moment entre ses cuisses, puis soudainement se cambra, il était évident qu'il jouissait, il se retira, murmura quelque chose à l'oreille de la couturière et sortit de la pièce.
Tandis que monsieur D la détachait de la croix de saint André la couturière ne cessait de répéter "il m'a dit merci et que j'étais un amour!"
Elle était vraiment perturbée par ce qu'elle considérait comme des marques d'affection (et ne savait pas qu'en réalité elle avait un passé de femme maltraitée).
Ils la conduisirent vers le carcan de bois. "Et celui là, vous voulez l'essayer?", elle répondit immédiatement "si je me régale autant qu'à l'autre, tout de suite!"
Elle se retrouva penchée en avant, la tête et les poignets insérés dans le carcan.
Madame D lui passait du lubrifiant sur l'anus, deux autres silhouettes masculines se présentaient à la porte, ils furent invités à s'approcher. Madame D vérifiait la présence du préservatif et le premier individu s'introduisit directement dans l'anus de la couturière, de toute évidence il fut trop bref pour que la couturière y trouve son plaisir, mais s'étant retiré il alla s'agenouiller devant la couturière pour lui dire : "tu sais combien tu es bonne toi?" alors que le partenaire suivant venait de lui introduire son phallus dans la chatte.
Celui ci fut un poil plus performant et parvint à la mener à l'orgasme.
Libérée du carcan la couturière ne cessait de se répandre en compliments sur les attitudes de tous ces gens qui ne la connaissaient pas et qui étaient gentils avec elle...
Ils se rendirent dans un petit salon très sobre et là, monsieur D s'allongea sur le dos sur le sol, sa femme ôta sa jupe et s'installa en "face sitting" au dessus de sa bouche. Elle fit signe à la couturière de dégrafer le pantalon de son mari et de lui faire une fellation; très intimidée la couturière s'exécuta, le sexe de l'homme était très honorable, ayant une confiance totale elle ne le revêtit pas d'un préservatif et le pompa goulument.
Le sexe était à sa rigidité optimale, fière de son oeuvre la couturière montra le résultat à madame D qui lui fit signe de s'empaler dessus... La couturière hésita , craignant d'avoir mal compris, mais comme madame D, sous les effets de la bouche de son mari partait dans un orgasme, la couturière s'empala sur le sexe de monsieur D, se disant "il n'y a pas de capote entre nous".
Madame D terminait son orgasme en frémissant, elle se retira d'au dessus de la tête de son mari et vint l'embrasser tandis que la couturière s'activait. Alors que madame D remettait sa jupe dont le laçage arrière était compliqué, la couturière se pencha en avant et tout en poursuivant son coït avec ardeur, embrassa monsieur D à pleine bouche, celui-ci lui rendit son baiser avec générosité en lui tenant la tête à deux mains.
La position était telle que l'invitation était trop tentante, un homme interrogea du regard madame D, celle ci lui murmura "avec un préservatif bien sur!"
L'homme s'équipa et, s'agenouillant, pénétra la couturière par l'anus. Celle-ci n'avait pas une grande habitude des doubles pénétrations et se mit à jouir rapidement et avec intensité.
Monsieur D lui tenait fermement la tête et la couturière criait son plaisir à l'intérieur de sa bouche, il éjaculat dans le vagin au moment où l'inconnu éjaculait dans le préservatif et dans l'anus de la couturière.
Un moment après, madame, monsieur D et la couturière prenaient tous les trois un café au comptoir avant de partir. Très gênée la couturière leur dit: "il faut que je vous dise car je ne peux pas garder ça pour moi, je suis amoureuse de tous les deux, je crois que je vous aime!"
Le couple évita de sourire de la naïveté et de la sincérité de cette déclaration, madame D se contenta d'embrasser à pleine bouche la couturière puis d'embrasser son mari avec autant de vigueur. Monsieur D donna un baiser profond à la couturière puis embrassa passionnément sa femme.
"Mais nous aussi on vous aime" lui répondirent ils presqu'en même temps.
La couturière insistait "mais je vous aime d'amour, tous les deux!", ils l'embrassèrent comme des amants et lui dire "et nous ferons encore d'autres soirées comme celle ci!"
La couturière se jeta sur eux pour les embrasser et renversa ce qui restait de café!
Elle se confiait volontiers à madame D, certes son mari était une brute épaisse qui n'avait aucune délicatesse, mais passer de trop à rien du tout lui faisait un choc.
Madame D, bien sûr, partagea l'information avec son mari, celui-ci proposa que la couturière les accompagne dans leur club libertin habituel.
Lorsque madame D fit part de la proposition de son mari, la couturière commença par refuser en disant "je n'oserai jamais", puis devant l'insistance de madame D passa à "Alors juste pour un soir".
Madame D fit part du "dress-code" de ce genre d'établissement, ce qui ne posait aucun problème à la couturière, elle se rendit sur le site de "Sharon 33" et copia quelques modèles de Patrice Catanzaro et des modèles de la collection "Noir Handmade".
Le soir prévu tls vinrent chercher la couturière, madame D portait une jupe qui aurait pu sembler longue, mais dont un laçage dans le dos laissait un espace de plusieurs centimètres entre les deux pans de tissus, non seulement on voyait une bonne partie de ses fesses, mais un doigt inquisiteur pouvait, sans difficultés, venir tutoyer l'anus avec une certaine aisance.
La couturière avait opté pour la fabrication d'une robe courte dans un tissu fluide, écoutant les conseils de madame D elle portait un soutien-gorge demi-seins qui laissait la pointe des deux seins libres de toute entrave.
"ça fait pas trop?" s'inquiéta-t-elle aupré de madame D en lui montrant que le bas de la robe parvenait à peine sous son pli fessier, laissant cinq bons centimètres de peau nue visible au-dessus des bas auto fixant.
Madame D lui dit qu'elle serait loin d'être la femme la plus provocante.
Arrivés au "Vahiné" monsieur D expliqua la spécialisation des espaces, le rez de chaussée pour tout le monde, mais l'étage était scindé en deux parties, un côté où ne pouvaient accéder que les couples et les femmes seules; l'autre côté ouvert aux hommes seuls, mais où les couples et les femmes seules avaient accès.
La couturière ouvrait de grands yeux, effectivement de nombreuses femmes étaient plus extravagantes qu'elle, et certains couples avaient entamé leurs activités dans un peu tous les coins.
La couturière avait peur "de ne pas savoir faire"... Ils prirent un pot au comptoir et monsieur D lui expliqua que pour toute intromission d'un phallus elle devait exiger un préservatif (le sida était déjà là) mais qu'elle pouvait accepter les langues dans tous ses orifices (covid n'était pas encore arrivé).
Ils la conduisirent dans la salle SM du rez de chaussée, lui précisant qu'ils pouvaient fermer la porte derrière eux, et qu'ainsi ils ne seraient que tous les trois dans cet espace, mais que là, ils allaient laisser la porte simplement poussée, et que n'importe qui pourrait les rejoindre...
Ils lui montraient les différents instruments et leur fonctionnement, arrivés devant la croix de saint André, madame D lui proposa: "vous voulez essayer?" la couturière se laissa tenter et se retrouva attachée les jambes écartées et les bras en croix.
La position faisait que le bas de sa robe était un peu au-dessus de son sexe, monsieur D s'agenouilla et entreprit un léger cunnilingus tandis que madame D gobait la pointe d'un sein qu'elle suçait avec avidité.
La couturière qui n'avait jamais reçu le moindre préliminaire de la part de son mari considérait ces gestes comme des gestes d'affection et en avait les larmes aux yeux.
Monsieur D, tout en léchant le clitoris avait introduit deux doigts dans le vagin et la branlait avec vigueur.
Une tête masculine venait d'apparaitre dans l'entrebâillement de la porte, madame D lui fit signe de la main de venir les rejoindre. L'homme s'avança, et comme la bouche de la couturière était disponible, l'embrassa avec avidité.
La couturière lui répondit avec tout autant d'ardeur, elle était aux anges, tout le monde était gentil avec elle et lui portait des marques d'affection.
Elle se mit à jouir en gémissant dans la bouche de l'individu sous l'action des doigts dans son vagin et de la langue sur son clitoris.
Monsieur D se releva, le nouveau venu s'équipa d'un préservatif, et tenant la couturière par les hanches, il la pénétra en pliant un peu les genoux.
La couturière était dans les psalmodies, l'homme s'activa un petit moment entre ses cuisses, puis soudainement se cambra, il était évident qu'il jouissait, il se retira, murmura quelque chose à l'oreille de la couturière et sortit de la pièce.
Tandis que monsieur D la détachait de la croix de saint André la couturière ne cessait de répéter "il m'a dit merci et que j'étais un amour!"
Elle était vraiment perturbée par ce qu'elle considérait comme des marques d'affection (et ne savait pas qu'en réalité elle avait un passé de femme maltraitée).
Ils la conduisirent vers le carcan de bois. "Et celui là, vous voulez l'essayer?", elle répondit immédiatement "si je me régale autant qu'à l'autre, tout de suite!"
Elle se retrouva penchée en avant, la tête et les poignets insérés dans le carcan.
Madame D lui passait du lubrifiant sur l'anus, deux autres silhouettes masculines se présentaient à la porte, ils furent invités à s'approcher. Madame D vérifiait la présence du préservatif et le premier individu s'introduisit directement dans l'anus de la couturière, de toute évidence il fut trop bref pour que la couturière y trouve son plaisir, mais s'étant retiré il alla s'agenouiller devant la couturière pour lui dire : "tu sais combien tu es bonne toi?" alors que le partenaire suivant venait de lui introduire son phallus dans la chatte.
Celui ci fut un poil plus performant et parvint à la mener à l'orgasme.
Libérée du carcan la couturière ne cessait de se répandre en compliments sur les attitudes de tous ces gens qui ne la connaissaient pas et qui étaient gentils avec elle...
Ils se rendirent dans un petit salon très sobre et là, monsieur D s'allongea sur le dos sur le sol, sa femme ôta sa jupe et s'installa en "face sitting" au dessus de sa bouche. Elle fit signe à la couturière de dégrafer le pantalon de son mari et de lui faire une fellation; très intimidée la couturière s'exécuta, le sexe de l'homme était très honorable, ayant une confiance totale elle ne le revêtit pas d'un préservatif et le pompa goulument.
Le sexe était à sa rigidité optimale, fière de son oeuvre la couturière montra le résultat à madame D qui lui fit signe de s'empaler dessus... La couturière hésita , craignant d'avoir mal compris, mais comme madame D, sous les effets de la bouche de son mari partait dans un orgasme, la couturière s'empala sur le sexe de monsieur D, se disant "il n'y a pas de capote entre nous".
Madame D terminait son orgasme en frémissant, elle se retira d'au dessus de la tête de son mari et vint l'embrasser tandis que la couturière s'activait. Alors que madame D remettait sa jupe dont le laçage arrière était compliqué, la couturière se pencha en avant et tout en poursuivant son coït avec ardeur, embrassa monsieur D à pleine bouche, celui-ci lui rendit son baiser avec générosité en lui tenant la tête à deux mains.
La position était telle que l'invitation était trop tentante, un homme interrogea du regard madame D, celle ci lui murmura "avec un préservatif bien sur!"
L'homme s'équipa et, s'agenouillant, pénétra la couturière par l'anus. Celle-ci n'avait pas une grande habitude des doubles pénétrations et se mit à jouir rapidement et avec intensité.
Monsieur D lui tenait fermement la tête et la couturière criait son plaisir à l'intérieur de sa bouche, il éjaculat dans le vagin au moment où l'inconnu éjaculait dans le préservatif et dans l'anus de la couturière.
Un moment après, madame, monsieur D et la couturière prenaient tous les trois un café au comptoir avant de partir. Très gênée la couturière leur dit: "il faut que je vous dise car je ne peux pas garder ça pour moi, je suis amoureuse de tous les deux, je crois que je vous aime!"
Le couple évita de sourire de la naïveté et de la sincérité de cette déclaration, madame D se contenta d'embrasser à pleine bouche la couturière puis d'embrasser son mari avec autant de vigueur. Monsieur D donna un baiser profond à la couturière puis embrassa passionnément sa femme.
"Mais nous aussi on vous aime" lui répondirent ils presqu'en même temps.
La couturière insistait "mais je vous aime d'amour, tous les deux!", ils l'embrassèrent comme des amants et lui dire "et nous ferons encore d'autres soirées comme celle ci!"
La couturière se jeta sur eux pour les embrasser et renversa ce qui restait de café!
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
une veuve « joyeuse » ça rappelle l’époque des films X au cinéma en France…..
Vos histoires sont sans cette veine: une dame naïve, des messieurs polis et sachant faire
jouir madame..,!!
Vos histoires sont sans cette veine: une dame naïve, des messieurs polis et sachant faire
jouir madame..,!!
quand l amour est présent et que l on rencontre ce que l on désir il n y a pas de limite la
veuve est devenue joyeuse joueuse et je crois que cela resteras longtemps partante pour d
autre expérience bonne continuation
veuve est devenue joyeuse joueuse et je crois que cela resteras longtemps partante pour d
autre expérience bonne continuation