La cravache (suite)
Récit érotique écrit par Annabelle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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La cravache (suite)
Puis, vous coupez mes liens au niveau des genoux et des chevilles. Vous me mettez debout et m’amenez penchée, par les cheveux à la salle de bain. J’ai peur je ne veux pas. Je m’imagine que vous allez me faire laver la face dans la toilette. Vous m’approchez de la toilette. Et me prenez la tête pour la mettre de côté juste en haut du bol.
- Ça c’est pour le « j » minuscule. Je crois qu’après ça, tu vas t’en souvenir.
Et vous vous mettez à me pisser sur le coin du visage, j’en reçois même dans l’oreille. Ça me coule sur les lèvres. Je ne veux rien avaler, je ferme les lèvres plus fort. Yeurk. J’en reviens pas, je me fais pisser dessus.
- Tu vas prendre une douche, mais tu bouges pas de là, tant que j’ai pas fermé la porte. Tu sortiras quand tu seras présentable.
Vous amenez mon déshabillé, vous fermez la lumière et la porte. Je me lève, ouvre la lumière et me regarde dans le miroir. J’ai l’air d’une trainée. C’est vrai, je ne suis pas très présentable. Le visage mouillé, collé, de sperme et d’urine. Les cheveux collés dans le visage. J’ai pu l’air de rien. Je saute dans la douche. J’essaie de tout enlever rapidement. J’ai même du sperme dans la narine.
Je me dépêche à sortir, je ne veux pas vous faire attendre, je sors avec mon déshabillé bleu pâle. Je vais vous rejoindre au salon (à vos pieds). Nous prenons un verre. Je vous embrasse le genou, je suis bien à vos pieds. Puis je vous prépare à souper. Je m’installe à genou près de vous pendant votre repas. Puis, nous retournons au salon. Vous me caressez la tête. Puis, vous me donnez un cadeau. Je me doute de ce qu’il contient. J’ouvre, c’est un collier. Mon collier. Je suis aux anges. Vous me l’attachez au cou. Puis je fini d’ouvrir mon cadeau et je trouve la laisse que vous accrochez ensuite au collier. On continue à parler un peu. Je pense à plein d’images. Je voudrais être rebelle, mais je me dis que pour le moment ce n’est pas le temps. Je viens de recevoir mon collier, je vais être gentille. Vous m’enlevez mon déshabillé et je me retrouve nue et en laisse.
Vous allez à la chambre et pendant ce temps, je ne fais que penser au fait que j’ai enfin un collier, un vrai, juste pour moi. Vous revenez ensuite, prenez ma laisse et me trainez à quatre pattes jusque sur mon lit. Là, vous m’attachez les bras et les jambes avec mes menottes (sous le lit). Et vous passez une sangle sur mon cou pour m’empêcher de relever la tête. Vous me mettez aussi un masque et un gag ball. Puis, tout deviens un peu vague, du moins en souvenir.
Je me souviens de vos doigts, de vibration intense, je crois même avoir senti une bouteille à l’entrée du vagin. J’ai aussi senti un couteau piquer mon clitoris. Je me doutais que c’était un couteau, mais j’avais presque l’impression que c’était une aiguille. Je me voulais plus bouger, plus me débattre, je ne voulais pas que ça finisse par me couper. Vous avez aussi passé la lame sur ma chatte, j’ai retenue mon souffle. Je savais que ce n’était pas le coté coupant, mais je n’étais pas totalement certaine, alors je ne bougeais pas.
Puis, avec le vibro pour le clitoris et vos doigts, vous m’avez transporté loin. J’étais toute crispée comme d’habitude, à vouloir me débattre. Puis, tout à coup, tout c’est relâché. Je suis devenue molle, et il s’est passé quelque chose de nouveau dans mon ventre. Je vous ai ensuite demandé si vous aviez senti quelque chose de différent. Vous m’avez dit qu’il y avait eu des genres de vagues à l’intérieur et que ça devait être ça. Donc voila, pour la première fois, ou du moins la première fois consciente, j’ai joui. À 27 ans, j’ai joui pour la première fois. Vous m’avez laissé un moment pour me calmer. On en a parlé plus tard, et vous trouviez ça drôle.
- Monsieur, c’était vraiment bizarre
- C’est pas supposé être bizarre, c’est supposé être bon
- Je sais bien, mais à 27 ans, c’est bizarre
Puis, vous m’avez pris. Vous m’avez détaché et m’avez pris encore. Vous êtes venu sur mon ventre. Vous l’avez étendu un peu… du moins c’est l’impression que j’ai eu. On a ensuite relaxé un peu. On a parlé de tout ça, de mon premier orgasme conscient à vie. Puis, vous m’avez repris, vous êtes encore venu sur mon ventre. J’ai été me nettoyer et on a dormi quelques heures.
Le lendemain, chaque fois que je bougeais je vous réveillais. Et je me suis mise à parler un peu.
- Monsieur, si vous voulez pu que je bouge, dites moi le.
- Quand je voudrai pu que tu bouges, je t’attacherai
- Dites moi, si vous voulez pu que je parle.
- Quand je voudrai pu t’entendre je te remplirai la bouche.
Puis, plus tard, vous m’avez pris la bouche, vous êtes venu en elle.
On a été déjeuner, puis avant de partir vous m’avez pris sur le congélateur. Ouff, c’était quelque chose. C’était bestial. Vous m’avez donné deux bonnes claques sur une fesse. Mais deux claques qui sont resté imprégné des heures durant. Je n’en pouvais plus. Il n’y avait pas de retiens de votre part dans ces claques. Juste une force brut, une force animale qui prend et donne ce qu’elle veut. Sans considération pour moi. Vous avez aussi beaucoup tiré sur mon collier, au point ou j’en avais de la difficulté à respirer. Vous avez éjaculé sur mon dos. Je n’ai pas pu me relever sur le coup. Mes jambes auraient lâché. J’étais dans ma bulle.
Puis, vous m’avez dit de rester comme ça jusqu’à votre départ. Et vous êtes parti…
- Ça c’est pour le « j » minuscule. Je crois qu’après ça, tu vas t’en souvenir.
Et vous vous mettez à me pisser sur le coin du visage, j’en reçois même dans l’oreille. Ça me coule sur les lèvres. Je ne veux rien avaler, je ferme les lèvres plus fort. Yeurk. J’en reviens pas, je me fais pisser dessus.
- Tu vas prendre une douche, mais tu bouges pas de là, tant que j’ai pas fermé la porte. Tu sortiras quand tu seras présentable.
Vous amenez mon déshabillé, vous fermez la lumière et la porte. Je me lève, ouvre la lumière et me regarde dans le miroir. J’ai l’air d’une trainée. C’est vrai, je ne suis pas très présentable. Le visage mouillé, collé, de sperme et d’urine. Les cheveux collés dans le visage. J’ai pu l’air de rien. Je saute dans la douche. J’essaie de tout enlever rapidement. J’ai même du sperme dans la narine.
Je me dépêche à sortir, je ne veux pas vous faire attendre, je sors avec mon déshabillé bleu pâle. Je vais vous rejoindre au salon (à vos pieds). Nous prenons un verre. Je vous embrasse le genou, je suis bien à vos pieds. Puis je vous prépare à souper. Je m’installe à genou près de vous pendant votre repas. Puis, nous retournons au salon. Vous me caressez la tête. Puis, vous me donnez un cadeau. Je me doute de ce qu’il contient. J’ouvre, c’est un collier. Mon collier. Je suis aux anges. Vous me l’attachez au cou. Puis je fini d’ouvrir mon cadeau et je trouve la laisse que vous accrochez ensuite au collier. On continue à parler un peu. Je pense à plein d’images. Je voudrais être rebelle, mais je me dis que pour le moment ce n’est pas le temps. Je viens de recevoir mon collier, je vais être gentille. Vous m’enlevez mon déshabillé et je me retrouve nue et en laisse.
Vous allez à la chambre et pendant ce temps, je ne fais que penser au fait que j’ai enfin un collier, un vrai, juste pour moi. Vous revenez ensuite, prenez ma laisse et me trainez à quatre pattes jusque sur mon lit. Là, vous m’attachez les bras et les jambes avec mes menottes (sous le lit). Et vous passez une sangle sur mon cou pour m’empêcher de relever la tête. Vous me mettez aussi un masque et un gag ball. Puis, tout deviens un peu vague, du moins en souvenir.
Je me souviens de vos doigts, de vibration intense, je crois même avoir senti une bouteille à l’entrée du vagin. J’ai aussi senti un couteau piquer mon clitoris. Je me doutais que c’était un couteau, mais j’avais presque l’impression que c’était une aiguille. Je me voulais plus bouger, plus me débattre, je ne voulais pas que ça finisse par me couper. Vous avez aussi passé la lame sur ma chatte, j’ai retenue mon souffle. Je savais que ce n’était pas le coté coupant, mais je n’étais pas totalement certaine, alors je ne bougeais pas.
Puis, avec le vibro pour le clitoris et vos doigts, vous m’avez transporté loin. J’étais toute crispée comme d’habitude, à vouloir me débattre. Puis, tout à coup, tout c’est relâché. Je suis devenue molle, et il s’est passé quelque chose de nouveau dans mon ventre. Je vous ai ensuite demandé si vous aviez senti quelque chose de différent. Vous m’avez dit qu’il y avait eu des genres de vagues à l’intérieur et que ça devait être ça. Donc voila, pour la première fois, ou du moins la première fois consciente, j’ai joui. À 27 ans, j’ai joui pour la première fois. Vous m’avez laissé un moment pour me calmer. On en a parlé plus tard, et vous trouviez ça drôle.
- Monsieur, c’était vraiment bizarre
- C’est pas supposé être bizarre, c’est supposé être bon
- Je sais bien, mais à 27 ans, c’est bizarre
Puis, vous m’avez pris. Vous m’avez détaché et m’avez pris encore. Vous êtes venu sur mon ventre. Vous l’avez étendu un peu… du moins c’est l’impression que j’ai eu. On a ensuite relaxé un peu. On a parlé de tout ça, de mon premier orgasme conscient à vie. Puis, vous m’avez repris, vous êtes encore venu sur mon ventre. J’ai été me nettoyer et on a dormi quelques heures.
Le lendemain, chaque fois que je bougeais je vous réveillais. Et je me suis mise à parler un peu.
- Monsieur, si vous voulez pu que je bouge, dites moi le.
- Quand je voudrai pu que tu bouges, je t’attacherai
- Dites moi, si vous voulez pu que je parle.
- Quand je voudrai pu t’entendre je te remplirai la bouche.
Puis, plus tard, vous m’avez pris la bouche, vous êtes venu en elle.
On a été déjeuner, puis avant de partir vous m’avez pris sur le congélateur. Ouff, c’était quelque chose. C’était bestial. Vous m’avez donné deux bonnes claques sur une fesse. Mais deux claques qui sont resté imprégné des heures durant. Je n’en pouvais plus. Il n’y avait pas de retiens de votre part dans ces claques. Juste une force brut, une force animale qui prend et donne ce qu’elle veut. Sans considération pour moi. Vous avez aussi beaucoup tiré sur mon collier, au point ou j’en avais de la difficulté à respirer. Vous avez éjaculé sur mon dos. Je n’ai pas pu me relever sur le coup. Mes jambes auraient lâché. J’étais dans ma bulle.
Puis, vous m’avez dit de rester comme ça jusqu’à votre départ. Et vous êtes parti…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J’adore encore svp
Ai déjà exprimé mon avis pour deux autres de vos récits.Cette partie
de 'la cravache'est tout aussi intéressante et terriblement excitante
Décidément,vous avez le don de m'émouvoir.J'en retire beaucoup de
plaisir.Encore une critique,mais pas pour vous:Dans son avis,le lecteur précédent a
fait 3 fautes d'orthographe,plus un mauvais choix
de temps de verbe!!Pas fort pour un donneur de leçon!!! Christ.
de 'la cravache'est tout aussi intéressante et terriblement excitante
Décidément,vous avez le don de m'émouvoir.J'en retire beaucoup de
plaisir.Encore une critique,mais pas pour vous:Dans son avis,le lecteur précédent a
fait 3 fautes d'orthographe,plus un mauvais choix
de temps de verbe!!Pas fort pour un donneur de leçon!!! Christ.
Des fautes nombreuse qui gâche le texte c'est dommage. Des mots mal écrit qui fait qu'on
ne comprend pas les phrases.
ne comprend pas les phrases.