La croisière s'amuse
Récit érotique écrit par Justinsolo17 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2013 dans la catégorie Plus on est
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La croisière s'amuse
Le bateau, je le connais. Un catamaran de 12 mètres pouvant accueillir jusqu’à 8
personnes pour une journée de balade le long des côtes, sous le vent de l’île. Nous
sommes à quai et les moteurs ronronnent au ralenti. Le programme, modifiable à la
demande des clients, je le connais aussi et pour cause, c’est moi qui l’ai mis au
point : sortie au moteur, navigation à la voile, mouillage dans une anse discrète,
baignade, déjeuner, baignade et retour. 4 à 5 heures à promener des touristes en
espérant un beau pourboire. Il fait un temps idéal ciel bleu et juste assez de vent
pour ne pas mourir de chaleur.
Les clients, eux, je ne les connais pas. Mais en voyant un couple d’un certain âge
s’avancer sur le ponton, je me doute que je vais bientôt faire connaissance avec les
premiers.
- Bonjour, vous êtes Justin ?
- Tout à fait, bienvenue à bord.
J’aide la dame à enjamber les filières. Il s’agit d’un couple d’une bonne cinquantaine
d’années. Lui est largement dégarni, un peu bedonnant, un look qui me rappelle les
photos que j’ai vu de Frédéric Dard, l’auteur de San Antonio : une allure d’industriel
cossu faisant attention à sa ligne. Je suis sûr qu’il joue au golf et au tennis. La
dame, elle, est assez grande, assez pulpeuse également. Tous deux sont en shorts, et
elle exhibe une peau bronzée qui me semble très lisse. Son visage encadré de boucles
blondes, est souriant et très légèrement maquillé. Son tee-shirt dissimule mal une
volumineuse poitrine. Par contre ses hanches sont assez minces. Elle a dû être une
très jolie femme et elle a de beaux restes.
Je leur présente le bateau et les installe dans le cockpit.
-Voulez-vous quelque chose à boire : jus de fruits, café ou planteur bien qu’il soit
un peu tôt ?
Ils se consultent du regard puis elle décide
- Allons-y pour deux planteurs. Ils ne sont pas trop forts ?
Je ramène leurs boissons qui étaient déjà prêtes dans le réfrigérateur du bateau.
- Ne vous inquiétez pas, ils sont légers. Il ne faudrait pas que vous soyez trop gais
avant l’arrivée des autres clients…
L’homme réagit :
- Des autres clients ? Mais nous ne sommes que deux. Nous avons loué le bateau pour
nous. L’agence ne vous a pas prévenu ?
La femme intervient
- Nous fêtons nos trente ans de mariage alors on se fait une petite folie…
- Eh bien, bon anniversaire et puisque vous n’attendez personne, en route !
J’embraye les moteurs et largue les amarres tandis qu’ils sirotent leurs punch. En
moi-même je me dis qu’ils ont quelques moyens pour se permettre ce genre de plaisir.
Mais j’ai cru discerner un léger accent chez elle. Ce sont probablement des suisses.
Je vais les soigner et ils soigneront mon pourboire…
Leurs boissons terminées, ils s’engouffrent dans le bateau et ne tarde pas à ressortir
en maillot de bain. Effectivement elle n’est pas mal du tout pour son âge. Pas ou peu
de ventre, des fesses un peu molles probablement mais appétissantes et une poitrine
généreuse que son soutien-gorge peine à contenir.
Elle se dirige vers l’avant du pont tandis que lui s’approche de moi.
- Dites-moi, jeune homme, nous sommes naturistes, cela ne vous choque pas ?
- Rien de me choque, monsieur, et sur les bateaux on vit souvent nus. Par contre,
attention : le soleil tape dur et ses rayons aiment les fesses blanches. N’oubliez pas
votre crème solaire et usez-en abondamment ; la réflexion sur l’eau pourrait vous
bruler très rapidement. Il serait dommage de ne plus pouvoir vous assoir.
- Merci du conseil. Peut-on s’installer sur le trampoline à l’avant ?
- Pas de soucis la mer est calme. Mais vous ne serez pas à l’abri de quelques embruns.
- Bah, l’eau est chaude, nous prenons le risque… Je vais chercher la crème solaire.
Nous sommes déjà hors du chenal. Tandis qu’il cherche sa protection solaire,
j’enclenche le pilote automatique et vais en pied de mât hisser la grand-voile.
La dame est étendue à plat ventre dans le trampoline. Elle n’a pas attendu mon
autorisation pour se mettre nue. Elle est vraiment appétissante. Je ramasse son
maillot qui git au pied du mât.
- Je range votre maillot à l’intérieur pour éviter qu’il ne finisse à l’eau, lui dis-
je
- Merci, vous êtes adorable.
De retour dans le cockpit j’explique brièvement le programme au mari qui, nu, s’enduit
copieusement de crème. En bon mâle vaniteux je constate que question taille je n’ai
pas avoir honte…
L’homme s’inquiète :
- La baie où nous déjeunerons ne sera pas trop fréquentée ?
- A cette saison, il y a des chances que nous y soyons seuls
- Tant mieux, ma femme et moi tenons à profiter pleinement de cette journée. Pour
vivre heureux vivons cachés.
Puis il s’en va dans le trampoline rejoindre sa femme.
J’ai coupé les moteurs, le bateau avance tranquillement sur l’eau transparente.
J’hésite à envoyer le génois, la voile d’avant, car cela risquerait de faire de
l’ombre à mes clients. Je décide de les laisser bronzer. Je vais à l’intérieur du
bateau ou, à la radio, je préviens mon compère Joseph de mon horaire probable
d’arrivée à l’anse où il réside. De la table à carte, j’ai une vue plongeante sur le
cockpit et je vois l’homme qui consciencieusement enduit sa femme de crème solaire.
Consciencieusement car je trouve qu’il insiste beaucoup sur les fesses et l’intérieur
des cuisses. Elle glousse et se retourne. Elle a une grosse poitrine, naturelle qui
pend un peu et, bingo, c’est une vraie blonde. Sa toison pubienne est taillée au
cordeau. L’homme continue ses caresses sur le haut des cuisses tandis que d’un geste
naturel, elle s’empare du sexe de son mari qu’elle commence à caresser. Un
grésillement dans la radio me rappelle à mes obligations. C’est Joseph, mon compère
qui a en charge d’amener le sublime colombo de poulet que sa femme cuisine et que je
sers aux clients
- Hey Justin, tu m’entends ?
- Oui Joseph.
Je parle bas dans le micro.
- J’étais perturbé par un charmant spectacle.
De fait, sur le trampoline, l’homme bande ferme et sa femme vient de se pencher sur
son sexe. Ca y est, elle l’a mis dans sa bouche et entame une fellation experte.
- Tu verrais ça vieux frère. Bon oublie le colombo pour midi, je n’ai que deux clients
et ils ont loué tout le bateau. Amène des langoustes…
- Ti male, elle doit être pas mal ta cliente !
- Tchembé raide
J’éteins la radio. Le couple est maintenant allongé sur le côté, lui, derrière elle et
à ses mouvements de bassin je comprends que la vie est belle pour eux.
Je regagne l’arrière du bateau et me remets à la barre. Et en parlant de barre, j’en
ai une sacrée dans mon short. Le fait de les entendre glousser n’arrange rien. Après
un long moment, c’est le silence… L’homme a dû arriver à bon port… En tous cas ils me
sont sympathiques avec leur sans gêne et leur totale impudeur.
Un claquement de vague dans une étrave, et des hurlements joyeux. Ils viennent de se
faire doucher.
Effectivement je ne tarde pas à les voir revenir trempés. Lorsqu’elle marche ses seins
libres de toutes entraves ballotent tellement qu’elle en amortit les mouvements de son
bras replié. Ils s’installent en riant dans le cockpit.
- Vous aviez raison pour les embruns… Dites-moi, vous reste-t-il de ce planteur ?
L’homme a la voix joyeuse du mâle après l’amour. Et ce sont de joyeux drilles.
- Bien sûr
Je leur ramène deux punch glacés. La dame a pris ses aises. Elle est assise sur une
banquette, tête en arrière, yeux fermés, les jambes tendues devant elle, pieds posés
sur un siège et les cuisses légèrement ouvertes. Sa lourde poitrine est attirante,
mais surtout, lorsque je passe devant elle, j’ai une vue plongeante sur son intimité.
Au moment où je vais regagner le poste de pilotage l’homme m’arrête.
- Vous en trinquerez bien avec nous ?
Je repars vers le carré et repasse devant la dame puis revient un verre de punch à la
main et fatalement devant elle. A chaque fois je ne peux m’empêcher de regarder ce
sexe semi-ouvert, quasi offert. Mon état ne doit pas passer inaperçu car l’homme
interpelle sa femme
- J’ai l’impression que tu ne laisses pas notre skipper indifférent, mon amour
Elle ouvre les yeux et son regard se fixe sur mon short, tandis que je suis
affreusement gêné.
- Allons, je pourrais être sa mère..
Toujours est-il qu’elle tend la main et effleure la bosse que fait mon sexe en
érection dans mon short.
- C’est vrai qu’il bande… Vous nous avez vus dans le trampoline, c’est ça
- J’ai vu sans le vouloir, madame, difficile de faire autrement
- Je vous l’avais dit, très chère, que vous vous comportiez comme une chatte en
chaleur. Regardez ce pauvre garçon maintenant. Vous ne pouvez pas le laisser comme
cela…
- Mais il ne voudra pas d’une vielle femme, mon ami..
- Vous êtes très belle madame
- Flatteur
Elle a glissé sa main dans ma ceinture et m’attire vers elle. D’une seule main,
experte, elle a dégrafé ma ceinture et mon short tombe à terre. Je ne porte pas de
slip et mon sexe tendu semble pointer vers son visage. Elle soupire :
- Ce serait dommage de laisser perdre cela
Elle finit son verre d’un trait et se penche sur mon problème. La sensation de sa
bouche rafraichie par la boisson sur mon sexe brulant est à crier de bonheur.
Son mari regarde la scène, confortablement installé en sirotant sa boisson. Je n’ose
rien dire rien faire pour ne pas casser la magie du moment. La tête blonde monte et
descend sur mon membre, aspirant, chatouillant, léchant. Le silence est intense
seulement interrompu pas le clapotis de la mer sur les coques et les bruits de succion
de ma cliente. C’est une experte en pipe et elle atteint son objectif : je sens le
plaisir monter de mes reins et je me déverse dans la bouche accueillante. Elle a
resserré ses lèvres autour de ma hampe et semble téter pour aspirer les dernières
gouttes de mon plaisir.
Quand, enfin, elle me libère, je pars sans un mot à l’intérieur et ramène d’autorité 3
autres boissons.
La dame a repris sa position légèrement obscène. Je pose un verre près d’elle et je
m’assois à côté de son mari dans l’axe de ses jambes entre-ouvertes…
- Elle suce comme une reine, n’est-ce pas ?
L’homme semble très fier.
- Je n’avais jamais connu cela. Vous êtes une experte madame.
- Merci jeune homme. Votre avis m’intéresse car mon mari n’est pas objectif. Il est
amoureux…
- Pas du tout très chère, vous avez une bouche divine, un cul de reine et votre sexe
est d’une douceur sans égale ; Et je suis objectif…
- Allons mon bon, vous allez encore perturber notre jeune skipper
De fait, de les entendre discuter ainsi, sans pudeur, tout en ayant sous les yeux sa
toison blonde qui souligne plutôt qu’elle cache son sexe, je sens ma bite reprendre
quelques vigueur. L’homme s’enquiert
- Dans combien de temps arrivons nous ?
- Encore une petite heure
- Et bien ma chère, vous avez le temps de nous montrer vos talents ainsi ce jeune
homme pourra juger que je suis objectif.
- Mais c’est au jeune homme qu’il faut demander
- Mais je suis entièrement d’accord avec votre mari, madame. Entièrement d’accord.
- Bon, mais n’attendez rien d’exceptionnel. C’est plutôt moi qui ai la chance d’avoir
deux queues sous la main. Allongez-vous sur le dos.
J’obtempère immédiatement. Elle se pose à mon côté et saisit ma verge semi-érigée dans
sa main. Quelques mouvements de poignet, en douceur, et me voici en érection.
- N’avais-je pas raison jubile son mari, elle réveillerait un mort
Je ne peux qu’acquiescer. Elle se lève et m’enjambe. J’ai au passage une merveilleuse
vision de son sexe. Puis elle s’accroupit au-dessus de ma queue et j’ai maintenant une
superbe vue sur son cul. Elle s’empare de ma verge, la place à l’entrée de son sexe et
dans un mouvement lent mais déterminé elle s’empale sur mon membre en poussant un
soupir d’aise…
Je vois son derrière un peu flasque monter et descendre lentement sur mon sexe. Elle
se tient très droite et regarde son mari dans les yeux. Son mouvement est régulier et
elle monte jusqu’à la limite puis se laisse retomber en profitant de toute ma
longueur. Lorsque ses fesses touchent mon bas-ventre elle a de petits mouvements de
bassin comme pour gagner encore quelques millimètres.
- Alors jeune homme, me demande son mari, le verdict ?
- Divin.
- Et toi chérie ?
- Il est long, c’est agréable
Elle a une voix un peu lente, comme si elle était concentrée sur mon mouvement, sur
son plaisir, sur notre plaisir.
L’homme se lève. Il a repris de la vigueur et se place devant sa femme.
- Allons chérie, vous savez faire plusieurs choses à la fois
Il place son sexe devant les lèvres de sa femme et docilement elle commence à le
sucer.
Notre trio s’active ainsi un bon moment puis l’homme sort sa queue de la bouche de sa
femme, la fait se relever et pivoter sur elle-même. Maintenant c’est sur sa poitrine
que je fixe mon regard tandis qu’elle s’empale de nouveau. Je malaxe plus que je ne
caresse ses mamelles.L’homme pousse sur son dos la forçant à poser ses seins sur mon
torse puis il farfouille derrière elle. Je sens un moment sa queue sur la mienne et je
m’immobilise. Il trouve enfin ce qu’il cherchait : l’entrée des reins de sa femme. Je
sens qu’elle se cambre. Puis elle pousse un cri. Son mari s’est introduit. Je me
remets à bouger en essayant de calquer mon rythme sur celui de son époux. Elle pousse
de longs gémissements de plus en plus rauques et de plus en plus forts. Puis son corps
se tend comme un arc prise d’un intense orgasme. Son plaisir déclenche le mien. Et
celui de son mari. Nous nous déversons dans les deux orifices investis en grognant de
bonheur.
Après un instant son mari se releva en mettant une claque ferme sur les fesses de son
épouse.
- Un cul de reine, je vous l’avais dit.
Nous étions devant l’anse ou je comptais m’arrêter. Impeccable, personne… Le temps d’y
entrer et d’ancrer le bateau et ils sont tous les deux à batifoler dans l’eau comme
des enfants.
J’ai remis mon short en prévision de la venue de Joseph et je mets la table pour les
clients. Trois couverts car l’usage est que le skipper mange avec ses clients. Compte
tenu de ce qu’ils m’avaient fait vivre, j’étais content d’avoir du champagne au frais
et je disposai des coupes. Il y aura, en dessert, une salade de fruits et des fruits
frais du pays. Des avocats en entrée et des langoustes. Le temps de préparer un plat
de riz et le tour est joué. Un déjeuner sympa par lequel j’espère montrer ma
reconnaissance pour le plaisir reçu.
Le bruit du moteur de la barque de Joseph me surprend au moment où je finis de dresser
la table. De mon âge, Joseph est un jeune pécheur local, excellent plongeur et joyeux
compagnon qui ne refuse jamais un ti ’punch au grand dam de sa femme. C’est plutôt un
beau mec avec un corps musclé mais élancé.
- Alors ils sont ou tes clients demande-t-il en déposant sur la table du carré un plat
de langoustes grillées
- Ils sont partis se baigner
Il jette un œil dehors
- Ok je les vois sur la plage. Mais ils sont à poil
- Ouais, des naturistes. Et des libertins. Je te raconterai. Mais pas maintenant ça va
me faire bander.
- A ce point… J’espère qu’on te paye pas pour ce job là, dit-il éclatant d’un rire
joyeux.
Je lui sers un verre afin de détourner la conversation et lui demande des nouvelles de
sa femme. Nous bavardons un moment puis il prend congé et regagne sa barque au moment
où mes clients se hissent sur la jupe arrière du bateau.
- Bonsoir messieurs dames dit Joseph les yeux rivés sur la poitrine de la dame
Je le présente aux clients
- Joseph, un ami qui vient d’apporter des langoustes
- Des langoustes. Comme c’est gentil s’écrit la cliente. Venez prendre l’apéritif avec
nous !
Joseph ne se fait pas prier et remonte à bord. Je crois que pas un instant il n’a
quitté des yeux les seins plantureux qui s’exhibent sous son nez.
Mes clients s’installent à table en me félicitant pour la décoration tandis que Joseph
s’assoit sur un des postes de barre.
Je débouche le champagne sous le regard ravi du mari et de la femme et je porte un
toast
- A vos trente ans de mariage
Ils se lèvent tous les deux et s’embrassent langoureusement. Nous trinquons.
L’ambiance est festive. Le rhum déjà ingurgité et nos exercices physiques n’y sont pas
pour rien. Joseph nous regarde un peu intrigué par cette bonne humeur.
Je le mets à l’honneur
- Venez voir ce que Jo a apporté.
Ils se lèvent et me suivent à l’intérieur. Leur nudité est totalement naturelle. Cris
de joie devant le plat de « bêtes à cornes »
- Oh, c’est magnifique
La dame ressort va vers Joseph e l’embrasse sur les deux joues :
-Merci beaucoup, c’est superbe
Je vois Joseph embarrassé, une femme, âgée certes mais attirante, nue dans ses bras et
une coupe de champagne à la main. J’imagine qu’il doit commencer à être assez excité.
Le mari intervient et m’interpelle :
- Ecoutez, il y en a trop. Verriez-vous un inconvénient à ce que votre ami déjeune
avec nous ?
La femme est toujours dans les bras de Joseph
- Oh oui Joseph, restez avec nous
Bien sûr, je n’y voir pas d’inconvénients et Joseph non plus !
Le déjeuner est animé, agréable et Joseph raconte des tas d’histoires sur son île, les
traditions, sa vie de pécheur. Certes son regard est très souvent rivé aux seins de ma
cliente mais son mari n’est pas jaloux et elle-même semble prendre plaisir à
s’exhiber. J’ouvre une deuxième bouteille alors que nous dévorons les langoustes, et
c’est repu que tout le mondes se vautre sur les banquettes tandis que je débarrasse la
table.
J’annonce le programme
- Allez, on va se baigner une dernière fois et on met les voiles.
- Super, ça va nous faire digérer.
La femme est déjà debout. Elle prend Joseph par le bras et le tire vers les jupes
arrières du bateau.
- Allez Joseph, à l’eau avec nous
Joseph et un peu ivre. Le rhum, il connait,le champagne moins. Il hésite un instant
puis se débarrasse de son short et plonge à l’eau, aussitôt suivi par le couple de
clients.
J’en profite pour faire la vaisselle et ranger les couverts pour éviter la casse.
J’entends les cris joyeux, puis l’homme remonte et s’essuie.
- Votre ami Joseph est très agréable. Et il fait honneur à son pays.
- Comment cela ?
- Eh bien, vous ne l’avez pas vu ?
Il éclate de rire
- Mon cher, il a une queue d’âne… Ma femme va être folle. Ça m’étonnerait qu’elle
résiste
La femme surgit de l’eau, accrochée à l’échelle de bain, suivit par Joseph qui du coup
doit avoir un vue intéressante sur son sexe et son cul.
Effectivement quand il surgit de l’eau je vois que l’homme n’a pas menti, Joseph est
monté comme un âne et en plus il est en semi érection. De quoi nous donner des
complexes. Il s’empare prestement d’une serviette et commence à s’enrouler dedans
dissimulant son membre à nos regards. La femme ne peut s’empêcher de réagir. Elle
bloque son bras, attrape la serviette et lui retire.
- Ah non, ne cachez pas un engin pareil, au contraire…
Joseph roule des yeux éberlués tandis qu’elle s’approche de lui et pose sa main sur sa
bite.
- Je n’en ai jamais vu une si grosse.
Elle soupèse le membre qui dodeline dans sa main.
- Je n’ai jamais vu de sexe noir. Vous vous rendez compte. Elles sont toutes de cette
taille ?
Joseph s’étrangle à moitié et c’est d’une voix de petit garçon qu’il répond :
- Non madame, ma femme dit qu’elle a de la chance
- Je la comprends. Vous permettez ?
Elle s’agenouille devant et prenant ses seins dans ses mains, elle entoure la queue
dans une douce prison et fait coulisser l’engin entre ses mamelles. Je connais la
femme de Joseph qui a un corps de gamine et de tous petits seins. Sûr qu’un traitement
pareil est une première pour lui. Le mari s’est assis et regarde la scène avec
intérêt, une flute de champagne à la main.
Sa femme branle doucement le sexe avec ses seins et profite que le gland émerge de sa
poitrine pour le lécher puis finalement finit par le mettre dans sa bouche. Joseph a
les yeux exorbités le souffle rauque et il a un soubresaut. Il se vide dans la bouche
qui l’emprisonne tandis que la dame continue ses va-et-vient. Du sperme dégouline le
long de la queue et coule sur son menton.
- Eh bien vous êtes rapide, vous aviez une grosse envie. C’est flatteur pour moi,
minaude sa suceuse.
Ce salaud ne débande même pas. Il reste raide comme la justice et avec des yeux
déments, il repousse la femme passe derrière elle, la fait mettre assez brutalement à
quatre pattes et se rue entre ses cuisses en s’enfonçant de toute sa longueur d’un
mouvement brutal qui arrache un petit cri à la dame. Effaré par la tournure des
évènements je me laisse tomber à côté du mari. Nous avons sa femme face à nous,
haletant la bouche ouverte, du sperme sur les lèvres et le menton, sa lourde poitrine
ballotant entre ses bras dans une houle puissante imposée par les coups de rein
frénétiques de Joseph, derrière elle, les yeux fermés, qui la tient fermement par les
hanches et lui imposant de véritables coups de boutoir de toute la longueur de son
membre disproportionné. C’est un coït primitif, bestial, mais très excitant puisque le
mari bande maintenant et se branle vigoureusement. Il finit par pousser un cri rauque
et se levant précipitamment, tenant son sexe à la main il s’approche de sa femme.
Pliant les genoux il éjacule à long traits sur son visage. Elle continue à haleter la
bouche ouverte, le sperme de son mari se mêlant à celui de Joseph. Son mari introduit
son sexe quasi flaque dans la bouche béante, finissant de se vider, extirpant de son
corps les dernières gouttes de jouissance sans que celle-ci ne réagisse.
J’ai moi-même sorti ma bite et me branle également avec énergie.
Joseph ne faiblit pas et la femme pousse maintenant des râles ininterrompus. J’accède
rapidement au plaisir et comme le mari, qui s’est rassit et reprend son souffle, je me
précipite sur la femme et lâche ma semence sur son visage, sur ses cheveux et dans sa
bouche grande ouverte en poussant des grognements de bête. La femme, maintenant hurle
sa jouissance à plein poumon tandis que fauché par le plaisir je m’effondre à côté du
mari, n’ayant pas la force de ranger ma bite qui pend hors de mon short.
Soudain, Joseph pousse un couinement qui en d’autres circonstances aurait été
ridicule. Il donne un dernier coup de rein, écrasant les fesses un peu flasque de la
cliente et se vide dans les entrailles de la femme qu’il lâche.
Elle se laisse aller à plat ventre, la croupe un peu surélevée et reste immobile,
silencieuse, haletante, le cul offert, dans une pose grotesque.
Le membre de Joseph perd de sa vigueur et il semble émerger d’un rêve. Il nous voit le
mari et moi, qui le regardons. Ses yeux se baissent sur la femme qui git à ses genoux.
Il voit son visage de profil, inondé de sperme, ses cheveux bonds dégoulinant où notre
semence s’est mêlée à l’eau de mer.
Soudain il se relève rapidement, saisit son short et sans prendre le temps de
l’enfiler, il saute dans sa barque, lance le moteur et s’enfuit avant que nous n’ayons
pu dire un mot.
Le mari le regarde s’éloigner, me regarde stupéfait et nous éclatons de rire
- On aurait dit qu’il avait le feu aux fesses
- C’est plutôt ma femme qui a le feu au cul
- Alors il avait vu le diable
- Ce n’était pas le diable, mais son gros zob poilu, chantonne le mari entre deux
hoquets.
Nous sommes tous deux en proie à un fou rire et nos hurlements finirent par faire
sortir la femme de sa torpeur
- La vache, qu’est-ce qu’il m’a mis
- Chérie je crois que ton maquillage coule
Elle passe la main sur son visage et la contemple recouvre de sperme
Nous continuons notre fou-rire et après quelques instants elle nous rejoint dans notre
hilarité nerveuse.
Le temps était passé plus rapidement que prévu et nous nous jetons à l’eau pour
essayer de reprendre des forces et pour la cliente, procéder à une toilette
nécessaire.
A peine remonté à bord, je vais hisser les voiles, relever le mouillage. Nous prenons
rapidement la route du retour, sous grand-voile et génois. Mes clients sont installés
dans le cockpit et finissent la bouteille de champagne. Elle est très bavarde.
- Il est incroyable Joseph. J’avais l’impression d’être dans la guerre du feu. Prise
en levrette par un monstre qui me pilonnait sans arrêt… Bestial. Mais quel pied, quel
pied…
Elle caresse distraitement le sexe de son mari qui ne réagit plus
- Pour nous aussi c’était impressionnant à voir, lui explique-t-il. Notre jeune
skipper et moi on s’est masturbés et on a pris notre plaisir sur ton visage sans que
tu réagisses.
- Vous avez fait cela ? Ah les cochons minaude-t-elle en simulant une fâcherie, en
tous cas j’avais une peur : qu’il essaie de prendre mes reins. Je n’aurais pas
survécu…
Je remets le pilote et vais ouvrir une troisième bouteille, la dernière de mon stock.
Je porte un toast à tout ce que nous avons vécu aujourd’hui.
- Si tous les clients étaient comme vous, ma vie serait un rêve.
Flattés ils trinquent avec moi.
Nous nous sommes rhabillés à l’entrée du chenal et c’est fatigués mais heureux que
nous avons pris nos amarres. Les adieux sur le quai sont émouvants car après avoir
vécu une telle intimité, les relations sont différentes.
D’ailleurs ils m’invitent à dîner pour le lendemain à leur hôtel. Et le pourboire que
l’homme me glisse discrètement témoigne que leur anniversaire de mariage leur a laissé
un souvenir inoubliable !
personnes pour une journée de balade le long des côtes, sous le vent de l’île. Nous
sommes à quai et les moteurs ronronnent au ralenti. Le programme, modifiable à la
demande des clients, je le connais aussi et pour cause, c’est moi qui l’ai mis au
point : sortie au moteur, navigation à la voile, mouillage dans une anse discrète,
baignade, déjeuner, baignade et retour. 4 à 5 heures à promener des touristes en
espérant un beau pourboire. Il fait un temps idéal ciel bleu et juste assez de vent
pour ne pas mourir de chaleur.
Les clients, eux, je ne les connais pas. Mais en voyant un couple d’un certain âge
s’avancer sur le ponton, je me doute que je vais bientôt faire connaissance avec les
premiers.
- Bonjour, vous êtes Justin ?
- Tout à fait, bienvenue à bord.
J’aide la dame à enjamber les filières. Il s’agit d’un couple d’une bonne cinquantaine
d’années. Lui est largement dégarni, un peu bedonnant, un look qui me rappelle les
photos que j’ai vu de Frédéric Dard, l’auteur de San Antonio : une allure d’industriel
cossu faisant attention à sa ligne. Je suis sûr qu’il joue au golf et au tennis. La
dame, elle, est assez grande, assez pulpeuse également. Tous deux sont en shorts, et
elle exhibe une peau bronzée qui me semble très lisse. Son visage encadré de boucles
blondes, est souriant et très légèrement maquillé. Son tee-shirt dissimule mal une
volumineuse poitrine. Par contre ses hanches sont assez minces. Elle a dû être une
très jolie femme et elle a de beaux restes.
Je leur présente le bateau et les installe dans le cockpit.
-Voulez-vous quelque chose à boire : jus de fruits, café ou planteur bien qu’il soit
un peu tôt ?
Ils se consultent du regard puis elle décide
- Allons-y pour deux planteurs. Ils ne sont pas trop forts ?
Je ramène leurs boissons qui étaient déjà prêtes dans le réfrigérateur du bateau.
- Ne vous inquiétez pas, ils sont légers. Il ne faudrait pas que vous soyez trop gais
avant l’arrivée des autres clients…
L’homme réagit :
- Des autres clients ? Mais nous ne sommes que deux. Nous avons loué le bateau pour
nous. L’agence ne vous a pas prévenu ?
La femme intervient
- Nous fêtons nos trente ans de mariage alors on se fait une petite folie…
- Eh bien, bon anniversaire et puisque vous n’attendez personne, en route !
J’embraye les moteurs et largue les amarres tandis qu’ils sirotent leurs punch. En
moi-même je me dis qu’ils ont quelques moyens pour se permettre ce genre de plaisir.
Mais j’ai cru discerner un léger accent chez elle. Ce sont probablement des suisses.
Je vais les soigner et ils soigneront mon pourboire…
Leurs boissons terminées, ils s’engouffrent dans le bateau et ne tarde pas à ressortir
en maillot de bain. Effectivement elle n’est pas mal du tout pour son âge. Pas ou peu
de ventre, des fesses un peu molles probablement mais appétissantes et une poitrine
généreuse que son soutien-gorge peine à contenir.
Elle se dirige vers l’avant du pont tandis que lui s’approche de moi.
- Dites-moi, jeune homme, nous sommes naturistes, cela ne vous choque pas ?
- Rien de me choque, monsieur, et sur les bateaux on vit souvent nus. Par contre,
attention : le soleil tape dur et ses rayons aiment les fesses blanches. N’oubliez pas
votre crème solaire et usez-en abondamment ; la réflexion sur l’eau pourrait vous
bruler très rapidement. Il serait dommage de ne plus pouvoir vous assoir.
- Merci du conseil. Peut-on s’installer sur le trampoline à l’avant ?
- Pas de soucis la mer est calme. Mais vous ne serez pas à l’abri de quelques embruns.
- Bah, l’eau est chaude, nous prenons le risque… Je vais chercher la crème solaire.
Nous sommes déjà hors du chenal. Tandis qu’il cherche sa protection solaire,
j’enclenche le pilote automatique et vais en pied de mât hisser la grand-voile.
La dame est étendue à plat ventre dans le trampoline. Elle n’a pas attendu mon
autorisation pour se mettre nue. Elle est vraiment appétissante. Je ramasse son
maillot qui git au pied du mât.
- Je range votre maillot à l’intérieur pour éviter qu’il ne finisse à l’eau, lui dis-
je
- Merci, vous êtes adorable.
De retour dans le cockpit j’explique brièvement le programme au mari qui, nu, s’enduit
copieusement de crème. En bon mâle vaniteux je constate que question taille je n’ai
pas avoir honte…
L’homme s’inquiète :
- La baie où nous déjeunerons ne sera pas trop fréquentée ?
- A cette saison, il y a des chances que nous y soyons seuls
- Tant mieux, ma femme et moi tenons à profiter pleinement de cette journée. Pour
vivre heureux vivons cachés.
Puis il s’en va dans le trampoline rejoindre sa femme.
J’ai coupé les moteurs, le bateau avance tranquillement sur l’eau transparente.
J’hésite à envoyer le génois, la voile d’avant, car cela risquerait de faire de
l’ombre à mes clients. Je décide de les laisser bronzer. Je vais à l’intérieur du
bateau ou, à la radio, je préviens mon compère Joseph de mon horaire probable
d’arrivée à l’anse où il réside. De la table à carte, j’ai une vue plongeante sur le
cockpit et je vois l’homme qui consciencieusement enduit sa femme de crème solaire.
Consciencieusement car je trouve qu’il insiste beaucoup sur les fesses et l’intérieur
des cuisses. Elle glousse et se retourne. Elle a une grosse poitrine, naturelle qui
pend un peu et, bingo, c’est une vraie blonde. Sa toison pubienne est taillée au
cordeau. L’homme continue ses caresses sur le haut des cuisses tandis que d’un geste
naturel, elle s’empare du sexe de son mari qu’elle commence à caresser. Un
grésillement dans la radio me rappelle à mes obligations. C’est Joseph, mon compère
qui a en charge d’amener le sublime colombo de poulet que sa femme cuisine et que je
sers aux clients
- Hey Justin, tu m’entends ?
- Oui Joseph.
Je parle bas dans le micro.
- J’étais perturbé par un charmant spectacle.
De fait, sur le trampoline, l’homme bande ferme et sa femme vient de se pencher sur
son sexe. Ca y est, elle l’a mis dans sa bouche et entame une fellation experte.
- Tu verrais ça vieux frère. Bon oublie le colombo pour midi, je n’ai que deux clients
et ils ont loué tout le bateau. Amène des langoustes…
- Ti male, elle doit être pas mal ta cliente !
- Tchembé raide
J’éteins la radio. Le couple est maintenant allongé sur le côté, lui, derrière elle et
à ses mouvements de bassin je comprends que la vie est belle pour eux.
Je regagne l’arrière du bateau et me remets à la barre. Et en parlant de barre, j’en
ai une sacrée dans mon short. Le fait de les entendre glousser n’arrange rien. Après
un long moment, c’est le silence… L’homme a dû arriver à bon port… En tous cas ils me
sont sympathiques avec leur sans gêne et leur totale impudeur.
Un claquement de vague dans une étrave, et des hurlements joyeux. Ils viennent de se
faire doucher.
Effectivement je ne tarde pas à les voir revenir trempés. Lorsqu’elle marche ses seins
libres de toutes entraves ballotent tellement qu’elle en amortit les mouvements de son
bras replié. Ils s’installent en riant dans le cockpit.
- Vous aviez raison pour les embruns… Dites-moi, vous reste-t-il de ce planteur ?
L’homme a la voix joyeuse du mâle après l’amour. Et ce sont de joyeux drilles.
- Bien sûr
Je leur ramène deux punch glacés. La dame a pris ses aises. Elle est assise sur une
banquette, tête en arrière, yeux fermés, les jambes tendues devant elle, pieds posés
sur un siège et les cuisses légèrement ouvertes. Sa lourde poitrine est attirante,
mais surtout, lorsque je passe devant elle, j’ai une vue plongeante sur son intimité.
Au moment où je vais regagner le poste de pilotage l’homme m’arrête.
- Vous en trinquerez bien avec nous ?
Je repars vers le carré et repasse devant la dame puis revient un verre de punch à la
main et fatalement devant elle. A chaque fois je ne peux m’empêcher de regarder ce
sexe semi-ouvert, quasi offert. Mon état ne doit pas passer inaperçu car l’homme
interpelle sa femme
- J’ai l’impression que tu ne laisses pas notre skipper indifférent, mon amour
Elle ouvre les yeux et son regard se fixe sur mon short, tandis que je suis
affreusement gêné.
- Allons, je pourrais être sa mère..
Toujours est-il qu’elle tend la main et effleure la bosse que fait mon sexe en
érection dans mon short.
- C’est vrai qu’il bande… Vous nous avez vus dans le trampoline, c’est ça
- J’ai vu sans le vouloir, madame, difficile de faire autrement
- Je vous l’avais dit, très chère, que vous vous comportiez comme une chatte en
chaleur. Regardez ce pauvre garçon maintenant. Vous ne pouvez pas le laisser comme
cela…
- Mais il ne voudra pas d’une vielle femme, mon ami..
- Vous êtes très belle madame
- Flatteur
Elle a glissé sa main dans ma ceinture et m’attire vers elle. D’une seule main,
experte, elle a dégrafé ma ceinture et mon short tombe à terre. Je ne porte pas de
slip et mon sexe tendu semble pointer vers son visage. Elle soupire :
- Ce serait dommage de laisser perdre cela
Elle finit son verre d’un trait et se penche sur mon problème. La sensation de sa
bouche rafraichie par la boisson sur mon sexe brulant est à crier de bonheur.
Son mari regarde la scène, confortablement installé en sirotant sa boisson. Je n’ose
rien dire rien faire pour ne pas casser la magie du moment. La tête blonde monte et
descend sur mon membre, aspirant, chatouillant, léchant. Le silence est intense
seulement interrompu pas le clapotis de la mer sur les coques et les bruits de succion
de ma cliente. C’est une experte en pipe et elle atteint son objectif : je sens le
plaisir monter de mes reins et je me déverse dans la bouche accueillante. Elle a
resserré ses lèvres autour de ma hampe et semble téter pour aspirer les dernières
gouttes de mon plaisir.
Quand, enfin, elle me libère, je pars sans un mot à l’intérieur et ramène d’autorité 3
autres boissons.
La dame a repris sa position légèrement obscène. Je pose un verre près d’elle et je
m’assois à côté de son mari dans l’axe de ses jambes entre-ouvertes…
- Elle suce comme une reine, n’est-ce pas ?
L’homme semble très fier.
- Je n’avais jamais connu cela. Vous êtes une experte madame.
- Merci jeune homme. Votre avis m’intéresse car mon mari n’est pas objectif. Il est
amoureux…
- Pas du tout très chère, vous avez une bouche divine, un cul de reine et votre sexe
est d’une douceur sans égale ; Et je suis objectif…
- Allons mon bon, vous allez encore perturber notre jeune skipper
De fait, de les entendre discuter ainsi, sans pudeur, tout en ayant sous les yeux sa
toison blonde qui souligne plutôt qu’elle cache son sexe, je sens ma bite reprendre
quelques vigueur. L’homme s’enquiert
- Dans combien de temps arrivons nous ?
- Encore une petite heure
- Et bien ma chère, vous avez le temps de nous montrer vos talents ainsi ce jeune
homme pourra juger que je suis objectif.
- Mais c’est au jeune homme qu’il faut demander
- Mais je suis entièrement d’accord avec votre mari, madame. Entièrement d’accord.
- Bon, mais n’attendez rien d’exceptionnel. C’est plutôt moi qui ai la chance d’avoir
deux queues sous la main. Allongez-vous sur le dos.
J’obtempère immédiatement. Elle se pose à mon côté et saisit ma verge semi-érigée dans
sa main. Quelques mouvements de poignet, en douceur, et me voici en érection.
- N’avais-je pas raison jubile son mari, elle réveillerait un mort
Je ne peux qu’acquiescer. Elle se lève et m’enjambe. J’ai au passage une merveilleuse
vision de son sexe. Puis elle s’accroupit au-dessus de ma queue et j’ai maintenant une
superbe vue sur son cul. Elle s’empare de ma verge, la place à l’entrée de son sexe et
dans un mouvement lent mais déterminé elle s’empale sur mon membre en poussant un
soupir d’aise…
Je vois son derrière un peu flasque monter et descendre lentement sur mon sexe. Elle
se tient très droite et regarde son mari dans les yeux. Son mouvement est régulier et
elle monte jusqu’à la limite puis se laisse retomber en profitant de toute ma
longueur. Lorsque ses fesses touchent mon bas-ventre elle a de petits mouvements de
bassin comme pour gagner encore quelques millimètres.
- Alors jeune homme, me demande son mari, le verdict ?
- Divin.
- Et toi chérie ?
- Il est long, c’est agréable
Elle a une voix un peu lente, comme si elle était concentrée sur mon mouvement, sur
son plaisir, sur notre plaisir.
L’homme se lève. Il a repris de la vigueur et se place devant sa femme.
- Allons chérie, vous savez faire plusieurs choses à la fois
Il place son sexe devant les lèvres de sa femme et docilement elle commence à le
sucer.
Notre trio s’active ainsi un bon moment puis l’homme sort sa queue de la bouche de sa
femme, la fait se relever et pivoter sur elle-même. Maintenant c’est sur sa poitrine
que je fixe mon regard tandis qu’elle s’empale de nouveau. Je malaxe plus que je ne
caresse ses mamelles.L’homme pousse sur son dos la forçant à poser ses seins sur mon
torse puis il farfouille derrière elle. Je sens un moment sa queue sur la mienne et je
m’immobilise. Il trouve enfin ce qu’il cherchait : l’entrée des reins de sa femme. Je
sens qu’elle se cambre. Puis elle pousse un cri. Son mari s’est introduit. Je me
remets à bouger en essayant de calquer mon rythme sur celui de son époux. Elle pousse
de longs gémissements de plus en plus rauques et de plus en plus forts. Puis son corps
se tend comme un arc prise d’un intense orgasme. Son plaisir déclenche le mien. Et
celui de son mari. Nous nous déversons dans les deux orifices investis en grognant de
bonheur.
Après un instant son mari se releva en mettant une claque ferme sur les fesses de son
épouse.
- Un cul de reine, je vous l’avais dit.
Nous étions devant l’anse ou je comptais m’arrêter. Impeccable, personne… Le temps d’y
entrer et d’ancrer le bateau et ils sont tous les deux à batifoler dans l’eau comme
des enfants.
J’ai remis mon short en prévision de la venue de Joseph et je mets la table pour les
clients. Trois couverts car l’usage est que le skipper mange avec ses clients. Compte
tenu de ce qu’ils m’avaient fait vivre, j’étais content d’avoir du champagne au frais
et je disposai des coupes. Il y aura, en dessert, une salade de fruits et des fruits
frais du pays. Des avocats en entrée et des langoustes. Le temps de préparer un plat
de riz et le tour est joué. Un déjeuner sympa par lequel j’espère montrer ma
reconnaissance pour le plaisir reçu.
Le bruit du moteur de la barque de Joseph me surprend au moment où je finis de dresser
la table. De mon âge, Joseph est un jeune pécheur local, excellent plongeur et joyeux
compagnon qui ne refuse jamais un ti ’punch au grand dam de sa femme. C’est plutôt un
beau mec avec un corps musclé mais élancé.
- Alors ils sont ou tes clients demande-t-il en déposant sur la table du carré un plat
de langoustes grillées
- Ils sont partis se baigner
Il jette un œil dehors
- Ok je les vois sur la plage. Mais ils sont à poil
- Ouais, des naturistes. Et des libertins. Je te raconterai. Mais pas maintenant ça va
me faire bander.
- A ce point… J’espère qu’on te paye pas pour ce job là, dit-il éclatant d’un rire
joyeux.
Je lui sers un verre afin de détourner la conversation et lui demande des nouvelles de
sa femme. Nous bavardons un moment puis il prend congé et regagne sa barque au moment
où mes clients se hissent sur la jupe arrière du bateau.
- Bonsoir messieurs dames dit Joseph les yeux rivés sur la poitrine de la dame
Je le présente aux clients
- Joseph, un ami qui vient d’apporter des langoustes
- Des langoustes. Comme c’est gentil s’écrit la cliente. Venez prendre l’apéritif avec
nous !
Joseph ne se fait pas prier et remonte à bord. Je crois que pas un instant il n’a
quitté des yeux les seins plantureux qui s’exhibent sous son nez.
Mes clients s’installent à table en me félicitant pour la décoration tandis que Joseph
s’assoit sur un des postes de barre.
Je débouche le champagne sous le regard ravi du mari et de la femme et je porte un
toast
- A vos trente ans de mariage
Ils se lèvent tous les deux et s’embrassent langoureusement. Nous trinquons.
L’ambiance est festive. Le rhum déjà ingurgité et nos exercices physiques n’y sont pas
pour rien. Joseph nous regarde un peu intrigué par cette bonne humeur.
Je le mets à l’honneur
- Venez voir ce que Jo a apporté.
Ils se lèvent et me suivent à l’intérieur. Leur nudité est totalement naturelle. Cris
de joie devant le plat de « bêtes à cornes »
- Oh, c’est magnifique
La dame ressort va vers Joseph e l’embrasse sur les deux joues :
-Merci beaucoup, c’est superbe
Je vois Joseph embarrassé, une femme, âgée certes mais attirante, nue dans ses bras et
une coupe de champagne à la main. J’imagine qu’il doit commencer à être assez excité.
Le mari intervient et m’interpelle :
- Ecoutez, il y en a trop. Verriez-vous un inconvénient à ce que votre ami déjeune
avec nous ?
La femme est toujours dans les bras de Joseph
- Oh oui Joseph, restez avec nous
Bien sûr, je n’y voir pas d’inconvénients et Joseph non plus !
Le déjeuner est animé, agréable et Joseph raconte des tas d’histoires sur son île, les
traditions, sa vie de pécheur. Certes son regard est très souvent rivé aux seins de ma
cliente mais son mari n’est pas jaloux et elle-même semble prendre plaisir à
s’exhiber. J’ouvre une deuxième bouteille alors que nous dévorons les langoustes, et
c’est repu que tout le mondes se vautre sur les banquettes tandis que je débarrasse la
table.
J’annonce le programme
- Allez, on va se baigner une dernière fois et on met les voiles.
- Super, ça va nous faire digérer.
La femme est déjà debout. Elle prend Joseph par le bras et le tire vers les jupes
arrières du bateau.
- Allez Joseph, à l’eau avec nous
Joseph et un peu ivre. Le rhum, il connait,le champagne moins. Il hésite un instant
puis se débarrasse de son short et plonge à l’eau, aussitôt suivi par le couple de
clients.
J’en profite pour faire la vaisselle et ranger les couverts pour éviter la casse.
J’entends les cris joyeux, puis l’homme remonte et s’essuie.
- Votre ami Joseph est très agréable. Et il fait honneur à son pays.
- Comment cela ?
- Eh bien, vous ne l’avez pas vu ?
Il éclate de rire
- Mon cher, il a une queue d’âne… Ma femme va être folle. Ça m’étonnerait qu’elle
résiste
La femme surgit de l’eau, accrochée à l’échelle de bain, suivit par Joseph qui du coup
doit avoir un vue intéressante sur son sexe et son cul.
Effectivement quand il surgit de l’eau je vois que l’homme n’a pas menti, Joseph est
monté comme un âne et en plus il est en semi érection. De quoi nous donner des
complexes. Il s’empare prestement d’une serviette et commence à s’enrouler dedans
dissimulant son membre à nos regards. La femme ne peut s’empêcher de réagir. Elle
bloque son bras, attrape la serviette et lui retire.
- Ah non, ne cachez pas un engin pareil, au contraire…
Joseph roule des yeux éberlués tandis qu’elle s’approche de lui et pose sa main sur sa
bite.
- Je n’en ai jamais vu une si grosse.
Elle soupèse le membre qui dodeline dans sa main.
- Je n’ai jamais vu de sexe noir. Vous vous rendez compte. Elles sont toutes de cette
taille ?
Joseph s’étrangle à moitié et c’est d’une voix de petit garçon qu’il répond :
- Non madame, ma femme dit qu’elle a de la chance
- Je la comprends. Vous permettez ?
Elle s’agenouille devant et prenant ses seins dans ses mains, elle entoure la queue
dans une douce prison et fait coulisser l’engin entre ses mamelles. Je connais la
femme de Joseph qui a un corps de gamine et de tous petits seins. Sûr qu’un traitement
pareil est une première pour lui. Le mari s’est assis et regarde la scène avec
intérêt, une flute de champagne à la main.
Sa femme branle doucement le sexe avec ses seins et profite que le gland émerge de sa
poitrine pour le lécher puis finalement finit par le mettre dans sa bouche. Joseph a
les yeux exorbités le souffle rauque et il a un soubresaut. Il se vide dans la bouche
qui l’emprisonne tandis que la dame continue ses va-et-vient. Du sperme dégouline le
long de la queue et coule sur son menton.
- Eh bien vous êtes rapide, vous aviez une grosse envie. C’est flatteur pour moi,
minaude sa suceuse.
Ce salaud ne débande même pas. Il reste raide comme la justice et avec des yeux
déments, il repousse la femme passe derrière elle, la fait mettre assez brutalement à
quatre pattes et se rue entre ses cuisses en s’enfonçant de toute sa longueur d’un
mouvement brutal qui arrache un petit cri à la dame. Effaré par la tournure des
évènements je me laisse tomber à côté du mari. Nous avons sa femme face à nous,
haletant la bouche ouverte, du sperme sur les lèvres et le menton, sa lourde poitrine
ballotant entre ses bras dans une houle puissante imposée par les coups de rein
frénétiques de Joseph, derrière elle, les yeux fermés, qui la tient fermement par les
hanches et lui imposant de véritables coups de boutoir de toute la longueur de son
membre disproportionné. C’est un coït primitif, bestial, mais très excitant puisque le
mari bande maintenant et se branle vigoureusement. Il finit par pousser un cri rauque
et se levant précipitamment, tenant son sexe à la main il s’approche de sa femme.
Pliant les genoux il éjacule à long traits sur son visage. Elle continue à haleter la
bouche ouverte, le sperme de son mari se mêlant à celui de Joseph. Son mari introduit
son sexe quasi flaque dans la bouche béante, finissant de se vider, extirpant de son
corps les dernières gouttes de jouissance sans que celle-ci ne réagisse.
J’ai moi-même sorti ma bite et me branle également avec énergie.
Joseph ne faiblit pas et la femme pousse maintenant des râles ininterrompus. J’accède
rapidement au plaisir et comme le mari, qui s’est rassit et reprend son souffle, je me
précipite sur la femme et lâche ma semence sur son visage, sur ses cheveux et dans sa
bouche grande ouverte en poussant des grognements de bête. La femme, maintenant hurle
sa jouissance à plein poumon tandis que fauché par le plaisir je m’effondre à côté du
mari, n’ayant pas la force de ranger ma bite qui pend hors de mon short.
Soudain, Joseph pousse un couinement qui en d’autres circonstances aurait été
ridicule. Il donne un dernier coup de rein, écrasant les fesses un peu flasque de la
cliente et se vide dans les entrailles de la femme qu’il lâche.
Elle se laisse aller à plat ventre, la croupe un peu surélevée et reste immobile,
silencieuse, haletante, le cul offert, dans une pose grotesque.
Le membre de Joseph perd de sa vigueur et il semble émerger d’un rêve. Il nous voit le
mari et moi, qui le regardons. Ses yeux se baissent sur la femme qui git à ses genoux.
Il voit son visage de profil, inondé de sperme, ses cheveux bonds dégoulinant où notre
semence s’est mêlée à l’eau de mer.
Soudain il se relève rapidement, saisit son short et sans prendre le temps de
l’enfiler, il saute dans sa barque, lance le moteur et s’enfuit avant que nous n’ayons
pu dire un mot.
Le mari le regarde s’éloigner, me regarde stupéfait et nous éclatons de rire
- On aurait dit qu’il avait le feu aux fesses
- C’est plutôt ma femme qui a le feu au cul
- Alors il avait vu le diable
- Ce n’était pas le diable, mais son gros zob poilu, chantonne le mari entre deux
hoquets.
Nous sommes tous deux en proie à un fou rire et nos hurlements finirent par faire
sortir la femme de sa torpeur
- La vache, qu’est-ce qu’il m’a mis
- Chérie je crois que ton maquillage coule
Elle passe la main sur son visage et la contemple recouvre de sperme
Nous continuons notre fou-rire et après quelques instants elle nous rejoint dans notre
hilarité nerveuse.
Le temps était passé plus rapidement que prévu et nous nous jetons à l’eau pour
essayer de reprendre des forces et pour la cliente, procéder à une toilette
nécessaire.
A peine remonté à bord, je vais hisser les voiles, relever le mouillage. Nous prenons
rapidement la route du retour, sous grand-voile et génois. Mes clients sont installés
dans le cockpit et finissent la bouteille de champagne. Elle est très bavarde.
- Il est incroyable Joseph. J’avais l’impression d’être dans la guerre du feu. Prise
en levrette par un monstre qui me pilonnait sans arrêt… Bestial. Mais quel pied, quel
pied…
Elle caresse distraitement le sexe de son mari qui ne réagit plus
- Pour nous aussi c’était impressionnant à voir, lui explique-t-il. Notre jeune
skipper et moi on s’est masturbés et on a pris notre plaisir sur ton visage sans que
tu réagisses.
- Vous avez fait cela ? Ah les cochons minaude-t-elle en simulant une fâcherie, en
tous cas j’avais une peur : qu’il essaie de prendre mes reins. Je n’aurais pas
survécu…
Je remets le pilote et vais ouvrir une troisième bouteille, la dernière de mon stock.
Je porte un toast à tout ce que nous avons vécu aujourd’hui.
- Si tous les clients étaient comme vous, ma vie serait un rêve.
Flattés ils trinquent avec moi.
Nous nous sommes rhabillés à l’entrée du chenal et c’est fatigués mais heureux que
nous avons pris nos amarres. Les adieux sur le quai sont émouvants car après avoir
vécu une telle intimité, les relations sont différentes.
D’ailleurs ils m’invitent à dîner pour le lendemain à leur hôtel. Et le pourboire que
l’homme me glisse discrètement témoigne que leur anniversaire de mariage leur a laissé
un souvenir inoubliable !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
ah ce que j'aimerais être skipper !
Jolie histoire.
On a tous envie de connaitre de tels épicuriens.
Monkypython
On a tous envie de connaitre de tels épicuriens.
Monkypython