La culotte de Catherine
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2020 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
La culotte de Catherine
On allait sortir, retrouver des copains pour souper dans un resto en face du miroir d’eau, sur les quais de Garonne.
Elle s’était apprêtée et portait une robe de daim roux façon squaw très couvrante de sa poitrine avec des manches longues et un col haut mais courte sur les cuisses avec des franges de cuir façon Comanche.
Moi, j’étais venu la chercher avec ma caisse et comme toujours subissais la longue attente des derniers préparatifs de donzelle.
J’avais une forte envie de pisser et, en m’indiquant la porte des chiottes, elle m’a dit, chez moi les chiottes sont indiscrètes, tu vas voir.
Je n’ai pas vu, personne n’a rien vu mais en revanche on a tous entendu la puissante mixion résonner de dix mètres de haut dans des abysses de puisard bordelais, sorte d’oubliette du temps jadis dorénavant attribuée aux défections de l’homme moderne néanmoins probablement raccordée en aval au tout à l’égout.
Revenu auprès d’elle, active au dessus de son lavabo à charbonner ses yeux de biche, je me faisais discret, juste une main doucement préhensile à sa taille. Elle, en revanche, m’a souri en disant, belle prestation, les voisins en sont encore abasourdis.
Et puis on voit bien là ton attitude macho de mâle bordelais, comme on les aime, comme je les aime.
Elle a ajouté, ce soir je suis sans culotte sous mon déguisement d’indienne de l’Oklahoma. Ce n’est pas volonté d’exhibition ou de mise à l’air libre de ma minette, c’est juste que je n’ai plus, dans les tiroirs de ma commode, aucune culotte qui soit présentable.
Alors je lui dis, mes copines des berges de Dordogne ne sont pas si compliquées. Dans notre pays d’Entre deux Mers, on retourne. C’est simple et facile. Un gousset, ça a deux côtés, c’est étudié pour...
Facile, bien connue la combine... Mais en l’occurrence les deux faces étant toutes deux garnies, plus rien n’est possible. C’est l’histoire du fusil à deux canons deux coups. Supériorité évidente du Colt à barillet.
Moi je pensais que la robe était courte et qu’en sus les franges longues ne cachaient rien de ses fesses et du creux velu d’entre elles.
Elle souriait, nous étions déjà en retard mais elle a libéré mon organe de zip rapidement descendu et s’est appuyée au lavabo, croupe haute cambrée.
M’insinuant entre les franges souples de daim blond je l’ai enfilée en toute simplicité.
J’ai compris que la soirée Brasserie de Gironde serait chaude et qu’elle attendait de moi une prestation au delà de la classique mise en bouche. Non seulement elle était elle-même ouverte et juteuse au delà du raisonnable mais encore, en recueillant mon trop plein de sperme, elle a complété d’une coulette fontaine généreuse.
Les franges de daim blond collaient à ses hauts de cuisse gangués de foutre. Elle marchait un peu coincée, mais qu’est-ce qu’elle était belle...
Et moi, je bandais déjà à nouveau, pas réfractaire pour deux sous.
Elle m’a dit, assise dans l’auto, sais tu que je n’ai toujours pas de culotte ? Présentement je mouille à fond l’alcantara de ta caisse.
Je le pourris à mort de sucs d’amour qui vont dissoudre totalement les matières pas très écolos, polyester et polyuréthane, de ce simili cuir.
Moi, j’ai trouvé à garer juste devant la porte de l’établissement, ma Smart est commode pour cela.
Catherine en descendant de calèche a déclenché l’AVC du portier-voiturier.
Il nous a néanmoins introduits, un peu hagard, dans la salle où les yeux exorbités des copains et autres convives clignotaient LED bleues jaunes rouges en arc en ciel de pupilles.
Le devant de la robe était un devant tout droit tout simple sans fioritures. Les petits seins de Catherine crevaient le daim fin de fins ourlés de seins de gamine. Avec néanmoins pointus saillants de tétons hauts.
Mais c’est le bas de robe qui parlait à la chalandise de cette salle de restaurant.
La peau tannée souple et fine descendait bas sous le nombril cachant parfaitement et chastement le pubis de la fille.
Mais par en dessous les franges fines et serrées avaient difficulté à masquer la touffe luxuriante noire et luisante. Une touffe qui avait très exactement la couleur et l’épaisseur de sa tignasse de brune un peu gitane ou même gadjie mais assurément fille des Saintes ou de par là bas en Camargue.
Catherine plaisait bien à mes copains.
Les franges de cuir fin étaient raides de foutre et collées les unes aux autres. Les garçons attablés mataient sans vergogne et les bites se dressaient sous les tables.
Le sourire de la fille était de complicité de connivence. On comprenait qu’elle avait totale consentance à opportunités.
Toutes sortes d’opportunités.
A la table ils ont poussé les chaises pour lui faire place entre eux. Mais personne n’a fait le moindre geste en ma faveur et il m’a fallu me contenter de guigner le bout de table. Le garçon tout juste remis de son AVC nous a apporté à tous deux des couverts. Il m’a touché l’épaule avec l’air compatissant...
Catherine avait compris que ce jour-là était son jour. Et elle était déterminée à le vivre pleinement.
Elle s’était apprêtée et portait une robe de daim roux façon squaw très couvrante de sa poitrine avec des manches longues et un col haut mais courte sur les cuisses avec des franges de cuir façon Comanche.
Moi, j’étais venu la chercher avec ma caisse et comme toujours subissais la longue attente des derniers préparatifs de donzelle.
J’avais une forte envie de pisser et, en m’indiquant la porte des chiottes, elle m’a dit, chez moi les chiottes sont indiscrètes, tu vas voir.
Je n’ai pas vu, personne n’a rien vu mais en revanche on a tous entendu la puissante mixion résonner de dix mètres de haut dans des abysses de puisard bordelais, sorte d’oubliette du temps jadis dorénavant attribuée aux défections de l’homme moderne néanmoins probablement raccordée en aval au tout à l’égout.
Revenu auprès d’elle, active au dessus de son lavabo à charbonner ses yeux de biche, je me faisais discret, juste une main doucement préhensile à sa taille. Elle, en revanche, m’a souri en disant, belle prestation, les voisins en sont encore abasourdis.
Et puis on voit bien là ton attitude macho de mâle bordelais, comme on les aime, comme je les aime.
Elle a ajouté, ce soir je suis sans culotte sous mon déguisement d’indienne de l’Oklahoma. Ce n’est pas volonté d’exhibition ou de mise à l’air libre de ma minette, c’est juste que je n’ai plus, dans les tiroirs de ma commode, aucune culotte qui soit présentable.
Alors je lui dis, mes copines des berges de Dordogne ne sont pas si compliquées. Dans notre pays d’Entre deux Mers, on retourne. C’est simple et facile. Un gousset, ça a deux côtés, c’est étudié pour...
Facile, bien connue la combine... Mais en l’occurrence les deux faces étant toutes deux garnies, plus rien n’est possible. C’est l’histoire du fusil à deux canons deux coups. Supériorité évidente du Colt à barillet.
Moi je pensais que la robe était courte et qu’en sus les franges longues ne cachaient rien de ses fesses et du creux velu d’entre elles.
Elle souriait, nous étions déjà en retard mais elle a libéré mon organe de zip rapidement descendu et s’est appuyée au lavabo, croupe haute cambrée.
M’insinuant entre les franges souples de daim blond je l’ai enfilée en toute simplicité.
J’ai compris que la soirée Brasserie de Gironde serait chaude et qu’elle attendait de moi une prestation au delà de la classique mise en bouche. Non seulement elle était elle-même ouverte et juteuse au delà du raisonnable mais encore, en recueillant mon trop plein de sperme, elle a complété d’une coulette fontaine généreuse.
Les franges de daim blond collaient à ses hauts de cuisse gangués de foutre. Elle marchait un peu coincée, mais qu’est-ce qu’elle était belle...
Et moi, je bandais déjà à nouveau, pas réfractaire pour deux sous.
Elle m’a dit, assise dans l’auto, sais tu que je n’ai toujours pas de culotte ? Présentement je mouille à fond l’alcantara de ta caisse.
Je le pourris à mort de sucs d’amour qui vont dissoudre totalement les matières pas très écolos, polyester et polyuréthane, de ce simili cuir.
Moi, j’ai trouvé à garer juste devant la porte de l’établissement, ma Smart est commode pour cela.
Catherine en descendant de calèche a déclenché l’AVC du portier-voiturier.
Il nous a néanmoins introduits, un peu hagard, dans la salle où les yeux exorbités des copains et autres convives clignotaient LED bleues jaunes rouges en arc en ciel de pupilles.
Le devant de la robe était un devant tout droit tout simple sans fioritures. Les petits seins de Catherine crevaient le daim fin de fins ourlés de seins de gamine. Avec néanmoins pointus saillants de tétons hauts.
Mais c’est le bas de robe qui parlait à la chalandise de cette salle de restaurant.
La peau tannée souple et fine descendait bas sous le nombril cachant parfaitement et chastement le pubis de la fille.
Mais par en dessous les franges fines et serrées avaient difficulté à masquer la touffe luxuriante noire et luisante. Une touffe qui avait très exactement la couleur et l’épaisseur de sa tignasse de brune un peu gitane ou même gadjie mais assurément fille des Saintes ou de par là bas en Camargue.
Catherine plaisait bien à mes copains.
Les franges de cuir fin étaient raides de foutre et collées les unes aux autres. Les garçons attablés mataient sans vergogne et les bites se dressaient sous les tables.
Le sourire de la fille était de complicité de connivence. On comprenait qu’elle avait totale consentance à opportunités.
Toutes sortes d’opportunités.
A la table ils ont poussé les chaises pour lui faire place entre eux. Mais personne n’a fait le moindre geste en ma faveur et il m’a fallu me contenter de guigner le bout de table. Le garçon tout juste remis de son AVC nous a apporté à tous deux des couverts. Il m’a touché l’épaule avec l’air compatissant...
Catherine avait compris que ce jour-là était son jour. Et elle était déterminée à le vivre pleinement.
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