La Dame 01 L'enterrement

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Dame 01 L'enterrement Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Dame 01 L'enterrement
La Dame 01L'enterrement



C'était difficile de lui donner un âge, elle était seulement au sommet de la beauté, jeune mais mature, on pouvait osciller entre vingt cinq, trente peut être … C'était impossible de lui donner un âge. Une seule certitude, elle était très jeune.

Elle était blonde, brune en fait peut être mais ses cheveux blond volaient au vent. Certaines femme changent de couleur de cheveux plus vite qu'elle ne changent de robe. Ce n'était pas le cas de cette dame qui préférait changer de robe. Elle portait une superbe robe blanche en dentelle, un chapeau dans la même matière qui ne devait pas la protéger beaucoup du soleil mais faisait comme une auréole au dessus de son visage d'ange.

Elle dépliait ses jambes qui n'en finissaient pas hors de la voiture noire. Un murmure parcourait la foule qui l'attendait à l'extérieure, tous étaient en noir. On était devant le portail d'un cimetière et seul un voile léger, à peine perceptible voulait rappeler qu'elle était en deuil, mais le voile était blanc.

Tout le monde était venu à pied depuis l'église, elle n'y était pas. Tout le monde avait suivi le corbillard au pas sur les deux kilomètres depuis l'église. Elle était arrivée en dernier, elle était venue en voiture et si sa voiture était noire comme il convient dans ce genre de situation, la veuve, elle, était en blanc.

Sa robe la mettait très en valeur, elle était très légère, elle avait les bras nus, les jambes nues et les seins … Il serait plus simple de préciser qu'elle n'avait pas vraiment besoin de retirer sa robe pour bronzer.

Les regards la fusillaient. C'était une tenue inadéquate, indécente !

Mais c'est vrai qu'elle était jeune et, comme aurait dit le poète, elle était ' gigantesquement belle ', et son mari qu'on portait en terre ce jour là, il y a seulement quelques jours encore était gigantesquement vieux … Il y avait plus, largement plus d'un demi siècle d'écart d'âge entre le regretté défunt et sa jeune veuve. Il avait dépassé les cent ans, en avait-elle seulement trente ?

Elle sortait de la voiture, écrasait une larme sur sa joue, quelques années plus tôt, il ne faut pas en douter, c'était un mariage d'amour. Il était tellement riche, tellement gigantesquement riche, et sans héritiers en plus … Et elle était si jeune et si belle.

Elle héritait.

Elle se faisait aider par son chauffeur pour avancer vers la tombe, elle chancelait sur ses pieds et tenait à peine debout. Il faut dire aussi que les talons aiguille ne sont pas adaptés pour marcher sur la terre meuble d'un cimetière. Mais elle savait rester digne. Elle prenait surtout le plus grand soin pour ne pas salir ses chaussure blanches.

Elle écrasait de nouveau une larme sur sa joue pendant la cérémonie. Les seuls regards qui se dirigeaient vers elle étaient des regards de défiance. La scène était un peu surréaliste, une foule de noir vêtue et cette perle blanche au milieu.

La cérémonie terminée, elle repartait, un jeune homme se précipitait pour la soutenir, deux bras ne suffisaient pas et quatre seraient mieux. Ses talons s'enfonçaient dans le sol et c'est avec beaucoup de peine qu'elle parvenait a avancer jusqu'à la voiture. Elle n'avait salué personne, sinon le dernier jeune homme qui lui avait offert son bras pour la secourir.

Elle parlait quelques instants avec lui tout en prenant place dans la somptueuse voiture, il refermait la portière et la saluait.

De retour à la maison, le personnel s'affairait autour de tentes installées sur le gazon, vous savez ces installation mobiles qu'on met en place pour une fête. Elle avait organisé une petite sauterie pour fêter l'événement. Ce n'était pas seulement un mariage d'amour, c'était aussi un mariage sous contrat, et le contrat prévoyait que la veuve hériterait de tous les biens … Il n'y aurait donc pas de testament à ouvrir, pour les dernière volontés bien sûr mais pas pour l'héritage.

C'était une petite maison, à peine cinquante chambres entourée d'un parc à la hauteur de la maison quelques dizaines d’hectares seulement. Les invités arrivaient chacun leur tour, à leur rythme. Ils étaient reçus par le majordome. Le personnel avait le sourire, on les avait informé qu'ils garderaient tous leur poste. Madame était appréciée du personnel, un peu moins des collaborateurs professionnels de son défunt mari mais, on ne peut pas plaire à tout le monde.

Un banquer avait été préparé, un groupe de musique de chambre donnait le ton. Le champagne coulait à flot, chacun pouvait se servir, choisir son plat et repartir se restaurer là ou il l'entendait. C'était très détendu, et à part la couleur dominante, le noir, rien ne laissait plus supposer qu'il s'agissait d'un enterrement.

La dame avait changé de robe, et le blanc éblouissant avait laissé place à un jaune très doux, et … Presque sobre ! Elle portait un joli voile jaune presque transparent, il ne faut pas oublier qu'elle était en deuil.

Le jeune homme qui avait soutenu la dame au cimetière arrivait, dans une petit voiture citadine, le voiturier prenait en charge sa voiture. Ce jeune homme semblait le premier surpris par la manière dont il était reçu. Il n'était qu'un petit secrétaire et sa voiture populaire se faisait remarquer au milieu des Rolls, Ferrari, Bentley et autres voitures du quotidien des habitués de la maison. C'était la première fois qu'il venait, la dame l'avait invité avant de quitter le cimetière.

Il était un peu perdu, il connaissait bien sûr une partie des invités mais aucun d'entre eux ne le connaissait. Un grand nombre d'entre eux l'avait croisé dans les couloirs de l'entreprise mais qui regarde un secrétaire qui vient juste de se faire embaucher.

Il était mignon pourtant ! Les femmes le regardaient et seules celles qui ne savaient pas qui il était lui souriaient et se montraient familières. Une vieille dame s'approchait de lui et sympathisait.

M'offrirez vous votre bras pour m'aider à marcher jeune homme ?

C'était la femme du principal associé du défunt. Elle était encore plus riche que lui. Mais elle était gentil, et quand elle apprenait qui était le jeune homme qui lui tenait le bras, elle ne s'en est pas offusqué, elle le trouvait sympathique et c'était suffisant pour elle.

Des groupes se formaient on discutait, on se séparaient, les serveurs passait avec des plateaux chargés de flûtes de champagne, on passait un agréable après midi, on parlait affaire, on faisait des projet et on avait déjà oublié la cause de cette petite sauterie, le défunt !

Madame faisait le tour des invités, un mot gentil, un mot menaçant, une promesse, un avertissement … Elle savait à qui elle parlait et avait le ton juste. Elle soufflait le chaut et le froid. Comme je le disais, seul son personnel de maison l'appréciait.

Elle retrouvait le jeune homme rencontré un peu plus tôt.

Puis-je vous emprunter votre cavalier Madame de la Conte Embanque ?

Madame repartait au bras de son invité.

Ainsi vous travaillez pour mon mari, enfin mon défunt mari ? Demandait-elle, elle écrasait une larme sur la joue.
J'ai commencé il y a six mois environ.
Vous êtes jeune !
J'ai vingt quatre ans Madame.
J'aimerais savoir comment ça se passe exactement, l'ambiance est-elle bonne dans les bureaux ? Voulez-vous que nous parlions de cela ?

Sans en avoir l'air elle entraînait son cavalier ver la maison et tout en discutant elle le conduisait au premier étage dans un salon douillet, un employé apportait une bouteille de champagne et deux flûtes avant de repartir en prenant soin de bien refermer la porte.

A partir de là ça n'a pas traîné.

Une flûte de champagne, puis une autre, puis la veste tombait, le voile suivait. Il ne faudrait pas oublier que Madame était en deuil. La cravate, le gilet, la chemise suivaient, pour Madame c'était plus rapide. Elle avait un corps vraiment magnifique mais il est vrai que sa robe ne le cachait pas ou si peu.

Comment tu t'appelles ?
Teddy !
Appelle moi Sacha mon très beau Teddy.

Teddy prenait Madame dans ses bras, et la serrait contre lui. Il avait lui aussi un corps magnifique, il faisait du sport il voulait rester en forme. Il avait un visage volontaire mais gardait les traits fins et Madame savait apprécier la fermeté de son corps musclé.

Ils s'embrassaient avec passion, se caressaient l'un l'autre. C'est Madame qui a pris l'initiative, elle ouvrait son pantalon et y glissait la main. Elle ne cachait pas son plaisir, c'était une belle surprise. De ce côté là aussi il était beau. Il était totalement épilé, sur tout le corps, sauf le visage et les cheveux. Pour le reste, son corps était aussi doux que celui de Madame. Elle était également totalement épilée.

Ça il le découvrait quelques secondes plus tard.

C'est avec une infinie douceur qu'il la serrait contre lui et l'embrassait. C'est toujours avec la même douceur qu'il la caressait, il la prenait dans ses bras, la soulevait et avec une infinie tendresse la déposait sur un coussin sur le sol.

Elle semblait être aux anges, elle ne faisait rien sinon se retenir à lui en passant ses bras autour de son cou et ne le lâchait que quand il plaçait un coussin plus épais sous sa tête. Il la caressait alors en prenant bien son temps. Ses caresses étaient douces et rapidement Madame se détendait, elle n'était pas vraiment tendue remarquez, elle écartait les jambes et lui, se penchait sur son corps.

Il déposait des baisers sur le haut de sa poitrine puis glissait son nez sur ses seins, il la chatouillait avec le bout de son nez. Ses lèvres suivaient et partout ou c'était possible déposait un baiser.

Les seins bien sûr mais pas que. Ses mains parcouraient le corps de Madame. Il ne se pressait pas d'arriver à son sexe, il prenait son temps et Madame semblait apprécier, elle gémissait de plaisir sous ses caresses.

Elle aussi lui caressait les bras, ils étaient forts, ses muscles étaient fermes et sa peaux était tellement douce. Elle se disait que c'était une bonne idée que de s'être fait épiler totalement. Surtout qu'un corps avec de belles proportions n'en est que plus beau. Son propre corps et celui de son nouvel amant en avaient de parfaites.

Elle glissait ses mains entre les cuisses de Teddy et les remontaient jusqu'à son sexe. Il bandait ferme, sa queue se redressait avec force, et Sacha lui tripotait les couilles avec douceur.

Il écartait les cuisses et continuait à couvrir de baisers sa maîtresse. Il passait le bout de son nez et suivait tout naturellement ses lèvres. Quand il arrivait à son entre cuisse, c'est la langue qui sortait. Elle sursautait puis le laissait faire. Pour bien lui montrer qu'elle appréciait elle lui caressait les cheveux et retournant la tête ver lui et prenait dans sa bouche la queue de son partenaire.

Il s'allongeait à côté d'elle et pendant qu'il lui léchait le clitoris, elle lui suçait la queue. S'il ne gémissait pas de plaisir c'est uniquement parce qu'il restait très concentré. Il avait dans ses bras une créature de rêve et ne voulait surtout pas la décevoir.

Elle se redressait et le repoussait sur le dos, il s'allongeait puis sans prévenir elle le chevauchait et s'empalait sur sa queue. Il était bien monté mais ça ne posait aucun problème. Elle s'amusait en s'enfonçant sa queue bien à fond et en se soulevant. Il la saisissait par les hanches et soulevait son bassin par intermittence, il suivait le mouvement qu'elle imprimait.

Elle se cambrait et gémissait très fort maintenant. Quand elle se penchait en avant c'était pour l'embrasser, ses seins s'écrasaient sur la poitrine musclée de Teddy.

D'un geste il se retournait et entraînait avec lui sa partenaire qui se retrouvait sur le dos avec son superbe amant allongé sur elle. Elle sentait son poids, il faisait tous les efforts pour ne pas l'écraser mais c'était un plaisir pour elle de sentir ce corps qui la recouvrait, il était chaud, lourd mais ne l'écrasait pas, doux, tellement doux.

Elle le cramponnait le tirait vers elle et semblait ne plus vouloir le lâcher. Il entrait et sortait de son corps avec vigueur, il restait concentré sur la douceur. Puis la fièvre montait, c'est de plus en plus vite qu'il la pénétrait et ressortait. C'est toujours avec autant de force qu'elle le retenait, qu'elle le tirait vers elle.

La fièvre montait encore et il faisait chaud, et ce n'est pas parce qu'en cette saison les journées sont encore belle, il faisait chaud, c'était la fièvre. La peau caressait la peau, les mains caressaient les corps, les langues et les lèvres ne se lâchaient plus et la queue de Teddy glissait avec aisance dans le sexe de Sacha. Et la fièvre montait toujours dans le corps de Sacha.

La fièvre montait encore d'un cran et c'est dans un cris que Teddy se lâchait, il éjaculait et c'est à ce moment que Sacha jouissait. Ils tremblaient tous les deux dans les bras de l'autre, cette étreinte était puissance et se prolongeait dans des baisers brûlants.

Teddy se laissait tomber à côté de Sacha sans la lâcher des yeux, elle le regardait également, ils étaient essoufflés, et se souriaient pendant de très longues minutes.

Plus tard, ils s'étaient rhabillé, c'est préférable pour pouvoir retourner rejoindre les invités les jardins. La réception continuait, Teddy suivait Sacha qui lui présentait toutes les personnes les plus importantes, les plus riches de la profession. Et tout le monde semblait accorder maintenant beaucoup d'importance à ce jeune secrétaire qui quelquefois pourtant travaillait avec eux et qu'ils n'avaient jamais remarqué jusque là.

Plus tard, bien plus tard, Sacha s'assurait que Teddy était volontaire pour remettre ça dès que possible puis acceptait de le laisser partir. À regret semble-t-il.

On lui ramenait sa petite voiture italienne qu'on qualifie souvent de ' Pot de yaourt '. C'est Sacha qu'il voyait disparaître dans son rétroviseur quand il quittait la propriété … Elle lui faisait un signe de la main.

A suivre

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Texte coquin : La Dame 01 L'enterrement
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