La découverte - histoire érotique

J’ai toujours pensé être un mec lambda. Attiré par les femmes, ayant une vie de célibataire bien rodée car ne trouvant pas l’amour depuis quelques années. J’étais de ce fait un adepte de la masturbation, et des sites pornos qui me permettaient de m’évader un peu de mon quotidien solitaire en mettant en images mes fantasmes.
Un soir, à la recherche de la vidéo qui me permettrait de me décharger de façon automatique avant d’aller me coucher, je tombais par hasard sur une vidéo étonnante. Je pensais en effet regarder une vidéo où la fille serait tellement excitée que sa mouille serait visible sur sa petite culotte. Ma demi-molle était prête à se raidir à cette idée. Mais soudainement, l’entrejambe de la fille se mouillait, et dans une telle quantité qu’il était évident que ce n’était pas de la cyprine. Je restais bouche bée devant ce spectacle. Ma bite elle, n’était pas restée sans rien faire : une érection monumentale m’avait saisi, mon jogging la compressait contre mon pubis avec peine.
Je me masturbais ce soir-là avec énergie en regardant une seconde fois la vidéo, et jouissant rapidement avec une grande intensité.
Les jours qui suivirent, je repensais régulièrement à cette vidéo, me demandant ce que la fille pouvait ressentir en faisant ça. Un samedi, en allant à la salle de sport, je passais par les urinoirs et ressenti un besoin viscéral de regarder mon voisin : son sexe mou en main, sa pisse sortait avec force et venait éclabousser la céramique. Rapidement le jet se tarît, et après quelques secousses, le spectacle était déjà fini. Ma séance fut écourtée par de mauvaises performances, obnubilé par le spectacle que j’avais vu en arrivant. Pourquoi voir la bite de mon voisin de wc m’avait ainsi perturbé ? En rentrant chez moi, je ressenti le besoin d’uriner. Dès mon arrivée chez moi je me ruais aux toilettes, mais lorsque je me positionnais en face de la cuvette, les images me revinrent en mémoire et une érection commença à se former dans ma main. Avec un peu de concentration, je réussi malgré tout à faire pipi, mais mon excitation était bien présente. Mû par un élan nouveau, je cherchais sur internet des vidéos de mecs qui urinaient. Rapidement, je tombais sur une vidéo qui me fit jouir dans mon caleçon sans même que je me caresse : le mec, en jean, se dandinait rapidement face à la caméra. Il avait visiblement besoin de se soulager. Il gémissait, lorsque soudainement une tache foncée apparaissait sur l’avant de son pantalon. Il gémissait de plus belle, vidant complément sa vessie sur lui en semblant ne plus rien contrôler. Je restais dans un état de stupeur, le sperme formant une tache visible sur mon caleçon. Je dû me masturber une seconde fois pour me sentir entièrement soulagé.
Que m’arrivait-il ? Étais-je gay si cette vidéo m’avait mis dans un tel état ? Je m’imaginais à la place de ce gars, avec la pisse chaude sortant de mon sexe et venant s’étaler dans mon caleçon et mon pantalon. La transgression devait être totale, et la chaleur qui se répandait sur les tissus devait être si excitante… je me branlais plusieurs soirs de suite à cette simple idée. Pourtant, en journée, je me sentais comme un déséquilibré de penser à ça, j’avais l’impression de ne pas être normal. Était-ce la perte de contrôle, ou bien l’urine, ou encore son pénis qui m’excitait ?
Le week-end suivant, je me dépensais à la salle pour me libérer un peu l’esprit. Mais en rentrant, les 1L d’eau bus durant ma séance se firent soudainement très (trop) présents dans ma vessie. Je me raisonnais, d’autant plus que je portais un jogging gris clair sur lequel l’humidité se voyait diablement bien. Je conduisais avec une main serrant mon sexe, pour me retenir jusqu’à mon appartement. La douleur pulsait dans mon bas-ventre, et mon rythme cardiaque s’accélérait à mesure que je sentais l’envie de pisser devenir incontrôlable. En sortant de ma voiture, me mettre debout me sembla impossible. Je sentis ma bite se raidir à l’idée de ne pas parvenir à me retenir. Non, ce n’est pas possible, je suis un adulte ! J’essayais de me raisonner, et parti en direction de l’ascenseur. 5 étages, 4 étages, je ne vais jamais tenir… 3 étages, 2 étages, oh non non non !! Je sentis un faible jet venir s’écraser dans mon caleçon. Je regardais en panique si c’était visible sur mon jogging. Heureusement non… plus que 1 étage, cela me semblait impossible, je me balançais de gauche à droite en serrant fort mon pénis. Un deuxième jet, plus fort, parvins à s’échapper. Cette fois, une tache apparaissait sur mon jogging. Ma bite devint dure comme du bois, une érection comme je n’en avais jamais eu. Les portes s’ouvrirent, j’empoignais mes clés et me ruais vers ma porte. Je geignais doucement, la douleur dans ma vessie contrastant avec l’excitation irrépressible que je ressentais. Je me sentais humilié, craignant de croiser un voisin, et en même temps, une petite voix me disait « vas-y, pisse toi dessus, sens le pipi contre ton caleçon, contre ta jambe, caresse toi pendant que tu te vides ! ». J’ouvrais en tremblant la porte, un nouveau jet venant mouiller franchement mon jogging. Je sentais que le prochain serait inarrêtable et que je me viderais entièrement la vessie.
À peine la porte fermée, je me pissais dessus avec force, mouillant mon jogging mais aussi mes chaussettes et mes chaussures. La sensation de libération était proche de l’orgasme, d’ailleurs en quelques caresses mon sperme vint accompagner l’urine dans mon caleçon.
Je restais quelques minutes ébété dans mon entrée, honteux et dans une mare de pisse, avec un penis palpitant de jouissance.
Je venais de découvrir un nouveau monde sur lequel je n’avais pas encore posé de nom.