La découverte des premiers accessoires - histoire érotique

A la réflexion, je me demande ce qui me pousse à partager notre intimité avec d’éventuels lecteurs, mais c’est tout simplement parce qu’en me remémorant toutes ces nouvelles expériences érotiques avec ma Femme, qui se révèle à chaque étape un peu plus, et bien je bande et je ne vais pas tarder à me jeter sur sa bouche, dans ses mains, sur sa chatte et dans son cul !

Nous avions passé 1h30 à visionner un porno au scénario improbable et où tous les trous disponibles avaient été visités plusieurs fois au cours du film, parfois en singlette, parfois même en doublette…….et là je n’irais pas plus loin.

Ma femme qui avait souhaité que je lui caresse le clitoris durant notre projection, avait profité largement des bienfaits de son nouveau plug anal pour décupler l’intensité de son orgasme et c’est la chatte toute mouillée, les pointes des seins toutes dures et la bouche pulpeuse qu’elle me chevaucha alors que le générique de fin n’était bien sûr pas encore apparu.

Je risquais un, puis deux, puis trois doigts à l’entrée de ses grandes lèvres et la lubrification sécrétée précédemment me donna l’occasion de voir combien le sexe de la femme pouvait se dilater sous le plaisir, elle qui n’avait que trop rarement accédé au plaisir vaginal, se laissait à présent doigter sans ménagement et soufflait en imprimant des mouvements de va et vient du bassin qui trahissait son envie d’aller plus loin.

Je lui demandais de me présenter sa croupe. Elle s’installa la tête sur le dossier du canapé et j’empoignais le godemiché acquis dans la semaine.
Elle se raidit un peu pendant que je l’introduisais en douceur dans son vagin remplit de mouille. Il faut dire qu’il était un peu plus gros que mon sexe et rapidement je m’aperçus qu’elle appréciait manifestement cette nouvelle présence et dodelinait du cul, laissant apparaître la base du plug anal qu’elle semblait avoir définitivement adopté.

J’accélérai le mouvement du gode, tout en le tournant, de la main gauche et je titillais l’entrée de sa rondelle en activant le plug anal que je proposais rapidement de remplacer par ma bite.

Elle fût un peu réticente, mais le gémissement rauque dans lequel, elle me fit part de ses doutes fut autant une invitation à tenter cette sodomisation à proximité de sa chatte remplie, qu’une provocation à continuer nos jeux de plus en plus loin.

J’abandonnais donc le gode à son triste sort, bien installé au fond de sa grotte, j’empoignais ses fesses que j’écartais au maximum et après avoir craché à l’entrée de son anneau pour assurer la glisse à l’entrée, l’intérieur étant déjà bien accueillant, je m’introduisais à nouveau dans son fondement….et manifestement elle en redemandait.

Avançant mes mains vers ses seins, je faisais rouler doucement la pointe de ses petits globes et à la façon dont elle contracta son anus, je compris que tout son corps et toutes ses parties intimes étaient au bord de l’orgasme.

Je lui chuchotais à l’oreille des mots crus, la traitant de petite pute, de salope à bite, je lui rappelais que j’étais entrain de l’enculer et je compris à ce moment là que tout son être était remplit d’une sensibilité et d’une ivresse qui l’amèneraient très loin ce soir.

Je n’avais pas remarqué qu’elle avait elle-même empoigné le gode et que ses mouvements pour le faire entrer et sortir de sa chatte correspondait à chacun des mouvements que j’imprimais moi-même dans son cul.

Je sentais la dureté de cet accessoire érotique que je côtoyais maintenant le long de ce petit espace de peau qui sépare les deux conduits, et je pris conscience que nous venions pour la première fois d’expérimenter une double pénétration.

Cette situation déclencha chez moi une montée de plaisir, ma bite était de plus en plus en plus dur et je sentais que j’allais exploser, ma pute haletait de plus en plus fort et lançant un dernier cri elle se cambra en serrant les fesses et en retirant le gode de son vagin, ce qui eut pour effet de déclencher chez moi une longue éjaculation qui accompagna un râle animal que je ne soupçonnait même pas chez mon épouse.

Je ne reconnaissais plus cette mère de famille exemplaire et j’avais le sentiment que toutes nos dernières petites expériences étaient entrain de modifier cette femme ou tout du moins de la révéler et de révéler par la même une libido que je n’avais même pas imaginée.

Nous étions repus de plaisir et je ne pouvais m’empêcher de caresser en douceur toutes les parties visibles de son corps.

Nous aurions encore de belle soirée en perspective !