La Démoniaque Sarah 10
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2013 dans la catégorie A dormir debout
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La Démoniaque Sarah 10
Je ressors dans le couloir me prépare à descendre quand j’entends des bruits bizarres dans le studio d’a coté. Je tends l’oreille, ça ressemble à des cris de jouissance. Je m’approche de la porte, elle n’est pas fermée, j’entre les cris viennent de la porte du fond en même temps qu’un bruit d’eau. Ce doit être la salle de bain. J’appelle. Une fille sort, ma queue se relève immédiatement et elle me baise. J’suis tout étonné, je repars. Je suis tellement surpris par ce qui vient d’arriver que je me trompe et au lieu de redescendre, je monte. Après avoir grimpé deux étages je réalise mon erreur et redescend. En arrivant à l’étage ou j’ai eut mon étrange aventure, ma queue se relève, je cherche, une porte est entrouverte, je m’approche et j’entends deux femmes parler ensemble :
- Je suis Sous la douche, j’entends mes voisines faire l’amour, l’excitation me prend. Ma main savonnée parcourt mon corps transis ! Je caresse longuement mes petits seins Ma main glisse plus bas, elle balaie mon ventre replet, s’arrête au-dessus de mon secret, se frotte à sa toison bouclée. Un doigt se fraie un petit chemin vers l’intérieur, entre les grandes lèvres charnues. Il veut aller plus loin, mais il butte sur la petite membrane encore tendue. Je frotte plus fort, je gratte, j’agite, j’arrache, jusqu’à me sentir comme une braise. Je suis prise par un spasme, je frétille comme un poisson sous l’eau qui coule, je gémis de plus en plus fort. J’entends une voix qui résonne dans la pièce. Une voix inquiète.
- Ça va,
Je ne lui réponds pas ; je saute hors de la douche comme une folle, l’eau coule toujours. J’ouvre la porte et je le trouve devant moi, surpris de me voir toute nue. Sans attendre, je le pousse sur le lit, ma main déjà sur sa braguette. Je sors sa queue bandée, je la frotte avec mes mains mouillées et je la prends dans ma bouche, comme si j’allais manger une merguez après une grève de la faim. Rapidement, elle gonfle encore, alors que son propriétaire, ne comprenant pas ce qui lui arrive, me regarde avec des yeux de plus en plus curieux. Il doit se dire que suis devenue folle. Je m’allonge et j’écarte les jambes, légèrement fléchies.
- Vas-y Maître, vas-y, je ne peux plus attendre ! Vas-y, je t’en prie…
Je ne vois plus que des nuages, des formes floues, des cercles concentriques qui s’éloignent et qui se rapprochent. J’entends des mugissements, des cris lointains, j’entends des vagues que charrient des océans perdus. Et puis vient le petit déclic. Je sens la membrane qui craque, et une toute légère douleur entre les jambes. Je sens la queue tendue m’occuper, m’envahir, me remplir. Je serre les jambes autour du Maître et je pousse mon ventre vers lui.
- Vas-y mon amour, vas-y chéri, encore plus fort, encore plus fort, s’il te plait.
Lorsqu’il jouit, je sens la coulée chaude dans mes entrailles, comme une huile chauffée. Je le serre encore plus et je l’empêche de sortir. Nous restons ainsi un moment, collés l’un sur l’autre, en parfaite harmonie. Je me retourne sur lui, il me serre entre ses bras, je mets ma tête sur son torse velu, des petites larmes glissent sur son ventre et se logent dans son nombril. C’était le plus beau jour de ma vie. Lui, il s’est relevé et il est parti.
J’entre dans la pièce, la fille s’écrie
- regarde, il est revenu, c’est lui.
Une autre fille à peu prés du même âge que celle que je venais de baiser se retourne et me regarde. Je sens ma queue frétiller. Je la regarde, elle est dans un état second et se déshabille puis s’approche de moi et s’attaque à mon chibre avec ses mains puis sa bouche. Je la fais se relever puis, je prends ses hanches la soulève. Elle enserre mon dos de ses jambes. Je la fais redescendre et l’empale. Tout de suite elle gémit de plaisir. L’autre fille reste immobile et nous regarde. Elle s’agite de plus en plus la jouissance l’envahie en même temps que mon foutre la remplie. Je la repose sur le lit, referme mon pantalon et repart. Je commence à fatiguer, il faut que je rentre.
Arrivé a la maison, je constate que les filles ne sont pas la pourtant il commence a se faire tard. Je me couche direct, tout habillé. Je suis réveillé par Sarah, il fait nuit, je ne sais pas qu’elle heure il doit être mais elle me secoue toute excitée.
- C’est fantastique, je t’ai trouvé cinq vierges pour notre grande soirée et en plus je me suis fait draguer dans le train en rentrant.
- C’est normal, tu es une belle femme.
- Oui, peut-être mais depuis que je te fréquente c’est la première fois.
- Tu l’as baisé ?
- Oui, c’étais très bon, un peu trop rapide mais très bon.
- Si je comprends bien, tu voudrais que je te donne un peu de plaisir ?
- Oui, j’ai encore une énorme envie de jouir. Tu peu t’en occuper ?
- Je ne sais pas, si tu t’applique bien peut-être.
Elle m’aide à me déshabiller puis vient sur le lit entièrement nu.
La porte s’ouvre. C’est Mélanie.
— Je peux me joindre à vous, dit-elle à Sarah.
— Bien sûr Mélanie, avec plaisir.
Mélanie laisse tomber sa petite jupe et son bustier et nous rejoint toute nue. Ses petits seins en chapeau chinois font écho aux grands ballons de Sarah. Elles se mettent chacune d’un côté et commencent à s’embrasser. La main de Mélanie, délicate, avec des ongles laiteux, passe et repasse tendrement sur les seins de Sarah pendant que cette dernière, en émettant des petits gémissements, n’arrête pas de me branler le sexe. Un moment après, c’est Mélanie qui s’est pliée sur moi et qui m’a pris la queue dans sa bouche. Sarah glisse son corps derrière Mélanie et plonge sa tête dans sa croupe. Ensuite, elles intervertissent les rôles. Tout en me suçant, Mélanie crie sous les coups de langue que Sarah lui donne par derrière. Je me sens bien excité mai n’arrive pas a bander.
La porte s’ouvre de nouveau, c’est Julie qui entre avec une autre fille.
- on peu entrer ?
- oui, vas-y. qui c’est la fille avec toi ?
- je ne sais pas, elle marchait sans but au bord de la route.
Je l’ai regardé attentivement. Elle avait environ dix huit ans, les cheveux blond cendré, très courts, une silhouette adolescente et des petits seins pointus. Elle paraissait hébétée
- bonjour, belle jeune fille
- bonsoir monsieur
- que faisiez-vous sur la route ?
- Je me suis enfuie de chez moi.
- Et où irez-vous maintenant ? Avez-vous de l’argent ?
- Non, et je ne sais pas où passer la nuit.
- Alors, restez ici. Les filles vont vous préparer un bon dîner, et vous disposerez d’une chambre.
- Comment vous appelez-vous ?
- Jane.
- Je m’appelle Pierre, tu es ici chez moi. Va à la cuisine avec les filles.
Cette fille me paraissait triste à mourir et en plus, elle ne m’a pas fait bander.
J’ai enfilé un short et un tee-shirt puis, je les ai rejoints.
A suivre
- Je suis Sous la douche, j’entends mes voisines faire l’amour, l’excitation me prend. Ma main savonnée parcourt mon corps transis ! Je caresse longuement mes petits seins Ma main glisse plus bas, elle balaie mon ventre replet, s’arrête au-dessus de mon secret, se frotte à sa toison bouclée. Un doigt se fraie un petit chemin vers l’intérieur, entre les grandes lèvres charnues. Il veut aller plus loin, mais il butte sur la petite membrane encore tendue. Je frotte plus fort, je gratte, j’agite, j’arrache, jusqu’à me sentir comme une braise. Je suis prise par un spasme, je frétille comme un poisson sous l’eau qui coule, je gémis de plus en plus fort. J’entends une voix qui résonne dans la pièce. Une voix inquiète.
- Ça va,
Je ne lui réponds pas ; je saute hors de la douche comme une folle, l’eau coule toujours. J’ouvre la porte et je le trouve devant moi, surpris de me voir toute nue. Sans attendre, je le pousse sur le lit, ma main déjà sur sa braguette. Je sors sa queue bandée, je la frotte avec mes mains mouillées et je la prends dans ma bouche, comme si j’allais manger une merguez après une grève de la faim. Rapidement, elle gonfle encore, alors que son propriétaire, ne comprenant pas ce qui lui arrive, me regarde avec des yeux de plus en plus curieux. Il doit se dire que suis devenue folle. Je m’allonge et j’écarte les jambes, légèrement fléchies.
- Vas-y Maître, vas-y, je ne peux plus attendre ! Vas-y, je t’en prie…
Je ne vois plus que des nuages, des formes floues, des cercles concentriques qui s’éloignent et qui se rapprochent. J’entends des mugissements, des cris lointains, j’entends des vagues que charrient des océans perdus. Et puis vient le petit déclic. Je sens la membrane qui craque, et une toute légère douleur entre les jambes. Je sens la queue tendue m’occuper, m’envahir, me remplir. Je serre les jambes autour du Maître et je pousse mon ventre vers lui.
- Vas-y mon amour, vas-y chéri, encore plus fort, encore plus fort, s’il te plait.
Lorsqu’il jouit, je sens la coulée chaude dans mes entrailles, comme une huile chauffée. Je le serre encore plus et je l’empêche de sortir. Nous restons ainsi un moment, collés l’un sur l’autre, en parfaite harmonie. Je me retourne sur lui, il me serre entre ses bras, je mets ma tête sur son torse velu, des petites larmes glissent sur son ventre et se logent dans son nombril. C’était le plus beau jour de ma vie. Lui, il s’est relevé et il est parti.
J’entre dans la pièce, la fille s’écrie
- regarde, il est revenu, c’est lui.
Une autre fille à peu prés du même âge que celle que je venais de baiser se retourne et me regarde. Je sens ma queue frétiller. Je la regarde, elle est dans un état second et se déshabille puis s’approche de moi et s’attaque à mon chibre avec ses mains puis sa bouche. Je la fais se relever puis, je prends ses hanches la soulève. Elle enserre mon dos de ses jambes. Je la fais redescendre et l’empale. Tout de suite elle gémit de plaisir. L’autre fille reste immobile et nous regarde. Elle s’agite de plus en plus la jouissance l’envahie en même temps que mon foutre la remplie. Je la repose sur le lit, referme mon pantalon et repart. Je commence à fatiguer, il faut que je rentre.
Arrivé a la maison, je constate que les filles ne sont pas la pourtant il commence a se faire tard. Je me couche direct, tout habillé. Je suis réveillé par Sarah, il fait nuit, je ne sais pas qu’elle heure il doit être mais elle me secoue toute excitée.
- C’est fantastique, je t’ai trouvé cinq vierges pour notre grande soirée et en plus je me suis fait draguer dans le train en rentrant.
- C’est normal, tu es une belle femme.
- Oui, peut-être mais depuis que je te fréquente c’est la première fois.
- Tu l’as baisé ?
- Oui, c’étais très bon, un peu trop rapide mais très bon.
- Si je comprends bien, tu voudrais que je te donne un peu de plaisir ?
- Oui, j’ai encore une énorme envie de jouir. Tu peu t’en occuper ?
- Je ne sais pas, si tu t’applique bien peut-être.
Elle m’aide à me déshabiller puis vient sur le lit entièrement nu.
La porte s’ouvre. C’est Mélanie.
— Je peux me joindre à vous, dit-elle à Sarah.
— Bien sûr Mélanie, avec plaisir.
Mélanie laisse tomber sa petite jupe et son bustier et nous rejoint toute nue. Ses petits seins en chapeau chinois font écho aux grands ballons de Sarah. Elles se mettent chacune d’un côté et commencent à s’embrasser. La main de Mélanie, délicate, avec des ongles laiteux, passe et repasse tendrement sur les seins de Sarah pendant que cette dernière, en émettant des petits gémissements, n’arrête pas de me branler le sexe. Un moment après, c’est Mélanie qui s’est pliée sur moi et qui m’a pris la queue dans sa bouche. Sarah glisse son corps derrière Mélanie et plonge sa tête dans sa croupe. Ensuite, elles intervertissent les rôles. Tout en me suçant, Mélanie crie sous les coups de langue que Sarah lui donne par derrière. Je me sens bien excité mai n’arrive pas a bander.
La porte s’ouvre de nouveau, c’est Julie qui entre avec une autre fille.
- on peu entrer ?
- oui, vas-y. qui c’est la fille avec toi ?
- je ne sais pas, elle marchait sans but au bord de la route.
Je l’ai regardé attentivement. Elle avait environ dix huit ans, les cheveux blond cendré, très courts, une silhouette adolescente et des petits seins pointus. Elle paraissait hébétée
- bonjour, belle jeune fille
- bonsoir monsieur
- que faisiez-vous sur la route ?
- Je me suis enfuie de chez moi.
- Et où irez-vous maintenant ? Avez-vous de l’argent ?
- Non, et je ne sais pas où passer la nuit.
- Alors, restez ici. Les filles vont vous préparer un bon dîner, et vous disposerez d’une chambre.
- Comment vous appelez-vous ?
- Jane.
- Je m’appelle Pierre, tu es ici chez moi. Va à la cuisine avec les filles.
Cette fille me paraissait triste à mourir et en plus, elle ne m’a pas fait bander.
J’ai enfilé un short et un tee-shirt puis, je les ai rejoints.
A suivre
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