La Démoniaque Sarah 12

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Démoniaque Sarah 12 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2013 dans la catégorie A dormir debout
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(8.0 / 10)

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La Démoniaque Sarah 12
Les jours suivants idem, une petite douzaine de fécondation par jour avant de rentrer complètement épuisé.
Quinze jours plus tard, de bon matin, alors que je m’apprêtais à partir faire mon travail j’ai eut la visite de Verba et Carnivora, elles ont apparu dans ma chambre d’un coup dans un petit nuage de fumée.
C’est très bien, ton travail est appliqué mais c’est trop lent.
Comment trop lent ?
Oui, il faut que tu nous trouve une vierge et que tu la déflore pour permettre à ta sœur Démonial de venir t’aider.
Une vierge, j’en connais une mais elle ne me fait pas bander.
Va la voir maintenant.
Vous croyez vraiment ?
Vas-y, je te l’ordonne.
Après cette explication et cet ordre elles ont disparues. Je suis donc parti voir Jane dans sa chambre. J’ai frappé, pas de réponses. Je suis entré. Elle dormait profondément. Je me suis approché de son lit. J’ai tiré sur la couverture, ma queue s’est levée. Je me suis mis à la caresser doucement, elle a ouvert les yeux
Tu me fais jouir ! Oh c’est bon ! C’est bon ! J’ai un orgasme ! J’en suis sûre, je ressens exactement ce que j’ai lu dans les livres !
Ainsi je venais d’apprendre qu’en bonne élève elle cherchait dans les livres à se documenter sur les choses de l’amour. Elle venait de jouir pleinement pour la première fois. De grosses larmes de bonheur coulaient sur ses joues :
Mon chéri, maintenant je veux être toute à toi, prends-moi je t’en supplie.
Son visage s’est illuminé dans un large sourire, elle s’est assise sur mes genoux. Je l’ai embrassée avec fougue. Bouche ouverte elle n’attendait que ça. Nos langues enlacées, chacun buvait la salive de l’autre.
Jane, tu m’as excité, je n’en peux plus, il faut que je te baise.
Mon chéri, mon maitre, je suis là pour te satisfaire, fais-moi tout !
Je vais t’apprendre une position, va te mettre en levrette sur le canapé.
Mais c’est comment en levrette mon amour ? Je suis ignare.
À quatre pattes sur le canapé, la tête en bas, le cul en l’air, et trousse ton déshabillé pour me présenter ta croupe. Dépêche-toi, je ne peux plus attendre.
Oh j’ai compris !
La tête enfouie dans les coussins, des deux mains elle écartait ses globes fessiers afin de m’offrir son petit œillet. Dans sa naïveté amoureuse elle était persuadée que j’allais maintenant l’enculer.
Je saisis ma queue bien raide, et lentement, doucement, je promenai le bout de mon gland contre sa fente et la rondeur du clitoris luisant. Jane avait fermé la bouche, pour retenir ses petits gémissements. Elle me regardait entre ses paupières mi-closes, les jambes ouvertes et tendues. Je pouvais sentir à la cambrure de son dos à quel point elle aimait ce que j’étais en train de faire.
Quelqu’un t’a déjà caressée ici ?
Elle hocha la tête.
Qui ?
Clément… un copain, dit-elle dans un souffle.
Clément, tiens donc ? Tu avais quel âge ?
Je ne me souviens plus.
Lentement, je repris, en caressa du bout boursouflé de mon gland l’entrée humide du sexe de Jane, qui s’ouvrit un peu plus à la pression.
Comment c’était ?
Elle eut un petit sourire.
C’était super….
Qu’est-ce qu’il t’a fait, exactement ? Tu m’as pourtant fait croire que tu n’avais jamais vu de sexe d’homme…
Jane resta silencieuse un instant, attentive, ruisselante de plaisir, tandis que je continuais mon manège.
Il est resté habillé, Il m’a emmenée dans les toilettes et a soulevé mes jupes. Ensuite il m’a doucement écarté les jambes. Puis il a embrassé mon ventre, ma chatte, il les a embrassés encore et encore…
Elle se tut.
Et ensuite.
Elle ferma les yeux.
Il a enfoncé ses doigts. J’avais mal, parfois.
Et le reste du temps ?
C’était très bien…
Tu as déjà joui ?
Je crois que oui, la première fois, c’étais avec toi l’autre soir.
J’ai accentué mon frottement ses gémissements se sont amplifiés. Sa fente était plus large, plus molle, réceptive au plaisir. J’ai écarté les lèvres de son sexe du pouce et de l’index et j’ai glissé mon gland entre les poils et les deux bords humides ; avec lenteur, je le fis entrer, prenant tout de même bien garde de ne pas la dépuceler tout de suite. Je m’enfonçais légèrement dans son sexe ouvert et dégoulinant, pour ressortir et replonger encore de plus en plus vite, je sentais Jane vibrer sous cette caresse. Son clitoris excité était gonflé et rougeâtre. J’avais envie de le lécher, mais Jane protestait dès que je ralentissais ma petite pénétration.
Tenant fermement le début du gland entre mes doigts, me retenant pour ne pas la pénétrer jusqu’au bout, jusqu'à sentir Jane se crisper et remuer de la manière attendue. Elle jouissait. Je me sentis soudain cogner contre son hymen, et j’ai poussé fort. Elle eut un spasme, un cri, je me suis enfoncé jusqu'à butter au fond de son vagin pour m’immobiliser. Elle s’est remise à bouger doucement en gémissant j’ai repris mon va et viens jusqu’à ce que l’extase détende brusquement les membres crispés par l’orgasme de Jane. Enfin, je me suis autorisé à jouir, et une explosion de sperme éclata au plus profond de sa fente, elle poussa un nouveau cri étouffé, de surprise cette fois. La sensation ne devait pas être déplaisante, car elle me souriait sans ouvrir les yeux. Après un long moment où je me suis senti débander en elle je me suis retiré et allongé a coté d’elle. Je l’ai regardé. Doucement elle changeait, sa chevelure claire est devenue d’un roux de feu, sa peau s’est éclaircie, sa poitrine a gonflé, ses taches de rousseur et. Sa toison ont disparues. Elle a ouvert les yeux, m’a regardé.
Bonjour grand cornu.
Sa voix avait changée, elle était maintenant roque et sensuelle.
Merci de m’avoir faite revenir parmi les hommes.
De rien, je n’ai fait que mon devoir.
Je vais enfin pouvoir t’aider à faire venir nos frères démons.
Tu viens m’aider ?
Oui, tu ne travaille pas assez vite. Suis-moi, tu verras.
Je l’ai suivi. Nous sommes partis en ville, en nous promenant, elle a jeté son dévolu sur un jeune homme bien bâti, elle m’a dit
Avec lui, je pense pouvoir faire revenir au moins quatre de nos frères.
Elle s’est approchée de lui, l’a caressé doucement. Il lui a pris la main et l’a entraîné vers un immeuble, elle m’a fait signe de les suivre. Ils sont entrés dans un appartement, la porte est restée entrouverte, j’entre à mon tour. Ils étaient face à face dans la pénombre de l’appartement. L’homme se fige et laisse tomber ses bras de chaque côté. Il attend. Aucun son ne lui parvient dans cette atmosphère feutrée.
Elle fait un léger signe de tête et de la musique retentit, douce, lente, langoureuse. C’est prévu, tout ici ne sert qu’un seul but. Il faudra que le destin du jeune homme s’accomplisse. Un système de ventilation se met en marche pour accompagner le chuchotement des instruments ancestraux.
Il ne peut plus rester sans bouger. Le Souffle, vient le caresser, le provoquer. Il peut sentir toute sa peau exposée à cette douceur entêtante. Il se sent enveloppé, emporté dans un monde inconnu. Il résiste, parce qu’il doit être fort, parce qu’il ne doit pas tomber. L’Enseignement est très clair sur ce point. Il se concentre sur celle qui est assise à ses pieds, sans vraiment la regarder. Il sait qu’elle est la maîtresse. Elle seule saura l’aider à traverser les épreuves, y compris celles dont il n’a pas encore connaissance.
Il se laisse porter par ce vent, les bras écartés, la bouche ouverte, offerte, la tête renversée. Puisqu’il est entièrement rasé, le Souffle l’atteint intensément et il ne peut pas s’y soustraire. Il doit connaître cette épreuve, elle l’aidera à devenir un Homme.
Le Souffle incessant le plonge dans un univers de sensations troubles. Il ne s’agit plus de ses propres mains sur son corps, mais bien d’un élément étranger chargé de le perturber. Il doit parfois fermer les yeux et respirer profondément pour ne pas se laisser aller et résister, toujours résister. C’est de plus en plus difficile. Tout son épiderme est exposé aux caresses, tandis que son esprit s’embrume un peu plus. Il se concentre, intériorise ses sensations. Lorsque ses bras ne veulent plus se balancer au rythme du Souffle, il ouvre les yeux, croise le regard qui l’observe, retrouvant ainsi une force qu’il croyait ne plus avoir. Ainsi, le temps passe et il repousse le plaisir, loin, très loin. Surtout ne pas succomber
Elle sait que le moment approche. Le temps est venu de passer aux choses plus sérieuses. Un geste de sa part et le Souffle cesse. Le jeune homme reste immobile, légèrement tremblant de plaisir contenu, les yeux grand ouverts. Il la voit qui se lève et s’avance vers lui d’un mouvement plutôt leste. Elle ne sourit pas. Son visage reste impassible. Rien ne doit indiquer dans son expression le désir qui est pourtant monté en elle, pour la première fois depuis bien longtemps.
Elle s’approche jusqu’à pouvoir le toucher et tend la main vers son torse glabre, puis le frôle et il ne peut s’empêcher de frémir. Il tente de se contrôler en respirant profondément et en regardant ailleurs, mais il n’y a pas d’ailleurs, uniquement la noirceur et cette main qui le caresse voluptueusement. Surtout, il ne doit penser à rien, surtout pas aux soubresauts sournois au niveau de son bas-ventre.
Elle voit son corps tendu de plaisir, au bord du gouffre qui pourrait l’entraîner vers une jouissance extrême, mais elle juge qu’il doit encore attendre, encore souffrir un peu. Et surtout, elle désire au plus profond de son être profiter un peu des sensations qui humidifient son propre entrejambe. Le désir est réel.
Elle enveloppe le jeune homme de ses caresses, tout en évitant soigneusement son sexe toujours couvert. Elle peut voir que ses yeux sont maintenant dans le vague. Il retient l’expression de son plaisir, ne sachant pas encore comment extérioriser ses sensations. Elle sait qu’il doit le découvrir seul.
Au rythme des mains qui stimulent chaque centimètre de sa peau, il commence à onduler, un peu pour échapper aux mains, un peu pour s’en rapprocher, comme un appel au secours muet. Il n’arrive plus à penser, son esprit s’embrume de plus en plus. Sa bouche est ouverte en un rond silencieux et sa respiration s’accélère malgré lui. Une douce chaleur descend dans ses reins. Ses fesses se contractent. Il prend conscience de son sexe, qui réclame une fin, qui mendie une caresse, qui espère une chaleur mouillée, une pression cadencée, un va-et-vient soutenu.
Elle voit tout cela, mais elle attend encore. Il doit découvrir par lui-même la suite des événements. Elle continue de stimuler chaque parcelle de peau, évitant toujours son bas-ventre. Le corps soumis à la torture se glisse d’avant en arrière dans un mouvement de plus en plus instable, comme s’il allait s’effondrer sur le sol, la tête renversée en arrière laisse apercevoir les yeux révulsés, il cherche une dernière fois à se raccrocher à quelque chose, son esprit tente de vaincre le corps, dans un ultime effort il redresse la tête et croise le regard de la belle Demonia
Elle sait que le moment est venu, qu’il est presque prêt. Les yeux noirs de l’homme sondent les siens, dans une supplique muette. Elle attend, avec le moins de réaction possible, ne laissant surtout pas voir le désir qui l’assaille depuis un bon moment maintenant. L’expression dans le regard change. L’homme n’est plus suppliant, il est pur désir. Encore faut-il qu’il franchisse une dernière étape. Démonia sait ce qui va se passer, en gros, mais chaque homme trouve son propre chemin, ils sont tous différents. C’est l’instant qu’elle préfère, l’instant de la Révélation.
Le jeune homme laisse son désir s’exprimer dans ses yeux, il veut que la belle Démonia en face de lui le voie, qu’elle ressente toute la force du désir contenu dans son corps. Mais le désir est traître. Une fois le contrôle relâché, c’est son corps en entier qui se met à vibrer d’attente exacerbée, malgré lui. Son sexe est encore plus impatient et exige ardemment sa libération. Il ressent le plaisir dans son corps tout entier et une envie irrépressible de partager ce plaisir. Démonia c’est la femme qui va l’accompagner dans sa libération.
Intuitivement, il sait maintenant ce qu’il doit faire. Lentement, il descend son slip, révélant à sa compagne toute sa virilité, mais elle ne voit que ses yeux, soudée au désir qui émane de ceux-ci, appuyée de ses deux mains sur son torse pour ne pas glisser au sol alanguie. Il prend ses deux mains et les glisse doucement mais fermement vers le bas, vers sa puissance érigée.
Démonia comprend qu’il est maintenant un Homme et que son devoir s’achève bientôt, puisqu’il vient de réaliser son pouvoir et sa virilité. Elle baisse sa garde, adoucit son regard, se laisse séduire, lui laisse voir son propre désir. Il comprend enfin et apprécie l’offrande.
Elle entoure de ses mains la verge tendue à l’extrême, sur le point d’exploser, puis en presse rapidement la base, afin de relâcher un peu la tension. Il enregistre le geste, reconnaissant de son savoir. Ensuite, ils coulent tous deux vers le sol, enfin enlacés, enfin réunis.
Chaque caresse de la femme provoque maintenant un gémissement incontrôlé chez l’homme. Il se laisser aller entre les mains expérimentées. Et lorsque la bouche remplace les mains, des cris s’élèvent, preuve d’un plaisir toujours plus grand. Elle se garde bien de lui demander de lui donner du plaisir, ce serait trop risqué, trop engageant, il pourrait s’attacher et elle ne le permettrait pas.
Elle décide que le moment est venu. Lui sur le dos, elle le chevauche et s’empale lentement sur son sexe. Il écarquille les yeux de plaisir, un râle s’échappe de sa gorge. Il inspire profondément, tout son corps se tend, sa verge encore plus, il expire et tente de faire durer un peu plus longtemps l’instant qui semble figé. Elle remonte et s’empale de nouveau. Nouveau râle, inspiration, expiration très longue, il doit résister. Cent fois, elle recommence lentement, cent fois il lui résiste. Le plaisir est dans tout son corps, prêt à exploser. Elle aussi est prête à prendre le seul plaisir qui lui soit autorisé.
Elle remonte, ne redescend pas. Il se fige dans son inspiration, attend. L’homme grogne soudain et empoigne la femme par les hanches avant de la basculer sur le dos. Il enchaîne ensuite les va-et-vient sans plus aucun contrôle, redevenu animal, soumis au désir trop puissant, à la force sauvage de son sexe qui l’entraîne vers des sommets inégalés. La chaleur dégoulinante de l’intimité de sa compagne l’enserre compulsivement, suivant un rythme bien à elle, le rythme de l’orgasme qu’elle ressent au plus profond de son ventre. Il ne se retient plus, il sent la sève qui monte, il ne veut pas se retenir, il ne pense plus à rien, le plaisir éclate au centre de son corps et se propage jusqu’au bout de ses orteils et de ses doigts.
Il hurle sa jouissance, sa libération, ses muscles se tendent une dernière fois avant de se relâcher complètement. Il s’écroule sur la femme qui ne le repousse pas. Encore en elle, il sent des contractions régulières sur son membre. C’est plus qu’il n’en peut supporter, après sa jouissance son sexe lui semble trop sensible. C’est la dernière chose que Démonia veut lui montrer, le plaisir après le plaisir. Jusqu’à ce que sa verge soit complètement dégonflée, elle joue à l’enserrer fortement de ses muscles intimes, autant pour lui donner du plaisir que pour profiter de ces derniers moments. Et lorsque tout est terminé, Démonia l’aspire en elle doucement, le corps de l’homme se dessèche et entre en elle avec douceur. Quand il ne reste plus rien de lui, elle se relève son ventre est gonflé à l’ extrême. Elle me demande de m’approcher, de l’aider. Quelques minutes plus tard, allongée sur le lit, elle a les premières contractions, elle écarte les jambes et de son sexe sort déjà une tête, puis le corps. Le bébé cri et s’éloigne à quatre pattes pendant qu’une autre tête se présente puis une autre et encore une autre.
Démonia se relève.
J’avais raison, avec ce beau gosse j’ai fait remonter quatre de nos frères.
Les bébés ont déjà grandi. L’un d’eux ressemble à s’y méprendre au beau gosse qui les à engendré. Démonia me prend la main et m’entraîne à l’extérieur.
Voila, dans deux heures ils seront adultes et pourront continuer notre travail.
Et l’homme que tu as charmé ?
Un de nos frères va prendre sa place. Il a hérité de sa mémoire. De cette façon, l’invasion sera plus discrète et rapide.
Oui, tu as peut être raison.
Bon, pars travailler, pour le moment c’est moi qui gagne par quatre à zéro.
A suivre

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