La Démoniaque Sarah 2
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 61 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.6
- • L'ensemble des récits érotiques de TITI ET GROS MINET ont reçu un total de 453 763 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2013 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 3 283 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Démoniaque Sarah 2
Le temps a passé, avec joie et soulagement, j’ai appris qu’elles n’étaient pas enceintes. Je continuais à voir régulièrement Sarah, maintenant elle n’est plus sous l’emprise de sa frénésie et impose un préservatif à chaque rapport. Au fil des mois, je la vois de moins en moins puis un jour elle vient me retrouver et m’explique :
- C’est bientôt le solstice, je voudrais que tu sois à nouveau le messager du maître. J’espère que ce coup ci, tu ne t’opposeras pas a la cérémonie. Ce sera comme la dernière fois, j’ai réussi à convaincre Mélanie et Juliette, elles sont prêtes, si tu y mets du tien, je pense que ce coup ci, le maître sera content et viendra nous voir sur terre. Es-tu d’accord ?
- Oui, si tu veux.
- Il y a une condition.
- Laquelle ?
- Le solstice est dans deux mois et d’ici la je te demande de garder ton jus.
- Quoi ! Tu m’obliges à rester sage pendant deux mois ?
- Oui, c’est le seul moyen d’y arriver. Pendant deux mois tu ne dois rien faire, pas même une petite branlette.
- Ça va être difficile tu sais.
- C’est ça ou tu ne participe pas.
- C’est bon, je serais sage.
Au début ça a été facile, après quinze jours beaucoup moins. Enfin j’y suis arrivé. Comme convenu, deux mois après, elle est venue me chercher et m’a emmené dans une sorte de cave, dans les ruines d’un château. Partout autours de nous des cultures de diable et démons, au centre de la pièce une grosse pierre plate. Elle m’a demandé d’attendre dans un coin puis elle est partie chercher Mélanie et Juliette. Elles sont entrées toutes les trois dans la même tenue que la fois précédent, une sorte de toge blanche à raz des fesses. Comme la fois précédente elles ont fait leurs incantations, elles ont fait brûler des trucs bizarres, la fumée acre envahissait la pièce et faisait tourner la tête. Elles ont bu leur potion magique puis elles se sont déshabillées. Mélanie était très belle, grande, blonde, bien formée, petite poitrine et très blanche de peau, Juliette elle, tout le contraire relativement petite, brune le teins mat, une poitrine énorme. Et au milieu ma Sarah, une taille intermédiaire entre les deux, et d’une rousseur flamboyante. Ce spectacle m’émoustillait grandement, j’avais déjà le sexe bien bandé et les couilles me faisaient mal.
- Déshabille-toi et viens sur la pierre.
Le ne me suis pas fait prier, rapidement, je les ai rejointe. Sarah m’a fait boire de leur potion, toujours aussi forte. Elles ont fait des incantations puis sur l’ordre de Sarah, Mélanie et Julie sont venues sur moi. L’une à cheval sur mes cuisses, l’autre à cheval sur ma tête. Je me suis mis à lécher le sexe humide de Mélanie au-dessus de ma bouche pendant que Juliette caressait son sexe avec le mien. Sarah, elle faisait des incantations en caressant la poitrine de ces deux femmes.
Je me sentais sur le point d’exploser sous les caresses de la toison de Juliette quand Mélanie m’a inondé le visage de son plaisir en criant sa joie. Après, tout est allé très vite, Juliette s’est poussée, Mélanie a avancé sur moi et Sarah a guidé mon chibre en elle. Je ne sais pas si c’est parce que j’étais préparé ou quoi mais j’ai très bien senti son hymen se déchirer sous sa poussée. Elle a crié, le sang a coulé sur la pierre et j’ai vu sur le plafond de cette cave une ombre effrayante, elle nous regardait. Sarah s’est mise à caresser le clitoris de Mélanie, ses gémissements de douleur se sont transformés et elle a commencé e bouger sur moi en même temps que l’ombre qui est descendue vers nous. J’avais beau avoir très envie, je n’arrivais pas à jouir, c’étais impressionnant, tellement bon.
L’ombre est encore descendue puis elle est entrée en moi. Une hallucination ? Peut être, je ne sais pas. A partir de ce moment la, j’ai eut l’impression que mon sexe grandissait en elle jusqu'à forcer la bouche de son utérus et là, j’ai lâché toute ma semence économisée depuis deux mois dans un orgasme faramineux qui m’a fait perdre connaissance.
Quand j’ai refait surface, je bandais toujours et maintenant c’était Juliette qui s’agitait sur ma bite. Elle avait un vagin plus court et tout de suite j’ai senti que je butais au fond d’elle alors que je n’étais pas entièrement rentré. Sarah me caressait les couilles d’une main et la poitrine de Juliette de l’autre. Mélanie était couchée sur la pierre a coté de moi, le regard vitreux, inconsciente. Quand Juliette a commencé à crier son plaisir, Sarah a lâché mes burnes pour appuyer ses deux mains sur ses épaules, j’ai senti mon sexe forcer la bouche de son utérus et s’enfoncer au plus profond d’elle. Sous cette pénétration violente elle s’est mise à crier puis elle s’est mise à avoir comme des soubresauts, des contractions de ses muqueuses internes, comme si elle me pompait. Je n’ai pas résisté longtemps et j’ai jouis très fortement en elle puis j’ai à nouveau plongé dans l’inconscience.
Je me suis réveillé dans mon lit, j’avais très mal a la tête, la bouche pâteuse et comme des crampes dans tout le corps. Après avoir ouvert les yeux j’ai regardé autour de moi. Il faisait grand jour, la maison était silencieuse, Le lit était complètement défait et à coté de moi, entièrement nue, les jambes écartées, Sarah dormait profondément sur le drap au niveau de son sexe, une grosse tache humide. Je me suis levé, j’avais comme le vertige, j’ai pris une bonne douche et je suis parti la réveiller en la caressant doucement. Elle a ouvert les yeux.
- Non, arrête, on a tellement baisé hier soir que mon sexe me fait mal.
- On a baisé ? Hier soir ?
- Oui, tu ne t’en souviens pas ?
- Non, mon dernier souvenir c’est quand j’ai éjaculé au plus profond de Juliette, après c’est le trou noir.
- Et bien ça alors ! Tu ne te souviens pas que tu nous as fait l’amour à toutes les trois pendant toute la nuit, dans la cave ?
- Non.
- Tu ne te souviens pas non plus qu’une fois rentré à la maison au petit matin tu m’as encore fait l’amour trois fois.
- Non, pas du tout.
- J’ai bien fait de te mettre au régime deux mois mais je ne pensais pas que tu puisses en faire autant.
- Viens, on va déjeuner.
Nous sommes partis à la cuisine il était déjà midi Mélanie et Juliette dormaient toujours. Après avoir bu un café et mangé un peu, j’ai demandé à Sarah comment je pouvais avoir fait tout ça. Habituellement après deux ou trois jouissances, je suis mort.
- C’est le Maître qui était en toi, maintenant, c’est sur, tu étais possédé par le Maître.
J’ai éclaté de rire. Et je lui ai proposé une petite promenade, elle a accepté et nous sommes sortis. Pendant la promenade elle s’est mise a m’expliquer :
- Tu sais, ce ne sont pas des bêtises, maintenant le maitre est en toi, tu es a son service comme moi au tien.
- Arrête de raconter des sornettes, tu m’as mis au régime sec et on a fait une très belle partie de jambes en l’air, c’est tout.
- Et comment expliques-tu ton endurance ?
- C’est surement le truc que tu m’as fait boire et le régime de deux mois.
- Non, c’est le maitre qui t’habite. Tu en veux une preuve ?
- Oui, j’aimerais bien que tu me le prouves.
- Ouvre ta chemise et regarde ton torse
- Oui, j’ai un bleu, un gros bleu même. J’ai du prendre un coup cette nuit.
- Non, c’est la marque, le maitre est en toi.
J’ai éclaté de rire :
- C’est ça ta preuve ?
- Le maitre est revenu sur terre pour s’y installer avec sa cour. Lui seul est revenu pour l’instant, il est en toi. Grace à toi, il va faire revenir sur terre tous ses enfants.
- Ah bon et comment il va s’y prendre, moi, j’ai ma vie et rien ne va la changer.
- C’est la que tu te trompes. Le maitre dirige ton corps et ton esprit maintenant.
- Fini ces sornettes, on rentre.
- Non, attends, je vais te prouver que le maitre est vraiment en toi.
- Et comment tu vas faire ?
- Moi, je ne vais rien faire mais suis moi et tu verras.
Nous sommes entrés dans le bistrot du coin, j’ai commandé deux cafés et nous nous sommes installés à une table en terrasse.
- Le maitre qui est en toi, n’a qu’une solution pour faire revenir ses adorateurs sur terre, il doit les faire renaitre, pour ça il a besoin de toi.
- Besoins de moi ?
- Pas vraiment de toi mais de ton corps, tu dois baiser des femmes pour les féconder et les bébés qui naitrons seront les enfants du maitre qui reviendrons sur terre.
- Mais je ne peu pas baiser comme ça toutes les filles que je rencontre, la plupart de celles que je connais prennent la pilule en plus alors pour les féconder...
- Non, tu ne féconderas que les filles que le maitre t’indiquera.
- Et comment il les choisira et me les indiquera ?
- C’est simple, il ressent celles qui ne prennent pas de contraceptif et qui sont en pleine période d’ovulation. C’est comme ça qu’il les choisira.
- Et comment il m’indiquera que c’est cette fille que je dois courtiser ?
- C’est très simple, en la voyant tu banderas, en lui parlant tu l’envouteras et dans la foulée tu la baiseras et la féconderas.
- C’est un programme plaisant, ça commence quand ?
- Tout de suite, regarde ce groupe de filles à coté du bus.
- Oui et alors ?
- Tu ne ressens rien ?
- Non rien.
A ce moment passe devant le bistrot une femme, la trentaine, l’air sérieuse, d’un coup, je me met à bander.
- Avec les filles a coté du bus je ne ressens rien, par contre cette femme la, elle me fait bander.
- La vieille avec son panier.
- Oui, je pense, c’est en la regardant que je bande. Pourtant elle est moins belle que toi.
- Merci quand même. Mais c’est le maitre qui commande, va la voir et tus va la baiser pour engendrer le troisième fils du maitre.
- Le troisième ?
- Oui, hier soir, tu en as déjà fait revenir au moins deux.
Je me suis levé, je me suis approché de cette femme qui semblait attendre le bus en me demandant ce que je pourrais lui dire pour l’aborder et a ce moment la, une anse de son sac s’est rompue et tout ce qu’il contenait s’est répandu sur le sol. Je me suis précipité pour l’aider à ramasser ses courses.
- Merci beaucoup monsieur
Elle s’est immobilisée m’a regardé dans les yeux.
- Que puis-je faire pour vous servir Maitre ?
Je n’en revenais pas, elle était comme hypnotisée.
- Posez votre sac et suivez-moi.
- Oui, maitre tout de suite.
Je suis parti vers une porte cochère, je suis entré suivi par cette femme dans un couloir sombre, je bandais tellement que ma bite me faisait mal.
- Relevez votre jupe, baissez votre culote et mettez vous à quatre pates ici.
- Oui, maitre.
Elle s’est tout de suite exécutée, je n’en revenais pas. Je me suis placé derrière elle, j’ai un peu caressé l’entrée de son vagin, il dégoulinait. J’ai ouvert ma braguette sorti mon instrument et je suis entré en elle d’un coup. Elle a gémis de plaisir tout le temps et quand j’ai explosé elle a poussé un cri strident qui a du ameuter tout le quartier. Je me suis relevé, rajusté, elle restait la, immobile par terre.
- Relève-toi et rhabille-toi.
- Oui maitre.
- Retourne a ton bus.
- Oui maitre, merci maitre.
Elle est repartie comme si rien d’anormal ne s’étais passé. J’en restais tout con, je suis retourné voir a la terrasse du bistrot ma chère Sarah, elle m’attendait.
- Alors convaincue ?
- Je ne sais pas, c’étais peut être une folle cette femme.
- Non, le Maitre qui est en toi te guide et fait tout ce qu’il faut pour que tous ses enfants reviennent le plus vite possible sur terre.
- Ah bon mais il lui faut quand même attendre neuf mois non ?
- Non, les enfants du Maitre se développent beaucoup plus vite, en six mois ils sont à terme et une fois né, ils vont grandir d’un an par semaine. Bientôt, notre région sera envahie par les fils du maitre et eux aussi participerons au retour des adorateurs de l’autre monde.
Je ne réponds pas pensant que ce qui venais de m’arriver n’étais qu’un pur coup de chance, j’étais tombé sur une ménagère en manque ou sur une vieille salope, c’est tout. Au moment ou nous allions partir, nous nous sommes fait aborder par une gitane qui semblait mendier aux terrasses. La Bohémienne me dévisagea et me dit :
- Je suis très heureuse de te retrouver Maître, il y a très longtemps que je te cherche.
- Que vous me cherchez ?
- Oui, je sais tout sur toi et ta vie, nous avons passé quelques siècles ensemble.
- Quelques siècles ? Mais je n’ai que vingt cinq ans.
- Suffi, silence. J’appelle les autres pour les mettre au courant de ma découverte.
- Il faudra bien que vous me racontiez ma vie. Moi, je n’y comprends rien si ce n’est qu’il me semble que j’ai certains pouvoirs.
- Oh oui, Maître, mais tu dois trouver la clé des secrets pour me faire parler, répondit-elle, le sourire aux lèvres.
A suivre
- C’est bientôt le solstice, je voudrais que tu sois à nouveau le messager du maître. J’espère que ce coup ci, tu ne t’opposeras pas a la cérémonie. Ce sera comme la dernière fois, j’ai réussi à convaincre Mélanie et Juliette, elles sont prêtes, si tu y mets du tien, je pense que ce coup ci, le maître sera content et viendra nous voir sur terre. Es-tu d’accord ?
- Oui, si tu veux.
- Il y a une condition.
- Laquelle ?
- Le solstice est dans deux mois et d’ici la je te demande de garder ton jus.
- Quoi ! Tu m’obliges à rester sage pendant deux mois ?
- Oui, c’est le seul moyen d’y arriver. Pendant deux mois tu ne dois rien faire, pas même une petite branlette.
- Ça va être difficile tu sais.
- C’est ça ou tu ne participe pas.
- C’est bon, je serais sage.
Au début ça a été facile, après quinze jours beaucoup moins. Enfin j’y suis arrivé. Comme convenu, deux mois après, elle est venue me chercher et m’a emmené dans une sorte de cave, dans les ruines d’un château. Partout autours de nous des cultures de diable et démons, au centre de la pièce une grosse pierre plate. Elle m’a demandé d’attendre dans un coin puis elle est partie chercher Mélanie et Juliette. Elles sont entrées toutes les trois dans la même tenue que la fois précédent, une sorte de toge blanche à raz des fesses. Comme la fois précédente elles ont fait leurs incantations, elles ont fait brûler des trucs bizarres, la fumée acre envahissait la pièce et faisait tourner la tête. Elles ont bu leur potion magique puis elles se sont déshabillées. Mélanie était très belle, grande, blonde, bien formée, petite poitrine et très blanche de peau, Juliette elle, tout le contraire relativement petite, brune le teins mat, une poitrine énorme. Et au milieu ma Sarah, une taille intermédiaire entre les deux, et d’une rousseur flamboyante. Ce spectacle m’émoustillait grandement, j’avais déjà le sexe bien bandé et les couilles me faisaient mal.
- Déshabille-toi et viens sur la pierre.
Le ne me suis pas fait prier, rapidement, je les ai rejointe. Sarah m’a fait boire de leur potion, toujours aussi forte. Elles ont fait des incantations puis sur l’ordre de Sarah, Mélanie et Julie sont venues sur moi. L’une à cheval sur mes cuisses, l’autre à cheval sur ma tête. Je me suis mis à lécher le sexe humide de Mélanie au-dessus de ma bouche pendant que Juliette caressait son sexe avec le mien. Sarah, elle faisait des incantations en caressant la poitrine de ces deux femmes.
Je me sentais sur le point d’exploser sous les caresses de la toison de Juliette quand Mélanie m’a inondé le visage de son plaisir en criant sa joie. Après, tout est allé très vite, Juliette s’est poussée, Mélanie a avancé sur moi et Sarah a guidé mon chibre en elle. Je ne sais pas si c’est parce que j’étais préparé ou quoi mais j’ai très bien senti son hymen se déchirer sous sa poussée. Elle a crié, le sang a coulé sur la pierre et j’ai vu sur le plafond de cette cave une ombre effrayante, elle nous regardait. Sarah s’est mise à caresser le clitoris de Mélanie, ses gémissements de douleur se sont transformés et elle a commencé e bouger sur moi en même temps que l’ombre qui est descendue vers nous. J’avais beau avoir très envie, je n’arrivais pas à jouir, c’étais impressionnant, tellement bon.
L’ombre est encore descendue puis elle est entrée en moi. Une hallucination ? Peut être, je ne sais pas. A partir de ce moment la, j’ai eut l’impression que mon sexe grandissait en elle jusqu'à forcer la bouche de son utérus et là, j’ai lâché toute ma semence économisée depuis deux mois dans un orgasme faramineux qui m’a fait perdre connaissance.
Quand j’ai refait surface, je bandais toujours et maintenant c’était Juliette qui s’agitait sur ma bite. Elle avait un vagin plus court et tout de suite j’ai senti que je butais au fond d’elle alors que je n’étais pas entièrement rentré. Sarah me caressait les couilles d’une main et la poitrine de Juliette de l’autre. Mélanie était couchée sur la pierre a coté de moi, le regard vitreux, inconsciente. Quand Juliette a commencé à crier son plaisir, Sarah a lâché mes burnes pour appuyer ses deux mains sur ses épaules, j’ai senti mon sexe forcer la bouche de son utérus et s’enfoncer au plus profond d’elle. Sous cette pénétration violente elle s’est mise à crier puis elle s’est mise à avoir comme des soubresauts, des contractions de ses muqueuses internes, comme si elle me pompait. Je n’ai pas résisté longtemps et j’ai jouis très fortement en elle puis j’ai à nouveau plongé dans l’inconscience.
Je me suis réveillé dans mon lit, j’avais très mal a la tête, la bouche pâteuse et comme des crampes dans tout le corps. Après avoir ouvert les yeux j’ai regardé autour de moi. Il faisait grand jour, la maison était silencieuse, Le lit était complètement défait et à coté de moi, entièrement nue, les jambes écartées, Sarah dormait profondément sur le drap au niveau de son sexe, une grosse tache humide. Je me suis levé, j’avais comme le vertige, j’ai pris une bonne douche et je suis parti la réveiller en la caressant doucement. Elle a ouvert les yeux.
- Non, arrête, on a tellement baisé hier soir que mon sexe me fait mal.
- On a baisé ? Hier soir ?
- Oui, tu ne t’en souviens pas ?
- Non, mon dernier souvenir c’est quand j’ai éjaculé au plus profond de Juliette, après c’est le trou noir.
- Et bien ça alors ! Tu ne te souviens pas que tu nous as fait l’amour à toutes les trois pendant toute la nuit, dans la cave ?
- Non.
- Tu ne te souviens pas non plus qu’une fois rentré à la maison au petit matin tu m’as encore fait l’amour trois fois.
- Non, pas du tout.
- J’ai bien fait de te mettre au régime deux mois mais je ne pensais pas que tu puisses en faire autant.
- Viens, on va déjeuner.
Nous sommes partis à la cuisine il était déjà midi Mélanie et Juliette dormaient toujours. Après avoir bu un café et mangé un peu, j’ai demandé à Sarah comment je pouvais avoir fait tout ça. Habituellement après deux ou trois jouissances, je suis mort.
- C’est le Maître qui était en toi, maintenant, c’est sur, tu étais possédé par le Maître.
J’ai éclaté de rire. Et je lui ai proposé une petite promenade, elle a accepté et nous sommes sortis. Pendant la promenade elle s’est mise a m’expliquer :
- Tu sais, ce ne sont pas des bêtises, maintenant le maitre est en toi, tu es a son service comme moi au tien.
- Arrête de raconter des sornettes, tu m’as mis au régime sec et on a fait une très belle partie de jambes en l’air, c’est tout.
- Et comment expliques-tu ton endurance ?
- C’est surement le truc que tu m’as fait boire et le régime de deux mois.
- Non, c’est le maitre qui t’habite. Tu en veux une preuve ?
- Oui, j’aimerais bien que tu me le prouves.
- Ouvre ta chemise et regarde ton torse
- Oui, j’ai un bleu, un gros bleu même. J’ai du prendre un coup cette nuit.
- Non, c’est la marque, le maitre est en toi.
J’ai éclaté de rire :
- C’est ça ta preuve ?
- Le maitre est revenu sur terre pour s’y installer avec sa cour. Lui seul est revenu pour l’instant, il est en toi. Grace à toi, il va faire revenir sur terre tous ses enfants.
- Ah bon et comment il va s’y prendre, moi, j’ai ma vie et rien ne va la changer.
- C’est la que tu te trompes. Le maitre dirige ton corps et ton esprit maintenant.
- Fini ces sornettes, on rentre.
- Non, attends, je vais te prouver que le maitre est vraiment en toi.
- Et comment tu vas faire ?
- Moi, je ne vais rien faire mais suis moi et tu verras.
Nous sommes entrés dans le bistrot du coin, j’ai commandé deux cafés et nous nous sommes installés à une table en terrasse.
- Le maitre qui est en toi, n’a qu’une solution pour faire revenir ses adorateurs sur terre, il doit les faire renaitre, pour ça il a besoin de toi.
- Besoins de moi ?
- Pas vraiment de toi mais de ton corps, tu dois baiser des femmes pour les féconder et les bébés qui naitrons seront les enfants du maitre qui reviendrons sur terre.
- Mais je ne peu pas baiser comme ça toutes les filles que je rencontre, la plupart de celles que je connais prennent la pilule en plus alors pour les féconder...
- Non, tu ne féconderas que les filles que le maitre t’indiquera.
- Et comment il les choisira et me les indiquera ?
- C’est simple, il ressent celles qui ne prennent pas de contraceptif et qui sont en pleine période d’ovulation. C’est comme ça qu’il les choisira.
- Et comment il m’indiquera que c’est cette fille que je dois courtiser ?
- C’est très simple, en la voyant tu banderas, en lui parlant tu l’envouteras et dans la foulée tu la baiseras et la féconderas.
- C’est un programme plaisant, ça commence quand ?
- Tout de suite, regarde ce groupe de filles à coté du bus.
- Oui et alors ?
- Tu ne ressens rien ?
- Non rien.
A ce moment passe devant le bistrot une femme, la trentaine, l’air sérieuse, d’un coup, je me met à bander.
- Avec les filles a coté du bus je ne ressens rien, par contre cette femme la, elle me fait bander.
- La vieille avec son panier.
- Oui, je pense, c’est en la regardant que je bande. Pourtant elle est moins belle que toi.
- Merci quand même. Mais c’est le maitre qui commande, va la voir et tus va la baiser pour engendrer le troisième fils du maitre.
- Le troisième ?
- Oui, hier soir, tu en as déjà fait revenir au moins deux.
Je me suis levé, je me suis approché de cette femme qui semblait attendre le bus en me demandant ce que je pourrais lui dire pour l’aborder et a ce moment la, une anse de son sac s’est rompue et tout ce qu’il contenait s’est répandu sur le sol. Je me suis précipité pour l’aider à ramasser ses courses.
- Merci beaucoup monsieur
Elle s’est immobilisée m’a regardé dans les yeux.
- Que puis-je faire pour vous servir Maitre ?
Je n’en revenais pas, elle était comme hypnotisée.
- Posez votre sac et suivez-moi.
- Oui, maitre tout de suite.
Je suis parti vers une porte cochère, je suis entré suivi par cette femme dans un couloir sombre, je bandais tellement que ma bite me faisait mal.
- Relevez votre jupe, baissez votre culote et mettez vous à quatre pates ici.
- Oui, maitre.
Elle s’est tout de suite exécutée, je n’en revenais pas. Je me suis placé derrière elle, j’ai un peu caressé l’entrée de son vagin, il dégoulinait. J’ai ouvert ma braguette sorti mon instrument et je suis entré en elle d’un coup. Elle a gémis de plaisir tout le temps et quand j’ai explosé elle a poussé un cri strident qui a du ameuter tout le quartier. Je me suis relevé, rajusté, elle restait la, immobile par terre.
- Relève-toi et rhabille-toi.
- Oui maitre.
- Retourne a ton bus.
- Oui maitre, merci maitre.
Elle est repartie comme si rien d’anormal ne s’étais passé. J’en restais tout con, je suis retourné voir a la terrasse du bistrot ma chère Sarah, elle m’attendait.
- Alors convaincue ?
- Je ne sais pas, c’étais peut être une folle cette femme.
- Non, le Maitre qui est en toi te guide et fait tout ce qu’il faut pour que tous ses enfants reviennent le plus vite possible sur terre.
- Ah bon mais il lui faut quand même attendre neuf mois non ?
- Non, les enfants du Maitre se développent beaucoup plus vite, en six mois ils sont à terme et une fois né, ils vont grandir d’un an par semaine. Bientôt, notre région sera envahie par les fils du maitre et eux aussi participerons au retour des adorateurs de l’autre monde.
Je ne réponds pas pensant que ce qui venais de m’arriver n’étais qu’un pur coup de chance, j’étais tombé sur une ménagère en manque ou sur une vieille salope, c’est tout. Au moment ou nous allions partir, nous nous sommes fait aborder par une gitane qui semblait mendier aux terrasses. La Bohémienne me dévisagea et me dit :
- Je suis très heureuse de te retrouver Maître, il y a très longtemps que je te cherche.
- Que vous me cherchez ?
- Oui, je sais tout sur toi et ta vie, nous avons passé quelques siècles ensemble.
- Quelques siècles ? Mais je n’ai que vingt cinq ans.
- Suffi, silence. J’appelle les autres pour les mettre au courant de ma découverte.
- Il faudra bien que vous me racontiez ma vie. Moi, je n’y comprends rien si ce n’est qu’il me semble que j’ai certains pouvoirs.
- Oh oui, Maître, mais tu dois trouver la clé des secrets pour me faire parler, répondit-elle, le sourire aux lèvres.
A suivre
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par TITI ET GROS MINET
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...