La Démoniaque Sarah 3

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Démoniaque Sarah 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2013 dans la catégorie A dormir debout
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(9.0 / 10)

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La Démoniaque Sarah 3
Nous sommes partis vers la maison, la bohémienne nous a suivis. Une fois de retours, je me suis mis à l’observer, elle se promenais dans toute la maison et regardait partout. Étrangement comme pris par un charme magique nous la laissions faire. Elle a allumé des bougies Un éclair parcourut mon regard figé dans l’étoffe de sa lingerie.
- J’ai ma petite idée, dis-je en m’approchant d’elle…… avant de glisser lentement ma tête entre ses jambes, en appui sur les coudes. Je la sentis subitement rougir, comme si je venais de la percer à jour. Les effluves de sa peau venaient titiller mes papilles comme un essaim d’abeilles attiré par le miel. De la paume des mains, j’écartai délicatement ses cuisses tandis que mon visage rampait vers son sanctuaire. Le triangle en coton qui abritait son puits de jouissance laissait entrevoir l’ombre de sa toison. Mes narines frémissaient sous l’odeur délicieuse qui s’emparait d’elles telle une tyrannie invisible et douce. Ma bouche était désormais à quelques centimètres de sa fente, pressée de s’y abandonner. La bohémienne connaissait une transe sans pareille, ses hanches ondulant comme un rituel hypnotique. Je distinguai le souffle de la jeune femme qui haletait au moindre de mes gestes.
Et lorsque ma langue humecta l’étoffe sur toute la longueur de sa fente, je la vis défaillir, agitée par de multiples soubresauts au niveau du ventre. Mes mains en appui sur ses cuisses percevaient les ultimes crispations d’un corps qui s’apprêtait à m’offrir la vérité. Sa vérité, celle qui serait mienne.
Je couvris ensuite le triangle de coton d’un long baiser mouillé, enfouissant mon nez au plus profond de sa chair tendre et onctueuse. Un fumet de vice hantait ce temple infernal que j’imaginai être le premier à découvrir.
- Mmm, que veux-tu savoir ?
Haleta-t-elle en se mordant les lèvres.
D’un mouvement du pouce, je dégageai facilement l’entrée de son antre en repoussant la lingerie sur le côté. Ses petites lèvres au-dessous de sa toison s’offraient à moi sans retenue et j’avais maintenant une envie folle de les dévorer. Je déployai ma langue une nouvelle fois et commençai à titiller son bouton d’amour parfaitement dessiné. J’y déposai ma salive comme l’offrande sacrée à une déesse oubliée. J’étais l’unique adorateur d’un culte voué à mes désirs les plus enfouis.
- Mmmm, demande, maître, et j’obéis…Je continuai à honorer cet autel pendant quelques instants, laissant le bassin de la Bohémienne se positionner pour mieux profiter de mon audace. Chaque coup de langue semblait un coup de poignard directement planté dans sa colonne vertébrale, chaque caresse de mes doigts une flèche invisible en plein cœur. J’étais l’ordonnateur d’un sacrifice dont elle était la victime consentante.
Lorsque je dégageai enfin ma bouche encore pleine de son clitoris, susurrant ma question à l’entrée de son orifice…- Qui suis-je ?
Ses cuisses se contractèrent tandis que je fourrais ma langue dans sa fente, et l’oracle me répondit.
- Mmm, tu étais Pierre un mortel sans importance, maintenant, tu es le Cinquième Prince des Abysses et Seigneur des cornus.
Sa voix avait changé, ses gestes aussi. Les ongles plantés dans mon crâne, la jeune femme ne contrôlait plus rien. Elle était comme possédée, une force surnaturelle s’était emparée d’elle, inondant chacun des pores de sa peau. Elle s’apparentait à une marionnette dont je tirais les ficelles à ma guise, ficelles qui venaient de se briser dans ma main à sa réponse.
Abasourdi, je haussai le regard à la recherche d’une sincérité dérobée, effleurant au passage les monts de ses seins, la tête nichée entre ses cuisses. J’étais tétanisé, le cœur à cent à l’heure cognant dans ma poitrine. Mes poils se hérissaient comme mille tentacules, mes organes croissaient à la vitesse de l’éclair et je sentais mes os s’entrechoquer comme des billes. J’avais l’impression d’achever une mutation commencée pendant cette folle nuit, ou même avant, précisément au moment où j’avais rencontré Sarah, Pris d’une incroyable panique et emporté par un torrent de violence, je plantai deux doigts dans la fente de cet oracle qui m’assénait cette insupportable vérité.
- Raconte ! Dis-moi la vérité sur mon père, sur ces putains d’abysses, sur ma putain de destinée ici !!! hurlai-je.
Je la fouillais maintenant de toute part, ma langue s’activant sur son clitoris avec délectation. Je léchais, lapais, crachais, mordais cette chair qui exigeait caresses et démence. Elle appuyait de toutes ses forces sur mon crâne, enfouissant mon visage au plus profond de ses cuisses pour m’obliger à poursuivre ce rituel. Arc-boutée sur ses jambes, elle récitait sa mélopée à la manière d’un chant de sirène.
- Nous sommes tes sœurs, Ô Lord, je suis Verba nées comme toi des entrailles de Méphistophélès, Prince démon des Ténèbres, régnant sans partage sur les plans infernaux. Ô Baal, mmmon frère de feu, produit de la lave intestine et du flot spermatique du Styx, accomplis-toi pour te repaître de tes fautes, détruis, engendre et redeviens pleinement celui que tu es pour apposer ton flambeau infernal sur cette terre. Mmmmmmmmmm Hhhh….
Au bord de l’étouffement, hagard, je finis par m’extraire de la puissance de ses griffes. Le spectacle qui s’offrait à moi était incroyable.
Des sexes, un cercle de fentes tout autour de moi. Je ne les avais pas entendu entrer, pourtant elles étaient la, offertes. Carnivora, Masochista, Sodomia, les cuisses écartées, assises, se livraient sans pudeur à la puissance sexuelle qui me dévorait de part en part. Un volcan grondait dans mes entrailles, la lave prête à jaillir, à libérer les accumulations de frustration que cette société terrestre m’avait imposées.
Tous ces sexes, toutes ces fentes étaient miennes, je les possédais comme un enfant jouit des jouets qu’on vient de lui offrir. J’y plongeai tout mon visage, ne sachant plus qui je fouillais, quel orifice mes doigts comblaient. Tout n’était que plaintes sauvages et miaulements. Mes sœurs maléfiques se caressaient, entrelaçaient leurs langues sans vergogne selon le même instinct primitif. J’étais le grand ordonnateur de cette immense partouze qui déchirait le ciel et sentais ma queue en battre le rythme.
N’en pouvant plus, je me redressai en hurlant, arrachant au passage le tissu de mon pantalon comme une simple feuille de papier. Mon membre furieusement dressé me guidait, me contrôlait sans commune mesure. Je voyais rouge tandis qu’elles criaient sexe. Désormais nu comme un ver, j’empoignai Carnivora par sa tignasse et la traînai sur les genoux pour empaler sa bouche sur ma queue. Son appétit était le même que dans mes rêves les plus fou. Vorace. Carnivora me pompait à grands bruits de succion, ses yeux de braise dans les miens. Elle me suçait à fond, cognant son palais contre ma queue en gémissant pour me gratifier d’une gorge profonde démentielle. J’étais au bord de l’évanouissement.
- Crache, suce, baise, dévore-moi, grognai-je, pendant qu’elle s’exécutait sans ciller, les mains crispées sur mes pectoraux.
À genoux et balayant l’air de son épaisse crinière qu’elle ne cessait de rejeter dans son dos, elle gémissait, hoquetait, crachait, bavait sur ma queue, dégorgeant des paquets de salive à chaque mouvement. Ses joues se creusaient pour m’aspirer comme si elle tentait de me tirer mon dernier souffle de vie. Cette incroyable fellation était sur le point de me départir de mon humanité, j’en étais persuadé.
Je réalisais maintenant combien Sarah avait été précieuse dans la révélation de mon identité. Elle m’avait guidé tout au long de cette cavale sanglante en se débarrassant un à un des obstacles à l’aide de ses sortilèges, son cul et le souffle de sa voix opérant comme un charme ténébreux. La pipe qu’elle m’offrait à présent s’apparentait à l’ultime passage, la voie qui me permettait de tomber le masque et de m’accomplir de nouveau. L’amour que j’avais voué à Sarah s’était aujourd’hui transformé en une étrange dévotion. Un respect mystique qui me liait à elle pour l’éternité.
Jamais je n’avais senti une telle rage se déchaîner en moi, jamais plaisir n’avait envahi mon corps avec autant d’intensité. Sa bouche gobait mon corps entièrement, sa langue caressait chaque muscle. Je percevais les battements de son cœur dans ma queue, je les sentais remonter le long de mon membre pour investir mon sang bouillonnant. Nous ne faisions plus qu’un. Une osmose parfaite. Complète. Totale. Absolue.
Pendant ce temps, les autres filles se léchaient, se caressaient, se doigtaient comme des folles en attendant leur tour. Toutes me scrutaient du coin de l’œil, impatientes d’être prises. C’était à celle que je baiserais la première. Je ne distinguais plus qu’un amas de chair et de sexe, des fentes qui s’offraient, des culs et des courbes qui s’entrechoquaient, des seins d’où suintait une sueur brillante et onctueuse. La fièvre possédait leurs chevelures, leurs sexes hurlaient, leurs lèvres m’invitaient au carnage, à partager ce festin démoniaque. C’était l’orgie, une putain d’orgie !
Je sentis bientôt que j’allais décharger. Alors je me retirai subitement et explosai aussitôt au visage de Carnivora qui tendait la langue, scindant son visage d’un puissant geyser de foutre qui finit par inonder sa face de folle furieuse en sueur. Toujours à genoux et le torse à l’horizontale, les omoplates à quelques centimètres des chevilles, elle riait à gorge déployée, se malaxant les seins avec les élastiques de sperme qui perlaient de son menton pour coller à sa peau. Les trois jets qui suivirent s’étalèrent dans ses cheveux, éclaboussèrent ses joues, noyèrent ses lèvres, emplirent sa bouche à ras bord jusqu’à l’écœurement, poussant Carnivora à déglutir, recracher, puis déglutir encore. Je ne distinguais plus rien. Mon sexe était en feu, excité par cette première explosion. Il fallait que je baise. Que je pénètre un sexe. Que j’empale un orifice.
Le cœur battant, je saisis la queue de cheval de Sodomia, nue elle aussi, à l’instar de ses sœurs. Toutes s’étaient délestées de leurs atours. D’un geste, je la fis s’accroupir puis plantai sa tête à même le plancher, joue contre le carrelage. Les coudes en appui sur le sol et un doigt dans la bouche, elle me suppliait de la prendre, de la baiser comme jamais. Je me plaçai alors au-dessus de ses fesses rondes et fermes, humectai sa raie accueillante, et approchai ma queue lubrifiée de salive de son orifice sacré.
Carnivora crachait le sperme dont sa bouche était pleine. C’en était trop !
Alors j’attirai Sodomia fis basculer son torse en la retenant par la queue de cheval et la pénétrai. Lentement, elle succombait à l’exploration de son anus. Ses membres tremblaient, ses lèvres dévoraient sa peau jusqu’au sang. À genoux, elle gémissait sous les assauts frénétiques de ma queue qui martelait son cul à n’en plus finir. Chaque coup de boutoir lui donnait l’impression d’être propulsée dans le vide, abandonnée à ce monde de haine et de violence. Carnivora, assise à côté et le visage dégoulinant de foutre, riait en insultant le monde, comme ayant perdu la tête au cours de cette baise frénétique. Sodomia succombait, les mains crispées sur le sol, la chevelure balayée par les tempêtes de vent. Je finis par décharger abondamment dans son cul, m’enfonçant absolument en elle, au plus profond de ses entrailles, pour déclencher chez elle l’orgasme ultime qui la fit sombrer dans l’inconscience.
Je la dégageai ensuite et la déposai sur le plancher, tremblante, tandis que je fondais sur Masochista, la queue toujours dressée. Je la plaquai violemment contre la cloison et la décollai du sol à hauteur de hanches, avant de poser ses jambes sur mes épaules. Puis je m’enfonçai très vite dans sa fente, ses paumes au-dessus de sa tête, en appui sur la cloison. Chaque va-et-vient lui fracassait le crâne contre la paroi sans qu’elle ne me demande d’arrêter. Au contraire, elle me suppliait du regard de continuer, partageant ma fureur. Et, après plusieurs secondes de baise intense, je me retirai pour la laisser choir sur le sol et inonder de mon foutre la balafre qui zébrait son torse. Son corps terrassé fut agité de multiples secousses qui décuplèrent l’orgasme né dans son ventre et venait d’exploser comme une bombe nucléaire. Masochista était anéantie. Repue. Les bras en croix, allongée sur le sol, les jambes repliées et le torse suintant de ma semence, elle me regardait en pleurant. Des larmes de plaisir dévalaient la pente de ses joues en remerciement.
Restait la dernière des sœurs à assouvir. Verba. À genoux, les mains sur les cuisses, elle parlait dans une autre langue, possédée. Son timbre de voix était insupportable. Il me rendait fou, comme si elle m’avait lancé un sortilège inépuisable porteur de cette vigueur folle. En sueur, les cheveux en bataille et les muscles saillants, je me précipitai sur elle comme un fauve, saisissant au passage le string qui reposait à ses pieds. D’un geste brusque, je le lui fourrai dans la bouche et plaçai ma queue dans sa poitrine. Les yeux dans les miens, elle comprima ses seins pour en faire un parfait fourreau pour ma queue dans lequel je vins m’astiquer en grognant, la traitant de tous les noms. Je me branlai violemment dans sa poitrine, mon membre venant cogner contre son menton à chaque va-et-vient. L’élastique de son string chargé de bave pendouillait sur son menton, collé par la salive.
Un flot immense éclata dans son cou pour s’écouler entre ses seins. Je m’arrêtai alors subitement et un dernier soubresaut libéra un jet compact qui s’étala sur sa peau. J’en profitai pour libérer ma queue de son emprise et barbouillai ses mamelons de sperme chaud et suintant. Une cascade de semence glissait sur son nombril pour rejoindre sa toison humide.
Toutes étaient désormais à genoux, comme les fidèles qu’elles étaient devenues. Prosternées devant mon sexe dressé, battant comme jamais, elles l’embrassaient à pleine bouche, recueillaient les filets de sperme qui perlaient, l’astiquaient doucement pour en faire dégorger le nectar, lui parlaient. Et pour la première fois de ma vie j’étais debout. Debout après cette baise de forcené.
- Maître, ne gâche pas ta semence avec nous, tu es ici sur terre pour faire revenir nos frères, nous t’avons étudié, surveillé. Maintenant, notre choix est fait, nous te rendons tous tes pouvoirs magiques. Tu es sur terre pour permettre à nos frères et sœurs de revenir. N’use pas ta semence avec des femmes stériles et sous contraceptif. Sers-toi de ton don pour trouver celles qui sont en pleine ovulation.
Quand une femme ovulera,Tu la trouveras et tu banderas, Elle te vénérerasTu la pénétreras Et la combleras.
De ta semence en elle en neuf semaines un de nos frères revivra.
Très vite Il grandira Et rapidement il procréera.
Après m’avoir confié ce secret elles ont toutes disparues. J’avais déjà entendu un truc comme ça, c’était ce que m’avait confié Sarah il y a quelques temps. Maintenant j’en avais la preuve.

A suivre

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