La Démoniaque Sarah 5

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Démoniaque Sarah 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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La Démoniaque Sarah 5
A mon réveil, je suis parti prendre une douche et la, j’ai découvert une sorte de tatouage sur ma poitrine, a la place du gros bleu, j’avais une sorte de dragon. Après m’être rhabillé, je suis parti au manoir.
C’est Jean qui vient m’ouvrir
- bonjour, je désirerais voir Mme Valençon
- il est très tôt, Mme dort toujours.
- Ce n’est pas grave, je vais dans sa chambre.
Je suis entré doucement sans frapper. Elle était entièrement nue, et j’avoue à présent, que je ressentie ma bite se raidir d’un seul coup en entrant. N’étant pas un rustre, je mis mes pulsions de côté sur le moment pour m’approcher d’elle et lui demander ce qu’il se passait. Les yeux rouges, mais toujours le visage radieux et le corps d’un mannequin, elle posa sa tête sur mon torse et pleura longuement.
- Que se passe-t-il?
- Je n’aurai jamais d’enfant…
- Qu’est ce que tu racontes ? Tu es faite pour être mère !
- Pourquoi ça ne marche pas alors ?! Je suis maudite ou quoi ?!
- Tu n’es pas maudite, tu es la plus belle des femmes et tu auras des enfants, je te le jure.
Sur ce, elle leva la tête et nos lèvres s’effleurèrent. Elle n’avait jamais eut si bon goût. Les larmes perlant sur ses lèvres donnaient à ce baiser quelque chose de magique. Elle posa ses mains sur mes fesses et tandis que nous nous enlacions, je descendais ma main en direction de sa petite chatte que je caressai longtemps jusqu’à sentir l’humidité envahir cette antre du plaisir. Dans mon pantalon, mon sexe grossissait à vue d’œil et une bosse se forma à son niveau. Charlotte la ressentit et la palpa. Nous fusionnons presque et j’étais prêt à exploser.
- Charlotte… je vais te faire un enfant…
- C’est le bon jour je crois, me dit-elle
- Je sais
Nous étions tout les deux comme des bêtes, n’attendant qu’une chose : une jouissance immense!. Je savais qu’elle était prête, ma queue le savait.
Charlotte était déjà nue. Je la pris dans mais bras et allai l’allonger sur son lit. Elle laissa apparaître un petit sourire et je compris que c’était le moment. Je l’embrassai et peu à peu descendis vers son minou, n’attendant qu’une chose : recevoir la semence pour donner la vie. Ma langue caressa doucement son clito et s’enfourna dans son vagin. Les sanglots de Charlotte de Valençon se transformèrent en petits cris de plaisirs et je sentais ses sécrétions couler dans ma bouche. Quand elle fût bien échauffée, je décidai donc de me mettre en œuvre. Ma bouche quitta sa chatte et je me relevai pour enlever ma chemise puis mon pantalon. Ma bite était prête à exploser et n’attendait qu’une chose, féconder cette petite chatte qui n’attendait que ça. Lentement, je me glissai à côté de cette superbe créature. Nous nous sommes embrassés durant de longues minutes, et je sentais mon sexe turgescent frotté sur le ventre qui devait prochainement contenir la vie. On aurait dit que mon sexe cherchait absolument à pénétrer son vagin. Inévitablement, ce fût chose faite et je commençais à donner des coups de reins à tout va en poussant des cris de jouissances. La jouissance était là, et bien là même !
Mais, je n’éjaculais toujours pas! Ce n’est pas que je n’en avais pas envie, mais je sentais que j’étais toujours à deux doigts mais qu’au dernier moment, ça ne venait pas ! Tout cela me procurait donc une jouissance continue et à Charlotte également ! Je ne me croyais pas capable de résister aussi longtemps, mais au bout d’un certain temps, Charlotte eut un orgasme impressionnant, qui me fit frissonner ! Du même coup, je me mis à éjaculer à grands jets tout au fond de son vagin. Un long silence vint s’abattre sur nous, nous sommes restés sur le lit de sa chambre, nos corps luisants sous le coup de la sueur. Nous nous sommes regardés longtemps, pendant un long instant, chacun devinant ce que l’autre pensait. Nos deux corps enlacés, elle s’est endormie amoureusement…
Dix minutes plus tard, la porte de la chambre s’est ouverte. Elodie la femme de chambre entre, nous regarde, semble hypnotisée par mon tatouage, elle s’approche, Nos langues se rejoignent, sa main vient toucher mon sexe qui se relève, je lui enlève et lui dis :
- Non, laisse-moi faire.
Je l’assois sur le lit et, un genou à terre, défais les boutons de sa veste un à un. Non seulement elle n’a pas de chemisier dessous, mais elle n’a pas non plus de soutien-gorge. Je lui tète doucement les seins, ils sont plus petits et moins fermes que ceux de Charlotte, je suis un peu déçu, je les voyais plus fermes.
Je me relève et lui tends la main pour qu’elle se relève aussi. Je l’embrasse à nouveau, puis je déboutonne et défais le zip de sa jupe, la descends délicatement et l’aide à l’ôter entièrement. Je recule, elle est en string noir avec un porte-jarretelles rouge et noir. Je la regarde dans les yeux et lui demande d’enlever son string, elle se met de dos, elle écarte doucement les côtés du fin morceau de tissu puis descend lentement celui-ci, la ficelle se dégage enfin des fesses. Elle se baisse, jambes raides, penchée en avant, son abricot brille sous ses fesses, elle est indécente et ô combien excitante.
Je reprends la partie et lui dis :
- Normalement, c’est maintenant que je t’attache.
Elle s’allonge au milieu du lit et met ses bras en croix, je sors de mon sac des vieilles cravates et lui attache les deux mains au lit, puis lui pose un bandeau sur les yeux. Je lui dis :
- Ne bouge pas.
Je vais à la salle de bain, fais couler l’eau et reviens avec Charlotte qui était partie se rafraichir.
Nous nous asseyons tous les deux sur les fauteuils et restons silencieux. C’est Elodie qui commence à s’inquiéter et qui demande ce que je fais. Je m’assieds sur le lit et commence à lui caresser le visage doucement, mon doigt descend sur son cou, se dirige entre les seins et remonte.
De ses doigts, Charlotte me montre sur elle-même, les caresses à effectuer. Elle ouvre son peignoir puis, tandis qu’un de ses doigts joue avec ses lèvres, elle se pince un téton. Je fais la même chose à Eva, accentuant les gestes de Charlotte, Elodie laisse échapper un petit cri. Nous continuons ce petit jeu, pendant près d’une demi-heure, délaissant totalement le sexe d’Elodie. Charlotte, attache ses cheveux sous forme d’un petit chignon et me fait signe de m’écarter.
Sans se servir de ses mains, elle plonge sa langue dans l’intérieur des cuisses d’Elodie, elle mordille la peau juste au-dessus des bas, puis lui lèche le sexe d’une manière passionnée. Je n’en reviens pas de voir ma femme jouer avec le bouton d’une autre sans moi. Elle s’écarte, me sourit et me fait signe de prendre sa place.
Je reprends où en était Charlotte ; m’aidant de mes doigts, j’écarte ses lèvres et excite son clitoris avec ma langue. Celui-ci est dressé, fier. Je lui plante maintenant un doigt dans son vagin, elle halète doucement et gémit des petits « oui » m’invitant à aller plus loin, un deuxième doigt prend le relais du premier, elle est au bord de l’explosion.
Je m’arrête et dis doucement :
- Je crois que l’étape suivante est de me faire sucer.
Lentement, avec les deux doigts qui l’ont masturbée, je frôle les lèvres d’Elodie, qui sort sa langue pour les attraper, mais je bats en retraite. Elodie pleurniche des :
- Viens maintenant, s’il te plait.
Charlotte s’est agenouillée à mes pieds, et me lèche doucement le gland, j’agis avec mes doigts sur la bouche d’Elodie comme Charlotte agit sur mon sexe.
Quand Charlotte engloutit entièrement mon sexe, mes deux doigts s’enfoncent dans la bouche d’Elodie puis, de l’autre main, j’ôte le bandeau d’Elodie. Elle tourne la tête dans tous les sens pour se libérer, je lui pose ma main sur la bouche en me collant contre son oreille et je lui dis doucement :
- Laisse-nous faire, nous venons pour te dépuceler.
Je m’assois alors sur le lit et Charlotte fait descendre et remonter ses lèvres sur ma colonne de chair bandée au maximum. Elodie lui dit :
- Ouvre encore plus la bouche et sors ta langue sur la fin.
Je sens ma queue qui force le passage de la gorge de Charlotte mais sans entrer. Elle lui donne ensuite d’autres conseils, et c’est vrai que Charlotte écoute notre coach et s’améliore. Charlotte se couche à côté d’Elodie et l’embrasse doucement. C’est à moi de manger ces femmes, ma langue les lèche tant que je peux. Je vois ces deux femmes, l’une nue, l’autre en porte-jarretelles et bas.
Ma main excite le capuchon d’Elodie, puis deux de mes doigts entrent à peine dans sa chatte et ressortent. Je remplace mes doigts par ma verge, j’entre doucement, je sens son hymen résister, je pousse, entre, je n’en peux plus, je suis pressé, je lui envoi un grand jet de foutre au fond de sa matrice, je ressors et recommence à lécher Charlotte. Puis, j’humidifie son petit œillet et le caresse de deux doigts ; je fais retourner Charlotte qui se met à quatre pattes au-dessus d’Elodie. Je reprends mes caresses sur les fesses de Charlotte qui a défait les liens d’Elodie ; celle-ci se relève et vient en face de moi au-dessus de Charlotte.
Elle écarte les deux globes fessiers de Charlotte, j’en profite pour entrer un doigt, je sens son anus se contracter et se relâcher autour de mon doigt. Je le retire et c’est Elodie qui me remplace, un deuxième doigt rejoint le premier, elle tourne ses doigts dans le cul de Charlotte qui gémit par moments mais ne se plaint pas. Elle retire ses doigts et, après avoir salivé sur sa petite collerette, j’y introduis à mon tour deux doigts. Charlotte est beaucoup plus relâchée, ses gémissements ressemblent de moins en moins à des petits cris de douleurs, mais plus à des soupirs de plaisirs. Elodie se met devant Charlotte et lui soulève la tête, elle lui dit :
- Tu veux qu’il t’encule maintenant ?
- Oui.
- Demande-le !
- Oui Pierre, viens !
Je me positionne, mais Elodie me dit :
- Non Pierre, elle doit dire ce qu’elle veut.
- Sodomise-moi, Pierre ! répond Charlotte.
- Non, dis-lui que tu veux te faire enculer.
- Encule-moi Pierre.
- S’il te plait…
- Encule-moi, Pierre, s’il te plait.
Elodie a repris les fesses de Charlotte et les écarte. Mon gland est posé sur son anus et je pousse doucement, le gland est presque passé quand Charlotte se déplace en criant légèrement. Je me repositionne, je sens qu’elle est inquiète, je lui dis de se détendre et recommence ; mon gland est passé, je reste sans bouger. Elle halète, ses petits cris sont entre douleur et plaisir. Je pousse doucement, chaque millimètre la fait réagir. Elodie me fait signe de ressortir, puis de recommencer. L’introduction est plus facile et je pense, moins douloureuse. Je progresse doucement, Elodie a relâché Charlotte. Mes mains sont sur ses hanches, je pousse doucement, avance petit à petit. Je suis presque entièrement entré, je commence des petits va-et-vient qui font geindre Charlotte puis je vais de plus en plus loin, de plus en plus profond. C’est une nouvelle sensation pour moi, je suis plus serré, ses fesses frappent sur mon ventre et font monter en moi l’envie de finir.
Charlotte s’accroche aux draps, elle va jouir. Il faut que je tienne ! Il ne faut pas gâcher mon foutre démoniaque. Un long râle commence à sortir de sa bouche, elle a un orgasme merveilleux. Je me retire, attrape Elodie par la taille, m’enfonce en elle d’un coup, je ne tiens plus et éjacule au plus profond d’elle. Je reste enfoncé, chaque jet la fait crier.
Je me retire doucement, elle s’allonge sur le dos, la tête tournée de l’autre côté. Charlotte est partie.
J’embrasse Elodie sur les épaules, elle me dit :
- Va te doucher, je veux rester seule un moment pour pleurer ma fleur.
J’obéis, je reste longtemps sous la douche brûlante, la porte s’ouvre.
Myriam, la belle fille de Charlotte entre, elle vient d’assister a nos ébats et elle est très excitée, elle se love dans mes bras ; elle baisse la température de l’eau, m’embrasse sur le torse et m’aspire les tétons. Mes mains lui caressent le dos, elle relève la tête et m’embrasse, nos langue se croisent, se battent, se caressent. elle prend mon sexe déjà tout bandé délicatement et me branle doucement pour me faire devenir encore plus dur puis, lorsqu’elle sent que c’est suffisant, elle se retourne et, tenant toujours mon sexe, le présente et l’introduit dans le sien, sans difficulté.
Je m’enfonce doucement en elle, elle pose ses deux mains à plat sur le carrelage et se cambre de plus en plus. Je la lime à grands mouvements, tapant dans le fond de sa matrice et ressortant pratiquement. Elle écarte et recule de plus en plus ses jambes, je suis presque dos à la cabine et, sans signe avant coureur, elle se met à jouir. Ses jambes tremblent, elle crie, je la tiens collée à moi pour qu’elle ne glisse pas, sa respiration commence à se calmer. Je la plaque contre la paroi de la douche, j’ai plus de mal à la pénétrer comme cela, mais c’est plus serré. Je sens sur mon sexe comme une multitude d’anneaux qui l’enserrent et se relâchent. Ma main a réussi à passer entre la paroi et son sexe, je tapote son clitoris avec le bout des doigts, elle hurle maintenant, je sens une pression autour de mon sexe et je jouis à mon tour. Nous restons sous l’eau, moi en elle, de longues minutes collés l’un contre l’autre, puis elle se retourne et m’embrasse doucement en souriant.
- Dit moi, Myriam, il y a longtemps que tu fais l’amour avec les hommes.
- Depuis l’été dernier, pourquoi ?
- Je te croyais encore vierge, tu n’as que dix huit ans.
- Et non, j’en ai dix neuf et je ne le suis plus. En plus, j’aime ça et je pense devenir une belle salope comme ma belle mère Charlotte.
- J’en conclu que ta première foie s’est bien passée.
- Oh oui, très bien. Je me souviens d’un soir où tout le monde, ma sœur, ma cousine et moi avons rencontré Thomas, son frère et d’autres dans un camping. Il faisait nuit, mais la lune éclairait bien le ciel et l’eau. Thomas, après un pari, s’est jeté nu à l’eau. Je n’avais pu m’empêcher d’observer avec beaucoup d’attention ses fesses bien sûr, mais encore plus son pénis au repos, c’étais déjà terriblement excitant pour une jeune fille vierge comme moi. Le soir, après le bain, je me suis assise sur ses genoux. Il a posé ses mains sur mes cuisses et m’a doucement caressé. C’est le lendemain que nous nous sommes embrassés. J’étais dans l’eau. Je nageais seule et tranquillement. Il est arrivé par derrière. Il m’a attrapée. Je me suis retournée. J’ai entouré son bassin avec mes jambes. Je me rappelle très bien le regard à la fois gêné et avide de désir que nous avons échangé. Puis, il a approché ses lèvres sur lesquelles je me suis précipitée et que je n’ai cessé d’embrasser pendant un long moment. Mis à part son corps assez bien fait, il n’était pas vraiment beau ni même mignon. Il était brun, portait des lunettes et louchait légèrement. Nous avons plusieurs soirs de suite joué à rouler sur les cailloux au bord de la rivière. Nous découvrions dans la pénombre nos corps. Et j’apprenais la douceur, la chaleur humaine et l’intimité. Je vivais des choses très personnelles, des choses à moi, des choses que maman n’aurait pu m’enlever ou contrôler. J’étais loin d’elle. Étant partie pour la première fois non accompagnée de mes parents, j’échappais inexorablement et avec délice à son empire autoritaire. Je brûlais d’envie. Je brûlais d’amour, mais je ne le savais pas encore. Les cailloux étaient inconfortables, mais cela n’empêchait rien. Je prenais des initiatives. Sur lui, je frottais inlassablement mon sexe contre le sien tandis qu’il me malaxait les fesses. Je ne pouvais m’empêcher de gémir. J’étais bien trop excitée. Je n’osais pas demander plus.
- Encore, répétait-il à chaque fois que je faiblissais quelque peu.
Il disait aussi : Tu es belle, ou : Tu es douce. Et moi, ne sachant quoi répondre, je bredouillais :
- Je ne fais rien pour.
J’acquiesçai à toutes ses paroles me laissant bercer par le doux chant de sa voix. Puis un soir tout s’est précipité, il m’a dit
- Allons sous ma tente
- Je ne sais pas.
Quelques minutes plus tard, il réitéra sa demande. J’avouai :
- Je… en fait…
- Je sais, me coupa-t-il.
- D’accord alors.
Il a ouvert son antre et m’a fait glisser sur son matelas. Nous avons commencé à échanger des baisers de plus en plus intenses. Ses lèvres pressaient les miennes goulûment. Il fait noir. Il enlève mon haut. Je ne porte pas de soutien-gorge. Il ne s’y attendait pas. Ça a l’air de lui plaire car il se met à embrasser mes seins nus. On dirait qu’il veut les recouvrir complètement de ses baisers. Je me laisse faire. C’est drôle et c’est tellement agréable. Il mordille ensuite mes tétons. J’agrippe sa tête et le serre contre ma poitrine. Il continue à mordre délicatement. Et il glisse sur mon ventre. Il retire son haut et se blottit contre moi. Il me serre très fort contre lui. Je sens sa main défaire mon pantalon. Elle remonte de nouveau jusqu’à mes seins, mon cou et mon visage. Puis elle court se perdre dans mes cheveux. Il retire ensuite son bas et le mien. Mes yeux s’habituent à la pénombre. Je perçois à présent son caleçon. Il est simple et blanc. Il l’enlève et reste un instant assis à côté de moi sans me toucher. Je suis couchée et j’observe. Son pénis se dresse avec fierté. Je devine sa rigidité et les plaisirs qu’il peut offrir. En mon for intérieur, je demande « Y a-t-il plus beau qu’un homme nu ? ». Sans prévenir, il pose ses mains sur mes hanches et retire ma culotte. L’air glisse sur mes parties intimes. Il se couche contre moi et, se penchant sur mon oreille, murmure :
- Les filles se plaignent souvent de leur première fois.
- Auprès de toi ?
- Non. Dans les magazines. C’est pourquoi j’irai tendrement.
- D’accord.
- Tu n’as pas peur ?
- Non.
Je me rappelle que je ne voulais rien oublier. J’ai tout noté. Les moindres détails sont là dans mon petit carnet : Ses doigts chatouillant mon clitoris et pénétrant mon vagin. Moi, je le masturbait doucement. J’ai bien tenté en effet de lui donner moi aussi du plaisir. Mes gestes étaient imprécis, mais j’ai tout de même caressé son pénis de haut en bas. Cette peau qui glissait dans ma main m’émoustillait. Je n’avais pas l’habitude, mais j’étais comblée. Il déroule le préservatif sur sa verge vient sur moi et me pénètre. Enfin. Je me souviens que j’ai eu mal. J’ai senti mon intérieur s’élargir et brûler. Je n’ai pas caché ma douleur.
- Ça va ?
Je réponds que oui. Et pourtant. Je gémis, mais non pas de plaisir. Il me pénètre avec une grande douceur me tenant couchée et blottie contre lui. Il fait siffler un long « chut » pour m’apaiser. Peu à peu de nouvelles sensations arrivent. Les poils présents sur son nombril viennent d’abord caresser mon ventre. Je suis de nouveau excitée. La douleur n’est plus aussi insupportable. Elle laisse même quelque peu place à un étrange sentiment de bien-être que je voudrais éternel.
- Je sais que ça fait mal, dit-il.
- Ça ne me fait pas que mal.
- Ça te fait quoi ?
- Des choses.
J’ai chaud, de plus en plus chaud, malgré mon inactivité. Je sens sa verge passer et repasser inlassablement. Chaque coup me fait frémir. Il accélère. Je n’ai plus le temps de reprendre mon souffle. Je hurle de plaisir. Il répète « chut », mais ses mots se transforment en cris. Il transpire. Je sens sa sueur tomber sur moi. Ça redouble mon excitation. Je me mets à remuer le bassin, un peu au hasard. Peu importe ! Moi aussi je veux bouger ! Et je veux, encore, sentir, un peu plus, cette verge qui me pénètre, sans pudeur. J’ai d’ailleurs l’impression qu’il s’enfonce de plus en plus, en moi. Je rugis voracement. Lui aussi ne se maîtrise plus. C’est le désordre le plus complet. Nos gestes ne sont pas du tout accordés, et pourtant qu’est-ce que c’est bon. Il tire sur mes cheveux. J’agrippe sa peau. Le plaisir est beaucoup trop intense. Je sais que nous sommes dans une tente et que tout le monde nous entend. Pourtant, je crie de plus belle. Je m’ouvre à la vie, oubliant pour ainsi dire tout le reste. Alors, il prend une profonde inspiration, comme s’il allait mourir. Il s’effondre sur moi. Il s’est arrêté. Il a joui. Je dis :
- Non ! Encore !
- Je n’en peux plus, avoue-t-il.
Comme un bébé, je répète :
- Encore !
Il se détache de moi, glisse le long de mon corps. Il s’attaque à mon intimité. Avec sa bouche ! Il embrasse mon clitoris. Il le lèche. Il le mord. C’est bon, mais ce n’est pas assez. Je crie :
- Plus, je veux plus.
Deux doigts entrent brutalement en moi. Ce n’est plus douloureux du tout. Mais, sous l’effet de l’excitation, j’émets un hurlement strident. Thomas continue à me sucer le clitoris. Dans le même temps, il commence un rapide mouvement de va-et-vient avec ses doigts.
- Plus vite ! Plus fort ! je demande.
Il obéit. Je ne me reconnais plus. Je tremble. Je me tords dans tous les sens. C’est beaucoup trop bon. De plus en plus bon. Je suis trempée. Mon intimité est mouillée. Je transpire à n’en plus finir. Et puis sans crier gare, cette chose étrange, ce spasme qui joue avec les muscles de mon corps et m’offre un plaisir sans nom, arrive. Je ne connais pas cette chose. Je ne sais comment y faire face. Elle est beaucoup trop forte, beaucoup trop violente. Je saisis les cheveux de Thomas et le plaque contre ma vulve. L’orgasme me fait alors crier comme une folle hystérique. Tout de suite après ça, je me sens faible. Je vacille. Les doigts de Thomas sont toujours en moi. Je n’en ai plus envie. Pas maintenant. Je veux profiter de ce qui vient de m’arriver. Je veux y repenser calmement. Impossible. Il est toujours là. Je prends sa main et je suce ses doigts. Ils sont mouillés. C’est amer. J’adore.
- C’était bien, dit-il. Tu me passeras ton numéro de téléphone ?
- Non.
- Pourquoi ?
Je ne réponds pas. Cette chose, elle est à moi. Elle m’a donné naissance. Je n’en parlerai jamais à personne. Elle m’appartient tout entière. Je ne veux pas revoir Thomas. Je dois à présent faire mes premiers pas seule.

- Oui, c’est une très belle histoire. l’amour c’est très bon mais pour une jeune fille comme toi, il y a des choses a savoir. Avec ce que tu viens de me faire maintenant, tu vas gonfler, je viens juste de te féconder comme ta belle mère Charlotte et Elodie. Vous accouchez en même temps dans neuf semaines.
- Non, ce n’est pas possible.
- Oui, je t’assure, je suis venu ce matin pour demander à Charlotte d’accueillir des filles que j’ai engrossé. Il n’y en a que pour quelques semaines et votre maison est très grande.
- Non, je ne veux pas me retrouver enceinte.
- C’est trop tard, tu l’es déjà rien ne peu changer.
Je suis reparti, sur les trois femmes une seule était heureuse ce soir, c’étais Charlotte, elle avait ce qu’elle voulait.

A suivre

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Texte coquin : La Démoniaque Sarah 5
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